SEMINAIRE DE FORMATION DES CHARGES DE COMMUNICATION DES STRUCTURES DE MISE EN OEUVRE

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1 PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE République de Côte d Ivoire Union Discipline Travail CONSEIL NATIONAL DE SECURITE Le Secrétariat SEMINAIRE DE FORMATION DES CHARGES DE COMMUNICATION DES STRUCTURES DE MISE EN OEUVRE THEME: COMMUNIQUER SUR LA REFORME DU SECTEUR DE LA SECURITE LIEU : RESIDENCE HOTEL NIABLE ANGRE 8ème TRANCHE 0708 Octobre 2014

2 Un séminaire de formation des chargés de communication des Ministères et Structure de mise en œuvre de la Réforme du Secteur de la Sécurité (RSS) s est tenu les mardi 07 et mercredi 08 octobre 2014 à la Résidence Hôtel NIABLE sis au deux plateaux Angré 8eme tranche. Organisé par le Secrétariat du Conseil National de Sécurité (CNS), Ce séminaire a regroupé environ 50 participants, issus des Ministères et structures de mise en œuvre (cf liste jointe) avec à leur tête la Présidence de la République, la Primature. Les Ministères d Etat représentés par :le Ministère de l intérieur, le Ministère du Plan et du Développement le Ministère des Affaires étrangères, l ONUCI et les Experts nationaux et internationaux. Cette rencontre avait pour objectif de créer un cadre de collaboration entre le S- CNS et les structures de mise en œuvre dans le cadre de la communication sur la RSS. Les travaux se sont déroulés selon les étapes suivantes : 1. Les communications en plénière, suivies d échanges ; 2. La sensibilisation sur la pandémie Ebola 3. Les travaux en atelier ; 4. La formulation des recommandations. 1. Communications en plénière suivies d échanges La première intervention du jour a été faite par Ms Mireille TANO-FRAM. Son intervention a porté sur la stratégie ivoirienne en matière de RSS. Elle a rappelé les fondements et les objectifs de la RSS en Côte d Ivoire, ainsi que le rôle des différents acteurs concernés. On retiendra que la réforme du secteur de la sécurité est l ensemble des mesures prises par l autorité politique en vue de transformer tous les acteurs et institutions en charge de la sécurité. Elle redéfinit leurs rôles, leurs responsabilités, leurs actions et les amène à accomplir leurs missions dans un cadre respectant les normes démocratiques et les principes de bonne gouvernance. Selon lui, cette réforme est le cadre du développement et du renforcement du concept de la sécurité humaine, fondée sur la logique de développement humain durable. Ainsi, les chargés de communication des structures de mise en œuvre doivent s approprier ce nouveau concept et s impliquer dans la mise en œuvre de la stratégie de communication afin de réussir le pari de l appropriation nationale. Ainsi, les acteurs clés de la communication doivent s impliquer dans le processus de mise en œuvre par l élaboration de leurs d actions sectoriels en sous la coordination du S-CNS. La deuxième communication de la matinée a été faite par M. BOAH KOUASSI, expert national du domaine de la communication. Sa communication a porté sur deux thématiques précises :

3 - Bâtir un plan de communication - Bâtir un cadre de collaboration Concernant son premier thème, l orateur a ouvert ses propos en définissant la communication comme un instrument de décision au service du management qui met aux prises deux acteurs principaux, l émetteur et le récepteur. Aussi, le processus de communication se décline, selon lui, sous la forme d un plan qui offre une vue synoptique sur l ensemble des actions à mener. La rédaction d un plan de communication doit comprendre les parties suivantes : - les objectifs ; - - la cible - la définition du message - la planification des actions - la flexibilité - l évaluation des actions M. BOAH a achevé cet exposé en expliquant que La coordination d un plan de communication nécessite la définition des outils de suivi-évaluation. Concernant la définition du cadre de collaboration, l orateur a suggéré la création d un «tandem» entre les points focaux et les chargés de communication à l intérieur des Ministères et structures de mise en oeuvre. Il a donc insisté sur la nécessité pour ces deux entités de s approprier le concept de la RSS et surtout de travailler en bonne intelligence. Des outils comme les tableaux de bord et les fiches synthétiques peuvent s avérer être d excellents moyens de collaboration entre les parties prenantes La dernière présentation de la matinée a été effectuée par M. ABDOULAZIZ Sall, expert international en Reforme du Secteur de la Sécurité. M. ABDOUL AZIZ a basé sa présentation sur le postulat selon lequel la communication sur la RSS est une communication pour le changement de comportement.

4 Au cours de son développement, l orateur a rappelé que 70% des reformes échouent parce que la dimension humaine n est pas prise en compte. Il a en outre expliqué les liens qui existent entre la communication publique et la communication pour le changement de comportement. M. ABDOUL AZIZ a au cours de sa démonstration ramené ces deux notions de communication autour de l humain en tant qu entité. Ainsi, pour une communication efficace, il est important d aborder l être humain dans toute sa complexité et intégrer les freins au changement dans toute nouvelle action. Les échanges relatifs à cette intervention ont porté sur les freins aux changements, les comportements réfractaires et les exemples de réussite dans le cadre de la reforme du secteur de la sécurité. La seconde intervention de M. ABDOUAZIZ SALL a porté sur la Gestion Axée sur les Résultats. M. SALL a présenté les notions et les termes essentiels à cette approche. Ainsi, il a affirmé que la communication de proximité s applique aux actions de communication sectorielle. La gestion axe sur les résultats (GAR) quant à elle est un processus cyclique continu et intégrer. Il consiste à S engager, Réaliser, Évaluer, Améliorer La GAR obéît à une chaine logique dont les premiers éléments sont les intrants et les extrants qui peuvent être qualifié de niveau opérationnel. Après la phase opérationnelle, succède la phase des résultats stratégiques constitués des effets et des impacts. L efficacité commence à partir des effets et s apprécie sous l angle de l atteinte des objectifs. La performance met en rapport l efficience et l efficacité. La raison d être d une organisation dépend de sa pertinence. La pertinence correspondance entre les besoins et les résultats obtenus. est la Un objectif doit être chiffré et inscrit dans le temps a affirmé l exposant

5 De ce fait, La notion d indicateurs est essentielle dans la GAR. Il permet d apprécier les résultats en fonction des objectifs et d établir un suivi-évaluation selon la démarche suivante: - Le Constat, La Projection, La Discussion, La Décision, La Correction - La Mise en œuvre, Le Constat Ainsi de suite car le Cycle est continue. Les échanges ont porté sur les champs de force intervenant dans le processus d évolution d un projet, les notions de résultats et d indicateurs. La dernière intervention a été celle de M. OUATTARA ISSIAKA et a porté sur le rôle de l ONUCI dans la Réforme du Secteur de la sécurité en Côte d Ivoire. M. OUATTARA a expliqué le rôle de son organisation dans la mise sur pied de cette reforme. Il a en outre rappelé à l assistance que le niveau d intervention de l ONUCI dans les différents projets ou reformes en Côte d Ivoire est strictement lié à la définition d un cahier de charge lui même clairement spécifié par un mandat. Les échanges ont porté sur les missions de la division RSS de l ONUCI. 2. Sensibilisation à la pandémie Ebola La première présentation a été faite par le Docteur ADJOGOUA. Il a ouvert ses propos en rappelant que la problématique en Côte d Ivoire est d anticiper la réaction des populations face à des cas confirmés au niveau de cette épidémie en mettant l accent sur la sensibilisation. Il a par la suite expliqué qu Ébola est une maladie liée à l hygiène des populations, d ou l importance du lavage des mains. En effet, le virus est doté d une grande capacité de mutation et protégé par une enveloppe. Cependant, il est fragile hors de son enveloppe qui peut être détruit par des produits détergents comme le savon, la javel

6 Trois milieux ont été identifiés comme étant à haut risque. Ce sont : - Le milieu hospitalier, - Le milieu domestique - Le milieu funéraire L orateur a insisté sur le mode de contamination du virus qui se fait par contact avec une souche de la maladie. Aucun cas avéré d infection humaine n a encore été détecté en côte d ivoire en dépit des nombreuses rumeurs Prenant la parole à la suite du docteur ADJOGOUA, le professeur TIEMBRE Isaac a affirmé que le virus Ebola est extrêmement létal, surtout lorsque la prise en charge n est pas faite rapidement. A ce titre, cette maladie a été déclarée urgence de santé publique de portée mondiale. A ce jour, environ 3600 cas de décès ont été enregistrés. L homme contracte le virus après être renté en contact avec des animaux ou des personnes infectées. Le virus est présent dans le sang, la salive, les urines, la sueur, les selles, les secrétions génitales, le lait maternel, en un mot, dans tous les fluides corporels. Au nombre des facteurs de propagation, le Professeur a nommé la désinformation, la méconnaissance et l incompréhension de la maladie aussi bien chez les populations que chez les professionnels de la santé. Il a de ce fait invite tous les professionnels de la communication présent au titre de l assistance à se constituer en relais d information : Trois questions essentielles permettent de distinguer un cas suspect d une suspicion populaire: -Le sujet a t-il séjourné dans une zone ou sévit la maladie? -Le sujet Ebola? a t il eu un contact avec un animal mort ou un malade du virus -Le sujet a t-il eu un contact avec une personne décédé de la maladie? Afin de mieux cerner les différentes mutations du virus, l OMS a décidé de la terminologie Maladie à Virus Ebola (MVE) Dans la stratégie de lutte adoptée, le volet communication et éducatif occupe une part prépondérante. Outre cette donne, la prise en charge psychologique des malades, la surveillance épidémiologique et la création de centre de traitement sont autant de stratégies adoptées par le gouvernement ivoirien. La MVE donne un message fort sur le mode et l hygiène de vie. Elle invite à la responsabilité individuelle comme le veut les nouvelles notions de sécurité.

7 Les échanges ont porté sur les attitudes à avoir face à la prolifération des rongeurs notamment les souris dans les zones d habitation, la bonne utilisation des produits détergents comme l eau de javel, la place de la presse dans la stratégie d information contre ce fléau, les mesures préventives en milieu scolaire et les précédents relatifs à la MVE survenus en Les travaux en atelier Deux groupes de travail ont été constitués pour la phase des travaux en atelier. L objectif de ces travaux en atelier était de proposer les conditions de mise en œuvre du partenariat entre le S-CNS et les chargés de communication des structures de mise en œuvre dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de communication sur la RSS. A la suite de ces travaux en atelier les recommandations suivantes ont été formulées. Le groupe 1 a porté la réflexion sur 6 recommandations: la tenue d un séminaire gouvernementale sur la RSS ; la mise en place d un cadre institutionnel définissant le rôle des acteurs de la communication ; l instauration d un cadre d échanges périodiques ; la question de la prise en charge à disposition de moyen financier ; la mise en place d un partenariat avec les medias ; l appui du CICG dans la coordination des activités de communication sur la RSS. Le groupe 2 a écrit et proposé 9 recommandations Designer par arrêter les acteurs du tandem Intégrer les chargés de communication dans le groupe consultatif au même titre que les points focaux Créer un groupe de travail RSS dans tous les ministères Besoin de renforcement des capacités des chargés de communication Faire figurer la présence de tous les ministères dans la liste RSS Designer des points focaux dans les ministères qui n en n ont pas Intégrer les travailleurs sociaux dans la RSS Établir un cadre de collaboration réel entre les points focaux et les chargés de communication Clarifier le statut des sociétés privées de gardiennage Fait à Abidjan le mercredi 8 octobre 2014 Le Comité Scientifique

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