Centrafrique SECRETAIRE EXECUTIF NATIONAL
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- Camille Morneau
- il y a 8 ans
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1 RAPPORT DE MISSION BOSSANGOA L archevêqueavec une maman qui n a plus la force de fuir les combats Caritas Centrafrique Septembre
2 I. Brève justification de la mission Après les attaques dans les villes de Bouca, Bossangoa et ses environs, l Archevêquede Bangui, Monseigneur Dieudonné NZAPALAINGA, Président de la Caritas Centrafrique, a décidéde conduire une mission dans ces localités pour une évaluation d urgence et un plaidoyer pour la Justice et la Paix et dialoguer avec les différentes parties impliquées dans les conflits on affectées. C est dans ce contexte que la mission a quitté Bangui le samedi 14 Septembre en direction Bossangoa puis le village Zérè Le Contexte Général : En Centrafrique, la situation reste toujours chaotique dans la région de Bossangoa, Bouca au nord-ouest du pays. Le vendredi 06 septembre 2013 la violence a commencé dans le village Zérè situé à 25km de Bossangoa sur l axe Bossangoa-Bouca après l assassinat d un Imam avec ces 4 enfants. Le samedi le 14 septembre l Archevêque Dieudonné NZAPALAINGA a dépêché une mission dans les localités en conflits afin de constater les faits, parler avec les populations victimes des exactions et parler aux responsables locaux de la séléka et des groupes d autodéfense qui attaquent les communautés musulmanes et peuhls. Le constat qui s impose est que toutes les communautés musulmanes, peuhls et chrétiennes sont victimes des conflits à Bossangoa. 2
3 1.2. Objectif global : Dialoguer avec la population civile et les autorités et adresser un message de paix et justice pour le respect des droits de l homme dans les communautés chrétiennes et musulmanes, aux hommes armés qui contrôlent la ville Objectifs spécifiques : 1. Echanger et trouver une feuille de route pour une sortie de crise avec les différentes parties (responsable seleka, leaders religieux et la population civile) sur les récents évènements dramatiques du conflit politico-militaire en ce moment dans la région. 2. Favoriser le dialogue et plaidoyer pour le droit de l homme, la justice et la paix. 3. Accompagner et suivre le processus de la réconciliation entre les belligérants. II. DEROULEMENT DE LA MISSION 2.1. Composition de l équipe de la mission Monseigneur Dieudonné NZAPALAINGA, Archevêque de Bangui, Président National de la Caritas Centrafrique, chef de mission Monseigneur Nestor Désiré NONGO AZIAGBIA Evêque de Bossangoa Pétula Sophia Fernande MALO, Chargée de programme du projet EA au Secrétariat exécutif national de la Caritas Centrafrique L Imam Abdoul AZIZ Secrétaire général du Comité Islamique Centrafricain Les sœurs religieuses de Bossangoa et Bouca Les prêtres de Bambari et Bossangoa Une équipe de presse (Radio Notre Dame, Agence France Presse, le Confident, media Internationale) ; Un cortège sécuritaire de la Force Multinationale de l Afrique Centrale (FOMAC). 3
4 2.2. Constat général entre Bossembélé et Bossangoa Tous les villages situés entre Bossembélé et Bossangoa sont désertés par les populations. Il s agit des villages Mogo-Kotta, Ndjoh, Modi-Ketté, Angara-Ketté, Bandarao-Kotta, Gonglie- Kotta, Lenga-Kotta, Gbélé-Kotta, Bangba, Kana, Votovo, Carrière. Au village Ndowé-Ketté qui se situe à 43 Km de Bossangoa, plus de 50 maisons ont incendiés de même qu à Gbakara où, environ 60 maisons ont été incendiées dans la journée du samedi 14 septembre vers 15h. Le lundi 16 septembre Nous comptons plus de déplacés chrétiens à l évêché de Bossangoa, 1500 déplacés musulmans à l école la vallée en face de la mairie et 300 déplacés peulhs derrière l aérodrome de Bossangoa 2.3. Les rencontres avec les responsables et les communautés affectées Le 14 septembre 2013 à 12h : Départ pour le diocèse de Bossangoa avec Arrêt à Bossembelé et Ndjoh et arrivée à Bossangoa à 18h. A Ndjoh, la mission s est arrêtée pour parler avec les rares personnes qui étaient en ville. La ville est sinistre et déserte les femmes et les enfants sont tous dans la brousse pour fuir les représailles des SELEKA. Jusqu à lors la population ignore les raisons de ces attaques dans leur localité. La population revendique la paix et la stabilité. Le 14 septembre 2013 à 20h : Rencontre avec les déplacés à la cathédrale La rencontre avec les déplacés de la cathédrale a débutée à 20h.Le vicaire général a pris la parole ensuite l évêque de Bossangoa et l Archevêque tous ont adressé le message de la compassion et de solidarité envers les victimes et plaider pour le droit de l homme, la libre circulation des personnes et la paix. Le 15 septembre 2013 : Après la messe de 08h la mission a fait un tour de la ville afin de visiter les déplacés qui sont à l école la vallée, l hôpital, départ sur Zérè à 25km de Bossangoa route de Bouca. 4
5 Les leaders religieux en pourparlers avec les forces d autodéfense à 18km de Zéré Le groupe d autodéfense (Anti balaka) rencontré à 18km de Zéré - A Zérè, la mission s est entretenue avec la population et le groupe d autodéfense qui attaque les communautés peuhls et musulmanes. Le groupe d autodéfense a exprimé sa colère et les raisons des attaques contre les les communautés peuhls et musulmanes. Tous affirment qu ils sont exaspérés et fatigués par les exactionsnotamment les tueries, les vols, les incendies des villages visant uniquement les chrétiensvictimes de pillage, de vol des motos, de bétail, d extorsion d argent, de viol, de destruction des champs, des récoltes et des semences dans plusieurs villages. La population revendique la paix, le respect de droit de l homme quel que soit le Président de la République au pouvoir à Bangui. 5
6 L Archevêque a pris la porale pour leur demander de cesser la violence et cultiver la paix pour une meilleure cohésion sociale entre les communautés chrétienne et musulmane. Le 15 septembre 2013, de retour de Zérè, une réunion s est tenue avec les Pasteurs.Les quelques victimes rencontrées ont fait des témoignages sur les tortures, les extorsions d argent, vol de bétail, des vélos et motos, les cas d assassinat, des décès, des formalités illicites, des menaces à mains armées, les mariages forcés des filles avec les combattants séléka, les pillages, etc. Les femmes qui ont perdu leurs époux pendant les évènements Une rencontre a eu lieu chez l Imam vers 21h pour voir dans quelle mesure chaque leader religieux doit prendre ses responsabilités afin de sensibiliser les fidèles pour mettre fin aux exactions et un retour au calme dans la ville. La mission s est entretenue avec le colonel de la FOMAC vers 22h afin d échanger sur la situation et aussi le rôle que la FOMAC pourrait jouer pour assurer la sécurité des populations civiles. Le 16 septembre 2013 : à 08h l équipe de la mission a tenu une réunion avec les responsables locaux de la seleka, le 1 er conseiller du maire, le colonel de la FOMAC, le Vicaire Général, l Imam, et les différents responsable des communautés pour définir les actions à mener et obtenir l engagement de chaque partie prenante pour un retour au calme et la cessation des exactions dans la ville. Lors des discussions et échanges l archevêque a insisté sur le rôle et le travail de fond que la plateforme devrait faire pour sensibiliser la population sur l importance de la paix et la sécurité, comment ramener la cohésion sociale entre les communautés musulmanes et chrétiennes, le respect des droits de l homme et la protection des personnes les plus vulnérables notamment les enfants, les femmes, personnes âgées et les malades du VIH/SIDA. Le 16 mars à 12h : départ pour Bangui avec Arrêt à Ndjoh à cause du combat qui se déroulait entre les éléments seleka et un groupe d auto défense. 6
7 Le cortège a repris la route avec un arrêt à Bossembelé puis Boali. Les éléments de seleka tombés dans une embuscade des éléments d autodéfense à Ndjoh le 16 septembre à 15h. Le 16 septembre 2013 : la mission est arrivée à Bangui 21h Pendant toute la mission et les rencontres avec les différentes communautés musulmanes, Peuhls et chrétiennes toutes victimes de la crise, ainsi qu avec différents responsables, l Archevêque a lancé un appel au respect de la vie et des droits de l homme et la libre circulation des populations. Il a sollicité l aide de la communauté internationale et de la Force Multinationale d Afrique Centrale (FOMAC) pour des aides multiformes aux populations touchées par la crise humanitaire occasionnée par les affrontements dans la région mais plus généralement dans le pays. Malgré les engagements pris par les responsables locaux de seleka et les leaders religieux à Bossangoa pour un retour au calme, la situation des populations des zones tenues par la seleka reste très critique Besoins identifiés et exprimés Secteur de protection 7
8 Les déplacés chrétiens à l évêché les déplacés Peulhs derrière l aérodrome La population ressent un grand besoin d être protégée. Les éléments selekas sont perçus par les populations comme les principaux acteurs d insécurité dans les villages tandis que les communautés musulmanes et peuhls peuvent à tout moment être attaquées par les groupes d autodéfense. Des actes de violence ciblée à l endroit des non musulmans créent de tensions intercommunautaires de plus en plus fortes et perceptibles dans tous les villages où nous sommes passés. Heureusement, les leaders religieux sont à l avant-garde des tentatives d apaisement des tensions intercommunautaires en travaillant inlassablement à l organisation des rencontres de concertation et de sensibilisation avec les leaders communautaires et religieux, les jeunes, etc. Il est important de soutenir des actions et des activités de plaidoyer (national, international), de sensibilisation, de formation des leaders communautaires et des jeunes. Le concours de la Commission Justice et Paix est plus que requis dans le domaine de l édification de la paix. Il est important aussi de plaider pour la libre circulation des personnes et des humanitaires qui ne sont pas en sécurité actuellement Secteur de la santé 8
9 Un civil blessé par la seleka un élément seleka blessé par la force d autodéfense La santé reste une urgence en raison du dénuement des formations sanitaires. Les besoins sont énormes car la plupart des pharmacies et centres de santé ont été soit pillés, soit vidés des médicaments et équipements médicaux. Il est urgent de réapprovisionner les pharmacies et les centres de santé avec des médicaments essentiels contre le paludisme, la diarrhée, les parasites, la fièvre, la grippe, les produits de pansement et de petites chirurgies et fournir les anti rétro viraux aux personnes vivant avec le VIH Secteur de la Sécurité alimentaire L archevêque dans un champ dévasté par les bœufs et anes les déplacés de l évêché en situation d insécurité alimentaire Il n y a pas de nourriture dans la ville, une pénurie en eau potable et un manque de ravitaillement en vivres à cause des hostilités et de l impossibilité d'accès à ce qui reste des 9
10 champs. Il serait souhaitable de trouver des moyens pour faciliter le ravitaillement en vivres en faveur des populations en détresse. Nous avons constaté de menace de famine dans la préfecture parce que plusieurs champs sont dévastés par les bœufs source de conflits entre les agriculteurs et les éleveurs souvent soutenus par la seleka sans oublier les éleveurs peulhs Secteur des biens non alimentaires (NFI) et abris Les peulhs qui se sont refugiés derrière l aérodrome de Bossangoa maison incendiée à Zéré En quittant Bossembélé pour Bossangoa nous avons constaté plusieurs maisons incendiées dans les villages suivants : Ndowé-Ketté à 43 Km de Bossangoa, plus de 50 maisons incendiées, à Gbakaba. Dans la ville de Bossangoa,plus de 100 maisons ont été incendiéesdans les quartiers Bondili, Kaba et Boro. A Zérèà 25 km de Bossangoa sur la route de Bouca tout le village a été entièrement incendié et les populations se sont retirés à 18 km du village. Il est urgent d envisager un appui aux populations pour la reconstruction des 500 maisons incendiées et fournir aux familles qui ont tout perdu suite aux incendies, les produits de première nécessité, les effets vestimentaires, ustensiles de cuisine etc. La priorisation des besoins pour une intervention urgente devrait se présenter comme suit, selon les déplacés internes et les sans-abris : 1) Protection 2) Vivres 3) Santé 4) Biens non alimentaire et abris 10
11 CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS La mission de Caritas à Bossangoa et Zérèétait vitale pour les communautés et s est bien passée malgré la situation sécuritaire très tendue. Sur la base des constats et des besoins urgents, la Caritas sollicite l aide des organisations et de la communauté internationale pour apporter une assistance aux populations dans le diocèse de Bossangoa prioritairement à Bossangoa et Zéré. Les initiatives de la plateforme des leaders religieux dans le domaine de l édification de la paix méritent une grande attention et devront être soutenues pour prévenir des confrontations à grande échelle dans le contexte précaire de la République Centrafricaine. A ce sujet la collaboration avec la Commission Justice et Paix s avère précieuse et urgente. Bangui le 17 septembre 2013 Pétula Sophia Fernande MALO Chargée de programme EA Caritas Centrafrique 11
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