Betteravier HUSKY. L incontournable. LeBetteravier Année pivot pour les betteraves

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1 IN DIT NUMMER Éditorial par Philippe Bedoret, Président de la CBB FéVRIER 2013 N ième année dans ce numéro Marché européen : Fin décembre, la Commission a décidé d importer t de sucre supplémentaires. Ces importations s ajoutent aux 3 Mt de sucre déjà importées chaque année dans le cadre d accords commerciaux permanents conclus avec certains pays dont la liste ne cesse de s allonger. p.2 Coco Vlaanderen : Après 21 années comme Secrétaire du Coco Vlaanderen, Alain Van Dorpe prend sa retraite. p.3 Bilan de la campagne 2012/13 : Par rapport à 2011, les emblavements en betteraves ont diminué de 2,03 % avec ha. Pour l ensemble de la Belgique, la richesse finale s établit à 18,02 Z, la tare totale à 15,99% et la tare terre à 8,83%. p.4 Fermeture des réceptions avant les intempéries : Alors qu à l usine de Fontenoy, les dernières betteraves ont été réceptionnées le 3 janvier sous la pluie, les usines de Longchamps et Tirlemont ont réceptionné leurs dernières betteraves le 12 janvier dans la soirée, juste avant l arrivée des premières neiges p.5 Participation RT : Début janvier, les planteurs de la RT détenteurs d obligations SOPABET ont reçu sur leur compte bancaire l intérêt de leurs obligations pour l année 2012 p.6 IRBAB : Bilan de l année betteravière 2012 p.913 Nouvelles inscriptions de betteraves sucrières au catalogue belge des variétés p.16 LeBetteravier organe mensuel de la confédération des betteraviers belges asbl CBB Bd. Anspach 111 Bte Bruxelles T F P Année pivot pour les betteraves Personne ne pouvait présager une campagne aussi humide et difficile, aussi stressante et à l origine de tant de difficultés, et pas uniquement en betteraves mais aussi en pommes de terre, lin,... Les implications sont différentes suivant les régions évidemment, mais sont en tout cas très usantes et pas seulement pour le matériel! Le seul point positif, c est que les betteraves ont continué à progresser en poids et en sucre tout au long de la campagne, défiant ainsi toute statistique préliminaire pour nous donner in fine, un résultat meilleur que prévu mais moins bon que l année précédente. Ensemencer par après en froment des terres détrempées et abîmées, n était certes pas non plus une sinécure. Néanmoins on a pu éviter cette année les problèmes de gel, neige Bref, plus que jamais, nous devons faire face et toujours nous adapter à «Dame Nature»! Par bonheur, le paiement des surprix, fin décembre, a mis du baume au cœur des betteraviers qui en ont bien besoin. Profitons en tout cas du moment présent car les temps changent On est en effet en droit de se poser la question de savoir si la Commission ne veut pas délibérément décourager les Européens d encore produire du sucre Toutes les décisions prises de mois en mois nous poussent à le croire. Oui, il fallait se partager la production de sucre au niveau mondial, mais la compétitivité ne doit pas entraîner des disparités honteuses au profit de quelquesuns. On a ainsi pu lire dans la presse, un article qui relate la disparition de jeunes gens et enfants qui se réveillent (après avoir été drogués et enlevés dans un bidonville) au milieu de plantations de canne à sucre détenues par des fermes d Etat du Pendjab (Inde). A peine nourris, ils y sont exploités en travaillant jusqu à l épuisement pour recevoir quelques sous. Et après, on nous demandera de nous aligner sur leurs prix On nourrit un marché mais plus des hommes! Ce système de concurrence aussi implacable que déloyal m attriste en tout cas profondément. Le dernier exemple de décision de la Commission européenne date de quelques jours : on vient de ratifier un quota d importation sans droits de douane, de t de sucre/an à la Colombie et au Pérou à partir de 2012/13. Peu de temps avant, on prenait comme mesure de marché l importation de t de sucre supplémentaire alors qu il y a plus qu assez de sucre sur le marché européen Pour qui donc travaillent aussi habilement ces hauts responsables de l Europe? Tout et n importe quoi pour faire chuter les prix! Les nouvelles réglementations sont imposées sans discernement. N eston pas occupé à calquer un mauvais modèle appliqué dans d autres régions de la planète? L exploitation de l homme par l homme. Oui, 2013 sera vraiment une année charnière, et le calendrier du prochain semestre est très important. Que ce soit le compromis du rapport Dantin devant le Parlement européen, l accord sur le cadre budgétaire en février ou la préparation du trilogue officiel de juin (Commission, Conseil, Parlement), c est cette année que se joue politiquement l ave HUSKY Editorial par Victor Sneessens, Président de la CBB nir des quotas, du prix minimum de la betterave et des accords interprofessionnels, donc l avenir de la culture betteravière ellemême. Quant à l immédiat, nous devons viser à produire notre quota et c est ce qui nous sera le plus bénéfique. Nous devons profiter des quelques années du régime actuel qui nous restent, pour réfléchir en filière Betteraves Sucre à notre avenir, afin qu il reste suffisamment équitable comme par le passé. N estil pas temps de penser par exemple à une évolution vers la production de betteraves «chauves»? Nous avons d ailleurs pu en apprécier la tendance en Allemagne à juste titre, il y a quelques mois en compagnie de responsables, sucriers, de la recherche et des betteraviers belges. Il s agit de produire des betteraves à peine décolletées (de la surface équivalente à celle d une pièce de deux euros) pour éliminer ainsi la zone du bourgeon terminal ; elles doivent aussi être exemptes de toute verdure attenante afin de favoriser une bonne conservation en tas. On pourra de la sorte oublier à terme, les guillotines d un autre âge dans les centres de réception et supprimer toute intervention humaine, source de discussions aussi désagréables qu inutiles. Anticiper encore et toujours, pour ne pas devoir subir, demain! L incontournable Le Betteravier ORGANE MENSUEL DE LA CONFÉDÉRATION DES BETTERAVIERS BELGES vzw CBB Bd. Anspach 111 Bte Bruxelles T F Editeur responsable: Victor SNEESSENS, Fin Président de la campagne CBB Directeur de la publication: encore mis en œuvre. Ils doivent absolument l être pour ze va commencer sa production d alcool Au cours du mois de décembre, BioWan Si l on Valerie parle de 2009, il faut aussi VERCAMMEN songer à partir de sirops de betteraves. Plus que à nos semis. L objectif à suivre pour déterminer ses emblavements, c est de prose par la compétence dont nous faisons jamais l avenir de notre agriculture pasduire son Edition quota. Le prix actuel en horsquota ne couvre pas encore les coûts par l esprit d initiative et le dynamisme qui production. Le nombre d hectares à animent nos industriels, RT et SZ dans le et preuve publicité: dans nos exploitations, mais aussi Bernadette semer est à défi nir par chacun Bické sur base cas de BioWanze. Martine Moyart du quota betteravier dont il dispose. Le À d autres niveaux, les nouvelles sont contrat collectif éventuel pour du sucre industriel (RT) Responsable est conçu comme un débou de la beaucoup moins positives. Il y a crise ché pour des excédents de production involontaires. Il n implique pas des semis technique volontaires pour betteravière: arriver à le produire. IRBAB Tienen p. 2: Actualiteit A l avenir, les choses changeront peutêtre. Des contrats individuels de livraison p. 3: Betalingen / Health Check p. 4: Coco Vlaanderen Imprimerie: de betteraves destinées à fabriquer du Corelio Printing p. 6: Verbond VlaamsHaspengouw sucre industriel seront sans doute proposés individuellement aux planteurs. C est p. 14: Chichorei p. 13: Coördinatiecomité Haspengouw déjà Abonnement le cas dans de nombreux pays européens. p. 16: Huishoudelijk Reglement Sopabe annuel : p. 15: Weekresultaten campagne Saluons à ce sujet l évènement symbolique important p. 18: Madagascar verhuurt landbouwgrond Belgique qu a constitué l arrivée du : p. 19: 12,00 Bio Wanze premier bateau de céréales à BioWanze. UE : 22,00 Hors UE : 27,00 IBAN : BE TVA BE Tél Fax L arrièresaison nous a été favorable jusqu à présent. Grâce à cela, nos rendements en sucre seront supérieurs à ce qui était prévu ; les arrachages se sont faits dans des conditions satisfaisantes, avec des tares modérées et sans abîmer les terres ; les semis d hiver sont bien avancés et réalisés dans de bonnes conditions. Reste à espérer que les conditions climatiques demeurent favorables jusqu à l entrée du dernier camion en usine. Ce sera aux alentours du NouvelAn, un peu avant à la RT, un peu après à Iscal. La campagne 2008 s annonçait assez longue suite aux fermetures d usine. Les retards pris au niveau industriel en cours de route l ont encore allongée. Outre la forte réduction des capacités, la restructuration immédiate imposée au niveau européen a désorganisé le fonctionnement normal des usines. La période disponible pour préparer les multiples changements a été trop courte. Certains investissements nécessaires ne sont pas et la retombée brutale du prix des céréales. Il y a le Health Check qui s est conclu sans que le Conseil des Ministres y inclue la suppression de la taxe à la production qui pénalise notre secteur et que plus rien ne justifi e. Une occasion est malheureusement passée pour supprimer une taxe injuste, amputant sans raison une rentabilité déjà fort restreinte. Notre objectif d y parvenir reste, lui, inchangé. KOALA, LA VARIÉTÉ DES VRAIS AMATEURS DE RICHESSE Richesse 19,1 19,5 87,17 81,11 15,496 14,772 Richesse 18,2 lebetteravier@cbb.be 101 % DÉCEMBRE 2008 nr ste jaargang Source : IRBAB 12 N 1 en recouvrement du sol Rdt. Rac : 103% Revenu Fin : 101,1% SV_B190xH117_Betteravier_FR.indd 1 15/01/ :04:15

2 Marché européen La Commission veut mettre sur le marché européen 1,2 M t de tonnes de sucre supplémentaires Fin décembre, la Commission a décidé d importer tonnes de sucre supplémentaires pour la campagne 2012/13. TOTAL DES IMPORTATIONS DE SUCRE DANS L UNIONS EUROPEENNE Ces importations s ajoutent aux 3 Mt de sucre déjà importées chaque année dans le cadre d accords commerciaux permanents conclus avec certains pays dont la liste ne cesse de s allonger (cf encadré). L Union européenne va donc importer tonnes supplémentaires de sucre brut et blanc avec des droits de douane réduits dans le cadre d une série de 4 adjudications. La première adjudication est prévue pour le 23 janvier. Ces importations supplémentaires constituent la première partie d un plan destiné à augmenter de 1,2 Mt l approvisionnement du marché européen en sucre pour la campagne 2012/13. Dans un deuxième temps, la Commission devrait proposer le reclassement t de sucre européen hors quota en sucre du quota pour approvisionner le marché européen. Les gouvernements devraient se prononcer sur le reclassement fin janvier. Evolution de l origine des importations de sucre vers l Union européenne de 2009 à Il reste en effet un stock important de sucre hors quota à écouler pour la campagne 2012/13. C est pourquoi l UE a également approuvé une seconde tranche de t d exportations de sucre hors quota. Des exportations qui s ajoutent aux t autorisées en octobre 2012, ce qui porte le total des exportations de la campagne 2012/13 à 1,35 Mt conformément au plafond de l OMC fixé à 1,374 Mt. Le marché européen manquetil vraiment de sucre? Pour les planteurs de betteraves, le marché européen ne manque pas de sucre. Au contraire. Le bilan d approvisionnement dans l Union Européenne montre des disponibilités importantes de sucre en 2012/13, en raison d un report exceptionnel de la campagne record 2011/12 et d une hausse des importations de sucre brut de canne. Mais du point de vue des raffineurs de l UE, les quantités de sucre brut importées à raffiner sont insuffisantes. La CIBE qui représente les betteraviers européens s est fermement opposée à la décision de la Commission d importer tonnes de sucre supplémentaires puisque les stocks de sucre sont largement suffisants. La décision de la Commission d importer tonnes de sucre supplémentaires répond aux plaintes de l industrie du raffinage de l Union Européenne. Pour rappel, la campagne 2011/12 avait été une campagne record dans l UE, ce qui a entraîné un report de sucre vers la campagne 2012/13 de tonnes de sucre. Cette année, la production totale de sucre (y compris le report) devrait totaliser 18 Mt avec une production de sucre horsquota, estimée à 5 Mt. Le total des importations et de la production de sucre 2012/13 est suffisant pour garantir l approvisionnement du marché intérieur communautaire et l exportation de 1,35 Mt de sucre. Pour répondre à la demande communautaire en sucre blanc, il suffisait de procéder au reclassement de sucre horsquota en sucre alimentaire, ce qui aurait permis de réduire le risque d un report élevé pour la prochaine campagne, un report estimé à plus de 1,5 Mt pour l ensemble des pays de l UE. En 2012/13, on s attend à une hausse sensible des importations de sucre brut, en raison de l ouverture des contingents négociés avec le Pérou et la Colombie et d une hausse des importations en provenance des pays ACPPMA dès la campagne 2012/13 en raison de la baisse des prix sur le marché mondial. Le niveau des importations de sucre brut prévues pour 2012/13 (de l ordre de 2,5 Mt) devrait correspondre aux besoins de raffinage des raffineurs. À l avenir, l ouverture progressive de nouveaux contingents d importation dans le cadre des accords de libreéchange déjà négociés par l UE RECOMMANDÉE PAR LA PRATIQUE RAMBLER : EN PRATIQUE : MÊME CETTE ANNÉE DES RECORDS BATTUS. 85 tonnes à 19 % de sucre Excellente résistance aux maladies, surtout à l oïdium Pour plus d informations, consultez notre site internet. BETASEED. SIMPly DIffERENT. Distribué par Clovis Matton. 2 02/2013 Le Betteravier

3 améliorera encore l approvisionnement des raffineries de sucre dans l Union européenne (Amérique Centrale, ). Les importations de sucre vers l Union Européenne Au cours de la campagne 2011/12, l UE a importé un total de 3,5 M t de sucre et se situe ainsi parmi les premiers importateurs mondiaux aux côtés de la Chine. Les 5 principaux pays d origine de ces importations en termes de volume sont le Brésil, n 1 avec tonnes de sucre importées, l île Maurice avec t, le Swaziland avec t suivi par deux Provenance du sucre importé dans l UE pays des Balkans, la Serbie ( t) et la Croatie ( t). Ces 5 pays ont totalisé à eux seuls 60 % des importations communautaires 2011/12. Les importations de sucre dans l UE varient d une année à l autre en fonction du prix du sucre sur le marché mondial. Lorsque le prix mondial est élevé, les pays traditionnellement exportateurs vers l UE préfèrent vendre sur le marché mondial plutôt qu en Europe avec pour conséquence une diminution des importations dans l UE. Lorsque le prix mondial baisse comme actuellement, les importations dans l UE augmentent. L UE a conclu des engagements d importations préférentielles visàvis de ses partenaires traditionnels comme les pays ACP et PMA mais aussi avec d autres groupes de pays. Importations en provenance des PMA (Pays les Moins Avancés). Pas de limites de quantité, droits nuls; Importations en provenance des pays ACP (Afrique Caraïbes Pacifique) non PMA. Quantité fixée selon un seuil dépassable de 1,45 Mt en 2012/13; Importations dites CXL (Brésil, Cuba, Australie, ). Quantité accordée de t, droits de 98 /t; Importations en provenance des Balkans. Quantité accordée de t, droits nuls Depuis 2011, importations de Moldavie. Quantité accordée : t, droits nuls. A partir de 2012, importations du Pérou et de Colombie. Quantité accordée : t, droits nuls ; A partir de 2014, importations d Amérique Centrale. Quantité accordée : t, droits nuls ; Importations de sucre industriel ; quantités accordées de t, droits nuls ; Au cours de la campagne 2011/12, l UE a importé un total de 3,5 M t de sucre et se situe ainsi parmi les premiers importateurs mondiaux aux côtés de la Chine. Coco Vlaanderen Un tout grand merci... C est en 1991 qu Alain Van Dorpe a débuté comme Secrétaire du Coco Vlaanderen à la suite d Antoon Goethals. A cette époque, il y avait encore 4 usines (Moerbeke, Frasnes, Veurne et Warcoing) qui travaillaient toutes avec des règlementations différentes, ce qui n était pas toujours simple. Le Coco Vlaanderen comptait alors membres planteurs. Aujourd hui, il n en reste plus que 2.000! Parmi les sujets de prédilection d Alain, il y a bien sûr l éternel problème de la tare sur lequel il a énormément travaillé. Son expertise en la matière est grande et c est sans rougir, qu il pourra la transmettre à son successeur Eric Van Dijck car Alain a non seulement eu à cœur d étudier le problème de la tare sur base des chiffres, mais aussi en mettant luimême les mains dans le cambouis. Avec les planteurs, il a en effet réalisé de nombreux essais sur la tare, suscitant ainsi de nouvelles idées. Alain a également été à l origine de la participation betteravière, notamment à Veurne qui dépendait alors de la Raffinerie Tirlemontoise, en ralliant au projet 98% des planteurs. En 2004, le groupe Iscal Sugar a vu le jour et avec lui, un nouveau projet participatif. Malgré les réticences des planteurs, l opération a à nouveau été un succès. Elle a entre autres permis à un représentant des planteurs de siéger au Conseil d Administration d Iscal Sugar. Dés le début, Alain a été un partisan d Iscal Sugar. Avec ses collaborateurs, il a tout mis en œuvre pour aboutir et sécuriser l avenir de la production de sucre dans la région. Peu de temps après la création d Iscal Sugar, il y a eu la réforme de la politique sucrière européenne. Cette réforme, initiée au début des années 2000, s est finalement concrétisée en 2006 avec pour conséquence une profonde restructuration du secteur. 33% du quota betteravier a dû être abandonné. 50% des planteurs flamands ont quitté la culture betteravière. L usine de Veurne a fermé ses portes, suivie par Moerbeke fin Pour éviter cette fermeture, Alain, avec le Coco Vlaanderen, s est battu jusqu au bout; malheureusement sans résultats. Alain a alors dû gérer les effets de la réduction linéaire des quotas et le suivi des aides à la diversification couplées à la réforme. Les messages qu Alain a dû faire passer au cours de cette période n ont pas été faciles mais il a mis son énergie et son efficacité au service de ceux qui voyaient encore un avenir dans la culture de la betterave. Enfin, on retiendra qu Alain a contribué au passage du Coco Vlaanderen d une association de fait en une asbl. Au cours de sa carrière, il a assuré l organisation et la supervision de dizaines d actions, aussi bien sur le plan régional que national. Il a préparé et supervisé des centaines de réunions du Conseil d Administration, de réunions régionales, et bien d autres encore Au nom du Coco Vlaanderen, je remercie Alain de tout cœur et lui souhaite de profiter au maximum de sa retraite entouré de son épouse, de ses enfants et petitsenfants. Merci Alain! Jos Brouwers, Président du Coco Vlaanderen RHIZOMANIE +NEMATODES TOLERANT La solution au TOP avec ou sans nématodes KASSIA KWS Richesse % Lassie* 101 Nématodes Tous sites LOUELLA KWS* 100 Baiji* Rubens Gandhi Charly 99 Baloo Perruche SABRINA KWS 98 Bengal Cleanmax* ROSALINDA KWS 97 Vienna* Sanemax* Rentamax* Financier /ha KASSIA KWS Financier n 1 tous sites 3 ans* Type riche, avec un excellent Trio richesse/racine/fi nancier Passe partout Très faible tare terre Source: IRBAB * testé à partir d un lot expérimental LOUELLA KWS Type riche: richesse n 1 tous sites 3 ans* Excellent comportement aux maladies foliaires * IRBAB ANZ_KWS_BE_Kassia_Louella_LeBet_fr.indd :37 Le Betteravier 02/2013 3

4 Actualités Bilan provisoire de la campagne 2012/13 Au bilan de cette longue campagne 2012 (113 jours), une bonne récolte betteravière due à de bons rendements (±72 t/ha) et à des richesses élevées (±18 Z) ; en finale, une production de sucre blanc par hectare de 13 t/ha. La surface emblavée a diminué en 2012 : ha par rapport à ha en 2011, soit une diminution de 2,03%. La richesse finale s établit à 18,02 Z pour l ensemble de la Belgique, la tare totale à 15,99% et la tare terre à 8,83%. Iscal fut la première à fermer ses réceptions le 3 janvier, RT fermant le 12 janvier. Production sucrière et débouchés La production de sucre de la campagne 2012 s établit pour l instant à t (chiffres provisoires) ; s ajoute à cette production le report de l an dernier ( t) qui entre en premier lieu dans le quota de l année. La quantité totale de sucre disponible cette année s élève ainsi provisoirement à t. De cette quantité, t profitent du quota ; le reste, soit t ou 17% du total, demeure horsquota. Une partie de ce sucre a été utilisée comme sucre industriel à la RT, une autre partie a été exportée sur le marché mondial ; il resterait, après ces valorisations, t de sucre qui seront valorisées au mieux. Le tableau cijoint reprend les données provisoires de productions et de débouchés pour la campagne Paiements des betteraves 1. Betteraves en quota Le paiement de ces betteraves sera effectué le 31 janvier Pour la campagne 2012, le prix minimum pour les betteraves en quota, fixé par la Commission Européenne, est de 26,29 /t bett. à 16 comme pour la campagne Pour les quotas de sucre, les fabricants doivent payer à la Commission Européenne une taxe à la production de 12 /t sucre dont ils peuvent répercuter 50% du paiement sur les planteurs ; cela revient donc pour les planteurs à un montant de l ordre de 0,88 /t bett. à 16 (0,88 = 0,8820 [= 12 x 50% x 0,147] moins un agio estimé à 0,0020). Étant donné que c est une taxe européenne, il n y a pas lieu de lui appliquer de TVA. 2. Report de 2011 vers 2012 Les betteraves reportées de la campagne de 2011 entrent en premier lieu dans le quota de la campagne Elles reçoivent le prix minimum de 2012 (mais sur base de la richesse observée en 2011), elles sont soumises à la taxe à la production et à un coût pour le report. Un tarif unique est d application pour le coût du report, que ce soit à Iscal ou à RT, que ce soit le report à l initiative des planteurs et le report décidé par le fabricant ; il est de 2,0000 /t bett. à 16, à décompter du prix des betteraves reportées. 3. Betteraves horsquota Le paiement des betteraves horsquota qui ne sont pas reportées sera effectué le 31 mars Aucun prix n est encore connu à présent. Cotisations betteravières Le niveau des retenues professionnelles est égale à 0,2000 / quintal de sucre pour la Fédé RT, le Comité de Coordination HainautIscal, le Coördinatiecomité van Vlaanderen et le Verbond TS. Sur les décomptes des livraisons de betteraves, les frais de contrôle sont exprimés en euros par tonne de betteraves à la richesse moyenne (exemple de calcul : pour une richesse de 17,80, une retenue de 0,2000 /q et un écart technique de 2,6, les frais de contrôle sont de : 0,2000 x (1,780 0,26) = 0,2980 /t bett.). Productions et débouchés Campagne 2012/2013 (chiffres provisoires) RT IS BELG. Quota (1.000t) Report 2011 (1.000t) Production 2012 (1.000t) Disponible 2012 (1.000t) (%quota) 121,6% 105,3% 117,0% HorsQuota (1.000t) Certificats accordés (1.000t) Sucre Industriel (1.000t) 34 5 Solde (1.000t) (%quota) 10,9% 5,3% 9,3% Marché du sucre Prix mondial en baisse, prix européen élevé Depuis le mois d octobre, le prix du sucre blanc sur le marché de Londres est en baisse : de l ordre de 385 la tonne en janvier, soit endessous du prix de référence pour la betterave dans l UE de 404 la tonne. Une tendance à la baisse qui devrait se poursuivre vu la probabilité d une nouvelle campagne 2012/13 excédentaire. Selon l Organisation internationale du sucre (ISO), le marché mondial du sucre va rester en excédent pour la campagne 2012/13 qui a débuté le 1er octobre dernier. Les estimations se basent sur les surfaces de canne plantées, mais également sur les premières récoltes : les campagnes betteravières sont pratiquement achevées en Europe et aux EtatsUnis, tandis que certains pays d Asie et d Amérique du Sud ont débuté la récolte de cannes à sucre. La production mondiale est prévue à 177,6 millions de tonnes, un record, soit une progression de 1,43% en un an. Mais dans le même temps, la consommation bondirait de 2%, à 171,4 millions de tonnes. Les pays émergents concentrant l essentiel de l augmentation de la consommation. Le marché devrait rester excédentaire. Dans l Union Européenne, les prix du sucre se maintiennent par contre à des niveaux élevés. Le prix moyen calculé sur base des ventes réalisées par les producteurs de sucre au mois de novembre 2012 s élevait à 728 la tonne de sucre blanc. Plus de sucre, check! KornKali est un premier choix en matière de fertilisation optimale des betteraves sucrières en potassium, magnésium, sodium et soufre. 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5 Actualités ISCAL et RT Fermeture des réceptions avant les intempéries Alors qu à l usine de Fontenoy, les dernières betteraves ont été réceptionnées le 3 janvier sous la pluie, les usines de Longchamps et Tirlemont ont réceptionné leurs dernières betteraves le 12 janvier dans la soirée, juste avant l arrivée des premières neiges. Toutes les betteraves réceptionnées? Oui, mais non Lors de la fermeture de la réception de Fontenoy, 120 ha de betteraves étaient toujours dans le sol dans la région du Westhoek, suite aux pluies anormalement abondantes ayant arrosé la région depuis le début de la campagne. Avec l arrivée de la vague de froid, les arrachages ont doucement repris avec des machines à chenilles à partir du 10 janvier. Les betteraves ont été livrées à l usine RT de Tirlemont. Souvenezvous : en novembre, la RT, ralentie par une longue panne à Wanze, avait livré t de betteraves à ISCAL, qui éprouvait déjà des difficultés à cause de la pluie. L accord de solidarité entre les deux groupes sucriers prévoyait alors la possibilité de livrer des betteraves ISCAL à la RT en fin de campagne si les conditions le nécessitaient. Voilà qui est fait! Mais la réception de Tirlemont ayant fermé ses portes le 12 janvier, ISCAL a effectué des démarches auprès de nos voisins français, qui prévoyaient de travailler jusqu au 20 janvier environ. Ainsi, à l heure d écrire ces lignes, des betteraves d ISCAL sont envoyées à l usine d Attin, en France. Mais les arrachages ne sont pas encore terminés. Pour en venir aux chiffres, la campagne aura duré 103 jours à Fontenoy et 119 à Longchamps et Tirlemont (Résultats globaux : voir tableau cicontre). Une fois encore, toutes les betteraves ont pu être usinées avant l arrivée d une vague de froid Vautil mieux un mois de décembre doux et pluvieux comme en 2012, où froid et neigeux comme en 2010? Après les livraisons, le paiement Le 22 décembre 2012, un acompte sur une partie des betteraves en quota avait déjà été payé (voir Betteravier n 496). Le 31 janvier aura lieu le second paiement relatif à la campagne Il reprend tout ce qui est relatif aux betteraves livrées en quota ainsi qu aux pulpes (détail : tableau cicontre). Les betteraves horsquota seront quant à elles reprises dans le paiement du 31 mars. Conférences d hiver La campagne étant terminée, c est l heure des Assemblées de planteurs, les «réunions d hiver». Les invitations et infos pratiques sont reprises dans ce journal, ainsi que sur le site internet de l ABW Venez nombreux! Campagne Fontenoy Longchamps Tirlemont Jours d ouverture de la réception Tonnes nettes réceptionnées Tonnes nettes réceptionnées /jour Tare totale (%/brut) 15,38 17,79 14,11 Richesse moyenne ( Z) 17,95 17,99 18,10 MS pulpes surpressées 23,03 23,76 23,59 Paiement du 31/01/2013 Betteraves en quota Solde sur livraisons avant 14/12 Reste des livraisons Primes diverses Chargement et/ou transport Pulpes cédées Taxe à la production Frais de contrôle Participation (RT seulement) /t* 14,46 26,29 +/ x +/ x 4,20 0,88 0,27 0,40 * prix à 16 S. Ce tableau est un résumé simplifié, ne prenant pas en compte toutes les situations particulières. Benoît Haag, Secrétaire ABW EMBLAVEMENTS 2013 Etant donné la longueur des campagnes et selon les informations connues jusqu à présent, les organisations de planteurs ISCAL et RT conseillent, tout comme l an passé, que chaque planteur veille individuellement à bien assurer la production de son quota en Pour rappel, le travail des betteraves en quota est toujours prioritaire sur les éventuels excédents. Raffinerie Tirlemontoise sa agroraftir@raftir.be CONFERENCES D HIVER POUR LES BETTERAVIERS RT La Fédération des Betteraviers Wallons RT et la Raffinerie Tirlemontoise ont le plaisir de vous inviter aux Conférences d hiver qu elles organisent conjointement, en collaboration avec l IRBAB : Date et heure Mercredi 30 janvier 2013 à 13h30 Jeudi 31 janvier 2013 à 13h30 Vendredi 01 février 2013 à 13h30 Lieu Ferme de Hepsée Rue de Hepsée 9 à 4537 Verlaine Espace Senghor Avenue de la Faculté Agronomique à 5030 Gembloux Ferme du Rotteleur Rue de la Procession 49 à 7061 Thieusies Durant ces conférences, seront notamment abordés les thèmes suivants : Bilan de la campagne (Fédé RT et RT) Nouvelles interprofessionnelles et européennes (Fédé RT et CBB) Nouvelles de l industrie sucrière (RT) Technique de la betterave (IRBAB) Les exposés seront suivis d une discussion générale. La Raffinerie Tirlemontoise donnera aussi deux autres conférences, en collaboration avec l IRBAB : Date et heure Mercredi 30 janvier 2013 à 19h30 Mardi 5 février 2013 à 19h30 Fédération des Betteraviers Wallons RT asbl secretariat.abw@cbb.be Lieu PIBO St.Truidersteenweg 323 à 3700 Tongeren Salle Ermelindis Ermelindisstraat 14 à 3320 Meldert sucre/ha T IRBAB 2012 GOODWOOD : LE TOP DE LA RICHESSE ET DE LA PRODUCTIVITÉ. Vedette absolue dans les essais Richesse : % Rendement sucre/ha : % Excellente résistance à la cercosporiose & à la ramulariose Idéal pour arrachage précoce Pour plus d informations, consultez notre site internet. BETASEED. SImPLy DIffEREnT. Distribué par Clovis matton. Le Betteravier 02/2013 5

6 Participation RT Paiement des intérêts pour l année 2012 Début janvier, les planteurs de la RT détenteurs d obligations SOPABET ont reçu sur leur compte bancaire l intérêt de leurs obligations pour l année Trois catégories d obligations sont concernées: les obligations de 0,5 euro de la deuxième tranche de participation ( ); les obligations de 0,4 euro de la troisième tranche de participation ( ); les obligations de 0,4 euro de la quatrième tranche de participation lancée fin Il y a donc eu trois versements distincts correspondant aux intérêts des obligations de la deuxième tranche, troisième et quatrième tranches de participation. Un taux d intérêt de 1,71 % brut Le taux d intérêt est identique pour les 3 tranches de participation en obligations : 1,71 % brut. Ce taux d intérêt correspond aux taux d intérêt payé par RT à la SOPABET pour les 3 prêts consentis par SOPABET à RT avec les montants récoltés auprès des planteurs lors de la 2 e, 3 e et 4 e tranches de participation. Tout comme les années précédentes, il n est déduit de ce taux de base aucune retenue pour couvrir les frais de fonctionnement de SOPABET. Il est en effet globalement plus intéressant pour les planteurs que l entièreté des frais de fonctionnement soit déduite du résultat de la société et vienne en déduction des dividendes versés pour les parts T plutôt que des intérêts versés pour les obligations. Le paiement des intérêts porte sur l année Les intérêts sont payés sur base du fichier des détenteurs d obligations arrêté au 31 décembre Le taux de précompte mobilier d application pour l année 2012 est de 21 %. Une exception a été cependant faite pour les coopérateurs qui ont communiqué à Sopabe ou à SopabeT, avant le 20 décembre dernier, leur choix pour une retenue à la source de la cotisation supplémentaire de 4%. Dans ce cas, les intérêts de la participation ont été payés après une retenue de 25% (21% de précompte mobilier + 4% de cotisation supplémentaire). Pour exemple, sur l avis de crédit que recevrait le planteur de la RT dont le numéro de matricule serait le et qui détiendrait obligations SOPABET de la 3 e tranche d une valeur nominale de 0,4 EUR, figureraient les données suivantes en communication. L intérêt perçu par les planteurs pour l année 2012 est de 1,71 %, ce qui signifie que le montant de l intérêt brut s élève pour ce planteur à (4.200 X 0,4 X 1,71 %) = 28,73 EUR. Si l on retire le précompte mobilier de 21% soit pour le planteur en question (28,73 X 21 %)= 6,03 EUR, le montant de l intérêt net s élève à 22,70 EUR. Nous conseillons à tous les planteurs de bien examiner et de conserver l extrait de compte reprenant le détail du paiement de l intérêt car les informations suivantes y sont communiquées en abrégé dans l ordre suivant: numéro de matricule, nombre d obligations payées, intérêt brut et précompte mobilier. Nous ne pouvons cependant pas garantir la manière dont ces données sont reprises par chacun des organismes bancaires. Retenue au 31 janvier 2013 Au 31 janvier 2013, pour les planteurs ayant participé à la 4 e tranche de participation lancée fin 2006, une retenue de 0,4 par tonne de quota betteraves en 2012 est effectuée. Cette retenue est détaillée à la fin du décompte du paiement au 31 janvier envoyé par l usine. Il s agit de la 7 e retenue sur les 9 retenues prévues pour la quatrième tranche de participation. Pour rappel, six prélèvements de 0,4 /t ont déjà été effectués concernant la 4 e tranche : aux 31 janvier 2007, 2008, 2009, 2010, 2011 et La participation RT en quelques chiffres Arrêtée à la date du 31 décembre 2012, la participation des planteurs dans le capital de la RT concerne selon les tranches de participation de 89 à 99 % des planteurs que compte actuellement la RT. Exprimée en pourcentage du quota betteravier, la participation varie de 93 % pour la 4 e tranche à 99 % pour les 2 premières tranches de participation. 1e tranche ( ) 2e tranche ( ) 3e tranche ( ) 4e tranche ( ) Nombre planteurs % nbre planteurs (total RT) % quota Transfert de quota en 2013 et participation: que faire? Si vous avez repris un quota betteravier, nous vous conseillons de négocier simultanément avec le planteur cédant la reprise des titres SOPABET qui y correspondent. En même temps que vous remplirez les documents relatifs au transfert de quota, veuillez à remplir également le formulaire de transfert de titres. Ce formulaire est établi en tenant compte des règles de proportionnalité suivantes : si l on considère les quatre tranches de participation réalisées jusqu ici, on peut estimer qu en 2013, l effort financier réalisé par chaque planteur en ordre de participation représente l équivalent de 13,20 euros par tonne de betteraves en quota. Si le planteur à qui vous reprenez le quota betteravier ne détenait pas de titres, il vous est toujours possible de les acheter auprès de la SOPABET. Les formulaires de transfert de titres entre planteurs ou d achat à la SOPABET peuvent être obtenus auprès: de la sucrerie (service agronomique); de la SOPABET (02/ ). Un renseignement au sujet de la participation? Contactez Martine Moyart au 02/ L HERBICIDE CÉRÉALES Tout simplement incomparable Efficacité inégalée sur les principales graminées et dicotylées Très grande sélectivité grâce à l emploi de la technologie du safener Composition: 3% mésosulfuron + 0,6% iodosulfuron + 9% méfenpyrdiéthyl N d agréation: 9372/B. Marque déposée de Bayer. Utilisez les produits de protection des plantes avec précaution. Lisez toujours l étiquette et les informations sur le produit avant usage. Pour de plus amples informations sur le produit y compris les phrases de danger et symboles, consultez /2013 Le Betteravier

7 Chicorées On clôture la campagne 2012, qu en seratil des suivantes? La clôture de la campagne sera réalisée pour la fin de ce mois de janvier. Au moment de la rédaction de ces lignes les résultats globaux n étaient pas encore définitifs. Ils dépendaient des derniers éléments sur lesquels l interprofession devait encore s accorder. En premier lieu le traitement des demandes L «avaleuse de tas», largement utilisée en A l avenir les conditions de travail devront être mieux définies. Assemblée générale des planteurs de betteraves de fontenoy QUAND? Le jeudi 31 janvier 2013 à 14h00 OU? Salle «Au Reposoir» Chemin du Ruisseau, 4 à 7530 Kain. ORDRE DU JOUR Accueil par V. SNEESSENS, Président. Bilan de la campagne écoulée et valorisation de la betterave par B. HAAG, Secrétaire de l Association des Betteraviers Wallons (ABW). Renouvellement du comité et organisation des élections : informations par A. COUDYZER, Secrétaire du Comité HainautISCAL. de correction concernant la réception de la marchandise tout le long de la campagne. Se sont ajoutées plusieurs réclamations concernant la qualité des chargements, principalement ceux effectués par l «avaleuse de tas». Une série de cas furent étudiés et solutionnés, quelques cas devaient encore faire l objet de visites sur place. Les principes furent néanmoins définis lors de la séance d études des réclamations qui s est tenue le 9 janvier Deux autres dossiers qui avaient posé problème en 2012 ont été également analysés lors de cette réunion. Le premier concernait la mauvaise levée d un lot de graines de la variété Orchies. Une proposition a été effectuée par l usine, sur base d une estimation de la perte de rendement moyenne constatée et des coûts de ressemis. Un budget a ainsi été défini par l entreprise, ainsi qu une proposition de répartition entre les planteurs concernés. Cette proposition a été étudiée par les représentants des planteurs, ainsi qu au niveau des délégués. Au moment de la parution de ce journal, ce dossier devrait être clôturé. L autre dossier en discussion concernait le phénomène assez généralisé de montées en graines anormales qui est apparu en Le phénomène avait été plus accentué pour certaines variétés et est normalement consécutif au printemps spécialement froid qui a suivi les semis. De nombreux planteurs avaient réalisé un travail parfois considérable pour nettoyer leurs champs par différents moyens (arrachage manuel, coupe par rotofaucheuse, traitement par herbicide). Lors de la réception des chicorées au cours de la campagne une tare spéciale avait été déterminée qui reprenait la quantité de racines impropres (très dures). Orafti a proposé de revoir et de corriger ces données, ce point a été longuement discuté avec les représentants de l Organisation. Il fallait en effet pouvoir tenir compte des différences constatées entre les variétés, tenir compte si possible du travail effectivement réalisé par les planteurs affectés, tout un gardant un système de correction qui soit le plus objectif possible. Le dossier fut également analysé lors de réunions entre les représentants des planteurs et normalement une décision aura pris cours pour le moment où ces lignes paraîtront. A l issue du traitement de ces différents dossiers de 2012, une situation finale des livraisons sera effectuée par l entreprise, qui pourra alors définir les éléments encore manquants à l heure actuelle, comme le tonnage total à payer, les quantités en déficit, le prix des quantités livrées en excédent. Quel avenir pour les contrats chicorées à Oreye? Pour 2013 la Direction a estimé qu elle ne dispose pas de marge financière permettant une augmentation du prix de la chicorée. Elle nous annonce une augmentation du prix pour 2014 ainsi qu un paiement qui tiendrait compte de la richesse. Dommage qu elle n a pas jugé utile de commencer à combler l importante différence de prix que nous subissons visàvis des deux autres usines, pour Espérons que cette année permette aux dirigeants d Orafti de rétablir un niveau de rentabilité qui permettra ce rattrapage. Audelà des vœux traditionnels, c est ce que l association des planteurs a de mieux à leur souhaiter. Communiqué de l Organisation Professionnelle des Producteurs de Chicorées d Oreye (OPCO) Adresse OPCO@skynet.be L avenir des quotas betteraviers par V. VERCAMMEN, Secrétaire générale de la CBB. Commentaires de la sucrerie par Robert VAN GAEVER, Directeur du Service agronomique d ISCAL. Technique de la betterave, par J.P. VANDERGETEN, Directeur de l IR BAB. Divers. MOHICAN L excellent compromis rendement richesse Type équilibré riche (inscrite en France) Excellent recouvrement du sol Très bon comportement contre les maladies foliaires La plus riche des variétés confirmées 101,4% Belgique Ha semés et avec d excellents rendements R D R R T/Ha à 16 Chastre 20 sep 17,9 89,5 Burdinne 24 sep 18,58 74 TourinneStLambert 26 sep 18,86 90,1 Ramillies (Eghezée) 28 sep 18,5 88 Wavre 30 sep 18,62 82 Genappe 5 oct 18,32 84 Nivelles 10 oct 18,61 81 Quévy (Les Hauts Pays) 10 oct 18, Nandrin 12 oct 18,6 86 Waremme 15 oct 17,44 92 Eghezée 20 oct 18,96 96,6 Solières (Huy) 25 oct 18,69 88 Waterloo 25 oct 18,3 97 Attenhoven (Landen) 3 nov 18,65 90,7 W W W. S E S V A N D E R H A V E. C O M Le Betteravier 02/ SV_B122 x H360_Betteravier_FR.indd 3 15/01/ :41:03

8 RENTAMAX N 1 DES NOUVELLES VARIÉTÉS DISPONIBLES 2010/2011/2012 SANEMAX N 2 DES NOUVELLES VARIÉTÉS DISPONIBLES 2010/2011/2012 PERRUCHE N 1 DES VARIÉTÉS CONFIRMÉES 2010/2011/2012 NÉMATODES? Cher planteur, 6 champs sur 10 sont contaminés à vie par les nématodes! Les nématodes volent du rendement. Ne vous laissez pas voler, choisissez l option antinématodes des variétés Florimond Desprez. Soupçon ou certitude de nématodes? Faites de notre option antinématode votre choix!! Optez pour les varietés nématodes les plus performantes : RENTAMAX, SANEMAX, PERRUCHE, avec en plus une bonne levée et un recouvrement du sol rapide. info@erauwjacquery.be /2013 Le Betteravier bietplanter AALTJES 2012.indd 2 08/01/13 09:36

9 INSTITUT ROYAL BELGE POUR L AMéLIORATION L AMÉLIORATION DE LA BETTERAVE ASBL Molenstraat 45, B3300 Tienen (Tirlemont) F. F info@irbab.be Techniques culturales betteravières pvbc PVBC PROGRAMME VULGARISATION BETTERAVE CHICORéE, CHICORÉE, DANS LE CADRE DES CENTRES PILOTES Rubrique Rubrique rédigée rédigée et présentée et présentée sous sous la responsabilité la responsabilité de l IRBAB, de l IRBAB, J.Fr. J.P. Misonne, Vandergeten, Directeur Directeur de l IRBAB, de l IRBAB, avec le soutien avec le financier soutien du du Service Ministère public de la de Région Wallonie Wallonne Bilan de l année betteravière 2012 L utilisation des bâches TOPTEX Guy LEGRAND IRBAB asbl KBIVB vzw Le Résumé: produit et Les son faits historique marquants de l année betteravière 2012 La Températures bâche TOPTEX est mensuelles un produit fabriqué normales, par la Royal mais Ten un Cate, mois société d avril spécialisée trop dans froid, différents pluviométrie produits dont excessive les géotextiles. et très Cette irrégulière société compte (record trois sites de pluviométrie et a en son décembre), siège à Almelo ensoleillement aux PaysBas. Les normal, bâches TOPTEX sont fabriquées de production dans Date le site de de semis50 production (moitié de Ten Cate de Geosynthetics la superficie en semée) Autriche. très hâtive (28 mars), Très lent démarrage de la végétation suite à la froidure d avril, avec un retard de végétation d au moins 15 jours jusqu à la fermeture des lignes (soit vers le 510 juin), Présence normale des maladies foliaires, à partir de la finjuillet. Les conditions fraîches et humides de l été ont été plus favorables à la ramulariose, Masse foliaire très importante en août et en septembre, Début de campagne assez humide au début septembre, puis très humide en octobre avec des conditions d arrachage devenant très pénibles en fin de campagne, surtout en Flandre occidentale et dans le Westhoek, Absence quasitotale de neige en novembre et décembre, mais Photo avis 1. de Bâche (sur)bâchage TOPTEX xée contre sur le tas gel de intense betteraves au début à l aide décembre, de sacs remplis de Rendement betteraves et reliés sucre par national des liensétablit à 13,06 t/ha, soit en troisième position après 2011 et 2009, La Record bâche est du une nombre toile blanche de nouvelles en bres de variétés polypropylène, tolérantes non tressées. au nématode Elle est donc à perforée kyste d une de la multitude betterave de petits inscrites. trous de Grâce la taille d une aux essais aiguille. variétaux Ces trous permettent officiels une des circulation Ministères, de l air mis entre en les betteraves place par tout l IRBAB, en limitant 12 l introduction nouvelles de variétés l eau de pluie tolérantes dans le tas. au nématode à kyste de la betterave ont été inscrites au catalogue national en décembre 2012 (10 en 2011). L objectif de la bâche est triple : réduire la tare terre, Janvier protéger les betteraves Doux, inondations du gel et de la dans pluie, quelques régions Février réduire la perte Très en sucre froid en pendant cours de conservation. les 2 premières semaines avec gel permanent (jusqu à 20 C), sec Le Mars TOPTEX est Doux importé (réchauffement en Belgique par à la partir société du PYPE 22/03), sprl. Il ensoleillé, est utilisé en sec. Europe depuis 1990 et a Record été introduit des en températures Belgique en maximales Jusqu à présent, moyennes le produit a été utilisé Avril à faible échelle Froid (0,2% (plus de froid la surface que mars), betteravière très sur humide base annuelle). et sombre. Au cours Gel nocturne le 17/04. Avril 2012 à l inverse d avril 2011 de ces années, l IRBAB a effectué quelques essais ponctuels en vue d analyser l impact Mai de ce type de Normal bâche sur la réduction de la tare terre et l aptitude à protéger les betteraves Juin contre Frais, le gel. très pluvieux (133 mm) et sombre, gros orages et chutes de grêle Le nouveau régime sucre, les nouveaux barèmes concernant la tare terre, les fermetures Juillet d usines et l allongement Frais pendant des les campagnes 2 premières ont décades, suscité un pluvieux, regain d intérêt peu pour ensoleillé. Record d orages ce type de produit. Août Chaud (±35 C vers le 1819/08), très sec et ensoleillé Des accords interprofessionnels ont été conclus, dont certains éléments sont repris cidessous. Septembre Pour Sec les termes précis de l accord, se référer auprès de la CBB. Pour Octobre la RAFFINERIE Très TIRLEMONTOISE pluvieux (119 mm), inondations en Flandre occidentale et dans le Westhoek. Record d orages Le taux pivot de référence pour la tare terre est de 6 % pour les betteraves déterrées. Novembre Sec Un malus de 10 à la tonne de tare terre est appliqué pour une tare supérieure à ce niveau Décembre et un bonus Doux équivalent et très pour pluvieux une tare inférieure. (172 mm), quelques gelées nocturnes. Record de précipitations. Record du nombre Pour les betteraves déterrées, le planteur reçoit 1 /tonne de betteraves nette s il achète des bâches TOPTEX et couvre les betteraves qui sont ou seront mises en tas à de jours de pluie. partir Tableau du 151. novembre Résumé et de à l année livrer après climatologique le 1e décembre. 2012, Les à années Uccle suivantes (source: le IRM) plan 1. teur Aperçu reçoit 0,50 /tonne climatique de betteraves. L année Pour les climatologique betteraves nondéterrées 2012 (Tableau 2009 reste 1) peut une année être caractérisée transitoire avec par la : possibilité d utiliser des températures soit le TOPTEX moyennes avec l indemnité, mensuelles soit normales, plastique mais noir (distribué très froides gratuitement comme en février et plus auparavant) chaudes que mais la sans norme indemnité en mars de bâchage. et froides en avril (Figure 1), une pluviométrie annuelle plus abondante que la norme (976 mm à Uccle, Si la Raf norme nerie : Tirlemontoise 840 mm), mais devait déficitaire émettre un en avertissement février, mars, gel août, pour les septembre betteraves et à livrer novembre avant le et 1e très décembre, excessive les betteraves en avril, couvertes juin, juillet, avec octobre le TOPTEX et décembre béné cieront également 2), des indemnités mentionnées plus haut. (Figure un ensoleillement moyen dans la norme, mais déficitaire en avril et juin. Pour ISCAL SUGAR Le taux pivot de référence pour la tare terre est de 5,5 % pour les betteraves déterrées. Un malus de 10 à la tonne de tare terre est appliqué pour une tare supérieure à ce niveau. Pour les betteraves livrées avant le 15 novembre et bâchées avec du TOPTEX (sur base volontaire) le planteur reçoit 0.80 /tonne de betteraves. Pour des livraisons après le 15 novembre et bâchées avec du TOPTEX (sur base volontaire) le planteur reçoit 1.10 /tonne de betteraves. Pour des betteraves bâchées (bâchage obligatoire avec du plastique ou du Toptex) après un avertissement de risque de gel par la sucrerie, le planteur reçoit 1,10 /tonne de betteraves Les indemnités de bâchage proposées actuellement par les sucreries sont destinées à couvrir les frais de bâchages mécanisés (voir plus loin). Dimensions et couverture des tas Les bâches commercialisées en Belgique ont une longueur de 16m et une largeur de 9,80m et coûtent 120. Elles permettent la couverture d approximativement 80t de betteraves. Elles sont prévues pour des bâchages manuels. Elles sont bien adaptées Figure pour des 1. tas Évolution repris par des des températures déterreurs qui mensuelles ont des tables maximales d avalage de (en 8m. rouge), Dans ce moyennes cas, les 16m (en sont vert) placés et dans minimales sens (en de la bleu) longueur. en 2012 Pour et les normes tas (nondéterrés) des temqupératures ont une base (courbes plus large, lissées) les 16m à Uccle doivent (source être placés : IRM). dans le sens de la largeur. Si la bâche dépasse la base du tas, replier le surplus sur la base du tas. Ceci renforcera la protection à la base du tas. Figure 1. Positionnement des bâches TOPTEX sur des tas confectionnés pour des déterreurs à table d avalage ou à trémie d attente ou pour des chargements directs à la grue. Figure 2. Évolution de la pluviométrie mensuelle en 2012 (histogrammes en A la bleu) jointure et norme entre deux pluviométrie bâches, il faut (courbe les superposer noire) sur à Uccle une largeur (source de 10 : IRM). à 15cm. La Il est courbe conseillé noire de correspond tenir compte à de la la nouvelle direction des norme vents (période dominants ). pour que les La raccords entre bâches restent bien collés aux betteraves. On peut éventuellement relier courbe pointillée correspond à l ancienne norme. les bâches entre elles en utilisant des liens (type colson). Le Betteravier 02/ /

10 De façon globale, la période de végétation des betteraves, soit d avril à octobre, a connu à Uccle, en 2012 : une température moyenne de 14,3 C (norme : 14,6 C). Pour rappel, les années 2009 et 2011 avaient connu pour cette même période une température moyenne de 1 C plus élevée que la norme, 609 mm de précipitations (norme : 486 mm), avec un excédent de précipitations en avril, juin, juillet et octobre, heures d ensoleillement (norme : heures), mais déficitaire en avril, juin et juillet. Mise à part la froidure du mois d avril, on constate que, comme généralement le cas en Belgique, la végétation de la betterave n a pas subi de stress climatologique particulier en 2012, au niveau de fortes chaleurs (canicules) ou d un manque d eau. 2. Évolution des semis et superficie betteravière La longue période de gel observée en février a été de façon générale profitable à la structure des terres. Les conditions météorologiques ont ensuite évolué positivement pour être également favorables à la réalisation des premiers semis, dès le 15 mars. Le temps est devenu chaud, sec et très ensoleillé, surtout à partir du 22/03. Il en a été tout autre à partir de la deuxième décade d avril, avec des fréquents passages pluvieux et une période de gelées nocturnes vers le 1617/04. Il y avait ± 250 ha semés au 19/03 et ± 35% de la superficie semée au 26/03 (Figure 3). Quatrevingt pour cent de la superficie était semée au 02/04 et 95% au 09/04 (soit quasi la même évolution qu en 2011). Avec la dégradation des conditions climatiques qui suivirent, il fallut attendre la mimai au moins pour que les derniers semis puissent être réalisés (principalement en Flandre et dans le Hainaut). Certaines terres situées en Flandre occidentale (région de Courtrai) sont restées longtemps inaccessibles aux travaux de semis. ont été un peu plus utilisées en 2012, soit sur 12% de la superficie (8% en 2011 et 2010; 7% en 2009; 5,6% en 2008; 4,9% en 2007). Comme en 2011, le pourcentage de graines «activées» utilisées en 2012 atteignait pratiquement 100% des lots vendus (99% en 2010; 90% en 2009; 50% en 2008). Comme depuis quelques années, les résultats des analyses des graines de betteraves échantillonnées en sucrerie par l IRBAB ont été aussitôt présentés sur le site Internet de l Institut. Un test de germination à froid (coldtest) est réalisé depuis quelques années par l IRBAB. Il évalue mieux les capacités et vitesse de germination des génétiques placées en conditions semiréelles (jusqu à plus de 5 jours de différence de levée à 10 C). Les tests ont mis en évidence des lots avec une levée plus lente et étalée dans certaines variétés dont RosalindaKWS, KassiaKWS et Cellina KWS. 4. Levée et développement des betteraves La levée des betteraves semées précocement (avant le 25 mars) s est généralement déroulée dans de bonnes conditions. Les faibles gelées nocturnes observées vers le 01/04 ont eu peu d incidence sur ces plantules. Par contre, les betteraves semées fin mars et début avril ont été fortement freinées dans leur développement suite à la froidure d avril. Les betteraves semées trop profondément sortaient difficilement de terre. Tous les semis ont été marqués par le gel nocturne du 17 avril. Suite à cette longue période de froidure (y compris le gel nocturne), certaines génétiques ont alors extériorisé un rougissement prononcé des cotylédons et un freinage plus accentué de la croissance (variété KassiaKWS e.a) (Figure 4). Certains lots (RosalindaKWS) ont aussi montré une hétérogénéité marquée dans la levée, tel qu observé dans le «coldtest» réalisé par l IRBAB. % Nationa(a)l (100 = ± ha) ISCAL Sugar (100 = ± ha) RTTS (100 = ± ha) /03 26/03 2/04 9/04 16/04 23/04 30/04 7/05 14/05 21/05 Figure 3. Évolution du pourcentage des superficies semées en betterave en 2012 (source : Services agronomiques des sucreries). Du fait des conditions climatiques relativement froides lors de la levée, la préparation du lit de germination, le réglage des semoirs et de la profondeur de semis étaient essentiels. Les mauvais réglages et les erreurs de semis ont été très marqués en Le détail de ces points d attention a bien été rappelé par l IRBAB, via son service de messagerie électronique ( s gratuits sur simple demande). La superficie betteravière était de ha en 2012 ( ha en 2011; ha en 2010; ha en 2009; ha en 2008; ha en 2007). La date de semis50 (moitié de la superficie semée) correspondait au 28/03 en 2012 (27/03 en 2011; 15/04 en 2010; 05/04 en 2009; 20/04 en 2008; 06/04 en 2007). Comme depuis quelques années maintenant, il y eu très peu de terres ressemées (< 50 ha). Les principales causes de ressemis en 2012 étaient dues à des dégâts de mulots, de limaces, d insectes souterrains (larves de tipules), à des dégâts de gel et à des erreurs de traitements herbicides. 3. Traitements insecticides et variétés spécifiques La protection insecticide dès le semis (traitements Poncho Beta ou Cruiser&Force dans l enrobage des graines) était quasi généralisée avec 98,5% des lots traités en 2012 (98% en 2011; 97% en 2010; 95% en 2009; 88% en 2008; 83 % en 2007). Depuis 2009, les variétés tolérantes à la rhizomanie sont utilisées sur la totalité de la superficie betteravière (99,9 % en 2008; 99 % en 2007). Après la réduction de la surface betteravière et l abandon en 2008 de terres sujettes à la maladie, les variétés doubles tolérantes «rhizomanie rhizoctone brun» ont été utilisées sur ± 8,5% de la superficie en 2012 (8% en 2011; 7,3% en 2010; 7% en 2009; 5,2% en 2008; 6,3% en 2007). Ces variétés restent principalement utilisées en Flandre. Malgré le fait que l IRBAB insiste chaque année sur le fait qu un nombre important de terres sont contaminées par le nématode à kyste de la betterave, les variétés doubles tolérantes «rhizomanie nématode à kyste» Figure 4. Suite à la longue période de froidure du mois d avril, (y compris le gel nocturne) certaines génétiques ont extériorisé un rougissement prononcé des cotylédons et un freinage plus accentué de la croissance. En avril 2012, les betteraves ont eu 50 degrés jours de moins que la norme. En avril 2011, elles avaient eu 130 degrés jours de plus (Figure 5). Figure 5. Évolution de la température minimale journalière à Uccle entre le 15/03 et le 30/04, en 2012 et en 2011 par rapport l évolution normalisée (source : IRM). (Axe vertical: Température minimale. En rouge: gain de température. En bleu: déficit de température). De ce fait, et malgré une date de semis50 établie au 28/03, la fermeture des lignes s est effectuée à une date normale (510 juin) soit avec au moins deux semaines de retard par rapport à 2011 (date semis50 : 27/03). Ce retard de croissance est illustré à la figure 6. De ce fait également, la fréquence de betteraves montées a été plus importante en 2012, surtout chez les variétés doubles tolérantes rhizomanierhizoctone. Le premier prélèvement en croissance réalisé par les sucreries au 6 août a révélé des niveaux de rendements peu élevés, avec un rendement racines de 46,6 t/ha (64,05 t/ha en 2011; moyenne : 50,2 t/ha). La teneur en sucre était moyenne (14,54%; moyenne : 14,85%). Le rendement sucre à cette date (6,8 t/ha) était inférieur à la moyenne (7,5 t/ha) et très inférieur au rendement sucre à cette date en 10 02/2013 Le Betteravier

11 2011 (10,14 t/ha). La production de feuilles (68,6 t/ha) au début août était beaucoup plus importante que la moyenne de ces dix dernières années (moyenne : 53,4 t/ha). Le deuxième prélèvement (20 août) a révélé une progression exceptionnelle du rendement sucre équivalente à 2,5 t/ha pendant la quinzaine écoulée, soit 178 kg de sucre par jour et par hectare (2011 : 149 kg; 2010 : 159 kg; moyenne 10 ans : 143 kg/jour). Le rendement racines (56,9 t/ha; 75,81 t/ha en 2011) était toujours inférieur à la moyenne des 10 dernières années (61,9 t/ha). Grâce à la très faible pluviométrie, la teneur en sucre (16,32%) avait très bien progressé et s établissait en deuxième position après Le rendement sucre (9,3 t/ha; 12,22 t/ha en 2011) restait proche de la valeur moyenne (9,5 t/ha). La production de feuilles restait stable (66,9 t/ha). Le troisième prélèvement (3 septembre) a confirmé l accroissement quasi linéaire du rendement racines. Pendant cette période, la teneur en sucre a moins évolué. Le rendement sucre avait ainsi progressé de 133 kg/jour au cours de cette seconde quinzaine. Il était alors de 11,1 t/ha. Le rendement sucre final était alors pressenti comme pouvant être proche ou supérieur à 12 t/ha, pour autant que les conditions de végétation restent favorables. kg / ha /03 19/03 26/03 02/04 09/04 16/04 23/04 30/04 07/05 14/05 21/05 28/05 04/06 11/06 18/ / / /09 Fin(a)al 0410/ / / Figure 6. Évolution de la croissance dans les essais de semis à différentes dates de l IRBAB en 2011 (lignes pointillées) et 2012 (lignes pleines). Axe vertical : échelle de cotation internationale BBCH (5 = stade cotylédons, 40 = fermeture des lignes) Figure 8 : Évolution du rapport poids feuille/poids racine au cours du mois d août et septembre, de 2002 à 2012 (courbe noire : moyenne des dix dernières années) (source : Services agronomiques des sucreries) Figure 7. Évolution du rendement en sucre brut (kg/ha) au cours du mois d août et septembre et niveau de rendement final, de 2002 à 2012 (courbe noire : moyenne des dix dernières années) (source : Services agronomiques des sucreries). Comme illustré à la figure 7, la valeur de rendement sucre final (détail au paragraphe 8) peut dessiner une progression constante du rendement sucre, comme si le retard de croissance observé entre avril et juin s était maintenu en août et septembre et que la betterave poursuivait sa progression de rendement bien audelà du mois de septembre. Des essais de l IRBAB ont ainsi montré, en 2012, une progression de ± 3 t sucre/ha entre un arrachage au 21/09 et un arrachage au 09/11 (même champ, mêmes variétés, même dates de semis). Le fait le plus marquant de l année 2012 relatif à la croissance des betteraves au cours des mois d août et septembre a été l évolution du rapport poids feuille/poids racine. Normalement, ce rapport devient rapidement inférieur à 1 du fait que le poids racine devient plus élevé que le poids feuille. En 2012, le poids des feuilles était très important et est resté plus longtemps plus élevé que le poids racine. Cette évolution est présentée à la figure 8. Elle montre un retard «physiologique» de la plante d au moins une quinzaine de jour, par rapport à la moyenne des autres années. Ce retard peut également résulter du retard de croissance observé à la fermeture des lignes, consécutif à la froidure du mois d avril au cours duquel les betteraves se sont peu développées. 5. Désherbage À l inverse de 2010 et de 2011, la pluviométrie plus importante du mois d avril 2012 a été favorable à l action des herbicides racinaires, utilisés en pré ou en postémergence (conditions humides). Du fait de la régularité des précipitations, il était parfois difficile d effectuer le premier traitement FAR, dans certaines régions, entre 10 et 15 jours après le semis. Il en était de même pour le deuxième traitement FAR qui nécessite un intervalle de 5 à 7 jours entre le premier et le second passage. Les semis hâtifs de la mimars ont connu moins de difficultés. La froidure du mois d avril (gels nocturnes) et les chutes de grêle ont également incité les betteraviers à limiter les doses d utilisation des produits, vu la lenteur de développement des betteraves (conditions peu poussantes). Là où les conditions n étaient pas poussantes, certains betteraviers, se référant à l année 2011, n ont pas adapté les doses de traitements, ce qui s est marqué par un freinage prononcé induit surtout par les produits racinaires. A l inverse de 2011, le nombre de traitements herbicides a pu être plus réduit et il n a plus dû être fait appel à des passages à la bineuse. Les traitements herbicides effectués aux doses FAR telles que proposées par l Institut et à intervalles réguliers ont été très performants dans de nombreuses situations en essais. 6. Problèmes phytosanitaires Le tableau 3 reprend le traditionnel aperçu des principaux éléments (surtout parasitaires) qui ont influencé la culture de la betterave au cours de ces six dernières années. En dehors des maladies foliaires et grâce au traitement quasi généralisé des graines, l année 2012 a connu en général peu de problèmes de parasitisme Parasitisme en début de végétation Les semis 2012 ont connu peu d attaques de mulots et de limaces. Comme en 2011, des dégâts de larves de tipules et de petit gibier ont été observés dans plusieurs champs à la levée (plantules ou cotylédons coupés sous le sol ou à ras du sol). Depuis l interdiction en 2008 de l utilisation des insecticides microgranulés au semis, la lutte contre les tipules reste problématique en betterave du fait de l inefficacité des produits actuellement agréés. La plupart des larves de tipules sortent peu hors de terre pendant la nuit et sont donc très difficile à contrôler. De plus, les dégâts de tipules sont souvent amplifiés par le fait que certaines espèces d oiseaux (corneilles) en sont friandes et grattent la terre pour s en nourrir. Ces oiseaux détruisent involontairement les plantules de betterave à cette occasion. Ces dégâts peuvent rapidement prendre des proportions dramatiques, c est pourquoi l IRBAB a réalisé une première série d essais de lutte contre cet insecte en 2012, en collaboration avec l Institut Betteravier des PaysBas (IRS, Bergenopzoom). Ces essais seront poursuivis en Avec le retour de températures plus douces en mai, de nombreux champs ont connu une recrudescence localisées des attaques de limaces, sur des plantules au stade 46 feuilles. Des traitements antilimaces ont été réalisés partiellement dans de nombreuses terres. Dans les champs d observations de l IRBAB, les tout premiers pucerons noirs ont été observés vers la mimai, soit bien plus tard qu en 2011 (fin avril), sans toutefois atteindre le seuil de traitement (50% des plantes colonisées dans les champs nontraités au semis). Les premiers pucerons verts ont été observés vers la finmai. Les insectes auxiliaires (en particulier les coccinelles) étaient observés de façon importante. Aucune attaque préjudiciable d atomaires, de Thrips, de taupins, de blaniules ou de scutigérelles n a été signalée. Les pégomyies ont été observées dans quelques champs, sans nécessiter un traitement. Les chenilles de noctuelle défoliatrice ont été quasi absentes en Nématodes Comme à l accoutumée, la présence de kystes du nématode à kyste de la betterave a été visible sur les jeunes radicelles vers le début juin. Suite à la bonne gestion de la rhizomanie (variétés résistantes) et des parasites pendant les premières semaines de développement (traitements des graines), le nématode à kyste de la betterave est devenu le parasite le Le Betteravier 02/

12 plus préoccupant actuellement en betterave. Les maisons de sélection sont de plus en plus conscientes de l impact de ce parasite sur les rendements betteraviers. De plus en plus de variétés tolérantes au nématode à kyste sont proposées. Ces variétés présentent maintenant des rendements équivalents aux variétés classiques (tolérantes à la rhizomanie uniquement), en terres non infestées par le nématode. Grâce aux essais variétaux officiels des Ministères, mis en place par l IRBAB, 12 nouvelles variétés tolérantes au nématode à kyste de la betterave ont été inscrites aux catalogues régionaux en décembre 2012 (10 en 2011). Quelques dégâts juvéniles typiques de nématode du collet ont été observés en 2012 par l IRBAB Maladies foliaires cryptogamiques En 2012, la rouille est apparue en premier dans un champ d observation de l IRBAB, soit dès le 10 juillet. La fréquence de la ramulariose et de l oïdium est remarquée dès la dernière semaine du mois de juillet, déclenchant les premiers avis de traitement. Le seuil de traitement contre ces maladies a été atteint au tout début août, dans 25% des champs d observation de l IRBAB. La date de traitement T150 (50% des champs d observation au premier seuil de traitement T1) a été atteinte le 07/08 en 2012 (24/08 en 2011 ; 01/09 en 2010). Du fait de l élévation de la température au mois d août, le développement de la ramulariose a été freiné par la suite. La cercosporiose s est par contre développée très tardivement avec peu de conséquences sur le rendement. Quelques champs d observation ont atteint le seuil de traitement T2 vers la fin août. La majorité des champs ne devaient plus être traités à cette date. Un traitement fongicide effectué audelà du 10 septembre ou moins de 45 jours avant la récolte n est pas économiquement justifié. De plus l utilisation des produits est strictement réglementée et, en fonction des matières actives utilisées, un certain nombre de jours doivent être respectés entre la date du traitement et la date de récolte. La maladie des «petites taches jaunes» a été observée dans quelques champs en Un champignon phytopathogène du genre Stemphylium a été identifié en 2011 par l Institut de Recherches Betteravières des Pays Bas (IRS, BergenopZoom). Ce champignon a été établi comme étant responsable de cette maladie qui peut entraîner des pertes de rendement à la récolte. Aucun produit fongicide n est agréé en betterave contre cette maladie foliaire. La maladie de la «nécrose jaune», attribuée à un champignon du sol (Verticilium dahliae) a également été observée localement en La campagne d arrachage Les réceptions d usine ont ouvert à partir du 15/09, soit 10 jours plus tard qu en 2011 (24/09 chez ISCAL Sugar). Elles ont été clôturées au 3 janvier chez ISCAL Sugar et au 12 janvier à la Raffinerie Tirlemontoise. Un contretemps important à l usine de Wanze a retardé de plusieurs jours le planning de livraison à la Raffinerie Tirlemontoise. La très bonne marche des usines de Tienen et de Longchamps a ensuite permis de résorber une grande partie du retard accumulé. La durée nationale de campagne a été de 115 jours en 2012 (132 jours en 2011; 115 en 2010; 128 en 2009; 111 en 2008 et 93 en 2007). Le début de campagne fut relativement pluvieux. Suite à la pluviométrie importante du mois d octobre, les conditions d arrachage sont devenues de plus en plus difficiles, surtout en Flandre occidentale et dans le Westhoek. Il est ainsi tombé plus de 200 mm à Ostende en octobre. Une centaine d hectares de betteraves (*) n ont pas pu être arrachés dans ces régions. Une plateforme d essais de l IRBAB située dans cette région n a finalement pas pu être arrachée dans des conditions satisfaisantes et a dû être abandonnée (Figure 10). Le NordPasdeCalais, en France, a également été très affecté par des pluies encore plus importantes. Figure 10. L excès de précipitations en octobre a fortement entravé les opérations des derniers arrachages en Flandre occidentale. Une plateforme d essais de l IRBAB située dans cette région a dû ainsi être abandonnée. Figure 9 : Différence de sensibilité variétale à l égard des maladies foliaires (parcelles IRBAB non traitées, présence mixte de cercosporiose et ramulariose, prise de vue : 29 octobre 2012) La pression des maladies étant plus importante qu en 2011 et 2010, les différences variétales se sont mieux exprimées en 2012 dans les champs d expérimentation de l IRBAB (Figure 9) Autres maladies Comme chaque année, la maladie des taches noires (due à la bactérie Pseudomonas) était observée en juin, après les passages de grêle et d orages. Aucun traitement fongicide n est requis contre cette maladie secondaire, sans effet sur le rendement final. Grâce aux déterreurs avaleurs de tas, les tares terres sont dans l ensemble restées assez faibles tout au long de la campagne. Cependant, des tas de betteraves récoltées après la fin novembre ont parfois posé d importants problèmes de décrottage en Flandre occidentale, près de la frontière française (Figure 11). La tare totale nationale a été établie à 15,98% (*) en 2012 (12,33 en 2011 ; 16,24 en 2010 ; 13,69 en 2009 : 18,31 en 2008 et 18,71 en 2007). Établies au seuil de 300 degrés jours, les durées de conservation à long terme établies dans les essais de l IRBAB ont été quelque peu raccourcies suite à la douceur de la fin décembre (norme : arrachage au ±15/11 : 300 degrés jours atteints au ±15/01). Suite aux prévisions météorologiques faites par de nombreux modèles climatologiques, fort alarmantes à ce moment, un avis de protection des tas Du fait des conditions plus humides en juin, le rhizoctone brun a été un peu plus observé en 2012, surtout dans les terres à mauvaise structure. Des attaques précoces étaient déjà observées à la fin juin dans les terres infestées. Pareillement, des pourritures noires de la racine, causée par Aphanomyces étaient observées dans certaines parcelles, à la fin août. Cette maladie attaque superficiellement la racine de la betterave, mais peut engendrer des déformations importantes, même en cas d infection tardive. Le rhizoctone violet, qui apparait en fin de saison, a été moins observé en 2012, par rapport à Rappelons ici que les variétés tolérantes au rhizoctone brun ne sont pas du tout tolérantes à la pourriture causée par le rhizoctone violet. Figure 11. Les derniers arrachages dans le Westhoek ont parfois posé de très graves problèmes de tare terre. Les capacités de conservation d un tel tas de betteraves sont gravement compromises (photo ISCAL Sugar) /2013 Le Betteravier

13 Tableau 3 : Aperçu des principaux éléments qui ont influencé la culture de la betterave au cours des années 2007 à 2012 en Belgique Période de semis 15/315/5 24/215/5 6/34/5 13/326/4 7/318/4 15/321/5 Date de semis50 6/4 20/4 05/4 15/4 27/3 28/3 Fermeture des lignes dès le 20/5 dès le 20/6 dès le 5/6 dès le 15/6 dès le 20/5 dès le 10/6 Facteurs abiotiques : Gel printanier (+) + Gel en fin de campagne (+) (+) Mulot (+) (+) Limaces (+) + (+) Insectes et assimilés Atomaire souterrain (+) Atomaire aérien (+) Bibions (+) Blaniules Collemboles (+) Taupins Tipules (+) (+) (+) Altises Thrips + + (+) (+) Pégomyies (+) (+) (+) Pucerons verts (+) (+) (+) (+) (+) Pucerons noirs (+) (+) (+) Noctuelles (+) (+) + (+) Acariens (+) (+) Nématodes Nématode à kyste (*) Nématode du collet Jaunisse virale (+) (+) Maladies foliaires Oïdium (+) +(+) Cercosporiose (+) (+) ++ +(+) Ramulariose (+) (+) ++ Rouille «taches jaunes» (+) (+) + (+) Maladies racinaires Rhizomanie (*) Nécrose jaune (+) Rhizoctone brun (*) (+) (+) (+) (+) (+) Rhizoctone violet + + (+) + (+) Autres pourritures (+) Pourritures de stockage (+) Insectes utiles Coccinelles Chrysope Cantharide Légende : +++ : très forte présence; ++ : forte présence; + : présence restreinte; (+) : observations locales; : absence;? : présence probable non confirmée; (*) : en présence de variétés non tolérantes (depuis 2006, toutes les variétés de betterave utilisées pour la culture sont tolérantes à la rhizomanie) ++ (+) + ++ (+) (+) +(+) (+) contre le gel intense annoncé (surbâchage des tas bâchés avec Toptex au moyen d une bâche plastique) a été émis par l IRBAB, par la Raffinerie Tirlemontoise et par ISCAL Sugar en date du 5 décembre. Des gelées nocturnes atteignant par endroit 6 C en zone betteravière ont été observées vers le 78 décembre et également entre le 11 et le 13 décembre. Une nouvelle période de gel intense a été observée à partir du 12 janvier 2013, date à laquelle les dernières réceptions d usine étaient fermées. Alors qu il y avait eu 23 jours de neige en décembre 2010 à Uccle et que les conditions de fin de campagne avaient été particulièrement pénibles, il y a eu 5 jours de neige en décembre 2012 (pareil en 2011; norme : 4). Par contre, le mois de décembre 2012 détient le record de précipitations à Uccle (172 mm; norme : 81 mm) et le record du nombre de jours de pluie (28 jours; norme : 19 jours). Le bâchage des tas avec les bâches de type Toptex, destiné à limiter la pénétration de la pluie dans les tas, aura permis d y maintenir la tare terre au sec et de faciliter le travail de nettoyage des avaleuses décrotteuses de tas. Des passages très venteux en décembre ont néanmoins amenés de nombreux betteraviers à devoir renforcer les systèmes de fixation des bâches Toptex ou plastiques. 8. Rendements nationaux Les niveaux de rendement betteravier atteints en 2012 s établissent finalement en 3ème position, après les années records 2011 et De façon générale, l année climatologique 2012 peu favorable au démarrage de la culture, mais combinée à une date de semis précoce, aux techniques culturales, au choix des terres et au savoirfaire des betteraviers, à une faible pression parasitaire et à l évolution de la génétique aura permis à la betterave d exprimer en final son important potentiel de production. Les niveaux de rendement nationaux atteints (chiffres quasi définitifs au 10/01/2013) sont toutefois restés inférieurs à ceux des rendements théoriques attendus, établis selon la tendance de ces dix dernières années, à savoir : rendement racines : t/ha (*) (81,17 en 2011; 73,25 en 2010; 77,14 en 2009; 68,62 en 2008; 65,04 en 2007) (rendement racines théorique attendu en 2012 : 76,79 t/ha). richesse moyenne : 18,02 % (*) (17,80 en 2011; 17,14 en 2010; 18,66 en 2009; 17,82 en 2008; 17,15 en 2007) (teneur en sucre brut théorique attendue en 2012 : 17,66 %). rendement en sucre polarisé : 13,06 t/ha (*) (14,43 en 2011; 12,55 en 2010; 14,39 en 2009; 12,23 en 2008; 11,15 en 2007) (rendement sucre brut théorique attendu en 2012 : 13,43t/ha). Le rendement racines national ramené à 16 était de 81,64 t/ha (*) en 2012 (90,31 en 2011; 78,48 en 2010; 89,97 en 2009; 76,43 en 2008; 69,71 en 2007). (*) = chiffres quasi définitifs établis au 14/01/2013 Remerciements Cet article a été rédigé sur base des observations réalisées dans les champs d'observations et dans les parcelles expérimentales de l'irbab en Nous tenons à remercier ici le secteur BetteraveSucre (CBB et SU BEL) qui cofinancent l Institut. Nous remercions également les Ministères de la Région Wallonne et de la Région Flamande qui cofinancent entre autre le Programme Vulgarisation Betterave Chicorée (PVBC) et le réseau de champs d'observations en betterave et en chicorée. Sans oublier le secteur en amont (Semzabel et autres entreprises), nous remercions le personnel du CPLVegemar (Waremme) et du PIBO (Tongeren), ainsi que les nombreux betteraviers, agronomes de sucrerie, étudiants ou pensionnés qui ont participé au suivi hebdomadaire du réseau de champs d'observations. Le Betteravier 02/

14 Projet MontBlanc de la Raffinerie Tirlemontoise Ensemble pour un meilleur rendement betteraves et chicorées L efficacité de la culture de la betterave sucrière est la priorité de l interprofession betteravière et donc aussi de la Raffinerie Tirlemontoise. Dans ce contexte, la Raffinerie Tirlemontoise a mis en place un projet intitulé MontBlanc. Ce projet vise à aider les planteurs à améliorer leurs performances afin de pérenniser la profitabilité de la culture de la betterave. Ces dernières années, des progrès énormes ont été réalisés, notamment dans l obtention de nouvelles variétés, mais aussi concernant les techniques de semis, d arrachage ou encore de conservation. Chaque planteur doit donc se tenir informé de ces évolutions afin d en profiter au mieux dans sa ferme. L IRBAB constitue certainement un partenaire privilégié pour ce projet, tant en matière de recherche que de vulgarisation afin d aider les planteurs belges à rester au top. La culture de la betterave requiert un savoirfaire et de bonnes connaissances techniques qu il faut sans cesse remettre à jour au gré des évolutions technologiques. Le projet MontBlanc se veut être un catalyseur pour le transfert de technologie entre la recherche et les planteurs ainsi qu un vecteur de progrès pour la culture des betteraves dans les exploitations belges. Pour commencer, l attention sera concentrée en particulier sur les trois priorités suivantes : la conservation des betteraves, le choix variétal et la densité de semis et la lutte contre les adventices. Par ailleurs, le projet MontBlanc est décliné dans chaque pays du groupe Südzucker (Allemagne, Autriche, Belgique, France, Pologne) et des outils y sont développés pour aider tous les planteurs à atteindre une meilleure efficacité. L objectif est commun pour tous : atteindre le plus haut rendement en sucre à l hectare possible. Bien entendu, les chemins pour atteindre ce but peuvent être différents. En Belgique, la Raffinerie Tirlemontoise proposera à chaque planteur dès la fin du mois de janvier une synthèse de ses résultats betteraviers. Cette synthèse est une première étape du Projet Mont Blanc et a pour but d aider le planteur à connaître ses performances. Elle devrait aussi permettre d identifier certains points à surveiller et/ou à améliorer pour les prochaines campagnes (richesse, rendement, tares). Cette synthèse se veut être un point de départ de la réflexion sur les pratiques de chacun. Les résultats de chacun sont comparés avec ceux des 50 planteurs les plus proches. Cela permet donc à chacun de situer réellement ses résultats et de voir s il est possible de faire mieux dans sa région. Synthèse des résultats betteraviers par planteur Dans quelques jours, chaque planteur RT recevra un bilan des résultats de sa Date de livraison Rendement(T) Richesse (%) Campagne 2012 Campagne 2011 Campagne /10 30/10 10/11 13/11 RT Zone Votre résultat RT Zone Votre résultat RT Zone Votre résultat RT Zone Moyenne des 3 ans Votre résultat 73,1 78,6 81,8 15/49 81,2 78,8 92,4 3/51 72,6 70,6 74,8 16/ ,6 81,7 12/51 18,0 17,9 17,5 43/49 17,8 17,8 18,2 13/51 17,2 17,0 17,3 19/51 17,7 17,6 17,9 17/51 Sucre/ha (T) 13,2 14,1 14,3 19/49 14,5 14,1 16,8 4/51 12,5 12,0 12,9 17/51 13,3 13,2 14,6 13/51 Tares (%) culture de betteraves pour la campagne Ce bilan sera disponible sur le portail RT et sera ensuite envoyé plus tard par courrier postal. Chaque planteur pourra y trouver une comparaison de ses résultats betteraviers avec ceux de la cinquantaine de planteurs localisés autour de sa plus grande parcelle de betteraves pour la campagne Les résultats pour les campagnes 2011 et 2010 sont également présentés ainsi que la moyenne personnelle des 3 dernières années (voir tableau cicontre). totale 12,0 12,9 16,3 45/49 12,4 10,6 14,1 47/51 16,7 14,7 14,9 28/51 13,7 12,7 15,1 40/51 terre 6,0 6,7 9,1 44/49 5,7 4,9 6,3 47/51 10,0 8,4 7,7 23/51 7,2 6,7 7,7 38/51 déterré 3,0 4,6 5,0 39/49 4,2 4,9 6,3 47/51 6,8 8,3 7,7 24/51 4,7 6,0 6,3 ****** non déterré 5,0 4,6 7,0 11,8 17,6 7,9 17,6 ****** collet/brut 4,0 6,2 7,3 44/49 6,7 5,7 7,8 47/51 6,4 6,0 6,9 40/51 5,7 6,0 7,3 44/51 VITESSE DE LEVÉE ULTRARAPIDE, RICHE EN SUCRE, LOURD EN RACINES POUR TOUTES DATES D ARRACHAGE LA STABILITE EN RENDEMENT! ARDAMAX info@erauwjacquery.be FLORIMOND DESPREZ Créations Variétales ARDAMAX2012.indd 2 08/01/13 09: /2013 Le Betteravier

15 no déteré 5,0 7,0 4,6 1,8 10, 12, 42/51 7,9 4,9 12,4 5,7 4,0 3,2 12/51 10,0 3,0 4,2 3,4 3,2 12/31 6,8 5,0 7,0 4,6 6,7 7,8 6,0 terre déterré non déterré 4,0 collet/brut 5,5 8,5 Une carte permet de visualiser les planteurs avec lesquels les résultats ont été comparés (voir cicontre) des grarésultats betteraves 2012 et /Comparaison pluriannuelle phiques situent les résultats du planteur par rapport au ré VANERMEN LUC ATTENHOVEN sultat maximum réalisé dans sa zone des cinquante planteurs les plus proches et par rapport à la moyenne de la zone (ici par exemple, la richesse). A droite du graphique Campagne 2011 Campagne 2010 Campagne 2012 se trouve le classement du planteur par rapport aux plan12/11pour la 12/12 14/11 01/12 27/10l exemple cicontre e de livraison teurs de29/10 sa zone. Dans richesse 2012, le planteur en question est à la 43ème position dans RT Zone Votre résultat RT Zone Votre résultat RT Zone Votre résultat le classement des 49 planteurs auxquels il est comparé. 93,1 14/51 71,0 38/51 81,2 72,6 79,6 81,8 15/49 87,8 dement (T) 73,1 78,6 Chacun est invité à conserver ce document; un classeur 18,1 16/51 17,6 14/51 17,8 17,2 17,2 18,0 17,9 17,8 hesse (%) 17,5 43/49 vous sera fourni à cet effet lors des prochaines réunions 16,8 13/51 12,5 35/51 14,5 12,5 13,7 13,2 (voir 14,1dates14,3 15,6 re/ha (T) d hiver p.5).19/49 Afin d avoir accès à la es (%) synthèse des résulzone votre pluriannuelle avec 2012 /Comparaison Résultats betteraves betteraviers en 12,4tats 11,8 16,7 17,3 10,4 3/49 16,2 14,0 13,5 39/51 19,8 42/51 tale au 3,2 12/51 12,4 42/51 5,7primeur, 10,0 10,0 3,1 2/49 6,0 5,5 4,0 l accès rre portail de la RT est 4,2 3,2 12/31 6,8 3,0 3,4 éterré nécessaire. Pour on déterré 7,0 11,8 10,0 5,0 4,6 12,4 42/51 l obtenir, vous pou6,3 19/51 6,7 vez 7,8 6,4 7,3 12/49 4,0 8,5 6,8 10,4 ollet/brut envoyer un 47/51 mail à agroraftir@raftir. be en mentionnant votre numéro de partenaire RT ainsi que votre numéro de contrat betteraves 2012 (il se trouve en haut à droite de votre contrat, sous l intitulé «Numéro»). 3,1 2/49 7,3 12/49 avec votre zone 7, / / 5 1 6, / 5 1 6, 7 6, 4 5, 7 4, 0 7, 8,0 2 6 / 5 0 8, 5 7, 8 6, 8 1 0, colet/brut ATTENHOVEN VANERMEN LUC Date de livraison t Zone Votre résulta RT t Zone Votre résulta 79,6 71,0 38/51 75,6 82,0 82,0 22/50 72,6 17,7 17,6 17,8 17,6 14/51 17,8 17,2 17,7 24/50 17,2 12,5 14,5 16,8 13/51 13,4 15,6 12,5 35/51 14,5 13,7 14,6 22/50 16,7 17,3 19,8 42/51 12,4 42/51 14,4 11,8 13,5 39/51 3,2 12/51 3,2 12/31 15,1 12,4 14,6 28/50 6,2 19/50 81,8 15/49 81,2 Richesse (%) 18,0 17,9 17,5 43/49 Sucre/ha (T) 13,2 14,1 14,3 19/49 3/49 déterré non déterré collet/brut 16,2 6,0 14,0 5,5 10,4 3,1 2/49 3,0 5,0 4,0 5,7 4,2 7,0 8,5 7,3 12/49 Zone RT t Zone Votre résulta RT 18,1 16/51 78,6 terre Votre résultat 93,1 14/51 73,1 totale 14/11 87,8 RT Rendement (T) Tares (%) Moyenne des 3 ans 15/11 08/11 Campagne /12 Campagne /12 12/11 Campagne /10 29/10 6,7 4,0 3,4 4,6 7,8 10,4 47/51 10,0 10,0 6,8 11,8 6,4 10,0 6,8 12,4 42/51 6,3 19/51 7,2 4,7 7,9 5,7 6,5 1,1 4,9 7,7 3,2 12,4 8,0 26/50 08/11 RT 15/11 Zone Votre résultat 75,6 82,0 82,0 22/50 17,7 17,6 17,7 24/50 13,4 14,5 14,6 22/50 15,1 14,4 14,6 28/50 7,2 6,5 6,2 19/50 4,7 1,1 3,2 7,9 4,9 12,4 5,7 7,7 8,0 26/50 43/49 43/49 19/49 15/49 2/49 3/49 Communiqué du service agronomique de la Raffinerie Tirlemontoise 15/49 11,8 10,0 12,4 42/51 6,4 6,8 6,3 19/51 Selon le Mouvement pour une organisation mondiale de l Agriculture (Momagri), les soutiens globaux à la production agricole du Brésil et de la Chine se rapprochent, depuis 2010, de ceux de l Union européenne, stables depuis Au Brésil et en Chine, les soutiens agricoles globaux exprimés en pourcentage de la valeur de la production agricole, sont maintenant supérieurs à 20%. Ces 2 puissances économiques, pour soutenir leur agriculture et pour préserver leur souveraineté alimentaire, rattrapent pratiquement le taux de subvention de l UE (soutien total à l agriculture de 24% par rapport à la valeur de la production agricole) mais soutiennent encore 2 fois moins leur agriculture que les EtatsUnis dont le soutien global à l agriculture atteint 48%. Au cours de la période , les subventions agricoles par habitant ont très fortement augmenté en Chine, au Brésil et aux USA, respectivement de +130%, +60%, et +40%, alors que dans l UE, ils se sont à peine maintenus à leur niveau de Ces 15/49 soutiens prennent différentes formes. Au Brésil, ce sont des interventions directes des marchés, des dispositifs de stockage et des aides au développement des biocarburants (42% du soutien brésilien). Aux USA, il s agit aides complétées par des mécanismes assurantiels et un dispositif d aide alimentaire interne. En Chine, le gouvernement mène une politique de sécurisation de sa production agricole qui prend notamment la forme de prix minimum garantis, d aides directes au revenu, de programmes de protection sociale et d allègements fiscaux. Seule l UE accorde des soutiens découplés à la production, assortis de critères de verdissement, le socle de sa politique agricole. 19/49 RHIZOMANIE RESISTENT La relève est assurée! 3/49 BANDERA KWS Financier élevé : 102.7%* Type très riche : 103.8%* 12,4 42/51 Subventions agricoles : la Chine et le Brésil rattrapent l UE NOU 4 3 /4 9 2/49 3/49 Résultats: rhizomanie nouveautés 106 BTS BANDERA KWS Sucre % Moyenne des 3 ans 10,4 47/51 10, Rubens Coyote ELEONORA KWS 100 SABRINA KWS Texel 99 UTÉ A E V GONDOLA KWS BTS 880 Escault Mintaramax ROSALINDA KWS Financier /ha *IRBAB GONDOLA KWS Financier très élevé : 104.8%* Type équilibré, très bon compromis racine / richesse Faible tare terre : 93.7%* N É AUT E V OU * IRBAB ANZ_KWS_BE_Bandera_Gondola_LeBet_fr.indd :36 Le Betteravier 02/

16 Nouvelles inscriptions de betteraves sucrières au catalogue belge des variétés Résultats des nouvelles variétés de betteraves sucrières qui sont inscrites au catalogue après avoir participé aux essais officiels de 2011 et 2012 (moyennes de 9 essais sains) Variété (2) Recouvrement cercosporlaria foliaire ramu rouille Port oïdium (1) sol (1) (1) (1) (1) (1) plantes n/ha /ha racines net kg/ha 100= Coyote (T) Eleonora KWS (T) Sabrina KWS (T) Rosalinda KWS (T) Rubens (T) MOYENNE TEMOIN Gondola KWS Bandera KWS BTS BTS Mintaramax Escault Texel Zorro (ref RR) Iguane (ref RR) Vedeta (ref RR) Gecko (ref RR) Isabella KWS(ref RR) MOYENNE REFERENCE RR Tare terre kg/ha sucre % K mmol/ 100 g S Na mmol/ 100 g S an mmol/ 100 g S Zeppelin Baloo (ref NT) Baiji (ref NT) MOYENNE REFERENCE NT Lisanna KWS Genevieva KWS Cassini Euromax Greenmax Carreau Marjolaine Steel Tamise Biscay Balear Adler Ppds Columbus* * Non inscrite au catalogue national testée comme variété européenne (1) un chiffre élevé indique une cote favorable (2) T = variété témoin; ref RR= variété de référence résistant rhizoctone; ref NT = variété référence tolérant nématode Source : communiqué de presse Service Public de Wallonie Communiqué de presse de la Direction générale de l Agriculture, des Ressources naturelles et de l Environnement Service Public de Wallonie Résultats des nouvelles variétés de betteraves sucrières tolérantes au nématode à kyste de la betterave qui sont inscrites au catalogue après avoir participé aux essais officiels de 2011 et 2012 (moyennes de 6 essais infestés) tibilité Variété (2) K Na an Extractibilité brut blanc brut Sucre Sucre Financier racines net Tare terre sucre mmol/ mmol/ mmol/ kg/ha kg/ha % 100 g S 100 g S 100 g S % kg/ha kg/ha Euro/ha 100= MOYENNE TEMOIN RHIZOMANIE Baloo (Ref NT) Baiji (Ref NT) MOYENNE REFERENCE NT Lisanna KWS Genevieva KWS Cassini Euromax Greenmax Carreau Marjolaine Steel Tamise Biscay Balear Adler Ppds Montées Extrac % Sucre brut kg/ha Sucre blanc kg/ha Financier brut Euro/ha 16 02/2013 Le Betteravier

17 Suikerbietzaden Semences de betteraves sucrières Les vrais betteraviers savent pourquoi! variétés riches équilibrées productives rhizomanie Watson Rubens Benno rhizomanienématodes Cassini* Gandhi All field Pasteur Columbus* Charly Adler* rhizomanierhizoctone Zorro Zeppelin* *nouveau nous sommes les meilleures au champ! On a les meilleures betteraves dans la pratique... et les vrais betteraviers savent pourquoi! début de campagne BENNO Erquelinnes récolte 18/09 75 T à 18,1 =84,8 T à 16 = Kg sucre/ha GANDHI Gingelom récolte 15/10 80 T à 18,0 =90 T à 16 = Kg sucre/ha PASTEUR Renaix récolte 14/10 82 T à 18,07 =92,6 T à 16 = Kg sucre/ha milieu de campagne WATSON Binche récolte 20/10 83 T à 18,6 =96,5 T à 16 = Kg sucre/ha PASTEUR Eghezée récolte 31/10 94,5 T à 18,11 =106,9 T à 16 = Kg sucre/ha ZORRO Audenarde récolte 29/10 77,9 T à 17,56 =85,5 T à 16 = Kg sucre/ha collectionnez des points et recevez des cadeaux Bonus fin de campagne PASTEUR Celles récolte 30/11 94 T à 18,02 =105,8 T à 16 = Kg sucre/ha CHARlY Gembloux récolte 1/11 89 T à 18,4 =102,3 T à 16 = Kg sucre/ha RUBENS Tournai récolte 15/11 90,3 T à 18,25 =103 T à 16 = Kg sucre/ha + TOMBOLA!! gagnez un kit de vision latérale avant DE WULF AGRO sprl T Le Betteravier 02/

18 Pérou Un quota d importation de t de sucre L Union Européenne a accordé un contingent d importation de tonnes de sucre par an avec une augmentation annuelle de 960 tonnes. Ce contingent pourra être importé sur le marché UE dès 2012/13. Expansion de la production de sucre et d éthanol Au Pérou, on ne produit que du sucre de canne. En 2012, la production devrait atteindre 1,15 Mt, en hausse de 6% par rapport à Une augmentation qui s explique par des conditions climatiques favorables mais aussi par une augmentation des plantations. La production de sucre devrait continuer à augmenter grâce aux investissements prévus pour installer de nouvelles plantations et moderniser les sucreries. Le Pérou pourrait bien devenir autosuffisant voire excédentaire en sucre dans les années à venir. Le sucre est produit dans les riches vallées du Nord du pays, le long de la côte. La région de La Libertad produit 51 % du sucre du Pérou, suivie de Lambayeque et Lima avec respectivement 27 % et 15 %. La capacité de broyage est relativement faible mais comme la canne à sucre est produite toute l année, les usines n ont pas besoin d être très grandes. La superficie totale récoltée en 2011 était de hectares. Les rendements sont très variables, de même que les coûts de production. Le carburant étant le facteur de production le plus variable: de 5 à 90 litres par tonne de sucre produite. Toutes les cultures sont irriguées. Lorsque les conditions climatiques sont normales et que la canne est broyée à temps, la richesse en sucre est d environ 12 %. Une industrie sucrière concentrée 10 usines produisent du sucre au Pérou. Le groupe sucrier le plus important est Coazucar, une filiale du groupe multinational Gloria (premier producteur de lait au Pérou) et propriétaire de 3 plantations : Casa Grande, Cartavio et San Jacinto. Coazucar assure 46% de la production nationale. La marge d accroissement de la production est considérable. Casa Grande, par exemple, dispose de hectares dont seulement hectares sont en production. Casa Grande pourrait donc facilement doubler sa production de sucre très rapidement ou encore s orienter vers la production d éthanol. Les usines et plantations sont essentiellement aux mains de grands investisseurs privés péruviens et étrangers. Il reste encore deux usines, Pomalca et Tuman dans lesquelles le gouvernement détient des actions. Mais cellesci sont proposées aux sociétés privées intéressées. Consommation La consommation de sucre de canne est estimée à 1,23 Mt pour % sont destinés à la consommation directe et le reste à un usage industriel. Avec l amélioration de l économie péruvienne, la demande de sucre devrait augmenter, surtout dans le secteur des sodas et des produits de confiserie. Le prix moyen de vente du sucre au détail en 2011 était 1,05 $ le kilogramme, en hausse de 11 % par rapport à l année précédente. Concernant les débouchés du sucre raffiné, il y a le marché intérieur d au moins 1 million de tonnes ainsi que le marché du Chili, qui est déficitaire en sucre. Des exportations en hausse En 2012, les exportations sont estimées à tonnes de sucre. Les ÉtatsUnis sont de loin la première destination des exportations avec tonnes en 2011, suivis par la Colombie avec tonnes. Le quota d importation des EtatsUnis est un incitatif important pour les exportateurs péruviens. Le contingent américain est réparti entre les sucreries par le ministère de l Agriculture, en accord avec l Association des producteurs de sucre et de biocarburants péruvienne(appab). Un comité du sucre, composé de représentants du Ministère de l Agriculture, suit l évolution de l offre et de la demande avant l approbation des expéditions pour l exportation, y compris aux EtatsUnis dans le cadre du contingent tarifaire. Avec l augmentation de la production, les importations devraient chuter à tonnes en Avec une part de marché de 46 %, la Colombie continue à être le principal exportateur de sucre vers le Pérou. Nouveaux projets dans l éthanol Coazucar va démarrer la production d éthanol au départ des trois plantations qu elle exploite. La production devrait démarrer en mars. L éthanol produit est destiné à l exportation notamment en Equateur, le pays voisin. Il y a bien un marché intérieur suite à l incorporation de 7,8% d éthanol dans l essence mais celuici est déjà couvert par d autres sociétés productrices d éthanol. En effet, deux autres sociétés produisent l éthanol : le groupe local Romero, filiale d Agricola del Chira ainsi qu une filiale du groupe américain Maple Energy, également présent dans l exploitation du gaz péruvien. Coazucar est en passe de devenir le troisième producteur d éthanolcarburant du pays. Les principaux marchés d exportation de l éthanol sont les PaysBas avec 41%, suivis par la Colombie et l Equateur avec respectivement 26% et 25%. Sources :USDA, Gain report, Peru, Sugar annual ; Sugar online rendement verger structure du sol prairie NEUTRAFERTIL Ecumes : l efficacité au bon prix INFO : Longchamps Tienen Oreye /2013 Le Betteravier

19 Colombie Un quota d importation de tonnes de sucre A partir de 2012, l UE a accordé un contingent d importation à la Colombie de t de sucre avec une augmentation annuelle de t. La Colombie est le producteur le plus performant d Amérique Latine La production de sucre en Colombie est située dans la vallée du rio Cauca hectares de cannes y sont plantés. 24% sont des terres détenues par les sucreries et les autres 76% appartiennent à des planteurs de canne. Ces producteurs fournissent les 13 sucreries de la région. Contrairement à son voisin le Pérou, les possibilités d expansion sont très limitées. La surface disponible pour la canne se situe dans la vallée de la rivière Cauca, déjà totalement exploitée et limitée par les montagnes. Comme à Hawai et au nord du Pérou, on peut planter et récolter la canne pendant toute l année. Cette particularité conjuguées aux progrès technologiques font de la Colombie, le producteur le plus performant d Amérique latine, avec un rendement moyen de 120 tonnes de cannes par hectare suivie par le Guatemala (100 t/ha), le Brésil (80 t/ha) et le Mexique (70 t/ha) et un rendement en sucre de 14 tonnes de sucre par ha et par an. En 2011/2012, la production de sucre devrait atteindre 2,31 millions de tonnes, soit tonnes de plus que l année précédente. Les augmentations de production de sont consacrées à l expansion des installations de production d éthanol. En 2013, la production d éthanol devrait augmenter de litres par jour avec la mise en production d une nouvelle usine d éthanol. En 2011, hectares de cannes ont été récoltés dans la vallée du Cauca, soit hectares de plus qu en 2010 ; une hausse stimulée par les prix du sucre élevés. 18 % de cette superficie est consacrée à la production d éthanol. En Colombie, la canne à sucre se récolte toute l année. Le sucre et l éthanol sont produits en continu. Le marché est approvisionné régulièrement et sans interruption. Il n y a donc pas de mesures incitatives pour maintenir les stocks. En 2012/2013, on prévoit une diminution des stocks de tonnes à un niveau de tonnes. Deuxième producteur mondial de sucre non centrifugé La Colombie est le deuxième plus grand producteur de sucre non centrifugé (panela) au monde après l Inde. Il s agit d un sucre artisanal produit à la ferme. En 2011, la canne à sucre récoltée en Colombie pour la panela était hectares sur un total de hectares. La production a atteint 1,2 Mt de panela, soit tonnes de moins que l année précédente. La production de panela devrait rester stable en La panela est produite dans fermes. CAÑA, étudie la possibilité d augmenter la productivité de la canne et espère augmenter les rendements de la canne de 120 t à 160 t/ha en Consommation La consommation intérieure de sucre en Colombie est d environ 1,6 Mt. 52% de la production sont destinés à la consommation directe par les ménages et 48% à la fabrication de produits alimentaires, de boissons pour la consommation humaine et d autres produits industriels. Pour la campagne 2012/13, la consommation de sucre colombien est estimée à 1,64 Mt, soit 1 % de plus que l an dernier. La consommation est soutenue par la demande croissante du secteur de la confiserie et à l augmentation des exportations de produits alimentaires transformés. Des exportations en hausse La Colombie est un exportateur net de sucre. Le volume des exportations dépend du prix du sucre et de l éthanol sur le marché mondial. Les exportations devraient augmenter, passant de tonnes à tonnes en 2012/13. Le Chili est la première destination pour les exportations qui ont atteint tonnes en 2010/11, soit 44 % de plus que l année précédente. Les autres destinations le Pérou et Haïti. Les EtatsUnis représentent 5 % des exportations. Les importations de sucre en Colombie ont diminué à t en 2010/11. Elles devraient augmenter de t en 2011/2012 suite à l augmentation de la consommation intérieure et des exportations. Le Brésil, la Bolivie, le Guatemala et le Pérou ont fourni 98 % du total des importations vers la Colombie. Le commerce bilatéral de sucre ainsi que des produits contenant du sucre fait également l objet d un accord avec les EtatsUnis par lequel la Colombie reçoit un contingent tarifaire à droit nul de tonnes d équivalent sucre brut qui augmentera annuellement de 750 tonnes. En vertu des règlements de la Communauté andine, les importations de sucre en provenance d autres pays de la Communauté andine sont autorisés sans droits d entrée dans le marché colombien. Les importations en provenance de l extérieur de la Communauté andine sont soumis à un taxe Suite à la p.20 > La production de sucre en Colombie est située dans la vallée du Cauca CHEROKEE Une hâtive qui a du poids Valorise les arrachages précoces La plus stable des variétés riches Richesse 11 12: 102,3 % MAGELLAN La plus vendue en 2011 et 2012 La variété référence du marché par excellence Un haut revenu en toutes conditions Rendement 12: 104T à 16 TEXEL Une nouvelle race venue d ailleurs Type équilibrelourd 2011: Rdt. Rac.: 105,8% Rev. fin.: 102,6% 2012: Rdt. Rac.: 103,4T à 16 La production d éthanolcarburant a débuté en 2005, après que le gouvernement ait décidé l obligation d incorporer 8 % de bioéthanol à l essence. Depuis 2005, cinq des treize usines ont des distilleries pour la production d éthanol. En 2011, la production d éthanol a atteint 337 millions de litres et sa capacité de production a atteint 1,3 millions de litres par jour. Vu la limitation des surfaces, l industrie sucrière, à travers son centre de recherches CENI Source: Source : IRBAB 12 W W W. S E S V A N D E R H A V E. C O M Le Betteravier 02/ SV_B122 x H360_Betteravier_FR.indd 2 15/01/ :39:56

20 Suite de la p.19 > révisée chaque année. Le taux de base sur les importations de sucre brut et raffiné en provenance des pays autres que ceux de la Communauté andine est de 15 %. La Colombie produit davantage de sucre que sa demande interne. Elle est donc un exportateur net. Afin d éviter une offre excédentaire du marché intérieur qui ferait baisser les prix, un système de régulation des prix a été instauré. Sources : USDA Gain report Columbia Sugar annual BISCAY La plus riche des nouvelles variétés Très bonne vitesse de levée Rev. Fin : Infest. : 101,4% Tous sites : 103% Richesse 11 12: Infest. : 103% Tous sites : 103,7% La panela est un sucre artisanal produit à partir du jus de canne à sucre sans centrifugation. 80% des surfaces de cannes y sont consacrées. Bioéthanol Baisse de la production américaine Depuis 2007, un règlement fédéral (Renewable Fuel Standard, RFS) impose d incorporer une quantité donnée d éthanol dans l essence automobile. En 2012, cela représente environ 50 millions de tonnes d éthanol, soit près de 120 millions de tonnes de maïs, ou 40 % de la production nationale de cette céréale. BALOO Votre référence Recouvrement rapide du sol Très bonne conservation en silo Suite à la sécheresse de cet été, les Etats Unis, premier producteur mondial de bioéthanol, se dirigent vers la première baisse de production estimée à 14 %. En cause, l augmentation des coûts de production et le ralentissement de la demande donnant lieu à des fermetures d usines. Une dizaine de sociétés ont fermé des distilleries d éthanol après que la pire sécheresse depuis les années 1950 ait mis le prix du maïs à des niveaux record tandis qu on assistait à une baisse de la demande d essence. Dans son dernier bulletin de conjoncture, le ministère américain de l Energie estime que la production d éthanol atteindra 49 Mm 3 en 2013, soit 5,6 % de moins que l objectif de consommation de 52 Mm 3 Une enzyme pour mieux extraire le sucre des parois cellulaires Selon hydrogenfuelnews.com, des chercheurs dépendants du Département américain de l énergie, ont identifié une enzyme qui pourrait augmenter considérablement la récupération de sucre galactane à partir des parois cellulaires des plantes. Le galactane est un sucre à six carbones qui peut facilement être fermenté en éthanol, l un des biocarburants les plus utilisés aux ÉtatsUnis. Le galactane fait l objet de recherches depuis plusieurs années. Les chercheurs y voyant la clé de l amélioration de l efficacité de la production de biocarburants. Les chercheurs estiment que le galactane pourrait être utilisé pour produire davantage d éthanol, notamment des biocarburants de seconde génération (à partir de déchets, ) qui pourraient remplacer les carburants fossiles traditionnels. Pour l instant, le département américain de l Énergie poursuit ses recherches sur les biocarburants, ainsi que d autres formes d énergie alternative. En 2012, le gouvernement fédéral a adopté un plan énergétique pour soutenir la recherche et le développement d énergie solaire, éolienne, etc. Une enzyme pour améliorer la productivité de l éthanol Le danois Novozymes, numéro un mondial des enzymes industriels, a annoncé le lancement d une enzyme qui réduit la quantité de maïs nécessaire à la production d éthanol. Cette enzyme appelée Novozymes Avantec permettrait d extraire 2,5% de plus d éthanol à partir du maïs. Selon le groupe danois, pour une usine américaine de bioéthanol, les économies sont substantielles. Une usine utilise environ tonnes de maïs par an pour produire 100 millions de litres d éthanolcarburant, tonnes d aliments pour animaux (DSDS) et tonnes d huile de maïs. Avec Novozymes Avantec, il faudrait tonnes de maïs de moins pour produire la même quantité d éthanol. Si les EtatsUnis, premiers producteurs mondiaux de bioéthanol, employaient cette enzyme, ils économiseraient 3 Mt de maïs par an. Cette innovation vient à point car l éthanol de maïs, biocarburant de première génération, est la cible de critiques des écologistes qui y voient une concurrence avec les cultures alimentaires. Sources : F.O. Licht,novozymes.com Source : IRBAB 12 Rdt. Rac : Infest. : 102,6% Tous sites : 102,7% BALEAR La productivité à l état pur Excellent potentiel de rendement Rdt. Rac : Infest. : 105,9% Tous sites : 107% Rev. Fin : Infest. : 103,6% Tous sites : 105,5% W W W. S E S V A N D E R H A V E. C O M 20 02/2013 Le Betteravier SV_B122 x H360_Betteravier_FR.indd 1 15/01/ :39:17

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