Plan de route mondial de Signature Deuxième trimestre 2014
|
|
- Raymonde Clermont
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Drummond Brodeur, Vice-président, Gestion de portefeuilles et stratège mondial Signature Gestion mondiale d actifs Avril 2014 Bienvenue au retour à la normale Lorsqu on la compare à celle des dernières années, la conjoncture macroéconomique semble résolument PEU STIMULANTE! Pas de crise économique à l horizon, pas d effondrement des systèmes financiers, les sources de financement sont abondantes, les valorisations sont raisonnables, et les investisseurs ne sont ni craintifs, ni saisis par l appât du gain. Oui, Vladimir Putin suscite d intéressants défis politiques et certaines économies, notamment celles du Venezuela et de l Argentine, s effondrent, mais il n en demeure pas moins que l économie mondiale continue de se rétablir et qu un retour à la normale s installe. Notre principal défi pourrait bien être lié au fait qu habitués aux crises et à la volatilité politique et des marchés que nous connaissons depuis sept ans, nous avons oublié à quoi ressemble une conjoncture normale. Or, il est essentiel que nous évaluions correctement notre contexte macroéconomique mondial actuel. À cet égard, le plus important défi cette année sera la normalisation de la politique monétaire et des taux aux États-Unis, de même que l impact de cette normalisation sur les diverses catégories d actifs et régions géographiques. De surcroît, bon nombre d enjeux à long terme, comme le retour à l équilibre économique et les réformes structurelles en Europe, au Japon et dans les marchés émergents, n ont pas été résolus et pourraient refaire surface, mais c est normal. Cela signifie que les enjeux macroéconomiques ne prennent plus le pas sur les facteurs microéconomiques fondamentaux. La conjoncture est peut-être moins stimulante, les rendements attendus et la volatilité sont peut-être moins élevés, mais c est plus normal. En ce début de deuxième trimestre, les attentes que nous avons exprimées au début de l année n ont pas changé : une reprise mondiale synchronisée menée par les États-Unis, les perspectives améliorées de ce pays permettant à la Réserve fédérale de poursuivre le retrait de ses mesures de politique monétaire peu conventionnelles qui ont fait la pluie et le beau temps dans les marchés mondiaux au cours des cinq dernières années. Bien que nos projections pour l ensemble de l année aient très peu changé, certains facteurs imprévus se sont manifestés, notamment l hiver très long et rigoureux qu a connu l ensemble de l Amérique du Nord. En plus d avoir été très froid et neigeux, cet hiver a été particulièrement perturbateur pour l économie. Je me rappelle avoir passé trois jours, aux environs de Noël, enroulé dans des couvertures devant un feu de foyer par une température de 20 sous zéro, pendant une 630, boul. René-Lévesque Ouest, Bureau 2900, Montréal (Québec) H3B 1S6 I Bureau de Montréal Toronto Calgary Vancouver Service à la clientèle Français : Anglais :
2 panne d électricité prolongée. La nécessité de combattre le froid m importait beaucoup plus que celle de faire mes emplettes des fêtes. Et ce n était que le début, puisque les températures sous la normale et la fréquence anormalement élevée des tempêtes hivernales se sont poursuivies jusqu en mars. J ai enfin aperçu mon premier rouge-gorge l autre jour, et j ai bon espoir qu il signale enfin l arrivée du printemps. Le début de l année avait été marqué par la conviction quasi universelle que l économie américaine était en mode accélération depuis le ralentissement provoqué par le gouffre budgétaire de 2013, et les marchés prévoyaient des données plus encourageantes, une hausse des taux d intérêt et un raffermissement du dollar américain. Les intempéries ont immédiatement changé la donne. Inutile de le préciser, l économie américaine, qui avait affiché un regain de vigueur vers la fin de 2013, a immédiatement perdu son bel élan en janvier et le repli s est poursuivi pendant tout le premier trimestre. Il ne fait aucun doute que la météo a eu une forte incidence sur l économie. Reste à savoir dans quelle mesure cette incidence n est que temporaire, et si elle cache une tendance sous-jacente plus durable. Il faudra encore plusieurs mois pour que cette question trouve sa réponse. Tandis que le printemps s installe, nous devrions commencer à enregistrer et c est déjà le cas de meilleures données confirmant un regain de vigueur de l économie américaine. Alors que l activité économique accélère, il se pourrait même que les apparences soient trompeuses et que la véritable croissance sous-jacente soit, en réalité, moins vigoureuse qu il n y paraît. Tout comme les données ont minoré la véritable santé de l économie au premier trimestre, elles pourraient bien surestimer sa robustesse au deuxième trimestre. Tout cela importe pour les marchés. Bien que les perspectives à long terme n aient pas été affectées par le ralentissement économique, le marché obligataire américain a néanmoins réagi. Le rendement des obligations américaines à 10 ans, notamment, est passé de 3,0 % à 2,6 % pendant le trimestre, en dépit de l opinion exprimée par la Réserve fédérale quant au caractère temporaire de la faiblesse économique et de son affirmation qu elle entendait continuer de réduire de 10 milliards de dollars par réunion ses injections de liquidités. En fait, les cours des bons du Trésor à 10 ans ont peu varié depuis le bond des taux l été dernier, lorsque la Réserve fédérale a annoncé son intention d éliminer progressivement ses achats d obligations. Nous ne nous attendons pas à une forte hausse des taux, mais la possibilité d une augmentation soudaine provoquée par des données économiques plus robustes que prévu au cours des prochains mois nous préoccupe. Alors que l économie se rétablit, les marchés pourraient bien tester la détermination de la Réserve fédérale à conserver les taux à leur bas niveau, s ils en viennent à soupçonner que celle-ci tarde à réagir. Compte tenu des perspectives de rebond économique dans les prochains mois, nous nous attendons à un regain de volatilité provoqué par l épreuve de force entre la Réserve fédérale et le marché obligataire. Hormis ce scénario, les taux américains devraient, selon nous, demeurer dans leur fourchette actuelle de 2,6 % à 3,0 % jusqu au milieu de l année, en attente de preuves concrètes d une hausse durable de la demande. Cette conviction devrait être établie durant la deuxième moitié de l année.
3 Nous croyons que le taux de croissance de l économie américaine devrait approcher 3 % au deuxième trimestre, soit le double de celui du premier trimestre, qui devrait s établir à près de 1,5 %. La Réserve fédérale devrait continuer de réduire ses achats d actifs au rythme de 10 milliards de dollars par mois, pour terminer son programme de détente monétaire au quatrième trimestre. Nous croyons que la Réserve fédérale tolérera une hausse modérée des taux à court terme alors que les marchés commencent à entrevoir une hausse des taux gérés, mais qu elle combattra toute forte hausse des taux, à court ou à long terme. Compte tenu de tous ces facteurs, nous nous attendons à une surperformance des actions, mais à un rythme plus modéré que l an dernier et avec une volatilité plus prononcée qu au premier trimestre. Dans l ensemble, j estime que les rendements cette année devraient correspondre à la croissance des bénéfices, soit se situer dans une fourchette de 8 % à 10 %. Perspectives mixtes pour l économie européenne L Europe continue de bénéficier de l amélioration de l économie mondiale et de la stabilité continue assurée par la détermination de la Banque centrale européenne à protéger l euro. Cette confiance a permis une contraction importante des différentiels obligataires entre les pays formant le noyau de l Union européenne et les pays en périphérie. Même les obligations d État de la Grèce, tenue pour fiscalement irresponsable, ont reçu bon accueil! Nous pouvons donc, du moins pour le moment, considérer la crise européenne des dettes souveraines comme terminée. La BCE a réussi à redonner confiance aux marchés financiers, offrant ainsi aux pays de la zone euro le temps de rééquilibrer leur budget et de réformer leurs économies. Il est peu probable, toutefois, qu ils y arriveront tous. Les taux des titres d emprunt à 10 ans de l Italie et de l Espagne ont chuté à des creux record de 3,2 % alors que ceux de l Irlande sont inférieurs à 3 % donc, à peine plus que les taux aux États-Unis! Nous croyons que la croissance économique de la zone euro, d environ 0,5 % l an dernier, devrait atteindre près de 1 % en 2014, sans plus, puisque les réformes structurelles requises pour soutenir une croissance plus forte, en particulier en France et en Italie, n ont pas été effectuées. Certains développements politiques, notamment en Italie, permettent d espérer un changement positif, puisque le nouveau premier ministre italien, Matteo Renzi, comprend l importance des réformes en profondeur. Nous verrons, avec le temps, s il réussira à surmonter les obstacles, mais même dans le meilleur des cas, l Italie n en est qu au tout début d un processus qui devrait exiger plusieurs années. Dans l immédiat, l Europe devra composer avec une inflation qui demeure faible, de même qu avec la réelle possibilité de déflation. L inflation dans la zone euro a chuté à 0,5 % en mars et bien que la plupart des analystes et des intervenants, y compris la BCE, croient qu il s agit d un plancher, cette faiblesse de l inflation demeure néanmoins préoccupante. Depuis plusieurs années maintenant, nous affirmons que l inflation doit augmenter dans la zone euro afin de permettre aux pays en périphérie de rétablir leur compétitivité au sein de l union monétaire, et aux pays fortement endettés de gérer et même de réduire leur endettement. Une déflation rendrait ces deux objectifs
4 impossibles à atteindre. La vigueur de l euro et un taux de chômage très élevé entraînant l inflation à la baisse partout en Europe, la BCE devrait contrer la menace de déflation en instituant des mesures de détente monétaire. Elle ne l a pas encore fait, mais elle en parle. À suivre... La récession menace encore une fois le Japon Au Japon, la hausse de 5 % à 8 % de la TVA, en vigueur depuis le 1 er avril, devrait suffire pour déclencher une nouvelle récession. Le Japon sera-t-il capable de la surmonter? Bon nombre d analystes croient que le Japon affichera une forte reprise au troisième trimestre, mais je n en suis pas convaincu. Oui, il remontera la pente dans une certaine mesure, mais pas autant que les marchés ne le croient. Les marchés estiment, à tort selon moi, que les politiques économiques de M. Abe réussiront à soutenir une croissance économique et une hausse d inflation durables et suffisantes pour rétablir la situation budgétaire au Japon, actuellement peu enviable. Il faudrait, pour que les taux d intérêt ultrafaibles au Japon augmentent, des preuves convaincantes d un raffermissement de la croissance, en particulier la croissance nominale. Les obligations d État à 10 ans du Japon se négocient à 0,6 % seulement, ce qui correspond davantage à une économie en stagnation qu à une économie dont le taux de croissance nominal avoisine la cible de 4 % du gouvernement. La dette publique au Japon approchant les 250 % du PIB, le Japon ne peut pas se permettre une hausse significative de ses coûts de financement. La Banque du Japon devrait alors vraisemblablement accentuer sa politique de détente monétaire, qui atteint déjà des niveaux incroyables, afin de prévenir toute tendance à la hausse des taux. D une manière ou d une autre, par conséquent, la Banque du Japon devra intervenir plus vigoureusement, affaiblissant le yen à plus long terme. La performance désastreuse du Japon jusqu à présent cette année reflète, certes, la déception croissante des marchés à l égard des attentes suscitées l an dernier par les politiques de M. Abe, mais elle commence à fournir d intéressantes occasions de placement, notamment dans les multinationales japonaises des secteurs de l automobile, de la fabrication et de l électronique, puisque ces entreprises sont plus tributaires de la demande mondiale que de la demande interne. Elles se révéleront donc beaucoup plus concurrentielles et rentables, advenant la chute continue du yen. La transition en Chine se poursuit C est avec impatience que nous avons constaté les inquiétudes accrues des marchés à l égard du ralentissement économique en Chine. Oui, l économie chinoise ralentit, et pour une excellente raison. Les réformes et les restructurations entraîneront une croissance économique plus lente, mais aussi plus durable. Notamment, la réforme des marchés financiers aura pour effet de restreindre la disponibilité des capitaux et à en faire augmenter les coûts, tout comme le feront la répression de la pollution industrielle et les efforts déployés pour réduire la surcapacité et les investissements en immobilisations dont la motivation est politique. La Chine ne veut toutefois pas
5 permettre à la croissance de ralentir au point de nuire à l emploi et, du même coup, à la paix sociale. Surtout, les dirigeants chinois disposent des ressources voulues pour stimuler la croissance, s ils l estiment nécessaire. Nous avons récemment constaté, par exemple, leur volonté d instituer des programmes d investissements en infrastructures pour atténuer les effets de leurs réformes. Lors d une récente visite en Chine, j ai rencontré plusieurs dirigeants et conseillers, et il était clair qu ils étaient convaincus de l absolue nécessité d instituer des réformes majeures et qu ils étaient très conscients des défis. Sachant qu il leur faudra de nombreuses années pour atteindre leurs objectifs, ils tiennent à commencer le plus tôt possible! À l inverse des dirigeants de la plupart des pays européens et du Japon, qui font le maximum pour éviter d entreprendre les difficiles réformes structurelles qui s imposent, les dirigeants chinois entendent effectuer des réformes beaucoup plus importantes que les marchés ne s y attendent. Les risques d erreurs et de complications imprévues sont certes importants, mais l approche pragmatique de la Chine nous inspire confiance dans sa capacité de mener à bien ses projets de réforme. Conjoncture favorable aux actions Nous sommes optimistes au sujet des résultats du deuxième trimestre, et notamment au sujet des actifs à risque. Bien que les revalorisations de l an dernier rendent improbables de forts rendements, nous croyons que la croissance dans les marchés boursiers suivra celle des bénéfices, qui devraient se situer à environ 8 % en dépit des répercussions de l hiver rigoureux sur les résultats du premier trimestre. Dans un tel contexte, nous croyons que la valeur ajoutée par la sélection de titres dans nos portefeuilles mondiaux prendra de plus en plus d importance, alors que s estompent les effets macroéconomiques des dernières années. Les taux devraient augmenter pour se situer autour de 3 % au deuxième trimestre, effaçant ainsi la majeure partie des gains enregistrés cette année dans le segment des obligations d État. Suivant un robuste trimestre, nous prévoyons que les marchés du crédit ne démonteront pas de réelle tendance, à la hausse ou à la baisse, au cours des prochains mois. Moins stimulant, peut-être, cet environnement permettra néanmoins aux gestionnaires chevronnés de Signature d ajouter de la valeur à nos portefeuilles. Les fonds communs de placement peuvent comporter des commissions, des commissions de suivi, des frais de gestion et d autres frais. Veuillez lire le prospectus avant d investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leurs valeurs fluctuent fréquemment et les rendements passés pourraient ne pas se répéter. Ce commentaire est publié par CI Investments Inc. Il est fourni à titre de source générale d'information et ne doit pas être considéré comme un conseil personnel de placement ou une offre ou une sollicitation de vente ou d'achat de titres. Placements CI et le logo de Placements CI sont des marques déposées de CI Investments Inc. Signature Gestion mondiale d actifs est une marque de commerce de CI Investments Inc. Publié en avril 2014.
Cinq stratégies pour faire face aux marchés difficiles
Quand les marchés sont volatils, il est tout à fait normal de s inquiéter de l incidence sur votre portefeuille. Et quand vous vous inquiétez, vous voulez agir. Cinq stratégies pour faire face aux marchés
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailInfo Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive!
Allianz Suisse Case postale 8010 Zurich www.allianz-suisse.ch Info Finance 01 YDPPR267F et Prévoyance Édition 01, mars 2013 EXCÉDENTS LPP En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détailLa dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande
N o 11 626 X au catalogue N o 018 ISSN 1927-5048 ISBN 978-1-100-99873-2 Document analytique Aperçus économiques La dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande par Komal Bobal, Lydia Couture
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailLE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE
DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailDeuxième trimestre 2015
Deuxième trimestre 2015 Contenu Perspectives économiques mondiales Perspectives sur les catégories d'actif Paul English, MBA, CFA vice-président principal, Placements Tara Proper, CFA vice-présidente adjointe,
Plus en détailInformations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas
Informations générales 1 er trimestre 2015 Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas A propos de Swisscanto Swisscanto figure parmi les plus grands promoteurs de fonds de placement et prestataires
Plus en détailProspérer dans un contexte de faibles taux
LEADERSHIP DE LA PENSÉE perspectives AGF Prospérer dans un contexte de faibles taux Comment ajouter de la valeur dans ce contexte difficile pour les titres à revenu fixe Par David Stonehouse, B. Sc. Eng.,
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailLetko, Brosseau & Associés Inc.
Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Letko, Brosseau & Associés Inc. 1800 avenue McGill College Bureau 2510 Montréal, Québec H3A 3J6 Canada
Plus en détailCompte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)
Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie
Plus en détailInvestir à long terme
BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailInvestir sur les marchés de taux au sein des pays émergents
Gestion obligataire Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Nous pensons que la répression financière se prolongera encore plusieurs années. Dans cet intervalle, il sera de plus en
Plus en détailLE DOLLAR. règne en maître, par défaut
LE DOLLAR règne en maître, par défaut Les arrangements monétaires internationaux sont examinés à la loupe depuis la crise financière mondiale Eswar Prasad LE DOLLAR a été la principale monnaie mondiale
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détail5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines
5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines Avec toute la volatilité qui règne sur les marchés ces derniers temps, nombreux sont les investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille.
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailAllocution. de monsieur Louis Vachon. président et chef de la direction. de la Banque Nationale du Canada. Centre Mont-Royal
Allocution de monsieur Louis Vachon président et chef de la direction de la Banque Nationale du Canada Centre Mont-Royal Montréal, le 29 février 2008 (Seul le texte prononcé fait foi) Mesdames et messieurs,
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailConsultations prébudgétaires 2011-2012
Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailRAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015
RAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015 RÉSUMÉ ANALYTIQUE Les chocs macroéconomiques mettent de nouveau à l épreuve les marchés mondiaux Durant ces six derniers mois, les événements
Plus en détailIntact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre
Communiqué de presse TORONTO, le 2 novembre 2011 Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Résultat opérationnel net par action de 0,97 $ attribuable aux résultats en assurance
Plus en détailInfo-commerce : Incertitude économique mondiale
Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailINTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010
Communiqué de presse TORONTO, le 5 août 2010 INTACT CORPORATION FINANCIÈRE ANNONCE SES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE DE 2010 Bénéfice net d exploitation par action en hausse de 34 % en raison de l amélioration
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLe 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes
Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailInvestissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?
28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de
Plus en détailLetko, Brosseau & Associés Inc.
Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Sommaire L amélioration progressive de la conjoncture économique dans les pays développés, menée par
Plus en détailPrivilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA
Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailL instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés.
L année 2014 s achève, pour l indice boursier français, au niveau où elle a commencé, le CAC 40 a perdu - 0,5% sur l année, l indice européen (l Eurostoxx 50) a lui gagné + 2,82%, alors que l indice américain
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailNotions: déflation, récession, inflation, taux d'intérêt réel, BCE, credit crunch, taux de change
TRAVAILLER SUR UN TEXTE Faire un bilan collectif à partir d'un texte sur les acquis des chapitres sur la croissance (fluctuations et crises) et mondialisation et intégration européenne Notions: déflation,
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailInvestments Europe PERSPECTIVES 2015 UNE ÉCONOMIE MONDIALE FRAGILISÉE QUI AVANCE MALGRÉ TOUT. www.generali-investments-europe.com
Investments Europe PERSPECTIVES 2015 UNE ÉCONOMIE MONDIALE FRAGILISÉE QUI AVANCE MALGRÉ TOUT RÉSERVÉ AUX INVESTISSEURS PROFESSIONNELS Vue d ensemble 2014 marque le septième anniversaire du déclenchement
Plus en détailRapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes
Printemps 2012 Rapport du vérificateur général du Canada à la Chambre des communes CHAPITRE 3 La dette portant intérêt Bureau du vérificateur général du Canada Avis au lecteur : Le Bureau du vérificateur
Plus en détailBILLETS DE DÉPÔT ÉQUILIBRE MONDIAL PLUS RBC INVESTISSEMENTS MANUVIE
BILLETS DE DÉPÔT ÉQUILIBRE MONDIAL PLUS RBC INVESTISSEMENTS MANUVIE Une protection du capital, une participation au marché boursier et des gestionnaires de placements de première catégorie Séries 7, 8
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015
Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier
Plus en détailLa BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)
La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher
Plus en détailMarché mondial de l automobile
Carlos Gomes 1..73 carlos.gomes@scotiabank.com En route vers des ventes mondiales records en 1 Les marchés développés mènent le bal Les ventes mondiales de voitures ont progressé de % pendant le premier
Plus en détailRecherches mises en valeur
Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailMise à jour risque pays
Mise à jour risque pays Espagne 14 novembre 2012 1 Résumé analytique L économie espagnole se contractera en 2012 et en 2013 Le durcissement des conditions de crédit pose problème à de nombreuses entreprises
Plus en détailA PLUS FINANCE FONDS DE FONDS
FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le
Plus en détailla voie bilatérale reste la meilleure option
WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire
Plus en détailLe système bancaire dans la crise de la zone euro. par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012)
Le système bancaire dans la crise de la zone euro par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012) La crise de la zone euro a mis en évidence les liens étroits qui relient la
Plus en détailColloque Groupama AM CEPII. La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle?
Colloque Groupama AM CEPII La Zone EURO: Où en est-elle? Où va-t-elle? Table ronde 1 : la stabilité et l unité du système financier européen vont- elles être rétablies? Patrick Goux et Christophe h Morel
Plus en détailFonds d investissement Tangerine
Fonds d investissement Tangerine Prospectus simplifié Portefeuille Tangerine revenu équilibré Portefeuille Tangerine équilibré Portefeuille Tangerine croissance équilibrée Portefeuille Tangerine croissance
Plus en détailFlash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011
Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailOUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active
Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne
Plus en détailDans tous les secteurs de notre service, partout au Canada, voire à l échelle mondiale, les volumes de plaintes sont en hausse. En très forte hausse.
Nouvelles et information de l OSBI, le service indépendant de résolution de différends Numéro 7, Avril 2009 Dans tous les secteurs de notre service, partout au Canada, voire à l échelle mondiale, les volumes
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailIntact Corporation financière annonce ses résultats du deuxième trimestre
Communiqué de presse TORONTO, le 29 juillet 2015 Intact Corporation financière annonce ses résultats du deuxième trimestre Résultat opérationnel net par action de 1,56 $ avec un ratio combiné de 91,6 %.
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailMoniteur des branches Industrie MEM
Moniteur des branches Industrie MEM Octobre 2014 Editeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Traduction Anne Fritsch, Verbanet GmbH, www.verbanet.ch Le texte allemand fait foi Adresse BAK Basel Economics
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailPerspective des marchés financiers en 2014
Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailCommentaire sur les marchés Premier trimestre 2015
Cambridge Gestion mondiale d actifs Codirecteurs des placements Alan Radlo et Brandon Snow Gestionnaires de portefeuille Robert Swanson, Greg Dean et Stephen Groff Au cours du premier trimestre, les marchés
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailmise à jour sur les cycles économiques série leadership AVRIL 2015
Article de fond rédigé par nos partenaires américains mise à jour sur les cycles économiques L Europe au tournant d un cycle économique La vigueur des États-Unis et de la zone euro soutient la croissance
Plus en détail