Description automatique de dynamiques de groupes dans des simulations à base d agents

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Description automatique de dynamiques de groupes dans des simulations à base d agents"

Transcription

1 Descripion auomaique de dynamiques de groupes dans des simulaions à base d agens Philippe Caillou, Javier Gil-Quijano To cie his version: Philippe Caillou, Javier Gil-Quijano. Descripion auomaique de dynamiques de groupes dans des simulaions à base d agens. Pierre Chevaillier and Bruno Merme. JFSMA 2012, Oc 2012, France. Cepadues Ediions, pp.23-32, <hal > HAL Id: hal hps://hal.archives-ouveres.fr/hal Submied on 3 Oc 2012 HAL is a muli-disciplinary open access archive for he deposi and disseminaion of scienific research documens, wheher hey are published or no. The documens may come from eaching and research insiuions in France or abroad, or from public or privae research ceners. L archive ouvere pluridisciplinaire HAL, es desinée au dépô e à la diffusion de documens scienifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanan des éablissemens d enseignemen e de recherche français ou érangers, des laboraoires publics ou privés.

2 Descripion auomaique de dynamiques de groupes dans des simulaions à base d agens P. Caillou a philippe.caillou@lri.fr J. Gil-Quijano b javier.gil-quijano@cea.fr a Laboraoire de Recherche en Informaique, Universié Paris Sud INRIA, France b CEA, LIST, Laboraoire Informaion Modèles e Apprenissage, F Gif-sur-Yvee, France Résumé Les simulaions à base d agens (MABS) on éé uilisées avec succès pour modéliser des sysèmes complexes dans de nombreux domaines. Néanmoins, un problème des MABS es que leur complexié augmene avec le nombre d agens e de ypes de comporemens différens considérés dans les modèles. Pour des sysèmes de aille moyenne à grande, il es impossible de valider, voire même d observer simplemen les rajecoires des agens individuels lors d une simulaion. Les approches de validaion classiques, où seuls des indicaeurs globaux son calculés, son rop simplises pour permere d évaluer le modèle de simulaion avec un degré de confiance suffisan. Il es alors nécessaire d inroduire des niveaux inermédiaires de validaion e d observaion. Dans ce aricle, nous proposons l uilisaion de la classificaion auomaique de données (clusering) combinée à la caracérisaion auomaisée de clusers pour consruire, décrire e suivre l évoluion de groupes d agens en simulaion. La descripion de clusers es uilisée pour générer des profils d agens qui son réinroduis dans les simulaions avec l objecif d éudier la sabilié des descripions e des srucures des clusers sur plusieurs simulaions e de décider de leur capacié à décrire les phénomènes modélisés. Ces ouils permeen au modélisaeur d avoir un poin de vue inermédiaire sur l évoluion du modèle. Ils son suffisammen flexibles pour êre appliqués à la fois hors ligne e en ligne comme le monren les analyses réalisées à la fois sur des simulaions Nelogo e sur des logs de simulaions. Mos-clés : Simulaion muli-agens, Méhodes e méhodologies muli-agens, Vérificaion e validaion des sysèmes muli-agens Absrac Muli agen based simulaions (MABS) have been successfully exploied o model complex sysems in differen areas. Neverheless a pifall of MABS is ha heir complexiy increases wih he number of agens and he number of differen ypes of behaviours considered in he model. For average and large sysems i is impossible o validae he rajecories of single agens in a simulaion. The classical validaion approaches, where only global indicaors are evaluaed, are oo simplisic o give enough confidence on he simulaion s model. I is hen necessary o inroduce inermediae levels of validaion. In his paper we propose he use of daa clusering and auomaed characerizaion of clusers in order o build, describe and follow he evoluion of groups of agens in simulaions. The descripion of clusers is used o generae profiles of agens ha are reinroduced in simulaions in order o sudy he sabiliy of he descripions and srucures of clusers over several simulaions and decide heir capabiliy o describe he modelled phenomena. These ools provides he modeller wih an inermediae poin of view on he evoluion of he model. They are flexible enough o be applied boh offline and online, and we illusrae i wih boh a NeLogo and a CSV-simulaion log example. Keywords: Simulaion muli-agens, Méhodes e méhodologies muli-agens, Vérificaion e validaion des sysèmes muli-agens 1 Inroducion La modélisaion par simulaion de sysèmes complexes es un processus cyclique, le modèle ean progressivemen amélioré en inroduisan des nouvelles connaissances e en corrigean des bugs e/ou des effes indésirables. Les sysèmes muli-agens (SMA) son pariculièremen bien adapés pour représener les phénomènes complexes à parir de la descripion des comporemens locaux d agens. Une fois que les comporemens des agens son définis, le processus de modélisaion cyclique lors de

3 l uilisaion du SMA se concenre généralemen sur la déerminaion de paramères globaux de la simulaion e/ou des éas iniiaux des agens qui permeen de reproduire les comporemens globaux observés dans les phénomènes modélisés. Calibrer les simulaions signifie rouver le bon ensemble de valeurs (ou inervalles de valeurs) pour les paramères globaux e individuels qui permeen de minimiser la différence enre comporemens aggrégés simulés e observés. Cee démarche d opimisaion es mise en oeuvre dans plusieurs ouils exisans comme LEIA [5] e GAMA [15]. Néanmoins, cee approche radiionnelle présene des limies lorsqu il s agi de modéliser des sysèmes complexes. En effe, dans de els sysèmes, des phénomènes différens peuven se produire simulanémen à différens niveaux inermédiaires e s influencer muuellemen [6]. Par exemple, des groupes d agens (vols d oiseaux, des groupes sociaux, ec) suivan des rajecoires similaires peuven apparaire, évoluer e disparaire. Pour décrire e évaluer l évoluion de ces groupes, l observaion de variables globales n es pas suffisane. En oure, en raison des propriéés émergenes des sysèmes complexes, ces groupes peuven êre inaendus, e, pire encore, leur présence peu passer inaperçue, car aucune variable ou ou aure mécanisme d observaion adapé n es fourni dans le simulaeur. L imporance e l exisence même des groupes peuven alors êre cachées en raison du nombre rès imporan d informaions qui peuven êre observées dans les simulaions SMA. Dans ce aricle, nous inroduisons l uilisaion d ouils saisiques pour aider le modélisaeur dans la découvere, la descripion e le suivi de l évoluion des groupes d agens. Nous proposons deux ouils complémenaires, le clusering de données e le calcul de valeurs-es, uilisés pour déecer auomaiquemen e décrire des groupes d agens. Dans la secion 3, nous présenons un modèle d observaion qui uilise ces ouils pour produire une analyse auomaisée de l évoluion des groupes dans des simulaions SMA, puis nous l appliquons en secion 4 à deux exemples, le premier en ligne (sur un modèle NeLogo) e le second sur des logs CSV. 2 Ea de l ar Les simulaions à base d agens on éé largemen uilisées pour modéliser des phénomènes économiques, géographiques ou sociaux. Il exise plusieurs plaeformes de simulaion, ceraines plus accessibles, comme NeLogo [7], e d aures plus ouveres, comme par exemple MODULECO [13], GAMA [15] ou Repas [11, 14]. Se basan sur ces plaes-formes, cerains ouils permeen l analyse auomaique de simulaions, els que l analyseur LEIA [5], SimExplorer [9] e [2]. LEIA [5] es un navigaeur des simulaions, qui pourvoi l uilisaeur avec une comparaison visuelle insananée de N simulaions qui foncionnen en parallèle. LEIA fourni un ensemble d ouils de ransformaion e de généraion pour la modélisaion, ainsi que des ouils pour le parcour de l espace des simulaions. Des heurisiques permeen de plus de juger de l inére d un jeu de paramères par rappor aux aures. SimExplorer/OpenMole [9] es une plaeforme acuellemen en développemen, qui vise à offrir un environnemen générique pour la programmaion e l exécuion d expérimenaions sur des modèles complexes. Les objecifs son muliples : (1) exernaliser le développemen pour l exploraion du modèle, afin de mere à la disposiion des méhodes e des ouils génériques qui peuven êre appliquées dans la plupar des cas pour n impore quel modèle à explorer ; (2) favoriser la réuilisaion des composans disponibles, e donc de réduire l effor de développemen visan les applicaions de bonne qualié pour l exploraion de modèles ; (3) facilier une approche de garanie de la qualié dans l exploraion du modèle. [2] es un ouil qui perme de générer e d exécuer des nouvelles simulaions jusqu à ce que les résulas obenus soien saisiquemen validés selon un es deχ 2. Il peu générer des nouvelles simulaions e effecuer des ess saisiques sur les résulas, avec une précision qui augmene progressivemen à mesure que les résulas son produis. Il es uilisable sur n impore quelle simulaion basée sur RePas. Cependan, ous ces ouils on pour objecif d explorer l espace des paramères par l exécuion/l analyse de plusieurs simulaions. Nore objecif principal es d éudier plusieurs éapes d une seule simulaion. Pour explorer une simulaion, les seuls ouils exisans son des ouils inégrés (els que les graphes e les logs dans NeLogo), qui se limien à des groupes d agens définis par l uilisaeur, e le daa mining classique sur des logs de simulaion. Nous souhaions prendre en compe les avanages de l analyse en ligne e de l analyse orienée-agen de NeLogo e les combiner avec le poeniel de

4 flexibilié e de descripion des ouils de daamining. 3 Modèle d observaion Nore objecif es de décrire, en ligne ou hors ligne, ce qui se passe dans une simulaion au niveau de clusers d agens. Nore modèle d observaion peu êre décri à ravers plusieurs éapes présenées dans la secion 3.2. La noaion uilisée pour décrire ces éapes es présenée dans la secion suivane. 3.1 Noaions Ean donnée l ensemble de simulaions S = {s 1,...,s s }, l ensemble d agens A s = {a s,1,...,a s,n} au pas de emps dans une simulaion donnée s S e l ensemble V = {v 1,..,v m } de variables uilisées pour analyser les simulaions danss 1. L ensemble V es donnée par : V = Vag Vini Vcalc où : Vag = {v ag,1,...,v ag,d } es l ensemble de variables qui décriven les éas des agens. Pour l insan, nous ne considérons qu un seul ype d agen, alors Vag es idenique pour chaque agen. Vini = {v ini,1,...,v ini,d } es un ensemble de variables viruelles qui conien les valeurs iniiales de Vag. Vini peu êre considéré comme l ensemble de paramères des agens. Vcalc = {v calc,1,...,v calc,q } es un ensemble de variables saisiques calculées sur chaque agen. Par exemple la moyenne mobile des variables dans Vag. Nous définissons l ensemble Vclus V qui conien les variables à êre considérées dans le clusering. Le sous-ensemble Vmod C Vini conien l ensemble de variables iniiales uilisées pour définir un modèle d agen associé au cluser C. Nous noonsx a, j la valeur de la variablev j pour l agenaau pas de emps, ex V a, = {xa, j /v j V} l ensemble de valeurs pour oues les variables dans V. Nous définissons l ensemble de clusers d agens au pas de emps dans la simulaion s comme C s = {C s,1,...,c s,c}. 1. Pour l insan, nous ne considérons que des simulaions avec des variables numériques e booléennes. Les variables qualiaives seron considérées dans le ravail fuur. C s a une foncion d inension associée : inension C s (a A s,x a, V clus ) C C s. Cee foncion perme d affecer un agen a au cluser C le plus indiqué en enan compe de ses valeurs pour les variables de clusering Vclus. Par exemple dans le cas de l algorihme classique de clusering k-means inension C s(a,x a, ) = V clus argmin c j=1 xa clus,j µc j 2, où µ C j C C C s es la valeur moyenne de la variable j dans le cluser C. Pour l algorihme k-means, la foncion de définiion affece l agen a à son cluser le plus proche. Nous appelons exension(c s ) l ensemble d agens conenus dans le cluser C s. C s C s,exension(c s ) A s. Ean donné un cluser C s, nous pouvons définir l ensemble Vsig Cs V de variables significaives, comme l ensemble de variables don la valeur es (VT ) es significaive (voir secion 3.2) : v Vsig Cs, VT(v,C s ) 2. En fin, nous définissons l ensemble GP s = {gp 1,s,...,gp p,s },s S de paramères globaux pour chaque simulaion s S. 3.2 Descripion du modèle Nous présenons ici une descripion déaillée de chaque éape du processus d observaion. Sélecion du modèle. Nore modèle es générique pour l analyse de flux de données d une simulaion. Il peu analyser direcemen des données en provenance d une plaeforme de simulaion (par exemple NeLogo) ou exraies d un fichier de logs (en simulan un flux de données). Traiemen des données. Une marice de données es générée ous les s pas de simulaion. Une ligne dans cee marice représene l éa d un agen. Ces données brues ne son pas les seules variables inéressanes pour la généraion e l analyse de clusers. A parir de l ensemble V ag de variables qui décriven les agens, nous générons les ensembles Vcalc e Vini. Dans Vcalc plusieurs filres ou agrégaeurs peuven êre considérés pour enrichir le flux de données. Pour l insan, nous uilisons un seul filre : pour chaque variable, nous définissons une nouvelle variable qui correspond à sa moyenne mobile. Vini conien les valeurs iniiales de V ag de chaque agen dans la simulaion. Par défau,

5 ces variables iniiales ne son pas uilisées dans le calcul de clusers, mais dans la descripion a poseriori des clusers. Le sous-ensemble des variables uilisées pour la classificaion Vclus doi êre sélecionné au débu de la simulaion (il es mainenu consan pour le rese de l analyse). Par défau, Vclus = Vag Vcalc. Clusering : es-il possible de rerouver des groupes homogènes?. Le clusering es effecuée sur l ensemble de données Vclus afin de générer des groupes d agens homogènes. Nore objecif n es pas de proposer un nouvel algorihme de clusering, dans nore modèle n impore quel algorihme de clusering peu êre uilisé (dans nore applicaion, n impore quel algorihme de la librairie Weka 2 e ses paramères associés). Par défau, l algorihme de clusering XMeans [12] es uilisé avec la foncion de similarié classique basée sur la disance euclidienne. Descripion : commen décrire les clusers?. Une fois que les clusers son idenifiés, e si nous considérons A s l ensemble d agens e A C s = exension(c) s l ensemble d agens dans le cluser C s, il es possible d obenir des descripions claires e précises de chaque cluser en se basan sur le calcul des valeurs-es (VT, équaion 1)[10, 8]. Le V T représene l imporance de la valeur moyenne E(A C s,v) d une variable v sur l ensemble A C s par rappor à la disribuion de v sur l ensemble A s. Grossièremen, le VT peu êre décri comme éan la différence enre la moyenne de v dans le cluser (E(A C s,v)) e la moyenne globale (E(A s,v)) normalisée par rappor à l écar-ype global de v (σ 2 (A s,v)) : VT(v,C s ) = (E(A C s,v) E(A s,v)) ( card(a s ) card(a C s ) card(a s ) 1 σ2 (A s,v) card(a C s ) ) (1) où card es la foncion de cardinalié qui renvoie la aille d un ensemble. v es significaive pour l ensemble A C s si VT(v,C) s 2. Si VT(v,C) s 2, la valeur de v dans A C s es en moyenne plus grande que sa valeur dansa s (e plus peie sivt(v,c) s 2). Pour facilier la comparaison des clusers découvers lors d une simulaion, nous les présenons sous une vue globale qui perme de visualiser 2. hp ://weka.wikispaces.com/ les variables les plus significaives dans la simulaion (voir par exemple la figure 1). Evoluion des clusers. Afin de décrire l évoluion des clusers, nous considérons deux hypohèses alernaives : soi l exension, soi l inension es fixée pour l analyse. Evoluion des clusers en fixan leur exension La première possibilié es de fixer l exension (la populaion) d un cluser, à un pas de simulaion donné, exension(c) s = exension(c s ), >. La descripion du cluser C s es mise à jour à chaque pas de simulaion. Ean donné que les agens du cluser resen les mêmes, VT(v ini,c s ) = VT(v ini,c) s (à moins que cerains agens soren, ou que de nouveaux agens enren dans la simulaion). Pour les aures variables (en pariculier les variables dansvag evcalc),vt peu évoluer car l éa des agens peu changer. Descripion de la sabilié. Pour évaluer la sabilié d un cluser avec un exension fixe, nous définissons la mesure Desc-sabiliy (eq. 3). Elle se base sur le calcul de la sabilié du cluser C sur une variable v par rappor à un cluser C, comme il sui : sabiliy(c,c ) v = 1 VT(v,C) VT(v,C ) max( VT(v,C), VT(v,C ) ) La valeur maximale de sabilié es de 1, ce qui signifie que la valeur de v-es de v es la même pour les deux clusers. L équaion 2 reourne des valeurs négaives lorsque les deux valeurs de v- es on des signes différens. Desc-sabiliy mesure la sabilié moyenne du cluser iniial par rappor à oues les descripions avec exension fixe : Desc sabiliy(c s v V sabiliy(cs,c s ) v ) = card(v) card({ / }) Evoluion des clusers en fixan leur inension L alernaive es de fixer l inension des clusers. A chaque nouvelle éape, la foncion inension es uilisée pour déerminer quels agens affecer à chaque cluser (cerains clusers peuven êre vides) e les nouvelles descripions son calculées. Pour un cluser C s, pour chaque pas de emps > un nouveau cluserc s es consrui où a exension(c s ),inension C s (a A s ) C,Xa, V s. La descripion de chaque clus (2) (3)

6 cluserc s peu êre facilemen comparée à celle de C s. Ean donné que les inenions des clusers son les mêmes, le v-ess des variables uilisées dans le clusering (Vclus) son rès enclins à reser les mêmes. Mais les v-ess des aures variables, en pariculier ceux des variables iniiales (Vini) des agens peuven évoluer (puisque la populaion du cluser change). Sabilié de la populaion La mesure Popsabiliy perme de calculer la proporion de la populaion qui rese dans l exension d un cluser alors que l inension es fixe : Pop sabiliy(c s ) = card(c s Cs ) max(card(c s),card(cs )) card({ / }) Généraion de simulaions. Afin de valider les descripions des clusers, nous éudions d une par, leur sabilié à ravers différenes simulaions, e d aure par, leur sensibilié à la variaion de paramères globaux. Dans ces bus, nous définissons deux méhodes de généraion e d analyse de simulaions. La première méhode conserve l inension du cluser e applique simplemen la même inension sur les nouvelles simulaions. La seconde méhode suppose que les valeurs significaives iniiales idenifiées pour un cluser définissen un "modèle d agen". Ce modèle es uilisé dans de nouvelles simulaions e l analyse vérifie si les aures variables des agens générés on un comporemen similaire à celui du cluser iniial. Généraion en fixan la définiion du groupe. La définiion d un groupe d agens (l inension du cluser) es mainenue consane. Pour un groupe cible C s, ns nouvelles simulaions son générées. Au pas de empsde chaque nouvelle simulaions, un nouveau cluserc s es calculé à parir de l inension cible : a exension(c s ),inension C s(a A s,x V a, ) C s. Les descripions de ces clus nouveaux groupes peuven êre comparées à la descripion cible afin d évaluer la sabilié des résulas. Généraion en fixan le modèle d agen. A parir de l exension d un cluser cible C s, il es possible de consruire une disribuion des variables significaives iniiales Vmod Cs = Vini Vsig Cs, définissan ainsi un modèle d agen pourc s. Nous émeons l hypohèse que ces variables suiven des disribuions gaussiennes. (4) Ean donné un cluser C s, son modèle d agen es défini par la disribuion de ses variables significaives iniiales comme il sui : {v mod N(µ(v mod,c),σ(v s mod,c)), v s mod Vmod Cs }. oùn es la disribuion gaussienne,µ(v mod,c s ) e σ(v mod,c s ) son respecivemen la moyenne e l écar-ype de la variable v mod au pas de la simulaion s pour les agens dans exension(c s ) (éan donné que les variables V ini son fixées, le empsn es pas imporan). Taille des clusers : Nous définissons la proporion de la populaion dans C s par rappor à la aille de l ensemble de la populaion en s au pas de emps comme il sui : proporion(c s ) = card(c s ) card(a s ) Généraion d agens : Nous générons ns nouvelles simulaions. Pour chaque simulaions un raio fixe (proporion(c s )) d agens es choisi au hasard e le modèle d agen es appliqué pour biaiser les valeurs iniiales de ces agens. Le biais es appliqué en changean les valeurs iniiales de oues les variablesv mod Vmod Cs en suivan le modèle de disribuion. Nous appelons C s,c s gen le cluser défini par l ensemble des agens biaisées dans la simulaions au pas de simulaion iniial suivan le modèle de C s. Une fois ce groupe défini, il es possible de le décrire dans la nouvelle simulaion à l insan, afin de le comparer avec la descripion du cluser original C s. Si la descripion es sable, cela signifie que le modèle d agen es suffisan pour expliquer la descripion du cluser. Analyses de sabilié e de sensibilié aux paramères globaux. Analyse de sabilié : Pour évaluer la sabilié d un cluser cible C s 0 par rappor à un cluser équivalenc s dans une nouvelle simulaion, nous uilisons la sabilié définie dans l équaion 2. La sabilié d un cluser C s 0 sur une variable v sur un ensemble de simulaions S es donnée par : sabiliy(c s0,s ) sabiliy(c s0,s s ) = S,s s v 0 v card(s (5) ) 1 Sensibilié aux paramères globaux : Dans le bu d éudier la sensibilié d un cluser donné C s 0 par rappor à un paramère global gp GP S,

7 nous régénérons des nouvelles simulaions en considéran différenes valeurs de gp e en calculan la sabilié de C s 0 dans ces nouvelles simulaions. 4 Résulas expérimenaux Pour illusrer nore modèle d observaion, nous présenons quelques expériences effecuées avec nore ouil d analyse. L ouil a éé implémené en Java, uilisan à la fois Weka e l API de NeLogo. Pour illusrer la généricié de nore modèle, nous avons implémené des généraeurs de flux de données pour NeLogo e pour des fichiers de log au forma CSV. Nous présenons les résulas obenus sur un modèle simple Ne- Logo e sur l analyse de fichiers de logs d une simulaion plus complexe. 4.1 Expérimenaion sur NeLogo : le modèle Bank Reserves Présenaion du modèle. Le modèle Bank Reserves, fourni avec Nelogo, es un modèle rès simple où lorsque deux agens se renconren, un agen ene d acheer (donner de l argen) à l aure. S il n a pas d argen, il ene d empreuner à la banque. La banque prêe de l argen (e crée de l argen) an que le monan oal de prês n aein pas le monan oal des dépôs (savings) muliplié par un paramère (1 Reserves). Dans ce modèle, des variables globales donnen un aperçu d une expérience : on peu ainsi observer différens phénomènes, comme par exemple la sabilisaion du oal d argen (money) lorsque le monan maximal de prês (loans) es aein, ou encore suivre des groupes fixes d agens qui dépenden de paramères globaux (par exemple, 3 groupes : un groupe avec richesse (wealh) négaive, un avec wealh > richthreshold e le rese). Même si ces informaions son inéressanes, une compréhension plus précise du comporemen du modèle ne peu pas êre obenue avec une elle observaion globale/locale. Par exemple, il es difficile de savoir qui son les agens riches? ou encore si les riches resen riches? Ce serai encore plus vrai pour des modèles plus complexes, pour lesquels les variables d ineracion son beaucoup plus difficiles à déduire que pour une simulaion joue rès simple. Pour nore expérience illusraive, on uilise Reserves = 70, People = 200 erichthreshold = 20. Descripion des Clusers. "Qui son les riches?" Nous avons uilisé nore ouil d analyse avec FIGURE 1 Vue d ensemble des clusers. Les rois premiers groupes corresponden à des clusers d agens idenifiés à l insan = 400. Les valeurs bleues son celles significaivemen plus élevées pour ce cluser (VT > 2) e les valeurs rouges celles significaivemen plus basses (VT < 2) la configuraion par défau : Vclus = Vag Vcalc. Le clusering es réalisé ous less = 100 pas de simulaion. A chaque éape de clusering, les clusers son idenifiés, visualisés sur Ne- Logo (avec des couleurs), e leur exension e descripion son présenées. Par exemple, dans la figure 1 à = 400, rois groupes son idenifiés : un cluser pauvre (55 agens, avec une faible richessevt(wealh,pauvre) = 6,29), un cluser moyen (89 agens) e un cluser riche : cluser14. "Quelles son les caracérisiques des riches à chaque éape?" A la fin de la simulaion, une descripion de ous les clusers obenus à chaque éape donne un aperçu global de la simulaion (la figure 1 es en fai un exrai de cee fenêre). Dans nore expérience, il es oujours possible d idenifier un cluser riche e un cluser pauvre, e parfois (comme dans = 400) un cluser moyen. A parir de leur descripion, il es possible de consaer que le lien enre la richesse (wealh) e la richesse iniiale (T0Walle) n es plus significaif après = 800 ( VT(T0Walle,riche) < 2 pour 800). Cela peu êre liée au fai (observé avec l observaion globale sur NeLogo) que la banque a aein sa limie max de prês (la somme oale s arrêe d augmener à environ = 400). Cependan, comparer des clusers de différenes éapes dans cee vue d ensemble s avère difficile car ils son différens à la fois en inension e en exension (voir la secion 3.2). Dans un modèle plus complexe, un cluser peu avoir une significaion complèemen différene à chacune des éapes. Afin de décrire des évoluions, il es

8 FIGURE 2 Analyse du Cluser14 : sur la droie, pour chaque variable, son VT à l insan = 400, e deux barres qui corresponden à l évoluion de la valeur de VT pour chaque éape avec exension fixe (barre du hau, la populaion du cluser rese la même) ou inension fixe (barre inférieure, la définiion du cluser rese la même). Sur la gauche, on observe l évoluion des valeurs d une variable sélecionnée (wealh) pour oue la populaion (en ver), pour le cluser fixé en exension (en rouge) e en inension (en bleu). = 1 dans le graphique représene = 100 pas de simulaion. donc nécessaire de suivre un cluser, défini en exension ou en inension. Evoluion des clusers. Exension fixe : les riches resen-ils riches? La première possibilié es de fixer l exension (populaion) d un cluser, à un pas de simulaion donné. La descripion du cluser C es mise à jour à chaque éape. Ean donné que les agens du cluser resen les mêmes, VT(v ini,c ) = VT(v ini,c ) > (à moins que cerains agens soren ou des nouveaux agens renren dans la simulaion). La figure 2 décri le cluser14 e son évoluion, à la fois en exension e en inension. Sur la parie droie de la fenêre, pour chaque variable, deux barres représenen le VT de la variable avec exension fixe (barre du hau) ou inension fixe (barre inférieure). La couleur es bleue quand VT > 2 e rouge quand VT < 2. Par exemple, en exension, nous pouvons observer que pour oues les variables associées à la richesse (wealh, savings, loans), la différence avec les aures agens diminuen : les valeurs absolues des V T des variables wealh, saving e loans diminuen (couleur de plus en plus claire e blanche). Cela signifie que, en moyenne, les gens riches de = 400 son de moins en moins riches. Aucune de ces variables es significaivemen différen de la moyenne après = Ceci es représené à gauche de l image, où l on visualise l évoluion de la variable wealh : la richesse moyenne de la populaion es de 10. La richesse moyenne du cluser14 en exension es en nee diminuion à parir de = 400 ( = 4 dans la figure 2 puisque s = 100) ou en convergean vers la moyenne. Cee convergence es égalemen confirmée par le faible score dedesc sabili du cluser (29%). Même si elles n apparaissen pas sur l image, les valeurs iniiales des paramères (Vini) son par définiion sables pour cee évoluion. Inension fixe : Les riches resen-ils les mêmes? L alernaive es de fixer l inension (définiion) des clusers. La ligne bleue (graphique de gauche) e les barres inférieures (parie droie) de la figure 2 représenen la descripion des clusers idenifiés à chaque éape avec la foncion d inension de = 400. Toues les variables prises en compe dans le clusering (Vclus) son, par définiion, à peu prés semblables (comme par exemple wealh, savings,...), puisque l inension des clusers es la même. Touefois, les aures variables peuven évoluer (dans nore exemple, les paramères iniiaux des agens Vini). Par exemple, le cluser14 regroupe à chaque éape les agens riches, mais le nombre e les propriéés iniiales de ses agens peuven évoluer. Il es inéressan de voir que le nombre d agens riches (card(cluser14, )) rese approximaivemen consan (56, 53, 52, 48, 50, 53,...). Mais l évoluion des paramères iniiaux confirme l observaion faie avec la vue d ensemble : la richesse iniiale des agens (TOWalle ) n es plus significaive après = 800. Sabilié d un cluser avec définiion de groupe fixe. "éai-ce un effe du hasard e commen réagi le cluser au paramère Reserve?" Une fois que nous avons idenifié un groupe inéressan e sa descripion (les agens riches ducluser14 qui son iniialemen riches), il es imporan de savoir si la descripion du groupe es sable lorsque la simulaion es reproduie avec des paramères similaires, puis d éudier l impac de cerains paramères globaux. Ici, nous pouvons faire l hypohèse que les gens riches ne peuven s enrichir que lorsque la banque es encore capable de faire des prês. Ainsi, en présence d une valeur imporane du paramère Reserves

9 TABLE 1 Généraion de simulaions : analyse de la sabilié avec définiion de cluser similaire (ype : Def) e configuraion iniiale des agens biaisée (ype : Modèle) Type Var. Ini Sim1/2/3 Sim4/5/6 Sim7/8/9 Def Reserves Size 56 57/46/55 61/51/42 43/41/46 TOWalle 3,4 3,0/3,3/2,8 3,1/2,7/1,5-0,7/2,0/1,9 Sabiliy 0,87 0,69 0,32 Model Wealh 7,96 0,1/0,2/-1,6 0,7/0,1/-0,6 0,5/-0,2/1,6 Sabiliy -0,05 0,01 0,08 le lien enre la richesse iniiale e la richesse devrai s affaiblir. Afin d éudier à la fois la sabilié e l effe de paramères globaux, des nouvelles simulaions son générées auomaiquemen avec les mêmes valeurs de paramères globaux, sauf pour le paramère Reserves, qui change de valeur (45, 70 e 95). L inension du cluser9 es fixée e son exension e sa descripion son calculées à = 400 pour chaque simulaion. Les résulas de l évaluaion de la sabilié sur 9 simulaions différenes son présenés dans le ableau 1 (ype Def). Puisque nous avons uilisé oues les variables, sauf les paramères iniiaux pour le clusering, seulemen Vini e la aille du cluser son inéressans. Les résulas confirmen que les gens riches son iniialemen plus riches que la moyenne : V T(T 0W alle) es presque oujours significaivemen posiif (VT > 2) pourreserve = 45 e 70. Il n es cependan pas significaif pour deux des rois simulaions avec Reserve = 95. Les valeurs de sabilié monren que nore première simulaion avai une valeur de T0Walle excepionnelemen élevée (sabilié de TOWalle plus imporane pour Reserve = 45 que pour Reserve = 70). Sabilié d un cluser avec modèle d agen fixe. "esce que la richesse peu-êre expliquée uniquemen à parir de sa valeur iniiale?" Une aure possibilié pour valider nos résulas es d essayer de créer des agens à parir des variables significaives iniiales e de voir si ils se comporen comme nous pensons qu ils devraien le faire. Par exemple, avec cluser14 nous avons idenifié un profil d agen riches caracérisé par sa richesse iniiale élevée e sa richesse rès élevé à = 400. Pour eser la sabilié de ce cluser, nous pouvons changer les paramères iniiaux de cerains agens dans une nouvelle populaion pour les faire correspondre avec les caracérisiques iniiales significaives du cluser14 e évaluer en = 400 si leur descripion es semblable à celle du cluser14. Un seul paramère iniial es significaif (T 0W alle qui, nous l espérons, devrai conduire à une richesse élevée en = 400). Une proporion similaire de la populaion dans chaque nouvelle simulaion (56/200 agens) es changée de manière à obenir une disribuion de T 0W alle similaire à celle du cluser14. Pour l analyse de la sabilié, nous avons égalemen modifié le paramère Reserve afin éudier son impac sur le comporemen des agens. Conrairemen à nos aenes, les résulas (ableau 1(ype :model)) ne monren pas de lien significaif avec les variables de richesse (wealh, savings, loans). Nore hypohèse n es pas validée : définir un agen avec une richesse iniiale légèremen plus élevée ne suffi pas pour obenir une richesse significaivemen plus grande à = 400. Des expériences complémenaires monren que considérer des valeurs élevées du seuil de richesse (rich hreshold) (qui impliquen une plus grande diversié des richesses) ou effecuer une observaion plus rapide (en = 200 par exemple) son suffisans pour obenir un effe de causalié significaif. 4.2 Exemple d analyse sur des logs de simulaion Descripion du modèle. Pour illusrer la gesion de simulaions plus complexes par nore modèle d observaion, nous l avons égalemen appliqué à un modèle qui sui l approche de modélisaion KIDS [4], ce qui signifie que le nombre de paramères e des variables observées es mainenu élevé pour êre plus descripif e réalise pluô que synhéique. La simulaion du marché de Rungis [3] a éé développée avec le framework BiBang [1]. Elle reprodui un marché de gros de fruis e de légumes. Un ype d agen vendeur e 4 ypes d agens acheeurs son considérés dans la simulaion (avec des nombreux paramères, 20 paramères en moyenne par ype d agen) : les resauraeurs qui cherchen à acheer rapidemen ou ce don ils on besoin, lestimefree qui son à la recherche de bonnes

10 FIGURE 3 Vue d ensemble des clusers après 10 jours de simulaion du "Marché de Rungis". dxx e pxx représenen respecivemen la descripion e la sabilié de la populaion occasions, les Barbes qui cherchen des produi de basse qualié peu chers pour revendre sur leur marché, e les Neuilly qui cherchen de la haue qualié. Le fichier csv conien une ligne par couple jour/agen, avec 49 variables de sorie. Ces variables comprennen les marges globale e quoidienne, le nombre de vendeurs visiés, les vendeurs habiuels, la qualié e la quanié des produis ainsi que les prix. Nous n analysons ici que les 400 agens acheeurs au cours des 10 premiers jours de la simulaion. Descripion des clusers Quare clusers son généralemen idenifiés à chaque éape. Par exemple, au jour 1 de l analyse, les cluser5 à cluser8 avec une aille assez homogène (Fig. 3). Un de ces clusers a la paricularié d êre parfaiemen sable par rappor à sa populaion (Cluser8, 100 agens, sabilié de la populaion : 99%). Lors de l examen des idenifians des agens, il apparai que ce groupe conien ous les agens resauraeurs, qui semblen avoir un comporemen neemen différen du rese (les 3 aures clusers on une populaion mixe). Une de leurs caracérisiques es (par consrucion) de passer des accords (T rusagreemens) avec un unique vendeur pour chaque produi don ils on besoin, andis que les aures agens négocien en général avec plusieurs vendeurs réguliers. La descripion de ce groupe e son évoluion (Fig 4) donne un aperçu rès insrucif sur leur comporemen. Le VT e les graphiques d évoluion son ideniques pour l analyse en inension e en exension, car la populaion rese la même. La première propriéé rès visible es la variable NewMargin, qui mesure la marge quoidienne. Cee variable a une valeur rès basse au débu de la simulaion (jour 1, VT = 9,83 ), e devien progressive- FIGURE 4 Analyse déaillée du Cluser8. Modèle du marché de Rungis men non-significaive, puis foremen posiive après le jour 6 (VT > 10). Ceci es représené sur l image par l évoluion rouge-blanc-bleu. Cee évoluion de la marge (d abord inférieure à la moyenne, puis supérieure), peu êre expliquée en analysan les aures variables significaives représenées sur le graphique figure 4 : m p MarkeToursToday qui mesure le nombre de fois qu un agen fai un our du marché, ce qui signifie qu il se balade à la recherche d un produi qu il n a pas rouvé chez ses vendeurs habiuels, e m p IsInPrefferedLis, correspondan au nombre de vendeurs habiuels chez qui l acheeur se rendra en priorié. Les agens Resoraeur on un nombre sensiblemen inférieur de vendeurs habiuels (la probabilié rese sable auour de 0,1 au bou de 2 jours, alors qu elle es en consane augmenaion pour l ensemble de la populaion, levt passe de -6,49 à -17,1), e une probabilié plus élevée de faire un our du marché (la probabilié rese plus élevé que 0,25, alors qu elle décroi pour l ensemble de la populaion, VT passe de -0,82 à 14,2). L inerpréaion es que la sraégie du resauraeur (quelques vendeurs habiuels avec des prix fixes), es moins efficace au débu parce que les premiers prix négociés son élevés. Mais éan donnée qu il ne visie pas beaucoup de vendeurs (peu de vendeurs habiuels), il fera souven des ours du marché, e rouvera alors des nouvelles opporuniés (e des prix mieux négociés), alors que d aures acheeurs reseron dans leur réseau fermé de vendeurs habiuels. Ce ype d inerpréaion peu égalemen êre faie pour les clusers qui ne corresponden pas à un ype d agen spécifique. Par exemple, le cluser6 qui regroupe 85 agens don la caracérisique principale es d arriver ô sur le marché (m p ArrivalTime ) e de dégager des marges élevées (N ewm argin). Une analyse plus complèe de leurs profil e de leur évoluion monre

11 que c es effecivemen une bonne sraégie. Ceux qui arriven ô e qui possèden un vase réseau de vendeurs habiuels (valeur élevée de IsInP ref f eredlis) von négocier beaucoup (nombre élevé de visies par vendeur), mais von voir moins de vendeurs que la moyenne. E ils von mainenir une marge plus élevée que la moyenne. Tou ceci peu êre inerpréé à parir de la représenaion de l évoluion du cluser, alors que cela aurai éé rès difficile à idenifier à parir d une analyse classique de logs. 5 Conclusions Le modèle d observaion des simulaions que nous présenons ici fourni au modélisaeur des ouils génériques qui lui permeen d avoir une vision synhéique e descripive des simulaions. Il peu êre uilisé pour comprendre la dynamique des simulaions e pour facilier leur validaion. Grâce au mécanisme de généraion des simulaions, des agens créés en enan compe des caracérisiques d un cluser cible son réinroduis dans les simulaions, les clusers peuven êre reconsruis e les variables globales de simulaion peuven êre comparées à leurs valeurs précédenes. De cee façon, la sabilié des clusers e leur "expressivié" peuven êre mesurées sur différenes simulaions. Afin de permere l analyse d un nombre imporan de différens ypes de simulaions, le modèle d observaion es en rain d êre adapé afin d une par de considérer des variables qualiaives e des variables de réseaux, e d aure par de facilier l analyse des simulaions à grand nombre d agens. Cee dernière amélioraion se fera par l inégraion de nore modèle au moeur OpenMole, qui prévoi, enre aures faciliés, une uilisaion facile de la grille de calcul pour les simulaions. Références [1] T. Bapisa, T. Menezes, and E. Cosa, Bibang : A model and framework for complexiy research, in ECCS 2006, (2006). [2] Philippe Caillou, Auomaed muli-agen simulaion generaion and validaion, in PRIMA 2010, p. 16p. LNCS, (2010). [3] Philippe Caillou, Corenin Curchod, and Tiago Bapisa, Simulaion of he rungis wholesale marke : Lessons on he calibraion, validaion and usage of a cogniive agen-based simulaion, in IAT, pp , (2009). [4] Bruce Edmonds and Sco Moss, From kiss o kids - an ani-simplisic modelling approach, in MABS, pp , (2004). [5] Francois Gaillard, Yoann Kubera, Philippe Mahieu, and Sebasien Picaul, A reverse engineering form for muli agen sysems, in ESAW 2008, pp , (2008). [6] Javier Gil-Quijano, Thomas Louail, and Guillaume Huzler, From biological o urban cells : lessons from hree mulilevel agen-based models, in PRACSYS 2010, Kolkoa, India, (2010). LNCS. [7] Cener For Conneced Learning and Compuer-Based Modeling, Nelogo : hp ://ccl.norhwesern.edu/nelogo/. [8] Ludovic Lebar, Marie Piron, and Alain Morineau, Saisique exploraoire mulidimeensionnelle : visualisaion e infï 1rence en fouilles de 2 donnï 1es, 2 Fourh ediion, Dunod, Paris, [9] Mahieu Leclaire and Romain Reuillon, Simexplorer : hp :// [10] Alain Morineau, Noe sur la caracï 1 risaion saisique d une classe 2 e les valeurs-ess, in Bull. Techn. du Cenre de Saisique e d Informaique Appliquées, volume 2, pp , (1984). [11] Michael J. Norh, Nicholson T. Collier, and Jerry R. Vos, Experiences creaing hree implemenaions of he repas agen modeling oolki, in ACM Transacions on Modeling and Compuer Simulaion, volume 16, pp. 1 5, (2006). [12] Dan Pelleg and Andrew Moore, Xmeans : Exending k-means wih efficien esimaion of he number of clusers, in 17h Inernaional Conference on Machine Learning, pp , (2000). [13] Denis Phan, From agen-based compuaional economics owards cogniive economics, in Cogniive Economics, Handbook of Compuaional Economics. [14] Seven F. Railsback, Seven L. Lyinen, and Sephen K. Jackson, Agen-based simulaion plaforms : Review and developmen recommendaions, in Simulaion, volume 82, pp , (2006). [15] Parick Taillandier, Alexis Drogoul, and Duc-An Vo, Gama : a simulaion plaform ha inegraes geographical informaion daa, agen-based modeling and muliscale conrol, in PRIMA 2010, (2010).

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Séminaire d Économie Publique

Séminaire d Économie Publique Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain Global Journal of Managemen and Business Research : c Finance Volume 14 Issue 1 Version 1.0 Year 2014 Type: Double Blind Peer Reviewed Inernaional Research Journal Publisher: Global Journals Inc. (USA)

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

B34 - Modulation & Modems

B34 - Modulation & Modems G. Pinson - Physique Appliquée Modulaion - B34 / Caracérisiques d'un canal de communicaion B34 - Modulaion & Modems - Définiions * Half Duplex ou simplex : ransmission un sens à la fois ; exemple : alky-walky

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE

Plus en détail

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

Formation Administrateur Server 2008 (Ref : IN4) Tout ce qu'il faut savoir sur Server 2008 OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Formation Administrateur Server 2008 (Ref : IN4) Tout ce qu'il faut savoir sur Server 2008 OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION COMUNDICOMPETENCES-TECHNIQUESDEL INGÉNIEUR Formaion Adminisraeur Server 2008 (Ref : IN4) SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Gérer des ressources e des compes avec Acive Direcory e Windows Server 2008

Plus en détail

Calcul Stochastique 2 Annie Millet

Calcul Stochastique 2 Annie Millet M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3

Plus en détail

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Une assurance chômage pour la zone euro

Une assurance chômage pour la zone euro n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,

Plus en détail

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES BRUSSELS EONOMI REVIEW - AHIERS EONOMIQUES DE BRUXELLES VOL 5 N 3 AUTUMN 7 NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES D EXTRATION DU YLE EONOMIQUE ANNA SESS ET MIHEL GRUN-REHOMME (UNIVERSITE PARIS, ERMES- NRS- UMR78)

Plus en détail

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par :

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par : UNIVERSITÉ D ORLÉANS ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCIETÉ LABORATOIRE D ECONOMIE D ORLEANS THÈSE présenée par : Issiaka SOMBIÉ souenue le : 5 décembre 2013 à 14h00 pour obenir le grade

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread

Plus en détail

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats Esimaion d une foncion de demande de monnaie pour la zone euro : une synhèse des résulas Ce aricle propose une synhèse des résulas des esimaions d une foncion de demande de monnaie de la zone euro dans

Plus en détail