Tableau de bord régional emploi formation

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1 Tableau de bord régional emploi formation 27 novembre 215 Nos autres tableaux de bord

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3 TERTIAIRE A L EMPLOI SALARIÉ EN ALSACE Cette partie analyse les effectifs salariés du secteur privé marchand sans distinction de durée de travail ou de type de contrat. Ne sont donc pas comptabilisés ici, les fonctionnaires de l administration publique, de l éducation, de la santé non marchande, les salariés de l agriculture, les emplois à domicile et l ensemble des actifs en emploi non salariés. Comment évolue l emploi salarié en? Sur un an, de juin 214 à juin 215, l emploi salarié a baissé de -,4% en. En moyenne nationale, les effectifs restent stables sur la période considérée. [A2] Evolution trimestrielle de l emploi salarié - base T France 119 +,2% [A1] Evolution annuelle de l emploi salarié du 2 nd trimestre 214 au 2 nd trimestre 215,% -,5% -,7% -,8% -,6% -1,2%,% -,6% +,6% -1,4% -1,% -1,1% -,3% +,1% -,8% -,4% % 15 -,2% +,8% +,3% Source : ACOSS / URSSAF - Données CVS % d'évolution : [ ; +,8] [-,5 ; -,1] [-1 ; -,6] [-1,6 ; -1,1] +,6% France :,% Source : ACOSS / URSSAF - Données CVS Quelle variation de l emploi salarié par grand secteur? [A3] Evolution trimestrielle de l emploi salarié - indice base T Données au 2 nd trimestre INDUSTRIE 12 COMMERCE 12 HOTEL CAFE RESTAURANT T T T ,64% 6 5 -,84% ,23% CONSTRUCTION T AUTRES SERVICES MARCHANDS (HORS INTERIM) T INTERIM -,3% ,17% 6 5 +,38% 6 5 T Source : ACOSS / URSSAF - Données CVS Champ : secteur concurrentiel hors administrations publiques, éducation et santé non marchande, emploi par les ménages de salariés à domicile, agriculture + % Evolution annuelle (glissement annuel entre le dernier trimestre connu et le même trimestre de l année précédente) Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215 3

4 Quelle répartition de l emploi salarié et des embauches par secteur? [A4] Emploi salarié et embauches par secteur au 2 nd trimestre 215 Situation au 2nd trimestre 215 Evolution Embauches(*) Poids de l'/ France sur 1 an sur 5 ans T2 215 INDUSTRIE ,% -,6% -5,3% 5 22 Industries extractives 71 3,1% -4,5% -11,2% 17 Industrie manufacturière : ,2% -,8% -6,4% Industries agro-alimentaires ,% +,4% -1,7% 2 48 Habillement, textile et cuir ,7% -1,4% -19,% 19 Bois et papier ,2% -3,% -13,9% 333 Cokéfaction et raffinage 17,2% -1,9% -93,8% 1 Industrie chimique ,9% -1,7% -,9% 14 Industrie pharmaceutique ,6% +,7% +9,2% 75 Industrie des plastiques et autres produits non minéraux ,4% -1,1% -13,2% 36 Métallurgie et fabrication de produits métalliques ,2% -,3% -7,2% 481 Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques ,4% -,3% -17,3% 75 Fabrication d'équipements électriques ,4% -2,1% -4,4% 254 Fabrication de machines et équipements n.c.a ,9% -,6% -14,5% 31 Fabrication de matériels de transport ,8% -,5% +8,8% 389 Industrie du meuble et diverses ; réparation et installation de machines ,6% -1,3% -11,8% 383 Production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné ,7% +,9% +4,1% 67 Production et distribution d'eau ; assainissement, gestion des déchets et dépollution ,6% +2,1% +22,1% 25 CONSTRUCTION ,% -5,2% -9,% COMMERCE, REPARATION AUTOMOBILES ET MOTOCYCLES ,1% -,8% -2,5% HOTEL CAFE RESTAURANT ,9% +2,2% +5,3% AUTRES SERVICES MARCHANDS ,6% +,4% +3,% Transports et entreposage ,6% +,% -2,3% Information et communication ,6% +1,7% +3,% Edition et Audiovisuel ,6% +1,6% +3,% Télécommunications ,7% +,7% -8,3% 43 Activités informatiques ,6% +2,2% +8,% 358 Activités financières et d'assurance ,5% +,7% -,8% 843 Activités immobilières ,2% -3,4% +2,2% 575 Activités spécialisées, scientifique et techniques ,4% -,1% +1,8% Activités juridiques, de conseil et d'ingénierie ,% -,3% +5,4% Recherche et développement ,9% -,1% -3,3% 218 Autres activités scientifiques et techniques ,3% +,7% -5,% Activités de services administratifs et de soutien (hors intérim) ,7% -,1% +1,5% Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale ,% +1,3% +8,7% Administration publique ,7% -1,8% -1,% Education ,3% +1,% +6,6% Activités pour la santé humaine ,3% +,3% +3,5% Action sociale et hébergement médico-social ,1% +2,3% +15,1% Autres activités de services ,7% -,7% +2,1% Arts, spectacles et activités récréatives ,7% +1,4% +16,5% Autres activités de services ,2% -1,5% -1,8% Activités extra-territoriales 69 9,6% +2,1% -,7% INTERIM ,5% -,3% +2,7% Voir page 3 du TdB TOTAL ALSACE ,% -,4% -,9% hors intérim Source : ACOSS - URSSAF - données CVS Champ : secteur concurrentiel hors administrations publiques, éducation et santé non marchande, emploi par les ménages de salariés à domicile, agriculture (*) : les statistiques d embauches par secteur sont issues de l obligation faite aux entreprises de déclarer toutes leurs embauches (CDD+CDI) à l URSSAF. NB : Au 1er janvier 214, sur l ensemble des secteurs (y.c administrations publiques, éducation et santé non marchandes, emploi par les ménages de salariés à domicile et agriculture), l compte près de actifs en emploi dont 74 5 sont des salariés. source : INSEE - - données provisoires 4 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

5 Que représente l intérim en? Le taux de recours (1) à l intérim est de 4,1% en (3,6% au niveau national) (données Juin 215) Source : Pôle Emploi [A5] Evolution mensuelle des contrats intérimaires conclus () - Données brutes [A6] Evolution mensuelle du nombre de contrats en cours en fin de mois () - Données brutes Moyenne mobile sur 12 mois Moyenne mobile sur 12 mois Source : Dares, exploitation des fichiers Pôle emploi des déclarations mensuelles des agences d'intérim. Données mensuelles brutes Source : Dares, exploitation des fichiers Pôle emploi des déclarations mensuelles des agences d'intérim. Données mensuelles brutes [A7] Evolution mensuelle du nombre d équivalents temps plein dans l intérim () - Données brutes INTERIM en ALSACE Juillet contrats intérimaires conclus (2), soit une hausse de +4,4% en un an contrats intérimaires en cours (3) à la fin du mois, soit une hausse de +3,6% en un an équivalents temps plein (4) dans l intérim au cours du mois, soit une hausse de +4,% en un an Moyenne mobile sur 12 mois Source : Dares, exploitation des fichiers Pôle emploi des déclarations mensuelles des agences d'intérim. Données mensuelles brutes Dernière tendance : données corrigées des variations saisonnières : Le nombre d intérimaires en fin de mois (5) a diminué de -1,9% Juillet 215 et août 215 en (-1,8% au niveau national - évolution mensuelle). Source : Pôle Emploi (1) Le taux de recours à l intérim se définit comme le rapport entre les effectifs intérimaires de la région et les effectifs globaux de cette région. (2) Contrats conclus (au cours d'une période) : missions dont la date de début appartient à la période considérée. Le nombre de contrats conclus m esure le flux d entrées de l emploi intérimaire dans la période. (3) Nombre de contrats en cours en fin de mois : moyenne du nombre de missions d'intérim en cours d'exécution, calculée sur 5 jours ouvrés pertinents en fin de mois (généralement les 5 derniers jours ouvrés). Cet indicateur sert de base au calcul du nombre d'intérimaires en fin de mois. (4) Equivalents-emplois à temps plein (au cours d'une période) : rapport du nombre total de semaines de travail réalisées par les intérimaires sur le nombre total de semaines ouvrées de la période. Par convention, ce nombre est fixé à 52 semaines pour une année. Cette convention de calcul conduit à sous-estimer légèrement l'équivalent-emplois à temps plein, dans la mesure où une partie des missions ne comptabilise pas les périodes de congés. (5) Nombre d'intérimaires en fin de mois (ou trimestre) : nombre de personnes intérimaires calculé, en collaboration avec l Insee, à partir du nombre d intérimaires du recensement de la population, que l on fait évoluer comme la moyenne du nombre de contrats en cours pendant les cinq derniers jours ouvrés du mois (ou du trimestre). Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215 5

6 Source : Dares, exploitation fichiers Pôle emploi des déclarations mensuelles des agences d'intérim Qui a recours à l intérim? [A8] Répartition par grand secteur de l emploi intérimaire (en équivalent temps plein) / France France Agriculture,5% Agriculture,5% En, en 214, plus de la moitié du temps intérim utilisé l a été par le secteur industriel (54,1%) Tertiaire 29,3% Industrie 54,1% Tertiaire 36,4% Industrie 43,8% (France 43,8%) Construction 16,2% Construction 19,2% Source: Dares 214, exploitation des fichiers Pôle emploi des déclarations mensuelles des agences d'intérim Quelle durée ont les missions intérim en? En 214, La durée moyenne des contrats intérimaires est en de 2,1 semaines (moyenne nationale 1,63 semaines) Près de 482 contrats intérimaires conclus représentant sur l ensemble de l année 214, postes équivalents temps plein [A9] Les 1 secteurs qui ont le plus eu recours à l intérim en et durée moyenne des contrats intérim (en semaines) durée moyenne des missions intérim (en semaine) Répartition de l'intérim en ETP par secteur d'activité 2,43 Travaux de construction spécialisés 13,14% 1,75 Commerce de gros (sauf automobiles) 7,13% 1,44 Industrie alimentaire 6,91% 4,4 Fabrication de machines et équipements 5,8% 5,28 Industrie automobile 5,3% 3,41 Fabrication d équipements électriques 4,4% 1,28 Entreposage et services aux. transport 4,3% 2,18 Fabrication de produits métalliques 3,99% 1,9 Fab. de pdts en caoutchouc et plastique 3,91%,97 Commerce de détail (sauf automobiles) 3,36% ,% 2,% 4,% 6,% 8,% 1,% 12,% 14,% Les dix secteurs représentés sur le graphique ci-dessus sont ceux regroupant plus de 3% des contrats intérimaires (en équivalents temps plein) au cours de l année 214. La correspondance avec la durée moyenne des missions selon le secteur permet d avoir un aperçu quant aux hétérogénéités sectorielles. Il apparait ainsi que dans l industrie automobile la durée des contrats est en moyenne 2 fois plus longue que dans les travaux de construction spécialisés et 5 fois plus longue que dans le commerce de détail. 6 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

7 Source : Insee, RP 212, exploitation principale B L EMPLOI FRONTALIER EN ALSACE Une spécificité de l concerne la forte concentration de travailleurs frontaliers, conséquence de la position géographique de la région. Un travailleur frontalier est une personne qui réside dans un pays et qui travaille dans un autre. Le frontalier "alsacien" a donc déclaré son domicile en mais traverse la frontière tous les jours pour aller travailler (essentiellement en Suisse ou en Allemagne). Cette partie analyse les effectifs de travailleurs frontaliers résidant en et leur différentes caractéristiques (lieu de résidence, âge, secteur d activité ) Combien de résidents alsaciens travaillent à l étranger (Allemagne ou Suisse)? Sur la base du recensement de population «21-214», en, près d un actif en emploi sur douze travaille en Allemagne ou en Suisse, soit travailleurs frontaliers [B1] Evolution du nombre de résidents alsaciens travaillant en Allemagne ou en Suisse Suisse et Allemagne Frontaliers à destination de l Allemagne Part ,2% -26,2% Frontaliers à destination de la Suisse Part ,8% +6,9% Sources : Insee, RP1962 recalculé - RP1968 à 199 exploitations complémentaires - RP1999, RP28, RP29, RP 21, RP211, RP212 exploitations principales au lieu de résidence Où résident les travailleurs frontaliers alsaciens? [B2] Lieu de résidence des frontaliers selon le lieu de travail lieu de travail : Allemagne lieu de travail : Suisse Deux territoires regroupent l essentiel des travailleurs frontaliers : les frontaliers à destination de l Allemagne : 59% résident sur le territoire d du Nord du Nord Strasbourg du Nord Strasbourg Les frontaliers à destination de la Suisse : 96% résident sur le territoire d du Sud Centre Allemagne Centre Allemagne Notons également qu environ 8% du total des frontaliers résident sur le territoire de Strasbourg. Colmar du Sud nombre de frontaliers : de 1 à 5 de 51 à 15 de 151 à 5 Colmar de 51 à du Sud + de 1 territoire emploi-formation Suisse région frontière Suisse Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215 7

8 Quel âge ont les travailleurs frontaliers alsaciens? [B3] Répartition par âge des travailleurs frontaliers La population des travailleurs frontaliers alsaciens est une population vieillissante : 51,9% 36,9% 39,2% En 1999, environ 44% des frontaliers avaient 4 ans ou plus. En 211, ils étaient près de 67% à avoir 4 ans ou plus. 19,2% 1,5% 22,7% 4,7% 15,% Moins de 3 ans 3-39 ans 4-54 ans 55 ans et plus Source : Insee, RP 1999 et RP 211, exploitation principale Dans quels secteurs travaillent les travailleurs frontaliers alsaciens? 42% des travailleurs frontaliers résidant en travaillent dans le secteur de l industrie [B4] Répartition des frontaliers par secteur d activité Répartition Secteurs d'activité Industrie (%) 42,% Commerce 13,8% Construction 7,6% Transports 6,4% Activités scientifiques et techniques spécialisées 5,4% Services administratifs 5,2% Santé et action sociale 5,% Hébergement, restauration 2,7% Information, communication 2,% Finances et assurances 1,9% Autres secteurs 8,% TOTAL % 7% des travailleurs frontaliers alsaciens sont concentrés dans 4 grands secteurs d activité : Industrie manufacturière Commerce Construction Transport Source : Insee, RP 212, exploitation principale [B5] Répartition des frontaliers au sein du secteur industriel (principales activités) En Suisse comme en Allemagne, l industrie est le secteur qui recrute le plus de travailleurs frontaliers résidant en. Ces deux destinations se distinguent cependant par la nature des activités industrielles pour lesquelles les travailleurs frontaliers alsaciens sont embauchés : Fab. de pdts en caoutchouc et en plastiq. Fab. informatiq., électroniq. et optiques Industrie chimique Fab. de produits métalliques Fab.de machines et équipements Suisse Allemagne Essentiellement pour l industrie automobile en Allemagne : frontaliers alsaciens Essentiellement pour l industrie pharmaceutique en Suisse : frontaliers alsaciens Industries alimentaires Industrie automobile Industrie pharmaceutique Nombre de travailleurs frontaliers Source : Insee, RP 211, exploitation principale 8 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

9 Source : Fiben, Banque de France Source : Insee, REE C CRÉATION ET DÉFAILLANCE D ENTREPRISES EN ALSACE Une création d'entreprise correspond à la mise en œuvre de nouveaux moyens de production et une défaillance d entreprise fait suite à l ouverture d une procédure de redressement judiciaire. Les données de l INSEE permettent de suivre trimestriellement les créations (statut d auto-entreprise compris) et les défaillances d entreprises au niveau régional. Au 3 eme trimestre 215, 2 8 créations d entreprises ont été enregistrées en, 1 17 sous statut d auto-entrepreneur et hors statut auto-entrepreneur [C1] Evolution trimestrielle du nombre de créations d entreprises (sous statut d auto-entrepreneurs) en [C2] Evolution trimestrielle du nombre de créations d entreprises (hors statut d auto-entrepreneur) en Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene). Données CJO-CVS, sauf auto-entrepreneurs : données brutes 3eme trimestre [C3] Evolution du nombre de création d entreprises (glissement annuel) France métropolitaine 212 -,2% +,3% ,1% -1,6% 214-6,1% +4,5% 215-9,7% -3,7% Source : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene). Données CJO-CVS, sauf auto-entrepreneurs : données brutes Au 3 eme trimestre 215, les créations d entreprises en ont diminué de 9,7% par rapport au 3 eme trimestre 214 (-3,7% en moyenne nationale) Ces évolutions varient d un secteur à l autre : Industrie : -31,4% Construction : -3,% Commerce : -9,3% Hébergement, restauration: -13,6% Services (yc transport): -2,5% Source : Insee, REE - données brutes Bilan annuel 214 données brutes [C4] Créations et défaillances d entreprises par secteur - Créations Evol. / 213 Défaillances Evol. / 213 Secteurs (NA 1) Industrie ,6% ,9% Construction ,% ,2% Commerce ,% ,5% Transport, entreposage 185-8,9% ,9% Hébergement, restauration ,7% 24 +5,7% Information et communication 546-5,7% 37 +8,8% Activités financières et d'assurance ,5% ,5% Activités immobilières ,2% 7-11,4% Soutien aux entreprises ,3% 175-3,3% Autres activités de services 3 2-4,9% 132-3,6% TOTAL ,1% ,4% Sources : Insee, REE (Répertoire des Entreprises et des Établissements - Sirene) Fiben, Banque de France [C5] Répartition des créations par grand secteur Industrie 5,9% Construction 12,6% Services 53,1% Commerce 21,7% Transport 1,4% Hébergement, restauration 5,2% [C6] Répartition des défaillances par grand secteur Construction 26,9% Commerce 24,9% Seul le secteur de l hébergement-restauration a connu une hausse du nombre de créations d entreprises entre 213 et 214. Si le secteur des services regroupe 53,1% des créations d entreprises en 214, il représente un peu plus d un quart (26,%) des défaillances d entreprises cette même année. Industrie 7,% Transport Hébergement, 3,2% restauration 12,% Services 26,% Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215 9

10 D LE MARCHÉ DU TRAVAIL EN ALSACE Cette partie analyse les flux et stocks de demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi selon leur âge, leur durée d inscription et leur lieu de résidence ainsi que le taux de chômage régional et par zone d emploi. *Catégorie des demandeurs d emploi : Contrairement aux demandeurs d emploi de catégories B et C, ceux de catégorie A n ont pas travaillé durant le mois étudié. Du rant cette période les demandeurs de catégorie B ont travaillé moins de 78 heures et ceux de catégorie C plus de 78 heures. **DEFM : demandeurs d emploi en fin de mois (Stock) Combien de demandeurs d emploi sont inscrits à Pôle emploi? [D1] Evolution mensuelle des DEFM** (Cat. ABC + Cat. A) - données CVS demandeurs d emploi ABC* en Octobre L regroupe 2,8% des demandeurs d emploi inscrits en France 8 DEFM Cat. ABC % sont des hommes 15% ont moins de 25 ans 23% ont plus de 5 ans 45% sont inscrits depuis plus de un an 67% n ont pas travaillé en octobre 215 Mensuelle Sept Oct 215 Évolution Annuelle Oct Oct 215 +,3% + 6,3% janv.- janv.-2 janv.-4 janv.-6 janv.-8 janv.-1 janv.-12 janv.-14 janv.-16 Source : STMT - Pôle emploi, DARES. Calculs des CVS : DIRECCTE /SEPES, DARES DEFM Cat. A [D2] Evolution mensuelle des DEFM (Cat. ABC) - /France Base en janvier 2 - données CVS Source : STMT - Pôle emploi, DARES, DIRECCTE [D4] Demandeurs d emploi moins de 25 ans (Cat. ABC) - données CVS France métropolitaine janv.- janv.-2 janv.-4 janv.-6 janv.-8 janv.-1 janv.-12 janv.-14 janv janv.- janv.-2 janv.-4 janv.-6 janv.-8 janv.-1 janv.-12 janv.-14 janv.-16 Source : STMT - Pôle emploi, DARES. Calculs des CVS : DIRECCTE /SEPES, DARES [D3] Demandeurs d emploi de longue durée (Cat. ABC) selon l ancienneté d inscription - données brutes Demandeurs d'emploi en Fin de Mois inscrits depuis 1 à Source : STMT - Pôle emploi, DARES. Calculs des CVS : DIRECCTE /SEPES, DARES jeunes de moins de 25 ans au chômage 1 5 Demandeurs d'emploi en Fin de Mois inscrits depuis 2 à 3 15,% des demandeurs d emploi en ont moins de 25 ans (14,7% au niveau national) -,3% sur 1 an (-2,9% au niveau national) Demandeurs d'emploi en Fin de Mois inscrits depuis plus de 3 ans janv.- janv.-2 janv.-4 janv.-6 janv.-8 janv.-1 janv.-12 janv.-14 janv.-16 Source : STMT - Pôle emploi, DARES, DIRECCTE personnes inscrites depuis plus d un an +1,6% sur 1 an (+1,1% au niveau national) 1 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

11 Source : INSEE - Taux de chômage localisés Quel est le taux de chômage (au sens du BIT)? Au 2nd trimestre 215 France métropolitaine : 1,% : 9,2% Source : INSEE - taux de chômage au sens du BIT - données trimestrielles Allemagne : 4,5% En Août 215 Source : Eurostat - taux de chômage mensuel au sens du BIT Au 1er janvier 214 Bade-Wurtemberg : 3,3% Rhénanie-Palatinat : 4,% Source : Eurostat - taux de chômage annuel au sens du BIT par région NUTS 2 Suisse : 4,1% En Juin 215 Source : OFS, Neuchâtel, Statistique du chômage au sens du BIT, données mensuelles Comment évolue le taux de chômage? [D5] Evolution trimestrielle du taux de chômage - /France [D6] Evolution du taux de chômage mensuel Allemagne - Suisse 12, 12, 1, France métropolitaine 1,% 1, 8, 9,2% 8, Allemagne 6, 4, 6, 4, Suisse 4,5% 4,1% 2, 2,, , Source : INSEE - Taux de chômage localisés au sens du BIT, données CVS trimestrielle Sources : Allemagne : Eurostat - taux de chômage au sens du BIT - Suisse : Office fédéral de la statistique suisse - taux de chômage au sens du BIT - Demandeurs d emploi et taux de chômage par territoire? [D8] Taux de chômage par zone d'emploi - 2 è trimestre 215 [D7] Demandeurs d emploi par zone d emploi et par territoire emploi-formation données brutes DEFM Cat.ABC - Oct. 215 Nombre dont <25 ans Source : STMT - Pôle emploi, DARES / DIRECCTE - données brutes Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215 dont femmes dont longue durée du Nord, dont ,6% 51,1% 46,6% Haguenau ,8% 51,4% 46,9% Wissembourg ,1% 51,2% 43,7% Saverne ,8% 5,4% 47,2% Strasbourg ,% 46,6% 44,6% Centre, dont ,2% 52,1% 44,5% Molsheim-Obernai ,5% 52,4% 45,1% Sélestat ,7% 51,8% 43,8% Colmar ,7% 49,6% 44,3% du Sud, dont ,4% 47,5% 43,6% Mulhouse ,8% 47,3% 44,2% Saint Louis ,6% 48,5% 4,9% non réparti 63 2,6% 42,9% 38,1% TOTAL ALSACE ,8% 48,4% 44,5% Saverne 7,5% +,1 pt Molsheim-Obernai 6,6% -,1 pt Sélestat 7,8% Colmar 8,2% +,1 pt Mulhouse 11,4% +,2 pt Saint-Louis 7,7% +,3 pt Haguenau 7,2% Strasbourg 1,3% +,2 pt +,2 pt +,3 pt Wissembourg 6,2% Taux de chômage en % : Evolution du taux de chômage localisé entre 214 T1 et 215 T1 (en points) : inférieur ou égal à 7 [7,1 à 8,1] +,2 pt [8,2 à 1,2] 1,3 et plus +,2 pt 11

12 Source : Pôle emploi Source : Pôle emploi E LES BESOINS DE MAIN-D ŒUVRE EN ALSACE Chaque année, Pôle emploi adresse un questionnaire à plus de 1,6 million d établissements afin de connaître leurs besoins en recrutement par secteur d activité et par bassin d emploi. Cette enquête permet entre autre : d anticiper les difficultés de recrutement, d améliorer l orientation des demandeurs d emploi, d informer les demandeurs d emploi sur l évolution de leur marché du travail et les métiers porteurs. Consulter BMO215 Les résultats clés de l enquête BMO 215 Hausse de la propension à recruter parmi les employeurs et des projets de recrutement - 19,3% des employeurs prévoient au moins un recrutement en 215, soit davantage qu en 214 (+3 points). - La proportion d établissements déclarant des projets de recrutement augmente dans l ensemble des établissements. - En 215, on comptabilise environ 1 7 projets de recrutements supplémentaires par rapport à 214. Les services concentrent plus de la moitié des projets de recrutement, et poursuivent leur progression - Les services regroupent 56% des projets de recrutement. Le nombre de projets du secteur progresse de +5,3% - La construction enregistre la plus forte baisse des intentions d embauche (-8,5%) sur un an. - Avec 17,9% des projets régionaux, l ensemble IAA-agriculture représente un potentiel de 7 74 embauches en 215 (soit -3,1% / 214) Hausse des difficultés de recrutement perçues par les employeurs alsaciens - 37,2% des projets d embauche sont jugés difficiles (+3,2 points par rapport à 213) - Les emplois saisonniers représentent 35,3% des projets d embauches, soit une baisse de -2,6 points par rapport à 214. [E1] Les métiers déclarés les plus recherchés par les entreprises en en 215 Ensemble des projets de recrutement % de projets jugés difficiles % de projets saisonniers [E2] Répartition par bassin d emploi des projets de recrutement et part des projets saisonniers Saverne ; 37% Wissembourg 931 ; 35% Viticulteurs, arboriculteurs salariés, cueilleurs % % Aides, apprentis, employés polyvalents de cuisine % 28% Professionnels de l'animation socioculturelle % 69% Aides à domicile, aides ménagères % 13% Agents d'entretien de locaux (y.c. ATSEM) % 11% Aides-soignants (médico psycho, aux. puériculture..) % 16% Molsheim 2 86 ; 51% Haguenau 2 33 ; 29% Strasbourg ; 22% Serveurs de café, restaurants (y.c. commis) % 61% Employés de maison et personnels de ménage % 24% Agriculteurs salariés, ouvriers agricoles 962 2% 74% Attachés commerciaux (en entreprise) % 3% Conducteurs et livreurs sur courtes distances % 9% Employés de libre-service 91 1% 47% Ouvriers non qualifiés de l'emballage et manutention 99 31% 47% Vendeur habillement, luxe, sport, loisirs, culture 81 27% 62% Cuisiniers % 39% ENSEMBLE DES 2 METIERS % 35% Source : Pôle emploi [E3] Les profils (métiers) les plus recherchés dans la région Autres métiers 25% Techniciens 2% Ouvriers BTP 4% Colmar ; 58% Thann Cernay 1 39 ; 35% Altkirch 643 ; 44% Sélestat ; 57% Guebwiller ; 66% Mulhouse ; 23% Saint Louis 969 ; 23% Note de lecture : Sur le bassin d emploi de Strasbourg il y a projets de recrutement en 215, dont 22% sont lies à une activité saisonnière [E4] Répartition des projets de recrutement par secteur Construction 5% Industrie 7% Administratifs 5% Ouvriers industrie Encadrement Social et médico-social Vente, tourisme, services 8% 8% 11% 37% Commerce 14% IAA et agriculture 18% Services 56% Source : Pôle emploi 12 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

13 Sources : MEN - DRAAF Sources : MEN - DRAAF Sources : MEN-DRAAF F LA FORMATION INITIALE EN ALSACE Cette partie analyse les flux et stocks d effectifs formés en formation initiale : Lycées et CFA Combien y a-t-il de lycéens et d apprentis en? en 214 LYCÉENS Évolution en : APPRENTIS FORMÉS EN ALSACE Lycéens : +1,7% (+1 177) : +,4% (+262) Apprentis : +69,9% (+ 6 85) : -2,7% (-44) en 214 [F1] Les lycéens (public + privé) et apprentis en (part / France métro+dom) évolution nb % part / France 213 lycéens ,2% 2,7% dont E.N ,3% 2,8% agriculture ,6% 1,% apprentis* ,7% 3,6% dont E.N ,3% 3,7% Total : +9,3% ( ) : -,1% (-59) Part de l / France métro + Dom : Total : 2,8% Lycéens : 2,7% Apprentis : 3,6% agriculture ,1% 2,5% TOTAL ,9% 2,8% * apprentis rentrée 214 : données provisoires [F2] Évolution des effectifs de lycéens (public + privé) et d apprentis nb lycéens nb d'apprentis À la rentrée 214, sur jeunes formés en lycées et Centre de Formation d Apprentis (CFA), 83% sont scolarisés en lycée (France : 85% - 213) lycéens ACAL La future grande région Champagne-Ardenne Lorraine compte lycéens et apprentis à la rentrée apprentis L enseignement privé dans les lycées [F3] Évolution des effectifs de lycéens (public + privé SC+HC) - E. N.- Agri indice en : +21,4% Sources : MEN - DRAAF Part de l enseignement privé : 16% France : 22,7% des lycéens privé L enseignement privé a enregistré une hausse de plus de 2 lycéens depuis 1992 mais reste moins développé en qu en moyenne nationale où il regroupe près de 23% des lycéens public Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre

14 Source : MEN Source : MEN Source : MEN Sources : MEN - DRAAF L enseignement agricole [F4] Evolution des effectifs de lycéens (public + privé) et d apprentis total enseignement agricole lycées agricoles CFA agricoles apprentis rentrée 214 : données provisoires : +51,7% Part de l enseignement agricole (213) : : 2,9 % des lycéens et apprentis France : 6 % (lycées - CFA : Education nationale + agriculture) 2 39 jeunes sont formés dans les établissements agricoles alsaciens à la rentrée 214 : depuis 1992, ces établissements ont gagné près de 8 lycéens et apprentis (+52%), surtout du fait de l essor des CFA agricoles ; depuis la rentrée 212, les effectifs d apprentis sont en recul. L enseignement agricole est moins développé en qu en moyenne nationale où il regroupe 6% des lycéens et apprentis. L apprentissage [F5] Evolution des effectifs d apprentis - - (E.N. + Agri - hors CFA nationaux) Pour en savoir plus : Tableau de bord régional de l'apprentissage : +69,9% Part de l apprentissage : : 17,7 % des lycéens et apprentis France* : 14,2% Part de l : 3,6% des apprentis en France** *France métropolitaine **France métropolitaine+dom [F6] Evolution des effectifs d apprentis - et France** Indice en [F7] Part des apprentis sur effectifs lycéens + apprentis par région** Nord-Pas-de-Calais 11,1% (22 è ) France 225 Champagne- Ardenne : 13,6% (15 è ) Lorraine : 14,6% (1 è ) Avec une part d apprentis de 17,7%, l : se situe au 4 è rang des 22 régions françaises Poitou-Charentes 18,8% (1 er ) % d apprentis (sur total lycéens+apprentis) : 11,1 13,5 14,5 16,7 18,8 France : 14,2% Au regard de la moyenne nationale, malgré une moindre croissance de ses effectifs, l apprentissage reste fortement développé en où il représente 17,7% des jeunes (lycéens + apprentis), soit 3,5 points de plus qu en moyenne nationale. 14 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

15 [F8] Les effectifs de lycéens (public + privé - E. N.) et d apprentis (hors CFA nationaux) - rentrée 214 LYCEES Education nationale Agriculture public privé dont SC Total public privé Total TOTAL EREA total Enseignement Spécialisé Classe ou dispositif relais ULIS (ex UPI) / SEGPA CLIPA/ Apprentis junior (DIMA) è è projet professionnel total 1 er cycle lycées CAP 1 an CAP2 1 è année CAP2 2 è année Total CAP MC - prépa NIV V total 2 nd cycle prof. court BMA Bac Pro3 1 è année Bac Pro3 2 è année Bac Pro3 3 è année total 2 nd cycle prof. long total 2 nd cycle professionnel Seconde Première Terminale total 2 nd cycle gén. et techno Classe de mise à niveau BTS en 1 an BTS 1 è année BTS 2 è année Total BTS en 2 ans DTS 1 è année DTS 2 è année DTS 3 è année Total DTS 3 ans DCESF DCG 1 è année DCG 2 è année DCG 3 è année Total DCG (ex DECF) DSAA total STS CPGE 1 è année CPGE 2 è et 3 è année total CPGE préparations diverses total post baccalauréat TOTAL LYCEES évolution 213 à % +,5% +,2% -,2% +,5% -2,% -15,8% -3,5% +,4% CFA Education nationale 1 è année 2 è année 3 è année Total CAP BCP CTM MC diplôme d'etat total niveau V Bac Pro BP BP JEPS BTM MC diplôme d'etat autres diplômes niv. IV total niveau IV BTS DUT BM diplôme d'etat autres diplômes niv III total niveau III DCG (II) DSCG (I) Licence Pro (II) Master Pro (I) Ingénieur (I) autres diplômes niv II-I total niveaux II-I TOTAL CFA (E.N.) évolution 213 à % -,2% -5,9% +5,3% -2,2% CFA agriculture 1 è année 2 è année 3 è année Total CAPA BPA CSA 6 6 total niveau V Bac Pro BP CSA 3 3 total niveau IV BTSA total niveau III TOTAL CFA (agric.) évolution 213 à % +7,8% -22,3% -7,6% -9,4% niveau V niveau IV niveau III niveaux II-I TOTAL CFA évolution 213 à % +,1% -7,% +3,7% -2,7% PREAPPRENTISSAGE DIMA : 286 apprentis Sources : MEN - DRAAF Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre

16 Quel est le comportement des jeunes à l issue de la 3 ème? [F9] Flux d élèves à l issue de la 3 ème % 9 8 Après plusieurs années de hausse, l accès en seconde se stabilise en après la 3 ème 6 63,4 Seconde G&T 62,5 France : 57,6 3 ème : 3,6% 3,5% (+,1 point) 5 Seconde : 62,5% 63,7% (-1,2 point) 1 ère année professionnelle : 24,3% 24,8% (-,5 point) 4 Sortie : 9,4% 7,9% (+1,5 point) 3 1 ère année enseignement professionnel Sources : MEN-DEPP - SIFA (MEN - Rectorat de l'académie de Strasbourg, Service Statistique Académique) Sortie 24,3 N.B. : Les sorties intègrent les flux vers l apprentissage et l enseignement agricole. 1 Redoublement 9,4 4,3 3, rentrées Source : MEN Les jeunes décrocheurs Voir aussi : Tableau de bord des jeunes en (partie C : les jeunes décrocheurs) [F1] Évolution de la part de jeunes ayant quitté prématurément le système de formation (sans obtenir de diplôme) ,7% de jeunes ayant quitté prématurément le système de formation en 12 1 France 8,5 Évolution : : -8,1 points France : - 4,8 points 8 6 6,7 ACAL Dans la future grande région ACAL : Champagne-Ardenne : 1,6 % Lorraine : 9,9 % Source : Eurostat Définition de l indicateur : Cet indicateur européen est fourni par Eurostat. Il est, en France, calculé à partir de l enquête emploi de l Insee et concerne les jeunes de 18 à 24 ans ayant quitté prématurément le système de formation (sans obtenir leur diplôme) et n ayant pas suivi de formation pendant les 4 semaines précédant l enquête. 16 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

17 Source : MEN Quelle proportion de bacheliers dans une génération? [F11] Evolution de la part d une génération accédant à l ensemble des baccalauréats - par voie - France (%) % 9% 8% 7% Rennes 6% 8,3% 5% 4% 3% 2% 1% % Source : MEN 1986 : Création du baccalauréat professionnel Pour en savoir plus : Le point sur Les bacheliers Professionnel Technologique Général : Réforme de la voie professionnelle 29 : Création de l'épreuve de contrôle au baccalauréat professionnel total bac : 77,2% 22,2% 15,5% 39,5% 77,2% (juin 215) Depuis 199, la proportion de bacheliers dans une génération a gagné +33,7 points pour la France. Cette forte croissance résulte surtout de l essor des séries technologiques et du baccalauréat professionnel mis en place à partir de De plus, le session 211 du baccalauréat s'inscrit dans une généralisation de la réforme de la voie professionnelle. Cet indicateur n est plus calculé au niveau académique depuis 212. Définition de l indicateur : Proportion de bacheliers dans une génération Il s agit de la proportion de bacheliers dans une génération fictive de jeunes de 17 à 24 ans qui auraient à chaque âge les taux de candidature et de réussite observés l année considérée. Ce nombre est obtenu en calculant, pour chaque âge, le rapport du nombre de lauréats à la population totale de cet âge, et en faisant la somme de ces taux. Pour ces résultats provisoires, la répartition par âge est estimée à partir de la structure par âge des bacheliers observée sur les résultats définitifs de la session précédente. Quels sont les résultats aux examens? tous candidats 85,3% de réussite aux examens France : 85,3% 84,3% (+1 point) [F13] Evolution du % d admis tous niveaux - / France - tous candidats 9% niveau V (CAP-BEP-MC) : 82,5% 83% (-,5 point) niveau IV (Bac gén, techno. et prof. (cf F12)): 89,3% 88% (+1,3 point) 85% 8% 75% France 85,3% 84,3% niveau III (BTS) : 7% 76,3% 73,4% (+2,9 points) 65% 6% [F12] % d admis au baccalauréat - session 214 (%) évolution 213 à 214 (point) rang (sur 26 académies) Bac général 92,8% -1,4 5 è rang 55% 5% Source : MEN Bac technologique 91,7% +4,3 12 è rang Bac professionnel 82,7% +4,5 14 è rang ensemble Baccalauréat 89,3% +,9 8 è rang Pour en savoir plus : Le point sur Les résultats aux examens Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre

18 Source : MEN Source : MEN Source : MEN Combien y a-t-il d étudiants en? [F14] Les effectifs de l enseignement supérieur : - France métro - rentrée 213 UNIVERSITES et ASSIMILES AUTRES FORMATIONS ALSACE évolution FRANCES nb % nb % IUT ,6 +,1% ,8 3,4% Universités* ,9 +2,% ,8 3,5% Ingénieurs ,5 +1,4% ,1 6,8% Total universités et assimilés ,9 +1,8% ,6 3,6% Ingénieurs hors universités ,7 +7,6% ,7 1,7% STS ,5 +,8% ,3 2,7% CPGE et prépas intégrées ,5 +1,1% ,4 3,% Ecoles de commerce, gestion, vente et comptabilité poids de l' 521,7 +14,% ,6,4% Autres écoles et formations ,7-2,5% ,3 2,% 7 91 Source : MEN étudiants formés en Evolution 212 à 213 : : +1,5% France : +1,8% Poids de l / France : 3% Proportion d étudiants étrangers (sur total effectifs Universités 213) : 19,5% France (métro+dom) : 14,5% Total autres formations ,1 +,6% ,4 2,% TOTAL 7 91, +1,5% , 3,% Source : MEN ACAL La future grande région Champagne- Ardenne Lorraine compte étudiants en 213, soit 7,8% des effectifs nationaux étudiants sont inscrits dans l enseignement supérieur en à la rentrée 213, dont 74% en Universités. De 1998 à 26, le nombre d étudiants a fortement progressé : près de 4 7 étudiants supplémentaires (+7,4%). Cette tendance s est inversée en 27 et 28. Depuis la rentrée 29, les effectifs ne cessent de croître, tant en (+5 étudiants, +7,7%) qu'au niveau national (+8,8%). [F15] Evolution des effectifs de l enseignement supérieur en 7 total enseignement supérieur 7 91 [F16] Nombre d étudiants inscrits par commune Saverne Obernai Sélestat Brumath Lingolsheim Molsheim Haguenau Schiltigheim Erstein Illkirch Bischwiller Strasbourg Universités et assimilés (IUT, Ingénieurs) Colmar Ingersheim Wintzenheim Rouffach Guebwiller Autres formations (Ingénieurs hors Univ., STS, CPGE, écoles de commerce, autres écoles) Thann Mulhouse Altkirch Illzach Saint- Louis Effectifs : Source : MEN - avril 214 [F17] Poids de l dans l enseignement supérieur en France [F18] Evolution / France : indice en 199 3,5% 15 3,4% 3,3% 3,2% France ,1% 3,% * 12 2,9% 2,97% 11 2,8% 2,7% 2,6% 9 2,5% * part de la population alsacienne dans la population France métro 18 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

19 Sources : enquêtes IVA IPA : Rectorat de l Académie de Strasbourg - DEPP et OREF ; Taux de chômage INSEE G L INSERTION PROFESSIONNELLE EN ALSACE Les données relatives à l insertion des lycéens et apprentis proviennent des enquêtes d insertion annuelles IVA IPA. Ne sont pris en compte que les lycéens et les apprentis ayant quitté le système de formation, toutes années confondues. Les sortants sont interrogés 8 mois après leur sortie, en février N+1. Quelle insertion professionnelle pour les lycéens et apprentis? 46% des lycéens et 67% des apprentis sortis de formation en 213 sont en poste 8 mois plus tard. L insertion s améliore sur la dernière année pour les apprentis (+ 1,4 point), elle stagne pour les lycéens (+,3 point). [G1] Evolution annuelle de l insertion professionnelle des lycéens en (en %) [G2] Evolution annuelle de l insertion professionnelle des apprentis en (en %) % 8% 82% Lycéens 62% % 8% 87% Apprentis 73% 68% 67% 6% 51% 46% 6% 4% 4% 2% 2% % % Sources : enquêtes IVA IPA : Rectorat de l Académie de Strasbourg - DEPP et OREF Quelle est l importance de la qualification? Le niveau de qualification semble également être un facteur important d insertion. La relation entre niveau de qualification et activité professionnelle perdure au fil du temps. [G3] Taux de chômage selon le diplôme, le sexe et la durée depuis la sortie de formation initiale (France) Sortis de formation initiale depuis (en %) 1 à 4 ans 5 à 1 ans 11 ans et plus Hommes Femmes Source : INSEE Enquête Emploi - France métropolitaine Enseignement supérieur Bac, CAP- BEP et équivalents Brevet, CEP et sans diplômes Total 21,7 18,9 1,5 24,7 48,9 2,3 13,1 11,9 6,1 15,1 33,2 12,5 7,8 7,8 4,3 7,6 13 7,8 L insertion des jeunes et la conjoncture [G4] Evolution annuelle de l insertion professionnelle des jeunes et du taux de chômage en (en %) entre 2 et 214 % 2% 82% 18% 8% 6% 4% 77% 75% 66% Insertion des Lycéens Insertion des Apprentis 68% 67% 67% 65% 56% 49% 51% 46% 8,1% 8,4% 7,7% 9,% 16% 14% 12% 1% 8% Après 2 années de baisse, l insertion professionnelle des jeunes s améliore en 214. Dans le même temps le taux de chômage au 1er trimestre atteint 9,%, en baisse par rapport à l année précédente. 2% 5,1% 6,1% Taux de chômage au 1er trimestre 6% 4% 2% % Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215 % 19

20 L insertion des lycéens par domaine de formation L évolution des effectifs d élèves diffère selon les domaines de formation, de même que la variation de l insertion sur les 3 dernières années. Certains domaines de formation méritent une attention particulière : leur insertion diminue sur les 3 dernières années alors que leurs effectifs sont en hausse ; il s agit par exemple des «spécialités pluri-technologiques de production» et des formations du domaine des «transformations». A l inverse certains domaines sont dans une dynamique positive : effectifs et insertion en hausse sur les dernières années ; c est le cas dans les «services aux personnes». Note de Lecture : Le domaine de formation «Services aux personnes» enregistre en 214 le meilleur taux d insertion : 59,3%. Par rapport à 212, ce taux d insertion a augmenté de 2, points. En 213, 6116 lycéens ont été formés dans ce domaine, + 5,6% par rapport à 211. [G5 ] Les domaines de formation : détails effectifs et insertion - lycéens Insertion ,3% 54,1% 47,2% 46,7% 44,4% 44,% 4,8% 34,3% 25,9% variation de l'insertion en points sur 3 ans ( ) Domaines de formation variation effectifs sur 3 ans ( ) Effectifs , Services aux personnes +5,6% ,5 Spécialités pluti-techno de production +71,5% ,6 Services à la collectivité -4,4% 282-5,2 Echanges et gestion -11,3% ,4 Mécanique, électricité, électronique -19,5% 5 9-3,2 Communication et information -43,4% , Transformations +7,6% ,1 Génie civil, construction, bois -12,1% ,6 Matériaux souples +,% 488 = 46,4% -4,9 Moyenne tous domaines +,9% Sources : - Effectifs : Systèmes d information sur la «Formation des Apprentis» (SIFA) ; - Taux d insertion : Enquêtes IPA 212/214 ; Rectorat de l Académie de Strasbourg - DEPP et OREF N.B. : Faute d effectifs suffisants, les domaines «spécialités plurivalentes des services» et «lettres et arts» ne sont pas représentés ici, car non significatifs. Zoom sur les groupes de spécialité enregistrant les meilleurs taux d insertion - lycéens Selon la même logique, de manière plus fine, certains groupes de spécialité méritent une attention particulière : leur insertion diminue sur les 3 dernières années alors que leurs effectifs sont en hausse ; il s agit des «technologies de commande des transformations industrielles» et des «technologies industrielles fondamentales». Même si la diminution est plus faible, on peut citer également les «spécialités pluri technologiques mécanique électricité». [G6] Les 8 groupes de spécialité enregistrant les meilleurs taux d insertion en 214 pour les lycéens Insertion 214 variation de l'insertion en points sur 3 ans ( ) 8 groupes de spécialité enregistrant les meilleurs taux d'insertion en 214 variation effectifs sur 3 ans ( ) Effectifs ,% 6,8% 6,7% 59,3% +1, Sanitaire et social +46,3% 25-4, Santé -2,5% ,7 Accueil, hôtellerie, tourisme -17,6% ,9 Comptabilité, gestion +9,1% 52 58,7% -15,8 Technologies de commande des transformations industrielles +17,% 14 56,1% -9,9 Travail social -1,1% 321 5,3% 5,3% -11,6 -,8 Technologies industrielles fondamentales Spécialités pluritechnologiques Mécanique-électricité +27,6% ,9% ,4% -4,9 Moyenne toutes spécialités +,9% Sources : - Effectifs : MEN - Rectorat de Strasbourg - Système d information «Scolarité» ; Ministère de l Agriculture fichiers «Scolagri» - Taux d insertion : Enquêtes IVA 212/214 ; Rectorat de l Académie de Strasbourg - DEPP et OREF N.B. : Seuls les groupes de formations enregistrant un nombre de répondants supérieur à 5 à l enquête 214 sont retenus 2 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

21 L insertion des apprentis par domaine de formation Pour les apprentis également, selon les domaines, l évolution des effectifs et de l insertion diffère fortement sur les 3 dernières années. Certains domaines méritent une attention particulière : leur insertion diminue sur les 3 dernières années alors que leurs effectifs sont en hausse ; il s agit par exemple des «services à la collectivité» et des «spécialités pluri technologiques de la production.». A l inverse certains domaines sont dans une dynamique positive : des effectifs et une insertion en hausse sur les dernières années : «mathématiques et sciences», «communication et information» et «transformations». Note de Lecture : Le domaine «Mathématiques sciences» enregistre en 214 le meilleur taux d insertion pour les apprentis : 77,2%. Par rapport à 212, ce taux d insertion a augmenté de 1,5 points. En 213, 113 apprentis ont été formés dans ce domaine, + 27,% par rapport à 211. [G7] Les domaines de formation : détails effectifs et insertion - apprentis Insertion ,2% variation de l'insertion en points sur 3 ans ( ) Domaines de formation variation effectifs sur 3 ans ( ) Effectifs ,5 Mathématiques et sciences +27,% ,4% 76,% 71,5% 68,8% 68,3% 67,8% 65,5% 64,1% 58,9% 66,9% -5,4 Spécialités pluri-techno de production +12,3% ,7 Communication et information +1,2% 563-1, Services à la collectivité +11,5% 184-8,9 Mécanique, électricité, électronique -2,% = +,3 Services aux personnes -12,% ,9 Echanges et gestion -2,2% ,2 Génie civil, construction, bois -7,4% ,2 Agriculture, pêche, forêt et espaces verts -1,8% ,1 Transformations +1,5% ,8 Moyenne tous domaines -1,7% Sources : - Effectifs : Systèmes d information sur la «Formation des Apprentis» (SIFA) ; - Taux d insertion : Enquêtes IPA 212/214 ; Rectorat de l Académie de Strasbourg - DEPP et OREF N.B. : Faute d effectifs suffisants, les domaines «Sciences humaines et droit», «Spécialités plurivalentes des services», «Matériaux souples» et «Lettres et arts» ne sont pas représentés ici, car non significatifs. Zoom sur les groupes de spécialité enregistrant les meilleurs taux d insertion - apprentis Selon la même logique, certains groupes de spécialité méritent une attention particulière : leur insertion diminue sur les 3 dernières années alors que leurs effectifs sont en hausse. Il s agit des formations des «finances, banque et assurances», et dans une moindre mesure de la «mécanique générale et de précision, usinage», de «l informatique, traitement de l information» et des «spécialités pluri technologiques mécanique électricité». [G8] Les 8 groupes de spécialité enregistrant les meilleurs taux d insertion en 214 pour les apprentis Insertion 214 variation de l'insertion en points sur 3 ans ( ) 8 groupes de spécialité enregistrant les meilleurs taux d'insertion en 214 variation effectifs sur 3 ans ( ) Effectifs ,4% -2,8 Mécanique générale et de précision, usinage +6,4% ,% 86,7% 83,5% 82,5% 82,1% 79,2% 78,9% +1,3 Génie Civil, Construction, Bois +36,8% 233 = -,2 Santé -13,9% 316-2,4-3,8 Informatique, Traitement de l'information Spécialités pluritechnologiques Mécanique-électricité +16,9% 27 +4,9% ,5 Finances, banque, assurance +58,1% ,6 Transport, manutention, magasinage +1,9% 213-5,5 Echanges et gestion -34,1% ,9% -,8 Moyenne toutes spécialités -1,7% Sources : - Effectifs : Systèmes d information sur la «Formation des Apprentis» (SIFA) ; - Taux d insertion : Enquêtes IPA 212/214 ; Rectorat de l Académie de Strasbourg - DEPP et OREF N.B. : Seuls les groupes de formations enregistrant un nombre de répondants supérieur à 5 à l enquête 214 sont retenus Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre

22 Source : Insee, Estimations de population Carte : Région - DEF EPO - avril 214 Source: Insee, Estimations de population Carte : Région - DEF EPO - avril 214 H LE CONTEXTE DEMOGRAPHIQUE EN ALSACE Quels chiffres-clés? Repères L au 1 er janvier 214 3% de la population de la France métropolitaine 3 ème rang des régions* pour la densité de population 1 ème place des régions* pour son dynamisme démographique 13 ème rang des régions* les plus peuplées * sur 22 France métropolitaine 1,87 Million d habitants (p) au 1 er janvier ,9 Millions d habitants (p) au 1 er janvier 214 Densité de population : 225,7 habitants / km 2 Densité de population : 117,5 habitants / km 2 Variation relative annuelle de population : +,3% due au solde naturel : +,4% due au solde apparent des entrées et des sorties (1) : -,1% Variation relative annuelle de population : +,5% due au solde naturel : +,4% due au solde apparent des entrées et des sorties (1) : +,1% naissances domiciliées (213) décès domiciliés (213) naissances domiciliées (213) décès domiciliés (213) Espérance de vie à la naissance (213) Espérance de vie à la naissance (213) 79, ans 84,4 ans 78,8 ans 85, ans Sources : Insee - Estimations de population et état civil (p) données provisoires (1) le solde apparent des entrées-sorties est calculé comme la différence entre la variation de population et le solde naturel. [H1] Évolution annuelle moyenne de la population [H2] Densité de population en 214 +,3% 225,7 hab/km2 Taux d'évolution annuel moyen (%),9 et plus de,6 à,8 de,2 à,5 moins de,2 France métropolitaine : +,5% Densité de population au 1er janvier 214 en hab/km² de 16 à de 11 à 2 de 21 à 35 plus de 35 France métropolitaine : 117,5 hab/km² 22 Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

23 Sources : Insee, état civil, estimations localisées de population Source : Insee, RP 211 Source : Insee, RP 211 Source : Insee, RP 211 Source : Insee, RP 211 Quelle est la structure par âge et sexe de la population? [H3] Population en au 1 er janvier Hommes Milliers Femmes France métropolitaine* * NB : profil de la population de la France métropolitaine au 1/33è [H4] Poids de l par rapport à la France métropolitaine selon l âge Au 1 er janvier 211 : Le profil général par âge et sexe de la population alsacienne est quasi identique à celle de la France métropolitaine. En comme au niveau national, il y a plus de femmes que d hommes au delà de 65 ans. L âge moyen progresse : 4 ans en 4,5 ans en France métropolitaine Par rapport à la structure par âge de la France métropolitaine, celle de la population alsacienne présente une sousreprésentation avant 15 ans et au delà de 6 ans. En revanche, la surreprésentation des 15 à 59 ans permet à la région de conserver, pour le moment, un âge moyen plus favorable qu au niveau national. Les personnes âgées de 6 ans et plus représentent plus de 2% de la population. 5,% 4,5% 4,% 3,5% Poids de l' : 2,9% 3,% 2,5% 2,% 1,5% 1,%,5% âge,% [H5] Répartition de la population selon la classe d âges Classe d'âges France Métro écart / France métro en pts -14 ans 17,92% 18,35% -, ans 18,89% 18,3% +, ans 2,41% 19,85% +, ans 21,12% 2,7% +1, ans 13,6% 14,35% -, ans 7,45% 8,24% -,79 9 ans et +,61%,83% -,22 Total % % - part des + de 6 ans 21,66% 23,43% -1,77 [H7] Évolution de l espérance de vie à la naissance - et France métro [H6] Écart de structure par âge entre et France métro : par classe d âges classe d'âge sous-représentée / en classe d'âge surreprésentée en 9 ans -,22 9 ans et Femmes -,79 -, ans 6-74 ans , ans Hommes +,56 +, ans ans 72 France métro en pts -, ,5-1 -,5,5 1 1, ans Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre

24 Source : Insee - Etat civil Source : Insee - Etat civil Source : Insee - Etat civil Sources: Insee, Recensements de population Nombre d'habitants en millions Sources : Insee, Recensements de population Quelle est l évolution de la population? [H8] Évolution de la population en par recensement 1,9 RP 211 RP 26 1,85 1,8 1,82 RP ,7 1, : +2% habitants Soit un rythme annuel de +,4% par an +,45% dû au solde naturel -,5% dû au solde migratoire Source : Insee - Estimations de population RP 199 1,6 RP ,62 RP ,57 1,5 1,52 RP ,4 1,41 RP ,3 1,32 1, Depuis 1975, l augmentation de la population alsacienne est principalement due au solde naturel. [H9] Taux d évolution démographique intercensitaire (moyennes annuelles) % 1,3 1,2 1,1 1,,9,8,7,6,5,4,3,2,1, 1,16 1,3,72,73,66,55,44,48,45,46,38,8,46,47,46,4,45,26,19, -,1 -, Taux d'évolution global - dû au solde naturel - dû au solde migratoire Comment évoluent les naissances domiciliées? [H1] Évolution des naissances domiciliées en 24 [H11] Indice en 1975 : comparaison France métro France [H12] Poids des naissances alsaciennes par rapport à celles de la France métropolitaine 3,4% 3,2% naissances vivantes domiciliées en en 213-3,4% par rapport à 21 3,8% 3,% 2,83% 2,79% 2,8% 2,6% 2,4% : naissances vivantes domiciliées Depuis 21, les naissances alsaciennes se sont réduites de 3,4%, environ 77 naissances de moins. L année 213 enregistre une légère remontée par rapport à l année précédente (+,2%). Le poids des naissances alsaciennes dans l ensemble national, en baisse depuis une vingtaine d années, revient à 2,79% en 213, ce qui reste une des valeurs les plus faibles enregistrées depuis Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre 215

25 Quelles sont les perspectives d évolution de la population? de 21 à 24 Tendances La population alsacienne évoluerait d environ +1% pour atteindre 2,2 millions d habitants à l horizon 24. Avec une croissance de plus de 6%, les personnes âgées de 6 ans et plus représenteraient plus d un tiers de la population. Au sein de la population alsacienne, la part des moins de 6 ans se réduirait, celle des plus de 6 ans augmenterait. La pyramide des âges ci-contre illustre le vieillissement de la population d ici 24. [H13] La population alsacienne - comparaison 21 et Hommes Femmes Population alsacienne en [H14] Projection de la population alsacienne et poids /France métro Millions d'habitants 2,2 2,1 2, 1,9 1,8 1,7 1,85 2,94% Poids /France métro en % 3,4% 2,2 3,3% 3,2% 3,1% 3,% 2,9% Milliers Sources : Insee, RP 21 et projections de population (Modèle Omphale 21 - scénario central) [H15] Projection de population - / France métro - (population en milliers) RP Projections Année ,85 1,93 1,99 2,2 Evolution (base RP 21) 4,7% 7,6% 9,6% France métro 62,77 65,96 68,53 7,73 Evolution (base RP 21) 5,1% 9,2% 12,7% Poids /France métro 2,94% 2,93% 2,9% 2,86% Sources : Insee, RP 21 et projections de population (Modèle Omphale 21 - scénario central) 1,6 1,5 2,86% 2,8% 2,7% [H17] Évolution de la population projetée selon la classe d âges - (indice en 21) NB : classe d âges non représentée sur le graphique, «les 9 ans et +», +297% entre 21 et 24 1,4 2,6% Sources : Insee, RP 21 et projections de population (Modèle Omphale 21 - scénario central) base en ans [H16] Évolution de la structure par âge Population totale en millions Evolution France métro 24 1,85 2,2 -,% 7,73 dont -14 ans 17,9% 15,9% -3,% 16,7% ans et ans Structure par âge dont ans 19,% 17,% -1,6% 17,2% dont 3-44 ans 2,7% 17,9% -5,3% 17,7% dont ans 21,2% 17,9% -7,% 17,4% dont 6-74 ans 13,3% 16,7% +38,% 16,3% dont ans 7,4% 12,5% +86,3% 12,3% France métro Total ans -14 ans 3-44 ans ans dont 9 ans et +,6% 2,% +296,6% 2,4% dont 6 ans et + 21,2% 31,24% +61,6% 31,% Sources : Insee, RP 21 et projections de population (Modèle Omphale 21 - scénario central) Sources : Insee, RP 21 et projections de population (Modèle Omphale 21 - scénario central) OREF - Maison de la Région 1, place Adrien Zeller Strasbourg cedex Tél : voir aussi : Contrat de Projets État-Région Tableau de bord régional OREF - Mise à jour : 27 novembre