POSITION DE THESE. Problématique

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1 POSITION DE THESE Problématique L écrit pseudépigraphique connu sous le titre de Vie grecque d Adam et Eve (VGAE) a été classé parmi les apocryphes de l Ancien Testament et il aurait été composé, d après nous, entre le I er siècle avant notre ère et le I er siècle de notre ère à partir des traditions judéohellénistiques. Attesté par vingt-sept manuscrits grecs, cet ouvrage présente l histoire d Adam et Eve avant et après leur expulsion du Paradis. Ces manuscrits font partie d un ensemble plus vaste, la Vie d Adam et Eve (VAE), connu par huit versions différentes (en grec, latin, géorgien, arménien, slave, roumain, copte, arabe). La problématique de notre thèse consiste en analyser la représentation de la femme et l invention de la notion du péché de la chair ; d une part, conformément à l étude philologique des manuscrits de la VGAE et, d autre part, à partir d une comparaison herméneutique de la VGAE avec les autres versions de la VAE et son rapport avec d autres sources témoignant d une perspective similaire. Premièrement, nous nous consacrerons à la polémique autour du milieu d origine et de la datation de la VGAE, avec une exposition de l état de la question (selon trois thèses : l origine juive, l origine chrétienne et la position prudente ). A l intérieur de cette discussion, nous incorporons une deuxième polémique, concernant l inclusion et la priorité de la version grecque dans l ensemble de la VAE. Deuxièmement, nous aborderons la représentation de la femme, à partir de la considération conjointe de l innocence et la culpabilité d Eve dans la VGAE. En incluant ces représentations dans le contexte des sources du Second Temple, nous relèverons une compréhension plus complexe et hétérogène de la VGAE. Troisièmement, nous considérons l invention de la notion du péché de la chair. Cette notion inédite à l époque du Second Temple et propre à la VGAE, introduit un type de transgression sexuelle rattachée à Eve. Nous recherchons les sources de ce type de transgression pour élucider ensuite son rapport avec d autres péchés liées également à Eve dans la VGAE.

2 Le problème du milieu d origine et de la datation de la VGAE : l état de la question On constate dans l état actuel de la question de la VGAE, l existence de deux polémiques différentes : la première considère la datation et le milieu d origine de cette source, tandis que la deuxième, aborde l inclusion et la priorité de la version grecque à l intérieur de la VAE. Le problème du milieu d origine et de la datation de la Vie grecque d Adam et Eve (VGAE) a suscité une vive polémique entre les commentateurs qui ont travaillé ce texte. Nous pouvons à l égard de son milieu d origine distinguer trois hypothèses: la première et plus ancienne l envisage comme un écrit principalement juif ; la deuxième adopte une position prudente et laisse ouverte la question, et la troisième, plus récente et répandue actuellement, défend son caractère chrétien. Quant à la datation du texte, on ne peut pas établir une claire division car elle diffère dans chaque auteur. Néanmoins, on peut tracer, en lignes générales, une tendance à situer le texte aux environs des siècles I avant notre ère et II après notre ère, dans les thèses de l origine juive (cette position indique souvent une dépendance de Paul envers la VGAE suggérée par J.L. Sharpe, M.D. Johnson, D.A. Bertrand, J.D.G. Dunn, et peut-être J.R. Levison), qui rentre en conflit avec les théories proposées par M.E. Stone, J. Tromp et M. de Jonge, L.M. White, et P.-B. Smit, sur une datation entre les II ème et IV ème siècles de notre ère. D autres datations possibles ont été suggérées, notamment celle de G.A. Anderson, entre les III ème et VII ème siècles de notre ère, celle de R. Nir, comme postérieure au IV ème siècle de notre ère, et l hypothèse encore polémique de J.-P. Pettorelli, qui situerait la VGAE à partir du VII ème siècle de notre ère. Au sujet de la deuxième polémique, concernant la place de la VGAE dans l ensemble des versions de la VAE, les études fondamentales de M.E. Stone et G.A. Anderson sont les premiers à mettre en question le caractère primitif de la version grecque. Désormais, deux postures se profileront : la première position suivra la thèse de Marcel Nagel, qui considérait la version grecque comme primaire et la version géorgienne comme secondaire, et l œuvre de J. Tromp et M. de Jonge, qui étendait cette appréciation à la version arménienne ; et la deuxième position continuera les analyses d Anderson et Stone, qui n observaient pas la Vie Grecque comme la version la plus ancienne. 2

3 Cette discussion implique plus précisément la Vie grecque du moment où elle est à l origine de cette bifurcation entre les deux approches : elle fournit parmi ses formes textuelles un texte court (manuscrits DS), le plus ancien selon Nagel, ainsi qu un texte long (manuscrits ATLC et RM) qui témoignerait, d après Anderson et Stone, de l existence d un récit originel contenant des traditions attestées dans les autres versions. La présence de ces matériaux dans les versions arménienne et géorgienne dans sa forme la plus intelligible, démontrerait leur priorité et suggérerait que la version grecque aurait tronqué une partie essentielle de l histoire primitive. Au sujet des autres versions, les auteurs s accordaient sur la dépendance de la version slave envers les manuscrits grecs R et M et la considération de la version latine comme la dernière étape dans l évolution textuelle. La découverte par Jean-Pierre Pettorelli d une recension inconnue de la version latine, viendra alors renouveler la deuxième hypothèse en apportant un nouveau témoin du texte long. La représentation de la femme d après la VGAE En ce qui concerne la représentation de la femme, nous allons aborder dans un premier chapitre des sources contemporaines de la Vie grecque, avec l intention d introduire le contexte historique dans lequel ce texte aurait été rédigé. Nous questionnerons ces sources à partir des trois sujets différents : la création de la femme d après le récit biblique, la misogynie et la conception anthropologique de la femme. Ces thèmes vont fournir un cadre culturel à la Vie grecque, à partir duquel nous pourrons comprendre des idées manifestes dans cette source qui semblent contradictoires ou ambigües. Dans un deuxième et troisième chapitre, nous aborderons des passages fondamentaux de la Vie grecque qui insistent soit dans la culpabilité, soit dans l innocence d Eve par rapport au péché. En effet, les recherches précédentes de John R. Levison, ainsi que celles de Marinus de Jonge et Johannes Tromp, Anne Marie Sweet, et plus récemment Daphna Arbel et Dietmar Neufeld, proposent un regard plus complexe de la figure d Eve dans la VGAE qui contemple simultanément cette implication équivoque de la première femme. En partant des observations de Levison, nous analyserons d abord les variantes concernant des passages significatifs de la VGAE, dans les formes textuelles considérées comme les plus anciennes, pour ensuite les comparer avec les restantes versions de la Vie d Adam et Eve. Cette investigation acquiert toute son originalité à partir d une double 3

4 approche jusqu ici inédite. D une part, elle permettra de contribuer à la discussion actuelle sur la construction du stemma de la VAE. D autre part, elle ratifiera la complexité de la figure d Eve, à travers l examen détaillé de ses inculpations et exonérations apportées par la VGAE. Ce double apport se révèle novatrice du moment où il considère que l analyse du stemma a une directe influence sur la datation, de la même manière que la représentation de la femme reflète une époque particulière. L invention de la notion du péché de la chair d après la VGAE Au sujet de l invention de la notion du péché de la chair, nous porterons un regard historique sur cette notion, afin d éclaircir les sources de cette transgression sexuelle et sa relation avec la femme, à travers la figure d Eve. Le mot invention viendra donc à mettre en relief l approche temporelle de cette expression, quoiqu il n implique pas pour autant l idée de création mais de production à partir des éléments existants. Dans cet élan temporel, nous aborderons des textes que nous considérons proches par leur exégèse similaire et qui peuvent apporter une lumière à des phrases jusqu ici obscures de la Vie grecque. Le terminus ante quem dans cette évolution de la notion du péché de la chair sera indiqué par la systématisation de la notion du péché fondée par Augustin, qui établit une distinction entre le péché originel, corolaire principalement de l orgueil, et le péché de concupiscence, en tant que punition du péché originel. La concupiscence apparait seulement après la faute : Dieu leur aurait accordé, dit Augustin, d engendrer des enfants sans ressentir les ardeurs inquiètes de la concupiscence, sans connaître le travail et la douleur de l enfantement 1, et acquiert une association avec le péché : ils jetèrent leurs yeux sur leurs corps et sentirent un mouvement de concupiscence qui leur était inconnu 2. Cette distinction explicite entre le péché originel et le péché de concupiscence dans la définition augustinienne reflètera une étape postérieure à la profusion des significations enchevêtrées accordées à la notion du péché dans la Vie grecque. Une telle complexité dans la représentation du péché reflète une époque particulière, celle du I er siècle de notre ère, du fait de son caractère non canonique. Nous développerons ainsi cette problématique en trois chapitres : le péché de la chair, les notions de péché et le jugement du péché dans la Vie grecque. 1 De Genesi ad litteram, IX, 3, 6, BA 49, p Ibidem, XI, 31, 41, BA 49, p

5 Le premier chapitre abordera proprement l unique mention textuelle du péché de la chair dans le Vie grecque 25, 3-4, à partir d un rapprochement avec le mauvais penchant et l analyse de l association singulière entre ἁµαρτία et σάρξ. Il s agit clairement d un péché sexuel, à partir du moment où cette notion fait référence à l union sexuelle entre Eve et son mari comme exigence nécessaire pour la procréation. Les auteurs de la VGAE introduisent ce concept dans le contexte concernant les souffrances de l accouchement, en tant que peines générées par la chute, présentes déjà dans le texte de la Genèse. Le deuxième chapitre traitera les notions de péché qui introduisent dans la Vie grecque un autre type de transgression d ordre sexuel. Nous relèverons de ce fait des notions du péché qui se situent temporellement au même moment de la tentation d Eve et qui, malgré cela, s éloignent de la transgression en tant que désobéissance. En effet, nous regarderons d une part des possibles évocations à une transgression sexuelle avec Satan et d autre part une imputation de tout péché au désir, provenant du serpent. Le troisième chapitre examinera une autre image du péché, dans le rapport que celui-ci entretient avec le Jugement. La notion du péché dans la Vie grecque doit être comprise à partir de son incorporation dans un contexte plus vaste, selon le rôle qui acquiert la transgression dans l histoire de la création, ayant comme point de départ l expulsion du Paradis et comme aboutissement finale, le Jugement divin. En d autres termes, la transgression est perçue comme un terme inséparable de la pénitence et du pardon. Finalement, la Vie grecque d Adam et Eve, rédigée probablement au I er siècle de notre ère dans un milieu judéo-palestinien à partir des traditions préexistantes, contribuera par sa transmission à l intérieur du Christianisme, d une part à l établissement du désir sexuel comme une transgression équivalente dans sa gravité à la désobéissance de la Loi et, d autre part, à une progressive considération d Eve comme étant la seule coupable dans la transgression, en raison de sa nature plus faible, attachée à la chair. La faiblesse d Eve, qui concourait ici à justifier son innocence, soutiendra désormais son inculpation dans la chute de l homme. 5

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