Objet : Exposé-sondage de l IASB : Instruments financiers : Pertes de crédit attendues ES/2013/3

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Objet : Exposé-sondage de l IASB : Instruments financiers : Pertes de crédit attendues ES/2013/3"

Transcription

1 Le 24 juin 2013 Affiché sur le site : Objet : Exposé-sondage de l IASB : Instruments financiers : Pertes de crédit attendues ES/2013/3 Madame, Monsieur, L Association des comptables généraux accrédités du Canada (CGA-Canada) est heureuse d avoir l occasion de présenter ses commentaires sur l exposé-sondage de l IASB Instruments financiers : Pertes de crédit attendues. Nous avons également fourni des commentaires supplémentaires relativement à certaines questions connexes. Commentaires généraux Question 1 a) Êtes-vous d accord qu une approche suivant laquelle une correction de valeur pour pertes (ou une provision) est comptabilisée à un montant correspondant initialement à une partie des pertes de crédit attendues et, dans le cas seulement où il y a détérioration importante de la qualité de crédit, aux pertes de crédit attendues pour la durée de vie reflétera : i) la relation économique qui existe entre le prix des instruments financiers et la qualité de crédit lors de la comptabilisation initiale; ii) les effets des variations de la qualité de crédit qui se produisent après la comptabilisation initiale? Dans la négative, pourquoi? Quelles modifications apporteriez-vous au modèle proposé? b) Êtes-vous d accord que la création, dès la comptabilisation initiale, d une correction de valeur pour pertes ou d une provision correspondant à la valeur actualisée au taux d intérêt effectif initial des pertes de crédit attendues pour la durée de vie ne représente pas fidèlement la réalité économique sous-jacente aux instruments financiers? Dans la négative, pourquoi? 1 a)i) : Nous sommes d avis que la comptabilisation d une partie des pertes de crédit attendues dès la comptabilisation initiale ne reflète pas la relation économique qui existe entre le prix d un instrument financier et la qualité de crédit lors de la comptabilisation initiale lorsque le prix de l instrument financier est fixé en fonction des conditions du marché, parce que cette approche ne tient pas compte du mécanisme de fixation du prix de la transaction et pourrait mener à une double comptabilisation de ces pertes. Cependant, nous ne voyons pas une meilleure solution de

2 rechange qui permettrait de modifier le modèle d une façon qui, à la fois, serait viable en pratique et permettrait de remédier à ce problème. 1 a)ii) : Nous appuyons l approche proposée, car elle permet de distinguer les actifs financiers dont la qualité de crédit s est détériorée des autres actifs financiers et fournit ainsi une information pertinente aux utilisateurs. 1 b) : Nous ne sommes pas d accord avec une approche qui exige que les pertes de crédit attendues pour la durée de vie soient comptabilisées dès la comptabilisation initiale, car cette approche donnerait lieu à une concentration initiale excessive des pertes de crédit et, comme nous le mentionnons dans la réponse à la question 1 a), les attentes initiales quant aux pertes de crédit sont déjà reflétées dans le prix d un actif financier, et on aurait ainsi une information moins pertinente sur la détérioration de la qualité de crédit. Question 2 a) Êtes-vous d accord que la comptabilisation d une correction de valeur pour pertes (provision) d un montant correspondant aux pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir et, après une détérioration importante de la qualité du crédit, aux pertes de crédit attendues pour la durée de vie permet de ménager un équilibre approprié entre la fidélité à la réalité économique sous-jacente et le coût de la mise en œuvre? Dans la négative, pourquoi? Quelle solution préféreriez-vous (motivez votre réponse)? b) Êtes-vous d accord que la méthode de comptabilisation des pertes de crédit attendues proposée dans le présent exposé-sondage ménage un meilleur équilibre entre la fidélité à la réalité économique sous-jacente et le coût de la mise en œuvre que les méthodes proposées dans l ES de 2009 et le DC (compte non tenu du plancher établi en fonction de l avenir prévisible)? c) Pensez-vous que la création, dès la comptabilisation initiale, d une correction de valeur pour pertes d un montant correspondant aux pertes de crédit attendues pour la durée de vie, actualisées au taux d intérêt effectif initial, permet de ménager un meilleur équilibre entre la fidélité à la réalité économique sous-jacente et les coûts de la mise en œuvre que la méthode proposée dans le présent exposé-sondage? 2 a) : Nous croyons que l approche proposée permettra de comptabiliser en temps plus opportun les pertes de crédit attendues et qu elle remédie donc de façon pragmatique aux déficiences du «modèle des pertes subies». 2 b) : Nous croyons que l approche proposée dans l exposé-sondage permet de ménager un meilleur équilibre entre la fidélité à la réalité économique sous-jacente et le coût de la mise en œuvre que les méthodes proposées dans l ES de 2009 et le DC (compte non tenu du plancher établi en fonction de l avenir prévisible). 2 c) : Nous croyons que la comptabilisation de la totalité des pertes de crédit attendues pour la durée de vie dès la comptabilisation initiale ne permet pas de ménager un équilibre approprié entre la fidélité à la réalité économique sous-jacente et les coûts de mise en œuvre. Cependant, il

3 pourrait être nécessaire de procéder à des essais sur le terrain plus poussés pour mieux comprendre l effet précis des propositions. Question 3 a) Êtes-vous d accord avec le champ d application proposé dans le présent exposé-sondage? Dans la négative, pourquoi? b) Êtes-vous d accord pour que, dans le cas des actifs financiers qui sont obligatoirement évalués à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global selon l ES Classement et évaluation, la comptabilisation des pertes de crédit attendues doive se faire conformément aux propositions du présent exposé-sondage? Pourquoi? 3 a) : Nous sommes d accord avec le champ d application proposé dans l exposé-sondage et nous sommes d avis que la même approche de dépréciation devrait être appliquée à la fois aux prêts et engagements de prêts, car ils sont souvent gérés selon les mêmes modèle d affaires et systèmes de gestion des risques. 3 b) : Nous sommes d accord pour que les exigences proposées à l égard de la dépréciation s appliquent aussi aux actifs financiers évalués à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global. Nous croyons également qu il est important que tant les actifs financiers évalués au coût amorti que les actifs financiers évalués à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global soient soumis aux mêmes exigences relatives à la dépréciation, parce que cela assure la comparabilité des montants qui sont comptabilisés en résultat net à l égard d actifs ayant des caractéristiques économiques similaires. Nous sommes aussi d accord avec l opinion de l IASB selon laquelle l application d exigences différentes relatives à la dépréciation constituerait une source de complexité. Question 4 L évaluation de la correction de valeur pour pertes (ou de la provision) à un montant correspondant aux pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir est-elle réalisable? Dans la négative, pourquoi, et comment estimez-vous que la partie comptabilisée dès la comptabilisation initiale doive être déterminée? Nous croyons que la réponse à cette question dépend de la méta-analyse des résultats des essais sur le terrain. Question 5 a) Êtes-vous d accord avec la proposition suivant laquelle l entité serait tenue de comptabiliser une correction de valeur pour pertes (ou une provision) d un montant correspondant aux pertes de crédit attendues pour la durée de vie dans les cas où il y a eu

4 augmentation importante du risque de crédit depuis la comptabilisation initiale? Dans la négative, pourquoi êtes-vous en désaccord, et quelle solution de rechange préféreriez-vous? b) Les propositions fournissent-elles des indications suffisantes sur les circonstances dans lesquelles il faut comptabiliser les pertes de crédit attendues pour la durée de vie? Dans la négative, quelles indications supplémentaires suggéreriez-vous? c) Êtes-vous d accord que l appréciation visant à déterminer s il y a lieu de comptabiliser les pertes de crédit attendues pour la durée de vie ne devrait prendre en considération que les variations de la probabilité de défaillance, et non les variations des pertes de crédit attendues (ou pertes en cas de défaillance [«LGD»])? Dans la négative, pourquoi êtesvous en désaccord, et que préféreriez-vous? d) Êtes-vous d accord avec les mesures de simplification proposées, et estimez-vous que ces mesures favorisent un juste équilibre entre l image fidèle et le coût de la mise en œuvre? e) Êtes-vous d accord avec la proposition suivant laquelle le modèle doit permettre de ramener la correction de valeur pour pertes (ou la provision) au montant des pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir lorsque les critères de comptabilisation des pertes de crédit attendues pour la durée de vie ne sont plus remplis? Dans la négative, pourquoi êtesvous en désaccord, et que préféreriez-vous? 5 a) : Nous sommes d accord avec la proposition visant à comptabiliser des pertes de crédit attendues pour la durée de vie dans le cas où il y a eu une détérioration importante de la capacité de l emprunteur de s acquitter de ses obligations contractuelles, parce qu une telle détérioration du crédit n aurait pas été reflétée dans le prix initial (c est-à-dire le taux d intérêt) de l actif financier. Même si nous convenons qu il est approprié de fonder cette approche sur une détérioration relative de la qualité de crédit, il sera nécessaire de résoudre les difficultés d ordre pratique. En outre, l interprétation et l application appropriées de termes comme «importante» et «détérioration de la qualité de crédit» pourraient susciter des doutes. 5 b) : Nous croyons que les propositions fournissent des indications suffisantes sur l appréciation d une augmentation importante du risque de crédit qui conviennent également aux entreprises autres que de crédit. 5 c) : Nous convenons que l appréciation aux fins de la comptabilisation des pertes de crédit attendues devrait être fondée sur les variations de la probabilité de défaillance, car cette approche ne nécessite pas une estimation complète des pertes de crédit attendues et concorde avec les techniques actuelles de gestion du risque de crédit. En outre, nous constatons que l existence d un lien entre l appréciation et les variations de la probabilité de défaillance permettra de fournir aux utilisateurs des informations supplémentaires au sujet de la qualité de crédit et de montrer si l entité se concentre principalement sur le recouvrement des produits d intérêts ou le recouvrement du principal. Cependant, nous avons des réserves quant à la capacité des techniques actuelles de gestion des risques généralement employées à tenir efficacement compte d événements extrêmes comme la crise financière de d) : Nous sommes d accord avec les mesures de simplification proposées et nous croyons qu elles favorisent un juste équilibre entre l image fidèle et le coût de la mise en œuvre.

5 5 e) : Nous croyons que tant les variations favorables que défavorables de la qualité de crédit devraient être comptabilisées de manière uniforme à l aide des mêmes principes et critères, car cela permettrait d assurer la comparabilité du traitement comptable adopté par les entités pour des éléments similaires. En conséquence, nous sommes d accord pour qu une entité soit autorisée à ramener la correction de valeur pour pertes au montant des pertes de crédit attendues pour les 12 mois à venir lorsque les critères de comptabilisation des pertes de crédit attendues pour la durée de vie ne sont plus remplis. Question 6 a) Êtes-vous d accord qu il existe des circonstances dans lesquelles les produits d intérêts calculés sur la valeur comptable nette (coût amorti) fournissent une information plus utile que les produits d intérêts calculés sur la valeur comptable brute? Dans la négative, pourquoi êtes-vous en désaccord, et que préféreriez-vous? b) Êtes-vous d accord avec la proposition suivant laquelle le mode de calcul des produits d intérêts serait modifié pour les actifs qui présentent une indication objective de dépréciation après la comptabilisation initiale? Pourquoi? Dans la négative, pour quels types d actifs devrait-on modifier le mode de calcul des produits financiers? c) Êtes-vous d accord avec la proposition suivant laquelle le mode de calcul des produits d intérêts serait symétrique (c est-à-dire qu on pourrait revenir à un calcul fondé sur la valeur comptable brute)? Pourquoi? Dans la négative, quelle approche préféreriez-vous? 6 a) : Nous croyons que l exposé-sondage tient compte de la comptabilisation des produits d intérêts et de la comptabilisation des pertes de crédit attendues séparément. Par conséquent, une entité comptabilise les intérêts sur la valeur comptable brute sans tenir compte des pertes de crédit attendues. Cependant, nous sommes d accord avec l IASB qui conclut, au paragraphe BC98 de l exposé-sondage, qu il existe certains actifs financiers dont la qualité de crédit s est détériorée à tel point que la présentation des produits d intérêts calculés sur la valeur comptable brute qui reflète le rendement contractuel ne représente plus fidèlement le rendement économique. Nous croyons aussi qu une telle approche fournira des informations plus utiles aux utilisateurs lorsqu ils analysent les marges nettes d intérêt. 6 b) : Nous sommes d accord avec la conclusion de l IASB selon laquelle l application du critère des «pertes subies» dans un modèle des pertes de crédit attendues suscite des préoccupations, mais que cette application est nécessaire pour préserver la représentation fidèle des produits d intérêts, tout en réduisant au minimum les difficultés pratiques. L obligation de calculer les produits d intérêts sur la valeur comptable nette lorsqu il y a une indication objective de dépréciation accroît la complexité du modèle de dépréciation. Cependant, nous convenons à l instar de l IASB que, puisque les préparateurs déterminent les intérêts sur la base du coût amorti net de façon similaire en vertu de la version en vigueur d IAS 39, on n ajoute pas ainsi à la complexité. Les intérêts sont vus comme une compensation qui tient compte des pertes de crédit attendues. Lorsque les pertes de crédit deviennent si importantes que les produits d intérêts ne constituent plus une compensation suffisante, différentes approches peuvent être utilisées pour évaluer les produits d intérêts. Nous croyons que l approche de l IASB, qui consiste à calculer

6 les produits d intérêts sur la valeur comptable nette lorsqu il y a une indication objective de dépréciation, est préférable à l approche du FASB, qui est axée sur la non-comptabilisation. Le recours au principe de la non-comptabilisation des intérêts peut permettre à une entité de reporter les insuffisances attendues de trésorerie restantes dans le temps sans que cela n ait d effet sur la correction de valeur et ce principe ne reflète donc pas de façon appropriée la valeur temporelle des insuffisances attendues de trésorerie. 6 c) : Nous sommes d accord avec la proposition suivant laquelle le mode de calcul des produits d intérêts devrait être symétrique et croyons que cette approche assure la comparabilité de la façon dont les entités comptabilisent des éléments similaires. Question 7 a) Êtes-vous d accord avec les obligations d information proposées? Pourquoi? Dans la négative, quels changements recommanderiez-vous (motivez votre réponse)? b) Entrevoyez-vous des difficultés d ordre pratique particulières auxquelles la mise en œuvre des obligations d information proposées pourrait donner lieu? Dans l affirmative, précisez. c) À votre avis, quelles autres informations serait-il utile de fournir (en complément ou à la place des obligations d information proposées)? Pourquoi? 7 a) : Nous appuyons de façon générale les obligations d information proposées et nous croyons qu elles vont permettre d accroître la transparence et la comparabilité ainsi que de fournir des informations pertinentes sur la qualité de crédit associée aux actifs financiers d une entité et sur les activités de gestion des risques de cette dernière. Nous croyons que l IASB devrait élaborer un cadre d information solide qui préciserait non seulement les informations à fournir, mais également le degré de souplesse qui pourrait être approprié quant à la façon de fournir les informations. 7 b) : Nous croyons, comme nous l avons indiqué précédemment, que seule une méta-analyse des résultats des essais sur le terrain peut révéler les difficultés d ordre pratique particulières. 7 c) : Nous suggérons que l IASB exige que des informations soient fournies sur les ajustements liés à l expérience, qui permettraient aux utilisateurs de comprendre la qualité des estimations comptables antérieures. Question 8 Êtes-vous d accord avec le traitement proposé pour les actifs financiers dont les flux de trésorerie contractuels ont été modifiés et estimez-vous qu il fournit une information utile? Dans la négative, pourquoi êtes-vous en désaccord, et quelle solution de rechange préféreriez-vous?

7 Nous sommes d accord avec le traitement proposé pour les actifs financiers dont les flux de trésorerie contractuels ont été modifiés, mais nous suggérons également qu il soit précisé dans la norme à quel moment les modifications doivent donner lieu à une décomptabilisation. Question 9 a) Êtes-vous d accord avec les propositions concernant l application du modèle général aux engagements de prêts et aux contrats de garantie financière? Pourquoi? Dans la négative, quelle approche préféreriez-vous? b) À votre avis, la proposition suivant laquelle les pertes de crédit attendues au titre des contrats de garantie financière et des engagements de prêts doivent être présentées à titre de provision dans l état de la situation financière pourrait-elle soulever des difficultés importantes en pratique? Dans l affirmative, précisez. 9 a) : Nous appuyons les propositions concernant l application du modèle général aux engagements de prêts et aux contrats de garantie financière, car l application du même modèle de dépréciation est préférable pour tous les instruments financiers, sous réserve de l application de la méthode simplifiée au besoin. 9 b) : Comme nous l avons indiqué dans notre réponse à la question 4, nous croyons que la réponse à cette question dépend de la méta-analyse des résultats des essais sur le terrain. Question 10 a) Êtes-vous d accord avec la méthode simplifiée proposée pour les créances clients et les créances locatives? Pourquoi? Dans la négative, quels changements recommanderiez-vous et pourquoi? b) Êtes-vous d accord avec les modifications proposées en ce qui concerne l évaluation initiale des créances clients ne comportant pas de composante financement importante? Dans la négative, pourquoi êtes-vous en désaccord, et que proposeriez-vous à la place? 10 a) : Nous sommes d accord avec la méthode simplifiée proposée pour les créances clients et les créances locatives. Cependant, nous croyons que des indications supplémentaires sont nécessaires pour l application des propositions aux créances locatives. 10 b) : Nous sommes d accord avec la modification que l on propose d apporter à IFRS 9 concernant l évaluation des créances clients ne comportant pas de composante financement importante à leur prix de transaction, car cela permettrait d harmoniser les exigences d IFRS 9 et les exigences proposées dans le projet sur la comptabilisation des produits des activités ordinaires.

8 Question 11 Êtes-vous d accord avec les propositions relatives aux actifs financiers dépréciés dès la comptabilisation initiale? Pourquoi? Dans la négative, quelle approche préféreriez-vous? Nous sommes d accord avec les propositions relatives aux actifs financiers dépréciés dès la comptabilisation initiale, car les actifs qui seraient visés par cette proposition d ajustement du taux d intérêt effectif correspondent à ceux actuellement visés par le paragraphe AG5 d IAS 39. Question 12 a) De quel délai auriez-vous besoin pour la mise en œuvre des dispositions proposées? Veuillez expliquer les hypothèses que vous avez utilisées aux fins de cette appréciation. En conséquence, quelle serait, à votre avis, la date d entrée en vigueur appropriée pour IFRS 9? Veuillez motiver votre réponse. b) Êtes-vous d accord avec les dispositions transitoires proposées? Pourquoi? Dans la négative, quels changements recommanderiez-vous (motivez votre réponse)? c) Êtes-vous d accord avec la solution d allégement proposée en ce qui concerne le retraitement des informations comparatives à la transition? Dans la négative, pourquoi? 12 a) : Nous croyons qu il serait approprié d accorder aux entités un délai minimum de trois années pour la mise en œuvre d IFRS 9, une fois toutes les parties d IFRS 9 parachevées. En outre, l IASB devrait s assurer qu IFRS 9 et la norme sur les contrats d assurance entrent en vigueur à la même date. 12 b) : Nous suggérons que l IASB revoie les dispositions transitoires d IFRS 9 pour s assurer que les informations comparatives retraitées soient utiles. Sinon, nous recommandons d accorder une exemption à l égard du retraitement des informations comparatives. 12 c) : Nous croyons que, sous réserve de nos commentaires au point 12 b) qui précède, l IASB devrait prendre en considération que le fait de ne pas exiger le retraitement des informations comparatives obligerait les utilisateurs à faire certains ajustements pour lesquels ils disposent de moins d informations que les préparateurs. Question 13 Êtes-vous d accord avec l appréciation faite par l IASB des effets des propositions? Pourquoi? Nous apprécions l initiative de l IASB de tenir compte de l analyse des effets dans le processus de normalisation. Nous croyons que les paragraphes BC164 à BC216 contiennent des

9 informations utiles qui vont permettre à toutes les parties prenantes de comprendre et d évaluer l effet éventuel des exigences. Autres commentaires Nous sommes préoccupés par le fait que l IASB et le FASB adoptent des orientations différentes à l égard de cette question particulière. Nous continuons de croire que la convergence des normes à l égard d une question aussi fondamentale que la comptabilisation de la dépréciation des instruments financiers est cruciale pour améliorer la comparabilité des états financiers des différents pays, et pour accroître la confiance des parties prenantes à l égard de ces informations. Nous croyons aussi que, en l absence de normes en convergence à l égard de la dépréciation, les entités qui appliquent à la fois les IFRS et les PCGR des États-Unis vont faire face à des difficultés importantes quant à la mise en œuvre. Nous suggérons également l ajout d indications supplémentaires en matière de mise en œuvre pour rapprocher les normes proposées sur la dépréciation des instruments financiers avec le cadre prudentiel pour les fonds propres et pour éviter les divergences dans la pratique. Si vous souhaitez discuter du contenu de nos commentaires ou demander des explications supplémentaires sur l un des éléments qui y figurent, veuillez communiquer avec Kamalesh Gosalia (kgosalia@cga-canada.org) ou avec le soussigné (rlefebvre@cga-canada.org). Je vous prie d agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées. Le vice-président, Recherche et normalisation, [Original signé par :] Rock Lefebvre, MBA, CFE, FCIS, FCGA

Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients

Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients Le 5 mars 2012 Affiché sur le site Web http://www.iasb.org/ Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients Madame, Monsieur, L Association

Plus en détail

Exposé-sondage ES/201 / Date limite de réception des commentaires : le

Exposé-sondage ES/201 / Date limite de réception des commentaires : le 201 Exposé-sondage ES/201 / Date limite de réception des commentaires : le Instruments financiers : Pertes de crédit attendues Date limite de réception des commentaires : le 5 juillet 2013 IFRS Foundation

Plus en détail

IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence

IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence Extrait, Groupe de discussion sur les IFRS Compte rendu de la réunion du 18 octobre

Plus en détail

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence)

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence) Le 27 juillet 2011 Affiché sur le site Web : http://www.ifac.org/ Monsieur David McPeak Directeur technique Conseil des normes internationales de la formation comptable International Accounting Education

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement?

Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement? Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement? Le processus de normalisation de l IASB auparavant Proposition

Plus en détail

Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013

Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013 Synthèse de la réunion de l IASB du mois de Décembre 2013 Sommaire 1. Revue post-application de la norme IFRS 3 sur les regroupements d entreprises... 2 2. Mise en équivalence : part dans les variations

Plus en détail

Pleins feux sur les IFRS

Pleins feux sur les IFRS Bureau mondial des IFRS Août 2010 Pleins feux sur les IFRS L IASB publie un exposé-sondage sur la comptabilisation des contrats de location Table des matières La proposition Champ d application Comptabilisation

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

Norme internationale d information financière 2 (IFRS 2), Paiement fondé sur des actions

Norme internationale d information financière 2 (IFRS 2), Paiement fondé sur des actions Norme internationale d information financière 2 (IFRS 2), Paiement fondé sur des actions Par STEPHEN SPECTOR, M.A., FCGA Cet article s inscrit dans une série d articles de Brian et Laura Friedrich et de

Plus en détail

Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères

Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Objectif 1 Une entité peut exercer des activités à l international de deux manières. Elle peut conclure des transactions

Plus en détail

Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées

Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées Norme internationale d information financière 5 Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées Objectif 1 L objectif de la présente norme est de spécifier la comptabilisation d

Plus en détail

Norme internationale d information financière 32 (IAS 32), Instruments financiers : Présentation

Norme internationale d information financière 32 (IAS 32), Instruments financiers : Présentation Norme internationale d information financière 32 (IAS 32), Instruments financiers : Présentation Par STEPHEN SPECTOR, M.A., FCGA Cet article s inscrit dans une série d articles de Brian et Laura Friedrich

Plus en détail

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014 Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est

Plus en détail

Bulletin de nouvelles sur les IFRS

Bulletin de nouvelles sur les IFRS uméro spécial Produits Bulletin de nouvelles sur les IFRS Juin 2014 «Après plus de cinq ans consacrés à son élaboration, l IASB et le FASB ont finalement publié leur nouvelle norme convergente sur la comptabilisation

Plus en détail

un état de changement

un état de changement un état de changement Bulletin bimestriel à l intention des organismes sans but lucratif Février 2013 Dans ce numéro Nouvelles normes comptables pour les organismes sans but lucratif Introduction Les organismes

Plus en détail

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Champ d application 1 La présente norme doit être appliquée à la comptabilisation

Plus en détail

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État

Plus en détail

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits

Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)

Plus en détail

Interprétation IFRIC 12 Accords de concession de services

Interprétation IFRIC 12 Accords de concession de services Interprétation IFRIC 12 Accords de concession de services Références Cadre de préparation et de présentation des états financiers 1 IFRS 1 Première application des Normes internationales d information

Plus en détail

L adoption des IFRS au Canada : une analyse empirique de l incidence sur les états financiers

L adoption des IFRS au Canada : une analyse empirique de l incidence sur les états financiers L adoption des IFRS au Canada : une analyse empirique de l incidence sur les états financiers Auteurs : Michel Blanchette, François-Éric Racicot et Komlan Sedzro Commanditaires : Rock Lefebvre, MBA, CFE,

Plus en détail

Norme internationale d information financière 6 Prospection et évaluation de ressources minérales

Norme internationale d information financière 6 Prospection et évaluation de ressources minérales Norme internationale d information financière 6 Prospection et évaluation de ressources minérales Objectif 1 L objectif de la présente norme est de préciser l information financière relative à la prospection

Plus en détail

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE

NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil des normes internationales

Plus en détail

Conversion des devises

Conversion des devises exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent

Plus en détail

FAIRFAX INDIA HOLDINGS CORPORATION

FAIRFAX INDIA HOLDINGS CORPORATION États financiers consolidés Pour la période close le 31 décembre 2014 1 Le 25 mars 2015 Rapport de l auditeur indépendant Au conseil d administration de Fairfax India Holdings Corporation Nous avons effectué

Plus en détail

Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé

Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé juin 2011 www.bdo.ca Certification et comptabilité Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé Guide sur les

Plus en détail

Énoncé de principes. AcSB/PSAB. Amélioration des normes pour les organismes sans but lucratif

Énoncé de principes. AcSB/PSAB. Amélioration des normes pour les organismes sans but lucratif Énoncé de principes Amélioration des normes pour les organismes sans but lucratif (Applicable aux organismes sans but lucratif [OSBL] des secteurs privé et public qui utilisent les normes pour les OSBL

Plus en détail

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe Exposé-sondage Projet de prise de position conjointe Prise de position conjointe sur les communications avec les cabinets d avocats au sujet des réclamations en cours et des réclamations éventuelles lors

Plus en détail

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail

États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS

États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS Au 31 mars 2014 Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l. 2000 Manulife Place 10180 101 Street Edmonton (Alberta) T5J 4E4 Canada Tél. : 780-421-3611

Plus en détail

Le point sur les PCGR américains

Le point sur les PCGR américains Points de vue, analyses et actualité touchant l information publiée selon les PCGR américains et les exigences de la SEC Une perspective canadienne Le point sur les PCGR américains Hiver 2013 Numéro 1-2013

Plus en détail

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Le 28 mars 2006 Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Nous sommes heureux d avoir l occasion de présenter nos commentaires

Plus en détail

BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AUX 31 OCTOBRE 2012 ET 2011 ET AU 1 ER NOVEMBRE 2010 Les présents états financiers consolidés présentent des données financières récentes se rapportant

Plus en détail

LES CRÉANCES ET LES DETTES

LES CRÉANCES ET LES DETTES LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un

Plus en détail

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition RÉSUMÉ DU MODULE 4 La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition Le module 4 porte sur l utilisation de la méthode de l acquisition pour comptabiliser et présenter les filiales entièrement

Plus en détail

Opérations entre apparentés

Opérations entre apparentés exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012

Plus en détail

Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015

Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 www.pwc.com/ca/insurance Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 Puisque divers points de vue sont analysés lors des réunions de l IASB, et qu il est souvent difficile de décrire

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

États financiers consolidés. Aux 31 octobre 2011 et 2010

États financiers consolidés. Aux 31 octobre 2011 et 2010 BANQUE LAURENTIENNE DU CANADA ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS Aux 31 octobre 2011 et 2010 Les présents états financiers consolidés présentent des données financières récentes se rapportant à la situation financière,

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 CAISSE CENTRALE DESJARDINS

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 CAISSE CENTRALE DESJARDINS ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 CAISSE CENTRALE DESJARDINS TABLE DES MATIÈRES Rapport annuel de la commission de vérification... 57 Responsabilité de la direction à l égard de l information

Plus en détail

CONSOLIDATION : IFRS 10, IFRS 11, IFRS 12, IAS 27, IAS 28

CONSOLIDATION : IFRS 10, IFRS 11, IFRS 12, IAS 27, IAS 28 1 SYNTHÈSE ET PRINCIPAUX CHANGEMENTS CONTEXTE Le dispositif actuel présente plusieurs faiblesses. Applications variées du concept de contrôle lorsqu une entité ne détient pas la majorité de droits de vote

Plus en détail

Préparation à Solvabilité II

Préparation à Solvabilité II Préparation à Solvabilité II Traduction partielle des spécifications techniques EIOPA du 30 avril 2014 : valorisation du bilan prudentiel 16 mai 2014 version 1.0 Avertissement L Autorité européenne des

Plus en détail

OPÉRATIONS DE CESSION

OPÉRATIONS DE CESSION OPÉRATIONS DE CESSION Anticipation des difficultés de mise en œuvre de la norme IFRS 5 «Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées» Paris le 23/09/2014 Sandra Dujardin Antoine

Plus en détail

GROUPE D ALIMENTATION MTY INC.

GROUPE D ALIMENTATION MTY INC. États financiers consolidés de GROUPE D ALIMENTATION MTY INC. Exercices clos les 30 novembre 2013 et 2012 États consolidés des résultats Exercices clos les 30 novembre 2013 et 2012 2013 2012 $ $ Produits

Plus en détail

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010

AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 Relatif aux modalités de première application du règlement du CRC n 99-02 par les sociétés dont les instruments

Plus en détail

Exposé-sondage ES/2010/1. Date limite de réception des commentaires : le

Exposé-sondage ES/2010/1. Date limite de réception des commentaires : le 20 Exposé-sondage ES/2010/1 Date limite de réception des commentaires : le COMPTABILITE DE COUVERTURE Exposé-sondage COMPTABILITÉ DE COUVERTURE Date limite de réception des commentaires : Le 9 mars 2011

Plus en détail

PRODUITS DES ACTIVITÉS ORDINAIRES TIRÉS DE CONTRATS AVEC DES CLIENTS. Automne 2014

PRODUITS DES ACTIVITÉS ORDINAIRES TIRÉS DE CONTRATS AVEC DES CLIENTS. Automne 2014 PRODUITS DES ACTIVITÉS ORDINAIRES TIRÉS DE CONTRATS AVEC DES CLIENTS Automne 2014 Ordre du jour Sommaire Présentation du modèle Questions d application le modèle Questions d application autres questions

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée»)

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée») ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DE PAGES JAUNES LIMITÉE (auparavant «Yellow Média Limitée») 31 décembre 2014 Table des matières Rapport de l auditeur indépendant... 2 États consolidés de la situation financière...

Plus en détail

Fonds d assurance responsabilité professionnelle de l Association des courtiers et agents immobiliers du Québec RAPPORT ANNUEL 2006

Fonds d assurance responsabilité professionnelle de l Association des courtiers et agents immobiliers du Québec RAPPORT ANNUEL 2006 Fonds d assurance responsabilité professionnelle de l Association des courtiers et agents immobiliers du Québec RAPPORT ANNUEL 2006 Table des matières Mission 1 Message du président du conseil 2 Message

Plus en détail

Contrats d assurance

Contrats d assurance EXPOSÉ-SONDAGE JUIN 2013 Contrats d assurance Date limite de réception des commentaires : le 25 octobre 2013 1 IFRS Foundation Exposure Draft ED/2013/7 Insurance Contracts is published by the International

Plus en détail

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision

Plus en détail

Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance

Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance Objectif 1 L objectif de la présente norme est de spécifier l information financière pour les contrats d assurance devant être établie

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION Incidences du passage aux IFRS sur la comptabilité du secteur public PAR JIM KEATES, DIRECTEUR DE PROJETS, CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC, L INSTITUT CANADIEN DES COMPTABLES AGRÉÉS

Plus en détail

Les effets des IFRS sur les ratios financiers :

Les effets des IFRS sur les ratios financiers : Les effets des IFRS sur les ratios financiers : premiers signes au Canada Auteurs : Michel Blanchette, François-Éric Racicot et Jean-Yves Girard Commanditaires : Rock Lefebvre, MBA, CFE, FCIS, FCGA Recherche

Plus en détail

Normes comptables pour les entreprises à capital fermé

Normes comptables pour les entreprises à capital fermé Normes comptables pour les entreprises à capital fermé Manuel de l ICCA Comptabilité, Partie II Historique et fondement des conclusions Avant-propos En décembre 2009, le Conseil des normes comptables

Plus en détail

Norme comptable internationale 33 Résultat par action

Norme comptable internationale 33 Résultat par action Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer

Plus en détail

États financiers annuels de. LA GREAT-WEST, COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE FPG canadien équilibré IG/GWL

États financiers annuels de. LA GREAT-WEST, COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE FPG canadien équilibré IG/GWL États financiers annuels de LA GREAT-WEST, COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE FPG canadien équilibré IG/GWL 31 décembre 2014 FPG canadien équilibré IG/GWL ÉTATS FINANCIERS ANNUELS ÉTATS DE LA SITUATION FINANCIÈRE,

Plus en détail

IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients

IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients IFRS 15 Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients RÉPONSES À VOS QUESTIONS Mars 2015 IFRS Cette page a été intentionnellement laissée en blanc Cette page a été intentionnellement

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES AU 31 DÉCEMBRE 2013 RAPPORT DE LA DIRECTION La direction de la Société est responsable de la préparation et de l intégrité des états financiers présentés dans son rapport annuel.

Plus en détail

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005 International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité

Plus en détail

Pleins feux sur les IFRS L IASB publie une nouvelle norme sur la comptabilisation des produits

Pleins feux sur les IFRS L IASB publie une nouvelle norme sur la comptabilisation des produits Bureau mondial des IFRS Mai 2014 Pleins feux sur les IFRS L IASB publie une nouvelle norme sur la comptabilisation des produits Table des matières Introduction Champ d application Aperçu du nouveau modèle

Plus en détail

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances

relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)

Plus en détail

Mémoire de l Institut canadien des actuaires présenté à l International Accounting Standards Board

Mémoire de l Institut canadien des actuaires présenté à l International Accounting Standards Board Mémoire Mémoire de l Institut canadien des actuaires présenté à l International Accounting Standards Board Novembre 2007 Document 207101 This document is available in English 2007 Institut canadien des

Plus en détail

Ouvrage collectif d un groupe de travail de l Association nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion.

Ouvrage collectif d un groupe de travail de l Association nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion. Ouvrage collectif d un groupe de travail de l Association nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion Normes IAS/IFRS Que faut-il faire? Comment s y prendre?, 2004 ISBN : 2-7081-3063-3

Plus en détail

Société Financière Manuvie

Société Financière Manuvie Société Financière Manuvie États financiers consolidés Pour l exercice terminé le 31 décembre 2008 - MODIFIÉS États financiers consolidés TABLE DES MATIÈRES 3. Responsabilité en matière d information financière

Plus en détail

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite

Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des

Plus en détail

RECOMMANDATION. Note de présentation

RECOMMANDATION. Note de présentation AUTORITE DES NORMES COMPTABLES RECOMMANDATION n 2013-02 du 7 novembre 2013 Relative aux règles d évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires pour les comptes annuels

Plus en détail

FINANCIERS CONSOLIDÉS

FINANCIERS CONSOLIDÉS ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ET NOTES ANNEXES RESPONSABILITÉ À L ÉGARD DE LA PRÉSENTATION DE L INFORMATION FINANCIÈRE 102 ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS 103 Comptes consolidés de résultat 103 États consolidés

Plus en détail

Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions

Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions Nous vous remercions de votre participation à cette étude d impact quantitative (EIQt n o 3), qui a pour but de recueillir de l information

Plus en détail

L épreuve se compose de quatre exercices indépendants.

L épreuve se compose de quatre exercices indépendants. COMPTABILITÉ ET ANALYSE FINANCIÈRE Épreuve à option Rédacteur 2009 Concours externe et interne Document et matériel autorisés : Liste intégrale des comptes comportant la mention «document autorisé aux

Plus en détail

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi?

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi? Alerte info financière NCECF MAI 2015 Chapitre 1591, «Filiales» En septembre 2014, le Conseil des normes comptables (CNC) a publié le chapitre 1591, «Filiales», de la Partie II (Normes comptables pour

Plus en détail

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018 Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013

Plus en détail

IFRS 10 États financiers consolidés

IFRS 10 États financiers consolidés IFRS 10 États financiers consolidés PLAN DE LA PRÉSENTATION Aperçu Application Dispositions transitoires Prochaines étapes Ressources PRÉSENTATEURS Alex Fisher, CPA, CA Directeur de projets, Orientation

Plus en détail

Pleins feux sur les IFRS Règles sur la juste valeur Nouvelles exigences pour les entités d investissement

Pleins feux sur les IFRS Règles sur la juste valeur Nouvelles exigences pour les entités d investissement Bureau mondial des IFRS Novembre 2012 Pleins feux sur les IFRS Règles sur la juste valeur Nouvelles exigences pour les entités d investissement Table des matières Contexte Le modèle général Participations

Plus en détail

Alerte audit et certification

Alerte audit et certification Alerte audit et certification NCSC OCTOBRE 2014 Nouvelle NCSC 4460, Rapports sur les autres éléments relevés dans le cadre d une mission d audit ou d examen : êtes-vous prêts? Le présent bulletin Alerte

Plus en détail

IPSAS 2 TABLEAUX DES FLUX DE TRÉSORERIE

IPSAS 2 TABLEAUX DES FLUX DE TRÉSORERIE IPSAS 2 TABLEAUX DES FLUX DE TRÉSORERIE Remerciements La présente Norme comptable internationale du secteur public s inspire essentiellement de la Norme comptable internationale IAS 7 Tableaux des flux

Plus en détail

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre

Plus en détail

Une vision claire des IFRS

Une vision claire des IFRS Juillet 2014 Secteur de la distribution et du commerce de détail et de gros Une vision claire des IFRS Perspectives sectorielles sur IFRS 15 La nouvelle norme sur les produits des activités ordinaires

Plus en détail

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» Alerte «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps

Plus en détail

Recommandations communes COB CB «Montages déconsolidants et sorties d actifs»

Recommandations communes COB CB «Montages déconsolidants et sorties d actifs» COMMISSION BANCAIRE Recommandations communes COB CB «Montages déconsolidants et sorties d actifs» La Commission des opérations de bourse et la Commission bancaire ont entrepris en 2002, suite aux différentes

Plus en détail

Le nouveau cadre conceptuel de l IASB

Le nouveau cadre conceptuel de l IASB Le nouveau cadre conceptuel de l IASB La notion de cadre conceptuel en comptabilité nous est venue des Etats- Unis par la publication de six normes appelées SFAC : Statements of financial accounting concepts

Plus en détail

États financiers consolidés du GROUPE CGI INC. Pour les exercices clos les 30 septembre 2013 et 2012

États financiers consolidés du GROUPE CGI INC. Pour les exercices clos les 30 septembre 2013 et 2012 États financiers consolidés du GROUPE CGI INC. Rapports de la direction et des auditeurs DÉCLARATION CONCERNANT LA RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION À L ÉGARD DE LA COMMUNICATION D INFORMATION FINANCIÈRE

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Bâle III : ratio de levier et exigences de publicité

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Bâle III : ratio de levier et exigences de publicité Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Bâle III : ratio de levier et exigences de publicité Janvier 2014 Le présent document est traduit de l anglais. En cas de doute ou d ambiguïté, se reporter à l original

Plus en détail

Introduction à la comptabilité financière

Introduction à la comptabilité financière PARTIE 1 Introduction à la comptabilité financière Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 D une approche patrimoniale et juridique à une approche économique et financière... 3 Les tableaux de synthèse

Plus en détail

LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES

LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES États financiers Pour l'exercice terminé le 31 décembre 2008 Table des matières Rapport des vérificateurs 2 États financiers Bilan 3 État des résultats

Plus en détail

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation

entreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation 28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices

Plus en détail

États financiers consolidés

États financiers consolidés États financiers consolidés États financiers consolidés 100 Responsabilité de la direction dans la préparation des états financiers 100 Rapports des comptables agréés inscrits indépendants 101 Rapport

Plus en détail

Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre

Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Communiqué de presse TORONTO, le 2 novembre 2011 Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Résultat opérationnel net par action de 0,97 $ attribuable aux résultats en assurance

Plus en détail

RÉSULTATS FINANCIERS États financiers consolidés

RÉSULTATS FINANCIERS États financiers consolidés RÉSULTATS FINANCIERS États financiers consolidés RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION À L ÉGARD DE L INFORMATION FINANCIÈRE La direction de La Banque Toronto-Dominion (la Banque) et de ses filiales est responsable

Plus en détail

VEOLIA ENVIRONNEMENT - Etats financiers consolidés au 31 décembre 2013 Etats financiers consolidés Au 31 décembre 2013

VEOLIA ENVIRONNEMENT - Etats financiers consolidés au 31 décembre 2013 Etats financiers consolidés Au 31 décembre 2013 Etats financiers consolidés 31 décembre 2013 Sommaire ETATS FINANCIERS CONSOLIDES... 1 COMPTES CONSOLIDES... 4 1.1 État de la situation financière consolidée... 4 1.2 Compte de résultat consolidé... 6

Plus en détail

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ÉNONCÉ DE RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION RELATIVEMENT À L INFORMATION FINANCIÈRE La direction est responsable de la préparation et de la présentation des états financiers consolidés

Plus en détail

Finance pour non financiers

Finance pour non financiers Finance pour non financiers Managers non financiers Responsables opérationnels ayant à dialoguer avec les comptables et les financiers Savoir communiquer avec les financiers dans l entreprise : comptabilité,

Plus en détail