Approuvé le 8 décembre 2009 SCOT DU PAYS DE BROCELIANDE

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1 Approuvé le 8 décembre 9 SCOT DU PAYS DE BROCELIANDE Rapport de Présentation

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3 SOMMAIRE DIAGNOSTIC TERRITORIAL 5 I. POSITIONNEMENT DU TERRITOIRE 5 I.1. Situation du territoire 5 I.. Les relations avec les autres territoires 6 I.3. Les documents d urbanisme 7 EQUILIBRE SOCIAL DE L HABITAT 9 II. LA POPULATION 9 II.1. Une population en croissance 9 II.. Une population jeune et active 9 III. L HABITAT 1 III.1. La composition du parc de logements 1 III.. L occupation des logements 15 III.3. L habitat social 15 III.. La demande sociale 16 III.5. La construction neuve 16 III.6. Le schéma départemental des gens du voyage 17 III.7. Le foncier 17 IV. LE CONSTAT SUR L EQUILIBRE SOCIAL DE L HABITAT 1 LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE V. L INDUSTRIE, LE COMMERCE ET L ARTISANAT V.1. L emploi V.. Les secteurs d activités V.3. L industrie 5 V.. Le commerce 6 V.5. L artisanat 33 VI. LE TOURISME 3 VI.1. Un patrimoine naturel et culturel riche 3 VI.. Un tourisme de proximité, un tourisme local 3 VI.3. Offres et fréquentations touristiques faibles 3 VII. L AGRICULTURE 38 VII.1. L espace agricole et les productions 38 VII.. Les exploitations 38 VII.3. L emploi agricole 39 VII.. l'economie forestière 1 VIII. LE CONSTAT SUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

4 DEPLACEMENTS ET EQUIPEMENTS 3 IX. LES EQUIPEMENTS 3 IX.1. La structuration du territoire autour des services 3 IX.. Le niveau d équipement des communautés de communes 5 IX.3. L enseignement 5 IX.. Les services de santé 6 IX.5. L hébergement des personnes âgées 6 IX.6. Les équipements sportifs et culturels 7 IX.7. Aménagement numérique 51 X. DEPLACEMENTS ET TRANSPORTS 5 X.1. Les déplacements 5 X.. Les infrastructures routières 55 X.3. Les transports publics 57 X.. Les transports de marchandises 57 XI. LE CONSTAT DES DEPLACEMENTS ET EQUIPEMENTS 59 CONCLUSION 6 ARTICULATION AVEC LES AUTRES SCHEMAS, PLANS ET PROGRAMMES 6 XII. LES DOCUMENTS DE RANG SUPERIEUR 6 XII.1. le rapport de comptabilité 6 XII.. le rapport de prise en compte 63 XIII. LES DOCUMENTS DEVANT ETRE COMPATIBLES AVEC LE SCOT 6 ANNEXES 67 I A.3

5 PREAMBULE SYNDICAT MIXTE DU SCOT DU PAYS DE BROCELIANDE Le SCOT est un document élaboré selon le Code de l Urbanisme et le contenu du rapport de présentation est défini par l article R1 : «Le rapport de présentation : 1º Expose le diagnostic prévu à l'article L. 1 1 ; º Décrit l'articulation du schéma avec les autres documents d'urbanisme et les plans ou programmes mentionnés à l'article L. 1 du code de l'environnement avec lesquels il doit être compatible ou qu'il doit prendre en considération ; 3º Analyse l'état initial de l'environnement et les perspectives de son évolution en exposant, notamment, les caractéristiques des zones susceptibles d'être touchées de manière notable par la mise en œuvre du schéma ; º Analyse les incidences notables prévisibles de la mise en œuvre du schéma sur l'environnement et expose les problèmes posés par l'adoption du schéma sur la protection des zones revêtant une importance particulière pour l'environnement telles que celles désignées conformément aux articles R à R. 1 (1) du code de l'environnement ainsi qu'à l'article du décret nº du 8 novembre 1 relatif à la procédure de désignation des sites Natura ; 5º Explique les choix retenus pour établir le projet d'aménagement et de développement durable et le document d'orientations générales et, le cas échéant, les raisons pour lesquelles des projets alternatifs ont été écartés, au regard notamment des objectifs de protection de l'environnement établis au niveau international, communautaire ou national et les raisons qui justifient le choix opéré au regard des autres solutions envisagées ; 6º Présente les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser s'il y a lieu, les conséquences dommageables de la mise en œuvre du schéma sur l'environnement et rappelle que le schéma fera l'objet d'une analyse des résultats de son application, notamment en ce qui concerne l'environnement, au plus tard à l'expiration d'un délai de dix ans à compter de son approbation ; 7º Comprend un résumé non technique des éléments précédents et une description de la manière dont l'évaluation a été effectuée ; 8º Précise le cas échéant, les principales phases de réalisation envisagées. Le rapport de présentation peut se référer aux renseignements relatifs à l'environnement figurant dans d'autres études, plans et documents.» Le présent cahier comporte les éléments correspondant aux alinéas 1 ) diagnostic territorial et ) articulation avec les autres documents d urbanisme, plans et programmes. Le diagnostic territorial a été rédigé en juin 5. Certaines mises à jour ont été effectuées en novembre 7 et janvier 8. L état initial de l environnement et l évaluation environnementale font l objet d un autre cahier qui comporte également la justification des choix, les mesures compensatoires et les indicateurs. I A.

6 DIAGNOSTIC TERRITORIAL I. POSITIONNEMENT DU TERRITOIRE I.1. SITUATION DU TERRITOIRE Le Pays de Brocéliande est constitué de 5 communautés de Communes : - la Communauté de Communes de Brocéliande, - la Communauté de Communes du Pays de Bécherel, - la Communauté de Communes du Pays de Montauban de Bretagne, - la Communauté de Communes du Pays de Montfort, - la Communauté de Communes du Pays de Méen le Grand. Le périmètre du SCoT inclut également la commune du Verger qui fait partie de Rennes Métropole, ce qui donne un ensemble de communes comptant 5878 habitants (R.G.P. 1999) et 936 km². Mise à jour (janvier 8) Les derniers éléments des recensements de population réalisés de à 6, indique une population de habitants au 1 er janvier 5, soit un taux d évolution annuelle de 1,73% contre,51% pour l ensemble de la région Bretagne. «La croissance démographique est particulièrement forte sur la partie Est de la Bretagne. Les Pays de Brocéliande, Vallons de Vilaine et Vitré connaissent des taux d évolution plus de deux fois supérieurs à celui de la Région. Ce phénomène témoigne de l étalement urbain et périurbain du pôle de Rennes et du dynamisme propre de ces pays. L évolution de ces derniers s explique par un solde particulièrement élevé et un solde migratoire également supérieur à la moyenne régionale». (Octant n 111 Janvier 8) Le territoire du SCoT est situé à l ouest du département d Ille et Vilaine, dans l arrondissement de Rennes, et comporte cinq cantons : le canton de Bécherel, le canton de Montfort sur Meu (sans les communes de La Chapelle Thourault et Clayes), le canton de Montauban de Bretagne, le canton de Plélan le Grand, le canton de Méen le Grand. Le pays ne comporte pas d agglomération importante et peut être qualifié d espace multipolaire avec les 3 pôles de Montauban de Bretagne, Montfort sur Meu et Méen le Grand. Il est sous l influence urbaine de Rennes puisque près des deux tiers des communes appartiennent à l aire urbaine de Rennes. Cependant la partie sud ouest est plutôt à dominante rurale. Plusieurs axes routiers majeurs assurent une très bonne desserte routière : la RN 1 Rennes/ Brieuc, la RN Rennes/Lorient et la RN 16 Centre Bretagne. La RN 137 Rennes/St. Malo tangente le territoire au nord. La ligne de chemin de fer Rennes/ Brieuc permet la desserte par le T.E.R. I A.5

7 I.. LES RELATIONS AVEC LES AUTRES TERRITOIRES En ce qui concerne l organisation territoriale de l emploi, d après la cartographie établie par la DATAR en 1, les deux tiers du territoire du SCOT du Pays de Brocéliande sont situés dans l aire urbaine de Rennes, à l est d une ligne allant de Bécherel au nord à Maxent au sud. Deux pôles d emplois de l espace rural : Méen le Grand et Montauban de Bretagne ont une certaine attraction sur leurs communes voisines. Mais en dehors de la métropole régionale, il n y a pas d interaction notable avec l extérieur du territoire en terme d emploi. Pour ce qui est de l organisation territoriale des services, l inventaire communale 1998 a identifié un certain nombre de pôles de services intermédiaires, repris par la DATAR dans l étude citée ci dessus. Ce sont les suivants : Bécherel, Romillé, Méen le Grand, Montauban de Bretagne, Montfort sur Meu et Plélan le Grand. A l extérieur du Pays, Tinténiac et Mordelles sont des pôles de services pour les communes qui leur sont le plus proche. Les villes de Dinan et Ploërmel n entrent pas en concurrence pour les services urbains avec Rennes sur l ensemble du Pays. TERRITOIRES VECUS Organisation territoriale de l emploi et des services Source DATAR 1 Territoires vécus, édition, INSEE/DATAR I A.6

8 I.3. LES DOCUMENTS D URBANISME Le département d Ille et Vilaine est entièrement couvert par les procédures de SCOT, avec des avancements très décalés dans le temps. ETAT D AVANCEMENT DES SCOT au 1 er novembre 7 DRE Bretagne/DAH I A.7

9 Situation SCOT de BROCELIANDE source : IGN 5 ème.5 5 km sce/7

10 EQUILIBRE SOCIAL DE L HABITAT II. LA POPULATION II.1. UNE POPULATION EN CROISSANCE Sur un espace de 936 km² de superficie, la population du territoire du SCoT est de habitants (PSDC RGP 1999) poursuivant une croissance amorcée en Depuis 1999 l évolution annuelle de la population a été de 1,3% tandis que celle de la Bretagne est de,59%. Le Pays de Brocéliande représente environ % de la population du territoire régional. Avec 6 habitants par km², la densité est inférieure de habitants à celle de la Région Bretagne. Depuis 1968, le gain de population est d environ 15 habitants. C est entre 1975 et 198 que cette croissance a été la plus forte, à peu près % par an. Depuis 198 ce taux est redescendu à,8% par an (,8% pour la dernière période 199/99). Cette croissance est due au solde migratoire. Ce dernier était très négatif sur la période 196/1968, mais il est redevenu positif dès la période intercensitaire suivante, pour atteindre un pic entre 1975 et 198. Il est de 11 personnes pour la dernière période. Le solde naturel ne subit pas les mêmes variations. Après une courbe descendante jusqu en 198, il est de nouveau en croissance, favorisé par l apport de population familiale à partir de cette période. Lors du dernier recensement ce solde était de 178 personnes. Mise à jour (janvier 8) Les derniers éléments des recensements de population réalisés de à 6, indique une population de habitants au 1 er janvier 5, soit un taux d évolution annuelle de 1,73% contre,51% pour l ensemble de la région Bretagne. «La croissance démographique est particulièrement forte sur la partie Est de la Bretagne. Les Pays de Brocéliande, Vallons de Vilaine et Vitré connaissent des taux d évolution plus de deux fois supérieurs à celui de la Région. Ce phénomène témoigne de l étalement urbain et périurbain du pôle de Rennes et du dynamisme propre de ces pays. L évolution de ces derniers s explique par un solde particulièrement élevé et un solde migratoire également supérieur à la moyenne régionale». (Octant n 111 Janvier 8) II.. UNE POPULATION JEUNE ET ACTIVE La population du territoire du SCoT de Brocéliande est relativement jeune, avec 7% de moins de ans (Bretagne %) ce qui produit un indice de jeunesse de 1,8 nettement plus élevé que celui de la région (1,1). Cette jeunesse est à moduler par secteurs, puisque, malgré des travaux d agrandissement dans les Population Sans Double Compte I A.9

11 écoles, les effectifs scolaires baissent de,% dans le Pays sur la période tandis qu à l échelle de la Bretagne la baisse est légèrement plus élevée (1,%). La part des ménages imposés est de 5,9% ce qui est inférieur à la moyenne régionale. Mise à jour (janvier 8) «L indicateur de vieillissement, qui rapporte la population des plus de 6 ans à celle des moins de ans, témoigne de la diversité des pays bretons. Les Pays de Brest, Brocéliande, Rennes, Vallons de Vilaine et Vitré sont les plus jeunes. La population des 19 ans et mois y est plus présente que celle des 6 ans et plus. Depuis 1999, les Pays de Brest et Rennes connaissent un léger vieillissement alors que ceux de Brocéliande, Vallons de Vilaine et vitré rajeunissent» (Octant n 111 Janvier 8) La population active, soit personnes (RGP 1999), est en très forte augmentation. La croissance a été deux fois plus forte que sur la Région Bretagne. Cette augmentation du nombre des actifs est pour partie endogène, car les nouveaux arrivants dans le Pays ne représentent que % des 3 actifs supplémentaires. Mise à jour (janvier 8) «Les Pays de Vitré, Vallons de Vilaine, Brocéliande et, dans une moindre mesure, Fougères présentent une part de population active plus élevée que la moyenne reflétant ainsi la périurbanisation des jeunes actifs en bordure du Pays de Rennes» (Octant n 111 Janvier 8) Le taux d activité de la population féminine a augmenté de 3 points entre les deux recensements pour passer de 37,6% à,6% ; mais la part des femmes reste stable dans l ensemble de la population active, c est à dire environ 5%. L évolution des catégories socioprofessionnelles est assez notable entre les deux recensements. Si les agriculteurs ont diminué de %, les cadres et professions intellectuelles et les professions intermédiaires ont augmenté respectivement de 5% et 9%. I A.1

12 Evolution de la population active pop.active hommes pop.active femmes population masculine population féminine Cette population active comportait 193 chômeurs en 1999, soit un taux de 7,5%, en baisse d un demi point depuis 199. La baisse a été surtout significative entre juin 1999 et juin 1( 567 demandeurs d emploi). Tandis que le nombre de demandeurs d emploi a peu évolué depuis.cependant la tendance s est inversée entre et 3 (+ 316 demandeurs d emploi) avec 3 années consécutives de montée du chômage. Il reste encore peu élevé en proportion des actifs et inférieur à celui de la zone d emploi de Rennes. (6,% au 31/1/3). Ainsi les chômeurs du Pays de Brocéliande représentent 1,5% de l ensemble des demandeurs d emplois de la Région pour % de sa population. 1 catégories soci-professionnelles (hors retraités et sans activité professionnelle) agriculteurs exploitants artisans commerçants chefs d'entr. cadres professions intell. sup. professions intermédiaires employés ouvriers I A.11

13 Taux annuel de variation de la population 199/1999 SCOT de BROCELIANDE De -1 à - 5% De - 5 à % De à 1% De 1 à % Plus de % -Méen le-grand -Onen la-chapelle Quédillac Le Crouais M'Hervon Montauban-de-Bretagne Boisgervilly Médréac Uniac Landujan -Pern La Chapelle du-lou Le Lou du Lac Bédée La Nouaye Irodouer Bécherel Miniac sous Bécherel Cardroc Pleumeleuc Romillé Les Iffs La Chapelle Chaussée Brieuc des Iffs Langan Maugan Gaël Muel Bléruais Gonlay Iffendic Montfort sur-meu Bréteil -Malon sur-mel Talensac Péran Monterfil Le Verger Paimpont Treffendel -Thurial Bréal sous-montfort Plélan-le-Grand Maxent..8 km sce/7

14 Population en 7 à partir des recensements généraux et complémentaires 6 5 habitants 3 habitants 7 habitants habitants plus de 35 hab. entre 5 et 399 hab. entre 15 et 99 hab. moins de 15 hab. -Méen le-grand Quédillac Le Crouais -Onen la-chapelle M'Hervon Montauban-de-Bretagne Boisgervilly Médréac Uniac Landujan -Pern La Chapelle du-lou Le Lou du Lac Bédée La Nouaye Bécherel Irodouer Miniac sous Bécherel Cardroc Pleumeleuc Les Iffs La Chapelle Chaussée Romillé Brieuc des Iffs Langan Gaël Muel Maugan Bléruais Gonlay Iffendic Montfort sur-meu Bréteil -Malon sur-mel Talensac Péran Monterfil Le Verger Paimpont Treffendel -Thurial Bréal sous-montfort Plélan-le-Grand sources : INSEE Maxent..8 km

15 III. L HABITAT III.1. LA COMPOSITION DU PARC DE LOGEMENTS Le parc de logements a connu une très forte croissance depuis 1968, environ 65%. D après le RGP 1999, il y a 953 logements sur le territoire du SCoT. Les résidences secondaires, dont le nombre ne cesse de diminuer depuis 198, ne représentent plus que 7% de ce parc et les logements vacants 6%. En effet environ % des résidences secondaires de 199 sont devenues des résidences principales. Le nombre de logements vacants, qui avait augmenté jusqu en 199, a également fortement diminué sur la dernière période. En conséquence de cette augmentation du parc, les logements construits avant 199 ne représentent plus que 39% de l ensemble, alors que ceux construits depuis 1975 en constituent %. Le parc des résidences est donc relativement confortable, avec seulement % des logements sans douches, ni baignoires, et 5 % sans chauffage central. Le nombre de logements commencés est en constante augmentation depuis. 33% de ces chantiers concernent des logements collectifs. Le rythme de construction reste bien plus rapide (+1%) que dans le Pays de Rennes (18%). 1 évolution de la taille des logements Rés. princ. 1 pièce Rés. princ. de pièces Rés. princ. de 3 pièces Rés. princ. de pièces Rés. princ. de 5 pièces ou plus Compte tenu du fait que le Pays de Brocéliande est une zone rurale, le parc est constitué à 9,6% de logements individuels. Les collectifs sont situés pour la plupart sur Montfort sur Meu, Méen le Grand et Montauban de Bretagne. En ce qui concerne les résidences principales, ce sont surtout des, 5 pièces et plus, pour 68% d entre elles. I A.1

16 III.. L OCCUPATION DES LOGEMENTS D après les chiffres du R.G.P. 1999, avec résidences, les propriétaires représentent près de 7% du parc. Dans le parc locatif, les logements sociaux forment environ 7,6% des résidences taux faible au regard du taux des communes rurales du département : 15,8%. Depuis cette date, le Pays semble vouloir combler ce déficit avec une augmentation du parc 3% constaté en. Suivant la tendance nationale au «desserrement» des ménages, le nombre de personnes par logement est passé de,85 en 199, à,6 en Ce desserrement a occasionné 8,6% de l augmentation des résidences. Le nombre de ménages de 1 ou personnes a cru sensiblement entre les deux recensements, au détriment de ceux de 5 personnes et plus. Les premiers résultats du RGP confirment la poursuite de ce phénomène avec,3 personnes par logement en moyenne nationale 3. évolution de la taille des ménages Ménages 1 personne Ménages personnes Ménages 3 personnes Ménages personnes Ménages 5 personnes Ménages 6 personnes ou plus III.3. L HABITAT SOCIAL En 5, avec un peu moins de logements HLM, le territoire du SCoT a toujours un taux très faible de logements sociaux, soit environ 8% contre 15,8% pour le département. Cinq communes n ont aucun logement social. Cependant il est en augmentation régulière, mais le retard est loin d être comblé. Les opérateurs sont nombreux : l OPAC 35, l OPHLM Ville de Rennes, Aiguillon Construction, Espacil Habitat, S.A. Les Foyers et S.A. La Rance. Certaines communes ont des logements sociaux gérés soit directement, soit par le C.C.A.S. et quelques uns par les communautés. 3 INSEE Première janvier 5 I A.15

17 Ce parc est surtout localisé à l est du Pays et en rive de la RN 1. Si la plupart de communes ont un parc de logements sociaux, qui représente moins de 1% des résidences principales, pour sept d entre elles il est supérieur à ce taux. Cela paraît normal sur les pôles de Bécherel, Montfort sur Meu et Méen le Grand. Par contre on peut s interroger sur l importance du parc sur d autres communes rurales, comme Boisgervilly ou Monterfil. III.. LA DEMANDE SOCIALE Il n existe pas d observatoire de la demande de logement social et d exploitation statistique du numéro unique, comme cela existe dans la région Pays de Loire (géré par l AROHLM). Un observatoire de l habitat de l aire urbaine de Rennes est animé par l AUDIAR. Son champ d observation porte sur la moitié est du Pays de Brocéliande. La DDE Ille et Vilaine recense au 31 décembre, 986 demandeurs en instances, avec une forte pression sur Montfort sur Meu et les communes alentour. Cette pression est aussi sensible sur Montauban de Bretagne et Méen le Grand, en fait le long de la RN 1. Elle est très faible, voire inexistante sur la couronne ouest, excepté Méen le Grand. Mais cela doit être pondéré par le fait que les demandeurs ne déposent des dossiers que dans les communes ayant déjà un parc social. III.5. LA CONSTRUCTION NEUVE Le rapport de l AUDIAR sur le logement neuf indique que la progression de la construction neuve est constante dans la couronne de l aire urbaine. Cet essor s accompagne d une évolution des types de constructions : l individuel pur diminue au bénéfice des maisons groupées. D après les statistiques de la D.R.E., le rythme de la construction neuve est de plus de 6 logements par an pour les quatre dernières années. C est sur la commune de Montfort sur Meu qu on a le plus grand nombre de logements autorisés sur cette période. Mais si on calcule le ratio entre logements autorisés et nombre de résidences principales recensées en 1999, c est La Chapelle du Lou qui accueille le pourcentage le plus élevé. Dans une approche plus globale, les communes les plus à l est et situées le long des axes routiers ont la plus forte pression, bien qu il y ait une nouvelle tendance vers l ouest et les communes plus rurales, comparée à une analyse effectuée en. Sur ces quatre années de référence, en ce qui concerne les lotissements, c est sur Montfort (19 lots) également que l on retrouve la plus forte production, suivie par ses voisines Iffendic (7 lots) et Talensac (71 lots). Méen le Grand et Romillé ( lots en 1, 56 lots en 3) ont créé plus de 8 lots. Dans le département, d après une étude de l ADIL 5, le Pays de Brocéliande se remarque par une offre très tendue, avec un taux de renouvellement de cette offre de 8% et un stock estimé à mois (au 31 décembre ). En Le logement neuf en 3, AUDIAR, août 5 Six ans d'accession à la propriété ADIL, avril I A.16

18 conséquence de cette tension du marché les prix sont les plus élevés du département, hormis Rennes. En interne au pays de Brocéliande, les prix sont les plus élevés sur les C.C.de Montfort et de Brocéliande, et les plus faibles sur les C.C. de Montauban de Bretagne et de Méen le Grand. La taille moyenne des terrains est assez vaste approchant 7 m² par lot. III.6. LE SCHEMA DEPARTEMENTAL DES GENS DU VOYAGE Le schéma départemental des gens du voyage a été arrêté par le préfet en novembre 3. Il est prévu la réalisation d une aire d accueil de 16 emplacements sur la commune de Montfort sur Meu. III.7. LE FONCIER Une étude réalisée pour l Observatoire du Pays de Brocéliande en 6 a enquêté sur le déclin des politiques communales d action foncière et la montée en puissance des opérateurs immobiliers. La deuxième partie de ce travail universitaire portait sur les motivations de l action foncière ou de son absence. En conclusion, un certain nombre de pistes de réflexion pour résoudre les problèmes recensés étaient ouvertes, certaines dépassant les compétences et les moyens d action des collectivités territoriales (communes, communautés et syndicat de pays). En même temps il était proposé de : - Clarifier les objectifs de l action foncière pour une intervention opportune, - Légitimer et utiliser l expropriation, - Organiser une action foncière intercommunale sur le long terme, - Inscrire dans le SCoT les objectifs de cette action foncière, - Réfléchir à une densification maîtrisée de l urbanisation, - Faire évoluer les fiscalités concernées. 6 Les politiques foncières communales- A.Degouys I A.17

19 SCOT de BROCELIANDE Nombre de logements autorisés / De à 9 De 1 à 9 De 3 à 7 De 75 à 15 Plus de 15 Quédillac Médréac Landujan -Pern Irodouer Bécherel Miniac sous Bécherel Cardroc Les Iffs La Chapelle Chaussée Brieuc des Iffs Le Crouais M'Hervon La Chapelle du-lou Romillé Langan -Méen le-grand Montauban de-bretagne Le Lou du Lac -Onen la-chapelle Boisgervilly Uniac La Nouaye Bédée Pleumeleuc Gaël Muel Bléruais Maugan Gonlay Iffendic Montfort sur-meu Bréteil -Malon sur-mel Talensac Péran Monterfil Le Verger Paimpont Treffendel -Thurial Bréal sous-montfort Plélan-le-Grand Maxent source : D.R.E. Bretagne..8 km sce/7

20 Taux de logements autorisés / SCOT de BROCELIANDE Pourcentage de logements autorisés / sur nb R.P. en 1999 De à 5% De 5 à 1 % De 1 à 15% De 15 à % Plus de % -Méen le-grand -Onen la-chapelle Quédillac Le Crouais M'Hervon Montauban-de-Bretagne Boisgervilly Médréac Uniac Landujan -Pern La Chapelle du-lou Le Lou du Lac Bécherel Bédée La Nouaye Irodouer Miniac sous Bécherel Cardroc Pleumeleuc Romillé Les Iffs La Chapelle Chaussée Brieuc des Iffs Langan Maugan Gaël Muel Bléruais Gonlay Iffendic Montfort sur-meu Bréteil -Malon sur-mel Talensac Péran Monterfil Le Verger Paimpont Treffendel -Thurial Bréal sous-montfort Plélan-le-Grand Maxent source : D.R.E. Bretagne..8 km sce/7

21 SCOT de BROCELIANDE Nombre de logements sociaux en 7 par commune Pays : logements sociaux et plus () Entre 5 et 99 logements sociaux (7) Entre 5 et 9 logements sociaux (1) Entre 1 et logements sociaux (8) Entre 1 et 9 logements sociaux (8) Pas de logement social (7) Médréac Landujan Pern Bécherel Miniac sous Bécherel Cardroc Les Iffs La Chapelle Chaussée Brieuc des Iffs Irodouer -Méen le-grand Quédillac Le Crouais M'Hervon Montauban de-bretagne La Chapelle du-lou Le Lou du Lac Bédée Romillé Langan -Onen la-chapelle Boisgervilly Uniac La Nouaye Pleumeleuc Maugan Breteil Gaël Muel Bléruais -Malon sur-mel Gonlay Iffendic Montfort sur-meu Talensac,5 km 5 km Paimpont Péran Plélan-le-Grand Treffendel Maxent Monterfil Le Verger -Thurial Source : IGN / DRE Bréal sous Montfort Syndicat Mixte du SCoT du Pays de Brocéliande - Décembre 8

22 IV. LE CONSTAT SUR L EQUILIBRE SOCIAL DE L HABITAT LA POPULATION Une densité encore faible Une croissance démographique forte Des changements importants: classes d âges, catégories socioprofessionnelles Des migrations journalières qui augmentent L HABITAT Le desserrement de l agglomération rennaise La rareté et la cherté du foncier La pression foncière qui se décale vers l ouest Le parc social peu important et une demande mal connue La construction neuve en lotissements pour l accession consommant l espace naturel Les enjeux Quel rythme de croissance pour le Pays? Comment organiser l accueil des nouvelles populations: combien de constructions neuves? quels services à l ensemble de la population? quelles localisations préférentielles? Comment maîtriser le foncier? Quel rythme d ouverture à l urbanisation? Quelles formes d habitat moins consommatrices d espaces, et en quels endroits? Comment équilibrer l offre entre l accession à la propriété et le locatif? Comment connaître la demande locative sociale? Quelle offre de logements pour les jeunes travailleurs, pour les personnes âgées? I A.1

23 LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE V. L INDUSTRIE, LE COMMERCE ET L ARTISANAT V.1. L EMPLOI D après les chiffres du RGP 1999, il y avait emplois dans le Pays de Brocéliande, pour une population active de habitants. L emploi salarié a augmenté de,6% entre 1 et 3 (soit 1 nouveaux actifs). A l échelle régionale la hausse est moindre avec 1,% d augmentation. Cette augmentation se fait principalement dans le tertiaire au détriment de l agriculture et de l industrie. Ainsi les services comptabilisent le plus grand nombre d emplois (1,6%) devant l industrie (,6%). Les emplois agricoles, bien que toujours en diminution représentent encore 15% de l ensemble, ce qui est le double de la part régionale (7,7%). La création entre les deux recensements de 113 emplois donne un taux de croissance de 9,%. Cette croissance a été notable dans l industrie (+ 31,%), mais surtout dans le commerce (+37,%) et également dans les services (+9,8%). Depuis le recensement l INSEE a produit une estimation qui ne porte que sur l emploi salarié, faisant état de 119 emplois créés. Cette évolution, un peu plus marquée que celle de la période intercensitaire, ne modifie pas la répartition : ce sont toujours les services, devant l industrie essentiellement l agroalimentaire qui sont les plus dynamiques. On a constaté cependant une décroissance notoire de l emploi sur les zones les plus rurales du Pays, comme Gaël, Onen la Chapelle, et plus particulièrement sur les communes situées au nord du Pays, où l évolution de l emploi entre 199 et 1999 est largement négative : 3% à 15% pour les territoires qui se trouvent au delà de l axe Bédée Médréac. A noter enfin, une mobilisation des acteurs locaux autour de la question de l emploi avec la présence de «Brocéliande Emploi» et la création de Points Accueil Emplois sur chaque communauté de communes du Pays. V.. LES SECTEURS D ACTIVITES Le RGP 1999 recensait un seul établissement de plus de employés, deux établissements de à 399 emplois tous dans le secteur agroalimentaire et 5 établissements de 1 à 199 emplois. Au 31 décembre 1, il y avait toujours un établissement de + emplois, mais la deuxième catégorie compte un établissement de plus et la troisième 3 établissements supplémentaires, dont deux établissements scolaires et un commerce. Ces grands établissements ne concernent que 7,7% des emplois salariés dont la majorité (6,3%) sont répartis dans des entreprises de moins de cinquante salariés. I A.

24 Le Pays de Brocéliande a choisi, dans son Plan de Développement 6, une stratégie visant une répartition multipolaire des activités économiques sur le Pays. Ce plan a identifié des zones et des secteurs géographiques dits «zones d intérêt Pays» de développement économique prioritaires. La localisation de ces grandes unités constitue les principaux pôles d emplois : Montfort sur Meu, Montauban de Bretagne et Méen le Grand. Bédée, Plélan le Grand et Bréal sous Monfort sont des pôles d emplois secondaires. La zone logistique de la Brohinière représente un pôle d activités important au regard des entreprises déjà existantes. Les équipements et la facilité de desserte qu elle offre (rail, route) représentent des atouts source de forte attractivité. Une extension de cette zone est envisagée. Zones structurantes Parc de Haute Bretagne Méen Le Grand Parc d'activité du Chêne Gaël Parc d'activité de La Brohinière Montauban de Bretagne Surfaces existantes Potentiel urbanisable à vocation économique en ha (y compris surface en 1AU et AU) 87 ha 8 ha 55 ha 9 ha 5 ha 8 ha TOTAL Zones Structurantes 167 ha 139 ha Zones d'appui Agroparc de La Lande Fauvel Méen Le Grand Zone de La Gautrais Montauban de Bretagne Zone Le Quilliou Continuité zone activité de Tinteniac Brieuc des Iffs Zones Bédée / Pleumeleuc Gabrielles / La Touche / La Retaudais / Le Bas Houet / Meslier / Auze / Auzenais / Bail / domaine Bédée / Pleumeleuc Zones Bédée / Montfort / Breteil Surfaces existantes Potentiel urbanisable à vocation économique en ha (y compris surface en 1AU et AU) 1 ha 1 ha 5 ha ha ha 1 ha 53 ha 6 ha ha 1 ha I A.3

25 Gouzet / Launay Quéro / La Nouette Bédée / Montfort Breteil Parc d'activité du Hindret Bréal sous Montfort Zone de la Pointe Plélan Le Grand 9 ha 38 ha ha 3 ha TOTAL Zones d'appui 181 ha 17 ha Zones locales Zone de la ville Mouart Quédillac Zone du Clos Mahé Muël Zone de Boisgervilly Boisgervilly Zone d'irodouer Irodouer Zone de Romillé Romillé Zone de la Corderie Iffendic Zone du Chesnot Breteil Parc d'activités du Pommeret Bréal sous Montfort Zone du châtelet Thurial Zones de La Gare et du Breil Tréffendel Parc d'activités des Noës Plélan Le Grand Surfaces existantes Potentiel urbanisable à vocation économique en ha (y compris surface en 1AU et AU) 3 ha 5 ha h 3 ha ha 3 ha 7 ha ha 6 ha 17 ha 13 ha 5 ha 3 ha 3 ha 11 ha ha 7 ha 1 ha 1 ha 15 ha 18 ha 3 ha TOTAL Zones Locales 8 ha 66 ha Le secteur tertiaire est plus faiblement représenté que sur le territoire régional. Il est dominé par les professions libérales. Cependant il existe quelques entreprises du secteur informatique, bureau d études, services à l industrie. Le tertiaire supérieur est absent. 7 7 Etude de marché sur l immobilier tertaire-katalyse- I A.

26 En 8, le G.I.P. Pays de Brocéliande a fait un nouveau recensement des zones et des disponibilités dans chaque communauté. Surfaces existantes Surfaces retenues (1AU/AU) CC du Pays de St Méen Le G. 159 ha 77 ha Rennes Métropole ha 5 ha CC de Brocéliande 117 ha 1 ha CC du Pays de Montauban de B. 5 ha 17 ha CC du Pays de Bécherel 13 ha 7 ha Montfort Communauté 89 ha 66 ha PAYS DE BROCELIANDE 3 ha 38 ha V.3. L INDUSTRIE En, près d un emploi sur quatre dans le Pays de Brocéliande relève du secteur industriel. L activité industrielle se concentre essentiellement sur deux pôles qui représentent à eux seuls 6 % des emplois industriels du Pays : La Communauté de Communes de Montauban de Bretagne représente le principal pôle industriel et connaît une hausse constante des emplois. Les établissements se situent essentiellement sur la ville même de Montaubande Bretagne. La Communauté de Communes de Montfort sur Meu où la répartition des activités est plus équilibrée sur le territoire. Bédée, malgré un relatif recul reste un pôle industriel non négligeable sur ce secteur. Il est à noter cependant que le territoire de la Communauté de Communes de Brocéliande a bénéficié d une forte augmentation de l activité et des emplois industriels depuis la fin des années 9 (notamment sur Plélan le Grand), tandis que le Pays de Bécherel garde un faible poids industriel. L industrie agroalimentaire (I.A.A.) reste le principal domaine d activité représenté sur le territoire du Pays de Brocéliande en 3. Avec 3 établissements, l I.A.A. s impose devant l industrie des métaux et mécanique qui en compte 31. I A.5

27 Principaux secteurs industriels représentés Secteur industriel Part des établissements en % Part des salariés en % I.A.A Métaux/mécanique 8 11 Imprimerie/édition/repro 13 Bois/ameublement 1 3 Electricité,5 Source : C.C.I. 35 septembre 5 En ce qui concerne l emploi, le secteur des I.A.A. représentait en, 3% de l emploi total du Pays et correspond au secteur qui connaît la plus forte progression. L I.A.A. est essentiellement implantée autour des grands pôles que sont Montauban de Bretagne, Montfort sur Meu, Bécherel et Méen le Grand. On note une sous représentation de l industrie des biens de consommation, d équipement ou des biens intermédiaires. Le secteur industriel est ainsi essentiellement concentré autour de l axe Montfort / Montauban de Bretagne / St.Méen le Grand, qui découpe le Pays en deux parties, laissant le sud et le nord du Pays très peu investi par ce type d activité. En 7, le Pays de Brocéliande a vu se réaliser un projet de plate forme logistique à Gaël. Il devrait bénéficier d autres projets : une usine de déconstruction automobile à Méen le Grand, actuellement en cours de réflexion, cela entraînant la création d environ un millier d emplois. V.. LE COMMERCE A. UN PREMIER CONSTAT En octobre (source : CDEC, ODEC Ille et Vilaine), 89 commerces étaient identifiés sur le territoire du Pays de Brocéliande, dont 3 de détail, 98 de gros. Seul le pôle de Montfort emploie plus de 1 salariés, tous types de commerces confondus. De façon générale on observe sur le Pays de Brocéliande : une bonne corrélation entre le nombre de commerces et le nombre d habitants dans le Pays, à l image du reste du département une augmentation du nombre de commerces (+ 6 au total en 3) au niveau des surfaces commerciales > 3 m, une absence d hypermarché, de hard discount ou de grands magasins. Au regard de la densité du plancher commercial pour 1 habitants, le Pays de Brocéliande a un des taux les plus bas d Ille et Vilaine. Pour le taux de couverture de l offre et de la demande, le Pays de Brocéliande connaît une réelle faiblesse au niveau de l équipement de la personne (%) et dans une moindre mesure le domaine de la culture loisirs (6%), secteurs où Rennes montre son attractivité la plus grande. Les autres champs tels que alimentaire (9%), l équipement de la maison, l hygiène beauté vont tous au delà I A.6

28 des 6%. La part des supermarchés est satisfaisante. Commerces de Solde création/ Commerces plancher détail Radiation de + de 3 m commercial en m Magasins généralistes 5 Supermarchés Alimentations spécialisées 8 6 Equipement de la maison 7 Equipement de la maison Equipement de la personne 37 1 Equipement de la 513 personne Hygiène santé 75 1 Culture / loisirs 537 Autres 76 Total 3 6 Total 3966 Source, CDEC décembre 3 En termes d'attractivité l'étude ODESCA8 a identifié quatre pôles d'attractivité commerciale, qualifiés de pôles relais : Montauban de Bretagne, Montfort, St.Méen le Grand et Plélan et deux pôles relais secondaires : Pleumeleuc et Bréal. De cette analyse, ressort le rôle de pôle majeur de Montfort sur Meu qui a une potentialité de zone de chalandise lui permettant une croissance forte, justifiant sa forte croissance. 8 ODESCA Cible Marketing, janvier 1 I A.7

29 Zones de chalandise des principaux pôles économiques SCOT de BROCELIANDE -Pern Bécherel Miniac sous Bécherel Cardroc Les Iffs Brieuc des Iffs Médréac La Chapelle Chaussée -Méen le-grand -Onen la-chapelle Quédillac Le Crouais M'Hervon Montauban-de-Bretagne Boisgervilly Uniac Landujan La Chapelle du-lou Le Lou du Lac Bédée La Nouaye Irodouer Romillé Pleumeleuc Langan Maugan Gaël Muel Bléruais Gonlay Iffendic Montfort sur-meu Bréteil -Malon sur-mel Talensac Péran Monterfil Le Verger Paimpont Treffendel -Thurial Bréal sous-montfort Plélan-le-Grand Maxent source : O.D.E.S.C.A. octobre..8 km sce/7

30 B. LA CHARTE DE DEVELOPPEMENT COMMERCIAL DU PAYS DE BROCELIANDE (Document élaboré par la CCI en novembre 7) La Charte de Développement Commercial du Pays de Brocéliande a été signée en 1 et au terme de 5 années le constat a été fait que les principes ont été respectés et que l offre commerciale du territoire est plutôt équilibrée. Une nouvelle charte commercial du Pays de Brocéliande a été signée le 6 février 8 et constitue pour une période de 5 ans (8 1), un document de référence à partir duquel les projets d'extension et d'implantations pourront être appréhendés. Elle partait du diagnostic suivant : 1) UNE OFFRE COMMERCIALE STABLE ET EQUILIBREE L évolution du nombre de cellules commerciales est caractérisée par : Une progression importante du nombre de commerces en activité. Au 31 décembre 6, 656 points de vente se répartissent de façon homogène sur le territoire. Le nombre des cellules commerciales s est accru de 5 commerces depuis 1. Sur la période ; 158 cellules commerciales disparaissent 1 apparaissent Le poids prépondérant du commerce traditionnel. Les commerces dont la surface de vente est inférieure à 3 m² représentent 9% du nombre total de commerces du pays. Au 31 décembre 6, on dénombre Grandes et Moyennes Surfaces (GMS), soit 3 points de vente de plus qu en 1. Mais dans le même temps, la surface de vente a augmenté de plus de 56%. Un secteur qui emploie 1/5 des salariés du pays. Avec emplois au 31 décembre 6, le commerce représente 1% de l emploi salarié du pays de Brocéliande L évolution du plancher commercial est la suivante : Un plancher commercial très concentré Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) cumulent près de 55 m² de plancher commercial : 13 supermarchés, dont 1 hard discounter alimentaire, magasins d équipement de la maison, 6 magasins d équipement de la personne, 1 magasin de culture et loisirs. Les Grandes Surfaces Alimentaires (GSA) représentent 3% du plancher commercial des GMS du Pays. Les Grandes Surfaces Spécialisées (GSS) représentent, elles, 66% de ce plancher. Des autorisations régies par la CDEC Sur la période 1 6, dossiers ont été examinés par la Commission Départementale d Equipement Commercial (CDEC). Près de 3 61 m² ont été autorisés, dont m² en création pure, et 5 m² en transfert. Les activités non alimentaires ont représenté 6% des mètres carrés autorisés. I A.9

31 ) DES MARCHES CONTRASTES MARQUES PAR DES LOGIQUES D EVASION COMMERCIALE Un chiffre d affaires de 16 millions d euros Le chiffre d affaires réalisé par les commerces sur le périmètre du pays, toutes formes de ventes confondues, est de 16 millions d euros. Le montant de l évasion commerciale est de 115 millions d euros, La captation auprès d habitants extérieurs au territoire est de 16 millions d euros. Une répartition du chiffre d affaires par forme de vente : 79% du CA est fait par les GMS 18% du CA est fait par le commerce traditionnel, 3% du CA par les non sédentaires, la VPC et E Commerce Une concentration du CA sur les GSA. % des points de vente (GSA) font 6% du chiffre d affaires du pays. La répartition du chiffre d affaires par familles de produits confirme le poids prépondérant de l alimentaire. Elle est limitée à 17 % en équipement de la maison, 1 % en équipement de la personne et 6 % en culture loisirs. La structure du chiffre d affaires par familles de produits constate le poids prépondérant de l alimentaire et annonce des évasions importantes sur le non alimentaire. La proximité de l agglomération rennaise et la faiblesse de l offre spécialisée engendrent une évasion commerciale forte. Le niveau de l évasion commerciale atteint 36,5% des dépenses globales des habitants du Pays de Brocéliande. Consommations alimentaires ; des évasions limitées à 15% Consommations non alimentaires ; le poids de l agglomération rennaise qui capte une part importante des 59%. I A.3

32 3) UNE ORGANISATION COMMERCIALE A NIVEAUX 6 pôles intermédiaires structurent le Pays de Brocéliande Du point de vue du niveau des chiffres d affaires réalisés, un ensemble de 6 pôles structure le pays et permettent un maillage équilibré du territoire basé sur une bonne répartition entre commerces de moins de 3 m² et Grandes et Moyennes Surfaces (GMS). pôles de bassin (Montfort sur Meu et St Méen le Grand) : Ces pôles se structurent autour d un grand supermarché complété par quelques grandes surfaces non alimentaires, celles ci exerçant un rôle structurant à l échelle de la zone de chalandise. Grâce à un tissu commercial traditionnel localisé dans un centre ville bien identifié par les habitants, les pôles de bassin, généralement chef lieu de canton, ont une zone de chalandise intercommunale qui leur permet de générer un chiffre d affaires global supérieur à millions d euros. pôles communaux élargis : Ils se structurent pour l essentiel autour d une surface alimentaire de type grand supermarché, complétée par une offre traditionnelle plus ou moins dense. A l échelle du pays de Brocéliande, leur influence limitée aux communes mitoyennes leur permet de générer un chiffre d affaires global compris entre 1 et millions d euros. I A.31

33 1 pôles à fonction locale complètent l organisation commerciale en assurant un maillage de proximité 1 pôle relais : Il présente une offre structurée pour l essentiel par une locomotive alimentaire de type supermarché et des activités traditionnelles. pôles de proximité : Ces pôles présentent une offre structurée à la fois par des activités traditionnelles et une surface alimentaire de type petit supermarché (inférieur à 1 5 m²) 9 pôles d ultra proximité : Ils présentent une offre structurée par une supérette et quelques activités traditionnelles de complément. Bécherel Médréac St Méen le Grand Montauban de Bretagne Bédée Irodouër Romillé Langan Pleumeleuc Breteil Gaël Iffendic Montfort / Breteil Hiérarchie des pôles commerciaux Talensac De bassins Paimpont Plélan le Grand Treffendel Bréal sous Montfort D influence communale élargie Pôles relais Pôles de proximité Pôles d ultra proximité 5 Les différents types de commerce présents sur le Pays de Brocéliande Commerce traditionnel de moins de 3 m² - Commerces généralistes de type supérette 15 - Commerces alimentaires traditionnels 75 - Commerces en équipement de la maison 33 - Commerces de détail non alimentaires sur marchés 31 - Commerces en équipement de la personne 3 - Commerces en Hygiène, Santé, Beauté 8 - Autres commerces de détail (garages, photographe ) 15 - Services aux particuliers (cafés, restaurants, assurances ) 195 Commerce "Grande et Moyenne Surface" de plus de 3 m² - Supermarchés (dont hard discounteur) 13 - Magasin d'équipement de la maison - Magasin d'équipement de la personne 6 - Magasin de culture et loisirs 1 I A.3

34 V.5. L ARTISANAT En janvier, d après l Observatoire du Pays de Brocéliande, on dénombrait 8 entreprises artisanales sur le Pays de Brocéliande, soit 7,7% des entreprises artisanales du département. Ce chiffre est en constante augmentation mais on assiste à un taux de renouvellement important (3% en ). Une forte disparité marque la localisation de ces établissements et c est sur le territoire de Montfort sur Meu que l artisanat est le plus représenté (3,5 % des entreprises artisanales du Pays) tandis que l on note une sous représentation sur celui de Montauban de Bretagne. Le secteur artisanal embauche peu de salariés (,1 salariés par entreprise en ) excepté sur Montauban de Bretagne où le nombre s élève à 5 salariés en moyenne. Ces entreprises relèvent pour % du secteur du bâtiment devant le secteur de la réparation/ transports, de l alimentation mais c est dans ce dernier que l emploi salarié artisanal est le plus dense (près de 3 salariés par entreprise), mais évolue peu puisque entre 1 et 3 l évolution n est que de 7 emplois salariés. L enjeu de la transmission d entreprise artisanale se pose avec force sur le Pays de Brocéliande, puisque près de 35 chefs d entreprise partiront à la retraite d ici 5 ans. Or, la majorité des artisans travaillent chez eux, notamment au niveau des TPE. On note ainsi une carence importante en zone d activité artisanale ou en locaux professionnels (notamment pour les TPE) disponibles sur le Pays de Brocéliande alors que ce secteur semblerait être un pôle de développement important pour l avenir. Les secteurs les plus dynamiques au niveau de la création de TPE artisanales semblent être : 1. Méen le Grand. Bédée, Montauban de Bretagne / Montfort sur Meu 3. Bréal sous Montfort qui connaît un certain ralentissement. Bécherel reste très en retrait. A noter enfin, la faible part de l artisanat dit «artistique» et touristique. I A.33

35 VI. LE TOURISME VI.1. UN PATRIMOINE NATUREL ET CULTUREL RICHE Le SCOT du Pays de Brocéliande recèle un patrimoine naturel et bâti très dense et particulièrement varié. Les principales richesses se situent aux marges du pays avec la Cité du Livre au nord, sur le territoire de la Communauté de Communes de Bécherel, et au sud avec la forêt et l étang de Paimpont sur la Communauté de Communes de Brocéliande. Le SCOT du Pays de Brocéliande recèle par ailleurs un nombre important de petits éléments de patrimoine notamment religieux mais aussi des sites inscrits et châteaux en grand nombre, notamment liés à la légende arthurienne. D importants programmes comme Leader + ou Natura ont été mis en place sur le territoire. Assurant l entretien des paysages et des zones humides, le programme Bretagne Eau Pure contribue également à une attraction touristique nouvelle (actions pédagogiques notamment). VI.. UN TOURISME DE PROXIMITE, UN TOURISME LOCAL Si le nombre de visiteurs augmente sans cesse, le patrimoine local et les équipements proposés aujourd hui attirent pour l essentiel les habitants du Pays ou de la Région ainsi que les scolaires. Les touristes extérieurs sont nettement moins nombreux et on parle essentiellement de tourisme de proximité. En 3, la présence de la clientèle individuelle (qui a progressé de 1 point par rapport à ) a été beaucoup plus importante que celle des groupes. Il est à noter par ailleurs, que l attractivité de Rennes ne joue pas dans ce domaine. Au regard des données INSEE Bretagne ORTB de 1, le Pays de Brocéliande emploie seulement 15 salariés directs du tourisme en moyenne par an (chiffre qui reste identique en haute saison) soit,8 % du total régional. C est ainsi dans le territoire de l Ille et Vilaine que le tourisme influe le moins sur le niveau de l emploi. VI.3. OFFRES ET FREQUENTATIONS TOURISTIQUES FAIBLES A. LES EQUIPEMENTS : Le taux de fréquentation des équipements recensés ci dessus démontre pourtant une attractivité très relative : seul le domaine de Trémelin, base de loisirs à Iffendic, accueillait plus de 15 visiteurs en 3 (Comité Départemental de Tourisme). I A.3

36 Source : Comité départemental de tourisme 3 LIEU EQUIPEMENT Nombre de visiteurs en 3 Equipements culturels Paimpont Abbaye de Paimpont +1, Médreac Vélorail 11 8,8% Bécherel Parc du Château de Caradeuc 518 +,1 Montfort sur Meu Ecomusée 396 3,15% Les Iffs Château de Montmuran 386 5,8% St Méen le Grand Musée Louison Bobet 3 + % Montauban de Bretagne Château féodal de Montauban de Bretagne 35 Equipements touristiques Iffendic Base de loisirs domaine de Trémelin 15 +5% Bréal sous Montfort Jardins de Brocéliande , Rapport 1 3 (%) B. LES MANIFESTATIONS (SOURCE PAT BROCELIANDE) : La faiblesse des animations locales et spécifiques (légendes, forêt ) ou leur manque de visibilité, constituent un frein important au développement touristique. Seuls Bécherel et Paimpont sont identifiés comme pôles attractifs à ce niveau. - Bécherel, en 1 accueillait près de 35 visiteurs lors de ses diverses manifestations organisées autour du livre (en baisse en 3). - La fête de la Gallésie de Monterfil connaît une hausse de fréquentation importante pour atteindre 18 visiteurs en 3 (soit une hausse de % par rapport à 1). - Paimpont avec une fréquentation bien inférieure, accueille chaque année 5 visiteurs autour de la Fête du Fer. Les activités liées au tourisme sportif sont quasiment inexistantes et il y a très peu de manifestations autour de la musique, du chant ou des danses traditionnelles recensées ou connues. Cependant, la validation du diagnostic du Plan lumière sur le Pays de Brocéliande donne un axe nouveau à la politique touristique du Pays. Ce plan est en effet l occasion d enrichir l identité du territoire (valorisation du patrimoine et des sites phares) et de définir une stratégie d aménagement et de développement à caractère touristique importante. Le tourisme entraîne ainsi une dynamique permanente et événementielle reconnue comme source de développement local et de diversification de l activité. C. LES HEBERGEMENTS : Sur le SCOT du Pays de Brocéliande, l offre en matière d hébergement semble variée. On assiste à une multiplication récente des gîtes et chambres d hôtes. Leur remplissage reste cependant insuffisant contrairement aux d hôtels, moins nombreux mais avec un taux de fréquentation plus important notamment grâce au tourisme professionnel. Cependant la période a connu une forte baisse du nombre de nuitées dans l hôtellerie alors que l évolution est inversée pour l ensemble de la région (+9%). Les nuitées de plein air connaissent en revanche une augmentation depuis avec des différences selon les régions. I A.35

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