Semestre 02 / 2002 paraît aussi en: langue allemande langue italienne langue anglaise

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1 ORGANIZZAZIONE INTERNAZIONALE TRASPORTI A FUNE INTERNATIONALE ORGANISATION FÜR DAS SEILBAHNWESEN ORGANISATION INTERNATIONALE DES TRANSPORTS A CÂBLES INTERNATIONAL ORGANISATION FOR TRANSPORTATION BY ROPE ORGANISACION INTERNACIONAL DE TRANSPORTES POR CABLE Semestre 02 / 2002 paraît aussi en: langue allemande langue italienne langue anglaise

2 O.I.T.A.F.-NEWS 2/2000 Avant-propos du Président Chers amis, Nous avons vécu, sans le comprendre, un évènement que nous avions considéré inconcevable, dans ces proportions, en Autriche et ailleurs. Mais il faut que nous comprenions parce que le drame de Kaprun nous oblige à reconsidérer le fait acquis que les installations à câbles sont les moyens de transport les plus sûrs du monde et que les constructeurs, les exploitants et naturellement les autorités doivent vite apprendre la leçon et certainement en tirer les conséquences. Les causes de l accident de Kaprun ne sont pas connues pour le moment. Mais nous savons qu il faut faire tout le possible pour prévenir le risque que la situation se répète. L O.I.T.A.F. et ses Commissions d Etudes ont comme d autres la tâche d organiser le débat technique pour retrouver la confiance vis-à-vis de la sécurité de nos remontées mécaniques. Je tiens à remercier tous ceux qui nous ont soutenus ces dernières semaines par leurs paroles de réconfort qui nous donnent la force de comprendre En silencieux mémoire des victimes de Kaprun Bien à Vous Horst Kühschelm Introduction du secrétaire général. C est en travaillant sur mes notes d introduction que j ai appris la nouvelle de l accident inconcevable du Kitzsteinhorn. Mon désarroi a été tel que ne pouvais continuer et que j ai dû recommencer plus tard. Mon sentiment et celui de mes collaborateurs va aux familles des victimes. Nos condoléances s adressent aux habitants de la ville qui portent le deuil et aux citoyens des autres villes et villages qui pleurent leurs morts. L unicité de l évènement horrible concerne l O.I.T.A.F., elle aussi, laissant sans paroles les autorités de surveillance, fabricants et exploitants d installations à câbles. L O.I.T.A.F. ne peut passer outre cet accident, elle sera obligée à traiter, dans ses Commissions d Etudes, le sujet des incendies et des mesures préventives y relatives. Pour le moment, il est vain de spéculer sur les causes et les responsabilités. Nous avons pleine confiance dans les services d enquête et le Ministère autrichien des Transports en ce qui concerne la détermination des causes de l accident et les conséquences qui en découlent, notamment sous forme de nouvelles dispositions qui à l avenir seront à respecter également dans le cas d installations existantes. Cette édition de l O.I.T.A.F.-NEWS est donc rédigée sous l impression de l accident de Kaprun et ne pouvait apparaître à la date initialement prévue. Concernant le dernier numéro des O.I.T.A.F.- NEWS, et précisément le rapport d activité de la Commission d Etudes n IV, nous avons une Rectification à apporter: En p. 21, à propos du transfert des titres de transport, nous avons dit à la fin que, en France, les titres de transport peuvent être transférés. C est faux. Nous corrigeons donc : En France, les forfaits ne sont pas transmissibles. La rédaction s excuse de l erreur involontaire. Un autre thème récurrent parmi les lecteurs des O.I.T.A.F.-NEWS est le format du bulletin lui-même. Comme Vous le savez, nous avions choisi, dès le début, le format A3 pour notre publication en quatre langues en quatre colonnes parallèles, et cela pour mettre en relief le caractère international du bulletin et pour obtenir un format A4 en pliant le bulletin en deux ce qui permet de le ranger dans les classeurs traditionnels. En outre, pour des raison techniques (une seule épreuve) cette formule est sensiblement moins coûteuse. Il y a deux opinions à ce sujet: Il serait préférable d avoir une édition par version linguistique, si possible en quadrichromie, éventuellement avec de la publicité ; Il faudrait laisser la publication telle quelle étant donné qu elle apparaît en quatre langues et donne le format A4 en la pliant. En plus, elle offre l avantage de l originalité: Les O.I.T.A.F.-NEWS se reconnaissent immédiatement étant donné que le bulletin se distingue nettement des autres publications du secteur. Je Vous saurais gré si Vous vouliez faire connaître Votre opinion à ce sujet au secrétariat de l O.I.T.A.F. Par la suite, nous Vous informerons sur les activités des Commissions d Etudes, et des Comités Directeur et Exécutif. 2

3 Pour la première fois, le bulletin parlera de personnes qui nous ont quittés ou de collègues qui sont allés à la retraite après avoir coopéré avec l O.I.T.A.F. pendant des années et défendu la cause des transports à câbles pendant leur vie professionnelle. Nous remercions de leur engagement. La réunion internationale des services techniques de surveillance (ITTAB) fera l objet de la présente édition tout comme les activités récentes et le programme future de l OIPEEC. La réunion plénière du CEN TEC 242 qui a eu lieu le 30 novembre et 1er décembre à Paris sera brièvement résumée quant aux conclusions. Finalement, je tiens à souligner de nouveau que le bulletin peut être consulté sur INTER- NET et précisément sur le site de l O.I.T.A.F. page des O.I.T.A.F.- NEWS. Finalement, l O.I.T.A.F.-NEWS présentera, parmi les nouveautés intéressantes dans le secteur des transports à câbles, un bref rapport sur un projet de téléphérique qui sort de l ordinaire. Pour terminer l édition, nous annoncerons un vient de paraître qui fascinera tous les lecteurs qui sont intéressés à l évolution historique des transports à câbles. Les O.I.T.A.F.-NEWS se concluent par une note relative à une bibliothèque spécifique des transports à câbles. ACTIVITES DU COMITE DIRECTEUR ET DU COMITE EXECUTIF Comité Exécutif Le Comité exécutif a tenu une réunion le 22 septembre, 2000 a Milan, avec la participation des présidents des Commissions d Etudes n I (M. Peter Sedivy), n II (M. Enrico Bazzaro) et de l animateur du groupe de travail Forum de l Environnement de la Commission d Etudes n IV (M. Michael Manhart). Le Comité a traité les thèmes suivants : Rapport des Commissions d Etudes : Les présidents des Commissions d Etudes n I, II et IV ainsi que du groupe de travail Forum de l Environnement présentent un rapport d activité. Organisation du séminaire à l occasion de l ALPITEC à Bolzano, automne 2001: M. Sedivy présente le résumé des discussions ayant eu lieu au sein de sa Commission d Etudes en ce qui concerne le titre du séminaire, titre à soumettre au Comité Directeur pour décision finale. Pour les détails: v. Comité Directeur. Enquête parmi les membres de l O.I.T.A.F. Le président de l O.I.T.A.F. présente un questionnaire destiné à l enquête parmi les membres de l O.I.T.A.F. et permettant à ceux-ci de s exprimer à propos de leur organisation: Satisfactions, mécontentements, propositions en vue d améliorer la collaboration. La proposition est approuvée par tous les délégués. Le questionnaire est joint à la présente édition des O.I.T.A.F.-NEWS: Tous les membres sont priés de le compiler et de le renvoyer au secrétariat. Comité Directeur. Le Comité Directeur a tenu sa 96ème réunion le 25 octobre, 2000 à l aéroport Kloten de Zurich. Pour la première fois, le Comité Directeur a pu saluer la présence de deux des trois membres extraordinaires, M. Greŝo étant absent, et précisément M. Stefan Krychniak du gouvernement polonais de Varsovie et M. Gorazd Bedrac de l association slovène des installations à câbles. Dr. Kühschelm, président de l O.I.T.A.F. leur a cordialement souhaité la bienvenue dans le cadre du Comité Directeur. Les points suivants ont été discutés : Rapport sur la réunion du Comité Exécutif du 22 septembre, 2000 à Milan : M. Brugger présente le rapport d activité pour le compte des différentes Commissions d Etudes. Pour détails: v. Commissions d Etudes. Orientation future de l O.I.T.A.F. vers de nouveaux continents. Le président communique avec satisfaction qu il y a un échange de correspondance intéressant avec la China Pan-Tourisme Industry, Beijing, membre d O.I.T.A.F. La société spécialisée dans la construction et l exploitation d installations à câbles pour le tourisme et la mise en valeur de zones skiables, a pris l initiative d organiser mi-fin septembre 2001, 3

4 une première exposition de remontées mécanique en Chine et de la technologie y relative ainsi que le premier séminaire chinois sur la technologie, sécurité et exploitation d installations à câbles (First China International Ropeway and Ski Equipment & Technology Exhibition and first China International Ropeway Technology, Safety & Managament Seminar) La manifestation sera organisée en collaboration avec le National Center of Passenger Aerial Ropeway Safety Supervision (membre de l O.I.T.A.F. en catégorie A) et le Beijing Materials Handling Research Institut. L O.I.T.A.F. a décidé d assumer le patronage de la manifestions organisée en Chine. Le président de l O.I.T.A.F. a profité de sa présence à l INTERALPIN qui s est tenue en octobre à Innsbruck, pour prendre contact avec les responsables des sociétés et organismes d Etats sus-mentionnés. Les pourparlers ont permis de constater que la Chine est fortement intéressée à collaborer plus étroitement avec l' O.I.T.A.F. Le Comité Directeur a donc décidé d organiser, en printemps 2001, une mission de l O.I.T.A.F. en Chine. La délégation se composant du président, premier vice-président, secrétaire général et deux autres représentants de l organisation, aura pour mandat de vérifier, sur place, les possibilités de constituer une section intercontinentale de l O.I.T.A.F. ainsi que de rechercher toute possibilité d améliorer et d intensifier les contacts avec les instances chinoises compétentes. Organisation du séminaire en automne Selon les traditions, l O.I.T.A.F. organise un séminaire international avec un thème spécifique chaque année, sauf l an du Congrès International de l O.I.T.A.F. Lors de sa dernière réunion, le Comité Directeur avait donné mandat à la Commission d Etudes n I Technique des transports à câbles et recommandations - de choisir le thème et donc le titre du séminaire 2001 et de préparer l organisation en collaboration avec la secrétariat. M. Brugger informe le Comité Directeur qu après longue discussion au sein de la Commission d Etudes sur les différentes suggestions présentées, la majorité des délégués s est prononcée en faveur du thème suivant: Limites techniques pour la construction d installations à câbles. Après un débat exhaustif, le Comité Directeur décide d adopter le titre suivant, amendé par le Comité Exécutif. Conséquences et effets des limites techniques actuelles pour la construction d installations à câbles et de procéder à l organisation du séminaire de l O.I.T.A.F. à l occasion de l ALPITEC qui se tiendra entre les 11 et 13 octobre 2001 a Bolzano (I) sur la base du thème titre du séminaire ainsi établi. La prochaine édition des O.I.T.A.F.-NEWS Vous présentera les titres des interventions et le nom des intervenants. Approbation du budget prévisionnel de l an Le Comité Directeur a approuvé le budget prévisionnel de l année 2001, préparé par le trésorier de l O.I.T.A.F.. Le document est annexé pour information à la présente édition des O.I.T.A.F.-NEWS. Situation des membres de l O.I.T.A.F. Lors de sa réunion, le Comité Directeur, après avoir vérifié les effectifs, a constaté avec satisfaction que le nombre des membres a augmenté. Actuellement, la situation des membres et des catégories se présentent comme suit: Catégorie A (12), catégorie B (10), catégorie C (4), catégorie D (21), catégorie E (56), catégorie F (31), membres d honneur (6). La répartition par pays est la suivante: Afrique du Sud (1), Allemagne (10), Andorre (2), Autriche (26), Brésil (3), Bulgarie (1), Canada (1), Chine (8), Espagne (9), Etats-Unis (3), Finlande (1), France (8), Géorgie (1), Grande Bretagne (2), Indes (4), Israël (2), Italie (27), Japon (3), Norvège (2), Pologne (3), Suisse (16), Slovénie (2), Slovaquie (1), Singapour (2). Associations internationales (2) LA PAGE DES COMMISSIONS D ETUDES 4

5 Dans cette partie, nous publions toute information sur les activités des Commissions d Etudes, mais nous voulons surtout donner la parole directement aux Commissions pour se présenter, parler de leurs travaux ou transmettre des informations spécifiques aux autres membres de l O.I.T.A.F. ACTIVITE DES DIFFERENTES COMMIS- SIONS D ETUDES : Commission d Etudes n I: Technique des Transports à câbles et recommandations techniques. Président : M. Peter Sedivy du Ministère fédéral autrichien des transports, technologie et innovation. M. Sedivy informe: Cette année, la Commission d Etudes I s est réunie deux fois : La première réunion a eu lieu les 11 et 12 mai, 2000 dans les locaux de l Institut de recherche de la faculté d ingénieurs de génie civile auprès de l Université Technique d Innsbruck, tandis que la deuxième a été organisée les 18 et 19 septembre dans le bâtiment du ministère autrichien des transports. A chacune des deux réunions ont participé plus de 20 experts provenant de 6 pays européens intéressés par les transports à câbles. En ce qui concerne les membres de la Commission d Etudes, ces derniers temps, il y a eu quelques variations. Actuellement, la Commission se compose des experts suivants dont la majorité assiste effectivement aux réunions : Prof. dott. Ing. Enrico Bazzaro, Dr. Ing. Rudolf Beha, Dipl.-Ing. HTL Walter Bolliger, M. Jean- Claude Bonneton, Ing. Karl Daxner, Dipl.-Ing. Wolfgang-Dieter Feix, Dipl.-Ing. Christoph Hinteregger, Ing. Bernd Meindl, Ing. Egon Böhler, Directeur General Adjoint Jean-Paul Huard, M. Gerard Marguet, Dipl.-Ing. Wilhelm Kaul, Dr. Sc. techn. Gabor Kovacs, Dipl.-Ing. Fritz Meyer, Dipl.-Ing. Roar Moe, Dr. Ing. Claudio Canessa Parodi, Dr. techn. Gabor Pisköty, Dr. Ing. Pierpaolo Siazzu, Dipl. Ing. Walter Sehnal, M. Alain Soury-Lavergne, Dipl-Ing. Istvan Szalai, Ob. Ing. Dipl. Ing. Helmut Weiss, Dipl.-Ing. Hans-Ulrich Zbill, Dipl.-Ing. HTL Daniel Ziegler. A part les membres actifs, il y a trois membres travaillant par correspondance: Dr. Ing. Francesc Culleré, Sektionschef Dipl.- Ing. Dr. Hans-Rudolf Gassmann und Prof. Dipl.-Ing. Dr. techn. Erwin Wrbka. Prof. Wrbka, membre correspondant et ancien président de la Commission d Etudes I, a participé aux deux réunions A deux reprises, il a pu donner sa contribution fort précieuse quant à la solution de problèmes inhérents à la rédaction des projets de texte relatifs aux recommandations techniques qui sont en préparation. Si, dans la Commission d Etudes, les discussions et travaux ont pu avancer au rythme connu, cela est certainement dû à l excellent travail linguistique (allemand/français) de Mme Renata Rassini Penso, notre interprète de longue date. Une des activités principales de la Commission d Etudes est l élaboration des recommandations techniques internationales. A l heure actuelle, le groupe est en train de rédiger les Recommandations pour la construction et l exploitions des téléphériques double monocâbles qui tiennent compte des particularités du système dont le projet est suffisamment avancé pour que le groupe puisse se limiter à procéder à la révision rédactionnelle lors de sa prochaine réunion. Le projet de texte vise les spécificités du système résultant des caractéristiques constructives (restriction des oscillation transversales et du déport latéral des véhicules résultant de la résistance à la torsion de la voie, surcharges sur les appuis etc.), dont il faudra tenir compte au-delà et en plus des règlements techniques nationaux et des normes techniques qui sont actuellement en vigueur. En outre, le Comité Directeur a confié à la Commission d Etudes un mandat important qu il faut affronter dans un proche avenir, et précisément la préparation du séminaire de l O.I.T.A.F. prévue en automne 2001 à l occasion de l ALPITEC, Foire Internationale des Installations à câbles à Bolzano. Lors de la réunion de Vienne, les délégués ont proposé plusieurs thèmes ce qui a permis de constater qu il n y a décidément pas de manque de questions techniques à traiter. Le thème choisi a été transmis au secrétaire de l O.I.T.A.F. lors de la réunion du Comité Exécutif de Milan pour discussion et approbation du Comité Directeur. A la dernière réunion, six membres ont spontanément annoncé l intention de présenter une communication à l occasion du séminaire. Etant donné que toute collaboration soit au sein de la 5

6 Commission d Etudes soit dans le cadre du séminaire est purement honorifique, je remercie les experts pour avoir ainsi assumé une tâche supplémentaire, totalement volontaire. Prof. Dr. Ing. Bazzaro, président, et Prof. Dr. Ing. Gabor Oplatka (ETH Zürich), M. Pascal Tournier (directeur technique de Meribel), Dr. Bernd Hinterndorfer, Université Technique de Vienne), Ing. Bruno Longatti (Fatzer), Dipl. Ing. Helmuth Hübl (Teufelberger), M. Jean-Yves Bertillot (Trefilunion), Dott. Ing. Giuliano Stabon (Université de Trieste) La Commission d Etudes a donné priorité aux sujets suivants: Contrôles non-destructifs des câbles; Coefficients de sécurité des câbles porteurs: Programme de travail pour la mise à jour de la définition. En ce qui concerne la réduction éventuelle du coefficient de sécurité des câbles tracteurs, dans la discussion, les experts ont soulevé les points suivants: Groupe de travail: Téléphériques nonpublics: Téléphériques à matériaux et blondins. Animateur du groupe de travail: M. Bonini (I) Après la réunion du 10 mai, 2000 a Bolzano dont nous avons parlé dans la dernière édition des O.I.T.A.F.-NEWS, le groupe de travail a tenu une deuxième réunion les 2 et 3 octobre, 2000, toujours à Bolzano. A cette réunion, le groupe s est penché en priorité sur la proposition d amende-ment de la première partie, du chapitre 1 de la recommandation existante. Fiabilité des contrôles conventionnelles eu En outre, des propositions ont été faites concernant la conception des téléphériques à matériaux fixes, les critères de sécurité et l exploitation (de la part de M. Hartmut Wohllaib), propositions qui seront vérifiées en détail lors de la prochaine réunion. Le groupe a aussi décidé d élargir le cadre des membres(collaboration directe ou par correspondance) pour intégrer les exploitants et personnes qui utilisent les téléphériques à matériaux et blondins. En résumé des travaux réalisés jusqu à maintenant, il faut souligner la qualité de travail du groupe d experts qui, en 1980, a élaboré les recommandations existantes qui sous bien des aspects sont encore tout à fait valables aujourd hui. La reconnaissance s adresse à l un des membres les plus actifs dans le temps, et précisément Max Clayton, récemment décédé, qui a toujours été promoteur infatigable des installations à câbles et en particulier des applications industrielles. La prochaine réunion est prévue pour les 22 et 23 janvier, 2001, à Sulz (Vorarlberg)/Autriche dans les bureaux de M. Andersag. Commission d Etudes n II: Propriétés et contrôles des câbles. Président: Prof. Enrico Bazzaro de l Ecole Polytechnique de Milan. La Commission d Etudes a tenu une autre réunion le 11 octobre, 2000 à Innsbruck avec la participation des membres suivants: 6 égard au nombre de fils dans le câble tracteur Modalités des contrôles et interprétation des résultats. Qualification du personnel de laboratoire. Fréquence des contrôles non-destructifs effectués avec le but d observer l endommagement du câble à des intervalles réguliers jusqu au moment de sa dépose, et ceci pour pouvoir déterminer avec exactitude le moment du remplacement, ainsi que d évaluer la possibilité concrète de réduire le coefficient de sécurité des câbles En ce qui concerne ce dernier point, il faut tenir compte du fait qu au fur et à mesure que la tension du câble augmente, il y a effectivement pour la même valeur de traction une réduction de la section ce qui, en dépit des effets favorables qui en résultent comme par exemple la réduction des sollicitations en flexion du câble sur les sabots ou les tambours d ancrage, risque de comporter une détérioration accélérée de l état général du câble, à cause de la corrosion p.ex.. Le groupe décide en outre de limiter l examen aux câbles clos en excluant dorénavant les câbles du type Ercole qui, effectivement, ne sont pratiquement plus employés dans secteur des transports à câbles. En ce qui concerne la réduction du coefficient de sécurité des câbles clos, il s ensuit une longue discussion au sein de la Commission d Etudes qui se demande quelle est l actualité du thème, quels sont les aspects économiques à considérer et quelle sera l évolution future

7 des remontée mécaniques. Les experts scientifiques soulignent de leur part que la détérioration de l état général du câble ne résulte pas seulement des charges exercées directement sur le câble, mais aussi et surtout d autres phénomènes tels que les rayons de déviation, la corrosion, les effets de compression au passage des pylônes, les défauts de fabrication etc. D une façon générale, le groupe estime que le problème de la réduction du coefficient de sécurité ne peut être résolu que sur la base d une analyse du type fail safe en tenant compte des méthodes de calcul de probabilité, procédure bien trop complexe pour le groupe de travail tel qu il se présente actuellement, mais aussi trop onéreuse à cause de la multitude des essais de laboratoire nécessaires. Le groupe arrive finalement à la conclusion que l intérêt à réduire le coefficient de sécurité des câbles porteurs est influencé défavorablement par le coût excessivement élevé que les travaux préparatoires comporterait. Le groupe décide donc de ne plus continuer le débat sur le sujet et de se concentrer sur les thèmes cités dans le deuxième numéro 1999 des l O.I.T.A.F.-NEWS sous le titre du domaine d activité de la Commission d Etudes n II. Dans ce sens, les membres de la Commission sont priés de transmettre des propositions de thème concrètes au président d ici le 15 décembre, Commission d Etudes n III: Installations électroniques resp. composants des téléphériques. Président: M. Ruedi Schüle de l Office Fédéral des Transports. Dans l année 2000, la Commission d Etudes a organisé deux réunions, dont la première s est tenue à Bolzano (I) du 29 au 31 mars et la deuxième du 27 au 29 septembre à Samnaun (CH). La réunion de Bolzano a déjà été présentée dans le premier numéro 2000 des O.I.T.A.F.-NEWS. La Commission d Etudes comprend actuellement les membres suivants : Ruedi Schüle (CH), Paul Christen (CH), Alex Kaufmann (CH), Fredy Lang (CH), Erich Megert (CH), Anton Huber (A), Ernst Rahnefeld (A), Helmut Wrba (A), Helmut Imlauer (A), Bonzon (F), Marcel Félice (F), Günter Karl (D), Wilfried Teichmann (D), Siegmund Mättig (D), remplacé par M. Disl, Gabriele Capello (I), Andrea Fornasa (I), Carlo Ragazzi (I). En règle général, le groupe commence les réunions avec la discussion sur les évènements particuliers survenus entre-temps pour passer ensuite aux points mis à l ordre du jour. Lors des deux réunions cités, les thèmes suivants ont été traités: Signalisation et mise en mémoire de désordres et modalités de service. L enquête réalisée parmi les membres du groupe a permis de constater que seule l Italie prévoit depuis 1980 l enregistrement obligatoire des désordres et modalités de service de tous les téléportés et funiculaires, à l exception des télésièges à pinces fixes (enregistreur des évènements): 16 informations doivent être mises en mémoire pour la durée de 6 mois pour pouvoir être vérifiées de la part des autorités de surveillance, si celles-ci le demande. La Suisse, l Autriche, la France et l Allemagne ne demandent pas obligatoirement l enregistreur des évènements qui, toutefois, est monté sur certains appareils, pour des raisons d exploitation. Lors de la réunion de Samnaun la question a été reprise pour aboutir à la conclusion (provisoire) suivante: Etant donné qu il ne s agit pas d un dispositif d enregistrement classique, le groupe utilisera le titre de travail suivant : Système d enregistrement de données (SED): Pour le moment, les principes suivants ont été établis : SED est une ressource d information et non pas un instrument dans le sens de la sécurité; SED doit correspondre à des besoins réels de l exploitant; SED a la fonction de signaliser et mettre en mémoire, dans la forme la plus appropriée, les informations traitées pour un téléporté donné; Disponibilité ou durée de fonctionnement du SED, en permanence ou en exploitation seulement, modalité de service (normale, urgence), modalité de commande (manuelle, automatique, à partir de la cabine etc.) ; Facilité d emploi par l exploitant SED doit offrir un système suffisamment ouvert pour permettre l importation, l exportation et la manipulation des données SED peut remplacer certains documents et registres d exploitation 7

8 Le groupe a commencé à discuter sur les exigences minimum à établir pour les données enregistrées Le débat continuera à la prochaine réunion. Emploi d automates programmables et de systèmes électroniques complexes. Les exigences en ce qui concerne l emploi des automates programmables varient d un pays à l autre. Nous résumons comme suit: La France demande ou deux automates programmables en parallèle ou un seul étant approuvé sur la base d un essai de type, le logiciel devant respecter le plan qualité du CEI et les boutons d arrêt d urgence devant être redondants. En Italie, le règlement actuellement en vigueur prévoit deux automates programmables et un 3ème dispositif de coupure (dénommé chaîne C). qui doit être réalisé conformément aux techniques traditionnelles et comprendre les surveillances les plus importantes. Les nouvelles dispositions qui ne sont pas encore applicables en Italie prévoient plusieurs alternatives, l exigence minimum requise étant un automate programmable plus une chaîne C. En Autriche, la situation ressemble à celle décrite pour l Italie : Il y a la possibilité d utiliser l automate programmable à une chaîne s il y a un 2ème dispositif de coupure (urgence - circuit de sécurité) de conception conventionnelle. En Suisse et en Allemagne, en application de sécurité, seuls les automates programmables étant approuvés sur la base d un essai de type peuvent être employés. Commission d Etudes n IV: Problèmes juridiques, administratifs, économiques et statistiques Président: M. Horst Kühschelm du Ministère fédéral autrichien des Transports, Technologie et Innovation. La Commission d Etudes s est réunie la dernière fois à Nice (F), les 19 et 20 octobre, pour traiter les questions suivantes mises à l ordre du jour: Responsabilité (civile) des sociétés d exploitation et des gestionnaires des pistes: Rapporteur: Mme Helga Wagner du VDS (D) Le thème traité par l avocat Helga Wagner du VDS, association allemande des téléphériques et téléskis: Responsabilités et responsabilité civiles des entreprises d exploitation et des gestionnaires des pistes est devenu de triste actualité à la suite des accidents survenus en Vue l absence de réponses complètes de la part de deux pays, Mme Wagner a de nouveau dû se limiter à présenter un rapport provisoire relatif aux questions suivantes: Bases législatives de la responsabilité civile des entreprises. Comparaison des normes juridiques de responsabilité civile pour dom-mages physiques et matériels resp. Responsabilité civile des entreprises pour dommages matériels dus aux avalanches, tempêtes ou autres évènements externes. Recours en responsabilité civile vis-à-vis du personnel? Bases législatives de la responsabilité civile des gestionnaires des pistes. Obligation d assurer la sécurité des pistes : Quels risques de responsabilité civile pour le gestionnaire? Responsabilité civile en cas d accidents dus aux engins de piste ou motoluges. Responsabilité civile pour pistes de compétition, neige de culture, transport de personnes alcoolisées. Possibilités d interdire l accès aux pistes de ski. L objectif de l enquête est la collecte et la comparaison des législations et règlements juridiques existant dans les différents pays alpins ainsi que l évaluation de la possibilité d arriver à une certaine harmonisation. L examen des thèmes traités à ce jour sera terminé dans l année ce qui permettra de publier les résultats dans un des prochains numéros d O.I.T.A.F.- NEWS. La discussion approfondie des aspects partiels susmentionnés a montré en outre que, pour compléter le tableau, il sera indispensable de tenir compte des activités d été en montagne (exemples : VTT, randonneurs). Pour la prochaine réunion prévue pour les 30.04/01.05 à Martigny (CH) il faut que les délégués réfléchissent sur les questions spécifiques à approfondir. Conditions de transports: Le sujet a été brièvement abordé en séance, mais a dû être abandonné pour des raisons de temps. L animateur du groupe de travail Environnement a fourni un bref rapport sur l état 8

9 d avancement des travaux de son groupe (v. cidessous). La réunion de la Commission d Etudes IV s est terminée après avoir entendu les rapports des délégations nationales concernant la saison d été et les évènements d actualité. Groupe de travail : Forum de l environnement Président du groupe de travail: M. Michael Manhart de Lech (Arlberg). Le groupe de travail a tenu sa dernière réunion les 8 et 9 juin, 2000 à Paris. Les points suivants étaient inscrits parmi d autres à l ordre du jour: Application de l art. 13 de du protocole Tourisme de la Convention Alpine qui traite de la circulation individuelle et des accès aux stations d hiver Les premiers débats se sont conclus par les considérations suivantes: Dans certaines stations d hiver, des mesures ponctuelles ont été prises, telles que les autobus entre les hôtels et les remontées mécaniques ou les trains de neige, mais le moyen de transport privilégié reste la voiture particulière; Il n existe pas de recettes passe-partout, chaque station doit trouver ses solutions spécifiques. La discussion continuerà. Projet Neige de culture et ses adjuvants: Les délégués ont échangé leurs informations quant aux études organisées à plusieurs endroits, parfois en collaboration avec les universités, sur l utilisation d adjuvants à la fabrication de la neige de culture. Les résultats de ces recherches seront débattus au sein du groupe de travail sur la base d un projet conceptionnel pour ensuite être transmis, pour discussion ultérieure, aux instances dirigeantes de l O.I.T.A.F. ainsi qu à la FIANET, fédération internationale des associations nationales d exploitants. Commission d Etudes n VI: Optimisation de l exploitation de téléphériques et de téléskis. Président: M. Francis Crouzet La Commission d Etudes a tenu sa dernière réunion le 29 septembre, 2000 à Landsberg/Lech (D). Les membres suivants participent aux travaux de la Commission d Etudes : Egon Espen (A), Manfred Spacek (A), Hannes Steinlechner (A), Wolfgang Bosch (D), Wolfgang Dieter Feix (D), Josef Seidl (D), Manel Salsas (E), Michel Granier (F), Hervè Petit (F), Pier Giorgio Graziano (I), Mauro Joyeusaz (I), Giuseppe Sciallis (I), Fritz Mayer (CH), Jan Bøen (N). 11 membres ont participé à la réunion de Landsberg. M. Soury Lavergne, ancien secrétaire, ne participe plus aux travaux du groupe après avoir été chargé de coordonner, dans les instances de l UE, les normes CEN dans le cadre de la directive pour les installations de transport à câbles. Bonne chance dans l exercice des nouvelles fonctions! M. Michel Granier s est mis à disposition du groupe pour assurer le secrétariat tandis que M. Espen continuera à s occuper des traductions allemandes. Le thème principal de la réunion a été la discussion relative à la télésurveillance des installations à câbles. Base de discussion est un document préparé par les experts français concernant la mise en marche d une installation avec gare de retour non occupée. Après avoir précisé la définition du terme de télésurveillance, les délégués illustrent les différentes réglementations nationales. On constate que par exemple en Autriche il y a des prescriptions très précises en ce qui concerne les modalités et les procédures à suivre pour la mise en marche d une installation à câble alors que la France ne connaît pas de dispositions générales y relatives. Ensuite, le groupe examine l utilité de la surveillance par vidéo et les avantages qui en résultent pour l exploitant. D une façon générale, on estime qu avant d élaborer des recommandations, il faut préciser les objectifs assignés à la télésurveillance. Etant donné que l application de la télésurveillance a pour but d accroître le niveau de sécurité par rapport à une solution de surveillance assurée par le personnel, il faut d abord qu elle remplie les mêmes fonctions que l homme, c est à dire qu elle surveille par la vue (vidéo) et par l ouie (dispositifs acoustiques). En conclusion du débat, le président propose le titre suivant pour la recommandation à rédiger: Recommandations destinées à déterminer les caractéristiques d une télésurveillance pour 9

10 l aide à la mise en marche d une installation avec une gare non surveillée par du personnel Un premier projet destiné à être approfondi lors de la prochaine réunion comprend les chapitres suivants: 1. Champ d application. 2. Généralités. 3. Fonctions pouvant être assurées par la télésurveillance. 4. Exigences relatives à la qualité de la télésurveillance. Informations relatives au domaine des transports à câbles PERSONNES QUI ONT QUITTE LA PRO- FESSION. Dipl. Ing. Rudolf Starnberger Le 1er novembre, 2000, M. Rudolf Starnberger a pris sa bien méritée retraite. Rudolf Starnberger, après avoir suivi les cours d ingénieur mécanique à l Ecole Polytechnique de Vienne, a terminé ses études en Il a fait les premières expériences pratiques auprès de la maison Semperit et successivement, de 1967 à 1973, dans sa qualité d assistant auprès de l Institut d essais techniques et de recherches scientifiques de l Université de Vienne où il a noué les premiers contacts avec les remontées mécaniques (essais de composants, examens de type, réception). En 1973 il entre dans les fonctions d expert technique dans l autorité de contrôle des transports à câbles instituée au Ministère des transports. Le 1er janvier 1986 il est nommé Ministerialrat, à partir de 1992 directeur de la section II/73 et de l unité de gestion dénommée Affaires techniques des transports à câbles relatives aux téléphériques et aux téléskis, à partir de 1997 vice-directeur de la section : Téléphériques et téléski affaires techniques : M. Starnberger ne s est pas limité à remplir ses fonctions dans le cadre des activités qui lui avaient été confiées dans le ministère fédéral, mais a mis son expérience à la disposition des transports à câbles en assumant l animation de deux Comités techniques au sein de l Institut autrichien de normalisation (câbles d acier sécurité des installations à câbles). Il a participé, avec des interventions techniques de haut niveau, à des manifestations nationales et internationales. A l échelon international il est reconnu comme excellent expert des transports à câbles grâce à ses contributions importantes destinées à accroître la sécurité des installations. M. Starnberger a été nommé animateur du groupe de travail B dans le cadre du CEN TC 242 et a conclu les travaux de rédaction de la norme 2 Dispositions Générales partie I: Exigences pour toutes les installations partie II: Exigences supplémentaires pour téléphériques à va-et-vient sans frein de chariot ainsi que de la norme 3 Calculs. Son calme bien connu a permis de trouver maint compromis après les divergences d opinion inévitables parmi les différents pays intéressés. Si le résultat s approchait, il allait droit au but, si les discussions se prolongeaient, il savait trancher et orienter les experts vers le but recherché. Nous savons qu il restera à nos côtés dans le cadre des travaux de normalisation du CEC TC 242 pour continuer à nous conseiller et assister sur la base de son expérience. M. Starnberger a donné son empreinte à une autre oeuvre importante, la directive communautaire des installations de transport à câbles réalisée en grande partie grâce à son engagement. Ses propositions et celles de M. Kühschelm ont fini par faire approuver le projet de directive par les pays communautaires les plus importants dans le domaine des transports à câbles. Pendant les réunions annuelles des services techniques de contrôle (ITTAB) dont la plus récente a eu lieu a Mayrhofen cette année sous sa direction (nous en parlerons plus tard) ses contributions et positions ont toujours été particulièrement appréciées pour le l objectivité et la précision. Ad multos annos, cher Rudolf! Un autre collègue, M. 10

11 Dipl. Ing. Wolfgang Allgeuer a pris sa retraite récemment. Wolfgang Allgeuer était directeur de la section installations à câbles du gouvernement du Vorarlberg, membre de l O.I.T.A.F. Vraiment, y a-t-il quelqu un dans la branche qui ne connaisse pas M. Allgeuer? Employé dans la section Installations à câbles et ascenseurs auprès du gouvernement régional du Vorarlberg, il a vérifié d innombrables projets de téléskis et télésièges à pinces fixes et en effectué le contrôle final. Avec sa vive intelligence, il s est toujours intéressé de tous les problèmes des installations à câbles. A l occasion des réunions annuelles des experts régionaux autrichiens des transports à câbles il a n a jamais cessé de se battre pour l harmonisation de l application et l unification de l interprétations des textes réglementaires en vigueur, en se basant sur ses vastes expériences. Il a donné une contribution importante à l élaboration des dispositions réglementaires relatives au téléskis et télésièges. Dans le cadre de l O.I.T.A.F., il a animé avec grande satisfaction de tout le monde d abord le groupe de travail Téléskis de 1988 à 1992 et ensuite de 1993 à le groupe des téléphériques non-publics. Pendant son activité, les recommandations suivantes ont été rédigées: Recommandations internationales pour la construction et l exploitation de téléskis (édition 1996) Recommandation pour la construction et l exploitation de téléphériques non-publics pour le transport de personnes et de biens téléphériques à va-et-vient (éd. 1996) Recommandation technique pour la construction et l exploitation de téléphériques servant au transport de marchandises avec charge utile jusqu à 2000 kg (édition 1998) La qualité du travail réalisé par les groupes de travail animés par M. Allgeuer est prouvée par le fait que les recommandations concernant les téléskis ont été reprises presque littéralement dans le texte des normes CEN, que les recommandations pour les téléphériques nonpublics avec transport de personnes sont entré à faire partie, au moins partiellement, dans les dispositions élaborées en Suisse et en Autriche et que les recommandations pour le transport de marchandises avec charge utile jusqu à 2000 kg sont entrées à faire partie du règlement du Haut Adige. Wolfgang Allgeuer laisse donc un héritage à l O.I.T.A.F.. Merci de tes contributions, merci de la participation active à l O.I.T.A.F., Wolfgang. Ad multos annos! Max Clayton est mort Le membre de très longue date Max Clayton est décédé le 12 septembre 2000, à son domicile de Londres, en Angleterre, à l âge de 86 ans. Dès le premier congrès international des transports à câbles, Max Clayton a participé à l activité de l O.I.T.A.F. en rédigeant les résolutions et décisions qui ont conduit à sa constitution. Dans le cadre de ses responsabilités et notamment en tant que président et membre permanent du Comité de Lecture de tous les congrès internationaux de l O.I.T.A.F. depuis 1957 (à l exception de celui de San Francisco), il a toujours offert sa collaboration dans le cadre de notre organisation. Né polonais, pendant la guerre il s est transféré en Angleterre où avec grand enthousiasme il s est intéressé des installations à câbles pendant toute sa vie professionnelle. Il a personnellement participé à l élaboration des premières recommandations de l O.I.T.A.F. ainsi qu aux autres activités initiales de l organisation. Vice-président de 1962 à 1965, il a été membre du Comité de direction jusqu en 1993, d abord en sa qualité de repré- 11

12 sentant de la IARM, ensuite en représentation des membres individuels de l O.I.T.A.F.pour défendre les intérêts spécifiques des téléphériques pour le transport de marchandises. Il s est chargé de préparer la rédaction des Recommandations pour la construction et l exploitation de téléphériques pour le transport de marchandises et blondins, texte toujours valable au bout de 20 ans du fait de son excellent équilibre entre les exigences qualitatives et quantitatives de ces installations en marge des grandes installations pour le transport de personnes. Quand l O.I.T.A.F. a commencé à s engager dans le domaine des câbles, il a facilité les contacts avec les organismes de recherche et les instances de contrôle. A cause de son prestige international et de ses capacités professionnelles il fut le trait d union naturel entre le monde américain et européen de la branche et donc co-fondateur de l O.I.T.A.F.-NACS. Il fut en outre liaison officer entre l O.I.T.A.F. et l O.I.P.E.E.C., notamment en vue de transmettre et approfondir les résultats des recherches effectuées dans le domaine des essais d endurance des câbles d acier. Les échanges d expériences internationaux et ses vastes connaissances furent particulièrement fructueuses pour l O.I.T.A.F. pendant les quatre ans de présidence de Max Clayton à l O.I.P.E.E.C. Dans les milieux professionnels, nous le connaissions tous pour sa sensibilité, son tempérament, la rigueur et la précision de son travail et la modestie qui lui était propre. En collaborant avec l O.I.T.A.F., il lui a apporté ces propriétés excellentes, contribution qui ne sera jamais suffisamment appréciée. Lors de l Assemblée générale tenue à Lugano en 1990, Max Clayton fut nommé membre d honneur de l O.I.T.A.F. pour ses mérités particuliers. Nous conserverons la mémoire de Max Clayton. INFORMATIONS INTERNATIONALES ITTAB (Réunion internationale des services techniques de contrôle des remontées mécaniques) Depuis 1951 les autorités de surveillance organisent leurs réunions annuelles. Si au début les participants ne représentaient que la France, l Autriche, la Bavière et la Suisse, pays auxquels s est ajoutée l Italie en 1952, dans son allocution de bienvenue de la 50ème réunion organisée à Mayrhofen dans le Zillertal, le Ministère des transports, innovation et technologie d Autriche a pu saluer outre les délégations de 12 pays européens, le Japon et deux états des Etats-Unis. Pour la première fois depuis des décennies, l ITTAB a eu en outre la participation de représentants des ministères compétents de Pologne et Slovénie. La réunion s est déroulée pendant trois jours du 26 au 28 septembre, 2000, sur la base d un programme de travail très important. La réunion poursuit le but d organiser un échange de vues ouvert en ce qui concerne les évènements et les développements techniques récents ainsi que les dispositions nationales qui en résultent en vue d atteindre un niveau de sécurité le plus harmonisé possible entre les pays participants. Les réunions sont organisées à tour de rôle par les pays intéressés aux remontées mécaniques, sans règles précises. Cette année, M. Rudolf Starnberger, responsable des services techniques de contrôle autrichiens a eu le plaisir de souhaiter la bienvenue aux collègues et de diriger les débats. Dans les cinq séances de travail, les trois points prioritaires de l ordre du jour ont pu être discutés. L après-midi de la deuxième journée a été consacré à la visite de la Penkenbahn. Dans les séances de travail, la partie prépondérante du débat a été consacrée aux rapports sur les accidents survenus. Avec la conclusion que, comme dans les années précédentes, la fréquence des évènements augmente au fur et à mesure que les installations demandent la participation active du passager, ce qui est le 12

13 cas pour les téléskis et les télésièges à pinces fixes. Pour ces types d appareils, il y a le nombre le plus important de blessés bien que heureusement la gravité des blessures n est pas telle à exiger l hospitalisation prolongée ou à comporter des conséquences corporelles permanentes. Malgré cela, il faut faire tout le nécessaire pour réduire le nombre d accidents en prenant les mesures techniques et d exploitation qui s imposent. Malgré les dispositions de prévention, la tendance de graves accidents de travail est confirmée. Dans la deuxième partie de la réunion les experts se sont occupés des problèmes et questions techniques. Les thèmes suivants ont été traités: Nombre de pinces pour les téléportés bi-câbles à mouvement continu. Quelle est la capacité-limite de la cabine à partir de laquelle il faut obligatoirement monter deux pinces? Les dispositions réglementaires varient d un pays à l autre, mais dans la normalisation CEN TC 242, projet de norme n 8, véhicules, il y a une limitation du nombre de personnes transportées si le véhicule est équipé d une seule pince. Dans la discussion générale, les différents pays ont présenté leurs positions et explications de la réglementation existante. Il est probable que la question sera tranchée par la normalisation CEN.. Funiculaires automatiques sans personnel à bord. Dans certains pays, en vue de réduire le coût d exploitation, les entreprises insistent à faire fonctionner les funiculaires sans personnel à bord. Le débat montre qu il y a des pays où les règles ne permettent pas le fonctionnement automatique et que dans d autres pays, les instances compétentes commencent à réfléchir sur les conditions dans lesquelles il serait possible d autoriser un fonctionnement des funiculaires sans personnel à bord. Transport de nouveaux engins de glisse sur les télésièges. La présence de nouveaux engins de glisse est de plus en plus fréquente dans les stations et sur les pistes de ski et la question s impose dans quelle mesure les passagers équipés de tels engins peuvent être transportés sur les télésièges conçus originairement pour le transport de personnes skis aux pieds. La réponse à la question n a pas été unanime, étant donné que les possibilités de transport dépendent en large partie des situations existant dans les zones d embarquement et de débarquement. Dans certains pays, ces sportifs sont classés comme les piétons qui n ont pas de skis aux pieds, eux non plus. Batteries de galets alternatives. Discussion animée sur ce type de batterie avec échange d expériences très intéressant sur les distances entre les galets prescrites de part et d autre. En conclusion, les délégués constatent qu il y a peu de divergences entre les différents règlements nationaux. Contrôle destructif des câbles. Le problème est soulevé pour tous les câbles utilisés dans la construction de remontées mécaniques (câble porteur, tracteur, de tension, porteur-tracteur). Conclusion : Seuls trois pays nordiques n exigent pas l essai de déchirement. Communication technique. La dernière contribution a été fournie par le Prof. Oplatka qui a montré une vidéo sur ses essais de déraillement de câbles après avoir monté une nouvelle structure mécanique qu il appelle rattrappe-câble central. Il montre plusieurs cas de déraillement et souligne les avantages du rattrappe-câble central dans les différentes situations. La discussion qui a suivi la présentation du film a confirmé l intérêt suscité par les recherches du Prof. Oplatka. Le programme-cadre a offert beaucoup d occasions de nouer ou de renouveler les contacts personnels. La visite de l installation (la Penkenbahn) a prouvé une fois de plus la compétence des ingénieurs autrichiens, mais aussi la cordialité des organisateurs. A la fin de la réunion le moment était venu pour prendre congé d un participant particulièrement fidèle des réunions de l ITTAB, le Prof. Gabor Oplatka qui a pris sa bien méritée retraite. C est l expert des installations à câbles ayant l ancienneté majeure du groupe, le doyen d âge, pour ainsi dire. Ses communications scientifiques et les discussions successives ont toujours eu une fascination particulière, tout comme ses analyses des accidents étaient suivies avec une attention intéressée par tout le monde. Cher Gabor, tes contributions nous manqueront, à l avenir. Ad multos annos 13

14 Normalisation CEN La dernière réunion plénière du CEN TC 242 a eu lieu le 30 novembre et 1er décembre, 2000 à Paris. Ont participé à la réunion outre le président M. Fougea, résident et Mme Geslin, secrétaire, Mme Martinez Arriola de la Commission EU, M. Legrand du CEN Management Centre et M. Simiand en représentation de l O.I.T.A.F. M. Fougea a souhaité la bienvenue à 20 membres du Comité Technique provenant d Allemagne, Autriche, Espagne Finlande, France, Italie, Norvège, Royaume Uni, Suisse. La discussion a touché les points prioritaires suivants: Programme de normalisation : M. Legrand informe les délégations que M. Soury Lavergne a été chargé de vérifier, en ce qui concerne les normes CEN relatives aux exigences de sécurité des installations de transport à câbles, la congruence des différentes normes entre elles ainsi que la correspondance entre les normes et la directive européenne relative aux installations à câbles destinées au transport de personnes et de présenter son rapport aux instances compétentes. Il doit en outre veiller à ce que les conditions du mandat conféré par la Commission Européenne soient respectées. M. Soury Lavergne, grâce à ses fonctions de directeur technique au sein du SNTF (association française des exploitants) pendant 22 ans, dispose certainement de la compétence nécessaire pour exercer l activité dans le sens voulu. Par leurs applaudissements, les délégués accueillent avec joie et satisfaction la nomination de l expert bien connu dans les milieux des transports à câbles. Le président Fougea et Mme Geslin, responsable du secrétariat du TC 242, présentent ensuite le programme et le calendrier des travaux futurs du Comité Technique et des groupes de travail en précisant les différentes phases à parcourir, comme l enquête publique, le traitement des commentaires résultant de l enquête dans le groupe de travail de référence, la discussion du projet de norme au sein du TC 242, la vérification des textes par le Comité de Rédaction et finalement l enquête parmi les membres du TC assurer l homogénéité de toutes les normes. Vus ces passages, l approbation définitive des normes est prévue pour le deuxième semestre Mesures pour prévenir les incendies dans les installations à câbles. Vu le terrible accident en Autriche, le Comité Technique a soulevé le thème de la protection contre le feu. Lors de sa prochaine réunion, le Comité décidera s il y a lieu de constituer un groupe de travail spécifique, sur la base des travaux entamés et peut-être conclus - dans le cadre du groupe d experts nommé en Autriche pour examiner les mesures pour prévenir les incendies des funiculaires passant dans un tunnel. PrEN Génie civile. Après discussion, le Comité Technique approuve le projet de norme pren à la majorité et le transmet au vote formel. Groupe de travail Compatibilité électromagnétique. Après nomination des experts de la part des pays, la première réunion du groupe de travail est prévue pour le mois de janvier Directives CEN concernant la prise en compte des aspect de l environnement: Le Comité Technique a décidé que les groupes de travail dont les normes n ont pas encore fait l objet de l enquête publique doivent tenir compte, dans le texte des normes des aspects environnementaux suivants : Utilisation des ressources, consommation d énergie, émissions dans l air et l eau, déchets, bruit, migration de produits dangereux, impact sur le sol, danger pour l environnement provenant des accidents ou abus. Les réunions 2001 auront lieu en juin à Berne (CH) et en octobre à Londres (UK) OIPEEC Septembre dernier, l OIPEEC. a organisé à Cracovie/Pologne un séminaire technique ayant pour objet le contrôle non-destructif des câbles sur invitation de l Académie des Mines et Métallurgie de l Université de Cracovie. La 14

15 participation a été bonne avec un grand nombre de délégations provenant de toutes les parties du monde ce qui a contribué à animer la discussion sur les questions spécifiques et la problématique de fond des contrôles nondestructifs des câbles. Au mois d août 2001, l OIPEEC tiendra un de ses colloques organisés tous les quatre ans qui aura lieu à l ATLSS Center, Lehigh University, Bethlehem, Pennsylvania, USA du 20 au 22 août, Thème du colloque : Fixations d extrémité des câbles et Fixations par câbles Le point central du séminaire sera le résultat des recherches concernant les effets des caractéristiques mécaniques des fixations d extrémité et des autres fixations par câbles sur la durée de vie des câbles. La question est de la plus haute importance pour la sécurité d emploi des câbles dans les différents champs d application. Il est prévu de tenir compte, dans le tableau d ensemble, de toute la gamme des systèmes statiques et dynamiques de fixations d extrémité ainsi que des interdépendances entre le câble et les autres équipements. Le programme prévoit deux journées entières pour la présentation de communications scientifiques et la visite d un laboratoire d essais. Le colloque est ouvert aux membres et non-membres de l OIPEEC et il est entendu que les nonmembres, eux aussi, sont habilités à soumettre des présentations techniques. Téléphérique pour traverser le détroit de Messine Récemment nous avons entendu parler d un projet d installation à câbles qui a de la fascination et suscitera certainement beaucoup d intérêt: C est le projet de relier les deux extrémités du détroit de Messine par un téléphérique bicâble à va-et-vient pour créer une liaison permanente aux finalités purement touristiques entre la terre ferme italienne et la Sicile. Le projet démontre une fois de plus que les téléphériques bi-câbles à va-et-vient ne se limitent pas aux l applications traditionnelles de montagne, pour surmonter des dénivelés mais qu ils peuvent être employés pour relier deux pays ou régions. L idée de créer la liaison Italie- Sicile n est pas neuve: C est le Prof. D Armini, premier président de l O.I.T.A.F. jusqu en 1971 et successivement membre d honneur, qui, il y a 15 ans, a fait les premières recherches et qui a démontré la possibilité de réaliser le projet par une étude de faisabilité. Aujourd hui le projet redevient d actualité. Quelques données techniques : Longueur de la portée centrale : m Longueur des deux portées d extrémité: Sur la terre ferme: 675 m Sur l île: 750 m Hauteur des deux pylônes: Sur la terre ferme: 325 m Sur l île: 335 m Débit: env p/h Investissement (1999) : env. 80 milliard de Lire ( Euro) Deux livres parlent de l histoire mondiale des installations à câbles Le journaliste bien connu Hans Dieter Schmoll a rassemblé pendant des années les documents inhérents à l évolution des remontées mécaniques qu il publie maintenant en deux volumes A l aide d un grand nombre de photos et avec des pages de texte intéressant et parfois plein d humour, H. D. Schmoll ne nous montre pas seulement les premières installations (qui remonte, dit-on, à 250 av. J C) mais aussi l évolution continue du secteur et les curiosités qui n ont été construites qu une seule fois. Dans le deuxième volume il décrit le développement technique plus récent des remontées mécaniques, un panorama merveilleux des premiers appareils modernes jusqu au lancement des installations à câbles de tous les types de la dernière génération. Comme le souligne le Prof. Oplatka dans l introduction, il faut savoir gré à l auteur de s être attaché à la besogne parce que, en effet, le temps s envole et les documents ainsi que les témoins de l histoire deviennent de plus en plus rares. Nous rallions à cette vérité et remercions de notre côté M. H. D. Schmoll d avoir publié l histoire de notre secteur. Les 2 volumes sont disponibles à l adresse suivante: Ottmar F. Steidl GmbH. Vertrieb P.O. Box 38 Kirchenstrasse 25 A-5301 SALZBURG / Eugendorf Prix des volumes: Volume I 22 Euro + 4 frais d envoi (358 ATS / 45 FS) 15

16 Volume II 22 Euro + 4 frais d envoi Dr. Rudolf Mumenthaler, ETH-Bibliothek, Rämistrasse (358 ATS / 45 FS) 101, CH-8092 Zurich. Volumes I + II 39 Euro + 4 frais d envoi (592 ATS / 74 FS) CALENDRIER Réunions O.I.T.A.F. dans l année 2001: Projet banque de données bibliographique Comité Directeur des remontées mécaniques Comité Exécutif Comm.d Etudes n I 19./20.03 L Institut des Systèmes Mécaniques, div. remontées mécaniques (anciennement l Institut Gr. De travail (I) 22./23.1. Comm.d Etudes n II des Constructions Légères et des Téléphériques) de l Ecole Polytechnique Fédérale (EPF) Comm.d Etudes n IV 30.4./01.05 Comm.d Etudes n III de Zurich possède une bibliothèque d env. Gr.de travail Envir documents, en différentes langues, Comm.d Etudes n VI relative aux câbles et remontées mécaniques. Séminaire O.I.T.A.F. entre 11 et Cette collection sera transférée à la bibliothèque centrale de l EPF et pourra y être ALPITEC Bolzano O.I.T.A.F. dans l INTERNET consultée. En collaboration avec la bibliothèque centrale de l EPF, l institut a enregistré dans une banque de données les références bibliographiques des 5000 documents les plus importants tels que articles de périodiques, livres, exposés de conférence, normes, prospectus, communications, fascicules de brevets, littérature diverse (rapports non publiés p.ex.), à l exclusion de documents confidentiels. La banque de données est accessible par Internet: Elle permet la recherche dans le catalogue à l aide de mots-clés, noms d auteur, année de parution, périodiques, langue etc. La réponse comprend la liste des informations trouvées et le résumé du document si nécessaire. S il le désire, l utilisateur peut commander directement par Internet une copie du texte complet ou le prêt d un livre. L accès à la banque de données est gratuit. Les frais de copies et de prêt sont ceux appliqués à la bibliothèque de l EPF (tarif sur la page internet) Les frais de mise à jour de la banque de données sont pris en charge par les firmes et institutions utilisatrices qui sont les partenaires du projet. En revanche, la liste des partenaires (qui n est pas encore close) et un lien hypertexte sur la page internet de chaque partenaire sont disponibles sur la page de la banque de données. En outre, l accroissement du contenu de la banque est communiqué périodiquement aux partenaires. Des inscriptions ainsi que les remarques concernant la banque de données peuvent être envoyées à l adresse info.ropeway@library.ethz.ch ou à l adresse postale: Possibilité de consultation uniquement pour les membres O.I.T.A.F.: Nous avons créé la possibilité d accès direct pour les membres de l O.I.T.A.F.des: Recommandations techniques de l O.I.T.A.F.et des études récentes élaborées par les Commissions d Etudes ces dernières années. Il suffit de faire une tentative! De même, Vous pouvez entrer dans la dernière édition des O.I.T.A.F.-NEWS. Il est évident qu Vous devez Vous servir du mot de passe que Vous avez reçu par la poste. Généralités: Le site de l O.I.T.A.F. se trouve sous l adresse > dans les langues allemand, anglais, français, italien et espagnol. Le site fournit les informations nécessaires sur l O.I.T.A.F. et notamment : Qu est-ce que l O.I.T.A.F.? L organigramme de l O.I.T.A.F. Les statuts de l O.I.T.A.F. Activités de l O.I.T.A.F. NEWS et autres informations de l O.I.T.A.F. Mandats de l O.I.T.A.F. Commission d Etudes de l O.I.T.A.F. Recommandations Techniques, Etudes et Statistiques de l O.I.T.A.F. Exposés des séminaires O.I.T.A.f O.I.T.A.F.-NEWS Séminaires de l O.I.T.A.F. Notre adresse électronique pour toute autre information : <info@oitaf.org> Impressum: O.I.T.A.F. Secrétariat I BOLZANO, Palazzo Provinciale 3B, -Via Crispi, 10; Tel Fax H.Brugger@provinz.bz.it or info@oitaf.org Sauf indication contraire, textes et photos élaborés par le secrétaire général de l O.I.T.A.F. 16

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