Partie 1A La Terre dans l univers, la vie et l évolution du vivant

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1 Partie 1A La Terre dans l univers, la vie et l évolution du vivant Chapitre 1 Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l'évolution : l'exemple de la vie fixée chez les plantes 1

2 Anatomie d un angiosperme 2

3 La partie aérienne Elle comprend un axe cylindrique, la tige principale, d où partent des tiges secondaires ou rameaux. A l extrémité de chaque tige se trouve un petit organe renflé : le bourgeon terminal. La tige et les rameaux portent des organes verts en forme de lame, les feuilles. Les endroits où ces feuilles s attachent sur les tiges sont appelés nœuds et l espace compris entre deux nœuds est un entre-nœud. Chaque feuille comprend : une partie aplatie, appelée limbe (parcourue de nervures), une partie étroite, le pétiole, et une base élargie, la gaine. A l aisselle des feuilles se situent des petits bourgeons appelés bourgeons axillaires. La partie souterraine La tige se continue dans le sol par un organe brun qui va en s amincissant, c est la racine principale. Elle se ramifie en de nombreuses racines secondaires, ou radicelles, elles-mêmes ramifiées. Sur les racines se trouvent des petits renflements appelés nodosités. 3

4 Conclusion Les Angiospermes sont des organismes vivants végétaux qui ont une vie.. pour la plupart à l du sol et de l air. Les Angiospermes qui sont les plantes à..produisant des.. Ils ont besoin de ressources qu'ils trouvent dans leur habitat, le.. (eau et ions) et. (CO2). Ils utilisent aussi. pour la convertir en énergie chimique lors de la photosynthèse. Elles ne peuvent pas se pour se procurer leur nourriture, se mettre à l'abri, ou se reproduire. Elles ont privilégié, au cours de l'évolution, le développement d'un et d'un. (aérien) qui comprend tiges, feuilles et fleurs. Ces 2 systèmes sont interdépendants grâce aux. qui les relient (dans les troncs et les tiges). Leur structure fonctionnelle reflète leur histoire évolutive sur la Terre. 4

5 Comment expliquer la relation entre les structures et l organisation fonctionnelle des Angiospermes en relation avec leur mode de vie? Comment assurer ses fonctions de nutrition, de protection et de reproduction avec les contraintes de la vie fixée? 5

6 I/ Les feuilles et les racines sont des systèmes d échanges performants avec l environnement TP1: L organisation fonctionnelle des Angiospermes aériennes et leur mode de vie Savoir: Elle développe des surfaces d'échanges de grande dimension avec l'atmosphère (échanges de gaz, capture de la lumière) et avec le sol (échange d'eau et d'ions). Savoir faire: Recenser, extraire et exploiter des informations concernant l organisation fonctionnelle d une plante Réaliser et observer une préparation microscopique de racine, de coupe transversale de feuille, de tige. 6

7 Conclusion TP1 Les. des feuilles avec l atmosphère et des racines avec le sol sont importantes. En effet le rapport des feuilles des Angiospermes est très supérieur à ceux des animaux. L extrémité des racines contient des.. qui augmentent la surface totale des racines. Plus la surface d un organe est importante plus les échanges qu il réalise seront importants. La surface d'échange gazeux ne correspond pas seulement aux.., mais à toutes les surfaces en contact avec l atmosphère interne dans le parenchyme lacuneux. La présence et l organisation en de cellules chlorophylliennes, photosynthétiques possédant des chloroplastes avec des pigments photosynthétiques optimisent la réception de la lumière nécessaire à la photosynthèse. Le rapport.. important des racines est en rapport avec la fonction d absorption de l eau et des ions qui peuvent se trouver assez éloignés de la plante (horizontalement ou verticalement). La structure souvent des racines leurs permet aussi le maintien du port dressé. 7

8 II/ La circulation de matière dans la plante peut se faire par des vaisseaux conducteurs TP2 : Mise en évidence de la transpiration chez les végétaux Savoir: Des systèmes conducteurs permettent les circulations de matières dans la plante, notamment entre systèmes aérien et souterrain. Savoir faire: Recenser, extraire et exploiter des informations concernant l organisation fonctionnelle d une feuille Réaliser et observer une préparation microscopique d épiderme de feuille 8

9 Conclusion L eau ayant circulé dans les de sève est éliminée par. Celle-ci s effectue notamment au niveau de la face inférieure des feuilles par les.. et est activée par la ventilation. De plus la structure des feuilles permet l entrée de l air contenant du CO2 par les.. tout en limitant la perte d eau par : la position des stomates est majoritairement au niveau de. des feuilles. Des racines jusqu aux feuilles lieu de la photosynthèse, de la sève.. (eau et ions) circulent dans des vaisseaux conducteurs du. Des feuilles vers le reste de la plante circule la sève.. contenant les molécules organiques (Glucides, Acides aminés, lipides etc ) synthétisées lors de la photosynthèse dans des vaisseaux conducteurs du phloème. 9

10 III/ La plante possède des structures et des mécanismes de défense contre les agressions extérieures Les agressions extérieures peuvent être dues : - à d autres êtres vivants qui entrent en concurrence pour l espace ou sont des consommateurs - des conditions physicochimiques du milieu comme la température, l hygrométrie etc (biotope) Étude d un exemple: Le laurier cerise 10

11 A/ Existence de structures de défenses 1- Les plantes possèdent de nombreuses structures (organes, tissus, cellules, molécules) leur assurant une certaine protection. Ex: les acacias présentent de nombreuses épines (armes mécaniques), EX: Les tanins (arme biochimique) molécules qui rendent leurs feuilles indigestes et hébergent des fourmis qui attaquent les prédateurs (arme biologique). 11

12 2- Dans les climats secs, la face supérieure des feuilles est recouverte d'une cuticule imperméable qui limite la transpiration. Les stomates ne sont localisés que sur la face inférieure qui se trouve plus à l'ombre. Coupe transversale (sans coloration) dans le limbe d'une feuille de Laurier rose. Cuticule Cellules épidermiques non chlorophylliennes parenchyme palissadique parenchyme lacuneux D après 12

13 3- Les bourgeons qui résistent au froid grâce aux écailles épaisses et imperméables et du duvet qui permettront la formation des feuilles au printemps. Écailles protectrices Goutte d eau + coton sur le bourgeon Écaille brune protectrice Bourre Écaille verte Jeune feuille Coupe longitudinal dans un bourgeon de chêne D après dissection d un bourgeon-svt dijon- Sandrine ESQUIROL-PAQUEROT 13

14 Dans le bourgeon, les jeunes pousses sont bien protégées es. Les bourgeons peuvent résister r sans dommage à des températures de -10 à -15 C,notamment la tige feuillée miniature a une très s faible teneur en eau. En revanche, au moment du débourrement d des bourgeons, les jeunes feuilles et surtout les fleurs gèlent g et meurent à -22 ou -3 C. C est C pour cette raison que les arboriculteurs placent des systèmes de chauffage dans leurs vergers en cas de gel au printemps. 14

15 B/ Des mécanismes de défense Certains mécanismes assurent la protection des plantes à vie fixée (modification momentanée des structures et symbiose). Ex: Les feuilles de l Oyat les mouvements de la feuille d'oyat en fonction de l'humidité de l'air (Hydronasties) Quand l air est humide Quand l air est sec 15

16 En climat tempéré les arbres perdent leur feuille lors de la saison défavorable à la photosynthèse (Hiver).Les feuilles sont sensibles au gel et sont le siège d'une importante évaporation. Les arbres vont les perdre en automne (diminution de la luminosité) et vont rentrer en vie ralentie pendant la période froide (Bourgeons). 16

17 Conclusion Au fil de l évolution, une grande variété de systèmes de défense contre les agressions du milieu se sont mis en place chez les plantes à fleurs. Il s agit à la fois de moyen de défense contres les pathogènes et les prédateurs ( épines, poils, molécules toxiques etc ) et de mécanismes d adaptations aux variations saisonnières du milieu (bourgeons, chute de feuilles et vie ralentie en hiver etc ) 17

18 IV/L organisation fonctionnelle des fleurs permettent la reproduction sexuée des plantes fixées A.L organisation florale TP3: Organisation florale d un angiosperme. Savoir faire : Réaliser la dissection d'une fleur simple Traduire les observations sous une forme schématique simple (diagramme floral). 18

19 Conclusion La fleur est constitué de 4.., couronne concentrique de pièces florales : le (l ensemble des sépales), la (l ensemble des pétale), l androcée (l ensemble des organes reproducteurs mâles les..) et l androcée (l ensemble des organes reproducteurs femelles ). est contrôlée par des gènes de développement floral. Toute.. de ces gènes provoque des modifications des verticilles. 19

20 20

21 B. La reproduction sexuée des plantes à fleur 1-La dissémination du pollen et la coévolution «Notons le rôle central de la biodiversité dans la reproduction des végétaux, via la pollinisation. Bien que certaines plantes sachent se reproduire toutes seules, ou utiliser pour cela le vent et l'eau, une majorité des espèces végétales sont dépendantes du monde animal - particulièrement de celui des insectes - pour se reproduire. Mais la diversité des insectes est vitale pour les plantes, car à chaque plante son insecte! Les insectes pollinisateurs sont tous ceux qui butinent les fleurs au stade adulte : mouches, coléoptères, papillons et surtout abeilles. La reproduction sexuée chez les plantes supérieures nécessite le transport de pollen, provenant de l'organe mâle, l'étamine, vers l'organe femelle, le pistil. Dans la plupart des cas, et bien que la majorité des fleurs soit hermaphrodites, il y a transfert entre organes mâles et femelles d'individus différents. Cette reproduction nécessite un vecteur pour transporter le pollen à distance et assurer la pollinisation. C'est le vent qui transporte le pollen pour la plupart des graminées (pollinisation anémophile), mais le vecteur est un insecte (pollinisation entomophile) pour la majorité des autres plantes à fleurs, cultivées ou non. Ils sont attirés par le parfum ou la couleur des fleurs et sont récompensés de leur visite par le nectar qu'ils consomment et qui leur fournit l'énergie nécessaire pour continuer à butiner de fleur en fleur. Les insectes les plus efficaces pour la pollinisation ont fréquemment le corps hérissé de nombreux poils (appelés soies), ou même présentent des organes spécialisés pour la récolte de pollen, comme des corbeilles situées sur les pattes des abeilles. 21

22 Certaines espèces d'insectes peuvent polliniser de très nombreuses espèces végétales, alors que d'autres se restreignent à un nombre réduit de plantes. La longueur de la trompe des papillons ou de la langue des abeilles sera déterminante pour les espèces végétales à visiter : on se souviendra que Darwin avait prédit l'existence d'un papillon avec une trompe de «onze pouces» de long en observant les éperons nectarifères de l'orchidée malgache Angraecum sesquipedale. Ce papillon (Xanthopan morgani praedicta) n'a été découvert que 30 ans plus tard! Trompe D après

23 La spécificité étroite entre la plante et l'insecte est poussée à l'extrême chez les orchidées du genre Ophry qui ne produisent pas de nectar, mais sont pollinisées par des mâles d'abeilles solitaires dont elles imitent la phéromone sexuelle. Attirés jusqu'à la fleur par ce «leurre sexuel», les mâles d'eucera ou de Colletes tentent de s'accoupler avec le labelle (pétale avec une forme particulière chez les orchidées) de la fleur, frôlent les poches à pollen (les anthères) de l'orchidée, puis repartent avec des grains de pollens collés sur la tête! Le même comportement répété sur d'autres fleurs assure ainsi la pollinisation de ces orchidées! Labelle

24 Pollinisation chez la Sauge Image 1: Fleur au stade mâle Image 2: Insecte fait basculer l étamine en appuyant sa tête sur le point de bascule Image 3: L insecte reçoit le pollen sur son dos. Image 4: l insecte visite une autre fleur au stade femelle D après H. Camefort et H. Boué Reproduction et biologie des principaux groupes végétaux. 24

25 Comprendre l Autopollinisation- ex Epine vinette 25

26 Pollinisation chez la sauge: comprendre l auto-incompatibilité D après H. Camefort et H. Boué A-longistylée B- brévistylée Il existe des fleurs chez lesquelles le style de l'organe femelle est long (fleur longistylée) et les anthères disposées sous le stigmate. D'autres plantes ont des fleurs chez lesquelles le style est court (brévistylées) et les anthères disposées au dessus du stigmate. Des différences plus fines (taille des grains de pollen, taille des papilles stigmatiques) renforcent l'auto-incompatibilité et interdisent l'autofécondation. Fleur de primevère- A : longistylée- B : brévistylée 26 D après

27 2- De l ovule à la graine, de la fleur au fruit Utilisation du logiciel fleur o fruit: activité 3 27

28 Rien qu'en Europe occidentale, ce sont des milliers d'espèces de Lépidoptères ou d'hyménoptères qui sont impliquées dans la pollinisation. Il s'agit là d'un des principaux «services de la biodiversité» dont certains auteurs cherchent à chiffrer la contribution. Aux Etats-Unis par exemple, Losey et Vaughan (2006) chiffrent à 3 milliards de dollars par an l'apport pour l'agriculture des pollinisateurs hyménoptères. Ces auteurs ne considèrent pas les autres insectes pollinisateurs, et ne tiennent pas compte des milliers d'espèces végétales non cultivées qui dépendent exclusivement de la pollinisation par les insectes. Définitions Hyménoptères (Hymenoptera) sont un ordre d'insectes. Cet ordre comporte des espèces bénéfiques à l'homme pour leur rôle de pollinisateur ou d'auxiliaires de cultures. Des représentants communs de cet ordre sont les abeilles, les guêpes et les fourmis, Les lépidoptères (Lepidoptera) sont un ordre d insectes dont la forme adulte est communément appelée papillon. Quoi qu'il en soit, dans tous les pays développés ces insectes pollinisateurs sont en régression, notamment en milieu rural. Leur raréfaction pourrait bien avoir des impacts considérables sur tous les écosystèmes et bien entendu sur l'économie agricole. Les causes de ces raréfactions sont multiples, certaines sont bien connues et mises en permanence en évidence par les médias : urbanisation et destruction des milieux, intensification de l'agriculture et utilisation de produits phytosanitaires particulièrement toxiques. D'autres sont moins évidentes mais leur importance mériterait d'être évaluée : raréfaction des plantes légumineuses (de la famille des haricots, trèfles...) - source de nourriture pour les insectes - dans les rotations culturales, sélection de variétés horticoles qui ne produisent plus de nectar, uniformité spécifique des jardins d'agrément, appauvrissement génétique de l'abeille domestique par la sélection des reines, pollution génétique du bourdon terrestre par les souches d'élevage utilisées en cultures protégées... 28

29 Conclusion: Les plantes à fleur ont évolué depuis des millions d'années en même temps que les insectes qui les consomment et en même temps que les insectes qui leur permettent de se reproduire. La pérennité de cette cohabitation est sérieusement menacée par le changement global, et c'est tout l'environnement humain qui est concerné. Une politique d'espaces protégés ne servira à rien sans redéfinir nos modèles de développement sur l'ensemble du territoire, dans les milieux agricoles comme au cœur du tissu urbain. 29

30 Conclusion La dispersion du pollen est surtout réalisée par le..(anémogamie) ou par les. (zoogamie). D étroites relations se sont créées entre les animaux.et les plantes à fleur : caractère attirant les animaux surtout les insectes ( molécules odorantes, couleur, forme, nectar ), développement de. chez les animaux qui permettent le transport. du pollen( poils, trompes etc ). La pollinisation de nombreuses plantes repose sur une collaboration animal pollinisateur/plante. On observe des adaptations quasi simultanées au cours de l évolution des espèces interdépendantes : c est la. Produit nectar sucré et odorant Fleur de Colza Abeille Développement des pièces buccales capables de prélever le nectar 30

31 Exercice d évaluation: De la fleur au fruit 1-Complétez les légendes et le titre sur le schéma cidessous (sépale, étamine, pétale, pistil, ovule) 2- Bien observer ces 2 images et indiquer la partie de la fleur qui se transforme en fruit. 31

32 3- La dissémination des graines et la coévolution Utilisation du logiciel de la fleur o fruit (activité 1 et 2) Dissémination par le vent 32

33 Dissémination par l eau 33

34 Dissémination par les animaux Exemple 1: La Barbane: une dissémination passive Exemple 2: Interactions entre le lézard et le cactus : Les fruits produits par le cactus sont mangés par le lézard. Une fois digérées, les graines se retrouvent dans les excréments et germent. L intérêt du lézard est de trouver une source d eau dans les fruits, celui du cactus est de trouver un moyen de disséminer ses graines. Le cactus montre des adaptations à cette association : il produit des fruits sucrés et riches en eau, attirant les lézards. Ces fruits sortent à des heures où les lézards sont actifs (ils sont d ailleurs presque les seuls). Le lézard présente également des caractéristiques issues de l association : sa taille lui permet d atteindre les fruits et de les avaler. La digestion des graines par les sucs digestifs du lézard est indispensable pour l accomplissement de la germination. Produit des fruits à la chair comestible et rendus accessibles au lézard. Fruits sucrés et riches en eau. Lézard Cactus Produit Theme une 1A-V.Marquet- enzyme permettant la germination des graines 34

35 Conclusion Les grains de.. contenus dans les anthères des fécondent les ovules contenus dans les.. des ovaires. Certaines fleurs sont. : elles possèdent les organes reproducteurs mâles et femelles et peuvent donc en théorie s autoféconder. D autres ne possèdent qu un seul type d organe reproducteur et doivent réaliser des fécondations entre deux individus différents. Le résultat de la fécondation sera la transformation des pistils des fleurs en fruit contenant des graines. La germination des graines donne naissance à de nouveaux individus 35

36 La dissémination des graines est surtout réalisée par le. (anémochorie), par.. (zoochorie) et (hydrochorie). La dispersion des graines est nécessaire à la survie et à la dispersion de la descendance. Elle repose souvent sur.. animal disséminateur/plante produit d'une. : transport par les poils, déjection des excréments etc : 36

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