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1 Bulletin d information CAROTTE, CÉLERI, LAITUE, OIGNON, POIREAU, RADIS No 1 19 avril 2002 LES MÉTHODES DE LUTTE ALTERNATIVES CONTRE LES MALADIES FONGIQUES ET BACTÉRIENNES DANS LA CAROTTE, LE CÉLERI, LA LAITUE ET L'OIGNON Un système de lutte efficace, économique et durable contre les maladies ne peut reposer uniquement sur les applications de pesticides. Les meilleurs résultats sont obtenus quand on utilise un ensemble de moyens de lutte parmi lesquels les méthodes dites préventives jouent souvent un rôle très important. Un tableau résumant, pour chaque maladie, les moyens de survie et de dispersion de même que les méthodes de lutte préventives recommandées est disponible à la fin de ce bulletin. Le texte qui suit présente, pour sa part, les informations de base permettant de bien comprendre et de bien utiliser ce tableau. Il inclut aussi certaines recommandations plus générales qui ne sont pas nécessairement répétées au tableau final. Comment fonctionnent les rotations? L'efficacité des rotations pour la lutte contre les ennemis des s est reconnue universellement. Cette efficacité repose sur deux principes : 1- En l'absence d'une plante hôte, c'est-à-dire une plante qu'il peut infecter et sur lequel il peut se nourrir et se multiplier, un pathogène finit par mourir au bout d'un certain temps. Ceci est surtout vrai pour les pathogènes qui ne possèdent pas de structures spéciales capables de survivre à long terme dans le sol (ex. : sclérotes). Par contre, même pour les maladies qui ont des structures de survie à long terme, la rotation est bénéfique. Premièrement, on évite que la banque de pathogènes dans le sol s accroisse d année en année et, deuxièmement, on permet une certaine réduction de cette banque puisque, à chaque année, un certain nombre de structures de survie disparaissent (parasites du sol, facteurs abiotiques, etc.). En pratique, plus la banque de pathogènes sera maintenue basse, plus il sera facile de travailler efficacement avec les autres méthodes de lutte disponibles (incluant les pesticides) et, bien entendu, moins il y a de chance que les pertes dépassent le seuil économique acceptable. 2- La rotation des s influence la santé générale des plantes ce qui les rend plus aptes à se défendre contre l'infection des pathogènes. C'est un fait reconnu que les plantes en rotation poussent mieux que les plantes en mono. On attribue cet effet à un meilleur équilibre du sol en terme de fertilité, de porosité et de vie microbienne. Secrétariat du RAP : 200, chemin Sainte-Foy, 9 e étage, Québec (Québec) G1R 4X6 Téléphone : (418) , postes 3551 ou 3581 Télécopieur : (418) Courriel : rap@agr.gouv.qc.ca Page Web :

2 L'erreur grave que producteurs font est la suivante : ils attendent d'avoir un problème dans leur champ avant de débuter la rotation. Les rotations sont plus efficaces pour prévenir le développement de populations de pathogènes élevées que pour réduire les populations déjà hautes. De plus, si on est aux prises avec un pathogène capable de survivre à long terme, on se retrouve avec un problème sur lequel une rotation standard de 2 ou 3 ans aura peu d'effet. Les correctifs risquent donc d'affecter fortement la rentabilité de l'entreprise. En résumé, la rotation doit avant tout être considérée comme une méthode de lutte préventive. La survie des maladies dans les champs Les organismes responsables des maladies possèdent différentes méthodes leur permettant de survivre quand la n'est plus présente dans les champs. À ces différentes méthodes de survie, on peut associer certaines méthodes de lutte préventive. Dans les débris de s : Plusieurs pathogènes demeurent actifs tant qu'ils sont à l'intérieur des parties de plantes malades. Ils peuvent, soit réinfecter les plantes saines par contact direct, soit produire des spores qui pourront, elles, aller infecter de nouvelles plantes. La destruction de cette source de maladie se fait habituellement par la décomposition naturelle des débris de par les microorganismes du sol. Les pratiques culturales qui suivent la récolte doivent donc le plus possible encourager cette décomposition. On recommande d'enfouir les débris de le plus tôt possible après la récolte et même, si possible, de les hacher avant de les incorporer. La majorité des références recommandent une rotation de 2 ans sans la sensible pour permettre la décomposition des débris de. Toutefois, en pratique, si les débris ont été bien hachés et bien incorporés au sol et que ce dernier possède un bon taux de matière organique, une bonne aération et une bonne capacité de retenir l'eau, il est fort probable qu'une rotation d'une année sera suffisante. Dans le sol : Certains pathogènes peuvent survivre directement dans le sol après la décomposition de la plante. Ils le font soit sous forme de spores de survie soit sous forme de structures dormantes appelées «sclérotes». Habituellement, ces structures se réveillent dès qu'elles sont mises en présence d'une sensible. Les spores et les sclérotes de certaines maladies sont capables de survivre dans le sol années. Pour ces maladies, on doit le plus possible viser à prévenir la construction d'une population élevée de pathogènes dans le sol de façon à maintenir les pertes à un niveau acceptable. Les rotations préventives suffisamment longues demeurent le principal moyen de lutte contre ces pathogènes. Les traitements de semences avec un fongicide peuvent aussi aider à prévenir l'attaque des jeunes plantules (fonte des semis). Sur les mauvaises : Certains pathogènes peuvent aussi s'attaquer à des mauvaises. Ces dernières deviennent donc une source potentielle de maladie pour la. Un désherbage adéquat des champs tout au long de la séquence des s dans la rotation combiné avec le fauchage régulier des bordures de champs représentent les mesures les plus appropriées de prévention. Sur la semence : Quelques maladies survivent sur les semences et peuvent donc être introduites dans vos champs ou vos serres (production de plants) par leur entremise. Les compagnies de semences sont bien au fait de cette situation et la majorité feront le maximum pour vous fournir des semences saines ou traitées de façon appropriée (fongicide ou eau chaude). Par contre, comme il vaut mieux prévenir que guérir, on vous recommande de toujours vérifier ce point auprès de votre grainetier. Certaines compagnies ne font les traitements requis que sur demande. CAROTTE, CÉLERI, LAITUE, Bulletin d'information No 1 page 2 OIGNON, POIREAU, RADIS

3 Les modes de dispersion des pathogènes Les pathogènes utilisent différentes méthodes pour se propager d'une plante à l'autre ou d'un champ à l'autre. L'eau : Les bactéries et les spores de certains champignons se propagent dans les gouttelettes d'eau. Ce sont donc les éclaboussures provenant d'un sol ou de plants contaminés qui vont contribuer à répandre la maladie. En pratique, pour ce type de pathogène, dès l'observation des premiers signes de la maladie, il faudra éviter d'irriguer par aspersion ou de circuler dans les champs (main d'œuvre ou machinerie) lorsque le feuillage est humide. Le sol : Les mouvements de sol représentent un moyen de propagation non négligeable pour maladies. Le sol qui demeure collé aux roues de tracteurs et aux autres équipements est sans doute le principal élément à considérer bien que l'érosion hydrique et éolienne y participent également. Les champs infectés devraient toujours être les derniers à subir les opérations culturales et la machinerie devrait toujours être nettoyée par la suite. L'air : Les pathogènes qui produisent des spores capables d'être transportées par les vents sont parmi les plus redoutables. Ils peuvent ainsi se propager sur de grandes distances et, lorsque les conditions sont favorables, le niveau de maladie peut rapidement devenir épidémique (ex. : brûlure de la feuille dans l'oignon). Pour ralentir la propagation de ces maladies, on recommande : de commencer les semis (ou les plantations) sur les terres situées à l'est de la ferme et de finir par celles situées à l'ouest de façon à ce que les champs plus âgés ne deviennent pas une source de maladie importante pour les plus jeunes (sens des vents dominants), d'enfouir les débris de immédiatement après la récolte, de détruire les repousses de légumes de l'année précédente et, bien entendu, d'éliminer rapidement les rebus de classement. LE GROUPE D'EXPERTS EN PROTECTION DES LÉGUMES MARIO LEBLANC, agronome Avertisseur - terre noire Centre de services de Saint-Rémi, MAPAQ 118, rue Lemieux, Saint-Rémi (Québec) J0L 2L0 Téléphone : (450) , poste Télécopieur : (450) Courriel : Mario.Leblanc@agr.gouv.qc.ca Édition et mise en page : Rémy Fortin, agr. et Gail Bellerive, RAP Reproduction intégrale autorisée en mentionnant toujours la source du document Réseau d'avertissements phytosanitaires Bulletin d information No 1 carotte, céleri avril 2002 CAROTTE, CÉLERI, LAITUE, Bulletin d'information No 1 page 3 OIGNON, POIREAU, RADIS

4 LES MOYENS DE SURVIE ET DE DISPERSION DES MALADIES AINSI QUE LES MÉTHODES DE LUTTE PRÉVENTIVES Culture Maladie Pathogène Survie Dispersion Carotte Brûlure Cercospora cercosporéenne et carotae Brûlure Alternaria dauci alternarienne Dépérissement pythien (rousselure) et Cavité pythienne ou maladie de la tache (fendillement horizontal) Pourriture blanche sclérotique Rhizoctone Pythium spp Sclerotinia sclerotiorum Rhizoctonia carotae (sclérotes : 5 ans ou plus) (1 an) Caissespalettes (sclérotes) Caissespalettes 2 ans minimum sans carotte. Le persil est aussi affecté par Alternaria. avec les crucifères, l oignon, la pomme de terre ou le maïs (pas de luzerne). avec oignon (ou autre alliacée), betterave, épinard, maïs ou céréales (ou autre graminée). sans carotte. Serait cependant peu efficace parce que le pathogène survit très longtemps dans le sol. Enfouir les débris de rapidement après la récolte. Utiliser des semences traitées (fongicide ou eau chaude). Choisir des cultivars tolérants. Éviter les densités de semis élevées et les entre rangs étroits. Bien fertiliser en azote les sols minéraux (réduit la tache alternarienne). Ne pas semer de nouveaux champs près d un champ infesté l année précédente. Choisir des variétés tolérantes. Améliorer le drainage et cultiver sur billons. Utiliser des semences traitées avec un fongicide (fonte des semis). Éviter les excès d azote. Éviter les sols très argileux. Récolter dès que les carottes sont matures car les carottes âgées sont plus sensibles à la maladie. Éviter de semer en carotte les sols qui ont un historique d humidité excessive. Améliorer le drainage et cultiver sur billons. Effectuer un labour profond (20-25 cm) une fois par année pour enfouir les sclérotes en profondeur. Détruire les mauvaises. Inonder les champs en hiver. Laver et désinfecter les caisses-palettes. Refroidir rapidement les carottes après la récolte. Améliorer le drainage et cultiver sur billons. Détruire les mauvaises. Laver et désinfecter les caisses-palettes. Refroidir rapidement les carottes après la récolte. Éviter l excès d humidité en entrepôt. Réseau d'avertissements phytosanitaires Annexe au Bulletin d'information No 1 - réseau carotte, céleri, laitue, oignon, poireau, radis, page 4

5 Culture Maladie Pathogène Survie Dispersion Carotte Rhizoctone commun Rhizoctonia (sclérotes) (suite) solani Céleri Brûlure bactérienne Pseudomonas syringae pv. apii Brûlure septorienne et Brûlure cercosporéenne Jaunisse fusarienne Pourriture rose sclérotique Tache brune Septoria apiicola et Cercospora apii Fusarium oxysporum f.sp. apii Sclerotinia sclerotiorum Acremonium apii (1 ans) (2 ans) (spores : 10 ans) (sclérotes : 5 ans ou plus) (1 an) (Cer) Peu efficace parce que le pathogène survit très longtemps dans le sol et s attaque à espèces de plantes. Dans l État de New York, on recommande par contre une rotation avec les céréales à grain. sans céleri. sans céleri. avec oignon et laitue (éviter la carotte, le maïs et les crucifères). avec oignon (ou autre alliacée), betterave, épinard, maïs ou céréales (ou autre graminée). sans céleri. Améliorer le drainage et cultiver sur billons. Éviter de cultiver des carottes dans les champs où cette maladie a occasionné des pertes élevées par le passé. Éviter les renchaussages excessifs sous des conditions humides. Labourer rapidement après la récolte pour accélérer la décomposition des carottes. Utiliser des semences traitées avec un fongicide (fonte des semis). Récolter tôt les champs malades. Utiliser de la semence âgée de 2 ans ou traitée (eau chaude). Éviter de circuler dans les champs où la maladie est présente surtout si le feuillage est humide. Utiliser des cultivars résistants. Utiliser de la semence âgée de 3 ans ou traitée (eau chaude + fongicide). Éviter de circuler dans les champs où la maladie est présente surtout si le feuillage est humide. Si la maladie a déjà été observée dans un champ, utiliser des cultivars résistants. Éviter les déplacements de sol contaminé (machinerie, travailleurs, eau de ruissellement). Lors des opérations culturales, toujours faire les champs malades en dernier et bien nettoyer la machinerie par la suite. Si possible, arracher les plants malades et les détruire hors du champ. Enfouir les débris de rapidement après la récolte. Effectuer un labour profond (20-25 cm) une fois par année pour enfouir les sclérotes. Enfouir les débris de rapidement après la récolte. Détruire les mauvaises. Inonder les champs en hiver. Utiliser des cultivars résistants. Assurer une croissance vigoureuse par un drainage et une fertilisation adéquate. Éviter de circuler dans les champs où la maladie est présente surtout si le feuillage est humide. Enfouir les débris de rapidement après la récolte. Réseau d'avertissements phytosanitaires Annexe au Bulletin d'information No 1 - réseau carotte, céleri, laitue, oignon, poireau, radis, page 5

6 Culture Maladie Pathogène Survie Dispersion Laitue Affaissement Pythium sp. (spores : pythien ou Affaissement sec Affaissement sclérotique Anthracnose Mildiou Sclerotinia sclerotiorum et S. minor Microdochium panattonianum Bremia lactucae (sclérotes : 5 ans ou plus) (1 an) (composées) Moisissure grise Botrytis cinerea (sclérotes : Plusieurs mauvaises Nécrose marginale (bactérie) Xanthomonas campestris pv vitians Peu efficace parce que le pathogène survit longtemps dans le sol et s attaque à espèces de plantes. avec oignon (ou autre alliacée), betterave, épinard, maïs ou céréales (ou autre graminée). sans laitue. Favoriser une meilleure aération, améliorer le drainage et cultiver sur billons. Utiliser des semences traitées avec un fongicide (fonte des semis). Éviter d effectuer des opérations culturales lorsque le sol est très humide. Éviter d endommager les racines lors des opérations culturales. Éviter les sols compactés et mal drainés. Favoriser une meilleure aération, améliorer le drainage et cultiver sur billons. Enfouir les débris de rapidement après la récolte. Effectuer un labour profond (20-25 cm) pour enfouir les sclérotes. Inonder les champs en hiver. Effectuer un labour profond pour enfouir les débris car le pathogène survit sur les déchets secs. Utiliser des semences commerciales saines ou traitées avec un fongicide. Ne pas mélanger les laitues saines avec les laitues malades dans les boîtes. Éviter d irriguer par aspersion. Éviter de circuler dans les champs lorsque le feuillage est humide. 2 ans sans laitue. Effectuer un labour profond pour bien enfouir les débris de. S ils sont disponibles, utiliser des cultivars résistants (même si de nouvelles races de mildiou capables de surmonter cette résistance apparaissent rapidement). Pour réduire la quantité de résidus de et la survie des sclérotes. sans laitue. Prévenir la maladie sur les plants en serre puisque généralement l infection débute à cet endroit. Favoriser une meilleure aération, améliorer le drainage et cultiver sur billons. Enfouir les débris de rapidement après la récolte. Surveiller la fertilisation : une augmentation du niveau de calcium et une réduction de l azote augmentent la résistance à la maladie. Limiter les blessures au feuillage lors des opérations culturales. Éviter de circuler dans les champs où la maladie est présente surtout si le feuillage est humide. Enfouir les débris de rapidement après la récolte. Réseau d'avertissements phytosanitaires Annexe au Bulletin d'information No 1 - réseau carotte, céleri, laitue, oignon, poireau, radis, page 6

7 Culture Maladie Pathogène Survie Dispersion Laitue Pourriture basale Rhizoctonia (sclérotes) (suite) solani Oignon Alternariose ou Tache pourpre Brûlure de la feuille Charbon Maladie des racines roses Alternaria porri Botrytis squamosa Urocystis magica (syn. U. colchici ou U. cepulae) Phoma terrestris (syn. Pyrenochaeta terrestris) (sclérotes : 21 mois et plus) (spores : jusqu à 15 ans) (spores : Peu efficace parce que le pathogène survit très longtemps dans le sol et s attaque à espèces de plantes. 2 à 3 ans sans alliacées. sans alliacées. Oui, pour éviter l accumulation des spores dans le sol compte tenu que le traitement de semence n est pas efficace à 100 %. sans alliacées si les pertes sont sévères. Éviter le maïs, les graminées, le radis, l épinard et le panais comme précédant l oignon dans la rotation. Favoriser une meilleure aération, améliorer le drainage et cultiver sur billons. Effectuer un labour profond (20-25 cm) une fois par année pour enfouir les sclérotes. Éviter de cultiver la laitue dans les champs où cette maladie a occasionné des pertes élevées par le passé. Choisir des variétés plus hâtives (ex. : laitue frisée) ou à port plus érigé (ex. : romaine). Enfouir les débris le plus tôt possible après la récolte. Détruire les tas d oignons rejetés. Éviter d endommager les bulbes lors des opérations culturales. Si possible, détruire hors du champ les feuilles d oignons malades. Bien sécher les oignons avant l entreposage. Enfouir les débris le plus tôt possible après la récolte. Détruire les tas d oignons rejetés. Si possible, détruire hors du champ les feuilles d oignons malades. Éliminer les repousses dans tous les champs cultivés en oignon l année précédente. Utiliser des semences traitées avec le fongicide ProGro (selon les ontariens, dans les champs infestés, il serait préférable d utiliser le fongicide granulaire Dithane DG). Semer sur un sol suffisamment réchauffé pour permettre une germination et une émergence rapide des jeunes plantules, les oignons n étant sensibles à l infection que durant cette courte période. Ne pas semer trop profondément. Ne planter que des oignonets («sets») ou des transplants exempts de charbon. Sur un sol infesté, les transplants et les oignonets sains peuvent être plantés puisqu ils ne sont pas affectés par la maladie. Utiliser des cultivars résistants. Réduire au minimum les stress aux plants par une irrigation, une fertilisation et un drainage adéquats. Éviter les déplacements de sol contaminé. Réseau d'avertissements phytosanitaires Annexe au Bulletin d'information No 1 - réseau carotte, céleri, laitue, oignon, poireau, radis, page 7

8 Culture Maladie Pathogène Survie Dispersion Oignon Mildiou Peronospora (suite) destructor Pourriture bactérienne Pourriture basale fusarienne Pourriture blanche Pourriture du col Pseudomonas gladioli pv allicola et P. cepacia Fusariose oxysporum f.sp. cepae Slerotium cepivorum Botrytis allii (syn. B. aclada) (probable) sans alliacées. Peu efficace mais réduirait tout de même la quantité de bactéries dans le sol. (spores) sans alliacées. (sclérotes : (sclérotes : 4 ans ou plus sans alliacées (le poireau est moins sensible). sans alliacées. Enfouir rapidement les résidus de. Détruire les tas d oignons rejetés. Éliminer les repousses dans tous les champs cultivés en oignon l année précédente. Éviter d endommager le feuillage et les bulbes lors des opérations culturales. Éviter d irriguer par aspersion après le début de la bulbaison. Bien sécher les oignons avant l entreposage. Utiliser un cultivar résistant. Améliorer le drainage. Bien sécher les oignons avant l entreposage. Si possible, arracher et brûler les plants malades de même que le sol contaminé à proximité. Éviter les déplacements de sol contaminé. Inonder les champs (4 semaines) au printemps. Éviter les doses excessives ou les applications tardives d azote qui sont propices à la production de gros collets favorables à la maladie. Détruire les tas d oignons rejetés. Bien sécher les oignons avant l entreposage. Éliminer les oignons à gros col avant l entreposage. Alliacées : oignon, ail, poireau, oignon vert, échalote Crucifères : chou, chou-fleur, brocoli, radis, chou chinois, rutabaga, navet, moutarde Graminées : avoine, blé, orge, seigle, maïs-grain, maïs sucré, sorgho, millet, raygrass, etc. Réseau d'avertissements phytosanitaires Annexe au Bulletin d'information No 1 - réseau carotte, céleri, laitue, oignon, poireau, radis, page 8

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