La sécurité du patient du point de vue biomédical

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1 1 La sécurité du patient du point de vue biomédical Deux séminaires ateliers ont été organisés en 2002 et Tout d abord du juin 2002 pour présenter la réglementation internationale en termes de conformité et de sécurité des dispositifs médicaux (DM) et comment octroyer une autorisation de mise sur le marché au matériel médical. Un deuxième séminaire atelier du octobre 2009 a permis un débat sur les activités du service biomédical dans le domaine de la maintenance et du contrôle de qualité des DM de l anesthésie et de la réanimation. Le troisième séminaire atelier qui vous est présenté ci-dessous s est déroulé du 3 4 octobre 2010 et a permis de faire des présentations par un expert étranger qui ont été suivies de la tenue d ateliers qui ont abouti à des recommandations en matière de sécurité du patient Objectifs stratégiques Assurer une meilleure sécurité des dispositifs médicaux Améliorer la qualité du service rendu au patient Diminuer les couts de la maintenance Diminuer les coûts d immobilisation des DM Utilisation rationnelle des ressources humaines et matérielles Objectifs spécifiques Organiser la maintenance préventive des DM en vue de les fiabiliser Vérifier la bonne pratique des DM Optimaliser l exploitation des DM Promouvoir l interactivité fonctionnelle inter-service (centre biomédical-usagers) Garantir la sécurité du patient et du personnel de santé Finalité Promouvoir la qualité des services rendus et l image des établissements hospitaliers Prévenir les établissements hospitaliers des suites administratives et juridiques en cas d incident. Organisation des journées Ouverture de la séance 9h 30mn par le Pr Helali souhaitant la bienvenue aux participants et au conférencier invité et animateur principal de nos journées. Participants Liste des participants en annexe 3. Présentation du programme - communications en séance plénière suivies de discussions - ateliers : travail en groupes, suivi d un rapport des résultats présenté en plénière par un membre du groupe Journée du 03 octobre 2010 I / Introduction sur la matériovigilance aux 3 ème journées (Pr Helali) 1. Objectifs stratégiques de la matériovigilance : Eviter que ne se (re)produise des incidents et risques d incidents graves mettant en cause des DM en prenant les mesures préventives et/ou correctives appropriées ; La matériovigilance n a pas pour objectif d identifier la cause d un incident particulier survenu à une date donnée dans un établissement donné, mais de s impliquer assez souvent avec les autres compétences biomédicales en tant que partenaires de la sécurité des dispositifs médicaux, pour éviter que les incidents ne se reproduisent de nouveau. Les missions importantes des fonctions biomédicales sont la maintenance, la gestion du parc des dispositifs médicaux (DM) et les activités de suivi de ces

2 2 derniers, il parait nécessaire par conséquent pour la matériovigilance de s intègrer dans les activités biomédicales multi partenariales, afin d avoir une meilleure visibilité sur les incidents et prévenir les risques d incidents, c est à ce titre que nos présentes journées sont essentielles pour améliorer la qualité du partenariat entre toutes les compétences biomédicales et de garantir enfin, une qualité et une sécurité des actes accomplis sur nos malades (améliorer le service rendu au malade) ; 2. L évaluation en matériovigilance a pour but d essayer de répondre aux questions suivantes: le DM peut-il être en cause? le risque d incident ou l incident est-il grave? le risque d incident ou l incident est-il reproductible? 3. Le domaine d application : Elle s applique à tous les dispositifs médicaux, notamment : les consommables à usage unique ou réutilisables les implants passifs ou actifs les équipements 4. Les compétences impliquées dans l activité biomédicale sont : Les utilisateurs de DM, les compétences biomédicales, l administration, le fabricant, le patient (sa satisfaction du service rendu). II / Sécurité du patient (Mr A.Derriey) Exposé La sécurité du patient est un principe fondamental des soins de santé. Chaque étape de l administration des soins s accompagne d un certain risque pour le patient. Des événements indésirables peuvent résulter de problèmes au niveau de la pratique, des produits utilisés, des procédures ou des systèmes sanitaires. Les améliorations de la sécurité pour les patients supposent un effort complexe de l ensemble du système. Un ensemble de mesures variées sont susceptibles d'en améliorer le fonctionnement, notamment celles : touchant à l hygiène et la gestion du risque, concernant la lutte contre les infections concernant l'usage rationnel des médicaments concernant la sécurité du matériel enfin concernant les pratiques cliniques. Cette sécurité peut être appréhendée sous quatre points de vue différents, à savoir : Selon le patient lui-même : sa sécurité implique son engagement Selon le personnel soignant : développer un partenariat patient (avec sa famille) et personnel soignant Selon le personnel biomédical : maintenir en bon état de fonctionnement les équipements et dispositifs médicaux. Selon l administration hospitalière : valoriser l image de l institution, éviter les risques au mieux par une politique d investissement judicieuse tant au niveau des moyens humains que matériels, assurer une veille réglementaire et se mettre en conformité avec les lois et règlements pour minimiser les contentieux juridiques s - Informer et prendre en charge un incident dès qu il se produit ; - Etant donné qu il n y a aucun protocole d assurance qualité, une procédure d utilisation doit être écrite par l utilisateur lui même et le service biomédical la validera, car : gain en efficacité gain en sécurité : faire une instruction de travail par tâche pour la sécurité et le bien être des utilisateurs - En plus des documents d utilisation, faire une instruction sur chaque appareil pour éviter les erreurs et les incidents, ce qui serait un avantage pour la maintenance ; - Sans document de base, l utilisateur ne peut pas utiliser de façon correcte ce DM - Contrôle du DM au moins une fois par an

3 3 - Il faut une complémentarité médecin service biomédical - Le service de maintenance doit signaler chaque incident à la matériovigilance Des études faites par 12 pays développés ont montré que 70% des incidents sont dus à une mauvaise utilisation du dispositif médical par les utilisateurs (erreurs de manipulation) L assurance qualité implique aussi un engagement du patient. III / L analyse de risque appliquée à la sécurité du patient Exposé Définition du risque : Le risque est un danger éventuel plus ou moins prévisible qui peut affecter le comportement de l équipement ou du dispositif. Ici, le risque concerne la sécurité du patient. Il ne sera pas possible de tous les éliminer, le risque zéro n'existant pas. Les cinq temps de l analyse du risque Etablir l'inventaire des risques : techniques, humains, organisationnels et financiers ; Valoriser les risques : évaluer la criticité de chacun des risques en terme d'impact et de probabilité ; Définir les parades : - éliminer le risque : le coût est le paramètre de jugement, - limiter les effets : la solution est souvent du côté de la gestion des ressources ; Identifier les points critiques : définir les lieux et/ou les moments où la probabilité et/ou la gravité sont les plus importants ; Réviser la table des risques : Suivre l'évolution de la criticité en cours de vie des équipements et installations. L analyse de risque appliquée à la sécurité du patient Les causes possibles : 1. Le Malade (le patient, son état, son âge, sa famille ) 2. la Main-d oeuvre (le personnel de santé : médecin, chirurgien, anesthésiste, infirmier) 3. le Milieu (les locaux : bloc opératoire, salles de réveil, chambre du patient, l environnement) 4. le Matériel (lit, table d opération, matériel d opération, ) 5. les Méthodes (normes, réglementation, les audits, le manuel qualité, dossier du malade) 6. On peut aussi ajouter un 6ème «M» à l analyse avec le Management Le management est obligatoire pour valider le processus organisationnel présent au sein de l hôpital et pour définir : - Les compétences, les relations entre services et leur hiérarchisation, la position du service biomédical au sein de l établissement.

4 4 Cette définition de l analyse du risque permet d appréhender le ou les risques potentiels propres à chaque équipement ou installation. Le risque zéro n'existant pas, cette démarche vise à en diminuer au maximum les effets. Travail en ateliers Etablir sa propre analyse du risque à partir de données propres en tenant compte des points suivants :. Le milieu. Le malade (le patient). Le matériel. Les méthodes. La main d œuvre. Le management L assistance s est répartie en deux ateliers : Atelier 1 qui est fait de médecins s est occupé à dresser un check liste d analyses en vue de la prévention d incidents en anesthésie et en réanimation. Atelier 2 qui est fait d ingénieurs et de techniciens biomédicaux s est occupé des opérations de vérifications des installations dans les blocs opératoires avant les actes médicaux et chirurgicaux. Journée du 04 octobre 2010 Exposés IV / Le service biomédical Objectifs : Assurer la maintenance du matériel Suivre l évolution du parc Assurer la sécurité des personnes (le patient en priorité) et des équipements Former et informer les utilisateurs et les services Pour que ces objectifs soient atteints une organisation est nécessaire : - Ecrire les procédures : modes opératoires, contrats de service, normes - Organisation interne : planning, horaires, partenariat - Se faire connaitre : notion de communication très importante - Gestion des compétences : techniciens, formations, réglementation - Installation des locaux : localisation, atelier, internet - Place dans l hôpital : service technique, administratif, financier V / La maintenance Cette fonction est l interface entre les utilisateurs et les acheteurs, mais aussi l interface avec tous ceux qui contribuent à la construction et l aménagement de l établissement. Objectifs : Diminuer le nombre de pannes, et les coûts de maintenance ; Améliorer la disponibilité et la qualité de service. Les missions : Assurer la maintenance du matériel Suivre l évolution du parc d équipements Assurer la sécurité des personnes et des équipements Former et informer les utilisateurs et les services Assurer la collecte des incidents pour informer le CNPM. - Types de maintenance : La maintenance préventive. La maintenance préventive systématique, conditionnelle, et prévisionnelle. La maintenance corrective La maintenance curative et palliative.

5 5 - Niveaux d intervention : L intervention peut être effectuée par l utilisateur, le personnel qualifié, un technicien qualifié, un technicien spécialisé, ou par le constructeur. Types d intervention Maintenance en interne. Délai d intervention court. Temps d immobilisation court. Bonne connaissance du parc d équipements. Un bon suivi des équipements. Un coût de main d œuvre maîtrisé. Intervention sur des appareils vétustes possibles. Un interlocuteur unique. Maintenance en externe. De bonnes compétences. Un effectif disponible. Des équipements de mesure et de contrôle performants. Un stock de pièces de rechange maîtrisé. Une mise à jour selon l évolution de l équipement proposée. Maintenance en partenariat. Bonne connaissance du parc d équipements. Un bon suivi des équipements. De bonnes compétences. Un stock de pièces de rechange maîtrisé. Intervention sur des appareils vétustes possibles. Un interlocuteur unique. Classification basée sur le risque des DM Classe I - faible degré de risque Classe IIa - degré moyen de risque Classe IIb - potentiel élevé de risque Classe III (la plus critique) - potentiel très sérieux de risques (comprend les dispositifs médicaux implantables actifs). Les types d interventions sur les DM sont en annexe 2 Il faut fédérer ses propres informations de manière à développer cette culture de la maintenance de façon professionnelle ; Toujours s informer par recherche internet sur les N d enregistrement des DM ; Trouver des alternatives pour avoir un fond commun de documentation Avoir une qualification initiale : Qualification d installation : le document doit être complet ; Analyse visuelle : la documentation doit être en adéquation avec l appareil ; Y-a-t-il une instruction de travail pour l utilisateur? La norme ISO n est pas régie par la loi, ce n est pas une garantie absolue et quand on parle de culture du risque il faut toujours une formation continue du personnel, revérifier en permanence les notions d hygiène, de qualité ; Il faut créer une/des association(s) de biomédicaux en Algérie VI / La gestion du service biomédical Les coûts de la maintenance sont définis par le type de maintenance choisie, à savoir : Maintenance interne. Les coûts de la maintenance sont principalement les suivants : - Les charges salariales, les pièces détachées avec la gestion du stock qui en découle, les outillages, les équipements de contrôle, de mesures et d essais et les locaux.

6 6 Maintenance externe, avec ou sans partenariat SANS contrat, les coûts de la maintenance sont principalement les suivants : - La main d œuvre, les pièces détachées, les frais de déplacement si intervention sur site, les frais de transport, si retour des équipements chez le fabricant (ou sous-traitant). AVEC contrat, les coûts de la maintenance devraient être définis : - Selon la planification des interventions de maintenance, le délai d intervention d urgence, la qualité de la prestation, avec le coût connu des éventuelles pièces de rechange. Un contrat peut difficilement couvrir tous les aléas, sauf à être coûteux. Le choix du type de maintenance, interne ou externe, doit donc être fait pour chaque équipement et dispositif médical en fonction de sa criticité, son utilisation et sa disponibilité. Il doit donc être fait en collaboration étroite avec les utilisateurs et ces derniers doivent pouvoir exprimer leurs attentes. Les moyens de la maintenance biomédicale, qui influent en partie sur les coûts, sont donc : - les personnels (techniciens & ingénieurs, éventuellement secrétariat). - les matériels (outillage, etc. ), ainsi que la GMAO (Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur), les données et informations. - les locaux. - la partie Qualité. - la politique de maintenance qui a été arrêtée. Les moyens de la maintenance biomédicale, nécessitent une mise en place comprenant : - des procédures. - une organisation interne du service. - une gestion des compétences. - une installation dans des locaux adaptés à la fonction. - une place connue et reconnue au sein de l établissement. VII / La qualité en service biomédical Il est important d abord de clarifier la terminologie : contrôle qualité et assurance qualité Contrôle qualité La notion de contrôle qualité d un dispositif médical est définie comme l ensemble des opérations destinées à évaluer le maintien des performances revendiquées par le fabricant ou, le cas échéant, fixées par les autorités réglementaires. Ce contrôle est dit : Interne si réalisé par l exploitant ou sous sa responsabilité par un prestataire ; Externe si réalisé par un organisme indépendant de l exploitant, du fabricant et de celui qui assure la maintenance du dispositif. L Assurance Qualité Les référentiels spécifient les exigences à tout système de management de la qualité afin de démontrer et accroître l aptitude et la satisfaction entre les différents services et celles d ordre réglementaires. Parmi ces référentiels, la norme «ISO 9001» qui est le seul référentiel utilisé pour obtenir une «certification» reconnue internationalement. Pour démarrer une politique «qualité», il est nécessaire de : - Faire le point sur la politique qualité actuelle (s il y en a). - Sensibiliser tous les acteurs à la démarche qualité - Préparer et planifier les actions (plan d action) La formulation et la planification de la démarche assurance qualité

7 7 La norme ISO 9001 définit 8 principes fondateurs constituant des règles La démarche qualité o Ecoute clients : prendre en compte les besoins du patient et de l'utilisateur en fonction de la politique de l'établissement. Ensuite, il faut évaluer régulièrement le niveau de satisfaction de chacun. o Leadership : faire en sorte de prendre en compte les besoins de toutes les parties prenantes, de les définir et de les formaliser. o Implication du personnel : faire comprendre à tout le personnel leur importance dans l'organisation. o Approche processus : identifier en tant que processus, les activités nécessaires permettant d'aboutir à un résultat. o Management par approche système : structurer et documenter les actions permettant d'améliorer l'efficacité et l'efficience. o Amélioration continue : contrôler les différents processus, analyser leurs performances et faire des propositions d amélioration. o Approche factuelle : prendre des décisions sur la base d'une analyse factuelle de l'information. o Relations mutuelles : améliorer les relations (par exemple contrat interne) avec les services pour obtenir de meilleurs résultats. Le contrôle et l assurance qualité par des techniciens qualifiés permettent d assurer la sécurité du patient et de l utilisateur

8 8 Mesurer les indicateurs Pour récolter des résultats, il faut créer des outils permettant de les mesurer (enquête de satisfaction, requêtes de données dans la GMAO par exemple). Les résultats obtenus permettront d'apporter des corrections ou des améliorations dans les processus en place. En se référant à la définition des objectifs de la fonction maintenance biomédicale, les outils créés permettront de proposer des actions d amélioration : Liens entre les objectifs de la maintenance et les actions d amélioration Assurance qualité = référentiel (norme «iso 9001») Le seul référentiel utilisé pour obtenir une certification du point de vue international Recommandations du séminaire En conclusion du séminaire, les participants ont fait les recommandations suivantes : 1. Mise en place de structure technico-administrative au niveau de la DSP intégrant les compétences biomédicales dans l acquisition, le don en matériel, l affectation et la maintenance des équipements médicaux. 2. Ouverture dans les EPSP et les EPH des postes budgétaires de maintenance des équipements médicaux au niveau de la sous direction de la maintenance des équipements biomédicaux et des équipements connexes. 3. Faciliter la circulation de l information intégrale sur l acquisition et l affectation des équipements médicaux. 4. Intégrer le concept de sécurité du patient dans les apprentissages du personnel paramédical. 5. Inclure dans la formation médicale la sécurité du patient comme module du résidanat. 6. Mettre en œuvre un registre des incidents aux niveaux des structures et leurs déclarations à la Matériovigilance.

9 9 7. Instituer une formation continue et actualiser les connaissances à tous les partenaires. Conclusions Le CNPM a organisé trois séminaires grâce aux apports de spécialistes étrangers et nationaux, médecins et ingénieurs biomédicaux, dans le cadre de la mise en place d un système de matériovigilance pouvant assurer la sécurité des dispositifs médicaux et le développement d une assurance qualité des actes médicaux et chirurgicaux. Le premier séminaire intitulé «Performance et Sécurité des dispositifs médicaux aux vues des réglementations internationales» (Alger juin 2002), le deuxième colloque «Sécurité des dispositifs médicaux de l anesthésie et de la réanimation» (Alger octobre 2009), le troisième séminaire «La sécurité du patient» (Alger octobre 2010). L aboutissement logique de ces colloques serait la rédaction d un guide nationale sur la sécurité médicale et technologique lors d usages des dispositifs médicaux. La rédaction en vue d optimisation de la sécurité médicale du point de vue de l anesthésie et de la réanimation a été déjà accomplie par nos collègues, il reste au CNPM d apporter sa touche du point de vue de la matériovigilance, ce que nous comptons faire au prochain séminaire en Remerciements Le directeur général et le personnel du CNPM, ainsi que les participants au séminaire tiennent à remercier tout particulièrement Monsieur Antoine Derriey, ingénieur en électronique de puissance, ingénieur de maintenance et en assurance qualité en Suisse et en France, spécialiste en qualité sur site industriel en Suisse, pour sa disponibilité et ses efforts constants pour nous aider à construire le concept d assurance qualité en matière de dispositifs médicaux, ce dernier comme un pré requis à notre projet de développement d une matériovigilance au profit des utilisateurs de dispositifs médicaux dans notre pays. Nos remerciements vont aussi au docteur Baya Khris pour avoir réaliser le premier jet de ce rapport. Alger le 10 mars Professeur A. Helali

10 10 ANNEXE 1 Programme Dimanche 03 octobre h00-09h30: 09h30-09h45: 09h45-10h00: 10h00-10h30: 10h30-11h00: 11h00-11h30: 11h30-12h00: 12h00-13h00: 13h00-13h30: 13h30-14h00: 14h00-14h30: 14h30-15h00: 15h00-15h15: 15h15-15h45: 15h45-16h15: 16h15-17h00: Enregistrement des participants Bienvenue et présentation du séminaire Pause café La sécurité du patient. L Analyse de risque au service et pour la sécurité du patient Déjeuner Le service biomédical Les moyens des moyens Pause café Atelier Thème : Etablir votre propre analyse du risque à partir de vos données propres en tenant compte des points suivants : Le Milieu Le Malade (le patient) Le Matériel Les Méthodes La Main d œuvre Le Management. Présentations des résultats du travail de l Atelier Lundi 04 octobre h00-09h30: La maintenance 09h30-10h00: 10h00-10h15: 10h15-10h45: 10h45-11h15: 11h15-11h45: 11h45-12h15: 12h15-14h00: 14h00-14h30: 14h30-15h00: Pause café La gestion financière La qualité du service biomédical Déjeuner Synthèse des journées et mise en place de programme de développement de la sécurité du malade 15h00 : Cocktail & Clôture

11 ANNEXE 2 11 Les types d interventions en maintenance Lits médicaux électriques installés au domicile du patient Lève-patients de marque SAMERY ayant pour noms commerciaux SAMLIFT, SAMLIGHT, SAMSOFT de la société DUPONT MÉDICAL Tables d opération à plateaux transférables Laveurs d endoscopes Ensemble des matériels, y compris les stérilisateurs, les systèmes de conditionnement et de filtration de l air, les filtres, les systèmes de traitement, de production, de stockage et de distribution de l eau : Isolateur, stérilisateur Ensemble des équipements et consommables utilisé pour la prédésinfection, le nettoyage, le conditionnement, la stérilisation, le contrôle, l étiquetage, le stockage, la distribution, le transport et la gestion des DM devant être fournis stériles: Laveurs, autoclaves, soudeuses Exploitation des équipements sous pression - Autoclaves - Centrales d air comprimé ou d oxygène Requalification opérationnelle Centrifugeuses Maintenance annuelle Maintenance annuelle nécessaire pour ces appareils et changement de l'axe de suspension tous les 3 ans. Il est impératif de mettre hors service les appareils qui n'ont pas été mis en conformité Respect des consignes d entretien du constructeur Maintenance préventive régulière - Contrôle visuel des niveaux de produits en début de journée - Entretien des filtres et des installations d'eau - Vérification périodique de l aptitude du laveur à désinfecter Maintenance annuelle Validation et entretien de façon planifiée. La réutilisation de ces éléments doit être approuvée Les matériels sont qualifiés AVANT leur première utilisation. Les appareils de mesure et d enregistrement des paramètres sont maîtrisés et étalonnés. Tout équipement est entretenu selon un plan de maintenance planifié et documenté. L exploitant est tenu d effectuer en temps utile les entretiens et vérifications définis dans la notice établie par le constructeur. La requalification opérationnelle doit être effectuée à intervalles définis et chaque fois qu'est apportée à la charge du stérilisateur une modification s'établissant hors des limites spécifiées dans le rapport de qualification opérationnelle. Doivent faire l objet d une vérification générale périodique au minimum annuelle

12 Installations de traitement et de distribution de l'eau de dialyse Programmes de contrôle technique Un examen régulier doit être fait. Il doit être renforcé en particulier lorsque des travaux importants d'entretien sont effectués. De même, il faut vérifier périodiquement que les conditions de réalisation de la désinfection de l'installation respectent les protocoles préétablis et que cette désinfection reste efficace. Il faut s'assurer de la tenue à jour du carnet de bord 12 Circuits de distribution des gaz à usage médical : - prises murales - tuyauteries souples - mélangeurs, ventilateurs DM de pesée : - pèse-bébé, - pèse-personne, prioriser les services médicaux dont l'indication du poids du patient est capitale pour sa prise en charge thérapeutique. - balances de précision des laboratoires et instruments de pesée des PUI (Pharmacies à Usage Intérieur), - systèmes de pesée sur lève malade, pèse-lit Matériel et automates de laboratoire : - Centrifugeuse - Automate - Balance - Pipettes - Réfrigérateur, Congélateur - Étuve, Bain-marie Révision des manodétendeurs au minimum tous les 5 ans. Vérification des prises murales et des tuyauteries souples au minimum tous les ans. Vérification par l utilisateur et le responsable technique des appareils d utilisation lors de leur mise en service et après toute intervention technique Traçabilité de chacune de ces maintenances Vérification périodique : tous les ans pour les applications médicales. Elle inclut un examen administratif et des essais métrologiques Vérification du fonctionnement des appareils selon la fréquence préconisée par le fabricant. Tenue d un registre de maintenance. Inspection, nettoyage, entretien et vérification selon la procédure en vigueur Matériels et dispositifs médicaux concourant à assurer notamment les soins Contrôle lors de la première mise en service dans l'établissement de santé et lors de toute remise en service; - Vérification du bon état et du bon fonctionnement avant utilisation sur un patient ; - Maintenance organisée, adaptée aux conditions d'utilisation ; - Remplacement rapide en cas d'obsolescence ; - Adaptation aux patients traités.

13 Autres matériels et dispositifs médicaux Contrôle lors de la première mise en service dans l'établissement de santé et lors de toute remise en service; - Vérification du bon état et du bon fonctionnement avant utilisation sur un patient ; - Maintenance organisée, adaptée aux conditions d'utilisation ; - Remplacement rapide en cas d'obsolescence ; - Adaptation aux patients traités. 13

14 14 ANNEXE 3 Les participants aux troisième Journées Nationale de Matériovigilance Sur La Sécurité du Patient Alger, Journées du 03 au 04 Octobre 2010 Nom & Prénom Fonction Organisme ADDOUN KARIM TS en maintenance biomédicale CHU Parnet AIOUEZ KHADIDJA Professeur psychiatrie CHU Mustapha ALLAM BAYA Médecin généraliste EPSP Sidi M Hamed AOUAMEUR RACHIDA Médecin spécialiste anesthésie réanimation CHU Béni Messous BEN M'HAMED ABDELHALIM Médecin spécialiste pharmacologie CNPM BENACHENHOU FETHI Médecin généraliste EPSP Sidi M Hamed BOUBERTAKH LEILA Médecin généraliste CNPM BOUGHENOU TAOUS Médecin spécialiste anesthésie réanimation CHU BEO CHOURAK RACHID Médecin spécialiste médecine interne Hôpital Bainem DALI YOUCEF AHMED F. biomédical Oran DJAFRI DJAMEL biomédical Annaba DJAFRI WAHIBA Médecin spécialiste pharmacologie CNPM GACEM OUAHIBA Pharmacienne, EHS Drid Hocine GANA HABIB Biomédical Constantine HALLAH FADILA Médecin généraliste EPSP Bouchaoui HARABI SALIHA Médecin généraliste EPSP Sidi M Hamed HARIKIS NOUARA pharmacienne Hopital Tixéraine IAICHE ACHOUR Tewfik Médecin spécialiste, EHS Kouba IDDIR FATIHA Médecin généraliste EPSP Bouchaoui IZEM MOHAMED Médecin spécialiste anesthésie réanimation CHU BEO IZEM SIHEM Médecin généraliste EPSP Sidi M Hamed K. AIT HAMMOU Médecin résidente pharmacologie clinique CNPM KACHER NOUARA Chirurgien dentiste Polyclinique Bir Khadem KADDOURI DJAMEL biomédical Oran KADI RACHID Médecin spécialiste, anesthésie réanimation KHALED YAZID Biomédical CHU Mustapha Ain Mlila W.Oum El Bouaghi KHRIS BAYA Médecin principal CNPM LAMRAOUI Ingénieur en maintenance EHS CPMC biomédicale, LAMRI AMEL Anesthésiste réanimateur, EHS Kouba LOUMI NADJAT professeur pharmacologie clinique CNPM MEHADJI MOHAMED Biomédical Oran MESKINE DJAMILA Professeur endocrinologie Hôpital Bainem MESSALHI SMAIN biomédical Annaba MOHABEDDINE F.Zohra Magister en génie chimique LNCPP MOKRETAR KARROUBI RIAD Professeur agrégé anesthésie CHU BEO

15 15 réanimation NAIT ACHOUR HASSINA Ingénieur en maintenance biomédicale EHS/CPMC OULDKABLIA Médecin directrice EPSP Bouchaoui RABAHALLAH KHALED TS en maintenance biomédicale, CHU Mustapha REFED MESSAOUD Ingénieur en maintenance électronique,gat, Oran REKIK DALILA Médecin généraliste Polyclinique Ain Benian SAADOU JIHANE biomédical El Taref SI LARBI FARIDA Médecin coordinatrice Polyclinique Bir Khadem TOUDJI AHMED Professeur anesth réa, EHS Kouba TOUIL BELHADJ biomédical Tlemcen ZAHAF ABDELHALIM biomédical Constantine ZAIT NABILA Ingénieur en maintenance biomédicale CHU Parnet CHAWATI Y Médecin MSPRH ZENDER Med ZOHEIR biomédical Batna El Fahchouch Baroudi médecin Centre de thalassothérapie Sidi Fredj ZENDER Med ZOHEIR biomédical Batna

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