Projet de forage exploratoire dans le bassin Scotian Résumé de la description de projet Document préparé par :

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1 Projet de forage exploratoire dans le bassin Scotian Résumé de la description de projet Document préparé par : BP Canada Energy Group ULC et Stantec Consulting Ltée

2 Table des matières ACRONYMES ET ABRÉVIATIONS... III 1.0 INTRODUCTION CONTEXTE ET OBJECTIFS DU PROJET INFORMATION SUR LE PROMOTEUR CADRE RÉGLEMENTAIRE DESCRIPTION DU PROJET EMPLACEMENT COMPOSANTES ET ACTIVITÉS DU PROJET Forage Profil sismique vertical Essais d écoulement des puits Abandon des puits Ravitaillement et entretien ÉMISSIONS, REJETS ET GESTION DES DÉCHETS Émissions atmosphériques Bruits sous-marins Déchets de forage Effluents liquides Déchets solides dangereux et non dangereux CALENDRIER DU PROJET ACCIDENTS ET INTERVENTION EN CAS D URGENCE CADRE ENVIRONNEMENTAL EMPLACEMENTS PROPOSÉS POUR LA BASE D APPROVISIONNEMENT Port d Halifax Détroit de Canso ZONE EXTRACÔTIÈRE DU PROJET Études antérieures Caractéristiques biophysiques Cadre socio-économique CONSULTATION ET PARTICIPATION PARTICIPATION DES AUTOCHTONES PARTICIPATION DES INTERVENANTS ET DE LA COMMUNAUTÉ POSSIBLES EFFETS ENVIRONNEMENTAUX DU PROJET ET CONSIDÉRATIONS RELATIVES À SA PORTÉE POSSIBLES EFFETS ENVIRONNEMENTAUX DU PROJET Activités prévues en zone terrestre Événements imprévus en zone extracôtière Événements imprévus en zone terrestre Dossier : i

3 5.2 CONSIDÉRATIONS RELATIVES À LA PORTÉE BIBLIOGRAPHIE TABLEAUX Tableau 2.1 Coordonnées des bornes de la zone du projet Tableau 2.2 Emplacements possibles de la base d approvisionnement Tableau 4.1 Premières Nations de la Nouvelle-Écosse Tableau 5.1 Possibles interactions entre l environnement et les activités courantes du projet Tableau 5.2 Possibles interactions entre l environnement et les activités liées à la base d approvisionnement en appui au projet Tableau 5.3 Possibles incidences environnementales des accidents et défaillances qui peuvent survenir durant les activités du projet Tableau 5.4 Possibles incidences environnementales des accidents et défaillances qui peuvent survenir durant les activités menées à la base d approvisionnement en appui au projet FIGURES Figure 1.1 Emplacement du projet Figure 2.1 Plateforme semi-submersible et navire de forage Figure 2.2 Séquence de forage initiale Figure 2.3 Emplacements possibles de la base d approvisionnement Figure 2.4 Calendrier préliminaire du projet Figure 3.1 Zones écologiquement fragiles à proximité du port d Halifax Figure 3.2 Zones écologiquement fragiles à proximité du détroit de Canso Figure 3.3 Zones spéciales Dossier : ii

4 ACRONYMES ET ABRÉVIATIONS AET autorisation d exécuter des travaux AFP Autorisation de forage d un puits APH Administration portuaire d Halifax BA boue aqueuse BOP bloc obturateur de puits BP BP Canada Energy Group ULC BS boue synthétique CCP Comité consultatif des pêches CO2 dioxyde de carbone COSEPAC Comité sur la situation des espèces en péril au Canada DGPS système mondial de localisation différentiel DTDE Directives sur le traitement des déchets extracôtiers EES évaluation environnementale stratégique EIE énoncé des incidences environnementales EUT étude sur les utilisations traditionnelles FMAR(A) Forces maritimes de l Atlantique GM gazole marin ha hectare km kilomètre KMK bureau de négociation Kwilmu kw Maw-klusuaqn LCEE 2012 Loi canadienne sur l évaluation environnementale (2012) LCPE Loi canadienne sur la protection de l environnement LE licence d exploration LEP Loi sur les espèces en péril m mètre MARPOL Convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires MODU unité mobile de forage en mer MPO ministère des Pêches et des Océans NCNS Native Council of Nova Scotia NRE navire d approvisionnement extracôtier MTP matériel tubulaire pétrolier NOx oxydes d azote OCNEHE Office Canada-Nouvelle-Écosse des hydrocarbures extracôtiers Dossier : iii

5 OCTNLHE ONE ONG OPANO PD po 3 PSV PUDH RCEE ROV SO2 SSE WATS ZEE ZIEB ZPH Office Canada-Terre-Neuve-et-Labrador des hydrocarbures extracôtiers Office national de l énergie organisation non gouvernementale Organisation des pêches de l Atlantique Nord-Ouest positionnement dynamique pouce cube profil sismique vertical plan d urgence en cas de déversement d hydrocarbures Registre canadien d évaluation environnementale véhicule sous-marin téléguidé dioxyde de soufre santé, sécurité et environnement vaste angle azimutal avec flûtes remorquées zone économique exclusive zone d importance écologique et biologique zone de pêche du homard Dossier : iv

6 1.0 INTRODUCTION BP Canada Energy Group ULC (BP Canada Energy Group ULC, ainsi que toutes ses sociétés affiliées désignées collectivement dans ce document sous le nom de BP) propose un programme de forage exploratoire dans la zone visée par les licences d exploration (LE) 2431, 2432, 2433 et Le projet de forage exploratoire dans le bassin Néo-Écossais (le projet) pourrait comporter jusqu à sept puits d exploration durant la période prévue par les LE. Le nombre de puits dépendra des résultats obtenus après le forage d un premier puits d exploration qui survenir en 2017, sous réserve de l approbation réglementaire. L emplacement du puits initial n est pas encore connu et ne sera déterminé qu après l analyse des données sismiques recueillies durant le programme d exploration sismique tridimensionnelle mis en œuvre par BP en Aux fins de l évaluation environnementale, on considère qu il s agit d un programme à puits multiples, sous réserve des résultats que l on aura obtenus après le forage du premier puits. Le forage exploratoire en zone extracôtière s inscrit dans la définition de «projet désigné» contenue dans la Loi canadienne sur l évaluation environnementale (2012) (LCEE 2012). Une description de projet a été présentée à l Agence canadienne d évaluation environnementale (ACEE) pour que le processus d évaluation environnementale soit lancé aux termes de la LCEE En vertu de la LCEE 2012, l ACEE se doit d afficher un résumé de la description de projet sur le site Web du Registre canadien d évaluation environnementale (RCEE) à des fins de consultation publique. Le présent sommaire fournit un aperçu de l information demandée en vertu des articles 1 à 19 du Règlement sur les renseignements à inclure dans la description d un projet désigné. 1.1 CONTEXTE ET OBJECTIFS DU PROJET Le 15 janvier 2013, l Office Canada Nouvelle-Écosse des hydrocarbures extracôtiers (OCNEHE) accordait à BP les droits d exploration liés aux LE 2431, 2432, 2433 et 2434, pour un engagement à faire des travaux d une valeur d environ 1,05 milliard de dollars. La zone visée par ces licences couvre une superficie d environ hectares (ha), dans la zone du projet située à environ 230 à 370 kilomètres au sud-est d Halifax (Figure 1.1). En 2014, après le processus d évaluation environnementale et d autorisation mené en vertu de la Loi de mise en œuvre de l Accord Canada Nouvelle-Écosse sur les hydrocarbures extracôtiers et du Canada-Nova Scotia Offshore Petroleum Resources Accord Implementation Act (Nouvelle-Écosse), BP a mené un levé sismique tridimensionnel à vaste angle azimutal, également connu sous le nom de levé sismique tridimensionnel Tangier. La collecte de données sismiques tridimensionnelles s est terminée en septembre 2014 et BP effectue actuellement l analyse des données afin de trouver des cibles de forage potentielles. Dossier :

7 Il faut procéder au forage exploratoire pour déterminer la présence, la nature et la quantité des éventuelles ressources en hydrocarbures et faire en sorte que BP remplisse ses engagements en matière de travaux d exploration, lesquels doivent être réalisés pendant la période visée par les permis de prospection. 1.2 INFORMATION SUR LE PROMOTEUR BP est l une des plus grandes compagnies pétrolières et gazières au monde. Elle est présente dans près de 80 pays et est bien établie en Europe, en Amérique du Sud et du Nord, en Australasie, en Asie et en Afrique. Elle détient une participation de 40 % dans les LE pour la zone extracôtière de la Nouvelle-Écosse et dirigera le programme d exploration. Les partenaires Hess Canada Oil and Gas ULC et Woodside Energy International (Canada) ltée détiennent respectivement une participation de 40 % et 20 % dans le projet. BP a ouvert un bureau à Halifax, en Nouvelle-Écosse, afin de superviser le projet. Des spécialistes techniques du siège social canadien à Calgary (Alberta), du siège des activités mondiales de BP au Royaume-Uni et de Houston (Texas) y viendront pour mener à bien le projet. Pour tout ce qui entoure l évaluation environnementale de ce projet, veuillez communiquer avec les personnes suivantes. Personne-ressource principale : Anita Perry Directrice régionale, Nouvelle-Écosse V.-P., communications et affaires externes pour le Canada Tél. : anita.perry@bp.com BP Canada Energy Group ULC Édifice de la CIBC 1809, rue Barrington Bureau 505 Halifax (N.-É.) B3J 3K8 Canada Autres personnes-ressources : Rob O Connor Directeur de l exploration au Canada Tél. : oconnor@bp.com Paul Sutherland Gestionnaire en environnement, exploration et nouvelles entreprises Santé, sécurité et environnement en amont Tél. : +44 (0) paul.sutherland2@uk.bp.com BP America 200 Westlake Park Boulevard Houston, Texas États-Unis BP Exploration Operating Company Limited Chertsey Road Sunbury on Thames Middlesex, TW16 7BP Royaume-Uni Dossier :

8 Figure 1.1 Emplacement du projet Dossier :

9 1.3 CADRE RÉGLEMENTAIRE Les activités pétrolières dans la zone extracôtière de la Nouvelle-Écosse sont réglementées par l OCNEHE, un organisme fédéral-provincial relevant du ministre fédéral des Ressources naturelles et du ministre provincial de l Énergie. En 1986, les gouvernements du Canada et de la Nouvelle-Écosse ont signé l Accord Canada Nouvelle-Écosse sur les ressources pétrolières offshore dans le but de maximiser les retombées sociales et économiques de l exploitation du pétrole. Les deux ordres de gouvernement ont établi des lois parallèles afin de mettre en œuvre l Accord. La Loi de mise en œuvre de l Accord Canada Nouvelle-Écosse sur les hydrocarbures extracôtiers et la Canada-Nova Scotia Offshore Petroleum Resources Accord Implementation (Nova Scotia) Act sont collectivement désignées «lois de mise en œuvre». En vertu de ces lois de mise en œuvre, l OCNEHE octroie des licences pour l exploration et la mise en valeur en zone extracôtière, la gestion et la conservation des ressources en hydrocarbures extracôtiers, la protection de l environnement ainsi que de la santé et de la sécurité des travailleurs en zone extracôtière, et il maximise les retombées industrielles et les possibilités d emploi pour les Néo-Écossais et les Canadiens en général. Les activités pétrolières en zone extracôtière et les processus décisionnels de l OCNEHE sont régis par plusieurs lois, règlements, lignes directrices et protocoles d entente. Les projets de forage exploratoire requièrent une autorisation d exécuter des travaux (AET) en vertu des lois de mise en œuvre. Une Autorisation de forage d un puits (AFP) sera requise pour chaque puits du programme. Elle comprendra des détails concernant le programme de forage et la conception du puits. Il existe plusieurs règlements afférents aux lois de mise en œuvre qui régissent des activités précises d exploration ou de mise en valeur. Il existe aussi diverses lignes directrices, certaines ayant été produites en collaboration avec l Office Canada Terre-Neuve-et-Labrador des hydrocarbures extracôtiers (OCTNLHE) et l Office national de l énergie (ONE), qui portent sur les aspects des activités d exploration et de mise en valeur des hydrocarbures extracôtiers entourant l environnement, la santé, la sécurité et les questions économiques. Les Directives sur le traitement des déchets extracôtiers (DTDE) (ONE et coll., 2010) et les Lignes directrices sur la sélection des produits chimiques pour les activités de forage et de production sur les terres domaniales extracôtières (ONE et coll., 2009) sont particulièrement pertinentes aux fins de l évaluation environnementale du projet. Après avoir réalisé un examen préalable du projet, l Agence canadienne d évaluation environnementale (l Agence) déterminera si une prendra une décision quant à la nécessité d une évaluation environnementale du projet est requise aux termes de la LCEE 2012 une fois qu elle aura effectué un examen préalable. Le Règlement désignant les activités concrètes pris en vertu de la LCEE 2012 (modifié le 24 octobre 2013) indique les activités concrètes auxquelles s applique la LCEE Compte tenu des activités et de l emplacement du projet, celui-ci est Dossier :

10 considéré comme un «projet désigné» en vertu de l article 10 du Règlement, qui se lit comme suit : Le forage, la mise à l essai et la fermeture de puits d exploration au large des côtes faisant partie du premier programme de forage dans une zone visée par un ou plusieurs permis de prospection délivrés conformément à la Loi de mise en œuvre de l Accord atlantique Canada-Terre-Neuve-et-Labrador ou à la Loi de mise en œuvre de l Accord Canada-Nouvelle-Écosse sur les hydrocarbures extracôtiers. Les activités et composantes du projet dans la zone littorale et la zone extracôtière se dérouleront dans des eaux fédérales, qui sont en vertu de la LCEE 2012 un «territoire domanial». Comme le projet est axé sur les activités en zone extracôtière, le terme «eaux fédérales» est employé, malgré le fait que la Loi ne fait pas de distinction entre les eaux fédérales et le territoire domanial. Le projet est assujetti à diverses exigences législatives et réglementaires fédérales, y compris celles des lois suivantes : Lois de mise en œuvre Loi sur la marine marchande du Canada Loi canadienne sur l évaluation environnementale (2012) Loi canadienne sur la protection de l environnement (1999) Loi sur les pêches Loi de 1994 relative à la Convention sur les oiseaux migrateurs Loi sur les espèces en péril (LEP) Loi sur la protection de la navigation Selon la conception du projet, l examen réglementaire et l évaluation des effets environnementaux éventuels, des autorisations peuvent aussi être nécessaires en vertu de la Loi sur les pêches et de la Loi sur les espèces en péril. Un permis de manipulation d oiseaux migrateurs sera sans doute exigé par Environnement Canada afin que les oiseaux échoués sur les navires extracôtiers durant le projet puissent être secourus. BP est actuellement en voie de se procurer une base d approvisionnement terrestre nécessaire à la réalisation du projet. L un des emplacements proposés se trouve sur un territoire domanial. La section fournit plus de détails sur la base d approvisionnement, notamment en ce qui a trait à la participation éventuelle des autorités fédérales et des autorisations. Compte tenu de la portée du projet proposé, il est peu probable qu une évaluation environnementale provinciale soit requise en vertu de l Environment Act de la Nouvelle-Écosse. On ne s attend pas non plus à ce que des permis provinciaux ou municipaux soient nécessaires pour le projet, y compris pour la base d approvisionnement terrestre, qui sera établie dans un terminal maritime existant. Si une ou plusieurs nouvelles approbations sont requises pour la base d approvisionnement, c est l exploitant tiers qui devra faire les démarches pour les obtenir. Dossier :

11 Aucun financement fédéral n est accordé pour ce projet. Dossier :

12 2.0 DESCRIPTION DU PROJET 2.1 EMPLACEMENT BP propose de forer jusqu à sept puits dans la zone visée par les LE 2431, 2432, 2433 et 2434, qui s étend sur une superficie de près de km 2, de 230 à 370 km environ au sud-est d Halifax et à 48 km de la réserve de parc national de l île de Sable. L île est la zone d habitation permanente, saisonnière ou temporaire la plus près de la zone du projet, si l on fait abstraction des travailleurs vivant sur des plateformes extracôtières dans les complexes du Projet énergétique extracôtier Sable et du projet Deep Panuke. Le projet ne sera pas mené sur des territoires ayant fait l objet d une étude régionale comme décrit aux articles 73 à 77 de la LCEE 2012 et il n existe aucune désignation de zonage ni aucun plan de gestion s appliquant à la zone du projet. Les sites de forage précis ne sont pas encore connus. Ils seront établis en fonction du levé sismique tridimensionnel de Les puits éventuels seront forés dans la zone visée par les permis de prospection, comme indiqué à la figure 1.1. Le tableau 2.1 précise les coordonnées des bornes de cette zone. Tableau 2.1 Coordonnées des bornes de la zone du projet «Borne» de la zone du projet X (mètres) NAD 83 (SCRS) UTM Zone 20N Latitude (degrés, Y (mètres) minutes, secondes) Longitude (degrés, minutes, secondes) , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O , , ,000" N ,000" O Dossier :

13 Référez-vous à la section pour tous les détails sur l emplacement de la base d approvisionnement. 2.2 COMPOSANTES ET ACTIVITÉS DU PROJET Forage Le forage des puits sera effectué à l aide d une plateforme semi-submersible ou d un navire de forage, en fonction de la profondeur de l eau (de 100 m à plus de 3000 m, potentiellement). La plateforme semi-submersible sera maintenue au-dessus du site de forage par ancrage ou par positionnement dynamique (PD). Pour ancrer une plateforme semi-submersible, on utilise normalement huit points d ancrage bien étalés et comportant des câbles métalliques, des chaînes et des ancres. Les ancres sont installées selon un schéma prédéterminé par un navire extracôtier manipulateur d ancres. En mode de positionnement dynamique, la plateforme semi-submersible ou le navire de forage maintient sa position grâce à des propulseurs fixés sur la coque qui sont commandés par un système de positionnement informatisé. La figure 2.1 fournit une représentation d une plateforme semi-submersible et d un navire de forage à des fins de comparaison. Source : adapté de MMS (2000) Figure 2.1 Plateforme semi-submersible et navire de forage Avant de commencer les travaux de forage, les sites proposés font l objet d un levé normalement effectué par un véhicule sous-marin téléguidé (ROV), ce qui permet d inspecter le Dossier :

14 fond marin et de relever les dangers et les habitats sensibles (p. ex., coraux servant d habitat). Lorsque l on effectue un forage en zone extracôtière, le tube goulotte sert à déplacer les boues de forage depuis le fond marin jusqu à l unité mobile de forage en mer (MODU), à la surface. Il peut s agir d une boue aqueuse ou d une suspension synthétique d argile. Dans les deux cas, la boue est utilisée dans le forage de puits pour mieux équilibrer la pression, garder le trépan froid et éliminer les déblais du trou de forage. Les premières sections (de surface) sont généralement forées sans tube goulotte, qui sert de conduit dans lequel les boues et les déblais retournent jusqu au navire de forage, dans un système en boucle fermée. Ces sections sans tube goulotte sont forées avec une boue aqueuse (BA), les boues et déblais de forage étant rejetés sur le fond marin conformément aux DTDE (ONE et coll., 2010). La conception des puits n est pas encore terminée. En général, après le forage des premières sections, le train de tiges (assemblage de tiges de forage) est retiré et un tubage en acier est cimenté en place afin d empêcher la paroi de céder et afin de prévenir les infiltrations de boues et d autres fluides. Le tubage assure également une résistance adéquate à la pression, ce qui permet d installer un bloc obturateur de puits (BOP) et un système de tube goulotte. Le BOP consiste en un système de vannes haute pression qui, en cas d urgence ou de défaillance, empêcherait l eau et les hydrocarbures de s échapper dans l environnement (Stantec, 2014b). Une fois qu un tube goulotte est installé, les sections inférieures (trou inférieur) des puits peuvent être forées avec de la boue synthétique (BS). Le tube goulotte retourne les boues et les déblais jusqu au navire de forage dans un système en boucle fermée à des fins de traitement avant que le tout soit rejeté sur le fond marin conformément aux DTDE. De l information supplémentaire sur la gestion des résidus de forage est fournie à la section Il se peut que l on effectue un forage dévié (c.-à-d., forage d un deuxième trou, éloigné du trou de forage initial), que ce soit prévu ou non, pour réaliser les objectifs du projet. La figure 2.2 illustre la séquence de forage initiale d un puits. Dossier :

15 Figure 2.2 Séquence de forage initiale BP propose de commencer le forage en Jusqu à sept puits pourraient être forés au cours de la période visée par les permis de prospection, en fonction des résultats du forage initial. Il est prévu que 120 jours seront nécessaires pour forer chacun des puits Profil sismique vertical Une fois qu un puits est foré jusqu à la profondeur voulue (là où l on soupçonne la présence des gisements d hydrocarbures), un profil sismique vertical (PSV) est établi pour obtenir une corrélation exacte entre le temps et la profondeur. On peut ensuite examiner la corrélation entre les données sismiques (mesures de temps) et la profondeur du puits (en mètres). Pour effectuer un PSV, une source sonore acoustique est utilisée depuis le navire de forage pendant que, plusieurs capteurs étant sont à différentes profondeurs dans le trou afin de mesurer le Dossier :

16 temps de propagation du son. En général, entre trois et six sources de son de 150 à 250 po 3 chacune sont disposées à une profondeur de 5 à 10 m. En général, les profils sismiques verticaux sont réalisés rapidement; quelques jours suffisent pour chaque puits Essais d écoulement des puits Il se peut que l on procède à des essais d écoulement pour certains puits; tout dépendra des résultats de leur évaluation. Si un essai d écoulement s avère nécessaire, il sera soumis au processus d assurance de la qualité des essais d écoulement de BP, qui vise à accroître la sécurité et l efficacité de ces essais. Conformément aux pratiques courantes dans l industrie, les essais d écoulement demandent l entraînement des fluides des puits dans de l équipement temporaire se trouvant sur le navire de forage et le brûlage à la torche du gaz ou d autres hydrocarbures remontant à la surface afin que l on puisse les éliminer de façon sécuritaire. Toute activité de brûlage à la torche sera menée conformément aux normes industrielles et à la réglementation en vigueur. Les essais devraient se dérouler sur une période d un à trois mois, après les travaux de forage. Comme c est le cas pour n importe quel programme d essai d écoulement, il y aura sans doute des épisodes distincts de brûlage à la torche, ce qui pourrait comprendre les activités suivantes : Un certain nombre d épisodes d essais d écoulement principaux, comportant chacun environ 24 heures de brûlage à la torche. D autres épisodes de brûlage à la torche à des fins opérationnelles, dont le nettoyage ou la vidange de l équipement de surface. Ces épisodes devraient durer entre une et six heures chacun, et les débits devraient être faibles Abandon des puits Tous les puits forés durant le projet seront probablement bouchés et abandonnés de manière permanente une fois que l on aura terminé la collecte de données et les programmes d évaluation, conformément aux pratiques recommandées par BP et la réglementation en vigueur. Les procédures de bouchage et d abandon visent à isoler le puits en cause et à prévenir le déversement dans la mer de fluides du trou de forage. Pour boucher et abandonner un puits, on doit poser une série de bouchons de ciment et de bouchons mécaniques à l intérieur du trou de forage, notamment au-dessus de tout intervalle de formations pétrolifères, aux profondeurs appropriées dans le puits et à la surface. Il est prévu de couper le tubage sous le fond marin et la tête de puits et à le retirer avant la fin des travaux de forage; ces détails seront confirmés tout au long de la phase de planification du projet. Habituellement, un levé du fond marin est effectué pour chaque puits à l aide d un ROV pour déterminer la présence de débris. Dossier :

17 2.2.5 Approvisionnement et entretien Base d approvisionnement terrestre BP a besoin d une base d approvisionnement terrestre en appui aux travaux de forage extracôtiers du projet. Elle servira d aire d entreposage et de dépôt temporaires et sera utilisée pour charger les matériaux qui doivent être acheminés en zone extracôtière sur les navires d approvisionnement extracôtiers (NRE). C est aussi à cet endroit que les matériaux pourront être rapportés par NRE sur le continent tout au long du projet, suivant les besoins. BP s attend à ce que les NRE effectuent deux ou trois voyages par semaine entre le navire de forage et la base d approvisionnement. Les matériaux qui seront entreposés ou déposés temporairement dans la base d approvisionnement comprendront principalement ce qui suit : tête de puits, matériel tubulaire pétrolier (MTP) (p. ex., tige de forage, tubages), accessoires tubulaires (surtout des outils), matières humides et sèches en vrac, eau. Le gazole à usage maritime (GUM) requis pour la plateforme de forage et les NRE ne sera pas fourni à la base d approvisionnement terrestre, mais bien aux installations de combustibles déjà en place dans le secteur. La base d approvisionnement appartiendra ou sera louée à un tiers fournisseur de services de logistique intégrés, qui en assurera aussi l exploitation. C est ce fournisseur qui devra obtenir toute nouvelle approbation requise pour la gestion et l exploitation de la base aux fins du projet. BP a entamé le processus de sélection d un fournisseur de services de logistique intégrés et prévoit attribuer un contrat pour ces services au début du quatrième trimestre de La section 2.4 traite plus en détail des échéances du projet entourant la base d approvisionnement. Pour le processus de sélection, BP s appuie sur les options présentées au tableau 2.2 et à la figure 2.3 comme emplacements possibles de la base d approvisionnement en appui au projet. Tableau 2.2 Emplacements possibles de la base d approvisionnement Emplacement possible de la base d approvisionnement Latitude (degrés, minutes, secondes) Longitude (degrés, minutes, secondes) Terminal maritime Mulgrave (détroit de Canso) 45 36' 25,00" N 61 23' 18,00" O Terminal Woodside (port d Halifax) 44 38' 49,00" N 63 32' 53,00" O Terminaux Richmond (port d Halifax) 44 40'33.00" N 63 36' 42,00" O Dossier :

18 Dans tous les cas, on parle de terminaux déjà en place dans des milieux très développés, qui sont déjà utilisés pour des activités industrielles courantes se rapprochant de celles qui seront menées dans le cadre du projet. Enfin, une première évaluation a permis de confirmer que chaque site pouvait satisfaire aux exigences opérationnelles minimales de BP pour une base d approvisionnement éventuelle. BP amorcera une évaluation détaillée de chacun de ces emplacements dans le cadre du processus de sélection du fournisseur de services de logistique intégrés. Au cours de cette évaluation, le risque et les coûts associés à l exploitation d une base d approvisionnement à chacun de ces endroits seront quantifiés. Les principaux éléments qui seront pris en considération durant cette évaluation comprennent, entre autres, la proximité au site de forage; les infrastructures déjà en place; superficie totale du site; infrastructures environnantes (p. ex., voies d accès); accessibilité; normes relatives à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi que le coût total de l exploitation. Lorsqu un fournisseur aura été choisi et que l emplacement de la base d approvisionnement sera sélectionné, il se peut que les ajouts d infrastructures suivantes nécessaires soient ajoutées, selon l emplacement : Réservoirs de stockage de matières humides/sèches en vrac et poste de dosage des boues liquides Espace d entreposage couvert Aire d inspection des tubes (couverte) Gerbage des tubes (système d entreposage) Locaux à bureaux temporaires Éclairage. BP cherche un emplacement qui permettra de limiter les coûts en infrastructures ainsi que les risques. Deux des emplacements proposés, soit le terminal maritime Mulgrave (détroit de Canso) et le terminal Woodside (port d Halifax) sont situés sur des terrains privés (ne relevant pas de la Couronne) et ne requièrent pas d agrandissement, de travaux de génie civil majeurs, de nouveaux bâtiments permanents, de déblaiement ou de travaux dans l eau aux fins du projet. Aucune autorisation des autorités fédérales ni aucun permis accordé par ces mêmes autorités ne devraient être nécessaires. Le troisième emplacement proposé, soit celui des terminaux Richmond (port d Halifax), est le seul dépourvu de réservoirs de stockage de matières humides/sèches en vrac et d un poste de dosage des boues liquides, quoique le site ait été utilisé à des fins industrielles par le passé. Ces infrastructures seraient mises en place à l intérieur des limites actuelles du site, sur une surface préétablie. Dossier :

19 Dossier :

20 Les travaux entourant la mise en place d un poste de dosage des boues liquides demanderont plus de temps en raison de la conception, de la mobilisation et de l assemblage de l équipement requis. Les travaux de génie civil se limiteraient à l aménagement d une zone de confinement avec digue de protection, la mise en place de socles en béton assurant une résistance adéquate, l installation des réservoirs et tuyaux requis et l installation de pompes et de conduites de transfert pour acheminer les matières en vrac aux NRE. Il se peut que des travaux d excavation de la surface préétablie soient nécessaires. Ces activités concordent avec les travaux de construction industriels effectués couramment sur des terres destinées et utilisées par le passé à des fins industrielles. Les terminaux Richmond sont situés sur un territoire domanial géré par l Administration portuaire d Halifax (APH). En vertu de l article 67 de la LCEE 2012, l APH doit, en tant qu autorité fédérale, s assurer qu il n y a aucun effet environnemental important avant d agir de quelque façon que ce soit pour permettre la réalisation d un projet sur un territoire domanial qui relève de sa compétence. Par conséquent, on s attend à ce que toute modification apportée à ces terres, dans l éventualité où ce site serait sélectionné comme emplacement de la base d approvisionnement, soit examinée par l APH. Ces travaux ne devraient nécessiter aucun autre permis ni aucune autre autorisation des autorités fédérales. L emplacement précis de la base d approvisionnement sera probablement choisi au quatrième trimestre de La section 2.4 fournit des détails sur le calendrier du projet en ce qui a trait à la base d approvisionnement. Aucune zone humide ne jouxte ni n avoisine les emplacements proposés pour la base d approvisionnement. De plus, aucune réserve des Premières Nations ne se trouve à côté ou à proximité de ces emplacements. La réserve la plus proche est celle de la Première Nation de Millbrook, à environ 5 km à l est du terminal Woodside. Les zones d habitation permanentes, saisonnières ou temporaires les plus proches se situent à environ 290 m des terminaux Richmond, à 396 m du terminal Woodside et à 166 m du terminal Mulgrave. Peu importe l emplacement sélectionné pour la base d approvisionnement, les travaux feront l objet d un suivi rigoureux et ne devraient avoir aucun impact sur les oiseaux migrateurs, les poissons et leur habitat, les autres espèces aquatiques, les ressources matérielles et culturelles ayant une importance patrimoniale ou les intérêts connexes des Autochtones. Dossier :

21 Dossier :

22 Figure 2.3 Emplacements possibles de la base d approvisionnement Dossier :

23 Circulation des navires et des hélicoptères Les travaux et le navire de forage exigeront sans doute des navires et des hélicoptères pour l approvisionnement en équipement et en fournitures ainsi que pour la rotation des équipes. Les navires d approvisionnement et les hélicoptères seront probablement exploités depuis la région d Halifax, quoique cela ne soit pas encore confirmé. Des NRE seront utilisés pour approvisionner le navire de forage en carburant, en équipement, en boues de forage et autres fournitures dans le cadre du programme de forage. On s attend à avoir besoin de deux ou trois NRE, l un d entre eux demeurant en tout temps au site de forage. Les NRE devraient faire deux ou trois voyages par semaine entre le navire de forage et la base d approvisionnement. Bien que l emplacement précis de celle-ci ne soit pas encore connu, il est fort probable que la base soit établie dans le port d Halifax ou le détroit de Canso. Les itinéraires dépendront de l emplacement de la base d approvisionnement, mais on peut déjà affirmer que les NRE emprunteront les routes maritimes existantes, dans la mesure du possible. Il est prévu d effectuer environ un voyage par hélicoptère chaque jour jusqu au navire de forage afin de transporter les travailleurs et les fournitures qui n ont pas pu être transportés par le NRE. 2.3 ÉMISSIONS, REJETS ET GESTION DES DÉCHETS Dans la mesure du possible, tout sera fait pour réduire la quantité de déchets et de déversements durant le projet. Tous les déchets produits seront gérés et éliminés conformément aux exigences réglementaires et aux lignes directrices applicables. Les déchets typiques produits au cours des différentes activités du projet et la façon dont ils seront gérés sont décrits ci-dessous Émissions atmosphériques Les émissions atmosphériques prévues sont principalement liées à la combustion du carburant du navire de forage et des NRE. On doit également penser au brûlage de gaz à la torche durant la mise à l essai des puits (le cas échéant), qui sera de courte durée et produira du dioxyde de carbone (CO2), du dioxyde de soufre (SO2), des oxydes d azote (NOx) et des matières particulaires. BP agira en conformité avec le règlement sur la qualité de l air pris par la Nouvelle-Écosse en application de son Environment Act, les objectifs de qualité de l air ambiant liés à la LCPE, les règlements issus de la MARPOL et l intention du Partenariat mondial pour la réduction des gaz brûlés, qui souhaite accroître l utilisation du gaz naturel associé et ainsi réduire le brûlage de gaz à la torche ou sa dispersion dans l atmosphère Bruits sous-marins Les navires de forage, les NRE et les travaux de PSV génèrent tous des bruits sous-marins. Le Dossier :

24 niveau de bruit produit par un navire de forage varie selon le type de navire (un semi-submersible ou un bateau foreur) et selon la méthode de positionnement (positionnement dynamique ou ancrage). Les bruits sous-marins associés à un navire de forage sont constants durant un programme de forage, alors que durant les travaux de PSV, il s agit davantage d impulsions sonores de plus forte intensité émises sur une période plus courte (pouvant durer plusieurs jours, selon la méthode choisie) Déchets de forage Les premières sections (de surface) sont habituellement forées sans tube goulotte avec une BA, les boues et les déblais retournant près de la tête de puits, où ils s accumulent. Le rejet des déblais de BA sur le fond marin qui survient lors du forage des deux premières sections du trou est accepté comme une pratique courante dans l industrie et est conforme aux DTDE (ONE, et coll., 2010). Les sections plus profondes (trou inférieur) des puits peuvent être forées avec de la BS. Le tube goulotte se trouvant entre le BOP et le navire de forage sert de conduit dans lequel les boues et les déblais sont acheminés jusqu au navire de forage à des fins de traitement avant que le tout soit rejeté sur le fond marin conformément aux DTDE. Sur le navire de forage, les déblais et les boues de forage sont séparés et nettoyés à l aide d équipement de contrôle des matières solides. Les boues qui rapportent les déblais de forage passent d abord par un tamis vibrant où elles sont en grande partie séparées des déblais. Lorsque l on utilise de la BS, les déblais du tamis vibrant passent dans une unité de séchage des déblais, qui permet d en retirer la BS. La BS résiduelle sur les déblais rejetés dans la mer est traitée conformément aux DTDE (ONE et coll., 2010). On effectue la surveillance du taux de boue résiduelle sur les déblais durant le forage des sections là où la BS est utilisée. Une fois que les boues de forage sont récupérées et traitées, les déblais de forage sont rejetés hors du navire, dans le site de forage. La BA usée et excédentaire peut être rejetée hors du navire de forage sans être traitée, conformément aux DTDE (ONE et coll., 2010). Aucune BS excédentaire n est rejetée dans la mer; la BS usée qui ne peut être réutilisée durant le forage est rapportée sur le continent, puis éliminée. L étendue du dépôt des rejets de forage ne peut être prédite avec précision qu en procédant à la modélisation de la dispersion de ces rejets, ce qui sera fait dans le cadre de l évaluation environnementale. La zone de dépôt varie en fonction de la granulométrie du flux de rejets, de la profondeur d eau et des courants. Une fois le tube goulotte installé, les déblais de forage et fluides associés retournent jusqu à la MODU pour être traités. Lorsque le traitement est terminé, les déblais de forage et fluides résiduels associés sont rejetés en mer par un ponton près de la surface de l eau. L épaisseur des dépôts variera selon la profondeur et devrait être plus importante durant le forage sans tube goulotte de la section supérieure du puits, puisque les déblais de BA sont rejetés directement sur le fond marin, ce qui en limite la diffusion dans la colonne d eau. Dossier :

25 Du ciment est utilisé pour fixer les trains de tiges du tubage pendant le forage. Avant d installer l assemblage du tube goulotte (p. ex., pendant qu on effectue le forage du trou-guide et des trous de surface), le ciment excédentaire est rejeté sur le fond marin. Une fois le tube goulotte installé, le ciment usé et excédentaire est rapporté sur le continent pour qu on puisse l éliminer dans une installation approuvée. Si une mise à l essai des puits est jugée nécessaire, les fluides du trou de forage (gaz et liquides) seront gérés conformément aux pratiques courantes de l industrie et à tout règlement applicable Effluents liquides On s attend à ce que les effluents liquides suivants soient produits et gérés sur le navire de forage : Eau produite Eau de cale et de pont Eau de ballast Eaux grises/noires (usées) Eau de refroidissement Fluides de traitement de puits Eau de mise à l essai du système de protection contre le feu Les DTDE comprennent des cibles de rendement pour chacun de ces déchets, ce qui entraîne, dans certains cas, un échantillonnage et une analyse des déchets avant leur rejet en mer. Les effluents liquides qui ne répondent pas aux cibles de rendement pour le rejet en mer sont transportés jusque sur la côte pour qu on puisse les éliminer dans une installation approuvée Déchets solides dangereux et non dangereux Le projet générera également des déchets solides dangereux et non dangereux. On fera macérer les déchets de cuisine conformément aux DTDE avant de les rejeter en mer. Tous les autres déchets solides produits en zone extracôtière seront rapportés sur le continent afin qu ils soient traités et éliminés en conformité avec les règlements administratifs municipaux et la réglementation en vigueur. Les déchets non dangereux peuvent comprendre les ordures ménagères, les ferrailles, les matières recyclables et autres. Les déchets dangereux (y compris les marchandises dangereuses) peuvent comprendre les déchets huileux (filtres, chiffons, huile usée), les produits chimiques et contenants usés, les piles, les déchets biomédicaux et la BS usée. BP retiendra les services d un entrepreneur indépendant certifié en gestion des déchets qui s occupera des déchets transportés jusqu au continent et les éliminera. Les déchets dangereux seront éliminés dans des installations approuvées conformément aux règlements et aux Dossier :

26 approbations applicables. 2.4 CALENDRIER DU PROJET BP entend commencer le forage exploratoire d un premier puits en 2017, sous réserve de l approbation réglementaire. Selon les résultats fournis par le premier puits, jusqu à sept puits d exploration seront forés au cours de la période visée par les permis de prospection. On prévoit qu il faudra environ 120 jours pour forer chacun des puits. Les travaux de PSV prendront plusieurs jours pour chacun des puits et les essais d écoulement, s il y a lieu, s étaleront sur une période d un à trois mois. Une fois le forage ou les essais d écoulement terminés, les puits seront abandonnés. Un système de suspension et de rentrée peut être inclus dans la conception des puits, mais cela sera déterminé après d autres évaluations. BP a entamé en 2014 les consultations auprès des Autochtones et des intervenants concernant le projet et elle continuera ses consultations tout au long de la mise en œuvre du projet en fonction des besoins. La figure 2.4 donne un aperçu du calendrier préliminaire du projet. Une base d approvisionnement opérationnelle est habituellement requise de trois à quatre mois avant le commencement des travaux de forage extracôtiers. Cela laisse le temps de recevoir et d inspecter les matériaux pour lesquels le délai d approvisionnement est souvent long. Le reste du calendrier de mobilisation s appuiera sur la mise en place des infrastructures et le temps qu il faudra pour mobiliser des équipes expérimentées et l équipement sur les lieux. Selon BP, la mise en place des infrastructures et la mobilisation des équipes pourraient commencer dès le quatrième trimestre de 2016 si le terminal Mulgrave ou Woodside est sélectionné comme emplacement de la base d approvisionnement. Si ce sont les terminaux Richmond qui sont choisis, la mise en place des infrastructures pourrait commencer dès le troisième trimestre de Dans un tel cas, les travaux de conception commenceraient au début de l année Le délai additionnel auquel on s attend pour les terminaux Richmond est lié directement à la conception, à l acquisition et à la mise en place des réservoirs de stockage de matières humides ou sèches en vrac et du poste de dosage des boues liquides. Quel que soit l emplacement de la base d approvisionnement, le fournisseur de services de logistique intégrés de BP occupera les lieux jusqu à ce que tous les travaux de forage extracôtiers soient achevés et que le matériel de forage associé au projet soit retiré ou vendu. Le cas échéant, BP retirerait ou vendrait aussi tout poste ou tout équipement liés au projet. Elle s attend à ce que des activités ou des travaux similaires soient menés dans la région à peu près au même moment que le projet. BP espère pouvoir saisir les occasions de synergie avec ces activités ou travaux, car cela éliminerait sans doute le besoin de désaffecter ou de retirer tout nouveau poste ou l équipement sur place. Soulignons que les postes de dosage des boues liquides et les réservoirs de stockage de matières en vrac déjà en place au terminal Woodside Dossier :

27 ou Mulgrave ne seraient pas désaffectés après le projet T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 Puits sélection, conception et planification Mobilisation des intervenants et des Autochtones Attribution de permis Préparation logistique Mise en place des infrastructures à la base d approvisionnement et mobilisation de l'équipe/équipement Forage d exploration Évaluation des résultats du programme de forage Mise à l essai (sous réserve de l évaluation) Abandon 1 2 Travaux supplémentaires éventuels de forage d exploration (sous réserve des résultats fournis par le premier puits) 1) Abandon s il n y a pas de mise à l essai 2) Abandon s il y a une mise à l essai Figure 2.4 Calendrier préliminaire du projet 2.5 ACCIDENTS ET INTERVENTION EN CAS D URGENCE Avant de forer un puits, on doit évaluer l étendue des déversements potentiels, en passant du déversement le moins important au pire scénario possible. Ces scénarios sont ensuite utilisés dans la modélisation des déversements d hydrocarbures, sur laquelle on s appuie pour prévoir des mesures d intervention efficaces en cas de déversement. Parmi les accidents pouvant se produire pendant le forage exploratoire, mentionnons les éruptions (parfois connues sous leur nom anglais blowout, soit le rejet non maîtrisé d hydrocarbures pendant le forage), les déversements ponctuels (p. ex., diesel, boues de forage) et les déversements par des navires. Des mesures de prévention, y compris l équipement, les politiques et les procédures de prévention des déversements, des pratiques exemplaires de gestion et des activités d inspection et d entretien devront être mises en place afin de réduire les risques de déversement et la gravité d un tel événement s il devait survenir. La préparation et l intervention en cas de déversement d hydrocarbures seront gérées grâce à un plan d urgence en cas de déversement d hydrocarbures (PUDH), conformément aux pratiques internes de BP et aux exigences légales et réglementaires applicables. Le PUDH sera soumis à l OCNEHE dans le cadre de la demande d AET. L EIE comprendra une modélisation de prévision des déversements qui aidera à évaluer le risque d effets environnementaux négatifs associés au projet. Il fournira également un aperçu de l état de préparation et la capacité d intervention de BP en cas de déversement d hydrocarbures, ce qui comprendra diverses mesures d intervention, comme le confinement et la récupération en Dossier :

28 zone extracôtière, la protection des rives et la gestion des espèces fauniques souillées par les hydrocarbures. Dossier :

29 3.0 CADRE ENVIRONNEMENTAL 3.1 EMPLACEMENTS PROPOSÉS POUR LA BASE D APPROVISIONNEMENT Deux emplacements proposés pour la base d approvisionnement, soit les terminaux Richmond et le terminal Woodside, sont situés dans le port d Halifax, alors que le troisième emplacement (terminal Mulgrave) se trouve dans le détroit de Canso. Un aperçu du cadre biophysique des zones littorales et côtières pertinentes est fourni ci-dessous Port d Halifax Le port d Halifax est une grande baie de l océan Atlantique Nord, ceinturée par la ville d Halifax. Administré par l APH, le port d Halifax comprend des terminaux de navires de charge de même que des installations de manutention de marchandises vrac, un terminal de roulage à haut volume, des quais pétroliers, des installations ferroviaires et des terminaux de traversiers. Le port s allonge vers l intérieur sur plus de 22 km vers le nord-ouest; sa largeur approximative varie de 385 m dans le chenal «The Narrows» à m dans le bassin de Bedford et sa profondeur varie de 20 à 30 m, bien qu elle atteigne 70 m dans le bassin de Bedford (Shell et Stantec, 2013). La côte, la zone intertidale et le fond marin du port d Halifax présentent une grande variété d éléments anthropiques qui relèvent de l industrialisation du port, qui est intense à proximité des deux emplacements du port d Halifax proposés pour la base d approvisionnement, où le taux d activité industrielle maritime est élevé (Shell et Stantec, 2013). Aucun des deux emplacements à l étude dans le port d Halifax pour accueillir la base d approvisionnement ne comporte de zone intertidale naturelle, puisque le littoral de chaque emplacement fut comblé pour répondre aux fins des activités actuelles. Il n existe pas de zones humides, de refuges d oiseaux migrateurs, de réserves nationales de faune ni de zones de protection marine. Compte tenu de cette perturbation antérieure, on croit que la probabilité qu il y ait des ressources patrimoniales, historiques ou archéologiques intactes à proximité des emplacements proposés est également faible (Shell et Stantec, 2013). Par contre, comme le montre la figure 3.1, le port d Halifax et ses environs comportent certaines caractéristiques côtières et littorales reconnues à l échelle nationale, provinciale ou municipale en raison de leur valeur culturelle, récréative ou écologique (Shell et Stantec, 2013). Quarante-trois espèces d oiseaux migrateurs ont été observées dans le port d Halifax et à proximité, y compris le pluvier siffleur (Charadrius melodus), une espèce en voie de disparition inscrite à l annexe 1 de la LEP, et la paruline du Canada (Wilsonia canadensis), qui est inscrite comme espèce menacée à l annexe 1 de la LEP (Shell et Stantec, 2013). Le port d Halifax et ses approches se trouvent également dans l aire de répartition du garrot d Islande (Bucephala islandica) et de l arlequin plongeur (Histrionicus histrionicus), deux espèces qui figurent comme Dossier :

30 espèces préoccupantes inscrites à l annexe 1 de la LEP (Environnement Canada, 2015). Dossier :

31 Figure 3.1 Zones écologiquement fragiles à proximité du port d Halifax Dossier :

32 Le port d Halifax se trouve dans l aire de répartition du rorqual bleu (Balaenoptera musculus) et de la baleine noire de l Atlantique Nord (Eubalaena glacialis), deux espèces inscrites comme en voie de disparition à l annexe 1 de la LEP (Environnement Canada, 2015). Cependant, il est peu probable que ces espèces soient présentes dans le port. On sait toutefois que le marsouin commun (Phocoena phocoena), inscrit comme une espèce préoccupante à l annexe 2 de la LEP, fréquente les eaux du port d Halifax (Shell et Stantec, 2013). Un grand nombre de phoques communs (Phoca vitulina) ont été observés dans le port d Halifax, ainsi que le phoque gris (Halichoerus grypus) à l occasion (Brodie, 2000). Au moins 69 espèces ont été observées dans l habitat marin littoral de la Nouvelle-Écosse, dans toute sa profondeur (40 m) (Shell et Stantec, 2013). Bon nombre d entre elles seraient considérées comme des espèces des pêches commerciales, récréatives ou autochtones. Le port d Halifax se situe dans la zone unitaire de pêche 4Wk de l Organisation des pêches de l Atlantique-Ouest (OPANO). Les pêches commerciales comprennent une petite pêche, au large de l île McNabs, de poissons de fond (morue, aiglefin, goberge et flétan) et pélagiques (hareng et maquereau). Ailleurs dans le port, notamment dans le bassin de Bedford, on y trouve la pêche de poisson-appât (goberge, hareng, maquereau et éperlan) pour les besoins de la pêche à l appât commerciale et récréative (Rozee, 2000). Les pêches commerciales et récréatives de palourdes et de moules sont interdites en raison des taux de coliformes fécaux présents dans le port. On pratique la pêche de fond à des fins récréatives juste à l extérieur du port, mais ce type de pêche n est pas courant dans le port en soi. Le homard est la principale espèce commerciale récoltée dans le port d Halifax. Entre 15 et 20 pêcheurs de homard utilisent les eaux du port (Shell et Stantec, 2013) et la majorité d entre eux posent des nasses (250 nasses). Le port est compris dans les limites de la zone de pêche du homard (ZPH) 33, qui s étend de Cole Harbour à Yarmouth; toutefois, la majorité des activités de pêche au homard se font autour de l île McNabs (Shell et Stantec, 2013). En plus des pêches commerciales de homard, des permis de pêche pour la ZPH 33 ont été accordés aux Autochtones pour leurs besoins communautaires alimentaires, sociaux et rituels, bien que l on ignore si des activités de pêche sont menées en vertu de ces permis dans le port d Halifax Détroit de Canso Le détroit de Canso est un long et étroit passage qui sépare la Nouvelle-Écosse continentale de l île du Cap-Breton. Après la construction de la levée de Canso en 1955, le détroit de Canso est devenu une passe de marée ayant un écoulement limité vers le détroit de Northumberland. L extrémité sud du détroit de Canso est caractérisée principalement par un manque d apport en eau douce, une longueur considérable, une largeur limitée et des eaux relativement profondes (Shell et Stantec, 2013). Dossier :

33 À mi-chemin environ le long du détroit de Canso se trouvent les villes de Mulgrave et Port Hawkesbury. Ces deux collectivités abritent des installations maritimes actives formant le port du détroit de Canso (c.-à-d., le terminal maritime Mulgrave et le quai de Port Hawkesbury, respectivement) (Shell et Stantec, 2013). La côte, la zone intertidale et le fond marin du détroit de Canso au terminal maritime Mulgrave affichent actuellement une grande activité industrielle maritime (p. ex., chargement et déchargement des navires, manutention de conteneurs, entreposage et dépôt, transport par camion). L emplacement à l étude pour accueillir la base d approvisionnement ne comporte pas de zone intertidale naturelle, puisque le littoral a été précédemment comblé. Il n y a donc pas de zones humides, de refuges d oiseaux migrateurs, de réserves nationales de faune ni de zones de protection marine dans le secteur (Shell et Stantec, 2013). On croit que la probabilité qu il y ait des ressources patrimoniales, historiques ou archéologiques intactes à proximité du terminal maritime Mulgrave est également faible (Shell et Stantec, 2013). Par contre, le détroit de Canso et ses environs comportent certaines caractéristiques côtières et littorales reconnues à l échelle nationale, provinciale ou municipale en raison de leur valeur culturelle, récréative ou écologique (voir la figure 3.2) (Shell et Stantec, 2013). Quarante-deux espèces d oiseaux migrateurs ont été observées dans le détroit de Canso et à proximité. L océanite cul-blanc (Oceanodroma leucorhoa) est la seule espèce d oiseau marin pélagique (c.-à-d., espèce habituellement non observée depuis la terre et qui retourne dans les eaux côtières seulement pour se reproduire) connue pour nicher près du détroit de Canso (Shell et Stantec, 2013). Il existe un habitat connu de l arlequin plongeur le long du littoral sud de la baie Chedabucto. Le phoque gris et le phoque commun sont présents tout au long de l année dans les eaux de la Nouvelle-Écosse. Leur présence est assez courante dans le détroit de Canso, comme c est le cas pour le phoque à capuchon (Cystophora cristata) et le phoque du Groenland (Phoca groenlandica), qui fréquentent les eaux néo-écossaises de façon saisonnière (Shell et Stantec, 2013). Des rorquals communs (Balaenoptera physalus) (espèce préoccupante en vertu de l annexe 1 de la LEP) et un rorqual bleu (espèce en voie de disparition en vertu de l annexe 1 de la LEP) ont été aperçus de façon fortuite dans le détroit de Canso ou ses approches; la présence de ces animaux est toutefois considérée comme transitoire, car ils préfèrent les eaux plus profondes et n entreraient dans le détroit qu à la recherche de nourriture (Jacques Whitford, 2004). Le marsouin commun, le globicéphale noir (Globicephala melas) et le petit rorqual (Balaenoptera acutorostrata) sont plus courants dans le détroit de Canso. Dossier :

34 Au moins 69 espèces de poissons ont été observées dans l habitat marin littoral de la Nouvelle-Écosse, y compris des poissons de fond comme le flet, la morue, la raie, le lançon et le sébaste, de même que des espèces pélagiques courantes, comme le hareng et le maquereau. Les espèces de poissons anadromes dont la présence est connue dans le détroit de Canso comprennent le saumon, la truite, le gaspareau et l éperlan (Shell et Stantec, 2013). Le détroit de Canso est situé dans la zone unitaire de pêche 4Wd de l OPANO, où la pêche aux invertébrés, notamment la crevette et le crabe des neiges, est la pêche la plus productive et la plus importante sur le plan commercial (Shell et Stantec, 2013). Les prises de homards sont également considérables dans la zone 4Wd et il existe une saison de pêche exploratoire du crabe nordique dans le secteur, qui commence une semaine après la fin de la saison du homard (Shell et Stantec, 2013). Les poissons de fond pêchés comprennent surtout la morue, le flétan, la goberge, le loup de mer, le brosme, la roussette, l aiglefin, la baudroie, la plie, le sébaste, le turbot, le flet et la merluche (Shell et Stantec, 2013). Les principaux poissons pélagiques pêchés sont le hareng, le maquereau ainsi que d autres espèces pêchées à des fins commerciales, dont l alose, le thon rouge, l anguille, le requin bleu, le requin-taupe commun et l éperlan (Shell et Stantec, 2013). Dossier :

35 Figure 3.2 Zones écologiquement fragiles à proximité du détroit de Canso Dossier :

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