COMPTE RENDU DE LA REUNION DU COMITE «JEUNES ET MONTAGNE» LE 11 MAI 2011, GRENOBLE

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1 COMPTE RENDU DE LA REUNION DU COMITE «JEUNES ET MONTAGNE» LE 11 MAI 2011, GRENOBLE PRESENTS : Romain ALLARD : Savoie Mont Blanc Tourisme Anne Louise AYNES : GTA Grégoire BEL : GTA Aurèle BOUVARD : Agence touristique départementale de Savoie Gilles CHAPPAZ : GTA Guy CHAUMEREUIL : GTA Eric DAVID : SNAM Emmanuelle DURAND : Assises de l Alpinisme Roger FOUCAULT : FFCAM Francis GAILLARD : Pôle ressources national Sports de nature Nils GINESTOU : Région PACA Niels MARTIN : CEMEA Assises de l Alpinisme Christiane MAURIN : Région PACA Olivier MONSEGU : DATAR Roger PELLETIER : FF RANDONNEE Henri Luc RILLH : FFCAM Christine TISSOT : Rhône Alpes Tourisme François TRUSSON : Mission Montagne Région Rhône Alpes Marion VAILLAUT : Travelmania, Oxymania ORDRE DU JOUR Avant d aborder les points de l ordre du jour, la GTA remercie l ensemble des partenaires pour leur présence massive et indispensable. Son directeur rappelle que le comité «jeunes et montagne» est devenu un atelier à part entière du comité de massif des Alpes et précise qu un ou deux représentants élus du Comité doivent y être intégrés pour officialiser cette appartenance. 1 Point sur l étude de segmentation du public jeune Rhône Alpes Tourisme a proposé la réalisation d une étude permettant de compléter le Livre blanc en précisant de manière plus scientifique les différents segments du public jeune. Le Commissaire de massif a souhaité que la réflexion soit menée à l échelle du massif alpin et donc étendue à PACA. Christine Tissot a donc contacté Yannick Lemagadure (CRT PACA) et Manuel Harbreteau (CRT Riviera

2 Côte d Azur). En réponse, ces deux structures ont indiqué être en cours de définition de leur stratégie marketing et n avoir pas encore déterminé leurs publics cible. En conséquence, à ce stade, cette étude paraît prématurée. Rhône Alpes Tourisme reste cependant intéressé à conduire cette étude dans le périmètre le plus large possible, avec un nécessaire calibrage en fonction des financements effectivement mobilisables. La DATAR (Olivier Monségu) propose de se tourner vers la région PACA. Il s agirait au moins de constituer un cahier des charges commun qui permettrait, si PACA enclenche une telle étude à l avenir, que celle ci puisse apporter des données et compléter l étude Rhône Alpes. Les représentants de la Région PACA (Christiane Maurin et Nils Ginestou) indiquent qu ils souhaitent obtenir des documents sur l étude envisagée (draft du cahier des charges) pour étudier la question de la participation de la région PACA. Sur le principe, il leur semblerait logique que la Région participe pleinement à cette investigation pour lui donner son échelle «massif». François Trusson (Mission Montagne Région Rhône Alpes) demande dans quelle mesure le public «jeune» Rhône Alpes est il différent de celui de PACA. Il souligne que cette étude est nécessaire et qu il ne faut pas pénaliser sa réalisation au motif du partenariat nécessaire entre les deux régions. Eric David (SNAM) propose de segmenter en fonction des âges et de la répartition géographique (jeunes vivant en montagne, en piémont, dans les agglomérations, et jeunes qui viennent de plus loin) et propose de faire participer les réseaux, fédérations et professionnels par le biais de focus groupes. Christine Tissot précise que l étude portera aussi sur un benchmark européen et les univers de concurrence de ce «marché». En conclusion, Rhône Alpes Tourisme envisage de mener l étude entre fin 2011 et début 2012 et fera en sorte d associer la région PACA à la conception du cahier des charges de l étude. 2 Point sur les Assises de l Alpinisme L objectif consiste à réunir les acteurs de l alpinisme et de la montagne pour identifier les problématiques communes et les porter conjointement auprès des élus politiques, par le biais d un manifeste en cours de rédaction, lors de la journée prévue à Chamonix le 28 mai. Ce document comporte un volet spécifique sur la question des jeunes, sous une acception plus large que celle du comité «jeunes et montagne» de la GTA : ans, Education nationale et éducation populaire, accès aux pratiques de montagne, d alpinisme et de haute montagne. Les propositions en faveur de l accès des jeunes à la montagne seront détaillées dans le manifeste publié pour le 28 mai. Il est également précisé comment les initiatives engagées dans le cadre des «Assises» seront prolongées par le groupe de portage afin d en suivre la mise en œuvre effective. Guy Chaumereuil indique son souci de clarifier pour les financeurs, notamment les passerelles et les synergies entre la démarche «jeune» des Assises de l alpinisme et la démarche portée par la GTA au nom du Comité de massif. Le dispositif «Assises» dépasse le cadre strict des Alpes puisqu il a vocation à intégrer tous les massifs français et la question des jeunes n est qu un élément parmi les nombreuses problématiques abordées. Les Assises ont également pour vocation de mettre en exergue des initiatives existantes pour l'accès des jeunes aux pratiques de montagne, afin d'en dégager les dénominateurs communs et les axes de propositions concrètes d'action.

3 3 Présentation de l initiative «Alp Summer Xperience» La GTA présente très brièvement cette initiative : tenant compte des retours des Mystères de l Alpe 2010 mené l été précédent (énigme un peu trop ardue et pas assez de rencontres avec d autres jeunes), il s agira cet été d un regroupement festif et ludique sur le 1 er week end de juillet. Il reprendra les conclusions du Livre blanc (transports en commun, environnement, fête, etc.). Le recrutement des participants interviendra via Facebook. Eric David souligne que le principe de cette action peut être étendu à d autres territoires et qu il serait intéressant de convertir l expérience en un réel produit touristique. Il est indiqué que l initiative des Mystères de l Alpe, conduit durant l été 2010, a été reprise par l office de tourisme de Briançon en vue d une mise en produit et sera reconduite sous une forme légèrement différente pour l été Romain Allard (Savoie Mont Blanc) souhaite savoir comment relayer la communication sur l événement. La GTA met à disposition des vidéos d appel créées pour l occasion. Olivier Monségu (DATAR) demande que le cadre d évaluation (critères) de l opération soit explicité avant son lancement, de manière à mieux anticiper la question de son éventuelle évolution ou les enseignements que l opération peut apporter. Nils Ginestou (région PACA) et François Trusson (Rhône Alpes) s interrogent sur la nécessité d employer un anglicisme pour nommer cette opération. Pour la GTA qui convient de l opportunité du questionnement il s agit simplement d un choix marketing lié au public cible. 4 Appel à projet de la Convention alpine Brève présentation de l appel à projet lancé par la Convention alpine et concernant des initiatives en direction des jeunes pouvant bénéficier d un soutien (5 à ), du moment qu ils participent à la promotion ou la mise en œuvre des objectifs de développement durable des Alpes portés par la Convention (cf. note distribuée en réunion). 5 Projet d un livre blanc «Coup de jeune» hivernal Il s agit d une sollicitation de Domaines skiables de France pour que la GTA, mandatée par le Comité de massif, conduise la rédaction d un livre blanc sur les jeunes spécifique au tourisme hivernal. En réaction, Eric David (SNAM) souligne dès l abord les dangers en termes de sécurité à inciter le public jeune à pratiquer la montagne d hiver en autonomie. Romain Allard (Savoie Mont Blanc) propose de poser deux conditions : élargir le travail à la montagne en général et pas uniquement cibler l hiver ; y intégrer les données issues de l étude Rhône Alpes Tourisme sur la segmentation de la clientèle jeune, tout en précisant le périmètre de l étude = offre globale de montagne de la région RA (c'est à dire offre globale des départements de montagne) ou offre des massifs et stations de montagne. Niels Martin (CEMEA) insiste sur le volet social des travaux du Comité, en soulignant l importance d étudier à quelles conditions les jeunes qui souhaitent aller en montagne l hiver pourraient effectivement y aller.

4 Gilles Chappaz (GTA) souligne qu il lui semble plus intéressant de mettre en valeur les passerelles existantes et à créer entre le tourisme d été et d hiver, plutôt que d opposer systématiquement ces deux formes de tourisme qui concernent le même territoire. Christiane Maurin (région PACA) souligne que cette nouvelle mouture du Livre blanc constitue une opportunité pour enrichir la réflexion. 6 Enquête sur les pratiques d itinérance Francis Gaillard (ministère des Sports) présente les perspectives de prolongement de l étude pilotée en 2009 par la GTA, en partenariat avec le SNAM, la FFRando et la FFCAM, et menée par Versant Sud et Altimax. Il s agirait de l étendre à d autres interlocuteurs sur l ensemble des pratiques itinérantes non motorisées. Le ministère des Sports travaille beaucoup sur l offre, mais il a besoin d approfondir ses connaissances sur les pratiques et les pratiquants en s intéressant à la demande, ce qui constituerait le corps de cette étude dont l objectif secondaire est aussi d amorcer la mise en place d un observatoire des pratiques et des pratiquants, toutes activités de nature confondues. 7 Présentation Oxymania Marion Vaillaut présente la structure et le projet : Structure : Travelmania est une SARL du groupe Altiplano, créée par un regroupement de caristes, dont le cœur de compétence réside dans l activité «tour opérateur» et agence de voyage sur du court séjour à thème via des transports en bus. Sa marque phare est Skimania. Projet : l activité principale est générée par Skimania. Son principe et son volume : personnes/an partent en court séjour ou à la journée de Lyon et ses environs en bus pour aller en station de ski : au même prix que le forfait en station, ils bénéficient du transport, de l encadrement éventuel (accueil et logistique) et du forfait. Il s agit d abord de répondre à la demande des comités d entreprise et de compléter les bus avec des individuels. Les partenaires historiques sont les autocaristes. L idée d Oxymania est d étendre ce principe à l été. Or sur l été, les comités d entreprise n arrivent pas à regrouper 50 personnes pour remplir un bus. Il s agit donc de compléter ce volume avec des individuels. Au lancement d Oxymania en 2010, il s agissait seulement de proposer les activités sur place sans les transports (uniquement rendre visible des offres journée et week end en Rhône Alpes via le site internet). Ce dispositif n a pas fonctionné, notamment du fait de l absence de la valeur ajoutée apportée par le transport. La déclinaison envisagée pour 2011 consiste en un forfait «bus + petit déjeuner + activités sur place + encadrement». Les activités proposées sont surtout celles offertes par les offices de tourisme des stations (VTT, déval kart, parapente, quad, luge d été, etc.). La communication : o Un site internet dédié avec un accès spécial CE, une agence Oxymania en centre ville de Lyon, des newsletters envoyées régulièrement aux CE + individuels, fabrication d affiches et de flyers pour opérations de tractage, opérations de tractage sous des formes originales, présence dans les réseaux sociaux (Facebook, Twitter). Le tout pour un budget alloué de 2000.

5 Les difficultés rencontrées : o beaucoup d activités proposées la semaine et pas le week end (contradictoire avec leur proposition de départ : court séjour/journée les week ends) o peu de stations relativement proches de Lyon (durée du transport) o manque d offres globales multi activités sur une station. Chaque prestataire a sa façon de fonctionner et Oxymania peine à dialoguer avec cette multitude d interlocuteurs o problème des différentes activités réparties sur un périmètre important (plusieurs stations villages) o conditions de réservation : la majorité des prestataires demandent 15 j à l avance combien y aura t il d inscrits et un paiement à 80 % d acompte 15 j avant o prix : autant sur l hiver, il est possible de négocier de manière significative le prix du forfait, autant les activités d été sont chères (VTT, parapente, quad). Roger Foucault (FFACM) demande le coût moyen d une sortie? Réponse : /j pour l été contre 43 /j pour l hiver. Pour l été 2011, le site vient d être mis en ligne. On s attend à ce que cela fonctionne avec les comités d entreprise ; pour les individuels et les mini groupes, la saison permettra de savoir si ce type d offre peut séduire. Les participants au comité réagissent aux propositions d activité : beaucoup souhaitent proposer des activités plus directement en phase avec le milieu et plus à même de diffuser une culture «montagne». Christiane Maurin (région PACA) demande pourquoi le travail de conception de l offre n est mené qu avec les stations? M. Vaillaut indique que deux études ont été menées pour savoir quelles activités intéressaient le plus. La randonnée ressort très peu de ces travaux. Seules les stations proposent de manière concentrée dans l espace une profusion d activités ludiques réalisables sur un créneau court (environ 2 h). Roger Foucault (FFCAM) indique que des clubs de sa fédération affrètent des bus pour les randonnées de ses adhérents. Une synergie pourrait être envisagée pour emmener des personnes en refuges. Roger Pelletier (FFRando) précise le fonctionnement des sorties organisées par les CDRP avec déplacements en bus. Oxymania pourrait aider la FFRando à «rajeunir» son public. Eric David (SNAM) avance la possibilité de proposer des nuits en refuge (comporte une part de rêve, de mythe). Mais Marion Vaillaut explique que peu de refuges ont des offres d activités et de service adaptés à des groupes de 50 personnes. E. David propose également de monter des produits «bivouac jeunes» en passant par les membres du Comité pour proposer la prestation. Il semble possible que les professionnels de la montagne proposent des packages. Gilles Chappaz (GTA) demande de préciser le public sur lequel a été basé la conception des offres car il pense qu elles ne répondent pas à la réalité de la fréquentation de la montagne estivale, essentiellement hors stations même pour les jeunes. M. Vaillaut répond qu il s agit d abord du public de Skimania mais qu il est question de l élargir. Romain Allard (Savoie Mont Blanc) demande de combien d activités par jour Oxymania a besoin et sur quelle durée? Réponse : 3 ou 4, sachant que le groupe peut être divisé sur plusieurs activités différentes (tout le monde n est pas obligé de pratiquer les mêmes activités). R. Allard indique pouvoir fournir des noms d agences susceptibles de proposer une offre multi activités.

6 Christine Tissot (Rhône Alpes Tourisme) demande comment se passe la cohabitation entre les différents publics l été? Une réflexion spécifique «jeunes» est elle menée? Réponse : pas de réflexion spécifique. Ce sont les propositions d activité qui ciblent, de fait, les publics. Niels Martin (CEMEA) souligne que, si le ski se suffit à lui même en hiver, il faudrait proposer, de même, une activité spécifique par week end de manière à permettre une progression dans l activité (escalade, eaux vives, etc.). Pour lui, il faut éviter le «piège» de la multi activité qui n encourage pas les personnes à revenir. Réponse : en phase de lancement, Oxymania développe d abord des produits à la journée répondant aux attentes du plus grand nombre. Il y a ensuite des possibilités d évolution. Nils Ginestou (région PACA) indique son intérêt à connaître les résultats de l été pour mieux comprendre les attentes de cette clientèle. Francis Gaillard (ministère des Sports, CREPS) demande la répartition de la clientèle par tranches d âges entre hiver et été. Réponse : sur l hiver, principalement des ans (étudiants, promotion par les BDE, individuel), des familles. Comment fonctionner l été alors que ce public n est pas à la faculté? Eric David et Gilles Chappaz insistent sur la possibilité, via les membres du comité «jeunes et montagne», de traiter avec des territoires (qui ont des réseaux de prestataires qui pourraient s organiser pour réunir les conditions et accueillir ces groupes) plutôt que de se restreindre aux stations. En conclusion, Guy Chaumereuil prend date pour discuter de la manière dont l été se sera déroulé pour Oxymania et pour tester des propositions des membres du comité jeunes et montagne. 8 Présentation des écoles de Sport et d Aventure de la FFCAM Roger Foucault et Henri Luc Rillh (FFCAM) présentent le dispositif : la Fédération a débuté la démarche en créant une commission nationale «jeunes» afin de mieux communiquer en direction de ce public, proposer et coordonner des activités adaptées. En 2011, le dispositif a bénéficié à quelque 5500 jeunes pour un budget global de 1,5 million. Objectif : il s agit, lorsqu un jeune pousse la porte du CAF pour pratiquer une activité, de lui offrir un sas qui lui permette de découvrir la montagne comme milieu et pas seulement à travers l activité qui l intéresse de prime abord. Fonctionnement : les écoles de Sport et d Aventure sont un label (l appellation Ecole Française d Aventure a été déposée à l INPI) donné aux clubs qui s engagent dans la démarche. Pour les écoles d aventure, les clubs proposent un programme d activités varié, dans 8 milieux différents, tout en tenant compte des attentes des jeunes inscrits. Les activités peuvent être complétées par un stage en immersion (camp d une semaine environ avec des jeunes du même âge). L encadrement provient, en fonction du niveau de technicité, de cadres fédéraux ou de professionnels. Le dispositif propose une continuité avec «l activité sport en famille» qui s arrête vers les 12 ans des jeunes. Les écoles de Sport concernent les milieux «aseptisés» (notamment les écoles de ski alpin et de fond, les écoles d escalade). On compte 103 écoles d escalade et 10 écoles de ski. Les écoles de Sport sont ouvertes aux enfants de 6 à 18 ans.

7 Les écoles d Aventure concernent le terrain d aventure et les milieux non «aseptisés». On en compte 59. Elles sont généralement ouvertes aux jeunes de 12 à 18 ans. Des livrets sont proposée aux jeunes : livret escalade ou livret aventure pour accompagner les jeunes, de leur initiation jusqu au haut niveau. Il permet d inscrire toutes les acquisitions de compétences opérées tout au long des activités. Il permet éventuellement une VAE (validation des acquis de l expérience) pour l obtention d un BE (brevet d Etat). Le coût pour les jeunes : coût de l adhésion plus coût des sorties et camps (environ 50% pris en charge par le club). Les écoles de Sport et d Aventure concernent à 65% des enfants de parents non cafistes. Christine Tissot demande quelles sont les pratiques de montagne des jeunes hors SAE (structure artificielle d escalade)? Réponse : l objectif est d amener les jeunes à la «vraie» montagne. Une sortie en refuge peut être prévue en fin de cycle. L objectif de rajeunir la Fédération fonctionne puisque ces écoles connaissent une progression de leur membres de 3% / an tandis que les effectifs globaux diminuent. De ce fait l âge moyen des participants est de plus en plus jeune. Si l idée, au niveau de la région alpine, concerne l enjeu du passage de la logique «escalade», pour les écoles d escalade, à la logique «montagne», au niveau national, il s agit plutôt d apprendre à se gérer dans un milieu «sauvage». La question de la relation avec les services sociaux est posée par plusieurs participants. Il est répondu que plusieurs clubs ont noué des partenariats de ce type (Bourg en Bresse, Chambéry). L idée suivie par la Fédération consiste à aller chercher des adhérents plutôt que d attendre qu ils viennent par eux mêmes. En parallèle, la Fédération s investit sur d autres axes : tarif préférentiel dans les refuges pour les sorties scolaires, partenariat avec le Conseil général de Savoie pour l opération «Ton collège à la montagne» Ce qui freine : De nombreux clubs ne sont pas encore engagés dans la démarche. L état d esprit change lentement dans certains clubs. Les clubs qui ont embauché un permanent semblent plus performants. Les réglementations restrictives en matière d APN, d accueil de mineurs, de bivouac. Les incitations : l obtention du label permet de prétendre à des financements fédéraux. Avant de lever la séance, les participants conviennent du bon format de ces réunions (une bonne demi journée). Nous travaillons déjà au programme de la prochaine réunion de septembre dont la date vous sera indiquée ultérieurement. GTA, Grenoble, le 18 mai 2011.