L Éthique de l hospitalité en maison de retraite
|
|
- Sylvaine Couture
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Martine Chotard-Verne L Éthique de l hospitalité en maison de retraite Publibook
2 Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires PARIS France Tél. : +33 (0) IDDN.FR R.P Cet ouvrage a fait l objet d une première publication aux Éditions Publibook en 2011
3 Remerciements Je remercie mes professeurs d université de Paris-Est Créteil qui m ont accompagné tout au long de ce master en Sciences Humaines et Sociales Gérontologie, Direction d Organisations. Bernadette Puijalon pour m avoir permis de finaliser ce travail de recherche Jacqueline Trincaz pour m avoir permis de finaliser ce cursus universitaire. Suzanne Rameix pour les cours qu elle nous a prodigués, pour les conférences qu elle nous consacre lors de nos regroupements du G12. Colette Verne, ma maman, pour avoir accepté d effectuer la relecture de ce travail et d y avoir apporté son éclairage d ancienne étudiante universitaire, sa connaissance du milieu gériatrique en tant qu ancienne directrice de maison de retraite et son regard de bénévole à la Maison Jeanne d Arc de Vico. Pour toute son implication dans ce travail un très grand merci. Sophie Ingwiller, psychologue en maison de retraite, pour avoir accepté de lire ce travail en tant que candide. Gérard Joubert et Jean Claude Stefanini pour m avoir autorisé l étude de leur projet et permis d illustrer mes propos en prenant leur établissement en exemple. Corinne Ricci pour m avoir introduit auprès de deux résidentes afin de pouvoir réaliser mes entretiens. 7
4
5 Introduction L entrée en institution est une étape traumatisante pour les personnes âgées car elles vont se retrouver face à d autres personnes âgées qui vont leur renvoyer une image de leur propre vieillissement. «Les vieux» dans la dernière étape de sa vie doivent s adapter à leur perte d autonomie, à la baisse de l estime de soi, au rejet de la société, à la solitude. «Les vieux» se sentent inutiles car ils ne sont plus libres de leurs choix et ne maîtrisent plus leurs actes. De ce fait, ils vont être dans l impossibilité de recevoir et de donner. «La vieillesse est un crime puni d exclusion» écrit Jean Maisondieu dans Le Crépuscule de la raison 1, et poursuit dans «L Apartheid de l âge» : «Notre culture pratique l apartheid de l âge» : c est le vieillisme. Afin de modifier ce regard négatif sur la vieillesse et de protéger l accueil des personnes âgées dépendantes, le législateur a souhaité, dans une volonté d éthique, à encadrer l accueil en structure par la loi de Pour autant, la mise en place du cadre normatif, de la loi du 1 er janvier 2002, transformera-t-elle les lieux d accueil en «substitut de domicile», en un véritable «chez-soi»? La maison de retraite est un lieu d hospitalité qui accueille et reçoit, et qui permet au résident de recevoir. Les 1 Jean Maisondieu, Le Crépusule de la raison, Paris, Bayard,
6 E.H.P.A.D 2 sont des lieux d hébergement, c est la raison pour laquelle les studios des résidents seront des substituts de domicile et non des domiciles, car ils ne permettent pas que la vie à domicile soit reproduite dans sa totalité. L E.H.P.A.D ne fournit pas seulement le gîte et le couvert mais a pour mission l accueil du grand âge, du handicap. L entrée en établissement est une étape douloureuse pour la personne âgée et sa famille, surtout si elle s effectue dans l urgence. L institution est alors vécue comme la seule alternative possible. Lorsque l on accueille une personne âgée en établissement, on y accueille également son entourage auquel il faudra expliquer que la maison de retraite est un lieu d accueil, un lieu de vie, un lieu d échange, un lieu d activités, afin d offrir une qualité de vie aux résidents. Le Robert de poche définit «la maison de retraite» comme un espace, «lieu ou l on se retire». Elle serait donc un lieu, où l on va se mettre en retrait de la vie sociale, du monde. Dans cet ouvrage, je vais, dans le premier chapitre éclairer le regard du lecteur sur l évolution de l éthique, de l antiquité à nos jours, au travers des regards de philosophes et de notre cadre législatif. Dans un second temps, j analyserai l influence de l histoire de l hospitalité au travers des siècles sur les éléments de l accueil. Dans le troisième chapitre, je ferai un résumé succinct du cadre législatif, de son évolution au cours du dernier siècle à nos jours, ce qui a amené les politiques à légiférer sur la politique gérontologique. Pour terminer cette partie, j aborderai la vie en maison de retraite, de l admission à l intégration des résidents. 2 E.H.PA.D : Établissement pour personnes âgées dépendantes 10
7 Pour limiter ce travail, j ai volontairement exclu certains points de réflexions tels que l accompagnement en fin de vie, le rapport à la mort, la sexualité en maison de retraite, l approche architecturale, etc. La seconde partie portera d une part sur des récits de vie, des partages d expériences professionnelles, des études de cas, des analyses de projets institutionnels et des exemples mis en place dans ses quatre structures. Ce travail de réflexion se terminera par une ouverture vers de nouvelles pistes à suivre en matière d éthique de l hospitalité. J approfondirai les différentes pistes de réflexions qui peuvent permettre de faire d un substitut de domicile un véritable «comme chez soi». Pour ce faire, ce travail de recherche s appuiera, d une part, sur l ouvrage de Suzanne Rameix «Les fondements philosophiques de l éthique médicale», d autre part, sur des textes du «Dictionnaire de l Hospitalité», ainsi que sur l ouvrage de Flaubert : «Julien l hospitalier». Ce travail de recherche a été enrichi par de nombreux articles de journaux professionnels et à des informations collectées sur Internet. Cet ouvrage fait suite à mon mémoire de recherche qui portait sur la place de «l éthique de l hospitalité» en structure d accueil pour personnes âgées dépendantes. Dans ce travail je me suis interrogée sur plusieurs questions : - Qu est-ce qui a été mis en place dans nos institutions au niveau de l accueil depuis la promulgation de la loi de 2002? 11
8 - Quelles difficultés les contraintes de cette loi posent-elles aux institutions? - Quelle est la place de chaque acteur dans la relation d accueil? Et bien d autres questions qui seront abordées dans les pages qui vont suivre. 12
9 Première partie
10
11 Introduction de la première partie «Aucun homme de génie, aucun saint, aucun Dieu ne peut enseigner à un homme comment il doit vivre. Chacun doit découvrir en lui-même sa propre sagesse, La science secrète de l âme. Maurice Magre Le premier chapitre de cette première partie abordera des approches théoriques portant sur les différents concepts éthiques développés au fil du temps par des philosophes, des sociologues, des psychologues ou des anthropologues. Le second chapitre retracera l histoire de l hospitalité de l antique Grèce à nos jours. On essayera de comprendre au travers de cette histoire de l hospitalité, les conséquences qui ont influencé l accueil des personnes âgées jusqu au début du XX e siècle. Le troisième chapitre montrera comment à partir de l histoire de nos lieux d accueil, un cadre législatif est venu modifier et encadrer l accueil des personnes âgées en structure. Le dernier chapitre portera sur l accueil des résidents en Établissement d Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD). 15
12
13 Chapitre I L éthique «Le besoin d appartenance, qui renforce le sentiment d appartenir, de faire partie d un groupe de semblables, nous fait passer de l individu à la personne» Jacques Salomé Dans cette partie, il sera régulièrement fait référence au travail de Suzanne Rameix, philosophe professeur d université à Paris-Est Créteil, au travers de son ouvrage Les fondements philosophiques de l éthique médicale, paru en 1998 aux éditions Ellipses dans la collection «Sciences humaines en médecine», qui a guidé ma réflexion dans mon travail de recherche et que je citerai de nombreuses fois dans cet ouvrage. Quelques définitions Étymologiquement le mot "éthique" est un synonyme d origine grecque de "morale". Depuis son origine, l ambivalence de l éthique a toujours existé. Dans l antiquité, ce mot grec avait déjà une double racine ayant chacune une signification bien distincte, avec deux orthographes différentes. 17
14 Le mot êthikos, d origine grecque, est devenu dans la langue française, le mot «éthique», qui peut être soit un adjectif masculin, soit un nom féminin singulier. Ce mot êthikos, se traduit par «moral». L èthos signifie la vertu, le côté de l excellence de la personne, la vertu ayant comme but de conduire l être humain vers la perfection. Cet aspect du mot renvoie aux valeurs, à leur appréciation, à la réflexion, et s approche de l éthique téléologique. L èthos concerne les mœurs, les coutumes, les habitudes. Cet aspect du mot s appuie sur les faits, les devoirs, les lois et les règles et s approche de l éthique déontologique. En français, l adjectif masculin du mot «éthique» concerne les mœurs et les principes de la morale, tandis que le mot féminin porte sur ce qui deviendra la science de la morale : éthique médicale, éthique biomédicale, éthique du management, éthique des organisations, éthique de l hospitalité, éthique du consentement, etc. De nos jours, la notion de la «morale» a perdu de sa connotation péjorative pour une approche plus philosophique et théorique. Tandis que la morale est un ensemble de règles ou de lois ayant un caractère universel, irréductible, voire éternel, l éthique s attache aux valeurs et se détermine de manière relative dans le temps et dans l espace, en fonction de la communauté humaine à laquelle elle s intéresse. L éthique renvoie d une part aux fondements de la morale, réflexion philosophique sur la moralité, et d autre part, à un ensemble de règles codifiées que sont les bonnes pratiques. 18
Développement durable et agroalimentaire Partage d expériences en Basse-Normandie
Jeanne Courouble avec la participation de l AFNOR Développement durable et agroalimentaire Partage d expériences en Basse-Normandie Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook
Plus en détailLe Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives
Aimé Diaka Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook
Plus en détailLes Francs-maçons et leur religion Publibook
Jacques Duchenne Les Francs-maçons et leur religion Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé
Plus en détailUn Certain chemin de vie
E. Bertrand Feumetio Anicet Bongo Ondimba Un Certain chemin de vie Méditation sur l action, la condition et la nature humaines Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com
Plus en détailFONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE
FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE 1999 La Fondation nationale de gérontologie et le ministère des affaires
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailIl y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à
Il y a un temps pour tout «Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose», dit l Ecclésiaste signifiant ainsi à l homme qui veut accéder à la sagesse qu il lui faut, avant tout, adapter ses
Plus en détailPrésentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes
Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailDe la collecte à son intégration : la vie juridique de la donnée e scientifique à l Ifremer. Présentation DAJ - 27 mars 2007
De la collecte à son intégration : la vie juridique de la donnée e scientifique à l Ifremer 1 INTRODUCTION La «donnée» est un terme qui n a pas de définition unique s imposant à tous Son contenu, sa nature
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes
CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailClub langue française Quiz. Par Julien COUDERC et Maxence CORDIEZ
Club langue française Quiz Par Julien COUDERC et Maxence CORDIEZ Question 1 Quelle est l'orthographe correcte? 1. J'ai vécu des amours passionnés. 2. J'ai vécu des amoures passionés. 3. J'ai vécu des amours
Plus en détailMichel Magras. compte-rendu PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE L OUTRE-MER
Michel Magras Sénateur de Saint-Barthélemy Président de la Délégation sénatoriale à l outre-mer compte-rendu (suite) Séance du vendredi 26 juin 2015 PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES
informatiques d Inria CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES Table des matières 1. Préambule...3 2. Définitions...3 3. Domaine d application...4 4. Autorisation d accès aux ressources informatiques...5
Plus en détailLES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS
ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.
Plus en détailrecommandation de relations publiques
recommandation de relations publiques Media Presse & Communication Vice Présidente du SYNAP 1 La problématique La Fondation hospitalière Sainte-Marie est reconnue d Utilité Publique depuis 2005. Elle souhaite
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailDEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT
DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT Que devez-vous savoir sur la tutelle en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE CETTE BROCHURE A ÉTÉ RÉALISÉE
Plus en détailguide du stagiaire Comment démarcher les entreprises, se présenter, décrocher un stage.
guide du stagiaire Comment démarcher les entreprises, se présenter, décrocher un stage. Un stage en entreprise réussi, c est une vocation professionnelle qui prend vie. Ce petit guide pratique t accompagne
Plus en détail1. L ENTREPRISE 2. CARACTERISTIQUES ET DEROULEMENT DE LA PRESTATION CHARTE QUALITE 2.1. DEMARCHE VOLONTAIRE 2.2. REALISATION DE L AUDIT
REGLEMENT DU DISPOSITIF CHARTE QUALITE 1. L ENTREPRISE Cette prestation est réservée à toute personne physique ou morale immatriculée au Répertoire des Métiers, quelle que soit la forme juridique que revêt
Plus en détailLes responsabilités des professionnels de santé
Chapitre 5 : UE6 - Le Droit pharmaceutique Les responsabilités des professionnels de santé Martine DELETRAZ-DELPORTE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailInstitut de FORMATION
Institut de FORMATION plaquette.indd 1 28/11/2012 20:52:47 edito L INSTITUT DE FORMATION J.LEPERCQ Fondé en 1946, l institut de formation est un établissement situé dans le centre ville, à taille humaine
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailC est sûr, vous avez fait le bon choix!
C est sûr, vous avez fait le bon choix! 4 Des clés protégées, avec label? Le choix de la sérénité! 6 Une question, un conseil? Ayez le réflexe L Expert! 9 Des solutions sécurité qui vous facilitent le
Plus en détailL endettement chez les jeunes Rapport final
L endettement chez les jeunes Rapport final Résultats du sondage pour le secteur d Alma L école secondaire Séminaire Marie-Reine-du-Clergé ainsi que le Collège d Alma Remis au : Service budgétaire de Lac-
Plus en détailHistorique du coaching en entreprise
Historique du coaching en entreprise Aux Etats-Unis dans les années 80, le coaching des sportifs a beaucoup de succès. L entreprise, soucieuse d une plus grande performance va adapter le coaching afin
Plus en détailBourse de recherche Jeff Thompson. Politique et procédures
Bourse de recherche Jeff Thompson Politique et procédures Table des matières Objet et contexte... 2 Financement... 2 Candidats admissibles... 3 Processus de sélection et d attribution de la bourse... 4
Plus en détailRèglement relatif à l utilisation des ressources informatiques et de télécommunication
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL Règlements, directives, politiques et procédures Règlement relatif à l utilisation des ressources informatiques et de télécommunication Adoption Instance/Autorité Date Résolution(s)
Plus en détailM3SU. Management des Structures de Santé et de Solidarité Urbaines. Léonard de Vinci MBA SPÉCIALISÉ. du Pôle Universitaire
M3SU Management des Structures de Santé et de Solidarité Urbaines MBA SPÉCIALISÉ du Pôle Universitaire Léonard de Vinci MBA SPÉCIALISÉ MANAGEMENT DES STRUCTURES DE SANTÉ ET DE SOLIDARITÉ URBAINES DEVENEZ
Plus en détailQu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée
Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée Septembre 2003 Analyse et rédaction Lynda Bouthillier Agente de recherche et de planification socioéconomique
Plus en détailBienvenue à notre sondage en ligne pour l examen du Code canadien de déontologie professionnelle des psychologues
Bienvenue à notre sondage en ligne pour l examen du Code canadien de déontologie professionnelle des psychologues Conformément à l engagement de la Société canadienne de psychologie (SCP) d effectuer des
Plus en détail2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.
2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailmes m est mets/met mais mets
GRAMMATICAUX DE CATÉGORIES DIFFÉRENTES MES HOMOPHONES M EST METS/MET MAIS METS 1 Homophones grammaticaux de catégories différentes mes m est mets/met mais mets mes : déterminant possessif pluriel, féminin
Plus en détailOBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT
ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques
Plus en détailKOSMOPOLEAD CHARTE DE BONNE CONDUITE DES UTILISATEURS
KOSMOPOLEAD CHARTE DE BONNE CONDUITE DES UTILISATEURS KOSMOPOLEAD est un réseau social qui a pour objectif de favoriser la collaboration ainsi l enrichissement et le partage des compétences professionnelles.
Plus en détailL approche éthique en gérontechnologie
Colloque européen L art de vieillir chez soi Guéret 29 septembre Technologies et vieillissement: Jusqu où ne pas aller trop loin? L approche éthique en gérontechnologie Gérard Cornet; Alain Franco, Vincent
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailMaltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA
Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA et HABEO) 1 RAPPEL Vieillesse ne signifie pas : - DEPENDANCE
Plus en détailUne offre de lecture numérique sur liseuses et Smartphones pour les patients de l Assistance Publique-Hôpitaux de Paris
Une offre de lecture numérique sur liseuses et Smartphones pour les patients de l Assistance Publique-Hôpitaux de Paris IFLA 2014 23 août 2014 Claudie GUERIN L Assistance Publique-Hôpitaux de Paris c est
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailCharte de Qualité. Les Plus Beaux Villages de Wallonie. Association sans but lucratif
Charte de Qualité Les Plus Beaux Villages de Wallonie Association sans but lucratif L appellation «Les Plus Beaux Villages de Wallonie» est une marque déposée que seules les communes ou Association locales
Plus en détailSOMMAIRE. Présentation générale de XE Formation. Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes
1 SOMMAIRE Présentation générale de XE Formation Les formations «catalogue» Les formations «sur mesure» Les formations certifiantes Le MBA Spécialisé M3SU Informations et contacts 2 Présentation générale
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailDocument réalisé avec le soutien de
Document réalisé avec le soutien de Directeur de la publication : Cédric MAMETZ Responsable de la rédaction : Céline SIMONIN, Chargée de projets Nous Aussi Conception graphique : La Suite + Co et Lauriane
Plus en détailPréparation d un Plan de mesures d urgence
Préparation d un Plan de mesures d urgence Guide Pour les organismes humanitaires et communautaires Élaboré par: Regroupement des organismes humanitaires et communautaires pour les mesures d urgence à
Plus en détailResponsabilité professionnelle des Infirmiers
Responsabilité professionnelle des Infirmiers Diplômés s d Etatd Direction des Affaires Juridiques et des Droits du Patient Bureau de la Responsabilité Médicale et du Contentieux des Personnels Emily THIBAULT
Plus en détailVENIR SE SOIGNER EN FRANCE
Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailL Essentiel des techniques du commerce international
Désiré Loth L Essentiel des techniques du commerce international Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook
Plus en détailGROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS
Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)
Plus en détailCommission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons
Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons Projet d action d animation visant à développer des pratiques collectives d écoute et de participation
Plus en détailCertificat Diversité Dialogue et Management
Certificat Diversité Dialogue et Management Une formation pour nourrir ses compétences et se former au contact d experts sur les questions au cœur du management d aujourd hui. Laïcité et libertés Diversité
Plus en détailRésidence Saint Jean
Résidence Saint Jean 41 Avenue Félix Baert 59380 BERGUES Tél : 03.28.68.62.99 Fax : 03.28.68.53.19 Email : stjean.residence@wanadoo.fr Site web : www.residence-saint-jean.fr Madame, Monsieur, Le Conseil
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détailA vertissement de l auteur
A vertissement de l auteur Attention, ce livre n est pas à mettre entre toutes mains ; il est strictement déconseillé aux parents sensibles. Merci à Madame Jeanne Van den Brouck 1 qui m a donné l idée
Plus en détailConditions générales de vente
Conditions générales de vente Droits SIRC accorde à l'abonné et les utilisateurs autorisés à l'abonné de l'institution d'un droit d'accès à la version électronique de ces revues pour les volumes qui maintient
Plus en détailProgramme des bourses du Rotary-Club Le Vésinet Dossier de candidature pour 2010
Programme des bourses du Rotary-Club Le Vésinet Dossier de candidature pour 2010 OBJECTIFS DU PROGRAMME DES BOURSES Le Rotary International est une organisation de dirigeants et de professionnels engagés
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 531 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2013-2014 Enregistré à la Présidence du Sénat le 14 mai 2014 PROPOSITION DE LOI visant à modifier l'article 11 de la loi n 2004-1 du 2 janvier 2004 relative à l'accueil
Plus en détailLa légalité du marketing viral
Service public fédéral Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie Le SPF Economie vous informe! La légalité du marketing viral La légalité du marketing viral Auteur et traduction La version d origine
Plus en détailDes formations pour la prévention du stress et des performances managériales
Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailAnne DELCHER Pôle Médecine et Gériatrique de Saint-Nazaire SGOC La Rochelle 7-8 juin 2013
Anne DELCHER Pôle Médecine et Gériatrique de Saint-Nazaire SGOC La Rochelle 7-8 juin 2013 Hôpital de Saint-Nazaire Pôle de médecine polyvalente et gériatrique avec filière complète EHPAD et USLD: 214 résidents
Plus en détailLes emplois au pair & les stagiaires aide-familiaux étrangers. Particulier employeur. À jour au 1 er janvier 2013
Particulier employeur Les emplois au pair & les stagiaires aide-familiaux étrangers À jour au 1 er janvier 2013 Services aux cotisants Études et statistiques Services aux partenaires Contrôle Ressources
Plus en détailDECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF
Plus en détailProgramme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE
Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailQUESTION D ETHIQUE APPROCHE ENVIRONNEMENT- SANTE. 10ème cours d été 2006 Bamako SIFEE Pr HOUENOU AGBO Yveline UFR Sciences Médicales d Abidjan
QUESTION D ETHIQUE APPROCHE ENVIRONNEMENT- SANTE 10ème cours d été 2006 Bamako SIFEE Pr HOUENOU AGBO Yveline UFR Sciences Médicales d Abidjan INTRODUCTION Environnement et Santé Évaluation environnementale
Plus en détailCHARTE DES BONS USAGES DES MOYENS NUMERIQUES DE L UNIVERSITE
CHARTE DES BONS USAGES DES MOYENS NUMERIQUES DE L UNIVERSITE Annexe juridique Frédéric DEHAN Directeur général des services Affaire suivie par Philippe PORTELLI Tél. : +33 (0)3 68 85 00 12 philippe.portelli@unistra.fr
Plus en détailDon ou commandite? Apprenez les règles et vous en serez récompensés
IMAGINE CANADA ET BÉNÉVOLES CANADA FORUM 2011 DES PARTENARIATS CANADIENS ENTRE LES ENTREPRISES ET LA COLLECTIVITÉ Montebello 9 juin 2011 Don ou commandite? Apprenez les règles et vous en serez récompensés
Plus en détailDans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche
ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la
Plus en détailOrigines possibles et solutions
Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailRèglementation : Notion de Responsabilité
Question 1 09REG-RE-4-02(1) 1) En terme d obligation, qu est ce qu une obligation de moyen? Donnez un exemple en plongée. (2 points) Le moniteur doit mettre tout en œuvre pour que la plongée se déroule
Plus en détailLa légalité du «marketing viral»
SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL ÉCONOMIE, PME, CLASSES MOYENNES ET ÉNERGIE Direction générale Régulation et Organisation du Marché Cellule Economie électronique La légalité du «marketing viral» Septembre 2005 1
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailPRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ÉCOLES PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 Rédaction Jean-Pierre GUICHARD Conseiller pédagogique en EPS Ministère
Plus en détailS organiser autrement
S organiser autrement Dominique Tibéri enseignant en cycle 3 et formateur à l IUFM Nancy (54) propose ici une alternative à la préparation de classe telle qu elle est demandée par l Institution. Préparer
Plus en détailCOMMENT CITER OU PARAPHRASER UN EXTRAIT DE DOCUMENT SELON INFOSPHÈRE
COMMENT CITER OU PARAPHRASER UN EXTRAIT DE DOCUMENT SELON INFOSPHÈRE Pourquoi et quand citer ses sources? Ajouter une valeur à son travail de recherche tout en respectant le droit d'auteur En se référant
Plus en détailL Udaf de l Isère. se positionne sur. les lois de. bioéthique. Dossier de presse. janvier 2011
L Udaf de l Isère se positionne sur les lois de bioéthique Dossier de presse janvier 2011 Contact : Marie Catrice 04 76 85 13 23 - mcatrice-udaf38@orange.fr 2 rue de Belgrade, 38000 Grenoble La Bioéthique?
Plus en détailCONVENTION DE STAGE. Ce document rempli par l étudiant de façon très complète doit impérativement comporter :
CONVENTION DE STAGE Comment remplir la convention de stage? Ce document rempli par l étudiant de façon très complète doit impérativement comporter : 1) La signature de l étudiant ; 2) la signature du responsable
Plus en détailEvaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010
Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université Catholique de Louvain (UCL) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président Mme Martine SIMONIS,
Plus en détail«Séniors et adaptation du logement»
«Séniors et adaptation du logement» APPROCHE QUALITATIVE & BENCH MARK Etude réalisée en dpt 37 et 71 SYNTHESE DE L ETUDE POUR LA PRESSE MARS 2015 15 rue de Bellefond, 75009 Paris // www.adjuvance.fr //
Plus en détailThéâtre des amateurs de la vie associative
Martial Houvet Théâtre des amateurs de la vie associative Pratique de mise en œuvre & de mise en scène Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com
Plus en détailLa prématernelle opère cinq matins par semaine de 8h45 à 11h15. Voici les formules offertes :
Située dans l École Père-Lacombe 10715 131A Avenue Edmonton, Alberta T5E 0X4 Tél : 780-473-8853 ptitsamis@centrenord.ab.ca www.ptitsamis.centrenord.ab.ca La prématernelle Les P tits Amis est située dans
Plus en détailMISE À JOUR DE LA DÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU DÉPUTÉ FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE)
MISE À JOUR DE LA DÉCLARATION DES INTÉRÊTS PERSONNELS DU DÉPUTÉ FORMULAIRE III (ENFANT À CHARGE) CODE D ÉTHIQUE ET DE DÉONTOLOGIE DES MEMBRES DE L ASSEMBLÉE NATIONALE (chapitre C-23.1, articles 37 et 38)
Plus en détailQUALIFICATION PROFESSIONNELLE. Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles. La perspective des Médecins. Professeur Robert NICODEME
QUALIFICATION PROFESSIONNELLE Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles La perspective des Médecins Professeur Robert NICODEME 1 Conseil National de l Ordre des Médecins Le Conseil National
Plus en détailMASTER PROFESSIONNEL MÉDIATION ET MODÈLES DE DÉVELOPPEMENT. Description des UE, semestres 3 et 4 2011-2012
MASTER PROFESSIONNEL MÉDIATION ET MODÈLES DE DÉVELOPPEMENT Description des UE, semestres 3 et 4 2011-2012 UE 1 Médiation et communication dans les organisations 40h CM, 20h TD - 6 ECTS, coefficient 2 Session
Plus en détailLa recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche?
La recherche et vous Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Dépôt légal - octobre 2012 Bibliothèque et archives nationales du Québec Bibliothèque et archives
Plus en détailGESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE. Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution #
PROCÉDURE GESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE # 40-02 Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution # Autorisation Susan Tremblay Directrice générale Page 1 de 10 1. Préambule Le
Plus en détailLA FRANC-MACONNERIE EXPLIQUÉE PAR L IMAGE
Percy John Harvey LA FRANC-MACONNERIE EXPLIQUÉE PAR L IMAGE Échantillon des illustrations Presentation_FMEI.indd 1 20/09/13 14:54:55 La cérémonie d initiation n est pas une opération magique qui transformerait
Plus en détail