MARCHÉ MONDIAL DES PRODUITS LAITIERS : DEMANDE DYNAMIQUE

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1 MARCHÉ MONDIAL DES PRODUITS LAITIERS : DEMANDE DYNAMIQUE Les prix du lait payés en Europe atteignent des niveaux record, tirés par la hausse continue des cours des fromages ingrédients, des poudres de lait et du beurre et leur répercussion sur les prix de vente à la grande distribution qui s opère dans toute l Europe, sauf en France et dans l Europe du Sud touchée par la crise économique. En l absence d aléas climatiques et portée par une rentabilité plus élevée pour les éleveurs, la production laitière progresse fortement en Nouvelle-Zélande et dans l Europe du nord. Aux Etats-Unis, elle évolue à la hausse mais plus modestement tandis qu elle continue de reculer en Australie et en Russie. La demande de poudres de lait et de fromages ingrédients des pays émergents progresse à un rythme élevé, dopée par la Chine en particulier. La progression actuelle de la production laitière mondiale n apparait pas suffisante pour couvrir la hausse de la demande. Les fabricants européens peinent à satisfaire la demande internationale et n ont pas reconstitué leurs stocks de beurre et de poudre 0 % malgré une collecte laitière en forte hausse. La crainte d un déficit de produits laitiers sur le marché mondial en 2014 pousse à la hausse les cours mondiaux des poudres de lait, du beurre et des fromages ingrédients alors qu ils étaient déjà à des niveaux record en n PRODUCTION EUROPÉENNE : COLLECTE ET PRIX EN HAUSSE La hausse de la production laitière européenne s accélère de mois en mois pour atteindre + 4,4 % en octobre grâce à l Europe du nord qui augmente sa collecte de 4 % à 16 % selon les pays. En revanche, les pays méditerranéens et la plupart des pays de l Est voient leur collecte stagner au niveau de

2 n LES MARCHÉS EUROPÉENS TIRÉS PAR L EXPORT La remontée de la collecte laitière européenne à l automne fait progresser les fabrications de beurre et de poudres de lait qui trouvent des débouchés à l export sur pays tiers. Les fabrications de PGC sont affectées par la morosité de la consommation des ménages en Europe. La hausse des cotations européennes de fromages ingrédients se poursuit en fin d année. La grande distribution allemande a accepté une nouvelle hausse des prix des PGC à l automne, la 3ème en un an. Les exportations européennes vers les pays tiers bénéficient de la bonne orientation du marché mondial et progressent en volumes à l automne, grâce à de meilleures disponibilités en matière première laitière dans l Europe du nord. n LE MARCHÉ LAITIER FRANÇAIS PLUS A LA PEINE La collecte laitière française progresse d environ 5 % depuis septembre grâce à une amélioration de la rentabilité pour les éleveurs et une meilleure récolte de fourrages qu en La dynamique de la collecte demeure inégale selon les régions, le Grand ouest et la partie nord de la France, hors bassins céréaliers, enregistrant les meilleures progressions. Sur 10 mois 2013, le prix du lait départ ferme en France ressort à 341 par 1000 litres en et 354 par 1000 litres à teneurs réelles. Le prix du lait moyen allemand a atteint 404 par 1000 litres en novembre, en progression continue depuis avril. Les coûts de production du lait à la ferme mesurés par l Ipampa lait baissent plus rapidement à l automne en lien avec les prix des aliments concentrés. Le ratio coût de l alimentation / prix du lait situation en août 2013 La baisse de la collecte de 0,7 % sur 10 mois 2013 se traduit par une chute des fabrications de beurre (- 5 %) et de poudres : - 14 % pour la poudre écrémée et - 16 % pour les poudres grasses. Les fabrications de PGC évoluent en corrélation avec la consommation intérieure. La collecte laitière française progresse de près de 5 % au 4 ème trimestre. Cependant, la collecte baissait d environ 3 % à la même période en La France laitière est coupée en deux entre l ouest et le nord dynamique et les autres régions qui ont connu de nombreux arrêts de production depuis un an et demi. La consommation française de produits laitiers résiste tant bien que mal au contexte économique morose. Les prix de vente consommateurs des produits laitiers sont en déflation depuis un an pour toutes les familles de produits laitiers, pour cause de guerre des prix entre les enseignes de la grande distribution. Les prix de vente sortie usine des produits laitiers, en hausse en juin et juillet après l intervention du médiateur, rechutent en octobre, sous la pression de la grande distribution qui cherche à récupérer les hausses concédées. 5

3 Contre toute attente, les cours des produits laitiers industriels : poudres de lait et beurre, repartent à la hausse en décembre, malgré la remontée générale de la production laitière dans l Europe du nord, car les entreprises n ont pas pu reconstituer des stocks normaux pour cette période de l année. De plus, les acheteurs européens et internationaux n ont pas encore couverts tous leurs besoins des prochains mois. Sur neuf mois 2013, les exportations françaises de produits laitiers progressent de 4 % grâce à la hausse des prix unitaires qui compense la baisse des volumes. Les exportations françaises de fromages augmentent de 5 % en volume et celles de lactosérum de 4 %. Les exports reculent pour la plupart des autres produits laitiers par manque de lait disponible. Le lait de consommation bénéfice de l explosion des exports vers la Chine : % sur neuf mois. Les exportations de poudres grasses s améliorent à partir d avril avec la défaillance océanienne. PERSPECTIVES OPTIMISTES A SIX MOIS Les marchés laitiers internationaux et européens viennent de connaitre une nouvelle phase de hausse générale des cours des commodités laitières, inédite à cette période de l année où l Europe se prépare au pic de collecte du printemps. Après une année 2013 record en terme de prix du lait et de cours des produits laitiers industriels, 2014 devrait se traduire par une nouvelle progression très significative, tirée par une demande mondiale de produits laitiers en plein boom, en particulier en Chine, que les principaux exportateurs : Union Européenne, Nouvelle-Zélande, Etats-Unis, n arrivent pas à satisfaire. Source : Service économique ATLA EUROS/T BEURRE CUBE EUROS/T SPRAY 0 % cons. animale EUROS/T SPRAY 26 % EUROS/T LACTOSÉRUM alim. animale 6

4 PRIX DU LAIT : LE PARADOXE FRANÇAIS n UN PRIX DU LAIT 2013, LE MEILLEUR DE CES 5 DERNIÈRES ANNÉES Sur la période de janvier à octobre 2013, le prix du lait départ ferme en France, ressort à 341 / L à 38/32 et 353 à teneurs réelles constituant le niveau de prix moyen le plus favorable de ces 5 dernières années (source France Agrimer). Pour autant et malgré une garantie de hausse annuelle de + 25 /1 000 L consécutive à la médiation et légèrement supérieure à l application directe des indicateurs annuels de + 25, soit près de + 8 % comparée à 2012 ainsi qu un tassement des coûts de production des exploitations mesurés par l IPAM- PA lait (cf tableau ci-contre), cette situation est jugée insuffisante par le syndicalisme au regard du prix allemand à la production. Sur 12 mois glissants celui-ci est à fin septembre supérieur de 16 au prix du lait français. Force est de constater des situations commerciales différentes entre les deux premiers pays laitiers européens. En France les entreprises n auront pu répercuter au mieux que la moitié de cette hausse technique de 25 en pied de facture auprès de leurs clients distributeurs sur l année 2013 compte tenu d une augmentation tarifaire accordée à compter du 1er juin 2013 (soit 7/12ème rapportées aux 3 cts par litre de lait de consommation et 2 cts par litre de lait utilisé dans les produits transformés). La guerre des prix entre enseignes qui se traduit par des demandes de compensation de marges en limite les effets. Les laiteries allemandes ont quant à elles conclu des négociations d augmentation de prix avec la grande distribution alimentaire, la troisième en un an pour les produits laitiers et standards de la gamme blanche (lait, crème, ultrafrais). n UN CADRE LÉGISLATIF REMIS EN CAUSE? Après les réactions de la FNIL (cf édito de Rencontres N 82) qui a dépeint le contexte de dégradation de l économie laitière française c est au tour de l ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) par communiqué de presse du 13 décembre d alerter Pouvoirs Publics et législateur quant au Projet de Loi sur la Consommation et de mettre en exergue «les négociations commerciales qui fragilisent la compétitivité de toute la filière agricole et agroalimentaire et menacent sa survie». Celle-ci demande aujourd hui «à sortir enfin de la logique conflictuelle favorisée par le cadre législatif actuel pour passer à une logique de reconstruction de la relation. Le secteur n y parviendra qu en encadrant les relations commerciales avec un retour à des fondamentaux de bon sens, condition indispensable pour rééquilibrer à minima les relations avec la grande distribution». Toujours selon l ANIA «cela permettrait aux entreprises de stopper la dégringolade de leurs marges (- 14 % en 5 ans) et ainsi reprendre le chemin des investissements, des recrutements et de la croissance, sans pénaliser le pouvoir d achat des consommateurs». L ANIA poursuit «la LME dans sa forme actuelle et après 5 années a apporté la preuve de son inefficacité. Elle n est que le facteur aggravant d un déséquilibre intrinsèque entre les entreprises du secteur et les 7 enseignes de distribution. Il ne faut pas mettre définitivement en danger une filière stratégique pour la France, et gâcher davantage son potentiel de croissance». Les entreprises doivent valoriser le lait sur les marchés internationaux mais aussi intérieurs dans un contexte de prix bas à la consommation défendu par la grande distribution et les pouvoirs publics. Selon Philippe CHALMIN, Président de l observatoire de la formation des prix et des marges «cette politique a atteint ses limites». Au motif de prix bas à la consommation, la grande distribution ne peut s opposer à toute évolution tarifaire pour 2014 alors que les perspectives de marchés restent particulièrement tendues. Tous les acteurs de la filière ont la nécessité de sortir de la gestion de crise autrement que par la médiation pour organiser des relations pérennes en son sein. La forte augmentation du prix du lait payé aux producteurs en juin et juillet a été peu répercutée sur les prix sortie usine des produits laitiers et pas du tout sur les prix de vente aux consommateurs. Les marges des transformateurs et des distributeurs sur les produits laitiers se réduisent en n 2014 : UNE NOUVELLE PROGRESSION DU PRIX ATTENDUE Une croissance continue de la demande de produits laitiers sur les marchés internationaux - La Chine augmente ses importations de poudre de lait entier de 28 % en 2013 par rapport à La Russie progresse de 41 % pour la poudre de lait écrémé et de 31 % pour le beurre - Pour les fromages, les importations russes augmentent de 7 %, celles du Japon de 4 % et celles du Mexique de 14 %. Les grands pays producteurs de lait peinent à suivre la croissance de la demande malgré des productions laitières en forte hausse : - + 3,3 % pour l Union Européenne en septembre - + 7,4 % en Nouvelle Zélande mais seulement + 1 % aux USA et 4,9 % en Australie Les cours mondiaux de produits laitiers ne cessent de progresser Contrairement à beaucoup d autres matières premières agricoles (céréales, soja, café, huiles dont les cours baissent en % pour le beurre + 36 % pour la poudre de lait écrémé + 47 % pour la poudre de lait entier + 14 % pour le cheddar EN RÉSUMÉ Pour 2014, tous les indicateurs avancés sur les marchés indiquent un niveau haut de prix du lait Trois raisons majeures : - Les cours des produits laitiers continuent de progresser - Les prix du lait payés en fin d année en Europe montent à des niveaux record. - La production laitière mondiale n augmente pas suffisamment pour reconstituer le niveau minimal des stocks Sous conditions - Une prise de responsabilité de chaque maillon de la filière (Producteurs Transformateurs Distributeurs) et des Pouvoirs Publics face à cette situation. 7

5 LACTALIS SOLDE POSITIVEMENT 2013 ET ENGAGE 2014 AVEC UN PRIX EN FORTE HAUSSE C est à l issue d une réunion de concertation avec l UNELL (Union Nationale des Eleveurs Livreurs à Lactalis) le 19 décembre, qu un consensus est intervenu relativement au prix du lait. La FNPL dans une lettre du 20 décembre 2013 à ses Fédérations départementales et régionales se félicite «du départ de nouvelles discussions entre l Entreprise et les Groupements de Producteurs» et salue «l esprit d ouverture de Lactalis». Ce consensus prend les formes ci-après. n SOLDE DE L ANNÉE 2013 : FINALEMENT CE SERA + 26,20 Conformément à la médiation, Lactalis s était engagé à augmenter le prix du lait aux producteurs de 25 / L pour l ensemble de l année 2013 : - Dès de mois d avril et sans attendre le relèvement des prix à la distribution qui n est intervenu qu en juin, par une avance de prix sur le 2ème trimestre de 25 définitivement acquise aux producteurs afin d aider à la trésorerie des exploitations ; - Par l annonce dès juillet 2013 de garanties de hausses sur le second semestre donnant réellement de la visibilité sur le prix du lait dans un contexte de volatilité constante des marchés, avec : + 40 en moyenne sur le 3ème trimestre + 50 en moyenne sur le 4ème trimestre les prix de base de décembre 2013 étant ajustés régionalement en fonction des pondérations de collecte pour respecter le niveau annuel de 25. Pour décembre à cette hausse mensuelle pondérée s ajoute la régularisation de l ajustement de 5 / L opéré sur le T4/2012 au titre de l observation des prix pratiqués par l environnement concurrentiel de Lactalis. Cette régularisation qui a une incidence annuelle de 1,20 / L porte l augmentation annuelle du prix du lait pour les producteurs livrant à Lactalis à 26,20 / L soit + 8 % sur l année 2013 comparée à l année précédente, au-delà de la recommandation du médiateur des relations commerciales agricoles. Ces 1,20 sont intégrés dans la base annuelle 2013 servant de référence à l application des évolutions de marchés n PRIX DU LAIT 2014 : UN ENJEU DÉTERMINANT LES NÉGOCIATIONS AVEC LA GRANDE DISTRIBUTION L objectif affiché reste l observation des indicateurs de marchés tels que figurant au contrat, appliqués au prix de référence régional 2013 Lactalis. Ce début 2014 est marqué par : - Des négociations en cours difficiles avec nos clients distributeurs, devant être finalisées selon la loi, au 28 février Des indicateurs de marchés extrêmement haussiers sur le T Une volatilité probable des prix de marchés sur l année 2014 et une forte dispersion entre trimestres. Face à ces constats et ces niveaux de risque Lactalis s est engagé sur les modalités ci-après :. à appliquer sur janvier et février 2014, l évolution des indicateurs avec pour socle les prix de base moyens 2013 payés en régions.. à appliquer un lissage, acté après débat, sur la base de - 15 sur janvier et février. Les montants correspondants seront clairement identifiés sur le bordereau de règlement de livraisons de ces 2 mois sous la rubrique «ajustement conjoncturel». Ils seront individuellement réaffectés sur les mois de juillet et août à revoir les OP à l issue des négociations commerciales avec les enseignes de distribution pour construire et déterminer la politique de prix des mois suivants. Un calendrier de travail a d ores et déjà été établi Concrètement cela se traduit par une évolution de prix record de l ordre de + 82 / L sur JANVIER et d un montant proche sur FÉVRIER auquel s ajoute la flexibilité (+ 3,24 ) et la prise en compte de la saisonnalité régionale, amenant à des prix de base payés allant au-delà de 400 / L. Ces fortes hausses actées avec les OP et dans le respect du contrat nécessitent de pouvoir être répercutées sur les prix de ventes aux distributeurs en cours de négociations. Elles s inscrivent donc dans un prix moyen annuel Le résultat de celles-ci sera déterminant pour la suite des évolutions de prix 2014, objet des travaux des prochains mois entre Lactalis et ses OP. NE PAS SCIER LA BRANCHE SUR LAQUELLE LES PRODUCTEURS SONT ASSIS Lactalis qui a été pris pour cible par le syndicalisme agricole (FNSEA, JA, FNPL) condamne fermement toutes les actions visant à dénigrer ses marques, à porter atteinte à la commercialisation de ses produits, à bloquer des sites industriels et des camions de collecte. Ni la liberté syndicale, ni la liberté d expression ne peuvent justifier ces dérives. Un courrier a été adressé en ce sens au Président de la FNSEA. Lactalis a strictement respecté depuis le mois d avril dernier les recommandations du médiateur des relations commerciales agricoles qui ont conduit à une hausse supérieure à 26,20 / L faisant du prix 2013 dans un contexte économique difficile le meilleur de ces cinq dernières années. Toute affirmation contraire serait totalement infondée ; A l aube de la sortie des quotas laitiers, l heure est à préparer l avenir et non à stigmatiser le leader de la filière laitière qui, présent sur tout le territoire et continuant d y investir est le garant de l avenir des exploitations qui l approvisionnent. 8

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