LA GLENE OSSEUSE. Aspect normal,anomalies morphologiques et pathologies à connaître
|
|
- Aurélie Moreau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA GLENE OSSEUSE Aspect normal,anomalies morphologiques et pathologies à connaître H Chiavassa-Gandois, S Sethom, J Vial, C Barcelo, G Moscovitch, P Mansat*, N Sans, JJ Railhac Imagerie médicale, CHU Purpan Toulouse * Service d Orthopédie, CHU Toulouse
2 EMBRYLOGIE ET ANATOMIE DE LA GLENE DYSPLASIES DE GLENE LA GLENE TRAUMATIQUE et L INSTABILITE DE L EPAULE LA GLENE ARTHROSIQUE BILAN PRE PROTHESE D EPAULE AUTRES PATHOLOGIES OSSEUSES Les kystes intra-osseux L ostéochondrite Les tumeurs bénignes ou malignes
3 ANATOMIE DE LA GLENE 1 Anatomie de la scapula La scapula forme la partie postérieure de la ceinture scapulaire. Il s agit d un os plat, triangulaire avec deux surfaces, trois bords, et trois angles. L angle latéral représente la partie la plus épaisse, sur laquelle, se trouve la surface articulaire, la cavité glénoïde qui est dirigée latéralement et en avant, et qui s articule avec la tête de l humérus. Ces rebords légèrement surélevés donnent insertion à une structure fibrocartilagineuse, le labrum, qui augmente la profondeur de la cavité articulaire.
4 2 Forme de la glène La glène a le plus souvent une forme de poire: 71% des cas 29% sont elliptiques. Aspect piriforme de la surface articulaire
5 Checroun * a analysé 412 scapula avec des surfaces articulaires intactes: -la hauteur maximale de la glène était de 37.9 mm (31.2 à 50.1; DS: ± 2.7) -la largeur moyenne était de 29.3 mm (22.6 à 41.5 ; DS: ±2.4) - les glènes des femmes étaient 10% plus petites que celles des hommes - 85% de l ensemble des glènes mesurées variaient de 34 à 42 mm de hauteur et 24 à 32 mm de largeur - le rapport moyen entre hauteur et largeur était de 1.3 *Checroun an al. Fit of currentt glenoid component designs : An anatomic cadaver study. J Shoulder Elbow Surg 2002 ;11 :614-7.
6 La forme de la glène a un intérêt dans le choix du type d implant glénoidien prothétique Différents types de forme de surface articulaire d implants glénoïdiens : A: mixte B : ovale C : piriforme D : rectangulaire La prothèse à forme piriforme s adapte le mieux à l anatomie
7 3 Version de la glène L angle de version de la glène normale va varier en fonction de la technique utilisée pour le mesurer.
8 Randelli et Gambrioli (Glenohumeral osteometry by computed tomography in normal and unstable shoulders. Clin Orthop 2008: , 1986) ont été les premiers a analyser la version glénoïdienne par tomodensitométrie. Sur 100 épaules examinées (d age variant de 20 à 48 ans), la version était de 2 à 15 de rétroversion (moyenne : 5 ) dans la partie supérieure de la glène, alors qu à la partie moyenne de la glène, elle était de 0 à 8 de rétroversion (moyenne : 2 ), et à la partie inférieure de 2 à 15 de rétroversion (moyenne : 7 ). Friedman et al (The use of computerized tomography in the measurement of glenoid version. Jone Boint Surg Am 74: , 1992) a utilisé également la tomodensitométrie sur 63 épaules dépourvues de tout signe d arthrose. L age moyen du groupe était de 57 ans (20 à 87 ans). Contrairement aux études précédentes, la version moyenne de ce groupe était de 2 ± 5 d antéversion, de 12 d antéversion à 14 de rétroversion. Dans la littérature, il apparaît que les mesures effectuées sur de simples radiographies d épaules normales semblent montrer une plus grande rétroversion (7 ) que les mesures effectuées par tomodensitométrie (1,1 ) ou IRM (2 ; 1 ; 1,7 ) chez les plus de 8 ans. L analyse radiographique surestime la rétroversion par rapport à la TDM ou à l IRM (Nyffeler et al: Measurement of glenoid version: conventional radiographs versus computed tomography scans. J Shoulder Elbow Surg 12: 493-6, 2003)
9 4 Inclinaison de la glène L angle d inclinaison de la glène correspond à la pente de la glène dans le plan frontal Mesure de l angle d inclinaison de la glène dans le plan frontal: angle entre la ligne verticale passant par la partie supérieure de la glène et la droite joignant le haut et le bas de la glène
10 Gouaze et al sur l orientation de l omoplate et de sa cavité glenoïde. [On the orientation of the scapula and of its glenoid cavity]. Arch Anat Pathol 10: , 1962.) ont décrit 3 types d inclinaison de la glène : ascendante de 3 (1 à 10 ) dans 45% des cas, neutre ou verticale dans 22% des cas et descendante de 4 (1 à 12 ) dans 33% des cas. Habermeyer and al (Three-dimensional glenoid deformity in patients with osteoarthritis: A radiographic analysis. JBJS Am 88: , 2006) lors de l évaluation radiographique de 100 épaules normales a montré que la glène était orientée vers le bas avec un angle d inclinaison de 2.2 ± 4.1 (-12 à 7 ). A l inverse Churchill (Glenoid size, inclination, and version: An anatomic study. J Shoulder Elbow Surg 10: , 2001) a montré que cette inclinaison était très variable de 3.6 ±3.5 à 5.3 ±4.4 (moyenne, 4.2 ) indiquant une tendance à l inclinaison ascendante. Mallon et al (Radiographic and geometric anatomy of the scapula. Clin Orthop 277: , 1992) ont réalisé une étude radiographique sur 28 scapulas cadavériques et 50 épaules saines, et ont retrouvé un angle d inclinaison de la glène de 4 (-13 à +8 ; ±3.7) correspondant à une inclinaison vers le bas.
11 5 Rayon de courbure et profondeur La glène est plus concave dans le plan frontal supéro-inférieur, et plus plane dans le plan sagittal antéro-postérieur. McPherson et al (Anthropometric study of normal glenohumeral relationships. J Shoulder Elbow Surg 1997 ;6 :105-12) ont retrouvé d après l analyse radiographique de 93 épaules cadavériques, que la glène présentait un rayon de courbure de 32.2 mm ±7.6 sur les clichés de face, et 40.6 mm ±14 sur les clichés en profil axillaire. La profondeur de la glène était évaluée à 5mm ±1.1 sur les clichés de face et 2.9 mm ±1 sur les clichés en profil axillaire confirmant que la glène est plus concave de haut en bas. L arc de couverture était en moyenne de 66 ±12 sur une vue de face et seulement 45.5 ±15 sur le profil axillaire. La profondeur de l os spongieux en arrière de la surface articulaire était similaire sur les 2 incidences mesurant 20.9 mm et 19.2 mm. Jobe et Iannotti (Limits imposed on glenohumeral motion by joint geometry. J Shoulder Elbow Surg 4: 281-5, 1995) ont également montré que les dimensions moyennes de la glène étaient de 40 mm dans le plan frontal, qui correspondait à un angle de couverture de la tête humérale de 96 ±8, et 29 mm dans le plan transversal, correspondant à une couverture de 74 ±6 ; ces chiffres correspondent à 63 ±10 de tête humérale non recouverte dans le plan frontal et 85 ±12 dans la plan transversal. La surface de la glène était estimée à 28% de la surface de la tête humérale. Kelkar and al (Glenohumeral mechanics: a study of articular geometry, contact, and kinematics. J Shoulder Elbow Surg 10 : 73-84, 2001) confirmait cette notion en montrant que le rayon moyen de la tête humérale et de la surface articulaire de la glène était de 25.5 mm ±1.5 et 27.2 mm ±1.6 respectivement. La différence entre les rayons était de 1.7mm ±1.5 (-1.2 à 3.8mm). L ensemble des surfaces sous-chondrales de la glène présentait un rayon de courbure plus grand que la surface osseuse de la tête humérale correspondante.
12 Le rayon de courbure de la glène est plus important que celui de la tête humérale
13 6 Surface cartilagineuse D après la littérature, la surface articulaire de la glène varie selon les études: moyenne de 8.7 cm² (± 2.7). Le volume de la glène va varier en fonction de la taille de la scapula (7.1 cm ³ à 21.6 cm ³ ). Cependant, le volume relatif de la glène par rapport à sa surface articulaire est en moyenne à 1.4 cm ³ / cm² ² (1.1 à 1.9 ). La surface cartilagineuse de la glène a été évaluée à 5.79 cm² ±1.69 pour les hommes et 4.68 cm² ±0.93 pour les femmes. L épaisseur du cartilage glénoïdien était estimée à 2.16 mm ±0.55 (3.81 à 1.14 mm).
14 7 Minéralisation et densité L orientation des travées d os spongieux prés du cartilage articulaire est adaptée aux contraintes. Elles sont verticales par rapport à l os sous-chondral correspondant à la direction des forces compressives s appliquant de manière axiale. Ces travées sont croisées à angle droit par des travées résistantes aux forces en tension qui sont plus denses au niveau de la partie centrale de la glène. Mansat et al (Anatomic variation of the mechanical properties of the glenoid. J Shoulder Elbow Surg 7: , 1998) ont trouvé des propriétés mécaniques de la glène plus élevées au centre et à la partie postérieure.
15 EMBRYOLOGIE La coracoïde possède 2 centres d ossifications. Un troisième peut apparaître au sommet de la coracoïde durant la puberté, parfois ce noyau ne fusionne pas. L acromion a 2, parfois 3 centres d ossifications qui peuvent aussi ne pas fusionner en totalité, occasionnant parfois un conflit. L angle inférieur et le bord médial de la scapula ont chacun leur noyau d ossification qui apparaît à la puberté et fusionnent à environ 22 ans
16 La cavité glénoïdienne a 2 noyaux d ossification: Le premier apparaît à la base de la coracoïde à environ 10 ans et fusionne à environ 15 ans il contribue à la formation de la partie haute de la glène et la base de la coracoïde. Le second à la forme d un fer à cheval, fin au centre, plus épais en périphérie,apparaît à la puberté à la partie basse de la glène, et constitue les ¾ inférieur de la glène, pour former la concavité et la forme de la glène.
17 Le défect cartilagineux de la glène Il s agit d un défect cartilagineux d origine acquise localisé à la partie centrale de la glène C est une variante anatomique Incidence: 80 % dans les études anatomiques de l adulte Rarement retrouvé chez l enfant (absent avant 10 ans) Visible en IRM ou arthro-tdm: défect cartilagineux central ou légèrement excentré Ne doit pas être pris à tort pour une lésion (ex: ostéochondrite)
18 DYSPLASIE DE GLENE Définition Hypoplasie osseuse de la partie postérieure de la glène et du col de la scapula, élargissement de l interligne glénohuméral, hypertrophie labrale, hypertrophie de la coracoïde et acromion, hypoplasie de la tête humérale Nouvelle définition: entité: hypoplasie localisée de la partie postéro-inférieure de la glène Incidence: 19 à 35 % Serait due à un défaut d ossification du noyau glénoïdal inférieur (apparaît à ans)
19 Dysplasie congénitale de la glène 5 situations Anomalie isolée primitive Associée à d autres anomalies dans des syndromes mal définis Dans le cadre de syndromes bien définis Dans les mucopolysaccharidoses Dans les dysplasies squelettiques
20 Imagerie et dysplasie de glène Radiographie standard Souvent de découverte fortuite Lors de bilan pour épaule douloureuse, parfois instable Chez le sujets âgé, découvert lors du bilan d une épaule douloureuse,associée à l arthrose Souvent bilatéral et symétrique: dysplasie du col de la scapula,irrégularités de la surface de la glène, perte de sa concavité, non creusée, contours irréguliers Rarement unilatéral: parfois associé à hypertrophie coracoïde, élargissement et aspect en crochet de l acromion et de la clavicule,discret aplatissement de la tête humérale, élargissement de l interligne gléno-huméral inférieur
21 Hypplasie de glène: col scapulaire court, irrégularités des contours de la glène
22 Aspect normal 2 types de formes ont été retrouvées dans ce type de pathologie: Forme en arrondie en «J «Forme triangulaire en «delta»
23 La dysplasie de la glène est bien étudiée en tomodensitométrie et IRM Anomalies de formes à la partie basse Perte de la concavité postéro-inférieure L hypoplasie osseuse de la glène et du col de la scapula est remplacée par du tissu anormal, de signal hétérogène: fibrocartilagineux ou graisseux (hypertrophie du bourrelet ou du cartilage), bien visible en IRM et arthro-irm L interligne articulaire inférieure est élargie 64 % des patients avec une dysplasie ont une lésion labrale postérieure Parfois: subluxation postérieure de la tête humérale
24 IRM: déformation et aspect tronqué postéro-inférieur; épaississement du cartilage et du bourrelet postérieur
25 Conséquences pathologiques de la dysplasie Favorise l instabilité, plutôt postérieure ou multidirectionnelle Les forces sont accentuées lors de certains mouvements au niveau postérieur, entraînant des lésions postérieures du bourrelet et du cartilage hypertrophiés L IRM précise les anomalies du labrum: épaissi, détaché, fissuré, kystes para labral, parfois absent en postérieur L arthro-irm: sa sensibilité est élevée dans la visualisation des lésions labrales essentiellement mais également cartilagineuses
26 Cas particulier de la POPB (paralysie obstétricale du plexus brachial) Souvent associé à anomalie morphologique de la glène avec excès de rétroversion En rapport avec «paralysie» et insuffisance musculaire et insuffisance de l épaule Enfant de 11 mois: POPB droit IRM 2 épaules Excès rétroversion épaule droite Déformation de la glène
27 GLENE ARTHROSIQUE Les caractéristiques des glènes arthrosiques sont principalement une augmentation de la taille antéro-postérieure en raison du développement d ostéophytes, et une usure postérieure entraînant une augmentation de la rétroversion et de la pente. Basé sur une étude radiographique, Nakagawa* a classé l omarthrose primitive en 3 stades : Le stade de début est caractérisé par la présence d ostéophytes ou d une sclérose de la tête humérale ou de la glène. Le stade évolué est caractérisé par la présence d ostéophytes ou de lésions de sclérose à la fois sur la tête humérale et sur la glène ou d un pincement de l interligne gléno-huméral. Le stade terminal est caractérisé par la présence d ostéophytes, d une sclérose et d un pincement de l interligne articulaire. * Epidemiologic study of glenohumeral osteoarthritis with plain radiography. J Shoulder Elbow Surg 8: , 1999.
28 Roberts, Ekelund: Radiographics 2007; 27 Rx face: omarthrose centrée: ostéophytose inférieure et angulation à la jonction glène scapula (flèches) pouvant géner l implantation d une prothèse inversée
29 Profil axillaire: visualisation de la glène Omarthrose: pincement gléno huméral, géodes sous chondrales, ostéophytose
30 Usure de la glène Walch*en 1999 a été le premier à classer l usure de la glène par l analyse tomodensitométrique de 113 épaules arthrosiques La morphologie de la glène était classée en 3 types de glène en fonction du type d usure et de l angle de rétroversion (schéma suivant). L angle de rétroversion moyen était de 16 (de 12 d antéversion à 50 de rétroversion) Le type A (59%): une usure centrale avec une tête humérale centrée ; la version moyenne de ce groupe était de 11.5 ±8.8 ; l usure était minime dans le stade A1 (43%) et importante dans le stade A2 (16%). Dans les formes évoluées, la tête humérale se médialisait par protrusion dans la glène. Le type B (32%) présentaient une tête humérale qui se subluxait en arrière. L analyse TDM mettait en évidence de nombreuses modifications notamment au niveau de la partie postérieure de la glène avec un angle de rétroversion de 18 ±7.2. Deux sous-groupes : B1 (17%) avec un pincement de l interligne gléno-huméral postérieur, slérose sous-chondrale, et ostéophytose, et B2 (15%) avec un aspect de cupule postérieure donnant un aspect biconcave à la glène. Dans le type B2, il existait une rétroversion importante de la glène, ce qui n expliquait pas pour autant la biconcavité. Le type C (9%) était défini par une rétroversion de plus de 15. Il s agissait de glène d aspect dysplasique avec une tête humérale qui restait centrée ou légèrement subluxée en arrière. L angle de rétroversion moyen était de 35.7 ±5.9. *Morphologic study of the glenoid in primary glenohumeral osteoarthritis. J Arthroplasty 14: , 1999.
31 Stades de Walch: Classification TDM de l usure de la glène dans l omarthrose
32 Discussion sur série de Walch: Dans le type A (59 %) la tête humérale est centrée, la rétroversion de la glène est en moyenne de 11,5. Au stade A1, les érosions sont mineures et au stade A2 elles sont majeures, centrales avec protusion. Dans le type B, la subluxation postérieure de la tête humérale était en moyenne de 59% et semblait être responsable de l usure postérieure de la glène qu elle soit minime (B1) ou plus importante avec un aspect biconcave (B2). L angle de rétroversion était de 14.9 dans le groupe B1 et de 23.4 dans le groupe B2. Dans le type C (9%) : la rétroversion de la glène est > à 25 (35 ) en regard des érosions, il s agit d une dysplasie, la tête humérale est centrée ou légèrement sub-luxée
33 lnclinaison de la glène Habermeyer et al * ont souligné que dans l omarthrose, l inclinaison de la glène présentait une déformation excentrique non seulement en antéro-supérieur, mais également en supéro-inférieur. Sur 100 épaules arthrosiques radiographiées de face, l inclinaison de la glène était de 12.6 ±8.7 dans le groupe arthrosique comparé à 2.2 ±4.1 dans le groupe contrôle. L angle d inclinaison moyen chez les patients arthrosiques était donc inférieur à celui observé chez les patients non arthrosiques. 4 types d inclinaison ont été décrits (schéma diapo suivante): Dans le type-0, la droite passant par la base de la coracoïde et celle passant par la surface de la glène sont parallèles. Dans le type-1, les 2 droites se croisent sous la glène. Dans le type-2, elles se croisent entre le centre de la glène et la partie inférieure. Enfin dans le type-3, elles se croisent au-dessus de la base de la coracoïde. *Three-dimensional glenoid deformity in patients with osteoarthritis: A radiographic analysis. JBJS Am 88: , 2006.
34 Classification des glènes arthrosiques dans le plan frontal
35 Discussion sur série d Habermeyer Les patients arthrosiques présentaient essentiellement des glènes de type 2 ou 3. Il existait une usure postérieure et inférieure de la glène dans 47% des cas, sans corrélation entre le type d inclinaison et le type morphologique de la glène. Une position excentrique permanente de la tête humérale dans le plan sagittal, corrélée avec le type d inclinaison, était notée dans 58% des patients. Enfin, 49% des patients présentaient une tête humérale centrée.
36 Omarthrose et densité osseuse Couteau et al * ont étudié la densité osseuse des épaules arthrosiques en utilisant une analyse par éléments finis, ils ont retrouvé une zone centrale de faible densité comparée à la glène normale en raison d une augmentation des valeurs au niveau de la partie postérieure de la glène avec épaississement de cette zone qui se comporte comme une colonne de soutien de la surface glénoïdienne *In vivo characterization of glenoid with use of computed tomography. J Shoulder Elbow Surg 10: , 2001.
37 La glène arthrosique Bilan d imagerie préprothèse d épaule Radiographies standard Face, double obliquité, neutre, rotation interne et externe 1 Cliché comparatif de face Profil: incidence de Neer et profil axillaire (glène) Incidence complémentaire de Railhac: face, décubitus, rayon droit
38 Omarthrose centrée: pincement gléno-huméral, ostéophytes, corps étrangers
39 Tomodensitométrie Acquisition sans contraste (nous ne réalisons pas d arthro-tdm en bilan préprothèse dans notre service) Rec MPR Fenêtrage «os» et «mou» Dans les résultats, nous n aborderons que l aspect de la glène
40 Résultats TDM et glène arthrosique Etude du capital osseux Fondamental dans le choix de la prothèse Appréciation subjective
41 Analyse de la morphologie de la glène Forme: concave, plate, convexe Profondeur Classification selon Walch: coupe axiale au milieu de la glène
42 A1 B1 Classification TDM selon Walch A2 B2 C
43 Scapulométrie TDM avant arthroplastie Réalisations de mesures sur les images TDM réalisant la morphométrie de l épaule Permet d étudier les particularités anatomiques individuelles afin d adapter le choix de la prothèse Travail de post-traitement à la console TDM
44 Mesure de la rétroversion de la glène Coupe axiale passant par le milieu de la hauteur de la glène Angle entre la ligne qui unit le bord médial de la scapula au milieu de la glène et la ligne passant par les bords antérieur et postérieur de la glène Pathologique si > à 10 Normale: 0 à 8 Schlemmer: Revue de Chir Orthoped Rep: Oct 2002; 88: 6
45 Intérêt de la mesure de la rétroversion de la glène avant prothèse: nécessité d une correction de la rétroversion de la glène pour prévenir les luxations postérieures La forme de la glène est à prendre en considération avant chirurgie pour adapter au mieux la prothèse Implants à quille versus plots Implant glénoïdien hybride avec 2 rayons de courbure différents : un central parfaitement conforme avec le rayon de courbure de la tête humérale, et un périphérique non conforme pour permettre une certaine translation de la tête humérale
46 Hauteur de la glène (mm) Mesure de la tranche de section de la tête humérale (mm)
47 LA GLENE DANS L INSTABILITE DE L EPAULE Instabilité antérieure L encoche antéro-inférieure de la glène L encoche antéro-inférieure de la glène représente l atteinte osseuse dans les lésions de Bankart «osseux»: ce défect osseux, plus ou moins important conditionne la technique de prise en charge chirurgicale et constitue un facteur à prendre en considérartion dans le risque de récidive après traitement
48 Instabilité antérieure Radiographie standard: le défect osseux est visible sur l incidence de face en position neutre: il se traduit par la disparition du liseré dense (flèches) souschondral à la partie inférieure de la glène normal Laxité antérieure
49 Encoche supérieure de la tête humérale Emoussement du bord antérieur de glène
50 Instabilité antérieure TDM La TDM est plus sensible pour détecter le défect glénoïdal antérieur La méthode de «Pico» (Margarelli an coll: skeletal radiology : ): calcule le défect osseux en TDM par la méthode du cercle sur les MPR sagittal Cette technique semble reproductible Le 3D est utile pour quantifier le défect osseux et constitue une aide préopératoire: nécessité de greffe osseuse?
51 Aspect normal de la glène en sagittal Défect osseux antéro-inférieur Quantifié par méthode de Pico: mesure de la droite D
52 TDM Fracture du bord antéro-inférieur de glène Arthro-TDM: bilan d instabilité antérieure Sub-luxation postérieure de la tête humérale Lésion du bourrelet antéroinférieur Ilôt condensant bénin Arthro-IRM Bankart osseux
53 Instabilité postérieure Rare: < 4% des instabilités de l épaule 2 types: traumatique (aigu ou chronique) et non traumatique (forme d hyperlaxité) La forme atraumatique est récurrente, de diagnostic clinique difficile L atteinte de la glène est inconstante dans ce mécanisme «chronique atraumatique» L atteinte de la glène quand elle est présente se traduit par une encoche postéro-inférieure
54 Dans l instabilité postérieure chronique atraumatique, on retrouve de façon significative une insuffisance du bord postéro-inférieur de la glène (Weishaupt and coll: Skeletal Radiology 29: ). Arthro-TDM: instabilité récurrente encoche postéro-inférieure lésion du bourrelet postérieur (flèche)
55 «Kyste» intra osseux de la glène Rare, étiologie inconnue Appelé «ganglion cyst», bénin, souvent multiloculé,composé de tissu fibreux et mucoïde, localisé au niveau sous chondral, le plus souvent inférieur Clinique: parfois douloureux, limitation Possibilité de compression du nerf sub scapulaire dans les localisations postéro supérieure avec effraction osseuse Imagerie: ostéolyse bien limitée, bordée d ostéosclérose, signal «liquidie» ou mucoïde en IRM Pas de lésion du bourrelet ou du cartilage n ont été retrouvé sur le rares séries de la littérature Risque de fracture, arthrose Traitement si symptomatique: curetage, comblement
56 Rx et Arthro-TDM: bilan de douleurs de l épaule gauche: kystes glénoïdiens bilatéraux cartilage sans anomalie pas de passage du contraste dans les kystes
57 T2 T1 Kystes intra osseux s étendant à l échancrure spino glénoïdienne compression du nerf sub scapulaire T1 fat sat Gado
58 Pathologies osseuses de la glène Ostéochondrite disséquante Rare dans cette localisation Etiopathogènie discutée: Microtraumatismes répétés Instabilité Épaississement du ligament glénohuméral antéro-inférieur Epaississement capsulaire postérieur Arthro-IRM: examen de choix dans le diagnostic: inclusion de produit de contraste dans le labrum et/ou le cartilage jusqu à l os sous-chondral
59 Ostéochondrite disséquante: Arthro-IRM T2: Passage du contraste entre le cartilage glènoïdien et l os sous chondral, sclérose, irrégularités, kystes sous-chondraux
60 TUMEURS DE LA GLENE Bénin Ostéome ostéoïde Rarement localisé à la scapula Si localisation sous chondrale: difficulté à la résection chirurgicale Kyste anévrysmal rare au niveau de la scapula
61 Tumeur à cellules géantes sujets jeunes, bien limitée,, aspect «géographique», liseré de sclérose, trabéculations,, aspect expansif, extension fréquente à l os sous chondral: coracoïde, acromion, corps scapula, glène, angles scapula
62 Pseudo tumeur de glène Ostéolyse autour des vis d ancrage après chirurgie d instablité de l épaule, en rapport avec une réaction à corps étranger Omartrose associée
63 Malin secondaire:métastase primitif:chondrosarcome,ostéosarcome, ewing Le diagnostic peut être retardé car la glène est mal analysable en radios conventionnelles. Il ne faut pas hésiter à poursuivre les investigations par imagerie IRM devant une douleur scapulaire inexpliquée
64 CONCLUSION La glène est difficilement analysable en imagerie conventionnelle du fait de sa localisation. La morphologie et morphométrie de la glène doivent être connues et analysées, particulièrement sur l imagerie en coupe. Quelques pathologies sont propres à la glène notamment la pathologie dysplasique ou kystique (bien que d étiologie mal connue). La plupart des atteintes de la glène s intègrent dans la pathologie globale de l épaule: instabilité, omarthrose, ostéochondrite, pathologies inflammatoires, infections. La pathologie tumorale de la glène est aspécifique et correspond soit à une lésion du corps de la scapula étendue à la glène soit rarement à une tumeur localise de la glène.
mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet
mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet Le conflit fémoro-acétabulaire concept (Ganz 2003*) explication des lésions labrales et cartilagineuses
Plus en détailLes luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Les luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 anatomie descriptive et fonctionnelle de la scapulo-humérale
Plus en détailOstéoarticulaire 363
Ostéoarticulaire 363 OS Fiche 1 Bilan avant prothèse pour omarthrose : radiographie Objectif Faire le diagnostic positif d omarthrose. Distinguer une omarthrose primitive d une omarthrose secondaire. Distinguer
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailFONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE
FONCTION DU POUCE Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE L iconographie est notamment issue des ouvrages de Mr Netter et Kapandji. LA COLONNE DU POUCE Constituée
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailFiche pathologie n 1 : Tendinopathie
Fiche pathologie n 1 : Tendinopathie Fiches pathologies du danseur Inflammation d un tendon ou des structures avoisinantes résultant d une surcharge de travail ou d une contrainte anormale. 4 stades (du
Plus en détailMATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET
MATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET PROTHESE TOTALE DE HANCHE POUR OSTEONECROSE ASEPTIQUE DE LA TETE FEMORALE Analyse d une série de 126 arthroplasties. Hôpital Edouard HERRIOT
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailLES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE
LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE La colonne vertébrale présente des courbures normales (physiologiques) : lordoses et cyphoses qu'il convient de différencier de courbures pathologiques (cyphose accentuée,
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailCONTROVERSES en chirurgie de la hanche. C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar
CONTROVERSES en chirurgie de la hanche C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar Une invention française Gilles Bousquet CHU de Saint-Etienne - Jean Rieu, Professeur à l Ecole des Mines de Saint-Etienne
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailPlan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES
Plan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES PRINCIPE DE BASE POUR LE COU On travaille sur environ 6 pouces qui retient la boîte crânienne et son contenu De
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailSystème LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied.
Système LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied. Technologie à compression Technologie de verrouillage à angle
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailAppareil Thérapeutique pour le Soin du Dos
Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos des instruments ayant une très faible efficacité. Le Nubax Trio est maintenant soutenu par de nombreux brevets et distributeurs à travers le monde. Cet appareil
Plus en détailImputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude
Nantes, Congrès de la Société d Orthopédie de l Ouest 2015 Imputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude D Utruy A, Tarissi N, Potage D, Siedlecki C, Auquit-Auckbur
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailRemodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée?
p13cdo92 24/04/06 16:18 Page 13 Remodelage cornéen (RMC) : quelle incidence sur l architecture de la cornée? Brigitte Lutcher*, Michel Puech**, Bernard Barthélémy***, Adil El Maftouhi**, Christophe Baudouin*
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailUniversité Paris-VI. Orthopédie. Questions d internat
Université Paris-VI Orthopédie Questions d internat 2000 Christophe Castelain Michel Christofilis Marc Jayankura (ccapitie@free.fr) Camille Samaha Samy Zouaouy Mise à jour : 12 septembre 2000 2/252 Orthopédie
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLe mal de dos est décrit par de nombreux auteurs
Carrière et mal de dos, la nécessaire prévention Les professionnels des métiers de la petite enfance sont particulièrement confrontés au fléau social qu est le mal de dos. Touchant près de 80 % de la population
Plus en détailJ.H. CATON clinique E. De Vialar - Lyon, J.L. PRUDHON Clinique des Cèdres - Echirolles A. FERREIRA Clinique du Parc Lyon T. ASLANIAN Groupe Lépine -
J.H. CATON clinique E. De Vialar - Lyon, J.L. PRUDHON Clinique des Cèdres - Echirolles A. FERREIRA Clinique du Parc Lyon T. ASLANIAN Groupe Lépine - Genay J.H. CATON Consultant et royalties Groupe Lépine
Plus en détailF. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX
F. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX Excès s de croissance des cotes et des cartilages causant soit une dépression d (PECTUS EXCAVATUM) soit une protrusion (PECTUS CARINATUM)
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailFRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.
GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailL. Obert, T. Lascar, A. Adam
Améliorer la consolidation des tubérosités grâce au système OMS (Offset Modular System) et l autogreffe Improving tuberosity consolidation using the OMS system (Offset Modular System) L. Obert, T. Lascar,
Plus en détailPrenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires
Prenez soin de votre dos Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos 1 2 3 4 Des causes diverses, souvent liées au travail Plaintes et lésions Prévention: mieux vaut
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailPAN CEPH 3D CAS CLINIQUES. Apport du cône beam en cabinet dentaire
PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES Apport du cône beam en cabinet dentaire CAS CLINIQUES - IMAGERIE 3D Introduction Bonjour, Nous vous invitons à découvrir dans cette brochure quelques exemples concrets de l apport
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détailRecherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T
lexiquedentaire Recherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T A Adjointe Prothèse adjointe : Prothèse amovible, totale ou partielle, caractérisée par la présence d une plaquebase ; Amovible Prothèse
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailExtraits et adaptations
Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant
Plus en détailExamen d une épaule en relation avec le travail. Docteur Virginie Fraselle Médecin Physique et Réadaptateur Cliniques Universitaires Saint-Luc
Examen d une épaule en relation avec le travail Docteur Virginie Fraselle Médecin Physique et Réadaptateur Cliniques Universitaires Saint-Luc Définitions La déficience correspond à toute perte de substance
Plus en détailD re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon,
Conflits d intérêts Comité d élaboration D re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon, médecin de famille,
Plus en détailCervicalgie, brachialgie et symptômes associés : troubles du disque cervical
Cervicalgie, brachialgie et symptômes associés : troubles du disque cervical Document de travail à l intention du Tribunal d appel de la sécurité professionnelle et de l assurance contre les accidents
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailA.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES
Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détail