Les ouvrages de vulgarisa.on dans l élabora.on d un cours d introduc.on à la physique quan.que. Quels enjeux didac.ques?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les ouvrages de vulgarisa.on dans l élabora.on d un cours d introduc.on à la physique quan.que. Quels enjeux didac.ques?"

Transcription

1 Les ouvrages de vulgarisa.on dans l élabora.on d un cours d introduc.on à la physique quan.que. Quels enjeux didac.ques? h#p:// schrodinger.html Philippe LO BELLO Saint Gall 20 janvier 2012

2 Des constats Il y a un paradoxe entre ce#e véritable révolumon scienmfique qu a connue la physique et la percepmon floue, ou inexistante, des idées quanmques fondamentales. Peu d enseignement de la physique quanmque au niveau gymnasial.

3 Or De nombreuses études montrent une forte momvamon des élèves pour l introducmon d une physique plus moderne que celle généralement enseignée au niveau gymnasial. Par exemple : Lawrence, 1996 ; Cuppari et al., 1997 ; Nardone, 1999 ; Duperray, 2010.

4 Mais L enseignant de gymnase qui souhaiterait parler de physique quanmque à ses élèves se trouve vite démuni : il est difficile de trouver des ouvrages scolaires spécifiquement conçus pour l enseignement de ce domaine de la physique dans les gymnases.

5 Toutefois Il est possible de consulter des livres de vulgarisamon traitant de physique quanmque. On peut dès lors s intéresser à l emploi éventuel de ces livres par un enseignant de gymnase qui souhaiterait construire un cours d introducmon à la physique quanmque, me#ant l accent sur les nomons de superposimon d états quanmques et d intricamon.

6 Les transposimons didacmques en jeu Le concept de transposimon didacmque, introduit par le sociologue Michel Verret (1975), interroge le façonnage réalisé par une personne soucieuse de transme#re un savoir issu d une acmvité humaine, en vue de l enseigner.

7 Chevallard a par la suite mis en place une théorie de la transposimon didacmque. Des savoirs, qualifiés de «savants», doivent être soumis à une transposimon didacmque dite «externe» durant laquelle ils subissent des modificamons pour devenir des savoirs «à enseigner»

8 Les savoirs savants sont élaborés généralement par des équipes de laboratoires de recherche, publics ou privés, qui par leurs travaux définissent, enrichissent et valident ces savoirs.

9 Hypothèse : un enseignant de gymnase décide d umliser un ouvrage de vulgarisamon traitant de physique quanmque, dans le but de proposer à ses élèves un cours d introducmon à ce domaine spécifique de la physique.

10 Sans conteste, la physique quanmque fait appel à un savoir savant. C est donc la nomon de transposimon didacmque telle que définie par Chevallard qui a été retenue ici.

11

12 Mais le savoir à enseigner en physique quanmque (au niveau gymnasial) n est pas disponible car les programmes scolaires ne le menmonnent pas explicitement

13 Mais le savoir à enseigner en physique quanmque (au niveau gymnasial) n est pas disponible car les programmes scolaires ne le menmonnent pas explicitement L idée d une transposimon didacmque externe tourne court, faute de savoir à enseigner désigné comme tel!

14 Or, le travail documentaire des enseignants est une caractérismque importante de leur mémer. Selon Gueudet et Trouche (2008) :«[la documenta-on] est au cœur de l ac-vité professionnelle des enseignants.»

15 On peut donc raisonnablement penser que la phase de recherche documentaire puisse être effectuée parmi un ensemble de livres de vulgarisamon.

16 Une transposimon didacmque vulgarisatrice

17 Une transposimon didacmque vulgarisatrice La transposimon didacmque vulgarisatrice a sa source dans un savoir savant. La transposimon didacmque vulgarisatrice a sa source dans un savoir savant.

18 Une transposimon didacmque vulgarisatrice La transposimon didacmque vulgarisatrice a sa source dans un savoir savant. La transposimon Ce qui peut didacmque cependant différer notoirement de la transposimon vulgarisatrice didacmque a sa externe, c est le caractère individualiste source dans un de savoir la démarche. savant.

19 Une transposimon didacmque d ajustement

20 Une transposimon didacmque d ajustement Mais le savoir popularisé n est pas encore directement disponible pour l enseignement.

21 Une transposimon didacmque d ajustement Mais le savoir popularisé n est pas encore directement disponible pour l enseignement. La préoccupamon inimale des auteurs de livres scienmfiques de vulgarisamon n est que rarement de concevoir des ouvrages pour une umlisamon en classe.

22 Une transposimon didacmque d ajustement Mais le savoir popularisé n est pas encore directement disponible pour l enseignement. La préoccupamon inimale des auteurs de livres scienmfiques de vulgarisamon n est que rarement de concevoir des ouvrages pour une umlisamon en classe. Le savoir popularisé n est pas le savoir scolaire.

23 Une transposimon didacmque d ajustement Mais le savoir popularisé n est pas encore directement disponible pour l enseignement. La préoccupamon inimale des auteurs de livres scienmfiques de vulgarisamon n est que rarement de concevoir des ouvrages pour une umlisamon en classe. Le savoir popularisé n est pas le savoir scolaire. Chacun fait appel à un langage spécifique, en s adressant à des communautés différentes.

24 Une transposimon didacmque d ajustement La transposimon didacmque entre le savoir popularisé et le savoir enseignable est une tâche laissée à l inimamve de l enseignant.

25 Une transposimon didacmque d ajustement La transposimon didacmque entre le savoir popularisé et le savoir enseignable est une tâche laissée à l inimamve de l enseignant. Tâche délicate car le vocabulaire associé à la physique quanmque, empreint qu il est des doutes issus de sa genèse, peut lui même consmtuer un obstacle pour l enseignant

26 Une transposimon didacmque d ajustement La transposimon didacmque entre le savoir popularisé et le savoir enseignable est une tâche laissée à l inimamve de l enseignant. Tâche délicate car le vocabulaire associé à la physique quanmque, empreint qu il est des doutes issus de sa genèse, peut lui même consmtuer un obstacle pour l enseignant Ce#e transposimon didacmque entre savoir popularisé et savoir enseignable peut donc être à l origine d interprétamons erronées liées au vocabulaire choisi.

27 Une transposimon didacmque d ajustement La transposimon didacmque entre le savoir popularisé et le savoir enseignable est une tâche laissée à l inimamve de l enseignant. Tâche délicate car le vocabulaire associé à la physique quanmque, empreint qu il est des doutes issus de sa genèse, peut lui même consmtuer un obstacle pour l enseignant Ce#e transposimon didacmque entre savoir popularisé et savoir enseignable peut donc être à l origine d interprétamons erronées liées au vocabulaire choisi. C est ce que relève Lévy Leblond (2003), à propos de la «dualité» onde corpuscule, terminologie très souvent rencontrée.

28 Une transposimon didacmque d interacmon

29 Une transposimon didacmque d interacmon Ce#e armculamon entre deux types de savoirs est sensible à l interacmon entre les élèves et l enseignant autour d un objet du savoir enseignable tel que conçu par l enseignant.

30 Une transposimon didacmque d interacmon Ce#e armculamon entre deux types de savoirs est sensible à l interacmon entre les élèves et l enseignant autour d un objet du savoir enseignable tel que conçu par l enseignant. Elle se construit au moment même où se fait l acte d enseignement.

31 Ou une transposimon didacmque directe

32 Ou une transposimon didacmque directe Sans nécessairement avoir recours à des ouvrages de vulgarisamon, les connaissances propres de l enseignant lui perme#raient de dispenser un cours d introducmon à la physique quanmque.

33 Résumé des transposimons didacmques en jeu

34 Des exemples de séquences d enseignement Quelques études relamves à un enseignement de la physique quanmque au niveau gymnasial sont disponibles dans la li#érature.

35 Cuppari A., Rinaudo G., Robup O., Violino P. Gradual introduc.on of some aspects of quantum mechanics in a high school curriculum. Physics EducaMon, Bristol, v. 32, n.5, p , Sept Lawrence I. Quantum physics in school. Phys. Educ , Müller R., Wiesner H. Teaching quantum mechanics on an introductory level. American Journal of physics, v70 n3 p March 2002.

36 Olsen Rolf V. Introducing quantum mechanics in the upper secondary school: a study in Norway. InternaMonal Journal of Science EducaMon, Volume 24, Issue 6 June 2002, pages Nardone P. La "physique moderne" dans les programmes? Introduc.on d'éléments de physique moderne dans les nouveaux programmes de physique de sixième de transi.on. Synthèse de la recherche en pédagogie n 290/97, InformaMons Pédagogiques n 47, 1999.

37 Duperray R. (2010). Pour une intégra.on de la physique moderne dans les programmes de sciences physiques des classes préparatoires. Vol.104, BUP n 921, p Fanaro M., Otero M., Arlego M. (2009). Teaching the founda.ons of Quantum mechanics in secondary school : a proposed conceptual structure. InvesMgaçoes em Ensino de Ciências, V14(1), p

38 Ces approches envisagées pour l enseignement de la physique quanmque sont principalement du type transposimon didacmque directe. C est par adaptamon de connaissances savantes maîtrisées par ses membres qu une équipe d enseignants met en place les séquences d enseignement.

39 Aucune de ces séquences ne met véritablement l accent sur les concepts de base de la physique quanmque que sont la superposimon d états quanmques et l intricamon quanmque.

40 Des perspecmves futures Tester la mise en place effecmve d une séquence d enseignement intégrant des ouvrages de vulgarisamon.

41 Par le regard crimque porté sur les transposimons didacmques en jeu, ce travail peut parmciper à la valorisamon de compétences professionnelles chez les enseignants.

42 Quelles concepmons d élèves en jeu?... On pourrait penser que les connaissances préalables des élèves de gymnase sont quasi inexistantes sur la physique quanmque, du fait qu ils ne l ont jamais étudiée.

43 Il serait intéressant de faire apparaître d éventuelles concepmons erronées liées à l empreinte de la physique classique qu ils étudient en classe.

44 Merci pour votre a#enmon!

Introduc)on à l Agile

Introduc)on à l Agile Introduc)on à l Agile 1 D où je viens Études M2 info : Paris Diderot (2009) MS Management de Projets Technologiques : ESSEC / Telecom Paris (2010) Aujourd hui Consultant à OCTO Technology (Conseil en SI)

Plus en détail

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R»

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» Parler Apprendre Réfléchir Lire Ensemble pour Réussir Pascal BRESSOUX et Michel ZORMAN Laboratoire

Plus en détail

Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique

Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Licence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant

Licence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant Formations et diplômes Rapport d évaluation Licence professionnelle Administration et gestion des entreprises culturelles de la musique et du spectacle vivant Université Savoie Mont Blanc - USMB Campagne

Plus en détail

Cet exposé s intègre dans les travaux développés par une Equipe en Projet INRP-IUFM,

Cet exposé s intègre dans les travaux développés par une Equipe en Projet INRP-IUFM, 15 Les nouvelles technologies et les stagiaires IUFM : une appropriation mal contrôlée Philippe Le Borgne IUFM de Franche-Comté philippe.leborgne@fcomte.iufm.fr PRÉSENTATION Cet exposé s intègre dans les

Plus en détail

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.

Plus en détail

Les utilisations pédagogiques du Tableau Numérique Interactif (TNI) dans l enseignement d Économie-Gestion :

Les utilisations pédagogiques du Tableau Numérique Interactif (TNI) dans l enseignement d Économie-Gestion : Les utilisations pédagogiques du Tableau Numérique Interactif (TNI) dans l enseignement d Économie-Gestion : Pascal ROOS Professeur d Économie Gestion Lycée Edmond Rostand, Saint Ouen l Aumône (95) Face

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES. Guide d étude

INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES. Guide d étude INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES Guide d étude Sous la direction de Olga Mariño Télé-université Montréal (Québec) 2011 INF 1250 Introduction aux bases de données 2 INTRODUCTION Le Guide d étude

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale

Plus en détail

En 2011, le service Ameli-direct, anciennement appelé «Infosoins» puis «Adresses et Tarifs» connaît les modifications suivantes :

En 2011, le service Ameli-direct, anciennement appelé «Infosoins» puis «Adresses et Tarifs» connaît les modifications suivantes : @ AMELI-DIRECT VERSION 3.3 2006-2011 : INFOSOINS DEVIENT AMELI-DIRECT Dès la COG 2006-2009, l Assurance Maladie s engage à développer à l intention de ses assurés un système d information tant sur le fonctionnement

Plus en détail

THEORIE ET CAS PRATIQUES

THEORIE ET CAS PRATIQUES THEORIE ET CAS PRATIQUES A DEFINIR 8/28/2012 Option AUDIT 1 INTRODUCTION L informatique : omniprésente et indispensable Développement des S.I. accroissement des risques Le SI = Système Nerveux de l entreprise

Plus en détail

Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur

Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Déroulement des deux journées Mardi 26 Matin : Intervention des IEN Jeudi 29 Matin : Production en binôme. Après-midi

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

L ENTRETIEN INDIVIDUEL

L ENTRETIEN INDIVIDUEL L ENTRETIEN INDIVIDUEL 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L entretien individuel est une technique de recueil de l information qui se déroule dans une relation de face-à-face entre l évaluateur

Plus en détail

Des conditions d accueil privilégiées au lycée Couperin

Des conditions d accueil privilégiées au lycée Couperin Pourquoi "oser la prépa ECE "? La CPGE ECE (classe préparatoire aux grandes écoles économique et commerciale voie économique) appelée aussi prépa HEC voie éco est un tremplin d accès aux grandes écoles

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?

ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont

Plus en détail

L apparition de la notion d inclusion dans le débat concernant la scolarisation. Intégration ou inclusion? Études et formations

L apparition de la notion d inclusion dans le débat concernant la scolarisation. Intégration ou inclusion? Études et formations Intégration ou inclusion? Éléments pour contribuer au débat Éric Plaisance Professeur des universités Brigitte Belmont Ingénieur d études Aliette Vérillon Ingénieur de recherche Cornelia Schneider Attachée

Plus en détail

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010 Marie-Pascale Schammé Inspectrice de L Éducation Nationale Sciences Biologiques et Sciences Sociales Appliquées Académie de ROUEN Document de référence académique BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n

Plus en détail

Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire

Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue

Plus en détail

La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne. Aboubekeur ZINEDDINE

La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne. Aboubekeur ZINEDDINE Table Ronde : L'ACTIVITÉ DE PUBLICATION DU JEUNE CHERCHEUR La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne 13 décembre 2013 Bibliothèque de Paris MINES ParisTech Aboubekeur ZINEDDINE

Plus en détail

Baccalauréat technologique

Baccalauréat technologique Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue

Plus en détail

Nous désirons tout mettre en œuvre pour découvrir le travail d enseignant et surtout, améliorer nos

Nous désirons tout mettre en œuvre pour découvrir le travail d enseignant et surtout, améliorer nos L A P P R E N T I S S A G E E N P R O F O N D E U R Présenté par : Michael Lafontaine, CGA, M. Fisc. Bruce Lagrange, CA, M. Sc. Patricia Michaud, CA, MBA Francis Belzile, CA, M. Fisc. Janie Bérubé, CA,

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

MODALITES D ADMISSION 2013

MODALITES D ADMISSION 2013 MODALITES D ADMISSION 2013 SITE PARIS GOBELINS, l'école de l'image Site Paris - 73 boulevard Saint Marcel - 75013 PARIS tél. 01 40 79 92 12 - info-concours@gobelins.fr - www.gobelins.fr JEU VIDEO MASTERE

Plus en détail

Synthèse des formations et pratiques professionnelles en prothèse dentaire

Synthèse des formations et pratiques professionnelles en prothèse dentaire N Projet : 2011-1-FR1-LEO05-24448 Titre : Euro-DIM - Dispositif d Intégration de la Mobilité européenne pour les apprentis Ce document est le résultat du travail réalisé par les responsables pédagogiques

Plus en détail

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?

«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? «Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale

Plus en détail

Languedoc - Roussillon

Languedoc - Roussillon Master Métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation 1 er degré MEEF Concours préparés : Concours de recrutement des professeurs des écoles (CRPE) Lieu : Carcassonne - Mende - Montpellier

Plus en détail

Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec

Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Benoît Côté Département de mathématiques, UQAM, Québec cote.benoit@uqam.ca 1. Introduction - Exercice de didactique fiction Que signifie intégrer

Plus en détail

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version

Plus en détail

A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW

A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW Groupe : 322 Exploitation des Banques de données 420-PK6-SL (1-2-1) Étape : 3 Professeur Nom: Marcel Aubin Courriel : maubin@cegep-st-laurent.qc.ca

Plus en détail

Concevoir sa stratégie de recherche d information

Concevoir sa stratégie de recherche d information Concevoir sa stratégie de recherche d information Réalisé : mars 2007 Dernière mise à jour : mars 2011 Bibliothèque HEC Paris Contact : biblio@hec.fr 01 39 67 94 78 Cette création est mise à disposition

Plus en détail

USAGE DES RESEAUX SOCIAUX PAR LES APPRENANTS EN COTE D IVOIRE

USAGE DES RESEAUX SOCIAUX PAR LES APPRENANTS EN COTE D IVOIRE USAGE DES RESEAUX SOCIAUX PAR LES APPRENANTS EN COTE D IVOIRE Dr CLAUDE N. KOUTOU Enseignant/Chercheur (Université de Cocody, Abidjan) Chercheur PANAF - ROCARE CI nkoutou1@yahoo.fr PLAN DE PRESENTATION

Plus en détail

Informatique Médicale & Ingénierie des Connaissances Pour la e-santé

Informatique Médicale & Ingénierie des Connaissances Pour la e-santé Li ics Laboratoire d Informatique Médicaleet d Ingénierie des Connaissances en e-santé Projet de création d une UMR Inserm Université Pierre et Marie Curie, Université Paris Nord Informatique Médicale

Plus en détail

LA PERTINENCE DES OUTILS D EXPERTS AU SERVICE DES NON-EXPERTS EN RECHERCHE D INFORMATIONS : UN EXEMPLE AVEC LES OPÉRATEURS BOOLÉENS

LA PERTINENCE DES OUTILS D EXPERTS AU SERVICE DES NON-EXPERTS EN RECHERCHE D INFORMATIONS : UN EXEMPLE AVEC LES OPÉRATEURS BOOLÉENS 57 LA PERTINENCE DES OUTILS D EXPERTS AU SERVICE DES NON-EXPERTS EN RECHERCHE D INFORMATIONS : UN EXEMPLE AVEC LES OPÉRATEURS BOOLÉENS INTRODUCTION Parmi les activités documentaires fortement préconisées

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique

Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique Url : http://www.banqoutils.education.gouv.fr/index.php Niveau : GS au Lycée Conditions d'utilisation : Pas d'inscription nécessaire. Format des ressources

Plus en détail

Mises en relief. Information supplémentaire relative au sujet traité. Souligne un point important à ne pas négliger.

Mises en relief. Information supplémentaire relative au sujet traité. Souligne un point important à ne pas négliger. Cet ouvrage est fondé sur les notes d un cours dispensé pendant quelques années à l Institut universitaire de technologie de Grenoble 2, au sein du Département statistique et informatique décisionnelle

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

D après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I,

D après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I, Introduction D après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I, L Université de Yaoundé I a pour missions : - d élaborer

Plus en détail

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er

Plus en détail

Théories comptables. Théories normatives

Théories comptables. Théories normatives pratique : Jean Luc PETITJEAN 08 Novembre 2011 1 Théories comptables Théories descriptives Théories normatives Théories explicatives pratique : Jean Luc PETITJEAN 08 Novembre 2011 2 Elles visent à décrire

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Licence professionnelle Lean manufacturing

Licence professionnelle Lean manufacturing Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Lean manufacturing Université Claude Bernard Lyon 1 - UCBL Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES,

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE DES MILLIONS DE NOMS, DES MILLIONS D HISTOIRES

DOSSIER DE PRESSE DES MILLIONS DE NOMS, DES MILLIONS D HISTOIRES DOSSIER DE PRESSE DES MILLIONS DE NOMS, DES MILLIONS D HISTOIRES Avec plus de 7 milliards de données généalogiques et 26 000 bases de données exploitables, les possibilités sont infinies Pour plus d information

Plus en détail

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du

Plus en détail

Evaluation du cursus «Marketing» 2010-2011

Evaluation du cursus «Marketing» 2010-2011 Evaluation du cursus «Marketing» 2010-2011 RAPPORT FINAL DE SYNTHESE Ecole Supérieure des Affaires - Namur Comité des experts : M. Jean TONDEUR, président M. Laurent ARNONE, M. Alain PIEKAREK, M. Michel

Plus en détail

Groupe Mathématiques Instrumentées au Lycée

Groupe Mathématiques Instrumentées au Lycée Groupe Mathématiques Instrumentées au Lycée BILAN DU GROUPE (2011-2012) Participants Nom, prénom, grade et établissement du responsable du groupe : PEAN Manuel Agrégé Lycée Camille Claudel, Blois Nom,

Plus en détail

Consultation 2014-2015

Consultation 2014-2015 Consultation 2014-2015 Synthèse des résultats de la consultation nationale sur le projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L ENSEIGNEMENT

Plus en détail

Université de XY University of XY. Faculté XY Faculty of XY

Université de XY University of XY. Faculté XY Faculty of XY Université de XY University of XY Faculté XY Faculty of XY Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil d'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise

Plus en détail

Améliorez et industrialisez vos feedback produit

Améliorez et industrialisez vos feedback produit Améliorez et industrialisez vos feedback produit Jean- Philippe Gillibert, architecte logiciel et coach agile chez Introduc)on Retour d expérience sur un projet à la SNCF Méthode originale de traitement

Plus en détail

Soutenons ensemble l économie sociale et solidaire pour un développement durable

Soutenons ensemble l économie sociale et solidaire pour un développement durable Soutenons ensemble l économie sociale et solidaire pour un développement durable «Nous devons être le changement que nous voulons pour le monde» Gandhi works et n n a lo y b a B n o ti a ci o ss a L Babyloan

Plus en détail

Profil d études détaillé. Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique

Profil d études détaillé. Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique Page 1/6 1. Introduction L enseignement de la Haute Ecole Louvain en Hainaut donne la place centrale à l étudiant. Celui-ci trouvera

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

CELLULLES DE RECLASSEMENT

CELLULLES DE RECLASSEMENT CHER CELLULLES DE RECLASSEMENT Demandeurs d emploi, adhérents des cellules de reclassement PUBLIC Toutes certifications CERTIFICATIONS RESUME DE L ACTION Le PRC du Cher est systématiquement associé aux

Plus en détail

Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé

Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé «Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé L organisation et la planification

Plus en détail

Pourquoi intégrer le Big Data à son organisa3on?

Pourquoi intégrer le Big Data à son organisa3on? Pourquoi intégrer le Big Data à son organisa3on? Yvan Robert, VP Affaires Stratégiques Emmanuel Faug, Resp. pra>que BI Colloque 2014 Big Data Agenda Qui sommes nous? L importance de l information Méthodes

Plus en détail

OPTION SCIENCES BELLE-ISLE-EN-TERRE

OPTION SCIENCES BELLE-ISLE-EN-TERRE Serge Combet Professeur Mathématiques Collège de Belle-Isle-En-Terre OPTION SCIENCES BELLE-ISLE-EN-TERRE 2011-2012 Mathématiques & Informatique Sommaire I. Introduction... 5 II. Choix des logiciels...

Plus en détail

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser

Plus en détail

MATURITÉS SPÉCIALISÉES

MATURITÉS SPÉCIALISÉES Ecole de culture générale Edition 2015-2016 MATURITÉS SPÉCIALISÉES ECG HES arts visuels communication - information musique pédagogie santé travail social La maturité spécialisée (MS) est un titre délivré

Plus en détail

A propos de l Audit des finances communales

A propos de l Audit des finances communales A propos de l Audit des finances communales (évoqué lors du Conseil municipal de septembre 2014) A la demande de la majorité municipale, un audit a été commandité auprès du cabinet FCL. Les conclusions

Plus en détail

ARCHITECTURE D ENTREPRISE

ARCHITECTURE D ENTREPRISE Sommaire ARCHITECTURE D ENTREPRISE... 1 Module 1 : Processus et systèmes d information / Durée : 2 jours... 1 Module 2 : La démarche d urbanisation des SI dans vos projets / Durée : 1 jour... 3 AUDIT ET

Plus en détail

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le

Plus en détail

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,

Plus en détail

FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014

FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles

Plus en détail

Votre croissance notre métier

Votre croissance notre métier Votre croissance notre métier Nous vous assistons dans votre croissance externe: De la recherche d une entreprise à acquérir jusqu à l intégration dans votre entreprise existante Notre expérience opérationnelle

Plus en détail

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN

LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre

Plus en détail

majuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot

majuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot majuscu conjugaison >>>, L orthographe singulier syllabe virgule mémoire lettres et son enseignement graphie suffixe usage accent ; écrire féminin temps voyelles mot point Renforcer l enseignement de l

Plus en détail

PLAN DE COURS DÉPARTEMENT ÉLECTRONIQUE INDUSTRIELLE. TITRE DU COURS Ordinateur Outil 243-215-RA 1-4-2

PLAN DE COURS DÉPARTEMENT ÉLECTRONIQUE INDUSTRIELLE. TITRE DU COURS Ordinateur Outil 243-215-RA 1-4-2 PLAN DE COURS DÉPARTEMENT ÉLECTRONIQUE INDUSTRIELLE TITRE DU COURS Ordinateur Outil 243-215-RA 1-4-2 Numéro du cours Pondération Automne 2010 Martin Cloutier Table des matières 1 NOTE PRÉLIMINAIRE... 3

Plus en détail

Université de la Méditerranée, Aix Marseille II, à Marseille, Faculté de pharmacie FRANCE

Université de la Méditerranée, Aix Marseille II, à Marseille, Faculté de pharmacie FRANCE NOM DE L ETABLISSEMENT : Université de la Méditerranée, Aix Marseille II, à Marseille, Faculté de pharmacie FRANCE NOM DU MASTER 2 : Master Professionnel en Prévention des risques et nuisances technologiques

Plus en détail

Offre Education 250 /an/école (htva)

Offre Education 250 /an/école (htva) Offre Education 250 /an/école (htva) Présentation de la société Société belge crée en 2005 par Fabien Pinckaers 4 sites Belgique: Grand-Rosière : HQ R&D Belgique: Bruxelles : Sales & Marketing USA Bureau

Plus en détail

Ressources nécessaires (avec budget)

Ressources nécessaires (avec budget) Fiche 11 : La formation des enquêteurs et l administration de l enquête Objectif Former les enquêteurs et procéder à l enquête satisfaction. Principe Répondre aux questions relatives à la formation des

Plus en détail

APPEL D OFFRES 2014-2015

APPEL D OFFRES 2014-2015 CONSEIL DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE POUR LA FORMATION EN COURS DE CARRIERE (CECAFOC) APPEL D OFFRES 2014-2015 CAHIERS DES CHARGES COMITE Cecafoc Personne de contact Physique Prof. Jim Plumat jim.plumat@uclouvain.be

Plus en détail

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux référentiels dont le plus connu et le

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION

REFERENTIEL DE CERTIFICATION REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) Médiation Services Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL DU

Plus en détail

Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant

Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant le mot du médiateur de l éducation nationale Madame, monsieur, Parent, enseignant, vous aurez l occasion, au long de l année scolaire, de vous

Plus en détail

Former des enseignants à l intégration des TICE bilan des usages, perspectives et questionnement

Former des enseignants à l intégration des TICE bilan des usages, perspectives et questionnement Haute Ecole pédagogique de Fribourg Service Recherche & Développement Former des enseignants à l intégration des TICE bilan des usages, perspectives et questionnement Pierre-François Coen Service Recherche

Plus en détail

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC

MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Lorraine Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN

MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN Porteur de Projet : Francis GAST, Directeur de la Faculté des Arts Université de Strasbourg OBJECTIFS Le MASTER DE PRODUCTION ET

Plus en détail

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management et organisation de l Université Paris-Dauphine Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des Formations

Plus en détail

SECTION 5 BANQUE DE PROJETS

SECTION 5 BANQUE DE PROJETS SECTION 5 BANQUE DE PROJETS INF 4018 BANQUE DE PROJETS - 1 - Banque de projets PROJET 2.1 : APPLICATION LOGICIELLE... 3 PROJET 2.2 : SITE WEB SÉMANTIQUE AVEC XML... 5 PROJET 2.3 : E-LEARNING ET FORMATION

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la

Plus en détail

ELEMENTS DE BUREAUTIQUE

ELEMENTS DE BUREAUTIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENTET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ELEMENTS

Plus en détail

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines Les apports de l informatique Aux autres disciplines Le statut de technologie ou de sous-discipline est celui de l importation l et de la vulgarisation Le statut de science à part entière est lorsqu il

Plus en détail

LES PERSONNELS. Direction. Secrétariat de direction : Mme Troubat. Secrétariat de gestion : Mme RIBEIRO. 11 Agents de service.

LES PERSONNELS. Direction. Secrétariat de direction : Mme Troubat. Secrétariat de gestion : Mme RIBEIRO. 11 Agents de service. Structure 665 élèves accueillis à la rentrée 2012 Structure de 24 classes et 1 ULIS 6 classes de 6 ème 7 classes de 5 ème 6 classes de 4 ème 5 classes de 3 ème 640 demi-pensionnaires et commensaux 65 personnels

Plus en détail

LE POLE UNIVERSITAIRE PRIVE ANGLOPHONE D'EXCELLENCE. Mediterranean School of Business Mediterranean Institute of Technology

LE POLE UNIVERSITAIRE PRIVE ANGLOPHONE D'EXCELLENCE. Mediterranean School of Business Mediterranean Institute of Technology DOSSIER DE PRESSE LE POLE UNIVERSITAIRE PRIVE ANGLOPHONE D'EXCELLENCE Mediterranean School of Business Mediterranean Institute of Technology Former des entrepreneurs créateurs d'emplois et non de futurs

Plus en détail

Le «e-mail Pass» : une réponse e-learning à l apprentissage de la messagerie électronique

Le «e-mail Pass» : une réponse e-learning à l apprentissage de la messagerie électronique Le «e-mail Pass» : une réponse e-learning à l apprentissage de la messagerie électronique =================================================================== David Autissier, maître de conférences, Université

Plus en détail

Cursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire. Une autre façon d accéder au métier d ingénieur

Cursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire. Une autre façon d accéder au métier d ingénieur Cursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire Une autre façon d accéder au métier d ingénieur Un Réseau National de 28 CMI Le réseau FIGURE Formation en InGenierie par des Universités de

Plus en détail