Taux de fer chez les donneurs de la Société canadienne du sang

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1 Taux de fer chez les donneurs de la Société canadienne du sang Auteure : Mindy Goldman, MD, FRCP(C) Points essentiels Une carence en fer est courante chez les donneurs de sang, les plus à risque étant les femmes et les donneurs fréquents. La plupart des donneurs ignorent qu ils ont besoin de plus de fer et ne discutent pas du don de sang avec leur médecin de famille. On conseille aux donneurs ayant un taux d hémoglobine inférieur au seuil établi pour faire un don de consulter leur médecin pour faire remesurer leur taux d hémoglobine et de ferritine. Ces donneurs auront probablement besoin d un supplément de fer. Même les donneurs qui réussissent le test de l hémoglobine peuvent avoir une carence et avoir besoin de suppléments pour remplacer le fer perdu lors d un don de sang et reconstituer leurs réserves. Introduction Le fer est un nutriment essentiel et pourtant l équilibre en fer est précaire dans une bonne partie de la population mondiale. En Amérique du Nord, la carence en fer est courante dans certains groupes de population, telles les femmes en âge de procréer 1. La thérapeutique transfusionnelle est une pierre angulaire des soins médicaux modernes. Les besoins du Canada en composants sanguins labiles, notamment en concentrés de globules rouges, sont satisfaits par environ donneurs bénévoles. La Société canadienne du sang recueille, traite et analyse les composants sanguins et les distribue à toutes les provinces et à tous les territoires, à l exception du Québec. Chaque année, elle recueille environ unités de sang total de 500 ml chacune. Un groupe dévoué d habitués fournit près de 90 % des dons et de nouveaux donneurs procurent 10 % des dons. Pour l année 2012, la fréquence moyenne était légèrement supérieure à deux dons par donneur. Le contrôle de l hémoglobine (Hb) du donneur est effectué sur un prélèvement de sang capillaire au bout du doigt avant chaque don. Le taux minimal d hémoglobine accepté est de 125 g/l, tant pour les hommes que pour les femmes. Huit pour cent des femmes et 0,5 % des hommes sont exclus temporairement à cause d un taux d hémoglobine insuffisant. Chaque Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 1/11

2 don de sang total entraîne une perte de 225 à 250 mg de fer. Cependant, aucune mesure régulière des réserves de fer sérique n est effectuée. On s inquiète de plus en plus du fait que les dons de sang entraînent une carence martiale en particulier chez les donneurs fréquents et que cela est mal reconnu à la fois par les donneurs et par leur médecin 2-4. Symptômes d une carence en fer chez les donneurs de sang Les donneurs de sang sont choisis parmi des personnes ayant une bonne santé générale. Il a clairement été démontré que la carence en fer chez les donneurs de sang entraîne le pica (besoin impérieux d ingérer des substances alimentaires non naturelles, comme la glace) et le syndrome des jambes sans repos 5. La carence en fer sans anémie a aussi été associée à de la fatigue et à une piètre tolérance à l effort, bien que peu d études aient été effectuées chez des donneurs de sang par ailleurs en bonne santé 6-9. De même, la carence en fer a été associée à des troubles cognitifs et d apprentissage, en particulier chez les enfants et les adolescents 9. Non traitée, elle peut évoluer jusqu à une anémie ferriprive. En , la Société canadienne du sang a enregistré un taux d exclusion dû au niveau d hémoglobine (Hb inférieure à 125 g/l) de 3,8 % chez les nouvelles donneuses contre 10,2 % chez les femmes ayant donné du sang au moins deux fois au cours de l année qui venait de s écouler. Chez les hommes, le taux d exclusion était de 0,2 % chez les nouveaux donneurs et atteignait 0,8 % chez les hommes ayant donné du sang au moins trois fois au cours de l année écoulée. En plus du manque de connaissances sur la prévalence d une carence en fer, ce domaine est rendu complexe par des hypothèses émises antérieurement selon lesquelles une réduction du risque de maladie du cœur serait associée à une diminution des réserves de fer, hypothèses non corroborées par les études ultérieures 2-4. En outre, des personnes autrement en bonne santé qui manquent de fer en raison de dons de sang peuvent subir inutilement des examens approfondis pour déterminer la cause de leur carence 2-4. Bilan en fer des donneurs de la Société canadienne du sang Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 2/11

3 Nous avons effectué une étude sur 550 donneurs ayant été acceptés et 50 donneurs exclus à cause d un taux d hémoglobine trop faible en vue d évaluer la prévalence de la carence en fer chez les donneurs de la Société canadienne du sang, mesurée par leur niveau de ferritine sérique Nous avons aussi évalué jusqu à quel point les donneurs connaissent l effet d un don de sang sur leurs besoins en fer et leurs discussions éventuelles avec leur médecin de famille au sujet du fer et du don de sang. Après avoir informé les donneurs de leur taux de ferritine, nous avons de nouveau communiqué avec eux pour connaître leurs démarches subséquentes, notamment les discussions avec leur médecin au sujet d un supplément de fer. Connaissances des donneurs sur le fer Environ 80 % des participants à l étude étaient des donneurs réguliers ayant déjà fait un don au moins une fois au cours des deux années antérieures. Les entrevues ont révélé que la grande majorité des donneurs avaient l impression que le don de sang n avait aucun effet sur leur santé ou alors que l effet était positif. Parmi les donneurs, 29 % prenaient des multivitamines pouvant contenir une petite quantité de fer et seulement 5 % prenaient des suppléments de fer. Quatrevingt-dix pour cent des donneurs avaient un médecin de famille et la plupart passaient des examens médicaux périodiques. Cependant, seulement 10 % des donneurs discutaient réellement du don de sang et de leurs besoins en fer avec leur médecin au cours de leur examen de routine. Seulement 39 % des donneurs qui avaient déjà été exclus à cause d un taux d hémoglobine trop faible avaient consulté leur médecin à ce sujet. Par conséquent, les entrevues réalisées dans le cadre de l étude portent à penser que la plupart des donneurs ne sont pas conscients que l appauvrissement des réserves de fer est une conséquence néfaste possible des dons fréquents. Les visites régulières chez un médecin seraient une bonne occasion de discuter du don de sang et des besoins en fer, même pour les donneurs probablement atteints d une anémie ferriprive dont le taux d hémoglobine était inférieur au seuil établi. Taux d hémoglobine et taux de fer des donneurs Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 3/11

4 Le tableau 1 présente le taux d hémoglobine et le taux de ferritine obtenus par prélèvement de sang au bout du doigt chez des donneurs acceptés ou exclus à cause d un taux d hémoglobine trop faible. La comparaison entre les nouveaux donneurs et les donneurs réguliers (personnes ayant fait au moins un don au cours des deux années antérieures) montre une légère diminution des taux moyens d hémoglobine et une réduction considérable des taux moyens de ferritine. Un niveau de ferritine inférieur à 12 µg/l indiquant l absence de réserves de fer a été observé chez 8 % des nouvelles donneuses et chez 23 % des femmes ayant déjà fait un don. Chez les hommes, aucun nouveau donneur n avait un niveau de ferritine inférieur à 12 µg/l, mais ce niveau a été constaté chez 9 % des hommes ayant déjà fait un don. Presque tous les donneurs exclus à cause d un manque d hémoglobine étaient des femmes et 70 % des femmes exclues présentaient un taux de ferritine inférieur à 12 µg/l. Le nombre de donneurs ayant un faible taux de ferritine, entre 12 et 24 µg/l, était substantiel. Dans l ensemble, seulement 36 % des femmes et 58 % des hommes ayant déjà fait un don avaient un taux de ferritine supérieur à 24 µg/l. Suivi des donneurs ayant un faible taux de ferritine Environ la moitié des donneurs de l étude ayant un taux de ferritine inférieur à 25 µg/l ont participé au sondage de suivi par voie électronique, approximativement deux mois après leur don. Sur les 98 donneurs qui avaient vu leur médecin, 50 % avaient commencé à prendre des suppléments de fer, 10 % avaient commencé à prendre des multivitamines contenant un peu de fer et 21 % avaient été avisés d arrêter de donner du sang. Pour reconstituer leurs réserves, ces donneurs devraient prendre des suppléments plutôt que changer leur alimentation ou consommer des multivitamines contenant du fer, en particulier s ils veulent continuer à donner du sang 3, 4, 13, 14. Les résultats observés chez nos donneurs sont semblables à ceux des études portant sur des donneurs aux États-Unis, en Australie et en Europe 2-4, Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 4/11

5 Tableau 1 : Taux d hémoglobine et de ferritine chez des donneurs acceptés ou exclus à cause d un manque d hémoglobine Cohorte Donneurs acceptés N bre de donneurs Taux moyen d Hb (g/l) Moyenne < 12 N bre (%) Ferritine (µg/l) N bre (%) > 25 N bre (%) Valeur p Femmes 295 Nouv. don (8) 27 (32) 50 (60) < 0,0001 Don. régul * 24* 48 (23) 86 (41) 77 (36) Hommes 255 Nouv. don (0) 3 (5) 61 (95) < 0,0001 Don. régul * 44* 18 (9) 62 (32) 111 (58) Donneurs exclus Femmes (70) 9 (19) 5 (11) n.s. Hommes (33) 1 (33) 1 (33) * p < 0,05 Valeur p comparant la pente de la ligne de tendance entre les groupes Recommandations Donneurs présentant un taux d hémoglobine inférieur au seuil établi Chez presque tous les donneurs refusés (Hb inférieure à 125 g/l), les réserves en fer sont faibles ou inexistantes. À la Société canadienne du sang, ces personnes se voient remettre un feuillet d information qui leur conseille de consulter leur médecin pour une investigation (figure 1). Celle-ci devrait inclure, pour le moins, une nouvelle mesure de l hémoglobine dans un échantillon de sang veineux, dans le cadre d une formule sanguine effectuée par un analyseur en laboratoire. Ce test est plus précis que la mesure enregistrée par un hémoglobinomètre portatif sur un échantillon de sang capillaire lors des collectes de sang. De plus, ces donneurs devraient faire mesurer leur ferritine. D autres investigations peuvent être appropriées, selon une variété de facteurs, notamment la présence d une carence en fer seulement ou d une anémie ferriprive, l âge et le sexe du sujet, l état menstruel, les antécédents familiaux de cancer gastro-intestinal et la présence de tout symptôme ou signe de pathologie sous-jacente. La British Society of Gastroenterology recommande d établir l historique des dons de sang dans le cadre de l investigation d une carence martial 16. De toute évidence, la prise de suppléments de fer, Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 5/11

6 l interruption temporaire des dons de sang et une nouvelle analyse après six mois peuvent être appropriées pour une jeune femme qui donne souvent du sang, alors qu une investigation gastrointestinale peut être indiquée chez un nouveau donneur de sexe masculin plus âgé. Sur le feuillet d information (figure 1), on conseille aux donneurs de ne plus donner de sang avant d avoir consulté leur médecin et avant que la cause de l anémie n ait été déterminée. Si un donneur prend des suppléments de fer pour contrer une anémie ferriprive, on lui conseille de suivre le traitement pendant au moins six mois et d attendre que le problème d anémie ait été résolu avant de donner du sang. Donneurs acceptés La carence en fer étant tellement courante chez les donneurs réguliers de sang, nous recommandons que les donneurs et leur médecin discutent des dons de sang à chaque examen périodique. Les personnes ayant des symptômes susceptibles d être liés à une carence en fer, comme le pica, le syndrome des jambes sans repos et une fatigue inexpliquée, devraient faire mesurer leur taux de ferritine. De plus, d autres personnes qui donnent régulièrement du sang, en particulier les femmes qui font au moins deux dons par année et les hommes qui en font au moins trois, ont une probabilité élevée d avoir une carence en fer et devraient faire mesurer leur taux de ferritine. Des études ont montré qu une dose totale de à mg de suppléments de fer élémentaire remplacera le fer perdu au cours d un don de sang 4, 14. Pour les donneurs réguliers, il est très difficile de remplacer la quantité de fer perdue lors d un don simplement par l alimentation ou par des multivitamines contenant une petite quantité de fer. Le tableau 2 montre certaines préparations de fer disponibles au Canada, la teneur en fer élémentaire par comprimé et le nombre de comprimés nécessaires pour remplacer le fer perdu lors d un don de sang. La plupart des études menées sur le sujet préconisent la prise d un comprimé par jour, à l heure du coucher, de préférence l estomac vide, pendant une période d un à trois mois pour remplacer le fer perdu en donnant du sang. Les personnes ayant un faible taux de ferritine auront certainement besoin de prendre des suppléments plus longtemps pour renouveler leurs réserves. Comme le montre notre étude, un grand nombre de donneuses avaient déjà de faibles réserves avant de commencer à donner du sang. Aux personnes qui prennent des suppléments après avoir eu un diagnostic de carence en fer sans anémie ferriprive, il est conseillé de prendre ces Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 6/11

7 suppléments pendant au moins trois mois et d attendre que leurs réserves de fer soient revenues à la normale pour faire un don de sang. Tableau 2 : Suppléments de fer nécessaires pour remplacer un don de sang total Préparation Comprimé (mg) % de fer élémentaire Teneur en fer élémentaire par comprimé N bre de comprimés, dose totale de mg N bre de comprimés, dose totale de mg Sulfate de fer 300 mg 20 % 60 mg Gluconate de fer 300 mg 11,6 % 35 mg Fumarate de fer 300 mg 33 % 99 mg Complexe polysaccharidefer 150 mg 100 % 150 mg Conclusion La carence en fer est un problème courant dans la population canadienne, en particulier chez les femmes en âge de procréer. Environ personnes, ou 2 % de la population adulte canadienne, donnent du sang et permettent ainsi de sauver la vie de leurs concitoyens. Le don de sang a un effet important sur les réserves de fer des donneurs fréquents, en particulier des femmes. Plusieurs mesures sont nécessaires pour prévenir, déceler et traiter la carence martiale chez les donneurs. Elles comprennent des dons moins fréquents par les donneurs les plus susceptibles de présenter une carence et une meilleure information à la fois des donneurs et de leur médecin. Les donneurs fréquents sont encouragés à discuter avec leur médecin du don de sang et à envisager un contrôle du taux de ferritine et la prise de suppléments de fer en cas de besoin. Inversement, lorsque les médecins constatent une carence en fer ou des symptômes non spécifiques telle la fatigue chez leurs patients, ils devraient leur demander s ils donnent du sang. Les donneurs de sang réguliers peuvent avoir besoin de suppléments pour renouveler le fer perdu au cours d un don de sang. Ces personnes peuvent souvent recommencer à donner du sang après avoir pris des suppléments pendant une période appropriée. Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 7/11

8 Remerciements La Société canadienne du sang remercie les donneurs de sang d avoir rendu cette recherche possible. Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 8/11

9 Renseignements à l intention du donneur Faible taux d hémoglobine Nom du donneur : Formulaire rempli par : Date : (AAAA-MM-JJ) Pourquoi ai-je été exclu en tant que donneur? Nous avons mesuré votre taux d hémoglobine aujourd hui pour savoir si vous pouvez donner du sang sans danger. Votre taux d hémoglobine se situe à. Le taux minimal d hémoglobine requis pour donner du sang est de 125 g/l (12,5 g/dl). Nous vous avons exclu en tant que donneur afin de protéger votre santé. Pourquoi mon taux d hémoglobine est-il bas? Un faible taux d hémoglobine est généralement associé à des réserves de fer insuffisantes. Le fer est nécessaire à la formation des globules rouges. Le manque de fer peut avoir diverses causes : Alimentation pauvre en fer; Dons de sang fréquents (en particulier, plus de deux fois par année); Pour les femmes, les pertes sanguines associées aux menstruations; Cause plus rare : saignement d une partie du tube digestif, p. ex. l estomac ou l intestin. Que devrais-je faire maintenant? Nous vous recommandons de consulter votre médecin pour vérifier vos taux d hémoglobine et de fer (ferritine). Il tentera de déterminer pourquoi votre taux d hémoglobine est faible et vous proposera peut-être de prendre des pilules de fer. Tous les donneurs devraient avoir une alimentation riche en fer et envisager de prendre des multivitamines contenant du fer. Puis-je revenir pour faire un don? La plupart des gens ayant un faible taux d hémoglobine parviennent à améliorer leur taux d hémoglobine et leurs réserves de fer et à donner du sang à nouveau. Les réserves de fer peuvent prendre de 4 à 6 mois à se reconstituer. Votre médecin peut vous aider à déterminer quand vous pourrez recommencer à donner. Si votre médecin vous a prescrit des pilules de fer, vous pourrez donner à nouveau six mois après avoir commencé à les prendre, à condition que vos taux d hémoglobine et de fer soient normaux. Où puis-je obtenir plus de renseignements? Vous pouvez demander à parler à une infirmière dès maintenant. Vous pouvez consulter notre site Web : Cliquez sur «Puis-je donner?», «Critères de base pour le don de sang», puis «L hémoglobine et le fer». Notre site Web éducatif, offre des informations techniques aux médecins. Si vous avez des questions particulières au sujet de votre admissibilité, composez le JE DONNE

10 Bibliographie 1. COOPER, M., et coll. «Niveaux suffisants de fer chez les Canadiens», Rapports sur la santé, vol. 23, n o 4 (2012), p POPOVSKY, M. A. «Anemia, iron depletion, and the blood donor: it s time to work on the donor s behalf», Transfusion, vol. 52 (2012), p BRITTENHAM, G. M. «Iron deficiency in whole blood donors», Transfusion, vol. 51 (2011), p AMERICAN ASSOCIATION OF BLOOD BANKS. «Strategies to Monitor, Limit, or Prevent Iron Deficiency in Blood Donors», Bulletin no Sur Internet : <URL: 5. BRYANT, B. J., et coll. «Ascertainment of iron deficiency and depletion in blood donors through screening questions for pica and restless leg syndrome», Transfusion (le 10 janvier 2013), doi: /trf/12061 (publication électronique précédant l impression). 6. VAUCHER, P., et coll. «Effect of iron supplementation on fatigue in nonanemic menstruating women with low ferritin: a randomized controlled trial», Canadian Medical Association Journal, vol. 184 (2012), p VERDON, F., et coll. «Iron supplementation for unexplained fatigue in non-anaemic women: a double blind randomised placebo controlled trial», BMJ, vol. 326 (2003), p WALDVOGEL, S., et coll. «Clinical evaluation of iron treatment efficiency among nonanemic but iron deficient female blood donors: a randomized controlled trial», BMC Medicine, vol. 10 (2012), p FALKINGHAM, M., et coll. «The effects of oral iron supplementation on cognition in older children and adults: a systematic review and meta-analysis», Nutrition Journal, vol. 9 (2010), p GOLDMAN, M., et coll. «Iron stores in female donors failing initial fingerstick hemoglobin determination», Transfusion, vol. 52, sup. n o 3 (2012), p. 89A. 11. GOLDMAN, M., et coll. «Iron stores in whole blood donors», Transfusion, vol. 52, sup. n o 3 (2012), p. 91A. 12. GOLDMAN, M., et coll. «Impact of informing whole blood donors of low ferritin results» Vox Sanguinis, vol. 105, sup. n o 1 (2013), p Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 10/11

11 13. O MEARA, A., et coll. «The value of routine ferritin measurement in blood donors». Transfusion, vol. 51 (2011), p BRYANT, B. J., et coll. «Iron replacement therapy in the routine management of blood donors», Transfusion, vol. 52 (2012), p CABLE, R. G., et coll. «Iron deficiency in blood donors: analysis of enrollment data from the REDS-II Donor Iron Status Evaluation (RISE) study», Transfusion, vol. 51 (2011), p GODDARD, A. F., et coll. «Guidelines for the management of iron deficiency anaemia», Gut, vol. 60 (2011), p Article de la Société canadienne du sang disponible sur Publié en juillet 2013 Page 11/11

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