Conférence du 14 juin 2011
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- Léonard Joly
- il y a 8 ans
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1 Soutenu par : Conférence du 14 juin 2011 Investir dans des institutions de microfinance intermédiaires (de niveau 2-3) : enjeux et défis Présentation Face à la croissance du secteur et parfois ses dérives (voir la dernière conférence du Club Microfinance de Paris sur l Inde), de plus en plus d investisseurs font le choix d investir auprès d institutions de microfinance intermédiaires, de plus petites tailles, dites de niveaux 2 et 3. Ces institutions font face à des besoins bien spécifiques. Elles n atteignent pas forcement l autonomie financière. Elles sont plus locales. Leurs besoins de financement et d accompagnement sont très différents de ceux des plus grosses institutions plus matures et pérennes. Elles posent des enjeux de développement bien particuliers, auxquels sont confrontés des investisseurs, qui doivent adapter leur approche et méthodologie pour les servir au mieux. Des gestionnaires de fonds d investissement apporteront leurs réponses aux questions posées par l appui à ce type d institutions de microfinance : Il y- a-t-il des critères spécifiques d investissement dans ces institutions? Quelles sont les caractéristiques de leurs besoins d accompagnement? Comment les accompagner au mieux? Et quels sont les principaux défis pour l avenir? Compte-rendu juin 2011
2 Avec la participation de Anne-Sophie Bougouin, Conseillère en investissements en charge de FEFISOL, SIDI Anne-Sophie BOUGOUIN détient un Master en économie appliquée de l université de Paris. Elle a négocié pendant 5 ans avec les Instituts de Microfinance Internationale (IFI) et les gouvernements sur «l échange de créances» pour le développement de projets pour un réseau d ONG françaises. Depuis 2002, elle travaille comme coordinatrice du planning stratégique, chargée du budget et du suivi du portefeuille, des alliances et du cofinancement à la SIDI (Solidarité Internationale pour le Développement et l Investissement). Elle est aussi responsable de l investissement, chargée de la sélection des partenaires potentiels, des alliances et du suivi des dettes ainsi que du portefeuille d actions de la SIDI en Haïti et au Laos. Elle a représenté la SIDI au conseil de la principale IMF au Laos jusqu en Depuis 2007, elle est chargée de la mise en place d un fonds d investissement dédié à l Afrique, le FEFISOL SICAV- SIF, et est désormais la conseillère en investissement du fonds. Sébastien Duquet, Directeur Général de PlaNIS responsability, Sébastien Duquet est impliqué dans le domaine de la microfinance depuis 1995, alors qu il travaille au sein de l équipe dédiée aux marchés émergents au sein d Andersen. De 1998 à 2002, il a été bénévole pour PlaNet Finance (au sein des services consultatifs de Planet Rating et de PlaNet Finance). De 2003 à 2006, il dirige le bureau marocain du PlaNet Finance et a développé les opérations du groupe au Moyen-Orient, avant de devenir le Directeur Général du groupe PlaNet Finance en Il a notamment été en charge des services consultatifs de PlaNet Finance, et a lancé les filiales PlaNet Guarantee (dédiée à la micro-assurance) et FINANCITES (une société de capital-risque solidaire). Depuis septembre 2009, il est le directeur général de PlaNIS (PlaNet Investment Services) où il dirige une équipe de 10 employés qui gère un portefeuille de 170 millions de dollars dans 71 IMF différents, dans 42 pays. Sébastien Duquet a également travaillé pendant huit ans en tant qu auditeur chez Andersen et Ernst & Young, et deux ans chez HSBC. Conférence animée par Kaspar Wansleben, Directeur Général de Luxembourg Microfinance and Development Fund (LMDF) Kaspar Wansleben est le Directeur Général du social venture capital fund LMDF, un fonds social de capital risque, qui se concentre sur des IMF des deuxième et troisième niveaux. Avant de rejoindre LMDF, Kasper Wansleben était déjà impliqué dans la microfinance en tant que membre du comité de crédit du véhicule financier d ADA s LUXMINT depuis Il a également travaillé pour l Organisation Internationale du Travail (2002) et PlanetRating (2004). Il a rejoint KPMG en 2005 où il s est spécialisé dans les secteurs industriels et financiers, travaillant pendant six ans en tant que conseiller en finance d entreprise et comme auditeur. Kaspar Wansleben est diplômé en commerce et en finance d Euromed Marseille et de la Hochschule Bremen. De nationalité allemande, Kaspar Wansleben a vécu dans plusieurs pays d Asie. Kaspar Wansleben est membre du groupe de travail de sur la microfinance de l ALFI (The Association of the Luxembourg Fund Industry). Philippe Guichandut, Directeur du développement et de l assistance technique, Fondation Grameen Crédit Agricole De 1986 à 2004, Philippe Guichandut a travaillé 17 ans, dont 6 ans sur le terrain au Rwanda, en Inde et aux Philippines pour diverses ONG de développement françaises (France Volontaire, Inter-Aide, Enfants et Développement - Save the Children France, CCFD-Terre solidaire). Il a été chargé de la mise en place et du suivi de projets de développement et de microfinance. Il est devenu le premier Directeur exécutif du Réseau Européen de la Microfinance, dès sa création en Il enseigne la gestion de projets de développement et la microfinance depuis plus de 10 ans en France et en Europe.En novembre 2010, il est nommé directeur du développement et de l assistance technique pour la Fondation Grameen Crédit Agricole. Philippe Guichandut est titulaire d un master de Développement social urbain de l Université d Evry et d un MBA de l Université européenne de San Francisco. 2
3 Synthèse Anne-Sophie Bougouin nous présente Solidarité Internationale pour le Développement (SIDI), organisme créé en 1983 par le CCFD Terre Solidaire, qui reste l actionnaire majoritaire pour un capital total de 14 millions d euros. Le reste du portefeuille actionnarial se répartit entre des personnes individuelles (25 %) et des institutionnels français et européens (25% dont l AFD, la Caisse des Dépôts et Consignations, le Crédit Coopératif, Oikocredit). Ces actionnaires ne reversent pas de dividendes. La SIDI travaille avec des petites institutions émergentes et investit sous forme de prêts ou de prises de participation. Ceci lui permet d obtenir un siège au Conseil d Administration et de s impliquer fortement dans la gouvernance de ces organisations. Elle accompagne ainsi sur le long terme ces petites IMF avec des ressources qui renforcent les fonds propres et lui permettent par ailleurs de lever d autres fonds. En parallèle de l investissement, la SIDI propose une assistance technique. Pour Anne-Sophie Bougouin, les petites institutions de microfinance se caractérisent par un fort besoin de financement. Si elle s accorde sur la définition du CGAP des IMF du niveau 3 (< 3 millions de $ d actifs), elle remet en question celle du niveau 2 (entre 3 millions et 50 millions de $) qui présente une trop grande hétérogénéité. La SIDI cible principalement les petites IMF par conviction, mais aussi parce qu elles correspondent à son offre. En effet, sachant que l investissement moyen est de , il se révèle insuffisant pour des IMF de niveau 1. Ainsi, seules les IMF accompagnées depuis le début, et qui ont progressivement atteint le niveau 1, appartiennent aujourd hui au portefeuille de la SIDI : l organisation y reste alors pour tirer les bénéfices des investissements de long terme et pouvoir les réinvestir dans des IMF plus petites. La SIDI investit prioritairement en capital dans de petites institutions émergentes, ce qui implique des durées d investissement de 10 ans en moyenne. Dans certains cas, l institution accompagnée n arrive pas à passer certains caps, mais la forte implication dans la gouvernance permet d obtenir finalement des rendements jugés satisfaisants. Elle place l accompagnement au cœur de sa démarche et dispose de ressources spécifiques d environ 1 à 2 millions d euros pour 150 missions par an, souvent sur des sujets très spécifiques. Cet accompagnement est fondamental : il permet de diminuer le risque et renforce les chances de recouvrement en cas de situation de crise. Par ailleurs, la SIDI est souvent remboursée la première car, d une part, les montants investis sont faibles et, d autre part, la proximité facilite le dialogue avec l IMF. Le défi majeur est de laisser une place à ces petites institutions qui ont souvent un positionnement particulier car, qu on le veuille ou non, les grosses institutions fournissent le plus souvent des services plus efficaces, plus performants, mais dans lesquelles on constate parfois une certaine dérive. La SIDI promeut une autre approche de la microfinance plus en ligne avec la finance sociale, et souhaite continuer à pouvoir identifier des IMF innovantes qui ciblent des populations vulnérables et qui ne font pas que du marketing. L objectif est donc de ne pas exclure et de ne pas chercher à uniformiser le marché. A titre d exemple, il y a eu en Afrique une croissance des investissements. 7% des fonds des MIV (Microfinance Investment Vehicles) se concentrent dans cette région (Source : MIV Benchmarking report 2010 CGAP). Malgré des risques nombreux et importants, il y a un effort collectif des investisseurs mais qui se concentre uniquement sur un petit nombre d institution alors que le marché potentiel est énorme. Sébastien Duquet explique que PlaNIS responsability segmente davantage les institutions par positionnement sur le marché (leader, niche, etc.). Il adhère néanmoins aux remarques d Anne- Sophie Bougouin : la catégorisation du CGAP n a aucune implication concrète ni sur leur politique de prix, ni sur la stratégie globale qui est de financer toute IMF pérenne et au positionnement clair. La caractéristique la plus importante est de s assurer que l institution répond à un besoin des clients, qu elle a mis en adéquation ses produits, ses méthodologies avec son besoin final. La décision d investissement est fondée sur le positionnement de marché et ce financement passe souvent par responsability sauf lorsque les risques pays sont trop importants (Irak, Palestine, etc.) ou qu un certain niveau est atteint (Cambodge). Ainsi, PlaNIS responsability soutient à la fois de petites institutions de niche spécialisées sur des zones ou des ethnies autant que des grandes banques de la microfinance. L organisation utilise les fonds non-profit pour apporter des financements moins chers quand les conditions de financement ne peuvent être commerciales. Mais finalement, il apparait que les plus petites IMF ont le même pricing que les grandes alors que le scoring de risque mériterait un ajustement de taux d intérêt plus fort. PlaNIS responsability ne fait pas d accompagnement technique au sens où certains l entendent. L organisation fait part de ses études et de son diagnostic aux IMF, ce qui constitue un grand pas pour certaines d entre elles, mais ne fournit pas directement de l Assistance technique. L objectif d un fond comme responsability reste d apporter un financement fiable, stable et un pricing compris et honnête. Sébastien Duquet estime que pour de nombreuses IMF, il est aujourd hui complètement inutile de leur envoyer des consultants internationaux. Elles ont besoin d un 3
4 accompagnement stratégique et de la prise en charge des coûts : déploiement informatique, renforcement des équipes, notamment en audit et contrôle interne avec priorité donnée au recrutement local Sébastien Duquet pense ainsi que, pour le financement des plus petites IMF le premier défi reste celui de l allocation des ressources : par exemple en Afrique, dans certains pays certaines IMF sont très sollicitées alors que d autres zones restent insuffisamment couvertes. Le second défi est de gérer les coûts de transaction en réalisant due dilligences communes ou en partageant des rapports. Il est possible de diminuer ces coûts, ce qui serait très utile pour permettre à un plus grand nombre de petites IMF d avoir accès à des financements. Le troisième défi est le coût de hedging (couverture du risque de change) dans certains pays. Il est dangereux d attribuer des financements en dollars mais les outils de PlaNIS responsability sont des outils de marché et souvent les IMF ne comprennent pas pourquoi le coût d une couverture de change est si élevée et donc ne la prennent pas. Il reste beaucoup de pédagogie à faire. Cette pédagogie est malheureusement difficile quand certains bailleurs publics prêtent en devise locale à des taux extrêmement bas qui ne reflètent en aucun cas les conditions de marché. Sébastien Duquet souligne que les Institutions de microfinance de niveau 1 ont tout autant plus besoin d assistance technique, d accompagnement et de financement que les institutions de niveau 2 ou 3 : les enjeux auxquels elles doivent faire face sont plus importants et nécessitent des approches plus professionnelles et spécifiques. Le Luxembourg Microfinance and Development Fund est très jeune et a été spécifiquement créé pour pallier le manque des financements des plus petites IMF. Toute la place financière luxembourgeoise (banque, compagnies d assurance), ainsi que le grand public, s est rassemblée pour former ce fonds. Il travaille avec des ONG et d autres intermédiaires qui ont davantage d expérience en la matière et qui proposent des investissements via différents instruments (dettes, capital ou garanties). Kaspar Wansleben définirait les plus petites institutions comme celles qui n ont pas de statut de banque ou qui ne sont pas de grandes institutions très régulées. Ces petites institutions sont souvent des ONG ou des associations qui se sont positionnées sur la microfinance suite à une réflexion sur les réalités sociales dans un contexte donné. L intérêt de ces institutions est donc leur potentiel, leur capacité d innovation et de développement. Pour lui, au vu des investissements croissants, six ou sept IMF finiront par couvrir tout le pays, laissant peu de place aux institutions de petite taille. Dans les pays où le secteur de la microfinance est très développé, comme le Nicaragua, de très grosses institutions ont connu une crise à cause d une trop grande croissance et de trop de financements. L un des partenaires du Fonds dans ce pays s est aperçu que tous les investisseurs avaient la même cible, et que certaines activités agricoles et commerciales menées par des femmes étaient délaissées par le marché. La croissance importante des IMF de niveau 1 laissent des clients de côté. S il est possible de pérenniser des investissements dans des IMF de niveau 2-3 mais il ne faut pas avoir d ambitions trop élevées pour le retour sur investissement. Kaspar Wansleben explique qu en tant que fonds, les moyens de financer l assistance technique sont très limités et c est pourquoi le Fonds met en relation les IMF avec les institutions spécialisées dans l accompagnement. En situation de crise, il estime que l objectif n est pas d être remboursé en premier, mais plutôt de trouver des solutions tangibles. Le Fonds est néanmoins très proche des institutions, au-delà des contacts spécifiques sur des projets. Selon Kaspar Wansleben, le véritable défi est d arriver à toucher les 2 milliards de personnes qui restent sans accès aux services financiers. 4
5 Une initiative du Club de Microfinance de Paris Le Club de Microfinance de Paris est un réseau indépendant de personnes ayant un intérêt pour la microfinance. Le club a pour vocation d être un lieu d échange et de rencontre entre acteurs des entreprises, agences gouvernementales, associations et institutions non gouvernementales. Les activités du club sont essentiellement des réunions et conférences sur des sujets d intérêt commun. Les membres du club sont engagés exclusivement à titre privé. En partenariat avec Convergences 2015 Convergences 2015 a pour but de promouvoir une économie tournée vers un plus grand impact social. Pour cela, cette initiative vise la création de synergies entre les différents acteurs économiques, solidaires et publics pour la réduction de la pauvreté. Opérant sous la forme de groupes de travail d experts et de conférences durant l année afin d élaborer des réflexions de fond sur les problématiques visées, Convergences 2015 donne lieu, au printemps, à un forum international d échanges et de discussions entre professionnels des secteurs visés, et ouvert au public. 5
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