La biosécurité à la ferme : ça vaut la peine d y travailler

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1 La biosécurité à la ferme : ça vaut la peine d y travailler La présence de maladies dans les troupeaux laitiers implique des coûts importants à la ferme. Mais à combien peut-on estimer ces pertes? Par MARTINE LABONTÉ, directrice adjointe, Recherche économique, FPLQ et GENEVIÈVE CÔTÉ, médecin vétérinaire, Direction de la santé animale et de l inspection des viandes, MAPAQ Les troupeaux laitiers sont aux prises avec certaines maladies infectieuses qui ont des impacts sur leurs performances technico-économiques. Ces maladies se propagent à l intérieur des troupeaux, mais également de troupeau en troupeau. L une des sources principales de contamination est l introduction de nouveaux sujets. Les principaux intervenants en santé animale du Québec ont déterminé une liste de ces maladies préoccupantes pour lesquelles des mesures de contrôle, lors de l introduction d animaux dans un troupeau laitier, sont recommandées. Ces maladies ont une incidence économique à la ferme qui varie selon le type de bactérie ou de virus et la prévalence (proportion des animaux infectés) observés dans le troupeau. Les principaux impacts de ces maladies impliquent des réductions en production laitière, des avortements, des mortalités, la réforme hâtive, des pertes en performances reproductives et des coûts en traitements et soins. PHOTOS : MARIO BEAUREGARD MAMMITE CONTAGIEUSE La mammite est la maladie la plus coûteuse et la plus répandue dans le cheptel laitier québécois. Différents types de bactéries pathogènes sont responsables de ces infections, dont Staphylococcus aureus, Streptococcus dysgalactiae, et plus rarement Mycoplasma bovis. Une estimation des coûts associés aux infections cliniques réalisée par le centre hollandais de la santé du pis (et bientôt disponible sur le site du Réseau canadien de recherche sur la mammite bovine reseau_mammite/fr/index.php) révélait que les pertes se chiffrent à environ $ CA par cas clinique. Les résultats d une étude danoise visant à déterminer l impact économique, cette fois sur la base des différentes bactéries NOVEMBRE 2010 LE PRODUCTEUR DE LAIT QUÉBÉCOIS 29

2 TABLEAU 1 ESTIMATION DES COÛTS PAR CAS ET PAR BACTÉRIE PATHOGÈNE BACTÉRIES Staphylococcus aureus Staphylocoques à coagulase négative Escherichia coli Streptococcus dysgalactiae Streptococcus uberis COÛTS PAR CAS 879 $ CA 586 $ CA 318 $ CA 230 $ CA 230 $ CA Source : Sorensen, Mark et Ostergaard Sorensen, associées à la mammite clinique, sont présentés dans le tableau 1. Par ailleurs, le comptage leucocytaire élevé implique une diminution de la production de lait. Ainsi, on estime qu avec un troupeau dont le comptage se situe à CS/ml, mais qui descend à CS/ml, on pourrait récupérer environ 150 $ par vache. La mammite et le comptage leucocytaire élevé sont également deux raisons majeures de réforme hâtive des animaux, totalisant 4,21 % du taux de réforme (Valacta, L effet Valacta, 2009, p. 50). Pour un troupeau de 60 vaches, avec des paramètres comparables à la moyenne canadienne, on estime la perte à plus de $ annuellement. Il est 30 NOVEMBRE 2010 LE PRODUCTEUR DE LAIT QUÉBÉCOIS

3 Comment détecter la mammite lors d un achat? Comptage leucocytaire du troupeau et du sujet acheté Antécédents du troupeau Test CMT Tests en laboratoire: culture bactériologique ou PCR sur le lait toutefois important de rappeler que les coûts associés à la mammite ne sont pas complètement récupérables. Le potentiel de réduction est toutefois bien présent et se chiffre à environ 200 $-250 $ par année, par vache, soit entre $ et $ pour une entreprise de 60 vaches (Jérôme Carrier, Le producteur de lait québécois, novembre 2009). Les risques de propagation élevés lors de la traite et le peu de traitements disponibles pour les infections chroniques sont deux arguments supplémentaires. Travailler à la prévention de la mammite: c est assurément gagnant! DIARRHÉE VIRALE BOVINE (BVD) Un épisode de diarrhée virale bovine a plusieurs impacts sur les performances du troupeau, notamment sur la production de lait, les performances reproductives, la croissance, l efficacité du système immunitaire, la réforme prématurée et la mortalité chez les sujets de remplacement. Les pertes associées à la présence de cette maladie sont élevées en raison de sa propagation rapide. Une enquête de prévalence, réalisée au Québec en 2003, révélait que 3 % des troupeaux laitiers québécois hébergeraient des animaux immunotolérants (animaux porteurs et excréteurs à vie du virus de la diarrhée virale bovine). Au niveau des impacts sur la production laitière, Dohoo (2007) a observé une réduction de la production par vache de 368 kg de lait sur 305 jours en lait chez les troupeaux infectés. Sur la base des recherches de Dohoo (2007) et Chi (2002) et en utilisant des paramètres correspondant à la réalité québécoise, on estime des pertes de 150 $ par sujet, par an, incluant les traitements associés à la maladie. Pour une entreprise de 60 vaches, on observe une prévalence oscillant entre 5 % et 25 % lors d un épisode aigu de la maladie, représentant des pertes de 450 $ à $ par an. NOVEMBRE 2010 LE PRODUCTEUR DE LAIT QUÉBÉCOIS 31

4 PARATUBERCULOSE La paratuberculose est caractérisée par une longue période d incubation, ce qui fait en sorte que les animaux porteurs peuvent excréter et transmettre la bactérie sans que des signes cliniques soient observés. Cette maladie est souvent difficile à diagnostiquer chez les jeunes sujets, même à l aide de tests et il n existe pas de traitement pour la guérir. Au Québec, une enquête a révélé que 41,7 % des troupeaux avait au moins un sujet séropositif. Selon Chi (2002), les pertes économiques associées à cette maladie sont principalement liées à la réforme prématurée des sujets, avec un taux de réforme majoré de 20 % pour les sujets séropositifs, et les performances reproductives sont affectées par une augmentation des jours ouverts de 28 jours. Au niveau de la production, selon Dohoo (2007), des pertes significatives se manifestent au cours de la quatrième lactation avec une réduction de 212 kg chez les sujets séropositifs. Il en résulte des pertes de 619 $ pour un troupeau de 60 vaches avec une faible prévalence (2,4 %) et de $ pour un troupeau avec une prévalence élevée (12,7 %). Les pertes associées à cette maladie sont possiblement sous-évaluées puisqu elle est difficilement détectable. Ainsi, il arrive fréquemment qu un animal infecté présente un résultat négatif. Pour cette raison, il est préférable d obtenir des informations sur l historique du troupeau d origine. Il est recommandé de demander à l éleveur s il participe au Programme volontaire de prévention et de contrôle de la mammite au Québec et, le cas échéant, de consulter l attestation de participation qui est remise pour les troupeaux considérés à faible risque, dans le cadre de ce programme. NÉOSPOROSE La néosporose est l une des principales causes d avortement chez les vaches laitières. Il n existe pas de traitement pour guérir cette maladie. Une étude québécoise réalisée en 1998 révélait que 73 % des troupeaux témoins avait au moins un sujet séropositif (Paré, Fecteau et coll., 1998). La prévalence intra-troupeau était de 7,5 %. La hausse du taux d avortement implique des coûts pour les troupeaux infectés et les risques d avortement augmentent de deux à trois fois chez les sujets séropositifs (Haddad, 2005). Le taux d avortement d un troupeau de bovins laitiers moyen se situant à 4 %, une augmentation de 2,5 fois engendre une hausse de 10 % du taux d avortement. Les conclusions des études visant à évaluer l effet de cette maladie sur la production de lait diffèrent. Dans notre estimation, nous retiendrons des pertes de 158 kg en lait pour les primipares (Dohoo, 2007). En utilisant les paramètres québécois moyens et sur la base des informations concernant les réductions de performances, on observe des pertes de près de 600 $, selon une prévalence de 7,5 % et de $, selon une prévalence de 24 %. LEUCOSE La leucose bovine enzootique est une maladie virale importante des bovins pour laquelle il n existe pas de traitement. Elle se manifeste sous la forme d un cancer qui touche les tissus lymphoïdes. Les principaux coûts associés à cette maladie sont reliés à la mortalité des sujets atteints du cancer et aux coûts vétérinaires. Une enquête de prévalence réalisée au Québec en 2003 révélait que 74,1 % des troupeaux québécois comptaient au moins une vache séropositive au virus de la leucose bovine. Sur l ensemble du cheptel laitier, la prévalence estimée était de 29,5 %. On peut en déduire que cette maladie touche une proportion élevée de sujets. Toutefois, selon certaines observations, seule une proportion d environ 1 % à 2 % des sujets séropositifs développe des tumeurs (Pelzer, 1997). Sur la base de ces observations, on estime les coûts associés à cette maladie par troupeau à 576 $ pour une prévalence de 29,5 %, correspondant à la prévalence observée au Québec. Les coûts associés à la présence de cette maladie sont peu élevés, mais ils demeurent importants économiquement surtout pour les producteurs qui élèvent des sujets pour la revente. SALMONELLOSE La salmonellose est une maladie causée par une bactérie. Elle provoque de la diarrhée, de la fièvre, de l anorexie, des avortements, allant parfois jusqu à la mortalité du sujet infecté. Cette maladie est une zoonose, c està-dire qu elle est transmissible à l humain. La prévalence varie de façon importante selon les études réalisées. En Ontario (McEwen et coll., 1988), une analyse des réservoirs a démontré que 2,9 % des troupeaux étaient infectés et en Alberta (Sorensen, 2003), une analyse des fèces a démontré que 0,67 % des animaux étaient infectés. Cette maladie est surtout importante de par son impact sur la santé publique. Peu d études documentent, cependant, l impact de la salmonellose sur les performances technicoéconomiques du troupeau. En termes de production laitière, McEwen (1988) a révélé qu il n y avait pas de différence significative entre les troupeaux infectés et sains. Selon une étude hollandaise, il semblerait toutefois que le taux de mortalité est deux fois plus élevé chez les veaux de sujets infectés (Bergevoet, 2009). Sur la base de ces derniers résultats et à partir de paramètres reflétant la réalité québécoise, COMMENT DÉTECTER EFFICACEMENT CERTAINES MALADIES CIBLÉES BVD PARATUBERCULOSE NÉOSPOROSE LEUCOSE SALMONELLOSE DERMATITE DIGITALE Antécédents du troupeau X X X X X X Test sanguin X X X PCR X Examen X 32 NOVEMBRE 2010 LE PRODUCTEUR DE LAIT QUÉBÉCOIS

5 TABLEAU 2. PRÉVALENCE DE LA DERMATITE DIGITALE DANS LE CADRE D UNE ÉTUDE ONTARIENNE POURCENTAGE MOYEN POURCENTAGE DE POURCENTAGE DES DE VACHES INFECTÉES TROUPEAUX VACHES PAR TROUPEAU INFECTÉS ÉCHANTILLONNÉES INFECTÉES Stabulation entravée 9,6 69,7 9,3 Stabulation libre 24,4 92,1 22,9 on peut estimer les pertes associées à la présence de cette bactérie à 123 $ pour un troupeau de 60 vaches. DERMATITE DIGITALE Selon une étude ontarienne, la dermatite digitale (piétin d Italie) est la principale maladie des pieds et des membres observée sur les fermes laitières (Cramer et coll., 2008). Tel qu illustré dans le tableau suivant, les observations de cette maladie diffèrent de façon importante selon le type de stabulation utilisé chez les troupeaux étudiés. Il existe de nombreuses études qui analysent les effets de la boiterie sur les performances technico-économiques des troupeaux. Toutefois, peu d études portent sur la dermatite digitale en particulier et lorsque c est le cas, les variations des performances observées ne sont souvent pas significatives. Selon la diminution de la production en lait observée dans le cadre d une étude américaine (Cha, 2010), on obtient des pertes de 374 $ pour l ensemble du troupeau. Au niveau de la reproduction, on observe une augmentation de l intervalle de vêlage. Une augmentation de 20 jours, selon une étude réalisée au Mexique, a été retenue dans notre estimation (Argaez-Rodriguez, 1997). Les problèmes de boiterie sont une des causes principales de la réforme involontaire avec 9,32 % des cas (Valacta, L effet Valacta, 2009). Selon Ettema (2010), les risques de mortalité et de réforme associés à cette maladie sont respectivement augmentés de 0,14 % et de 0,16 %. Sur la base de ces détériorations des performances, les pertes associées à la dermatite digitale sont estimées à $ par entreprise, avec une prévalence de 9 %. Ces pertes correspondent à celles d une entreprise moyenne en stabulation entravée. En stabulation libre, ces pertes sont estimées à $ par an. LES OUTILS D AIDE À LA DÉCISION LORS DE L INTRODUCTION DE NOUVEAUX SUJETS SONT MAINTENANT DISPONIBLES! Des outils sont disponibles afin de vous aider à établir une stratégie visant la minimisation des risques de propagation de maladies associées à l achat de nouveaux sujets. Développés en concertation par l Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ), la Faculté de médecine vétérinaire (FMV), le ministère de l Agri - culture, des Pêcheries et de l Alimen - tation du Québec (MAPAQ), le Conseil québécois des races laitières (CQRL), Valacta et la Fédération des producteurs de lait du Québec (FPLQ), ces outils permettront aux producteurs d établir une stratégie, visant à minimiser les risques d introduction et de propagation de maladies ciblées lors de l achat de nouveaux sujets, avec la collaboration de leur médecin vétérinaire praticien à la ferme. Vous retrouverez, à cet effet, une affiche dans la présente édition du Producteur de lait québécois. Un site Internet sur le sujet sera également mis en ligne prochainement à l adresse suivante : alaferme. Une partie du financement de ce projet a été assurée par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), par l entremise du Programme canadien d adaptation agricole (PCAA). NOVEMBRE 2010 LE PRODUCTEUR DE LAIT QUÉBÉCOIS 33

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