DES TEMPS D ATTENTE RÉDUITS EN ORL

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1 VOLUME 5, NUMÉRO 9 5 MARS Dans ce numéro 1 Des temps d attente réduits en ORL 3 Le CSSS de Saint-Léonard et Saint-Michel forme ses futurs préposés aux bénéficiaires 4 Coup d œil sur la population Le diabète, une tendance à la hausse 5 Un hiver montréalais sous le smog 6 Vos responsables des Communications 7 Nouvelles du réseau 8 À vos agendas PARTENARIAT ENTRE L HME ET L HÔPITAL DE VERDUN DES TEMPS D ATTENTE RÉDUITS EN ORL Les jeunes patients de l Hôpital de Montréal pour enfants attendront désormais moins longtemps pour recevoir une chirurgie ambulatoire en oto-rhynolaryngologie, puisque qu ils pourront aussi être opérés à l Hôpital de Verdun. Grâce à un partenariat entre l Hôpital de Montréal pour enfants (L HME) et l Hôpital de Verdun du CSSS Sud-Ouest Verdun, une salle d opération de l Hôpital de Verdun est rendue disponible chaque vendredi, de 8 h à 16 h, pour qu un chirurgien de L HME y effectue une douzaine d interventions. «Au cours de la prochaine année, nous prévoyons pratiquer environ 500 chirurgies ambulatoires à Verdun plutôt qu à L HME», indique le D r Melvin Schloss, ancien directeur du département d ORL à L HME. C est lui qui, il y a environ un an, a approché le directeur des services d anesthésie et d ORL de l Hôpital de Verdun, situé à 10 minutes de L HME, pour qu il étudie la possibilité que les SUITE À LA PAGE SUIVANTE Bloc opératoire à l Hôpital de Verdun ERRATUM Marc Fortin, PDG de l Agence des Laurentides Une malencontreuse erreur s est glissée dans le numéro du 19 février de Direction Réseaux. Il aurait fallu annoncer (en marge de la p. 2) que M. Marc Fortin devient président-directeur général de l Agence de la santé et des services sociaux des Laurentides, après avoir été directeur général du CSSS d Ahuntsic et Montréal-Nord ces dernières années. Nous en profitons pour féliciter M. Fortin de cette nomination des plus méritées.

2 VOLUME 5, NUMÉRO 9, 5 MARS SUITE DE LA PAGE 1 DES TEMPS D ATTENTE RÉDUITS EN ORL chirurgiens de l HME utilisent les salles d opération de Verdun pour les chirurgies ambulatoires. L Hôpital de Verdun offrant principalement des soins aux adultes, les deux partis ont hésité avant de tenter l expérience. On craignait, en effet, que les parents soient réticents à ce que leur enfant soit opéré dans un hôpital non spécialisé. Lorsqu on leur a expliqué qu un chirurgien ORL de L HME effectuerait l intervention à l Hôpital de Verdun, les doutes ont été rapidement dissipés. L ORL à L HME en chiffres chirurgies effectuées chaque année enfants sur une liste d attente pour une chirurgie mineure Aucune attente pour les chirurgies urgentes 500 chirurgies mineures effectuées annuellement en partenariat avec l Hôpital de Verdun Des enfants et des chirurgiens heureux Selon de D r Schloss, le personnel de l Hôpital de Verdun a accueilli les patients de L HME avec beaucoup de chaleur, et l atmosphère y est très conviviale. «Quand un enfant arrive pour sa chirurgie, le personnel lui offre un énorme ballon sur lequel est inscrit son nom ainsi que des autocollants à mettre sur ses mains», précise Lisa Dutton, chef des relations publiques à L HME. Ces attentions contribuent à réduire l anxiété des jeunes patients.» Selon le D r Sam Daniel, directeur du département d ORL à L HME, les enfants ne sont pas les seuls à bénéficier de l entente, puisque les chirurgiens semblent également en tirer parti. Ils disposent, d une part, de davantage de temps en bloc opératoire pour effectuer les chirurgies d ORL tertiaires, quartenaires et surspécialisés. D autre part, ils considèrent que l équipe d infirmières et de professionnels de l Hôpital de Verdun travaillent avec un grand professionnalisme. Un modèle à suivre Pour L HME comme pour l Hôpital de Verdun, ce partenariat constitue un modèle dont il faut s inspirer pour l avenir. Puisqu elle montre la facilité avec laquelle elle rend possible la pratique de la chirurgie dans un établissement périphérique, cette entente pourrait s appliquer à d autres projets. L HME, qui planifie son déménagement prochain dans un nouvel hôpital plus petit, pense d ailleurs que ce genre d entente pourrait lui permettre d optimiser ses activités. DR K.L. Boîte à outils Prendre soin des proches aidants Dans le livre Le counseling auprès des proches aidants, paru aux éditions du remue-ménage en janvier dernier, Marjorie Silverman, psychothérapeute et spécialiste de la question des proches aidants, vise à sensibiliser les intervenants du réseau à la réalité des aidants et offre une nouvelle perspective d intervention sociale. Pour la rédaction de ce livre, l auteure a été appuyée par le Centre de soutien aux aidants naturels du CSSS Cavendish, où elle travaille. Ce livre est donc une combinaison de ses connaissances personnelles accumulées au fil des ans et de l expertise développée par toute l équipe du CSSS. Il couvre un ensemble de sujets, notamment l évaluation des besoins, les étapes de l intervention individuelle et l analyse des divers modèles de thérapie. Illustré d études de cas, ponctué d exercices de réflexion, cet outil intéressera toute personne concernée par les pratiques d intervention psychosociale. Disponible partout en librairie, en français et en anglais. Pour communiquer avec la maison d édition : Info@editions-remuemenage.qc.ca et

3 VOLUME 5, NUMÉRO 9, 5 MARS LE CSSS DE SAINT-LÉONARD ET SAINT-MICHEL FORME SES FUTURS PRÉPOSÉS AUX BÉNÉFICIAIRES Le CSSS de Saint-Léonard et Saint-Michel s associe à l École de métiers des Faubourgs de Montréal pour dispenser dans ses installations le cours Assistance à la personne en établissement de santé. La direction des ressources humaines du CSSS voit ce projet comme une belle opportunité de relever un nouveau défi des CSSS: contribuer à l approche populationnelle et au développement des communautés où sévit la pauvreté. En offrant le cours Assistance à la personne en établissement de santé, le CSSS de Saint-Léonard et Saint-Michel souhaite contrer les difficultés importantes dans le recrutement et la rétention des préposés aux bénéficiaires qui répondent à ses exigences de qualité. En effet, il accuse un manque à gagner de préposés de 40 par année. Employeur d importance sur son territoire, le CSSS a ainsi décidé de contribuer de façon positive à la lutte contre la pauvreté. Il a non seulement conçu un programme d embauche locale, mais il a également décidé de favoriser l accès des résidents du territoire à une formation reconnue par le ministère de l Éducation, des Loisirs et du Sport ainsi que d offrir des possibilités d emploi dans son organisation. De plus, pour faciliter le recrutement, le CSSS a établi des alliances avec ses partenaires communautaires. Ce projet constitue un bel exemple de maillage entre le milieu de la santé, le milieu de l éducation et le milieu communautaire. «Notre objectif numéro un, c est de pouvoir offrir un emploi aux candidats en provenance de Saint-Léonard et de Saint-Michel au terme de la formation, explique Maryse Binette, coordonnatrice Dotation, Avantages sociaux et Développement des ressources humaines. Ces candidats auront préséance sur les étudiants des autres quartiers lors de la sélection en vue de la formation, de même que lors de l embauche.» Une approche axée sur la pratique Les professeurs de l École de métiers des Faubourgs de Montréal effectueront la formation, d une durée de 750 heures, dans des locaux et laboratoires du CSSS récemment aménagés afin de recevoir les nouveaux étudiants. Le contenu pédagogique du cours, défini par le ministère de l Éducation, demeure le même que celui enseigné dans les autres écoles de formation qui le dispensent. Cependant, le CSSS aura droit de regard sur le contenu académique afin de l adapter, dans la mesure du possible, aux réalités de son milieu. La formation en milieu de travail permettra quant à elle à l étudiant de se familiariser avec les réalités de son futur emploi, grâce à un contact direct avec l environnement de travail. Il pourra ainsi concrétiser des apprentissages pratiques sur les unités de vie et y réaliser des stages en cours de formation. D excellentes chances d embauche À la fin du projet-pilote de 5 ans, 10 cohortes composées de 22 étudiants auront été diplômées, soit une quarantaine par année pour la durée du projet. Une fois leur diplôme en main, les finissants bénéficieront d excellentes chances d être embauchés dans l un des trois centres d hébergement du CSSS, soit les centres d hébergement de Saint-Michel, des Quatre-Temps et des Quatre-Saisons. Le CSSS espère embaucher tous ceux qui seront en mesure de respecter les exigences du programme. DR K.L.

4 VOLUME 5, NUMÉRO 9, 5 MARS Coup d œil sur la population LE DIABÈTE, UNE TENDANCE À LA HAUSSE Depuis 2000, le nombre de cas connus de diabète augmente sans cesse à Montréal, et tout porte à croire que cette hausse n a pas atteint son sommet. Le diabète est une maladie chronique dont on ne peut guérir définitivement et dont la progression et les symptômes doivent être contrôlés. Les complications peuvent être importantes : problèmes cardiaques, infarctus, hypertension, néphropathies, problèmes oculaires de même que neurologiques et mentaux. En 2005, le nombre de Montréalais âgés de 20 ans et plus pour lesquels un diagnostic de diabète 1 a été établi s élève à près de , soit environ hommes et un peu plus de femmes. Le diabète atteint donc 7 % des Montréalais âgés de 20 ans et plus. Depuis 2000, le nombre de cas connus augmente sans cesse à Montréal. En six ans, nouveaux cas ont été découverts, soit une augmentation équivalente à 38 %, ce qui porte la prévalence ajustée du diabète de 6,2 à 8,1 % chez les hommes et de 4,7 à 6,1 % chez les femmes. Le diabète de type 2 2, qui compte pour 90 % des cas, est particulièrement favorisé par le vieillissement de la population et l accroissement des problèmes d obésité de même que par la sédentarité, une alimentation trop grasse et trop riche en sucre et en alcool, le tabagisme et l hypertension. Tout porte à croire que l augmentation des cas de diabète poursuivra sa lancée, notamment en raison du vieillissement anticipé de la population et de l augmentation des problèmes d obésité. On peut prévenir l apparition du diabète grâce au dépistage et au counselling ainsi qu à la promotion de saines habitudes de vie fondées sur des mesures éducatives et environnementales. DR D.D. Consulter les données détaillées par CSSS : montreal/chiffrier/diabete.xls 1. Les données recensent les cas de diabète de type 1 et de type 2 uniquement pour les personnes âgées de 20 ans et plus, et n englobent pas les cas de diabète survenus durant la grossesse, un phénomène qui se produit dans 4 % des grossesses selon Santé Canada. Nombre Taux pour Le diabète de type 1, qui se manifeste davantage chez les enfants et les jeunes adultes, se produit lorsqu il y a une carence totale ou presque totale d insuline. Les cellules bêtas du pancréas sont détruites par le système immunitaire, qui cesse alors toute production d insuline. Le diabète de type 2 apparaît lorsque le pancréas ne produit pas assez d insuline ou qu il réagit mal à l insuline produite , , ,3 5, Femmes 5, , , , ,1 7, Hommes 7, ,

5 VOLUME 5, NUMÉRO 9, 5 MARS UN HIVER MONTRÉALAIS SOUS LE SMOG Depuis le mois de novembre, Environnement Canada a émis durant près de 30 jours des avertissements de smog pour la région de Montréal. Il s agit déjà d un record, et l hiver n est pas encore terminé. La cause? En grande partie les particules fines émises par le chauffage au bois, suivies par celles de l industrie et, dans une moindre mesure, le transport. La différence entre le smog hivernal et estival En hiver, les particules fines sont en grande partie responsables des épisodes de smog. En été, ce sont surtout les particules fines ou l ozone qui peuvent être présents, ensemble ou séparément. L ozone est produit sous l effet du rayonnement solaire et de la chaleur par une réaction chimique entre deux précurseurs : les oxydes d azote (NO x) et les composés organiques volatils (COV). C est pourquoi le smog lié à l ozone est souvent appelé smog photochimique. Sur le territoire de Montréal, plus de ménages sont équipés d un appareil de chauffage au bois. Afin d éviter une aggravation du problème de smog hivernal, la Ville de Montréal tentera d adopter, au cours des prochaines semaines, un règlement interdisant, dès ce printemps, l installation sur son territoire de tout nouvel appareil de combustion du bois (poêles et foyers sont visés). Les appareils au gaz ou à granules seraient les seules nouvelles installations permises en raison de leurs très faibles niveaux d émission de particules fines. «Il s agit d un premier pas crucial visant à limiter les effets sur la santé, mais également à faire prendre conscience à la population que, même si un feu de bois peut être bien agréable, en milieu urbain, cela dégrade la qualité de l air et cause des problèmes chez les enfants asthmatiques et les personnes atteintes de maladies chroniques respiratoires et cardiaques», explique le D r Louis Drouin, responsable du secteur Environnement urbain et santé à la Direction de la santé publique de l Agence de Montréal (DSP). Des consultations publiques en mars Le projet de règlement de la Ville de Montréal a été déposé en avis de motion au conseil municipal du 23 février, et des consultations publiques auront lieu en mars. De façon générale, les groupes environnementaux et la DSP le considèrent comme un bon premier pas. Cependant, ils estiment que d autres mesures seront nécessaires pour que les appareils existants soient remplacés par des appareils non polluants, et ce, dans le but d améliorer la qualité de l air de façon significative. Les représentants de l industrie du chauffage au bois admettent, quant à eux, que les vieux appareils doivent être remplacés par des appareils peu polluants, mais estiment que les appareils de chauffage au bois respectent déjà les normes de l Agence américaine de la protection de l environnement. C est un débat à suivre DR M.P./N.K. Les effets des particules fines sur la santé Exacerbation de l asthme Diminution de la croissance pulmonaire chez les enfants exposés de façon chronique Aggravation des symptômes pouvant mener au décès chez les personnes atteintes de maladies cardiorespiratoires. Santé Canada a d ailleurs estimé à le nombre annuel de décès prématurés liés à la pollution atmosphérique sur l île de Montréal. Sources de particules fines au Québec Transport 17 % Industrie 32 % Chauffage au bois 47 %

6 VOLUME 5, NUMÉRO 9, 5 MARS NOUVELLES DU RÉSEAU Vos responsables des Communications Vous les avez peut-être déjà aperçus dans les corridors de votre établissement à répondre à trois appels en même temps, ou encore, à tenter de vendre à votre directeur général la meilleure façon de promouvoir les services de votre CSSS. Voici les visages, les noms et les coordonnées des responsables des Communications des CSSS de Montréal. CSSS de l Ouest-de-l Île Louis-Pascal Cyr (5261) CSSS du Cœur-de-l Île Sylvie Lantier Marie-Josée Labrosse (4424) CSSS Jeanne-Mance Martine Dubois (6385) CSSS de Dorval-Lachine-LaSalle Lyne Champoux (442) CSSS de Saint-Léonard et Saint-Michel Louise Sylvestre (3084) CSSS de Sud-Ouest Verdun Monique Guay (3306) CSSS Lucille-Teasdale Pierrette Boivin (5215) CSSS Cavendish Claire Valiquette (2209) CSSS de la Pointe-de-l Île Hélène Barral (3897) CSSS de la Montagne Jean Paiement (2148) CSSS Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent Louise Mercier (1007) Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Anne-Marie Tardif (5613) Adjointe du directeur général Responsable des Communications Éditrice de Direction Réseaux Emmanuelle Carrier (6357) Chef de service des Communications CSSS d Ahuntsic et Montréal-Nord Agnès Boussion (2236) Les extensions téléphoniques sont placées entre parenthèses.

7 VOLUME 5, NUMÉRO 9, 5 MARS NOUVELLES DU RÉSEAU (SUITE) Une vitrine pour le CSSS Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent Afin de mieux faire connaître ses services à la population, le CSSS Bordeaux-Cartierville Saint-Laurent a réalisé un présentoir contenant des signets consacrés à ses services ou programmes : soins infirmiers, centre de prélèvements, soutien à domicile, consultations avec un médecin, etc. Un espace est également réservé à la difusion d autres outils de promotion, tels des dépliants. À l heure actuelle, le présentoir est installé dans les salles d attente des deux CLSC du territoire et dans quatre cliniques. D ici quelques mois, d autres cliniques pourront en disposer ainsi que l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. Les communications internes Le CSSS soigne également ses communications internes. Il diffuse, dans son tout nouvel Intranet, le bulletin hebdomadaire L Express à l intention de ses employés. En complément de cet outil, il diffuse depuis quelques mois, à l intention des cadres du CSSS, le bulletin électronique L encadré, qui contient de l information de nature administrative et de courts articles sur divers thèmes de gestion. Dans les prochaines semaines, l accès à ce bulletin sera sécurisé via un processus d authentification. D ici là, les personnes qui veulent s en inspirer peuvent y jeter un coup d œil en cliquant sur ce lien : Un comité de vigie sur le développement social au CSSS Jeanne-Mance Sur le territoire du CSSS Jeanne-Mance, 37 % de la population vit sous le seuil de faible revenu. Le CSSS a mis sur pied un comité de vigie sur le développement social qui verra, notamment, à mobiliser les élus et les décideurs afin d accélérer l évolution des projets du milieu visant l amélioration de la santé et du bien-être de la population. Misant sur l intervention en partenariat afin de favoriser la convergence des actions, le CSSS a réuni des décideurs de diverses instances : tables de concertation en développement social, arrondissements du Plateau-Mont-Royal et de Ville-Marie, Commission scolaire de Montréal, Corporation de développement économique communautaire et Direction de la santé publique de Montréal. Boîte à outils La mortalité par suicide au Québec : la tendance à la baisse se maintient Le taux de suicide continuerait de diminuer au Québec, soit en moyenne de 4 % par année depuis Selon des données provisoires publiées récemment par l Institut national de santé publique du Québec, Québécois se sont enlevé la vie en 2007, soit 858 hommes et 232 femmes. C est donc dire qu il y a 14 décès par habitants, alors que l on comptait 22 décès en 1999 pour le même nombre d habitants. Même si ces diminutions sont encourageantes pour les personnes qui travaillent dans les domaines de la prévention du suicide et du traitement des troubles mentaux, ce livre montre qu il faut continuer d être vigilants. Pour consulter le document La mortalité par suicide au Québec : tendances et données récentes :

8 VOLUME 5, NUMÉRO 9, 5 MARS À VOS AGENDAS! De la prévention au suivi : 2 e rendez-vous de la gestion des maladies chroniques 19 et 20 mars 2009, Montréal Le deuxième Rendez-vous de la gestion des maladies chroniques aura lieu à Montréal ce printemps. Le programme de l événement, qui aura pour thème De la prévention au suivi, s articule autour de trois volets : la gestion, la promotion prévention dépistage et l autogestion (empowerment). Pour chacun des volets, des conférenciers présenteront diverses approches et modèles, et des équipes d intervenants qui relèvent les défis qui se posent au quotidien témoigneront. Renseignements : est publié toutes les deux semaines par l Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. Éditrice Anne-Marie Tardif Rédactrice en chef intérimaire Diane Iezzi Collaboration à la rédaction Danièle Dorval Karine Lapierre Normand King Marie Pinard Remerciements à Lisa Dutton ISSN Direction Réseaux (Imprimé) ISSN Direction Réseaux (En ligne) Vous avez des questions ou des commentaires? Par téléphone : , poste 6379 Par courriel : direction.reseaux.rrsss@ssss.gouv.qc.ca Site Internet de l Agence : Le préposé en soins de longue durée. Au cœur des soins et de la relation! 1 er mai, Montréal L Institut universitaire de gériatrie de Montréal (IUGM) tiendra, au printemps prochain, la deuxième édition du colloque Le préposé en soins de longue durée, consacré aux préposés aux bénéficiaires et aux auxiliaires familiaux travaillant auprès des personnes âgées en perte d autonomie. Les objectifs visés sont d accroître les connaissances et la reconnaissance du préposé en soins de longue durée et d enrichir le savoir-être auprès de la personne âgée et de ses proches. Pour prendre connaissance du contenu de cette activité, on peut consulter le progamme scientifique de l IUGM sur le site Web de l Institut, puisqu il n est désormais disponible qu en version électronique : section Diffusion de l expertise, colloque et symposium. Colloque des Programmes de bioéthique 7 mai, CHU Sainte-Justine, Montréal Ayant pour thème La continuité : enjeux éthiques dans les services de santé, l édition 2009 du colloque des Programmes de bioéthique de l Université de Montréal traitera des enjeux éthiques que soulèvent les décisions, tant dans les milieux cliniques, de recherche et d élaboration des politiques de santé, qui auront inévitablement un impact sur la continuité des soins et des services. Renseignements :

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