Le développement durable sur le grill: Info ou intox?
|
|
- Marcel Baril
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le développement durable sur le grill: Info ou intox? "Galvaudé par certaines entreprises, mis en exergue par les politiques, commenté par les universitaires et la presse, le développement durable est employé à toutes les sauces. Terme générique signifiant à la fois tout et rien, Nature en France tente de faire la synthèse de ce concept phare du 21e siècle avec deux experts de la question: Bruno Rebelle, Directeur de l'entreprise de consulting TRANSITIONS et Alain François, universitaire spécialiste de l'épistémologie du développement durable" NEF : Durable ou soutenable? B.R. «Développement durable» est une mauvaise traduction de la terminologie «sustainable development» retenue par Mme Brundtland dans son rapport «Notre Futur Commun» en La traduction littérale «développement soutenable» marque plus nettement la nécessité de contenir les ambitions de développement dans des limites physiques, sociales et écologique pour assurer la capacité de la société à satisfaire les besoins des générations futures. NEF : Libéralisme économique ou interventionnisme? B.R. L économie libérale n a jamais vraiment intégré les conséquences indirectes de la production et de la consommation des biens et services. Lorsque qu un automobilisme fait le plein de carburant, il paye le prix de l extraction du pétrole, de son raffinage, le coût de la gestion de la station service et les taxes que l état prélève ; mais ni ce prix ni ces taxes n intègrent les effets néfastes des émissions de gaz à effet de serre et les conséquences pour la santé des particules issues des carburants brûlés dans les moteurs diesels, ou les impacts souvent dramatiques de l exploitation pétrolière dans les pays en développement dont viennent souvent les produits pétroliers. Ce sont les «externalités négatives». Les prendre en compte requiert un état stratège et planificateur.
2 NEF : Inertie ou réactivité de l opinion publique pour le DD? B.R. Si le concept est aujourd hui mieux connu depuis des étapes majeurs (rapport Bruntdland en 1987, Sommet de la Terre à Rio en 1992, Grenelle de l environnement en 2007), force est de constater que les changements de pratiques des industriels et de comportements des individus peinent encore à se concrétiser. NEF : Gouvernance locale ou globale? B.R. Il faut reconnaître que les initiatives locales aussi vertueuses soient-elles ne pourront perdurer sur une planète où les grands équilibres écologiques seront dégradés. Il est indispensable d installer un cadre de régulation mondial pour imposer la prise en compte des limites écologiques et des questions d équité sociale dans la conduite du développement de toutes les sociétés dans tous les pays du monde. NEF : Conscient ou inconscient? B.R. Une lecture rigoureuse de l histoire industrielle des pays dits développés, d Europe et d Amérique du Nord, conduit à reconnaître que ces pays ont construit leur croissance sur l exploitation débridée de leurs propres ressources et sur le pillage des ressources de leurs colonies en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Dans de nombreuses filières cette exploitation du Nord par le Sud perdure. Il n est donc pas anormal que les pays du Sud, accédant à un certain niveau de développement économique, demandent un rééquilibrage de l usage des ressources. On ne peut donc condamner ces pays émergents qui cherchent à satisfaire les besoins de leur population. On peut en revanche regretter que la coopération internationale ne soit pas plus dynamique pour favoriser les échanges de technologies permettant à ces pays émergents de passer le plus vite possible à un mode développement plus propre. NEF : Sciences du présent ou sciences du futur?
3 B.R. La science et la technique ne sont pas mauvaises ou bonnes par nature. C est l usage qu en fait l homme qui importe. Il faut comprendre que la technologie a ses limites. Au delà des solutions technologiques c est aussi dans l évolution des comportements, de la considération des valeurs, de l émergence d une nouvelle philosophie de la vie qu il faut rechercher les solution de nouvelles organisations de nos sociétés. Et nous rappeler en permanence à l invitation de Umberto Ecco «Qu à tout problème complexe, il ya une solution simple et qu elle est mauvaise!» NEF : Green economy ou Green washing? B.R. On a vu effectivement de nombreuses entreprises tenter de cacher avec des efforts plus ou moins subtils de communication les composantes les plus préoccupantes de leurs pratiques (début des années 2000). Cependant, du fait de la vigilance des associations et des citoyens, les menteurs ont été vite mis à l index et de telles pratiques tendent maintenant à se raréfier. En revanche, les entreprises peinent encore à changer leurs pratiques sur le fond. Il y a encore beaucoup de marge disponible dans l amélioration des pratiques des entreprises. NEF : Pollueurs ou payeurs? B.R. Pour accélérer les changements de pratique le principe pollueurs-payeurs est un outil intéressant. L application de ce principe peut consister à faire payer l entreprise responsable de pollution. Il faut cependant que cette pénalité soit suffisamment dissuasive pour que l entreprise fasse effectivement l effort de ne pas polluer, et engage les investissements lui permettant d éviter les nuisances et les pollutions. Ce n est malheureusement pas toujours le cas. NEF : Malthus ou la décroissance? B.R. L enjeu est d organiser la production mondiale pour vivre sereinement à 9 milliards d individus sur l espace planétaire, chiffre sur lequel s accordent toutes les prévisions démographiques. Cela est
4 possible si nous cessons de gaspiller comme nous le faisons aujourd hui! Prenons par exemple les ressources alimentaires : plus de 30% des ressources agricoles et des produits alimentaires sont gaspillés chaque année. Dans les pays en développement, ces gaspillages viennent essentiellement des pertes liées aux maladies des cultures et de celles générées par les défaillances du stockage des produits agricoles. Dans les pays industrialisés, ces pertes sont surtout le fait des chaines de transformation et de distribution, mais aussi du gaspillage par les consommateurs eux mêmes. NEF : Alarmisme ou inquiétude? B.R. Il est trop tard pour s alarmer ou pur être inquiet, il faut juste passer (enfin) à l action! NEF : Fatalité ou risques? B.R. Il n y a aucune fatalité. Nous devons et nous pouvons maîtriser les technologies que nous choisissons. Et si une technologie n est pas maîtrisable, elle ne doit pas être utilisée. Au côté du principe de précaution, il faut promouvoir celui de réversibilité. La réversibilité consiste à ne promouvoir un technique qu à partir du moment où le retour à l état initial est possible. Ainsi, l installation d une ferme éolienne est entièrement réversible. Il suffit de démonter les installations et la nature reprend ses droits. Il est impossible en revanche que la nature reprenne ses droits sur le site d une centrale qui reste condamné par la radioactivité pendant des milliers d année. La même accusation d irréversibilité peut être prononcée à l encontre des semences transgéniques. Les seules technologies que nous devons promouvoir aujourd hui sont les technologies de «non regret». NEF : Culture ou éthique? B.R. Certain voient trois sphères économie / environnement / social dont l intersection représente le développement durable. Je préfère pour ma part une représentation en 4 capitaux : le capital matériel,
5 industriel et financier, le capital naturel, le capital humain (ensemble des femmes et des hommes qui constituent une organisation, qui contribuent à la mission de l entreprise ou qui vivent sur un territoire donné) et le capital sociétal, culturel et cognitif. Ce dernier ensemble constitue l identité d un groupe, ses valeurs, ses racines, ses références, ses connaissances accumulées et évolutives, ses capacités à développer des relations à l intérieur du groupe, entre les différents membres qui le composent, mais aussi vers l extérieur pour mettre en relation ce groupe avec d autres entités, d autres institutions pour ainsi positionner le groupe concerné dans l ensemble plus vaste qu on appelle société. L intégrité de chacun de ces capitaux et l équilibre entre ces quatre capitaux, forment les conditions de la soutenabilité.!dans cette conception du développement durable, on comprend aisément que les dérives de la société d hyperconsommation n ont pas leur place NEF : Modérés ou extrémistes? B.R. Pour ma part je récuse la formulation «terrorisme vert» qui est une démarche violente. Le mouvement écologiste, sauf quelques rares exceptions, est composé d acteur mariant détermination et non violence. En revanche on peut s interroger sur l application d une terminologie similaire aux acteurs, notamment industriels qui, par négligence ou mépris, imposent des dégradations irréversibles de l environnement ou des conditions de travail proprement inhumaines c est bien cet extrémisme de l irresponsabilité qui est condamnable." Propos receuillis par Elodie Serreau, Nature en France
6
Bien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailDate: 20 02 2007 Ref: 071/07/OL. Architecture et durabilité
Architecture et Société - TA 3 anglaise Architecture et durabilité Le secteur de la construction joue un rôle clé dans toute politique visant un développement durable pour le 21ème siècle. L environnement
Plus en détailBâtir un système intégré
Florence GILLET-GOINARD Bâtir un système intégré Qualité/Sécurité/Environnement De la qualité au QSE Groupe Eyrolles, 2006 ISBN : 2-7081-3651-8 CHAPITRE 1 Un système intégré, quels enjeux? 1. QU EST-CE
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailLa crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre
La crise écologique Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre Qu est-ce que la crise écologique? Le réchauffement climatique? La destruction des forêts? La fin du pétrole?
Plus en détailProposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015
Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie
Plus en détailTraité de Copenhague nécessaire
Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague
Plus en détailLigue contre la Violence Routière
Ligue contre la Violence Routière La Ligue contre la violence routière, notre confrère français, vient de lancer la voiture citoyenne. Elle tient compte aussi bien de la protection de l environnement que
Plus en détailCOALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE
COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 joel.vormus@cler.org
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailRio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012. www.uncsd2012.org
Rio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012 www.uncsd2012.org «Rio+20 sera l une des plus importantes réunions internationales sur le développement durable de notre époque. À Rio, notre vision doit être claire
Plus en détailUn Cabinet de Référence en Droit des Affaires. Le développement international. Une structure souple et toujours à l écoute
Un Cabinet de Référence en Droit des Affaires Créé en 1957 par le Bâtonnier Bernard du Granrut, le cabinet est aujourd hui l un des plus importants cabinets d avocats d affaires indépendants. Nos avocats
Plus en détailEvolution de la fiscalité des carburants
Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),
Plus en détailUne révolution dans les domaines de l énergie et de l emploi
Une révolution dans les domaines de l énergie et de l emploi Kumi Naidoo Créer de nouveaux emplois décents, lutter contre la pauvreté et contenir le changement climatique catastrophique sont des défis
Plus en détailéco-construction bâtiments d élevage
éco-construction bâtiments d élevage Jacques Capdeville, service Bâtiment-Environnement, Institut de l Elevage Michel Colache, Maison Régionale de l Elevage SIMA février 2011 un contexte Des préoccupations
Plus en détailLa stratégie développement durable de Nov@log. Alan Fustec Directeur du domaine d actions stratégiques développement durable
La stratégie développement durable de Nov@log Alan Fustec Directeur du domaine d actions stratégiques développement durable Sommaire Un mot sur le partenariat Nov@log-Lucie Introduction : contexte Conséquence
Plus en détailSAVEZ-VOUS CE QU EST UNE ENTREPRISE RESPONSABLE?
SAVEZ-VOUS CE QU EST UNE ENTREPRISE RESPONSABLE? Travail de la classe de 1 ère ES2 de l Institut de Genech, encadrée par leur professeur de sciences économiques et sociales, Laure Nison et par le professeur
Plus en détailConsultation sur le livre blanc du financement de la TEE Préparation de la conférence bancaire et financière : Contribution de la Caisse des Dépôts
24 janvier 2014 Consultation sur le livre blanc du financement de la TEE Préparation de la conférence bancaire et financière : Contribution de la La place sa priorité stratégique «Transition Énergétique
Plus en détailPré-diagnostic du Développement Durable
Pré-diagnostic du Développement Durable à l usage des PME-PMI et Autres Entreprises Le présent questionnaire a été réalisé par le groupe Développement Durable de l AUEG qui comprenait des membres d entreprises,
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailFACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES
L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION
Plus en détailDéclaration du Capital naturel
Déclaration du Capital naturel Une déclaration du secteur financier démontrant notre engagement au sommet de Rio +20 pour tendre vers l intégration des considérations liées au capital naturel dans les
Plus en détailPromouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe
Promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable en Europe L une des priorités stratégiques de l Union européenne consiste à promouvoir une énergie sûre, compétitive et durable pour l Europe. La BEI
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailUNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE. Continuer
UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE Continuer Contents Sommaire Comprendre COMPRENDRE VOS BESOINS Comprendre Après avoir progressé en moyenne de 25% par an au cours de la dernière
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailIndicateurs de développement durable et SNDD
Indicateurs de développement durable et SNDD Christian Brodhag DIDD Séminaire mercredi 13 juin 2007 Les grandes dates du développement durable 1972 Conférence des Nations Unies sur l environnement, Stockholm
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailDéveloppement durable au Bas-Saint-Laurent
Développement durable au Bas-Saint-Laurent Mai 2008 TABLE DES MATIÈRES 1. MISE EN CONTEXTE...3 2. GRILLE D ANALYSE DES PROJETS AVANT LEUR MISE EN ŒUVRE...5 Comment utiliser la grille?...6 Objectif 1 Viser
Plus en détailLe fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org
Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailPOUR UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE ET EQUITABLE Synthèse de l étude réalisée par 4D pour la CFDT dans le cadre de l Agence d objectifs IRES
POUR UNE ECONOMIE ECOLOGIQUE ET EQUITABLE Synthèse de l étude réalisée par 4D pour la CFDT dans le cadre de l Agence d objectifs IRES Coordination et rédaction : Ana HOURS Catherine LAPIERRE Co-rédacteurs
Plus en détailCaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL. Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence
CaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence 4 CaLP ARGENT TRAVAILLER CONTRE AVEC TRAVAIL LES BANQUES
Plus en détailCOALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE
COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 contact@coalition-energie.org
Plus en détailLes étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant
Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire
Plus en détailAU CŒUR DE LA SOCIÉTÉ
VADE-MECUM DE L UTILITÉ DE L INVESTISSEMENT EN INFRASTRUCTURES 02 LE CERCLE VERTUEUX DES INFRASTRUCTURES FINANCEMENT MOBILITÉ EAU ÉNERGIE EMPLOI CROISSANCE RÉSEAUX DU FUTUR PROTECTION CONTRE LES ALÉAS
Plus en détailMémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario
Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario L Association canadienne du propane Février 2013 Association canadienne du propane Mémoire pour le
Plus en détailsolutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020
International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international Investir dans des solutions Plan stratégique 2015-2020 LE MOT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL Je suis très fier
Plus en détail1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE
Chantier d Emmaus International sur le DEVELOPPEMENT DURABLE Lisbonne du 10 au 18 octobre 2008 1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE Le thème du développement durable a été choisi étant un vecteur
Plus en détailTest électoral 2014 de la RTBF
ÉLECTIONS 2014 Test électoral 2014 de la RTBF L AVIS DES PRINCIPAUX PARTIS FRANCOPHONES EN MATIÈRE DE MOBILITÉ NIVEAU FÉDÉRAL Les voitures de société doivent être taxées plus fortement Il s agit avant
Plus en détailLes tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales
Les tendances du marché de la production d électricité dans le monde Samir Allal La globalisation économique a favorisé une plus grande expression des mécanismes concurrentiels. Désormais la concurrence
Plus en détailSommaire. Message du Président 3. Les 7 enjeux du développement durable 5. Notre Politique, nos actions. Partager une même éthique des affaires 6
Sommaire Message du Président 3 Les 7 enjeux du développement durable 5 Notre Politique, nos actions Partager une même éthique des affaires 6 Garantir et toujours renforcer la sécurité des collaborateurs,
Plus en détailMOBILITÉ DURABLE: CONCEPT ET APPLICATIONS, DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE. Présenté par Monique Léveillé Sherbrooke, le 17 février 2011
MOBILITÉ DURABLE: CONCEPT ET APPLICATIONS, DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE. Présenté par Monique Léveillé Sherbrooke, le 17 février 2011 MOBILITÉ DURABLE: CONCEPT En théorie,un concept à déclinaisons multiples,
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailQ&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif?
Q&A Novembre 2012 A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? D. La location meublée est elle légale? A. Le marché de la location
Plus en détailLes instruments économiques de protection de l environnement. Prof. Bruno Deffains, bruno.deffains@u-paris2.fr. Sorbonne Université
Les instruments économiques de protection de l environnement Prof. Bruno Deffains, bruno.deffains@u-paris2.fr Sorbonne Université 1. Introduction 2 «Command and control» Cette approche s appuie sur des
Plus en détailQu est-ce que le commerce équitable?
FAIR TRADE RULES! Position du mouvement international du commerce équitable en vue de la VI e Conférence Ministérielle de l OMC à Hong Kong Octobre 2005 «Nous, les membres du mouvement international du
Plus en détailBioénergie. L énergie au naturel
Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailPosition du CIGREF sur le Cloud computing
Position du CIGREF sur le Cloud computing Septembre 2010 Cette position est le fruit d un groupe de réflexion ayant rassemblé les Directeurs des Systèmes d Information de grandes entreprises, au premier
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailEvolution du mix électrique en France - Qui paiera?
Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co Des options environnementales, énergétiques, économiques majeures La France fait face à cinq options environnementales,
Plus en détailet la promotion de l action en faveur du climat
La Banque européenne d investissement et la promotion de l action en faveur du climat Les changements climatiques constituent l une des principales menaces d un point de vue environnemental, social et
Plus en détailProposition en vue de la préparation du budget (2015)
Proposition en vue de la préparation du budget (2015) Préparé pour : le Comité permanent des finances de la Chambre des communes Préparé par : La Canadian Independent Petroleum Marketers Association Sommaire
Plus en détailLa lettre. La Gestion des comptes clients : les mesures à adopter très vite. Le poste client : l investissement le plus important à l actif du bilan
Dossier : Gestion d entreprise 43 Direction financière à la demande La Gestion des comptes clients : les mesures à adopter très vite La gestion des comptes clients, est-ce seulement le boulot de la compta?
Plus en détailDii Le réseau d entreprises pour l électricité des deserts Faciliter la création de marchés du solaire et de l éolien en Europe, en Afrique du Nord
Dii Le réseau d entreprises pour l électricité des deserts Faciliter la création de marchés du solaire et de l éolien en Europe, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient Dii Le réseau d entreprises pour l
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailComment un. accident. peut-il engager la. responsabilité pénale. des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux?
Les cahiers de l Observatoire Comment un accident peut-il engager la responsabilité pénale des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux? table des matières Avant-propos de Bernard Bellec... P. 5
Plus en détailChaîne de valeur de l industrie automobile: une opportunité pour les équipementiers
Automobile Chaîne de valeur de l industrie automobile: une opportunité pour les équipementiers Jacques aschenbroich Directeur général de Valeo Un équilibre nouveau s annonce dans l industrie automobile.
Plus en détailAgile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse
Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation
Plus en détaildes valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS
L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailLes impacts cachés des TIC. Quels enjeux et quelles actions concrètes?
Les impacts cachés des TIC Quels enjeux et quelles actions concrètes? Eric Drezet Fête de la Science CRHEA, Valbonne 19/11/2013 1 Plan Conclusion Derrière mon PC une avalanche numérique Des conséquences
Plus en détailDémarche, indicateurs et méthodologie Vigeo
lyonnaise des eaux 16 place de l Iris Tour CB 21 92040 Paris La Défense Tél. : +33 (0)1 58 18 40 00 Fax : +33 (0)1 58 18 44 44 sur notre site www.lyonnaise-des-eaux.fr Les 12 de lyonnaise des eaux Démarche,
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailTransition énergétique : l expérience de l Allemagne
Transition énergétique : l expérience de l Allemagne Une analyse de l APERe, rédigée par Jean Cech et Christophe Haveaux Version du 07/03/2013 1. L expérience de l Allemagne 1.1. Quelles leçons tirer de
Plus en détailACTIONS GLOBALES. Optimisation des trajets de véhicules de moins de 3,5 tonnes ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES
FICHE ACTIONS Réseau Coursiers ACTIONS GLOBALES Optimisation des trajets de véhicules de moins de 3,5 tonnes ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES Sensibilisation des clients aux risques de pollution liés aux
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailTransition énergétique Les enjeux pour les entreprises
Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Alain Grandjean Le 26 novembre 2014 Contact : alain.grandjean@carbone4.com Le menu du jour L énergie dans l économie : quelques rappels Les scénarios
Plus en détailDossier de presse. Le Finistère, territoire pilote d une économie positive : réduire les émissions de CO 2 et générer de la croissance.
Le Finistère, territoire pilote d une économie positive : réduire les émissions et générer de la croissance RÉDUIRE LE, ÇA ME RAPPORTE! Dossier de presse Novembre 2013 Page 1 450, une start-up aux préoccupations
Plus en détailTRANSITION ÉNERGÉTIQUE : DE NOUVELLES DISPOSITIONS POUR DYNAMISER LE DÉVELOPPEMENT DU CHAUFFE-EAU SOLAIRE EN MARTINIQUE DOSSIER DE PRESSE
TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : DE NOUVELLES DISPOSITIONS POUR DYNAMISER LE DÉVELOPPEMENT DU CHAUFFE-EAU SOLAIRE EN MARTINIQUE DOSSIER DE PRESSE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE, UNE PRIORITÉ POUR LA MARTINIQUE La Martinique
Plus en détailMÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS
MÉMOIRE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION SUR L EAU, L ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LES GRANDS PARCS Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique 484, route 277, Saint-Léon-de-Standon,
Plus en détailTOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS
TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailCHARTE ALTERNATIBA DIJON 2015
CHARTE ALTERNATIBA DIJON 2015 Par la présente charte, le collectif Alternatiba Dijon définit les objectifs et les modalités d organisation d un «village des alternatives» à Dijon, pour prendre part à la
Plus en détailAu-delà du commerce lui-même, l'urbanisme
Grand Angle Au-delà du commerce lui-même, l'urbanisme commercial touche aussi fortement les consommateurs, qu ils soient résidents ou de passage, et plus largement toute l économie de notre territoire,
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailCADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP
CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP La Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio +20) a
Plus en détailL essor d un leader mondial. CEMEX 2 rue du Verseau - Silic 423-94583 Rungis Cedex Tél : 01 49 79 44 44 - Fax : 01 49 79 86 07 www.cemex.
L essor d un leader mondial CEMEX 2 rue du Verseau - Silic 423-94583 Rungis Cedex Tél : 01 49 79 44 44 - Fax : 01 49 79 86 07 www.cemex.fr Dossier de presse CEMEX International Octobre 2014 Depuis l ouverture
Plus en détailStatuts de l Association «Humanium» au 24 février 2009
Statuts de l Association «Humanium» au 24 février 2009 Sommaire : Art. 1 : Personnalité Art. 2 : Siège et durée Art. 3 : Buts Art. 4 : Etendue géographique et fonctionnement Art. 5 : Les Membres Art. 6
Plus en détailINTRODUCTION GÉNÉRALE
INTRODUCTION GÉNÉRALE Michel Dion, Dominique Wolff Dunod La photocopie non autorisée est un délit. En 1987, la publication du rapport Notre Avenir à tous de la Commission mondiale sur l environnement et
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailLes lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés
COMMUNIQUE DE PRESSE Les lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés Sondage Harris Interactive pour Gecina Enquête réalisée en ligne du 5 au 11 mai 2011. Echantillon représentatif
Plus en détailPourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux?
Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux? Les faits nous interpellent! En 1950 il y avait 50 millions de véhicules sur terre En 2009 : il y a 800 millions de véhicules
Plus en détailSynthèse des mesures «environnement» proposées par Ségolène Royal
Ségolène Royal Candidate à l élection présidentielle Synthèse des mesures «environnement» proposées par Ségolène Royal 24 mars 2007 1. Lutter contre le changement climatique Dans le Pacte présidentiel
Plus en détailJean-Christophe NGUYEN VAN SANG FIRIP
Jean-Christophe NGUYEN VAN SANG FIRIP R.I.P 3.O La Convergence Energie/Télécoms Smart City, Smart Grid Jean Christophe NGUYEN VAN SANG Délégué Général de la Fédération des Réseaux d initiative Publique
Plus en détailSystèmes de Management Intégré (SMI) Instrumentation, Contrôle et Management des Systèmes
Systèmes de Management Intégré (SMI) Instrumentation, Contrôle et Management des Systèmes QUALITE SECURITE ENVIRONNEMENT OUTIL DE PILOTAGE MIS A LA DISPOSITION DES ORGANISMES Système : ensemble d éléments
Plus en détailAssociation pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration
Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration 1 1/ Qu est ce qu un accord de branche? Un accord de branche est un acte juridique issu d'une négociation
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailAgriculture et Finances
Agriculture et Finances Quelles régulations pour une allocation optimale des capitaux? Cahier n 12 Présentation générale du Cahier Dans les systèmes d économie de marché des pays développés comme des pays
Plus en détailLes leviers de performance du pilotage du processus achats/fournisseurs
Les leviers de performance du pilotage du processus achats/fournisseurs Synthèse Petit-déjeuner «Démat-finance» Octobre 2012 SOMMAIRE I. LA PERFORMANCE DU PROCESSUS ACHATS FOURNISSEURS 2 II. GRANDS ENSEIGNEMENTS
Plus en détailForum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements
Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement La République de Madagascar Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements Thème : Les Nouvelles Approches
Plus en détail