Prestation de services aux femmes immigrantes du Canada atlantique BARBARA COTTRELL Chercheuse communautaire, Halifax, Nouvelle-Écosse

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1 Pour certaines participantes, il n était pas facile de trouver de l aide. Certaines n avaient aucun ami ou membre de la famille à qui s adresser. D autres ne savaient pas comment obtenir le soutien d organismes. [...] De plus, le fait qu elles ne connaissaient pas leurs droits empêchait certaines femmes de chercher de l aide. Prestation de services aux femmes immigrantes du Canada atlantique BARBARA COTTRELL Chercheuse communautaire, Halifax, Nouvelle-Écosse En novembre 2005, mes collègues Peruvemba Jaya et Evie Tastsoglou et moi avons entrepris un projet de recherche, financé par le Fonds de recherche en matière de politiques de Condition féminine Canada, sur la manière dont les immigrantes vivant au Canada atlantique et ayant connu la violence et les mauvais traitements s orientent dans les services de soutien. Nous avons réalisé des entrevues avec 49 immigrantes qui avaient connu la violence et 51 fournisseurs de services de cinq villes du Canada atlantique, soit Halifax, Sydney, St. John s, Moncton et Charlottetown. Afin de comprendre la notion de «violence», du point de vue des immigrantes, nous les avons invitées à décrire leur expérience dans leurs propres mots. Selon ces femmes, leur statut d immigrante et leur origine ethnoculturelle font en sorte que leur expérience de la violence et leur accès aux services est différente de celle des autres femmes. Elles ont relaté de nombreux cas de violence raciale, et l une d elles a dit avoir déjà pensé s acheter des lentilles cornéennes de couleur et remplacer son hidjab par un chapeau. Certaines participantes disaient avoir l impression que les Canadiens ont peur des musulmans. L une d entre-elles, qui se définissait comme «à demi musulmane», a noté que lorsqu elle parle de ses origines aux gens : Ils écarquillent les yeux C est incroyable. Encore heureux que je n aie pas l air arabe J ai beaucoup d amis qui ont un physique arabe et les gens les regardent d un drôle d air parce qu ils pensent que ce sont des terroristes. Mon meilleur ami a l air d un de ces gars qui aiment poser des bombes. Mais c est un catholique. Certains employeurs ayant des préjugés racistes rendent la tâche difficile à de nombreuses femmes immigrantes à la recherche de travail et d indépendance financière. Pour certaines des participantes, le nom figurant dans leur curriculum vitæ ou le fait qu elles est fait leurs études ou obtenu leur expérience de travail à l étranger ont fait en sorte qu elles n étaient même pas invitées à une entrevue, et ce, bien qu elles étaient qualifiées pour le poste. La nonreconnaissance des titres de compétence a aussi été citée comme un obstacle à l indépendance financière, notamment par celles qui ont fait leurs études dans des régions autres que l Europe du Nord et qui ont immigré au Canada depuis ces régions. Au moment de l étude, malgré l existence de programmes destinés à aider les étrangers à obtenir des titres de compétence qui seraient reconnus au Canada, certaines immigrantes avaient du mal à profiter de ces programmes. Il leur était difficile de trouver un emploi approprié et elles se voyaient souvent obligées d accepter un emploi dont les conditions étaient insatisfaisantes; elles pouvaient être contraintes à travailler dans de mauvaises conditions, à occuper un poste à temps partiel alors qu elles auraient préféré travailler à temps plein, ou à accepter un salaire moindre. Ces conditions de travail avaient des répercussions directes et durables sur leur bien- 152 Nos diverses cités

2 être mental, physique et financier. Pour citer un fournisseur de services : Quand elles venaient d un pays où elles travaillaient et gagnaient leur vie, qu elles avaient un bon revenu et inspiraient le respect, alors qu ici personne ne veut les engager, elles devaient vraiment se sentir blessées : cette frustration est palpable, elles ne comprennent pas pourquoi ici, elles ne peuvent pas grimper l échelle sociale, elles veulent tellement être ici et elles sont vraiment prêtes à travailler Elles sont ici, mais elles finiront par partir. Bien que des femmes aient eu à faire face à ces obstacles quelle que soit leur situation familiale, les répercussions étaient plus grandes chez celles qui tentaient de s affranchir d une situation de violence conjugale ou de l atténuer. Sans revenu, elles ne pouvaient pas subvenir à leurs propres besoins ni à ceux de leurs enfants, en plus d avoir de la difficulté à acquérir la confiance en soi nécessaire pour faire face à leur situation. Ce phénomène n était pas limité aux femmes issues de ménages à faible revenu. Celles de milieux plus aisés vivaient les mêmes difficultés en matière de revenu et de possibilités d emploi, même si elles étaient moins susceptibles de chercher des services de soutien. La majorité des immigrantes vues par des fournisseurs de services ne pouvaient en général compter que sur des ressources financières limitées et possédaient moins de moyens pour réagir à la violence. L un des fournisseurs a même affirmé que son organisme aidait des femmes qui avaient été obligées par leurs maris à se prostituer. Pour certaines participantes, il n était pas facile de trouver de l aide. Certaines n avaient aucun ami ou membre de la famille à qui s adresser. D autres ne savaient pas comment obtenir le soutien d organismes. Dans certaines régions, notamment là où il y a moins d immigrants, il n y avait pas de services de soutien. De plus, le fait qu elles ne connaissaient pas leurs droits empêchait certaines femmes de chercher de l aide. Par exemple, l une d elles craignait d être renvoyée dans son pays si elle parlait à qui que ce soit de la violence qu elle subissait. Une autre avait peur que son mari la tue s il venait à perdre son droit de rester au Canada. L une des femmes pensait qu elle ne pouvait voir un médecin que pour des raisons de santé physique. Pour d autres, l expérience déjà vécue avec les forces policières posait également problème. L une de ces femmes a dit : «Je me souviens de la police au Pérou. J ai le nez cassé.» L inaptitude à bien communiquer dans l une ou l autre des langues officielles et la méfiance à l égard de la confidentialité dans leurs propres collectivités ont empêché certaines femmes de chercher de l aide. Une participante, une Hongroise de Roumanie, a expliqué : Je ne pouvais communiquer ni en français, ni en anglais. Le fait d avoir un interprète n était pas une solution pour moi, et je crois que d autres immigrantes pensent comme moi. Je ne me sens pas à l aise de parler de ma vie privée devant un étranger ou une personne de ma propre culture. Les gens ne respectent pas toujours le principe de confidentialité. Quant à celles qui se sont adressées à des amis, à des membres de leurs familles, à leurs répondants ou à leurs églises pour mieux faire face à la violence, elles ont trouvé ces appuis utiles, en particulier quand les personnes pouvaient parler leur langue. Certaines ont trouvé de l aide auprès d organismes de services, comme les refuges pour femmes, la police et les médecins, et ont été reconnaissantes quand cette aide était gratuite et quand ceux qui leur venaient en aide souhaitaient en savoir davantage sur leur culture, leurs valeurs et leur foi, ou quand ils respectaient leur religion. Une femme du Congo a affirmé : À l organisme de services familiaux où on me conseillait, même les livres m ont beaucoup aidée. J ai participé à des séances où on nous a appris à parler à nos enfants et à les écouter. Ceci m a donné de bons exemples. Maintenant, je les écoute, nous discutons ensemble, je les traite comme des adultes, et non pas comme nous les traitons dans notre pays Il y a une différence entre la culture de mon pays et celle du Canada. Malheureusement, toutes n ont pas bénéficié d un tel soutien. Certaines femmes croyaient qu elles n avaient pas reçu l aide et la protection adéquates ou appropriées parce qu elles étaient immigrantes. Elles sentaient qu elles étaient perçues différemment ou qu elles n étaient pas bien comprises en raison des stéréotypes que les gens entretiennent sur les immigrants. D autres ont constaté un manque d égard aux problèmes des immigrantes, notamment envers celles qui avaient une expérience antérieure de violence. Une Africaine affirmait : Nos diverses cités 153

3 La non-reconnaissance des titres de compétence a aussi été citée comme un obstacle à l indépendance financière, notamment par celles qui ont fait leurs études dans des régions autres que l Europe du Nord et qui ont immigré au Canada depuis ces régions. Il n y a pas de services compétents pour les immigrantes [ici], comparativement à d autres provinces; par exemple, si j avais eu mon problème dans une autre province, comme en Ontario, j aurais reçu un meilleur service. Ici, ce n est pas aussi multiculturel, ou j étais peutêtre un cas isolé qu ils n avaient jamais vu auparavant, vous comprenez Plusieurs immigrantes ont connu des difficultés quand elles se sont adressées à des travailleurs des services gouvernementaux qui, à leur avis, ne comprenaient pas leurs problèmes et leur expérience et ne leur ont pas fourni suffisamment de renseignements sur le Canada. Les fournisseurs de services ont reconnu qu ils étaient incapables de répondre aux besoins de leurs clientes immigrantes : Pourquoi suis-je incapable de les aider encore davantage? Nous sommes trois dans ce bureau et nous le voyons bien. Nous voyons les besoins. [Une telle] travaille ici depuis presque trois mois. Elle est si brillante, si intelligente. Elle finira probablement par retourner au Pakistan ou par aller à Toronto, voire ailleurs Je vois bien tout le chemin qu il nous reste à faire pour attirer ces personnes ici et les inciter à vouloir rester. Mais pour le moment, nous n y arrivons pas. Les fournisseurs de services ont manifesté un fort désir de tenir compte, d une manière efficace et respectueuse, des origines culturelles de leurs clients et d approfondir leurs connaissances sur leurs origines culturelles. Ils reconnaissent les forces de leurs clientes : Je regarde ces femmes, je vois comme elles sont fortes et combien ce doit être difficile de quitter un endroit pour aller dans un pays entièrement différent afin de tenter de recommencer sa vie. Compte tenu des études qu elles ont faites et de la difficulté qu elles ont à trouver un emploi acceptable parce qu elles viennent d ailleurs, je crois que ce que je remarque en premier lieu, c est leur force, leur détermination et leurs aptitudes. Selon certains fournisseurs de services, le problème, c est leur propre manque de formation culturelle. Quelques-uns qui possèdent un grade professionnel, comme en travail social, ont reçu une formation générale ou de l information contextuelle sur la diversité culturelle et la prestation de soins culturellement adéquats; certains organismes ont offert à leurs employés des ateliers de perfectionnement professionnel. Néanmoins, dans la plupart des cas, cette formation était éparse et n avait pas de lien direct avec les exigences des postes; certains fournisseurs de services étaient restreints par leur inexpérience à travailler avec des interprètes, et d autres se retrouvaient dans des situations impossibles en raison de leur manque de formation, de sorte que plusieurs immigrantes sont «passées entre les mailles du filet». Je me disais qu elles viendront ici, qu elles termineront le programme et qu elles trouveront un emploi. Mais elles ne trouvent pas d emploi. Parce que nous ne pouvons tout simplement pas leur donner ce dont elles ont besoin. Je ne savais pas comment leur apprendre à faire reconnaître leurs titres de compétence. Je n avais aucune idée Il faut quelqu un pour leur expliquer. (Fournisseur de services) Malgré leur engagement à offrir un soutien efficace, plusieurs fournisseurs de services ne voyaient pas les compétences culturelles comme une priorité parce que les immigrantes constituaient une très petite part de leur clientèle. Comme les budgets étaient resteints, ils devaient concentrer leurs ressources là où la demande était plus forte. Certains fournisseurs de services voyaient la violence envers les femmes, en particulier la violence conjugale, comme une «importation culturelle». Ce préjugé était parfois accompagné de l idée selon laquelle, en contrepartie, la 154 Nos diverses cités

4 violence envers les femmes nées au Canada est culturellement acceptable. Une fournisseure a indiqué que lorsqu elle traitait avec des femmes d origines culturelles étrangères, elle se posait la question : «Est-ce injuste, est-ce un mauvais traitement ou est-ce une pratique normale?» Cela, en retour, se manifestait dans les conseils donnés aux immigrantes qui demandaient de l aide à leur organisme. Pour reprendre les mots d un fournisseur de services : Le mari, parfois, dans sa culture, croit avoir le droit de discipliner la femme, et ceci peut parfois aller jusqu à la [violence] physique, par exemple, et c est parfois une chose difficile à régler À quelques reprises, nous avons dû expliquer que les choses sont différentes au Canada, que nos lois sont différentes et qu il n y a pas de parti pris pour un sexe en particulier, pas de domination d un sexe par l autre : c est un partenariat d égal à égal. Jusqu à un certain point, les immigrantes souscrivent à cette analyse. Comme l a observé une Ougandaise : Une bonne partie du problème était liée à nos propres convictions culturelles et religieuses. Dans ma culture, il y a l idée qu un homme doit dominer à la maison, qu un homme peut faire tout ce qu il veut de sa famille et, en général, il n y a pas beaucoup d interventions de notre côté. Le fait de quitter un partenaire conjugal violent signifiait souvent de quitter sa communauté. Une femme a expliqué que les gens ne réalisaient pas l importance du geste qu elle avait posé en «s affranchissant» et en surmontant la peur qu elle ressentait en allant à l encontre des convictions et de la culture. D autres immigrantes étaient d avis que leur expérience de la violence était la même que celle d autres femmes. L une des participantes a avoué : Je continue de penser qu il y a une certaine universalité dans ce que vivent les femmes. Et c est une des choses qui m irritent lorsque les gens disent, «Vous êtes du Mexique, votre culture est différente» Je crois que les hommes se ressemblent beaucoup aussi du moins, au Canada et au Mexique. Nous faisons les choses différemment, mais je crois quand même que les choses que les femmes ont à vivre ici et au Mexique sont très similaires. Et les femmes de là-bas peuvent être pauvres, et elles n ont peut-être pas accès à différents services, mais les mêmes choses se produisent ici aussi. Je ne crois pas que la nationalité a une influence. Que la violence soit d origine culturelle ou non, les immigrantes ont reconnu que les fournisseurs de services doivent être sensibilisés au fait que les immigrants proviennent de cultures différentes : Premièrement, quand nous parlons d une culture, il est essentiel de la comprendre. Nous ne pouvons pas généraliser en disant voici ce qui va se passer, voici comment ça va se passer dans cette culture; c est donc peut-être la même réaction chez toute femme immigrante qui arrive de l étranger. Chaque culture est unique. La fragmentation des services existants était une autre grande source de frustration pour les fournisseurs de services, et un problème pour leurs clients. Bien qu ils offrent tous ensemble un large éventail de services en matière de prévention de la violence, de nombreux organismes du Canada atlantique œuvrent indépendamment les uns des autres, et les différences sont souvent considérables d une région à l autre. Dans certains cas, non seulement les organismes représentés dans la présente étude œuvraient-ils dans le cadre de mandats distincts, mais il leur arrivait même d être en conflit les uns avec les autres. Les organismes relevant de ministères du gouvernement fédéral avaient tendance à être plus uniformes, d une province à l autre, que les organismes communautaires et axés sur l utilisateur. Par ailleurs, les problèmes liés à l uniformité semblaient être compensés par une approche plus personnelle en ce qui a trait aux problèmes de violence, ainsi que par une compréhension plus nuancée de la nature systémique du racisme, des conflits de classe et de la violence envers les femmes. Nous avons demandé aux participantes ce qui leur procurerait un plus grand sentiment de sécurité lorsqu elles demandent de l aide. Certaines ont dit qu elles chercheraient à obtenir de l aide uniquement auprès d une personne qu elles connaissent ou qui leur avait été recommandée par quelqu un en qui elles Nos diverses cités 155

5 ont confiance. D autres estimaient qu elles gagneraient à pouvoir parler à des gens ayant une connaissance de leur culture; elles étaient toutefois réticentes à s adresser à une personne de leur propre communauté : Tout d abord, je souhaiterais bien connaître la personne à qui je demande de l aide et j aimerais pouvoir lui faire confiance. La confidentialité est aussi une chose essentielle pour moi. De plus, cette personne devrait résolument avoir des connaissances sur ma culture, mais elle n a pas besoin de venir de mon pays. Je ferais peut-être plus confiance à une autre immigrante ayant vécu des expériences comparables et n étant pas nécessairement une conseillère professionnelle. Les femmes étaient d avis que les services sociaux devraient être accessibles dans la langue de l immigrante ou que des interprètes soient mis à leur disposition pour les aider à comprendre les ressources qui leurs sont offertes. Elles pensaient également qu il serait utile que les conseillers soient des femmes et qu elles soient originaires du même pays que le client. Elles préconisaient vivement le recrutement de personnes de cultures diverses par les organismes gouvernementaux, ou encore la prestation d une formation appropriée en sensibilisation culturelle pour le personnel; le personnel devrait en outre avoir des connaissances générales sur différentes religions et cultures, être plus attentif aux problèmes des immigrants et comprendre la source et la nature de la violence. Bon nombre des immigrantes auxquelles nous avons parlé ont affirmé avoir besoin d être mieux renseignées sur la société canadienne. Aussi, selon l une d elles, les femmes doivent être informées du fait qu au Canada, en cas de mauvais traitement, elles ont le droit de quitter leur mari ou de divorcer. Elles souhaitaient également connaître les programmes auxquels elles pourraient avoir recours pour obtenir de l aide en cas de violence, parce que certaines n ont pas accès à Internet et ne savent pas que les ambassades offrent des renseignements sur le sujet. Parfois, vous ne savez même pas à qui vous adresser pour vous plaindre. Vous auriez peutêtre l occasion de demander à des immigrantes ce qui peut être fait, quelles sont les possibilités, à qui s adresser pour obtenir de l aide en cas de violence psychologique, et ainsi de suite. Quelles sont les ressources à notre portée? On nous a dit que les renseignements se trouvent dans l annuaire téléphonique, mais je ne sais pas où. Une Allemande affirmait : Le fait de ne pas avoir de ressources et de ne pas connaître nos droits, c était ça le principal problème. C est le signe qu un obstacle linguistique était présent. Et le fait d être dans une région rurale [rendait ce problème] très compliqué. Les femmes assuraient en outre qu il serait utile d avoir des services plus centralisés, plutôt que d être obligées de dépendre d amis et d une multitude de services (comme les maisons de transition, les avocats, les psychiatres et les médecins). Un centre culturel pourrait être mis sur pied pour les nouveaux arrivants, où des femmes pourraient parler de leur expérience, apprendre à connaître différentes ressources offertes et faire la connaissance de gens qui les accompagneraient à la police ou à d autres services pour les aider à mieux comprendre le système. Une femme originaire de Colombie parlait de ce qui devrait être instauré dans sa communauté afin que les immigrantes puissent recevoir de l aide : C est une chose qu on peut faire dans ce pays, parce que les ressources humaines nécessaires sont présentes. Il y a des personnes de notre pays qui sont très instruites et qui peuvent aider, qui peuvent travailler dans ce genre de domaine Je crois que les immigrants ont besoin d un plus grand soutien, d un plus grand nombre d ateliers et de réunions où ils peuvent aller et en apprendre davantage sur les services offertes. Ils pourraient y trouver une façon de surmonter leurs propres problèmes lorsqu ils ont à le faire. À l Association, nous avons un groupe de femmes; c est plutôt un club social avec des activités comme des parties de bingo, des rencontres à la plage où nous grillons des guimauves, des excursions au jardin ou des promenades. Selon ces femmes, un guide d information sur les ressources serait utile, et les organismes déjà établis devraient étendre la portée de leurs services 156 Nos diverses cités

6 pour inclure les communautés immigrantes. Sinon, un personnel de soutien pourrait être affecté aux nouveaux Canadiens pour maintenir un contact avec eux, voir comment ils vont et leur fournir des renseignements sur leurs droits et sur les services offerts. Il leur serait utile d obtenir des services dans leurs langues respectives : Nous vivons dans le même pays, mais chacun fait des choses différentes En Ontario vous avez la possibilité de consulter un médecin qui parle espagnol; vous pouvez consulter un psychologue qui parle espagnol. Je crois que lorsque vous avez ce genre de service social dans votre propre langue il est bon de pouvoir dire que nous vivons dans un pays multiculturel. Ce projet de recherche nous a menées à conclure que des programmes de prévention et d intervention entièrement financés et des services aux immigrantes sont nécessaires au Canada. Ce devrait être des services d intervention multiples et intégrés, auxquels collaborent les gouvernements provinciaux, des organisations non gouvernementales (ONG) offrant des services d établissement, des ONG multiculturelles, des organismes d exécution de la loi, ainsi que des organismes qui offrent un soutien aux femmes. Il ne suffit toutefois pas de simplement offrir les services. Les immigrantes doivent en être informées et ont besoin d aide pour y recourir. Des recherches permettant de découvrir quelles personnes n utilisent pas les services et les raisons de cette situation nous aideraient à déterminer quels sont les besoins des femmes. Il s agit de décisions stratégiques. Comme l a souligné l un des fournisseurs de services, ces changements doivent «venir d en haut». À propos de l auteure BARBARA COTTRELL a été co-chercheuse et directrice du projet Navigating Anti-Violence Work in Atlantic Canada in a Culturally Sensitive Way ( ), coordonnatrice du Security and Immigration Research Project ( ) et co-chercheuse du Parent Abuse in Immigrant Communities Project à Saint Mary s University (2004). Elle a également dirigé des projets de recherche sur la violence dans les familles immigrantes (2003) pour le compte de la Metropolitan Immigrant Settlement Association (MISA) et a écrit pour Patrimoine canadien (2003). Elle a écrit de nombreux rapports et articles sur la violence familiale et est l auteure de When Teens Abuse Their Parents, Fernwood Books, Nos diverses cités 157

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