Paramètres concernant la discussion en séminaire :

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1 POL6520 Idéologie et théorie politique POL8513 Séminaire dans le champ mineur : pensée politique POL9620 Théories et problèmes en analyse des idéologies politiques (Automne 2014) Professeur: Dimitri Karmis Mardi : 14h30 17h30 (FSS7035) Bureau: FSS 7054 Tél.: , poste 1579 Courriel: dkarmis@uottawa.ca (merci d inscrire la cote du cours comme sujet de vos messages) Heures de disponibilité: Mercredi de 14h30 à 16h00 ou sur rendez-vous. POL6520 Idéologie et théorie politique (3 crédits) : L'objectif de ce cours est de présenter certaines thématiques liées à la naissance et au développement de la pensée politique moderne. Référence à l'histoire des idées politiques. Il sera question, par exemple, de thématiques telles les origines et le développement de l'état moderne, l'évolution des rapports entre le religieux et le politique, et entre l'économique et le politique. POL8513 Séminaire dans le champ mineur : pensée politique (3 crédits) : Les principaux mouvements idéologiques: problématiques, concepts et œuvres. Analyse des théories de la formation et de la transformation des idéologies. La dynamique contemporaine des idéologies. POL9620 Théories et problèmes en analyse des idéologies politiques (6 crédits) : Les principaux mouvements idéologiques: problématiques, concepts et œuvres. Analyse des théories de la formation et de la transformation des idéologies. La dynamique contemporaine des idéologies. L'examen de synthèse dans le domaine majeur se tiendra à la fin du cours. Présentation Ce séminaire aborde la pensée politique comme discipline, comme domaine interdisciplinaire et comme champ sociologique. Quelques séances porteront sur les approches et les pratiques en pensée politique. Les autres séances serviront à interroger des œuvres majeures du corpus sur le thème de la liberté, particulièrement en lien avec ceux d autorité et d égalité. Mode de fonctionnement - Ce cours est conçu comme un séminaire. Chaque séance de travail prendra la forme d'une lecture et d'une discussion critiques des textes sélectionnés. - Lire : la lecture concentrée, patiente, active et assidue des textes au programme est la pierre d assise d un séminaire. - Présenter : Chaque semaine, un.e étudiant.e présente une synthèse des textes au programme, tout en cherchant à lancer une discussion par quelques commentaires analytiques et questions. Cette présentation devrait durer environ minutes. - Parler/Écouter : en séminaire, le travail de clarification collectif repose sur la création d un espace intersubjectif dont les textes constituent le fondement. - Écrire : c est le travail de mise en œuvre d une expression analytique qui se joue dans une relation de distance amicale avec les auteur.e.s. - Le travail en séminaire s organise autour du lire et du parler/écouter, et dans l horizon d un travail d écriture plus soutenu (travail de session). Paramètres concernant la discussion en séminaire : La source et la destination du séminaire trouvent leur centre dans le travail individuel de lecture de chacun.e des participant.e.s. Il est attendu que chacun.e soit présent, sans exception, à toutes les

2 2 rencontres en séminaire, et se présente en classe en ayant lu l ensemble des textes au programme de la semaine. La qualité d un séminaire repose sur l engagement de chacun.e. À ce titre, il est attendu que chacun.e soit actif en séminaire. D une part, cela demande une certaine préparation préalable qui passe par la prise de notes de lecture et la préparation systématique d éléments de synthèse, de commentaires analytiques et de questions. D autre part, l écoute active et la prise de parole dialogique requièrent la prise de notes durant le séminaire. Cette prise de notes permet à la fois de synthétiser et de conserver l essentiel de ce qui se dit, d y réfléchir et de préparer des interventions plus solides et mieux organisées. Cela permet également d établir des liens pertinents entre les séances. Somme toute, cela permet de contribuer, d apprendre et de progresser. Travailler en séminaire exige également de la part des étudiant.e.s de développer une certaine attitude favorisant une dynamique collective fructueuse. Il est ainsi attendu que les participants fassent preuve d une capacité d écoute maximale envers leurs collègues lors des discussions. Cela signifie que parole et écoute, son et silence, sont valorisés sur un même pied. Ils constituent les ingrédients complémentaires sans lesquels il ne saurait y avoir dialogue, intersubjectivité et recherche commune de compréhension. Autrement dit, l esprit de ce séminaire ne sera pas celui de la joute compétitive entre des joueurs et joueuses qui cherchent d abord et avant tout à se faire valoir, à prévaloir, à briller, à gagner. Il sera plutôt celui d une entreprise commune, patiente, modeste, respectueuse et perpétuelle de compréhension qui s enrichit de la pluralité et de la différence des perspectives, des paroles et des écoutes. Un tel esprit requiert la générosité herméneutique, tant envers les auteur.e.s des textes au programme qu envers les participant.e.s au séminaire. Cela veut dire au minimum : aborder la lecture et la discussion dans un esprit d ouverture; écouter; chercher à comprendre; éviter les réflexes dogmatiques; travailler avec des questions plutôt que des réponses; être fidèle à la lettre des textes; construire sur les interventions des auteur.e.s et de vos collègues avant d en identifier les limites. L importance du doute sincère et de son expression dans les interventions est non seulement un signe de la modestie essentielle au monde du savoir, mais une composante essentielle de l esprit critique et de la capacité d autocritique. Somme toute, il s agit de créer un climat hospitalier à l échange, à l apprentissage collectif et aux désaccords courtois. Enfin, un séminaire étant un espace d apprentissage et d expérimentation, cela implique qu il puisse s y manifester une certaine vulnérabilité. À savoir : - les participant.e.s ont le droit de ne pas savoir; - le droit de poser des questions en apparence naïves; - le droit de parler une langue approximative; - le droit de tenter des interprétations personnelles; - le droit de ne pas connaître des auteur.e.s et des dates qu il faut pourtant connaître; - le droit de se tromper. Pour que ces droits existent, la collaboration de chacun.e est requise et elle consiste autant à avoir le courage d être soi-même vulnérable que celui d accueillir la vulnérabilité des autres. Deux objectifs sont principalement visés ici par la forme séminaire telle qu établie par cet ensemble de paramètres : d abord l expérimentation d un travail d intelligence collective; ensuite l exercice accru d une autonomie de pensée pour chacun.e.

3 3 Évaluation 1. Participation (20%) - La présence (un total de plus de deux absences non justifiées signifiera la note «0/20» pour la participation et la possibilité d un «INC» pour le cours, ce qui signifie un échec). - La participation active dans son ensemble (prise de parole et écoute, sur un même pied) et la qualité des interventions (pertinence; cohérence, clarté et esprit de synthèse; compréhension; capacité à s engager réellement dans la discussion avec les textes et avec les collègues; capacité à construire sur les interventions des autres; capacité d analyse; sens de la nuance et du détail; créativité; esprit critique; capacité d autocritique). L évaluation de la participation par le professeur se fera sur une base continue. 2. Notes de lecture (20%) - Il ne s agit pas de fiches de lecture (dans lesquelles on s attendrait à retrouver la thèse, les arguments et les concepts-clés du texte, ainsi qu une appréciation critique). Néanmoins, vous pouvez utiliser la structure de la fiche de lecture pour vous guider dans votre rédaction. - Il s agit ici de rédiger des notes de lecture pour chacun des textes à l étude, afin de vous préparer à la discussion. Assurez-vous d avoir bien compris les idées principales des textes et d en rendre compte. Les liens avec les textes et discussions des semaines précédentes sont bienvenus. Assurez-vous de formuler au moins une intervention ou une question que vous pourrez avancer en classe. - Fréquence : 7 fois durant la session, excluant la séance où vous faites la présentation. - Longueur : maximum de deux pages à simple interligne à chaque fois. - Date de remise : par courriel, avant 9h00 le matin de la séance. 2. Présentation orale (5%) - Une présentation orale des lectures au programme (20-25 minutes), accompagnée de notes de lecture (maximum 4 pages à simple interligne) à me remettre par courriel avant 9h00 le matin de la présentation. 3. Un travail de recherche (15% pour le projet de recherche, incluant la discussion de ce projet avec le professeur; 40% pour le travail final) Le travail doit porter sur un sujet lié au thème du cours. Les étudiant.e.s sont encouragé.e.s à choisir un sujet qui leur permet de faire progresser leur réflexion de mémoire ou de thèse. Vous me remettez un projet de recherche par courrier électronique avant 9h00 le lundi 3 novembre. Vous prenez rendez-vous avec moi pour une rencontre individuelle sur votre projet qui aura lieu durant la même semaine (la discussion durera environ 30 minutes). Le projet de recherche doit comprendre les éléments suivants : - Une brève présentation du sujet (sujet amené). - Une question générale (sujet posé). - Une justification de l intérêt de cette question qui réfère à des écrits spécialisés et moins spécialisés pertinents (brève revue de littérature préliminaire utilisant au moins 2 sources spécialisées de manière substantielle). - Une question principale (mise en relation interrogative de concepts centraux à ce que l on veut étudier) et une hypothèse exploratoire (ou proposition de recherche) en lien avec la revue de littérature. - Une brève présentation et justification de la méthodologie envisagée. - Une table des matières soigneusement liée à votre revue de littérature, votre question, votre hypothèse et votre méthodologie (sujet divisé). - Une bibliographie préliminaire.

4 4 Le projet doit être approuvé par le professeur et devra par la suite être remis en annexe du travail final. Le projet doit être d une longueur de 5-6 pages, excluant la bibliographie (à double interligne, taille de police 12), alors que le travail final doit faire pages, excluant la bibliographie (à double interligne, taille de police 12). Ils doivent respecter les exigences d UNE méthode de présentation des références et de la bibliographie reconnue dans le monde universitaire. Date de remise pour le travail final : le 10 décembre, sous ma porte de bureau ET par courriel. Critères d évaluation pour les travaux 1) La cohérence, la clarté, l esprit de synthèse et la densité de l écriture (30%); 2) La compréhension de la matière étudiée; la recherche; l intégration de la documentation à votre propos (30%); 3) La qualité et l originalité de l analyse (25%); 4) La qualité de la langue (10%) et de la présentation des références et de la bibliographie (5%). Politique concernant la présence en classe, la qualité de la langue et les retards dans la remise des travaux 1) La présence en classe est nécessaire pour réussir le cours (voir la section «Évaluation»). 2) Vous serez jugés sur la qualité de la langue (10%), alors prenez les moyens nécessaires pour éviter les fautes d orthographe, de syntaxe, de ponctuation, d impropriété des termes, les anglicismes, etc. 3) Aucun retard dans la remise des travaux ne sera toléré, à moins de maladie ou autre raison sérieuse acceptée par le professeur et appuyée par une preuve adéquate. Les retards non autorisés seront pénalisés. Vous perdez 5% par jour de retard dans la remise de vos travaux. Après sept (7) jours de retard (incluant la fin de semaine) sans justification valable et solidement appuyée, les travaux ne sont plus acceptés et vous obtenez la note «INC» (ce qui équivaut à un échec pour le cours). Dans le cas des notes de lecture, aucun retard n est possible, puisque l objectif pédagogique serait perdu. Politique concernant les appareils électroniques Le professeur a la responsabilité de favoriser un milieu propice à la concentration, à la réflexion et à la discussion, ce qui implique de garantir un environnement sonore et visuel calme. L utilisation des ordinateurs portables et autres appareils électroniques est peu compatible avec un tel environnement, notamment parce qu elle constitue une barrière physique à la discussion. Les appareils électroniques devraient être rangés dans vos sacs et éteints. Nous travaillerons avec des textes en papier et écrirons sur du papier. Disponibilité des lectures au programme - L ouvrage Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques et la plupart des textes classiques sont aisément disponibles. Prière de vous procurer les textes suffisamment d avance. - Merci de m en faire part si vous éprouvez des problèmes à vous procurer certaines lectures. Plan du séminaire et lectures hebdomadaires 9 septembre : Présentation du plan de cours, organisation et introduction 16 septembre : Désobéir Sophocle, Antigone, Paris, Flammarion, (442 ou 441) 1999.

5 5 23 septembre : Politique et liberté Aristote, Les politiques, Paris, Flammarion, 1993, 2 e édition revue et corrigée. 30 septembre : Servitude et liberté Machiavel, Le Prince, Paris, Gallimard, ( ) Étienne de La Boétie, Le discours sur la servitude volontaire, Paris, Payot & Rivages, ( ) (Texte de La Boétie et une petite sélection de textes du dossier «La Boétie et la question du politique») 7 octobre : Approches et pratiques (I) Dalie Giroux et Dimitrios Karmis, «L étude des idées politiques : Défis et approches», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Ronald Beiner, «Le textualisme : une anti-méthodologie», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Gilles Labelle, «De l «art ésotérique d écrire» à la «voie oblique» : Leo Strauss lu par Miguel Abensour», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Koula Mellos, «L esthétique de l ironie et le roman moderne», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p James Tully, «Public Philosophy as a Critical Activity», dans Public Philosophy in a New Key (Cambridge : Cambridge University Press, 2008), volume I, p octobre : Semaine d étude 21 octobre : Le corps politique et la liberté négative Thomas Hobbes, Léviathan, Paris, Gallimard, (1651) 2000, livres I et II. 28 octobre : Contrat social et égale liberté Jean-Jacques Rousseau, Discours sur les origines et les fondements de l inégalité parmi les hommes (1754) Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social, Paris, Gallimard, (1762) 1964.

6 6 4 novembre : Approches et pratiques (II) Hans-Georg Gadamer, Vérité et méthode, Paris, Seuil, (1960) 1996, sélection. Quentin Skinner, La vérité et l historien, Paris, Éditions EHESS, Jean-Pierre Couture, «Il n y a que du hors-texte. Sur l usage des approches mésologiques», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Dimitrios Karmis, «Skinner contre Gadamer? Deux contributions à une herméneutique de la différence», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Jonathan Floyd et Marc Stears (dir.), Political Philosophy versus History? Contextualism and Real Politics in Contemporary Political Thought, Cambridge, Cambridge University Press, 2011, sélection. 11 novembre : Libertés libérales John Locke, Traité du gouvernement civil, Paris, Flammarion, ( ) 1980, sélection. Benjamin Constant, De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes (1819). John Stuart Mill, De la liberté, Paris, Presses Pocket, (1859) 1990, sélection. 18 novembre : Aliénation et émancipation Karl Marx, Manuscrits de 1844, Paris, Flammarion, 1996, sélection. Virginia Woolf, Une pièce bien à soi, Paris, Payot & Rivages, (1929) 2012, sélection. 25 novembre : Autorité, violence et liberté Hannah Arendt, Les origines du totalitarisme, tome 3 : Le système totalitaire, Paris, Seuil, (1951), 1972, chap. 4. Hannah Arendt, Condition de l homme moderne, Paris, Calmann-Lévy, 1983, sélection. Hannah Arendt, La crise de la culture : Huit exercices de pensée politique, Paris, Gallimard, 1989, sélection. Hannah Arendt, Du mensonge à la violence, Paris, Calmann-Lévy, 1972, sélection. 2 décembre : Approches et pratiques (III) Jeremy Waldron, «Political Political Theory : An Oxford Inaugural Lecture», Public Law & Legal Theory Research Paper Series, New York University School of Law, juin 2012.

7 7 Jocelyn Maclure, «La philosophie politique analytique et ses critiques», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Diane Lamoureux, «Le féminisme comme théorie critique en histoire des idées politiques», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Dalie Giroux, «Anarchie et méthode. Une approche généalogique des idées politiques chez Marx et Nietzsche», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, 2013, p Francis Dupuis-Déri, «Vers un manifeste pour la libération des idées politiques», dans Dalie Giroux et Dimitrios Karmis (dir.), Ceci n est pas une idée politique : Réflexions sur les approches à l étude des idées politiques, Québec, Presses de l Université Laval, p

8 8 Fraude scolaire (Chanson plate mais nécessaire) Attention à la fraude scolaire! La fraude scolaire est un acte commis par une étudiante ou un étudiant et qui peut fausser l évaluation scolaire (c est-à-dire les travaux, tests, examens, etc.). Elle n est pas tolérée par l Université. Toute personne trouvée coupable de fraudes est passible de sanctions sévères. Voici quelques exemples de fraude scolaire : Plagier ou tricher de quelque façon que ce soit; présenter des données de recherche qui ont été falsifiées; Remettre un travail dont vous n êtes pas, en tout ou en partie, l auteur; présenter, sans autorisation écrite des professeurs concernés, le même travail dans plus d un cours. Ces dernières années, le perfectionnement d Internet a fortement facilité la découverte des cas de plagiat. Les outils mis à la disposition de vos professeures et professeurs permettent, à l aide de quelques mots seulement, de retracer sur le Web l origine exacte d un texte. Vous pouvez consulter la page web de la faculté recensant les documents d information sur l intégrité et le plagiat dans les travaux universitaires à cette adresse : La personne qui a commis ou tenté de commettre une fraude scolaire ou qui en a été complice sera pénalisée. Voici quelques exemples de sanctions pouvant être imposées : recevoir la note «F» pour le travail ou le cours en cause; l ajout d une exigence supplémentaire (de 3 à 30 crédits) au programme d études ; la suspension ou l expulsion de la Faculté. Au cours de la dernière session, la majorité des personnes coupables de fraudes ont eu «F» dans le cours concerné et devront obtenir de trois à douze crédits supplémentaires dans leur programme d études. Vous pouvez vous référer au règlement à l adresse suivante :