R. SANDRETTO Opération cordée de la réussite 2011-

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "R. SANDRETTO Opération cordée de la réussite 2011-"

Transcription

1 R. SANDRETTO Opération cordée de la réussite 2011-

2 Modèle HOS : basé sur hypothèse d immobilité internationale des facteurs Avec mobilité du capital, les délocalisations doivent contribuer à l égalisation des rémunérations Cette égalisation ne fait pas disparaître les délocalisations (ni aux effets néfastes qu elles provoquent : perte d emplois), car elles n obéissent pas qu au seul souci de minimisation des coûts salariaux

3 Oui : cas des économies émergentes asiatiques (dont Chine) Mais pas automatique Technologie n est pas un bien qu il suffit d acheter ( flux) Technologie = ensemble complexe d éléments matériels, informationnels et organisationnels L assimilation et l appropriation des technologies importées s apparentent à la logique de l adaptation d une clé à une serrure (ou à une greffe qui suppose des compatibilités) Impossibilité de généraliser

4 Les pays riches accusent souvent les pays en développement de pratiquer un dumping social et environnemental Ils souhaitent l adoption de clauses sociales en environnementales leur donnant le droit de riposter La protection des droits de l homme peut cacher d autres préoccupations plus mercantiles Le fait de produire à moindre coût dumping L empreinte carbone des exportations du Nord Sud > à celle des exportations Sud Nord Contradiction à accuser les pays pauvres de dumping social et d y délocaliser la production

5 Toutes les délocalisations ne sont pas condamnables Certaines sont contraintes Certaines sont vitales/inévitables/bénéfiques à long terme pour l entreprise (délocalisations offensives)

6 Globalisation érosion de l efficacité des politiques Thèse de la «fin des frontières» Risque de l «attractivité compétitive» - Aligne l action publique sur la logique des marchés - Nuit à la cohésion sociale - Réduit le rôle de l État à celui de «promoteur de ses territoires» Affaiblit le pouvoir des États

7 - Bénéfices ne sont pas répartis sur tous les PED - Entrées d IDE ne garantissent pas le rattrapage technologique - Le but des firmes n est pas de développer le tiers-monde, mais elles peuvent y contribuer si elles en tirent des avantages - Il faut que l offre technologique des firmes rencontre une demande explicite et construite des pays d accueil des investissements (politique d acquisition/appropriation)

8 Les auteurs ne s entendent pas sur une définition Au sens précis du terme, délocalisation = Fermeture d une usine (ou la réduction de production) sur le plan national et son transfert de tout ou partie de l activité à l étranger avec réimportation en France de la production ou avec pour finalité de servir les mêmes marchés et non pas de conquérir de nouveaux marchés = «déménager» l activité à l étranger (définition retenue par Fontagné et Lorenzi ou encore Aubert et Sillard). D autres auteurs procèdent à des extensions abusives : cas du rapport Arthuis qui considère qu acheter à l étranger plutôt que produire soi-même constitue une délocalisation! (toute importation est une délocalisation)

9 Autres causes : Diversité des méthodes - Arthuis : pas de méthode du tout = collage d informations disparates - Fontagné et Lorenzi : méthode des contenus en emploi à la fois des flux d importation (emplois perdus) et d exportations (emplois gagnés) des pays développés avec les pays de délocalisation - Aubert et Sillard (2005) : Évaluation à partir de données microéconomiques (la plus solide, mais données incomplètes) On ne dispose pas de base de données statistiques portant sur les délocalisations (pas une catégorie statistique identifiée) Difficulté de différencier l effet «délocalisation» de l «effet de spécialisation»

10 Pas de possibilité de possibilité d analyse contrefactuelle : que se serait-il passé si pas de délocalisation? Difficulté d évaluation des effets indirects : effets induits sur le reste de l économie : exportations additionnelles, emplois créés dans d autres secteurs (Modèles EGC, type GTAP, MIRAGE) Une certitude : l impact effectif des délocalisations (au sens précis du terme, y compris l outsourcing) sur l emploi est limité, même si elles causent des dommages économiques et sociaux très importants au niveau local Les enjeux macroéconomiques ne sont pas à la hauteur de leur médiatisation

11

12 Fermeture d une usine (ou la réduction de production) sur le plan national et son transfert de tout ou partie de l activité à l étranger avec réimportation en France de la production ou avec pour finalité de servir les mêmes marchés et non pas de conquérir de nouveaux marchés Conséquence : perte d activité, d emploi et augmentation des importations

13 Délocalisation d activité exportatrice : une entreprise qui exportait à partir de la France crée une unité hors de France et exporte à partir de cette unité Conséquence : perte de recette d exportation et perte d emploi Cette extension est parfaitement acceptable, puisque la délocalisation vise les mêmes marchés (extérieurs) Donc délocalisation = «déménagement» d activités productives à l étranger = Fermeture d unités de production ou baisse d activité en France suivie d une augmentation de la production à l étranger (avec ou sans création d unités de production) René SANDRETTO Opération Cordée de la réussite

14 Acheter à l étranger plutôt que produire soi-même (exemple définition du rapport Arthuis) Inacceptable, car considère que toute importation est une «délocalisation» Acheter à des fournisseurs étrangers plutôt qu à des fournisseurs domestiques Inacceptable pour la même raison Créer une entreprise à l étranger plutôt que sur le territoire national (sans réduction d activité domestique) Il n y a pas déménagement d activité à l étranger. Équivaudrait à considérer comme délocalisation tout investissement à l étranger. Conquérir de nouveaux marchés à l étranger délocaliser René SANDRETTO Opération Cordée de la réussite

15 à ces extensions abusives. Elles conduisent à considérer comme délocalisation toute forme de commerce international ou d investissement à l étranger Conquérir de nouveaux marchés à l étranger délocaliser Éviter de tout mettre dans le même sac René SANDRETTO Opération Cordée de la réussite

16 L approvisionnement à l étranger (hors cas de recours à la soustraitance, si elle s accompagne d une baisse de la production domestique) L investissement à l étranger sans préjudice pour l emploi national (Ex : création d une filiale à l étranger sans fermeture ni licenciement en France) Transfert de technologie (sauf s il accompagne de transfert de production à l étranger) Changement dans la spécialisation (même s il s accompagne de fermetures d usines, tant que celles-ci ne sont pas «déménagées») Fermetures d entreprises devenues non concurrentielles et conduites à la faillite par des importations à bon marché Rachats d entreprises françaises par des capitaux étrangers René SANDRETTO Opération Cordée de la réussite

Les investissements internationaux

Les investissements internationaux Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches

Plus en détail

Délocalisations, relocalisations : Mise en perspective et enjeux pour la région Aquitaine

Délocalisations, relocalisations : Mise en perspective et enjeux pour la région Aquitaine Délocalisations, relocalisations : Mise en perspective et enjeux pour la région Aquitaine Rapport du GREThA (UMR CNRS 5113, Université de Bordeaux) pour la DIRECCTE Aquitaine Marie CORIS (coordinatrice)

Plus en détail

L empreinte environnementale du groupe Accor Application de l approche cycle de vie au niveau d une organisation

L empreinte environnementale du groupe Accor Application de l approche cycle de vie au niveau d une organisation L empreinte environnementale du groupe Accor Application de l approche cycle de vie au niveau d une organisation Accor a mené la 1 ère empreinte environnementale dans le secteur hôtelier En 2010, suite

Plus en détail

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Tribune Paris, le 19 janvier 2015 Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Par Gildas de Muizon (Directeur associé)

Plus en détail

Énergie et Mondialisation

Énergie et Mondialisation Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau

Plus en détail

PAS D ORGANISATION SANS ORGANISATION (2)

PAS D ORGANISATION SANS ORGANISATION (2) LES ORGANISATIONS BOUGENT PAS D ORGANISATION SANS ORGANISATION (2) Livret rédigé par Jean-Pascal Bricout, Daniel Chabaud et Martine Crumière SCÉRÉN-CNDP, 2007 Fondée en 1875, l entreprise familiale Babolat

Plus en détail

L externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France. Atelier Solution

L externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France. Atelier Solution L externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France Intervenants : Régis BIZIEN, EC et CAC Cabinet MBV, Paris Christophe BERNARD, Consultant NSG Phase 2 Brice BLAZY, Directeur

Plus en détail

résumé un développement riche en emplois

résumé un développement riche en emplois ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE

Plus en détail

De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre

De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre de devises étrangères contre monnaie nationale dépréciation

Plus en détail

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et

Plus en détail

La France est-elle compétitive?

La France est-elle compétitive? La France est-elle compétitive? Cafés Géographiques de Montpellier Gilles Ardinat, professeur agrégé et docteur en Géographie, enseignant à l Université Paul Valéry, Montpellier III C est à l occasion

Plus en détail

Conditions d entreprise

Conditions d entreprise 1. Contenu du contrat 1.1. Tout entrepreneur qui exécute des travaux pour le compte de (nommé ci-après BASF) accepte l application de ces conditions générales à l exclusion de ses propres conditions standards.

Plus en détail

La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger

La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Conseil National du Commerce Extérieur La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Anticiper Partager Agir 2000 www.cnce.org.ma Sommaire INTRODUCTION 1. LE NOUVEAU CONTEXTE

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité

Plus en détail

performances des entreprises et emploi Internationalisation, Préface de Louis Gallois Alexandre Gazaniol

performances des entreprises et emploi Internationalisation, Préface de Louis Gallois Alexandre Gazaniol Internationalisation, performances des entreprises et emploi Alexandre Gazaniol Préface de Louis Gallois Internationalisation, performances des entreprises et emploi Alexandre Gazaniol, Internationalisation,

Plus en détail

Cas 9 - Le rôle de l Etat et de l environnement légal

Cas 9 - Le rôle de l Etat et de l environnement légal Cas 9 - Le rôle de l Etat et de l environnement légal Objectif : comprendre le rôle de l Etat dans l économie et son influence sur les décisions de production des entreprises. Introduction Théorie néoclassique

Plus en détail

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Ce tableau présente les indicateurs de la Global Reporting Initiative (GRI) ayant été utilisés dans la préparation de notre rapport. Symboles I Inclus P Partiellement

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

Les tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales

Les tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales Les tendances du marché de la production d électricité dans le monde Samir Allal La globalisation économique a favorisé une plus grande expression des mécanismes concurrentiels. Désormais la concurrence

Plus en détail

DELOCALISATION - RELOCALISATION de la production d une entreprise industrielle française. (par Jean-Michel GANDREUIL)

DELOCALISATION - RELOCALISATION de la production d une entreprise industrielle française. (par Jean-Michel GANDREUIL) DELOCALISATION - RELOCALISATION de la production dune entreprise industrielle française. (par Jean-Michel GANDREUIL) Les différents niveaux de la Délocalisation. Achats de matières premières ou de composants

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...

Plus en détail

UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE. Continuer

UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE. Continuer UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE Continuer Contents Sommaire Comprendre COMPRENDRE VOS BESOINS Comprendre Après avoir progressé en moyenne de 25% par an au cours de la dernière

Plus en détail

Qu est-ce que la compétitivité?

Qu est-ce que la compétitivité? Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il

Plus en détail

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de

Plus en détail

Coûts de transfert de compte bancaire

Coûts de transfert de compte bancaire LA MOBILITE BANCAIRE La concurrence ne peut fonctionner que si la mobilité du client est assurée. Avec 2 %, le marché français semble présenter un des taux les plus faibles d attrition au niveau des marchés

Plus en détail

CE : comment obtenir vos budgets

CE : comment obtenir vos budgets Droit en du pratique CE Pour fonctionner ou proposer des ASC aux salariés, le CE a forcément besoin de moyens financiers! Or sa principale ressource en la matière, c est l employeur, puisque c est lui

Plus en détail

Fixer son prix à l export

Fixer son prix à l export Fixer son prix à l export Commerce extérieur Juin 2009 Politique de prix Dans le cadre de votre stratégie internationale, vous devez fixer un prix de vente pour vos marchés d exportation. La politique

Plus en détail

Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011

Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 PRESENTATION Le groupe ALTIOS International Une société leader dans le conseil et le développement opérationnel

Plus en détail

Le coût des politiques climatiques. Double dividende ou coûts excessifs?

Le coût des politiques climatiques. Double dividende ou coûts excessifs? Introduction La première séance : Les justifications de la politique climatique. La dialectique court terme long terme : Intuition écologique contre «raison»économique. Taux d actualisation : Prix relatif,

Plus en détail

Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques

Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques Salon Logistics 360 2011 Parc Exposition La Beaujoire Nantes Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques par Philippe de COUESBOUC, cabinet conseil Creach Partenaire, administrateur CDAF (Compagnie

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE

CONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE CONDITIONS GENERALES D ACHAT BONTAZ CENTRE Article 1 : Objet et champ d application Sauf accord particulier dûment négocié entre les parties sous quelque forme que ce soit, ces présentes conditions générales

Plus en détail

Informations Economiques. Analyse des comptes 2014 du Groupe Dépêche

Informations Economiques. Analyse des comptes 2014 du Groupe Dépêche BULLETIN D INFORMATION DU COMITE D ENTREPRISE Août 2015 Informations Economiques Analyse des comptes 2014 du Groupe Dépêche Nous avons confié comme chaque année, l analyse des comptes du Groupe Dépêche

Plus en détail

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident

Plus en détail

L éthique dans la société contemporaine

L éthique dans la société contemporaine L éthique dans les entreprises en contexte de gestion de crise dans le secteur agroalimentaire Horizon Marketing agroalimentaire 2009 Jeudi15 octobre 2009 M e Manon Beaumier, DSG-UQTR L éthique dans la

Plus en détail

CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii

CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens

Plus en détail

CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser

CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser 2 PLAN : 1 ère Partie : L information : un outil de gestion stratégique

Plus en détail

Les missions de l expert-comptable

Les missions de l expert-comptable Les modalités d exercice de la profession 85 Les missions de l expert-comptable Missions comptables Missions d assurance sur les comptes complets historiques Audit d états financiers contractuel Examen

Plus en détail

Contribution des industries chimiques

Contribution des industries chimiques Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,

Plus en détail

Le cadre itératif de la recherche collaborative est une approche concertée qui fait grandement appel aux intervenants

Le cadre itératif de la recherche collaborative est une approche concertée qui fait grandement appel aux intervenants Contexte À mesure que la concurrence s intensifie à l échelle mondiale, l innovation en matière de logistique* pour les manufacturiers canadiens s étend du niveau de à la chaîne d approvisionnement. Pour

Plus en détail

COMMISSION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 19-VII-2006 C(2006)3217 final

COMMISSION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 19-VII-2006 C(2006)3217 final COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19-VII-2006 C(2006)3217 final Objet: Aide d Etat N 351/2006 France Crédit d impôt en faveur des sociétés créées pour le rachat de tout ou partie du capital d une entreprise

Plus en détail

Clément ALBRIEUX (69)

Clément ALBRIEUX (69) Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet

Plus en détail

Globalisation et flux d emploi : que peut dire une approche comptable?

Globalisation et flux d emploi : que peut dire une approche comptable? TRAVAIL - EMPLOI Globalisation et flux d emploi : que peut dire une approche comptable? Muriel Barlet, Didier Blanchet et Laure Crusson* Les effets de l internationalisation sur l emploi peuvent s envisager

Plus en détail

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL REGIONAL PROJET DE CONTRAT DE SITE ROMORANTIN-LANTHENAY / SALBRIS

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL REGIONAL PROJET DE CONTRAT DE SITE ROMORANTIN-LANTHENAY / SALBRIS REGION CENTRE CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL REGIONAL Séance plénière du 17 octobre 2003 PROJET DE CONTRAT DE SITE ROMORANTIN-LANTHENAY / SALBRIS Le Conseil économique et social régional, Vu le code général

Plus en détail

La mondialisation est-elle encore porteuse de croissance?

La mondialisation est-elle encore porteuse de croissance? Conférence de macroéconomie de M. F. Bittner, 25 mars 2009 Florian Cahagne La mondialisation est-elle encore porteuse de croissance? La mondialisation, que l on peut définir comme l émergence de marchés

Plus en détail

> Pourquoi s assurer?

> Pourquoi s assurer? E 145 Centre de documentation et d information de l assurance Mai 2009 L assurance des pertes d exploitation Si la plupart des entreprises assurent leurs biens, encore trop peu d entre elles pensent à

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

Les outils classiques de diagnostic stratégique

Les outils classiques de diagnostic stratégique Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation

Plus en détail

L IMPACT DES DÉLOCALISATIONS SUR L'EMPLOI : PROBLÈMES DE MESURE ET IMPLICATIONS POLITIQUES

L IMPACT DES DÉLOCALISATIONS SUR L'EMPLOI : PROBLÈMES DE MESURE ET IMPLICATIONS POLITIQUES L IMPACT DES DÉLOCALISATIONS SUR L'EMPLOI : PROBLÈMES DE MESURE ET IMPLICATIONS POLITIQUES Version préliminaire : prière de ne pas citer sans l autorisation préalable de l auteur Thomas Hatzichronoglou

Plus en détail

La GPEC au regard de la formation

La GPEC au regard de la formation La GPEC au regard de la formation note aux étudiants : ce support ne constitue qu un complément au cours assuré, pour aller plus loin cf. bibliographie Support construit sur base de l ouvrage «GPEC», éd.

Plus en détail

Coût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)

Coût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2) Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement

Plus en détail

La perspective de «windfall profits» (profits indus) pour les électriciens allemands

La perspective de «windfall profits» (profits indus) pour les électriciens allemands UNIDEN UNION DES INDUSTRIES UTILISATRICES D'ENERGIE 19.04.04 DIRECTIVE «QUOTAS D EMISSION» : COMMENT EVITER DE DESASTREUSES CONSEQUENCES? La mise en œuvre de la Directive «Quotas d émission», via son impact

Plus en détail

L Essentiel des techniques du commerce international

L Essentiel des techniques du commerce international Désiré Loth L Essentiel des techniques du commerce international Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook

Plus en détail

McKinsey Global Institute. Donner un nouvel élan à l industrie en France

McKinsey Global Institute. Donner un nouvel élan à l industrie en France McKinsey Global Institute Donner un nouvel élan à l industrie en France Octobre 2006 McKinsey & Company McKinsey & Company est le leader mondial du conseil de directions générales. Depuis sa création en

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document: COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement

Plus en détail

Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data

Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data Enquête ADP 2015 auprès des responsables de la gestion du capital humain d entreprises internationales TABLE DES MATIÈRES Synthèse... 3 Introduction

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

Est-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques?

Est-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques? DOSSIER SOLUTION Programme de rationalisation des logiciels pour mainframe (MSRP) Est-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques? agility made possible Le programme

Plus en détail

La tendance au regroupement : comment réussir à naviguer dans un tel contexte

La tendance au regroupement : comment réussir à naviguer dans un tel contexte Étude technique La tendance au regroupement : comment réussir à naviguer dans un tel contexte Les technologies de l'information appliquées aux solutions d'affaires MC Totalité du contenu 2006 par le Groupe

Plus en détail

Evolution du mix électrique en France - Qui paiera?

Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co Des options environnementales, énergétiques, économiques majeures La France fait face à cinq options environnementales,

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

Le build-up est-il la solution?

Le build-up est-il la solution? Développement des Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) en France Le build-up est-il la solution? Paris - 10 janvier 2012 Oliver Gottschalg Pierre Mestchersky Stéphane Gilet Dominique Degand Observatoire

Plus en détail

Étude sur la monnaie numérique

Étude sur la monnaie numérique Étude sur la monnaie numérique Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et Opérations Association des banquiers canadiens Prononcée devant le Comité sénatorial des banques et

Plus en détail

RÉFLEXION STRATÉGIQUE QUANT À LA MISE EN PLACE D'UN PROJET E-BUSINESS

RÉFLEXION STRATÉGIQUE QUANT À LA MISE EN PLACE D'UN PROJET E-BUSINESS RÉFLEXION STRATÉGIQUE QUANT À LA MISE EN PLACE D'UN PROJET E-BUSINESS REMARQUES PRÉLIMINAIRES Ces questions ont un double objectif. D'une part, mieux cerner les tenants et aboutissants de votre projet

Plus en détail

Qu est-ce que le commerce équitable?

Qu est-ce que le commerce équitable? FAIR TRADE RULES! Position du mouvement international du commerce équitable en vue de la VI e Conférence Ministérielle de l OMC à Hong Kong Octobre 2005 «Nous, les membres du mouvement international du

Plus en détail

LES MESURES DE DEFENSE COMMERCIALE DE L APE UE/AO. Par M. Fallou Mbow FALL, Chef de la Division des Politiques Commerciales Sectorielles/DCE.

LES MESURES DE DEFENSE COMMERCIALE DE L APE UE/AO. Par M. Fallou Mbow FALL, Chef de la Division des Politiques Commerciales Sectorielles/DCE. LES MESURES DE DEFENSE COMMERCIALE DE L APE UE/AO. Par M. Fallou Mbow FALL, Chef de la Division des Politiques Commerciales Sectorielles/DCE. PLAN DE LA PRESENTATION I. Introduction II. Rappel des dispositifs

Plus en détail

PACTE VERT. Une banque au cœur de Maroc Vert

PACTE VERT. Une banque au cœur de Maroc Vert PACTE VERT Une banque au cœur de Maroc Vert CULTIVONS VOTRE COMPÉTITIVITÉ UNE PRIORITÉ NATIONALE ACCOMPAGNÉE PAR LE GROUPE ATTIJARIWAFA BANK Le secteur agricole marocain s est vu assigner une place prioritaire

Plus en détail

Etude réalisée dans le contexte de la conférence AFCDP sur la NOTIFICATION DES «ATTEINTES AUX TRAITEMENT DE DONNEES PERSONNELLES»

Etude réalisée dans le contexte de la conférence AFCDP sur la NOTIFICATION DES «ATTEINTES AUX TRAITEMENT DE DONNEES PERSONNELLES» Etude réalisée dans le contexte de la conférence AFCDP sur la NOTIFICATION DES «ATTEINTES AUX TRAITEMENT DE DONNEES PERSONNELLES» Palais du Luxembourg Paris - 23 mars 2010 Pilote du questionnaire : Bruno

Plus en détail

développement innovation

développement innovation phases d un projet de recherche développement innovation Programme, projet et opération Programme : un ensemble de projets concourant à un même objectif. Projet : un ensemble finalisé d activités et d

Plus en détail

Droit de grève. Qu est-ce qu une grève?

Droit de grève. Qu est-ce qu une grève? Droit de grève Qu est-ce qu une grève? La grève est un droit fondamental reconnu à tous les salariés (cadres, ouvriers, employés, précaires, apprentis etc.) par la Constitution française. A ce titre, elle

Plus en détail

«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire

«Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire «Vaincre la crise par la solidarité» La réduction collective du temps de travail sans perte de salaire et avec embauche compensatoire Congrès exceptionnel FGTB Liège-Huy-Waremme 2009 - Document de travail

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Chargé d affaires en ingénierie électrique et électronique de l Université Montpellier 2 Sciences et techniques

Plus en détail

CAM btp COLLOQUE FRANCO-ALLEMAND POUR LA CONSTRUCTION. 3 juin 2013

CAM btp COLLOQUE FRANCO-ALLEMAND POUR LA CONSTRUCTION. 3 juin 2013 COLLOQUE FRANCO-ALLEMAND POUR LA CONSTRUCTION 3 juin 2013 1 RISQUES ET ASSURANCES SUR LES CHANTIERS EN FRANCE 2 1 - INTRODUCTION >> 3 volets principaux pour définir les risques, les responsabilités et

Plus en détail

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques

Plus en détail

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé

Plus en détail

présentés à l Ordre des ingénieurs du Québec

présentés à l Ordre des ingénieurs du Québec Commentaires de l Association des ingénieurs-conseils du Québec sur le projet de Règlement sur l assurance responsabilité professionnelle des membres de l Ordre des ingénieurs du Québec présentés à l Ordre

Plus en détail

Investissement direct et sous-traitance internationale dans les pays du Sud : le cas de la Tunisie.

Investissement direct et sous-traitance internationale dans les pays du Sud : le cas de la Tunisie. Investissement direct et sous-traitance internationale dans les pays du Sud : le cas de la Tunisie. Oubeid Rahmouni To cite this version: Oubeid Rahmouni. Investissement direct et sous-traitance internationale

Plus en détail

Master Management international

Master Management international Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Management international Université Jean Moulin Lyon 3 Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier Houssin,

Plus en détail

Comment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines?

Comment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines? DOSSIER SOLUTION Package CA Clarity PPM On Demand Essentials for 50 Users Comment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines? agility made possible CA Technologies

Plus en détail

GLOBAL SAAS HR SOLUTION INTÉGRÉE DE GESTION DES TALENTS

GLOBAL SAAS HR SOLUTION INTÉGRÉE DE GESTION DES TALENTS GLOBAL SAAS HR SOLUTION INTÉGRÉE DE GESTION DES TALENTS GLOBALISATION ET TRANSFORMATION RH UNE RÉPONSE FACE À L EXIGENCE DE PERFORMANCE ET DE COMPÉTITIVITÉ La globalisation des entreprises, accélérée par

Plus en détail

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de

Plus en détail

Réponse du parti Libéral au questionnaire du Syndicat canadien des communications, de l énergie et du papier

Réponse du parti Libéral au questionnaire du Syndicat canadien des communications, de l énergie et du papier Réponse du parti Libéral au questionnaire du Syndicat canadien des communications, de l énergie et du papier INDUSTRIE FORESTIÈRE Près de 300 000 Canadiens et Canadiennes gagnent leur vie grâce à notre

Plus en détail

Acheter mieux que la concurrence

Acheter mieux que la concurrence Acheter mieux que la concurrence Club logistique Bordeaux 7 Juin 2012 Principes généraux Curriculum Buyer planner Acheteur groupe Responsable achats Performance économique Directeur achats Consultant Supplier

Plus en détail

Economie Industrielle des accords sectoriels

Economie Industrielle des accords sectoriels Economie Industrielle des accords sectoriels Projet de recherche du CERNA, MINES ParisTech Financé par MEEDDM Programme Gestion des Impacts du Changement Climatique (APR 2008) 1 Que sont les accords sectoriels?

Plus en détail

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement

Plus en détail

M. Gosselin (conseiller le plus ancien faisant fonction de président), président REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

M. Gosselin (conseiller le plus ancien faisant fonction de président), président REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS Cour de cassation chambre sociale Audience publique du 30 mai 2012 N de pourvoi: 11-12274 Non publié au bulletin Rejet M. Gosselin (conseiller le plus ancien faisant fonction de président), président SCP

Plus en détail

GS Days Les journées francophones de la sécurité. 18 mars 2014, Paris

GS Days Les journées francophones de la sécurité. 18 mars 2014, Paris GS Days Les journées francophones de la sécurité 18 mars 2014, Paris La loi relative à la sécurisation de l emploi La loi du 14 juin 2013 insère l article L. 2323-7-2 du C. trav. imposant aux entreprises

Plus en détail

Dans quelle mesure les entreprises des pays développés ont-elles intérêt à s'installer dans les pays en développement?

Dans quelle mesure les entreprises des pays développés ont-elles intérêt à s'installer dans les pays en développement? Terminale Enseignement spécifique de SES Devoir type bac DISSERTATION Dans quelle mesure les entreprises des pays développés ont-elles intérêt à s'installer dans les pays en développement? DOCUMENT 1 :

Plus en détail

Gestion des identités et des risques

Gestion des identités et des risques Gestion des identités et des risques Se préparer à un monde nouveau À PROPOS DE CETTE ARTICLE Dans le domaine de la gestion des identités et des risques, l époque du statu quo est révolue. La vitesse croissante

Plus en détail

LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015

LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015 LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015 Chapitre Ier : Créer de nouveaux droits pour les salariés Section 1 : De nouveaux droits individuels

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Relocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France

Relocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France Relocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France Cycle Innovation & Connaissance 54 petit déjeuner Pr. Jacques COLIN 22 janvier 8h30-10h Grasse Animatrice : Valérie

Plus en détail

Contribution des industries créatives

Contribution des industries créatives RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes

Plus en détail

Réalités de l outsourcing/bpo bancaire : indicateurs, performances, stratégies. Présentation et sommaire détaillé de l étude Juillet 2012

Réalités de l outsourcing/bpo bancaire : indicateurs, performances, stratégies. Présentation et sommaire détaillé de l étude Juillet 2012 Réalités de l outsourcing/bpo bancaire : indicateurs, performances, stratégies. Présentation et sommaire détaillé de l étude Juillet 2012 http://scoreadvisor.com De quoi parle-t-on précisément? Une fonction

Plus en détail

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité Direction générale opérationnelle Économie, Emploi et Recherche Département du Développement technologique Direction de l Accompagnement de la Recherche Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat :

Plus en détail

14-18 La grande e-guerre. L e-commerce belge peut-il contrer la concurrence étrangère?

14-18 La grande e-guerre. L e-commerce belge peut-il contrer la concurrence étrangère? 14-18 La grande e-guerre L e-commerce belge peut-il contrer la concurrence étrangère? 14-18: la grande e-guerre Les webshops belges souffrent d un lourd handicap concurrentiel par rapport aux acteurs étrangers

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail