ATELIER DE FORMATION SUR LES PROCESSUS DE CREATION ET LA GESTION DES AIRES PROTEGEES

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1 REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL DIRECTION GENERALE DES FORETS PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT PROJET RALATIF A LA CONSERVATION DE LA BIODIVERSITE ET LA GESTION DURABLE DES RESSOURCES NATURELLES PROJET : ALG/00/G35/A/1G/99 ATELIER DE FORMATION SUR LES PROCESSUS DE CREATION ET LA GESTION DES AIRES PROTEGEES

2 Présenté par Aïssa MOALI Maître de Conférences Laboratoire d Ecologie & Environnement Université A Mira de Béjaïa Sommaire 1. OBJECTIFS DU PROJET 2. OBJECTIFS DE L ATELIER 3. THEMES DE L ATELIER A. PREMIERE PARTIE B. DEUXIEMME PARTIE Introduction à la méthodologie des plans de gestion Différentes phases d un plan de gestion C. Déroulement de l atelier Programme de travail Jour 1 : Mardi 01 juin Sortie sur la zone humide de Aïn Benkhellil Jour 2 : Mercredi 02 juin : Ouverture de l atelier. a / Définitions des aires protégées Définition 1 Définition 2 b) Rôles des aires protégées c/ Problématique de création des aires protégées Pourquoi créer des aires protégées? d/ Contexte international e/ Contexte algérien : législation, réglementation et fonctionnement Jour 3 Jeudi 03 juin : Plan de gestion des aires protégées f/ Introduction à la méthodologie des plans de gestion Qu est-ce qu un plan de gestion? Un document 2

3 Un état d esprit Une démarche g/ Réalisation d un plan de gestion h/ Suivi d un plan de gestion Que suivre? Comment effectuer un suivi? Comment effectuer un suivi? Exemple : Suivi des niveaux d eau Jour 4. Samedi 05 juin : Etudes de cas et clôture de l atelier Jour 5. Dimanche 06 juin : Sortie d études Oasis de Moghrar 1. OBJECTIFS DU PROJET Le présent projet vise la conservation durable de la biodiversité mondialement significative et la lutte contre la dégradation des sols au niveau de trois sites identifiés. Il se présente sous deux volets, la conservation de la biodiversité et la gestion durable des ressources naturelles au niveau des zones tampons composant les sites suivants : Mergueb dans la wilaya de M sila, Oglat Ed Daira dans la wilaya de Naâma et Taghit dans la wilaya de Béchar. 2. OBJECTIFS DE L ATELIER : C est dans ce cadre que c est inscrit l atelier de formation sur les processus de création et de gestion des aires protégées qui s est tenu à Aïn Sefra dans la Wilaya de Nâama du 2 au 5 juin 2004 et dont le contenu composé de 2 parties principales est développé ci-dessous. L objectif principal était d inculquer aux participants composé de membres d associations et de cadres de la Direction générale des forêts des notions solides sur la nécessaire gestion des ressources naturelles dans les aires protégées par la méthodologie, aujourd hui universelle, des plans de gestion et du suivi de leur mise en œuvre. Etoffé par de nombreux exemples 3

4 inspirés par les aires protégées algériennes et étrangères, il se basait également sur la participation des participants aux nombreux débats ouverts sur des cas concrets de bonne et de mauvaise gestion. 3. THEMES DE L ATELIER A. PREMIERE PARTIE : i/ Bref aperçu sur la législation algérienne en matière de protection de la nature (lois, décrets, outils, etc.) ii/ Caractéristiques des aires protégées algériennes ( spécificités humaines et naturelles). iii/ Catégories d aires protégées algériennes, avec un bref aperçu sur la typologie. Iv/ Principaux facteurs de perturbation, de dégradation et de destruction des aires protégées : facteurs naturels et anthropiques. B. DEUXIEMME PARTIE : Introduction à la méthodologie des plans de gestion : a/ Qu est ce qu un plan de gestion? b/ Pourquoi réaliser un plan de gestion c/ Comment réaliser un plan de gestion (méthodologie) Différentes phases d un plan de gestion o Phase I : Approche descriptive et analytique de l aire protégée o Phase II: Evaluation du patrimoine et définition des objectifs Identification des facteurs influençant sur la gestion Définition des objectifs du plan de gestion o Phase III : Plan de travail pluriannuel (Opérations ou actions à mettre en œuvre) o Phase IV : Evaluation du plan de gestion. C. Déroulement de l atelier 4

5 Programme de travail Jour 1 : Mardi 01 juin : Sortie sur la zone humide de Ain Benkhellil Au cours de cette sortie, un exposé a été donné sur les critères et arguments de désignation de classement de ce site sur la liste Ramsar. Un accent a été mis sur la position géographique de la zone humide dans l axe des migrations d oiseaux et dans l hivernage de certaines espèces, on a souligné l importance du plan d eau dans le maintien d une population de Tadorne casarca (Tadorna feruginea) durant la période de nidification qui utilise les alentours pour y faire son nid et, ensuite, y emmener les poussins pour l alimentation. L exposé a également concerné la situation du site, le rôle de la végétation dans l augmentation de son importance et les mesures nécessaires à sa conservation, notamment celles qui prendront en charge la lutte contre l ensablement progressif de la partie sud du plan d eau. Jour 2 : Mercredi 02 juin : Ouverture de l atelier. Après un bref tour de table ayant permis aux participants de se présenter et se faire connaître, le programme a débuté par l introduction aux aires protégées en commençant par deux principales définitions. a / Définitions des aires protégées : La première générale est utilisée couramment depuis longtemps par tous les courants de la protection de nature. Elle est issue d un long processus ayant suivi la création d aires protégées et des premiers parcs nationaux en particulier. La projection du texte a servi de base à un débat concernant les termes contenus. Une lecture de ces termes a fait ressortir les points importants qui prévalent à la création d une aire protégée tant sur le plan naturel que philosophique. La seconde définition, plus récente, émane de l UICN, plus détaillée, elle met l accent sur les composantes plurielles de l aire protégée. Définition 1 : Une aire protégée est un milieu naturel, représentatif d une région géographique ou d une zone écologique, ayant conservé l essentiel sinon la totalité de ses caractéristiques physiques et biologiques, il est soustrait à certaines activités humaines et géré en fonction d objectifs de conservation. 5

6 Définition 2 : L UICN définit les aires protégées comme étant une portion de terre et/ou de mer spécialement vouée à la protection et au maintien de la diversité biologique ainsi que des ressources naturelles et culturelles associées et gérée par des moyens efficaces, juridiques ou autres. Cette définition est accompagnée d une classification en catégories : I.a. réserve naturelle intégrale I.b. Zone sauvage II. Parc naturel III. Monument naturel IV. Aire des gestion des habitats/des espèces V. Paysage terrestre ou marin protégé VI. Aire protégée de ressources naturelles gérée Ces définitions ont été discutées, commentées et replacées dans le contexte actuel de faisabilité tant de la création que de la gestion de ces différentes catégories d aires protégées. Après cela, la session de l atelier s est étalée sur l importance des aires protégées dans le monde sur la base de statistiques de l UICN et du bureau des aires protégées de l ONU datant de Des graphes montrant l évolution de la superficie protégée ont été projetés et commentés à la lumière du nombre de sites classés et des catégories auxquelles ils appartiennent (cf. annexe). b) Rôles des aires protégées Dans ce volet, les différents rôles que peuvent remplir les aires protégées ont été passés en revue et discutés, rôles de conservation et socio-économiques avec les risques qu ils comportent. Les raisons de protéger des territoires naturels qui sont nombreuses et variées et relèvent à la fois de facteurs écologiques, scientifiques et économiques. Le premier rôle et le principal est celui de la conservation : lorsqu on parle de développement durable, de conservation des ressources et de maintien de la biodiversité, il est essentiel de considérer la totalité du territoire, en s appuyant sur 3 piliers indissociables : une affectation concertée des terres publiques, une gestion intégrée des ressources et la mise en place d un réseau d aires protégées représentatives de la diversité des écosystèmes. Le caractère représentatif de la 6

7 biodiversité de l ensemble des régions naturelles étant l élément fondamental sur lequel doit se baser le réseau d aires protégées. Au moins un échantillon typique de chaque composante de la diversité de la nature québécoise (écosystèmes, flore, faune, paysages) devant être mis à l abri de la destruction et être capable de se perpétuer par lui-même dans toute sa complexité. Les aires protégées jouant également un rôle scientifique important, elles sont des échantillons témoins de l évolution naturelle d écosystèmes exempts d interventions humaines majeures et montrent comment évolue la nature lorsque elle n est pas perturbée par des activités industrielles. Ces aires peuvent donc aider à évaluer les impacts des pratiques humaines ailleurs sur le territoire et à en corriger les défauts. Depuis l intérêt scientifique porté aux changements climatiques, elles peuvent nous permettre aussi d observer leurs conséquences sur les écosystèmes. Les aires protégées qui apportent une contribution vitale à la conservation des ressources naturelles et culturelles de la planète, ont aussi bien pour fonction de protéger des habitats naturels et la flore et la faune associées que de maintenir la stabilité écologique des régions qui les entourent. Les aires protégées peuvent s avérer, une source de revenus et d emplois dans les domaines de la recherche et du suivi environnemental, de l éducation à la conservation de la nature, des loisirs et du tourisme. Dans le domaine socio-économique, elles peuvent être un moteur du développement rural et de l'utilisation rationnelle des terres marginales, procurant des revenus et créant des emplois dans les domaines de la recherche et de la surveillance, de l'éducation à la conservation de la nature, des loisirs et du tourisme. Pour toutes ces raisons, rares sont les pays qui ne disposent pas d'un réseau d'aires protégées. La liste des Nations Unies des Aires protégées de 1997 (la douzième d'une série qui enregistre à chaque fois) comprend officiellement aires correspondant à environ 8% de la superficie émergée de la terre (la proportion protégée des océans étant beaucoup plus petite). L apport socio-économique des aires protégées restant lié au développement du tourisme de toute catégorie, et si les prévisions de l Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) sont exactes, les flux transfrontaliers de touristes étrangers vont passer, d ici 2020, de 625 millions de personnes à 1,6 milliards. Ces voyageurs dépenseront alors plus de 2000 milliards de dollars, ce qui fera du tourisme la 7

8 première activité économique du monde. Ces projections sont fondées sur des travaux de prospective qui convergent tous autour de l idée d une croissance touristique supérieure à la croissance mondiale, et donc d un impact important de cette activité sur les écosystèmes, notamment ceux qui font l objet de stratégies de conservation. Un débat a été ouvert sur le thème des interactions entre les aires protégées et le tourisme pour cerner les difficultés pouvant se présenter à un gestionnaire à partir d une meilleure connaissance de son site et son attrait pour les visiteurs. Autant de questions passées en revue pour identifier le rôle que peuvent jouer les associations pour venir en aide dans les actions d orientation et d organisation des activités touristiques dans un parc national ou autre espace protégée. Les inquiétudes soulevées par ces interactions sont suscitées par les faits suivants : L'accroissement actuel des pressions humaines dans les aires protégées, qui se traduit par une demande de visite et d'usage de ces sites, pousse les décideurs locaux et les aménageurs à restructurer les territoires à différentes échelles. Cela nécessite de prendre en compte les flux de visiteurs et les pratiques sociales pour obtenir une image précise, à la fois quantitative et qualitative, des impacts de la fréquentation dans ces aires protéges. La modélisation des interactions entre aires protégées et tourisme est possible, entre autres, à travers l analyse des flux de visiteurs et des conditions d accessibilité de ces espaces. c/ Problématique de création des aires protégées : La seconde session de l atelier a porté sur les processus de création des aires protégées en passant par l identification des objectifs et des besoins. Pourquoi créer des aires protégées? Pour maintenir un potentiel d'évolution des milieux naturels Pour protéger des bassins versants Pour sauvegarder des espèces animales et végétales Pour sauvegarder des paysages Pour contribuer au développement de l'économie locale Ces réponses générales ont été discutées avec les participants en mettant l accent sur la diversité des situations en fonction de l environnement socio-économique et de la demande sociale mais surtout en fonction du contexte national et international de la conservation de la nature. Les objectifs devant être bien identifiés et les projets 8

9 fortement argumentés pour que la création d une aire protégée ne se transforme pas en source de difficultés tant pour le gestionnaire direct de l aire que pour les autorités et les populations riveraines. Un large débat illustré d exemples réels a suivi l exposé sur la question, la genèse historique de la création des parcs nationaux algériens a été d un grand éclairage pour les participants. Les exemples récents concernant la création du Parc national de Tlemcen, de l Ahhagar et du Tassili ont été cités et largement commentés pour bien comprendre les retombées futures de la création d une aire protégée. La discussion a également concerné les aspects de gestion et de puissance publique de ces aires avec toutes les difficultés générées par des conflits de prérogatives des différentes institutions en charge de ce dossier et agissant tous sur un seul et même territoire. d/ Contexte international Dans l exposé concernant l environnement ou le contexte international, il a été question des dispositions et critères internationaux en vigueur pour l action de création à l échelle nationale ait des répercussions positives à l échelle internationale. Dans ce cadre, des statistiques de l UICN et de l ONU ont été présentées pour assimiler l urgence de mettre encore des surfaces sous la protection législative en tenant compte du spectre des aires protégées dans le monde et de la diversité des catégories qui permettent d insérer cette action dans le schéma globale du développement durable. e/ Contexte algérien : législation, réglementation et fonctionnement : Ce volet a été abordé sous plusieurs aspects comme la réglementation et la situation actuelle concernant les aires protégées algériennes. Après une présentation des différents parcs nationaux, de leur date de création et de leurs objectifs, les participants ont eu à discuter de plusieurs points : La stratégie nationale des aires protégées La répartition géographique des aires protégées Leur couverture géographique et représentation des écosystèmes algériens Les insuffisances La prise en charge législative des aires protégées La situation actuelle en relation avec l acte de classement et celui de la création et de la gestion. 9

10 Jour 3 Jeudi 03 juin : Plan de gestion des aires protégées f/ Introduction à la méthodologie des plans de gestion Cette partie de l atelier a permis d aborder les différentes phases d élaboration d un plan de gestion d une aire protégée sur la base de la question suivante : Qu est-ce qu un plan de gestion? Une partie de l exposé est consacrée à la réponse pour ensuite débattre de la nécessité de disposer d un plan de gestion ainsi que l historique tant international que national de cet outil. A cet effet, un compte rendu concernant la genèse des plans de gestion des parcs nationaux algériens et les différentes sessions de formations dispensées aux gestionnaires a été présentée en soulignant les difficultés liées à cette entreprise. Les stagiaires ont participé avec de nombreuses questions liées à la lecture et la compréhension des réponses suivantes davantage détaillées oralement avec des exemples. En résumé le plan de gestion est présenté comme : Un document Synthétique : complet, allant à l essentiel Pratique : facilement consultable (clarté des cartes, style, mise en page) Efficace : en vue d une bonne gestion (de bons résultats) Un état d esprit pour : Responsabiliser le gestionnaire Comprendre le contexte Associer les collaborateurs et partenaires Prendre le temps nécessaire Une démarche permettant de : Décrire Evaluer le patrimoine Identifier les contraintes Définir les objectifs Opérer Ajuster, évaluer la gestion 10

11 La question suivante concerne le «pourquoi réaliser un plan de gestion?». Le débat ayant suivi l exposé a mis en évidence le rôle du plan de gestion en tant que feuille de route permettant: d optimiser les moyens mis en place pour accomplir les objectifs. d assurer une cohérence et une continuité de la gestion dans l espace et dans le temps. d être la référence constante. d'être une base commune, un format commun à tous les gestionnaires d espaces protégés. g. Réalisation d un plan de gestion : Enfin, le dernier chapitre a porté sur «la réalisation d un plan de gestion» en précisant les procédures de suivi en mettant l accent sur les procédures telles que : - Responsabiliser le gestionnaire : il est le mieux placé pour en faire la rédaction. - Comprendre le contexte socioculturel et l environnement humain de l espace concerné. - Associer à la réflexion les collaborateurs quotidiens (travail d équipe) et les partenaires extérieurs : administrations, associations, élus, propriétaires, usagers, scientifiques, etc. - Prendre le temps pour intégrer toutes les informations, tous les partenaires. La dernière session a été consacrée à l étude des différentes phases du plan de gestion en expliquant oralement tous les aspects accompagnant la mise en place des 4 phases qui le composent: - Phase 1 : Description et évaluation du patrimoine - Phase 2 : Définitions des objectifs - Phase 3 : Définition des opérations - Phase 4 : Evaluation et ajustement de la gestion h. Suivi d un plan de gestion : Concernant le suivi du plan de gestion, les stagiaires ont participé à un débat permettant de percevoir l importance du suivi, véritable Tableau de bord du site : savoir par où commencer, à qui faire appel et savoir planifier le travail d équipe. Il s agissait de comprendre pourquoi le suivi de plan de gestion est important sachant que c est pour mieux connaître le site et son patrimoine, savoir comment ce patrimoine évolue et aussi 11

12 pour répondre à une question précise. L étape suivante consistant à bien identifier des paramètres mesurables et durables en répondant aux questions suivantes : - Que suivre? - Comment effectuer ce suivi? Des exemples ont été proposés en soulignant que les paramètres de suivi dépendent des caractéristiques écologiques de l aire protégée tels que la végétation, le niveau de l eau dans une zone humide ou encore des niveaux de salinité. Ces paramètres peuvent être aussi socioéconomiques. Des documents contenant les détails d un exemple de zone humide ont été remis aux participants. - Un exemple : suivi des niveaux d eau - Les problèmes d unités de mesure : la salinité - Les résultats du suivi pour gérer la végétation Les détails de cette démarche sont les suivants : Type de suivi - Milieu : Enregistrer les changements environnementaux dans les éléments-clés intrinsèques au site. - Patrimoine : Mesurer les changements concernant les habitats et les espèces-clés intrinsèques au site. - Inventaire : Compléter les listes d espèces (pour les groupes manquants) et mettre à jour leur statut. - Gestion : Enregistrer la réponse à une nouvelle pratique de gestion. Déterminer l efficacité de cette pratique et son coût. - Politique : Renseigner les élus ou le public sur des paramètres à valeur. - Média : Politique/médiatique. - Scientifique: Répondre à une problématique scientifique. Quoi suivre? - les inventaires, à faire ou à compléter, qui permettent de définir les orientations, - les paramètres physiques ayant une influence sur les milieux, - les paramètres indicateurs biologiques, - les paramètres à valeur politique/grand public - les paramètres qui se rapportent à la question que l'on se pose. Comment effectuer un suivi? - Définir la méthodologie - Définir la fréquence, la périodicité 12

13 - Localiser précisément le suivi - Désigner un responsable - Estimer les moyens matériels et financiers - Assurer le stockage de l information - Prévoir l analyse des données Exemple : Suivi des niveaux d eau Codes : a. Estimation visuelle b. Une fois par semaine c. Echelle d. Echelle e. Echelle de niveau, 1 h technicien f. Saisie sur tableur g. Analyse annuelle L atelier s est terminé par l étude des facteurs susceptibles d influencer les projets de gestion. Il s agissait d apprendre à identifier les contraintes et atouts internes et externes pouvant s exercer sur la gestion, et à les classer par rapport aux orientations choisies. Ces différents atouts et contraintes peuvent être internes, naturels ou induits par l homme ou externes à l aire protégée, d ordre juridique ou autre. De nombreux exemples ont été cités pour illustrer les contraintes et atouts internes, il peut s agir de phénomènes naturels tels que l eutrophisation des lacs, le comblement ou l ensablement, l érosion dans le cas d écosystèmes terrestres ou encore une augmentation des populations d animaux vivant dans le site protégé. Les actions de l homme sont également multiples comme le pastoralisme qui peut être à l origine d un surpâturage, les aménagements hydrauliques à l intérieur des zones humides, la chasse et l accès au public. A l extérieur du site les contraintes sont difficiles à évaluer car souvent le point d impact est éloigné de l origine de l action. C est le cas des aménagements hydrauliques et des bassins versants sur un lac ou un oued. C est encore plus délicat concernant l influence du contexte socio-économique sur la gestion d une aire protégée dans la mesure où ce contexte peut être local donc de proximité, régional ou même national. Dans le cas des contraintes juridiques, beaucoup d exemples ont révélé des insuffisances dans la détermination des statuts des sites, du régime foncier et des droits d usage. Ces insuffisances empêchent une 13

14 approche rigoureuse des relations avec les différentes parties prenantes et des riverains en particulier. Les autres difficultés peuvent être liées à un manque de financement, de formation, à l indisponibilité de compétences ou des connaissances concernant l aire protégée. Jour 4. Samedi 05 juin Etudes de cas : Les stagiaires ont disposé de documents résumant des études de cas en vue de l élaboration de plans de gestion pour deux sites très connus dans le bassin méditerranéen. Il s agit de la Camargue en France et du Lac Ichkeul en Tunisie. Au-delà des cas concrets de gestion que constituent ces deux exemples, l objectif recherché est l apprentissage de la lecture des situations, l identification des partenaires, des difficultés et surtout la prise de conscience des erreurs commises par les autres pour les éviter soi-même. Débats et évaluation de l atelier : Un débat général concernant tous les aspects de l atelier a été mené et un questionnaire d évaluation de la formation a été distribué aux participants afin de situer le niveau de compréhension des différentes étapes de ce processus de création et de gestion d une aire protégée. Si le questionnaire a servi à évaluer l impact de la formation sur les présents, il a également permis de s assurer de l efficacité de la méthode de travail participative. Les participants, à l unanimité, ont trouvé que la formation suivie a largement contribué à mieux comprendre les enjeux liés aux aires protégées, les difficultés de gestion, la nécessité grandissante d en créer d autres et surtout l application d une approche intégrée tant des populations que des associations. Les participants ont souligné la cohérence des différentes parties de l atelier et l importance des informations pratiques tirées des cas concrets algériens ou ailleurs dans le monde. Jour 5. Dimanche 06 juin : Sortie d études L atelier a été clôturé par une sortie d étude dans les 2 Oasis de Moghrar Tahtani et Foukani, classées dans la Convention de Ramsar sur les zones humides d importance internationale. L aspect pédagogique de cette sortie ressort dans les explications fournies aux participants concernant les critères ayant permis leur classement. En effet, la Convention de Ramsar soutient la conservation des sites comme les oasis dans la mesure où les activités 14

15 développées sont en harmonie avec l utilisation rationnelle de l eau en développant des systèmes d irrigation et de distribution très anciens mais toujours usuels et pratiques? Ces systèmes appelés foggaras, très diversifiés, illustrent l évolution de l homme avec son environnement saharien dans lequel des activités agronomiques traditionnelles ont permis la survie des gens et la création de nombreuses variétés végétales. 15

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