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1 septembre 2013 P R O G R A M ME ATELIER n 7 JEUDI 26 septembre LA TÉLÉMÉDECINE AU SERVICE DE TOUS Directeur : Pierre Simon Association Nationale de Télémédecine

2 P R O G R A M ME ATELIER n 7 JEUDI 26 septembre 14h30 La Télémédecine est-elle bien comprise des professionnels de santé? Intervenants : Dr. Laurence Guédon (cardiologue CHU Lille, Etude Ecost), Dr Christine Boutet, (Directeur médical, GCS e-santé Picardie) Dr Yves Grillet (Pneumologue, vice-président FFP, Etude Optisas) 15h30 La Télémédecine fait-elle peur aux Etablissements de santé? Intervenant : M. Philippe De Lorme, Directeur-Adjoint, CHU Rouen 16h15 Pause 16h45 La Télémédecine fait-elle peur aux usagers? Intervenant : M. Alain Olympie, Président de l Association Française Aupetit 17h30 La Télémédecine intéresse t elle les Industriels de la santé? Intervenant : M. Philippe Maugendre, Directeur Prospective Economique et Institutionnels, Sanofi, France 18h15 Conclusions - Synthèse

3 P R O G R A M ME ATELIER n 7 JEUDI 26 septembre 14h30 La Télémédecine est elle bien comprise des professionnels de santé? Présentation du thème : P. Simon, Président de l ANTEL La télémédecine bouleverse les organisations et les pratiques professionnelles. Elle vise d une part à structurer un parcours de soins gradués entre les établissements de santé, publics et privés, c'est-à-dire permettre l accès «au juste soin au bon endroit», d autre part, à assurer la continuité des soins entre la ville et l hôpital en favorisant les coopérations entre professionnels de santé, médecins et non médecins, dans le but de bien identifier un parcours de soins adapté aux maladies chroniques du vieillissement qui représentent aujourd hui 80% de la demande de soins. Elle vise à prévenir l adressage aux urgences et les hospitalisations évitables. La télémédecine ne peut pas être seulement l ajout d un outil numérique, elle entraine une révision complète des organisations et des pratiques professionnelles. C est un changement de paradigme de notre système de santé.

4 La Télémédecine est-elle bien comprise des Professionnels de Santé? Réflexions aux travers de la Télésurveillance des Défibrillateurs Automatiques Implantables Laurence Guédon-Moreau CHAM Septembre 2013

5 Défibrillateurs Automatiques Implantables Prévention I ou II de la mort subite Post infarctus Insuffisance cardiaque Taux d implantation en France: 145 dispositifs / million d habitants / an En 2010 en France: # patients porteurs de DAI Suivi des patients : tous les 3 à 6 mois Paramètres techniques Troubles du rythme

6 Concept de la Télésurveillance des DAI Constructeur Téléphonie fixe/mobile Radio fréquence Internet Patient Equipe médicale

7 Chronologie CONNECT ECOST Loi HPST TRUST Charte Télécardiologie Home Monitoring Carelink Latitude Merlin.net Smartview

8 Bénéfices attendus du Suivi Télécardiologique Détection précoce Des problèmes techniques Des orages rythmiques Des thérapies inappropriées Réponse aux évolutions du mode de vie Facilitation de l accès aux soins Diminution du coût des soins

9 Etude ECOST : Design Etude Prospective, randomisée 1:1, contrôlée, multicentrique Inclusion Implantation Discharge/Rando Groupe témoin: suivi ambulatoire 1-3 mois 9 mois 15 mois 21 mois 27 mois Groupe actif: télésurveillance Suivi imposé (en consultaiton présentielle) Suivi additionnel déclenché par le système Home-Monitoring Suivi additionnel déclenché par le patient ou son médecin

10 Objectifs de l Etude ECOST 1 Sécurité de la Télésurveillance Evènements Indésirables Graves 2 Efficacité de la Télésurveillance Chocs inappropriés 3 Evaluation économique Coût pour l Assurance Maladie et le Patient DCIR

11 ECOST Sites de l étude BREST RENNES CAEN NEUILLY LILLE LOMME AMIENS SAINT DENIS LAGNY PARIS CRETEIL ANTONY QUINCY ORLEANS METZ NANCY MULHOUSE 433 patients ont été inclus, randomisés et suivis pendant 27 mois 43 centres investigateurs en France ANGERS NANTES BORDEAUX TOURS LIMOGES CLERMONT FERRAND DIJON BESANCON CALUIRE ET CUIRE LYON SAINT ETIENNE Private 187 Patients Public 46% 219 Patients 54% Groupe ACTIF Groupe Témoin PESSAC PAU ARESSY TOULOUSE MONTPELLIER AVIGNON MARSEILLE NICE SAINT LAURENT DU VAR 221 Patients 51% 212 Patients 49% PERPIGNAN

12 Objectif principal : Sécurité Courbe de survie sans EIG Patients sans EIG (%) Log Rang Test: p = Hazard Ratio : 0.91 (95%IC ) p<0.05 (non-infériorité) Groupe CONTROLE Groupe ACTIF Nombre à risque ACTIF CONTROLE Mois de suivi Méthode Kaplan-Meier Guédon-Moreau L et al. Eur Heart J 2013 ; 34 (8) :

13 Objectif secondaire : Efficacité Premier choc inapproprié Patients avec au moins 1 choc inapproprié -52% P=0.03 La télésurveillance est associée à une réduction significative de 52% de la survenue d un premier choc inapproprié. 11 (5.0%) Active (n= 221) 22 (10.4%) Control (n = 212) 1.4% (n=3) 5.2% (n=11) Guédon-Moreau L et al. Eur Heart J 2013 ; 34 (8) :

14 Bilan global des coûts (hors cotation de l acte) 2 Postes budgétaires impactés par la Télésurveillance Coûts ambulatoires Coûts du DAI % 4,287 ± 1,455 P= ,781 ± 1,594 ECONOMIE 494 par patient/an ou 315 par patient/an (HM inclus) Active Catégorie Group 1 Control Catégorie Group 2

15 Télésurveillance Gold standard de la surveillance des DAI Favoriser l adoption par les professionnels de santé Fait à Faire Décret d application de la loi HPST Charte de télécardiologie Organisation Formation Rémunération

16 Législation Loi HPST Décret du 19 octobre 2010 Définition des actes de télémédecine Précision des conditions de mise en œuvre Précision de l organisation Télé consultation Télé expertise Télé surveillance Télé assistance Comité de Pilotage de la stratégie nationale de déploiement de la télémédecine -DGOS- Contrat Convention

17 Obligation 1 Contrat entre L ARS Les acteurs de la télémédecine 2 Convention Relation entre les acteurs Condition de mise en œuvre des exigences règlementaires

18 Contrat Tout projet de télémédecine doit faire l objet d un contrat 1 Contrat 1 seul contrat par activité de télémédecine 1 Interlocuteur Possibilité d un interlocuteur unique pour l ARS: Coordonnateur de projet - Représentation des acteurs - Coordination des besoins des acteurs - Relai entre l ARS et les acteurs - Rédaction des conventions - Pilotage du déploiement de l activité de télémédecine

19 Suivi du contrat RAPPORT ANNUEL Indicateur d activité Évaluation médicale Évaluation économique

20 Convention entre les acteurs Déclinaison opérationnelle de l activité de Télésurveillance des DAI Place prise par chaque acteur Rythmologue, cardiologue, infirmière... Règlement du régime de responsabilité des acteurs en cas de préjudice pour le patient

21 Télésurveillance Gold standard de la surveillance des DAI Favoriser l adoption par les professionnels de santé Fait à Faire Décret d application de la loi HPST Charte de télécardiologie Organisation Formation Rémunération

22 CHARTE de TELECARDIOLOGIE APPLIQUEE A LA TELESURVEILLANCE des PROTHESES IMPLANTEES EN RYTHMOLOGIE Élaborée puis validée le 16 décembre 2011 par le CNPC (Conseil National Professionnel de Cardiologie) et le CNOM (Conseil National de l Ordre des Médecins), avec le concours de la Commission de Télémédecine de la Société Française de Cardiologie (CTSFC). Contributeurs : Pr Jacques Clémenty (CTSFC), Dr Laurence Guédon-Moreau (CTSFC), Pr Salem Kacet (CTSFC), Dr Arnaud Lazarus (CTSFC), Dr Jacques Lucas (CNOM), Dr Christian Ziccarelli (CNPC) Le cardiologue dispose de trois types de prothèses électroniques pour le diagnostic et le traitement des troubles du rythme cardiaque : les stimulateurs, les défibrillateurs et les holters implantables. Ces prothèses peuvent faire l objet d une télésurveillance ponctuelle à échéance calendaire et/ou continue évènementielle. L activité de Télémédecine, encadrée par le code de déontologie, a fait l objet de textes législatifs et réglementaires : Aspects juridique, de responsabilité médicale, économique et de bonne pratique

23 Télésurveillance Gold standard de la surveillance des DAI Favoriser l adoption par les professionnels de santé Fait à Faire Décret d application de la loi HPST Charte de télécardiologie Organisation Formation Rémunération

24 Organisation de la Télésurveillance des DAI Mise en Place Gestion des Alertes Relation Patients Information du patient Education du patient Programmation du DAI Inscription du patient Alertes administratives Alertes techniques Alertes cliniques Action Médicaments Programmation du DAI Procédure Réponse aux questions Gestion du matériel Logistique de Gestion des Alertes Temps paramédical - 65% Pour 100 alertes/an Temps médical -43%

25 Télésurveillance Gold standard de la surveillance des DAI Favoriser l adoption par les professionnels de santé Fait à Faire Décret d application de la loi HPST Charte de télécardiologie Organisation Formation Rémunération

26 Formation Médecins Personnel paramédical Matériels Sites internet Gestion technique Gestion clinique Règlementation Définition des Rôles Bon usage et Absence de mésusage 3 Priorités Assurer la sécurité du patient Profiter de l efficacité du système Maitriser la consommation de soins

27 Télésurveillance Gold standard de la surveillance des DAI Favoriser l adoption par les professionnels de santé Fait à Faire Décret d application de la loi HPST Charte de télécardiologie Organisation Formation Rémunération

28 Soutien Financier de l État aux projets de Télémédecine FMESPP 2011 Fond de Modernisation des Établissements de Santé Publics et Privés 14,4 millions (Priorités ) (26 ARS) 11,6 millions (AVC- 13ARS) FIR 2012 Fond d Intervention Régional 15 millions (projets pour le secteur ambulatoire) MIG télésanté et AC «SI coopération»

29 COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 09 juillet 2013 CONCLUSIONS Prestation associée aux systèmes de télésurveillance des défibrillateurs cardiaques implantables Demandeur : Syndicat National de l Industrie des Technologies Médicales (SNITEM) Service Attendu (SA) Comparateur retenu Amélioration du SA Type d inscription Durée d inscription Suffisant Suivi conventionnel des défibrillateurs automatiques implantables sans télésurveillance Mineure (IV) Ligne générique 5 ans

30 Conclusion La Télésurveillance des DAI a été validée sur le plan scientifique et améliore le Service Médical Attendu. La Télésurveillance des DAI est performante sur le plan économique. La Télésurveillance des DAI emporte l adhésion de principe des professionnels de santé et des patients. L ensemble des acteurs (professionnels de santé, industriels et patients) est en attente du déblocage d une rémunération pérenne de l activité. Device management Disease management Patient management

31 CHAM 2013 Atelier du 26 septembre 2013 «la télémédecine est-elle bien comprise des professionnels de santé?» Dr Christine BOUTET-RIXE Directrice médicale GCS e-santé Picardie Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite

32 Comedi-e: une construction urbanisée Parcours du patient et coordination des soins Décloisonnement Coopérations médicales innovantes Propriété du GCS 5 e-santé Picardie - Reproduction Interdite

33 Le Périmètre Fonctionnel Téléconsultations programmées Comedi-e: Quelques réalisations TéléCs et Télé exp. suivi des plaies à domicile Téléradiologie 5 sites déployés Beauvais, Chaumont, IM Breteuil, + 2 sites corses Télé AVC 3 sites déployés 2 cabinets d Infirmier(e)s libérauxet CH Compiègne RCP de cancérologie 6 sites déployés CHU, Montdidier, Doullens St Quentin, Péronne, Guise Téléréunions 2 sites déployés (CHU, Abbeville) 11 sites déployés (CHU Amiens, CH Beauvais, CH St Quentin, CH Abbeville, Clinique Ste Isabelle, CH Laon, Clinique St Claude, GHPSO, CH Chauny, Clinique St Come, CHAM ) Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite - Plusieurs sites et PS utilisateurs

34 Comedi-e: Quelques chiffres Mise en production des services en décembre patients pris en charge par mois en télémédecine 100 professionnels de santé impliqués = Déploiement de différents services par spécialité d échelle modeste qui convergent vers un Programme de Télémédecine global et cohérent afin d atteindre une masse critique suffisante, évaluable, permettant de faire émerger un modèle médico-économique tenant compte des mécanismes financiers mis en évidence sur le terrain. Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite

35 Comedi-e: Quelques enseignements Construire une infrastructure sans failles créer la confiance Assurer une régulation politique avec les instances professionnelles: COTER télésanté et BMOA régionaux Accompagner les acteurs de la télémédecine par un pilotage collaboratif assurant ergonomie, souplesse et réactivité Evaluer ( méthode des valeurs, ECP) autour de la notion de bénéfice matériel (limitation des transports, des jours d hospitalisation, ) immatériel (bien être et confort du patient, ) afin de construire un modèle médico-économique viable et pérenne Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite

36 9 Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite Comedi-e: vers une pérennisation? Investissements Financement ARS Fonctionnement Abonnement au service Rémunération Tarification des actes de TM e.g. : «- de patients à l hôpital mais + d activité!» La valorisation de l activité de TM des professionnels de santé est indispensable pour passer de l expérimentation à une pérennisation de la télémédecine!

37 Comedi-e: la télémédecine est-elle bien comprise des professionnels de santé? Besoin clinique fortement exprimé par les professionnels de santé / démographie médicale en Picardie! Travail de fond du GCS e-santé Picardie : convaincre et expliquer les règles Accompagnement des directions, des DSI Formations des professionnels de santé : Université Picardie Jules Verne Master 1 en santé ( PHEFI) validé par le ministère de la santé: UE de télémédecine pour les étudiants en médecine (ouvert dès les 2 ième et 3 ieme années de médecine) Formation des PS en activité sur le terrain : DPC, e-learning et téléformations Cellule support au GCS e-santé Picardie 10 Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite

38 11 Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite Comedi-e: la télémédecine est-elle bien comprise des professionnels de santé? La réponse est oui! - Si on sait s adapter au rythme des PS et à leur réticence au changement d attitude professionnelle (mode collaboratif vs individualisme) - Si on arrive à faire maintenir un rythme aux industriels en assurant un accompagnement continu par un pilotage «métier» et à condition que la valorisation des actes de TM soit clairement formalisée

39 12 Propriété du GCS e-santé Picardie - Reproduction Interdite Merci de votre attention Contact :

40 Observatoire sommeil de la fédération française de pneumologie OSFP Cohorte prospective observationnelle de patients

41 Les utilisateurs de l OSFP 839 médecins inscrits 250 utilisateurs réguliers Spécialités Nbre utilisateurs Pneumologue 796 ORL 15 MG Somnologue 13 MG 12 Neurologue 2 Cardiologue 1 49 médecins investigateurs participent à l étude OPTISAS

42 Les patients inclus dans OPTISAS Au 25/09/2013 : patients inclus - 49 médecins investigateurs actifs Nb de patients inclus Etude OPTISAS : évolution des inclusions par semaine (S1 à S30) Optisas1 Optisas2 Total Inclusion de 500 patients en 8 mois!

43 Une solution cohérente? PATIENTS Ouverture ADS Patients Septembre 2013 FABRICANTS données Plateforme Téléobservance ADS OSFP MEDECINS FFP ASSURANCE MALADIE PSAD

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48 OptiSAS Enquête sur la perception des praticiens concernant le télésuivi mis en place dans le protocole 1 - Dans quel cadre d exercice réalisez-vous les consultations des patients inclus dans le protocole OptiSAS? activité salariée activité libérale 1bis - Si vous réalisez vos consultations à titre libéral, les exercez-vous : en cabinet de ville 1ter - si oui, exercez-vous en cabinet de groupe en cabinet individuel en clinique à l'hôpital 2 - A quelle fréquence vous connectez-vous à OptiSAS? plusieurs fois par jour une seule fois par jour moins d une fois par jour 3 - Habituellement, le dossier OptiSAS de chacun de vos patients est rempli : en direct pendant la consultation immédiatement à l issus de la consultation en différé, à un autre moment que la consultation Si vous saisissez en différé, pouvez-vous nous dire pourquoi? le temps de saisie est trop long pour être réalisé en direct la saisie en direct altère la qualité des échanges avec le patient je ne dispose pas d un ordinateur sur le lieu de consultation 4 - Qui effectue habituellement la saisie du dossier? je réalise la saisie moi-même un(e) secrétaire un(e) aide-soignant(e) un(e) infirmier(e) un(e) interne ou externe un(e) attaché(e) de recherche clinique

49 Concernant l impact du télésuivi mis en place dans le cadre du protocole OptiSAS, quel est votre degré d approbation vis-à-vis des affirmations suivantes? 5 - Le renseignement du dossier OptiSAS prend trop de temps. pas du tout d accord pas d accord plutôt pas d accord plutôt d accord d accord tout à fait d accord 6 - Le télésuivi des patients modifie profondément l'organisation de votre activité de consultation (durée, fréquence, etc.) 7 - Le télésuivi des patients modifie profondément votre pratique médicale (contenu de la consultation) 8 - Vous estimez consacrer trop de temps au télésuivi de vos patients. 9 - Le télésuivi des paramètres du patient vous aide dans vos prises de décision Le télésuivi des patients augmente votre efficacité au travail Le télésuivi des patients dégrade votre efficacité au travail.

50 D un point de vue plus général, après plusieurs semaines d utilisation du dispositif de télésuivi, quel est votre degré d approbation avec les affirmations suivantes? 17 - L activité de consultation d OptiSAS se fait aux dépens de mes autres activités professionnelles. pas du tout d accord pas d accord plutôt pas d accord plutôt d accord d accord tout à fait d accord 18 - Dans votre pratique courante, une fois l'expérimentation OptiSAS terminée, vous continuerez à utiliser le télésuivi de vos patients. pas du tout d accord pas d accord plutôt pas d accord plutôt d accord d accord tout à fait d accord

51 P R O G R A M ME ATELIER n 7 JEUDI 26 septembre 15h30 La Télémédecine fait-elle peur aux établissements de santé? Présentation du thème : Ph. De Lorme, Directeur Adjoint, CHU de ROUEN La télémédecine peut contribuer à réguler / prévenir les passages aux urgences et aussi les hospitalisations en admission directe évitables en s'organisant mieux entre praticiens / professionnels de santé de ville et en établissement de santé en s'appuyant sur des modes de prise en charge décloisonnés et collaboratifs favorisant des parcours de patients sur un territoire donné. Ce peuvent être des structures de premier recours comme des maisons de santé, des pôles de santé, des centres de santé, mais aussi des petits établissements tels que des Ehpads en connexion directe avec des établissements dits de référence. Cela se traduira à moyen et long terme par une réorganisation de l'activité hospitalière stricto sensu qui devra se réajuster versus de nouveaux besoins et usages partagés mais sans forcément tendre vers une diminution de celle-ci. Les établissements de santé publics et privés retrouvant leurs missions de second recours. L ONDAM hospitalier pourrait à terme être modulé selon des critères non encore déterminés ni stabilisés. Irait-on vers une diminution des recettes? - Comment les établissements de santé se préparent-ils à une telle évolution? Quel modèle économique leur permettrait de faire face à cette baisse d activité?

52 LES ETABLISSEMENTS ONT-ILS PEUR DU NUMERIQUE? CHAM 26 septembre 2013 Ph de Lorme CHU Rouen

53 DECOR GENERAL Révolution numérique / monde nouveau Explosion d applications issues de la R&I, data center, open source, stockage et accès aux données, «cloud computing» hôpital numérique parcours P &T.. Impact généralisé sur tous secteurs /strates / métiers..env.. Profonds changements de paradigmes / fracture &rupture Bouleversement de chaînes de valeurs, pertes de repères, intellectuels, culturels et structurels / nouveaux modes de pensées (ref: «puissance de la multitude». N Guerin, H Verdier Ed A Colin) Prise en compte de nvx rapports PS/machine/patient/ Des gouvernances à revisiter (génération Y..Z..) Environnements démo-sociétaux et économiques contraints + enjeux S & MS..

54 L HOPITAL face au NUMERIQUE PAS PEUR! Mais FRILEUX >>>> FREINS DUS A Crainte du changement / frilosités à se remettre en question, vs ses propres process d organisation / les métiers / acquisition de nouveaux langages..dialogue Complexité croissante rapide systémique vs cumul de réformes / textes / normes / contrôles / obligations / recommandations à respecter ET toutes contraintes induites + les nouvelles techno issues de la R&I..dispositifs et enjeux des SI..interopérabilités et sécurisation, architectures réseaux, partage des responsabilités

55 suite Organisations en silos / cloisonnements / obstacles à démarches collaboratives et de partage de l information entre praticiens.. Pression de la T2A.productivité PRE Risque de déshumanisation rapport praticienpatient / nouvelle éthique relation PS / machine /patient + attentisme prudent vs innovation.. Modèle économique non stabilisé/tarification/ ressources contraintes évaluations services rendus insuffisamment probants.

56 suite Sentiment de défiance / méfiance ressenti avec son corollaire «perte de confiance». Vision floue / injonctions tutélaires pas tjrs compréhensibles (ex: régulation parcours patient territoire et difficultés d accéder aux données ) Gouvernance générale / pilotage à revisiter face aux défis organisationnels / structurels /techniques et de gestion de systèmes complexes interdépendants

57 COMMENT LEVER CES FREINS (tous strates confondus internes & ext) CULTURELS: Informer & faciliter l accès et partager la connaissance / réseaux Sensibiliser Former Rassurer. Améliorer l acquisition de méthodes et démarche de projet..(aap & AO ) + affiner les usages selon une stratégie «bottom s up» Rigueur et pédagogie dans les démonstrations Favoriser l expertise & la mobilité versus nouveaux métiers Identifier et repérer de nouveaux talents

58 STRUCTURELS: Réaffirmer un rôle régulateur de la puissance publique vs décentralisation et déconcentration. Renforcer l implication des instances versus les challenges Démontrer l impact structurel et organisationnel du numérique Créer une GOUVERNANCE IMPULSANTE, RASSURANTE, OUVERTE, PARTICIPATIVE (coop plutôt que compétition) et RECONNAISSANTE restaurant ainsi LE SENS D UNE CONFIANCE COLLECTIVE, FOI et ETHIQUE de L INTERET GENERAL (communication, consultation, concertation) ET AUSSI.Raccourcir les arbres décisionnels

59 CONSEQUENCES INSTAURATION DE NOUVELLES MOTIVATIONS atténuant CETTE DEFIANCE RESSENTIE FACILITATION à 1 MEILLEURE ADHESION DES ACTEURS AUX CONDUITES DU CHANGEMENT et AUX RE-ORGANISATIONS INCONTOURNABLES et REACTIVITE ACCRUE LES ETABLISSEMENTS S INSCRIVENT PROGRESSIVEMENT DANS CE DECOR (cf projet d établissement, projet médical ) dans ces enjeux et de veille + QUALITE pec, mais NECESSITE de vision et d impulsion

60 Des transferts d activités (voire de nouvelles typologies à identifier) et de compétences se créeront, de nouveaux dispositifs de tarification s imposeront et donc de nouveaux mode et outils de financement L esprit de la T2A sera à revoir de facto. Des ressources existent.

61 CONCLUSION NON, LES ETABLISSEMENTS N ONT PAS PEUR TABLONS SUR NOS CAPACITES POUR REDONNER CONFIANCE CLE D UN BON FONCTIONNEMENT D UNE ORGANISATION et AUDACE «ce que la confiance dans la parole d autrui renforce, ce n est pas seulement l interdépendance, mais la similitude en humanité des membres de la communauté» (Paul Ricoeur)

62 ET L USAGER DANS TOUT CELA???

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67 P R O G R A M ME ATELIER n 7 JEUDI 26 septembre 16H45 3- La Télémédecine fait-elle peur aux usagers? Présentation du thème : Alain Olympie Directeur de l Association Française Aupetit Les usagers restent très attachés à la relation en face à face avec leurs médecins. La télémédecine peut être vécue comme une deshumanisation de la relation individuelle entre la personne et son médecin. La télémédecine favorise la coopération entre les professionnels de santé pour une prise en charge pluridisciplinaire d un même malade. L usager malade, notamment la personne âgée atteinte de maladies chroniques du vieillissement et habituée à une relation individuelle en face à face avec son médecin, très souvent non formé aux technologies numériques, peut craindre ces nouvelles organisations de soins structurées par la télémédecine. Trois ans après le lancement du plan national de télémédecine, quel bilan en fait l usager? Quelles dérives ou risques a-t-il pu percevoir? Quels bénéfices a-t-il identifié qu il souhaiterait voir consolidés?

68 Questions de télémédecine : peur(s) sur la ville? Alain OLYMPIE septembre 2013 directeur@afa.asso.fr

69 L afa et les MICI Créée en 1982, reconnue d utilité publique en 1996 Agrément du Ministère de la Santé en 2007 pour représenter les usagers dans les systèmes de santé renouvelé en 2012 Autorisation ETP ARS Ile de France en 2010 Agrément formation en bénévoles formés dans 22 délégations régionales 6 permanents / 4 vacataires AS, diététicienne, sophrologue, ETP budget annuel Recherche, Information & Soutien, Communication, Formation, Lobbying Maladie de Crohn & Recto-colite hémorragique malades en 1995 / en 2013 (source Epimad) ALD 24 pour les MICI évolutives graves en à nouvelles ALD/an (5 000 en 1995) Membre d Alliance Maladies Rares, (im)patients Chroniques & associés, EFCCA (european IBD group)

70 Peurs sur la ville? La télémédecine fait-elle peur aux usagers? déshumanisation dérives solitude formé? confidentialité risques échec politique de santé médico-économieque santé au rabais? cobaye? médecine au rabais?

71 (mé)connaissance du contexte de santé Constats et explications!? Un système de santé dépassé (enjeux de qualité) : - Système organisé pour gérer les phases aigües de la maladie - Cloisonnement de l organisation : ville, hôpital, médico-social - Raréfaction du temps médical disponible = parcours du combattant > généralistes débordés > hyper spécialisation pas disponible (long loin) > déserts médicaux > dépassements d honoraires et médecine de riche - Politique de santé peu visible et dépassé? (DMP, H1N1, médiator...) EnJEu : le bon soin au bon endroit au bon moment

72 (mé)connaissance du contexte de santé Constats et explications!? fantasmes?... Un système de santé en faillite (enjeux économiques)? - L hôpital coûte trop cher - Les urgences sont dépassées (entre autre) faute de moyens - De plus en plus de reste à charge - La tendance aux hospitalisations courtes... et aux rechutes - Impact sur MA qualité de vie dans MON quotidien - Un français sur 4 à + de 60 ans et 15 millions de MC = AVENIR EnJEu : ma santé, ma qualité de vie

73 Réalité du contexte de santé Les «big five» > cancer > diabète 1 assuré sur 5 > maladies cardiovasculaires > maladies respiratoires > maladies psychiatriques Prise en charge dans la durée voire sur toute la vie > pluri professionnels de santé > pluri structures de soins Nécessité de la coordination du parcours de soins autour du médecin traitant... et du malade! EnJEu : l organisation de la compétence de proximité

74 Exemple des intervenants de santé dans les MICI Le champ de l ETP dans les MICI

75 Réalité du contexte de santé Que faire!!!!! La révolution du «net» depuis les années et des TIC : Technologies de l Information et de la Communication Téléréalité Télémédecine EnJEu : communication entre soignants et avec les patients

76 2004 Même pas peur de la télémédecine Une nécessité de santé publique, mais sous surveillance... L article 32 de la loi du 13 août 2004 sur l assurance maladie pose un cadre sécurisant pour les usagers : «La TM permet, entre autres, d effectuer des actes médicaux dans le strict respect des règles de déontologie mais à distance, sous le contrôle et la responsabilité d un médecin en contact avec le patient par des moyens de communication appropriés à la réalisation de l acte médical.» Limites : frein au déploiement industriel, responsabilité des acteurs, définition de l exercice collectif de la TM, réglementation avec la CE. enjeu : restructurer l hôpital et la filière des soins

77 2008 Même pas peur de la télémédecine Une nécessité de santé publique, mais sous surveillance... contexte juridique et cadre déontologique en (trop de?) protection de l usager Le rapport de Simon et Acker sur «la place de la télémédecine dans l organisation des soins» passe en revue les expérimentations conduites en France et à l étranger depuis une dizaine d années et souligne l importance de la télémédecine dans le contexte actuel de restructuration de la santé dans l'hexagone : «Il apparaît, dans la plupart des pays étudiés, que la télémédecine est considérée comme une valeur ajoutée en matière de qualité et de sécurité dans l organisation des soins, notamment lorsqu elle favorise les soins au domicile des patients.» enjeu : restructurer l hôpital et la filière des soins

78 2009 Même pas peur de la télémédecine Une nécessité de santé publique, mais sous surveillance... La Commission Galien (Haut Conseil français pour la Télésanté et des coopérations Francophones) : «Télésanté, autonomie et bien-être la maison brûle!» soutient la généralisation de la télémédecine et demande un appui politique plus important : «la maison brûle et il est vital de passer sans délai à l acte» Le rapport Lasbordes défends ces nouveaux outils pour mieux maîtriser les dépenses de santé et propose un plan quinquennal éco-responsable pour le déploiement de la télésanté en France enjeu : mieux maîtriser les dépenses de santé!

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