Premier vecteur % des cas de rages mortelles dans le monde sont d origine canine

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Premier vecteur ++++++ 98% des cas de rages mortelles dans le monde sont d origine canine"

Transcription

1 CENTRE ANTIRABIQUE Centre Hospitalier d Auxerre LA RAGE Note d information Protocoles de prise en charge Dr Duché Tailliez Monique Mise à jour septembre 2014

2 La rage est une zoonose (maladie qui se transmet de l animal à l homme) due à un virus (genre lyssavirus -famille des Rhabdovirus) qui se caractérise par une encéphalite inéluctablement mortelle une fois les signes cliniques déclarés. Le virus est transmis à l homme par un animal en phase d excrétion salivaire du virus. La contamination se fait le plus souvent au moyen de la salive, par morsure, griffure, léchage sur peau excoriée ou sur muqueuse. La rage est responsable de décès par an dans le monde (en particulier des hommes et des jeunes enfants en zone rurale) 99 % de ces décès surviennent en Asie et en Afrique 98 % sont en lien avec une rage canine

3 LES ANIMAUX VECTEURS DE LA RAGE

4 LE CHIEN (ESPÈCE RÉSERVOIR) Premier vecteur % des cas de rages mortelles dans le monde sont d origine canine La rage canine a été complètement éradiquée en France et en Europe occidentale par des mesures de santé publique (vaccinations des chiens lutte contre les chiens errants) La rage canine concerne maintenant les pays en voie de développement (Europe de l Est, Maghreb, Asie, Afrique) Premières cibles les enfants à l étranger : un enfant mort à Lyon en 2003 (retour de voyage au Gabon) Un adulte mort en avril 2014 en Île de France (retour du Mali) En France : penser à la rage canine d importation (France 2011 : chien enragé en provenance du Maroc )

5 LA RAGE CANINE ENFRANCE SOURCE INSTITUT PASTEUR

6 LA RAGE CANINE D IMPORTATION EN EUROPE SOURCE INSTITUT PASTEUR

7 LE RENARD (ESPÈCE RÉSERVOIR) La rage vulpine est apparue en France en 1968 venant de l est de l Europe Elle a été éradiquée par la vaccinations en masse des renards Définitivement éradiquée en France en 1998 Elle réapparait aux frontières de l Italie avec la Slovénie (2008), en République de Macédoine (2011 ) et en Grèce (2012)

8 LA RAGE VULPINE EN2009 Dr Duche Tailliez M. Centre antirabique Auxerre Rabies cases in animals reported in Europe since 2009

9 RAGE VULPINE EN ITALIE DU NORD EST DEPUIS 2008 THREAT ASSESSMENT RABIES IN ANIMALS IN NORTHERN ITALY. 26 MARCH EUROPEEN CENTRE FOR DISEASE PREVENTION AND CONTROL Dr Duché Tailliez M. Centre antirabique Auxerre

10 LA RAGE VULPINE ENITALIE DUNORD LES CAMPAGNES DE VACCINATIONS

11 EVOLUTION DE LA RAGE VULPINE ENITALIE DUNORDEST APRÈS LES CAMPAGNES DE VACCINATIONS

12 EVOLUTION DE LA SITUATION DE LA RAGE VULPINE EN ITALIE DU NORD EST Le 14 février 2011 détection du dernier cas de rage vulpine Aucun autre cas de rage n a ensuite été détecté au cours du programme de suivi de la rage chez les renards Le Professeur Romano Manarelli, délégué de l Italie auprès de l OIE déclare que son pays a recouvré le statut indemne de rage, à compter du 31 mars Dr Duche Tailliez M. Centre antirabique d Auxerre

13 RAGE VULPINE ENGRÈCE RÈCE2012 Les cas concernent les préfectures de Kosani, Kastoria, Pella, Kilkis et Trikala

14 LA CHAUVE SOURIS (ESPÈCE RÉSERVOIR) Depuis 1998, seuls les chiroptères ont été diagnostiqués enragés en France 2007 : un chat contaminé par une chauve souris meurt de la rage en Vendée En Amérique du Sud : les chauves souris vampires contaminent : - le bétail (bovins) - les enfants

15 CANADA ET AMÉRIQUE DU NORD (ESPÈCES RÉSERVOIR) Le raton Laveur Le renard roux La mouffette

16 LES AUTRES MAMMIFÈRES Les mammifères peuvent être contaminés à leur tour Le chat 1 chat enragé Vendée chat enragé Argenteuil (95) en Octobre 2013 : (lyssavirus de l'espèce du virus de la rage, circulant en Afrique ) Les bovins (Guyane Amérique du Sud)

17 AUTRES MAMMIFÈRES Le loup (Iran) La mangouste (Asie Afrique) Les singes (Inde)

18 LES ANIMAUX IMPORTÉS Chiot importé du Maroc en 2004 Le singe Le furet Chaton enragé importé du Maroc en 2013

19 ILE DETAIWAN EN2013 Trois cas de rage ont été identifiés chez des melogales (mustélidés proche des blaireaux et des furets) à Taiwan.

20 CONDUITE À TENIR EN CAS DE CONTACT (MORSURE, GRIFFURE, LÉCHAGE)

21 LA PROPHYLAXIE POST EXPOSITION

22 PROPHYLAXIE POST EXPOSITION Deux questions guident la réflexion : L animal à l origine du contact est-il enragé ou suspect de rage? Quelle est la gravité du contact?

23 L ANIMAL EST-IL ENRAGÉ OU SUSPECT DE RAGE? Au regard de l épidémiologie et de la clinique, vont être déterminantes les réponses aux questions suivantes :

24 L ANIMAL CONTAMINANT Son espèce? Chien, renard, chauve souris Son comportement? Normal, agressif ou au contraire anormalement abattu et amorphe. Ses habitudes? Errance ou toujours enfermé. Sa provenance? Animal vivant sur territoire français, animal importé, voyage en pays endémique. Son statut vaccinal? Le lieu de contamination? Europe occidentale, Asie, Afrique.

25 QUELLE EST LA GRAVITÉ DU CONTACT?

26 GRAVITÉ DU CONTACT ET DES LÉSIONS SOURCE OMS 2014 Catégorie I Toucher ou nourrir l animal - Léchage sur peau intacte Catégorie II Mordillage sur peau découverte - Griffures minimes - Abrasions sans saignement Catégorie III -Morsures ou griffures transdermiques uniques ou multiples ou léchage sur peau lésée -Contamination des muqueuses avec la salive (léchage) - Exposition à des chauves-souris

27 SYNTHÈSE ANIMAL SUSPECT DE RAGE + CATÉGORIE CONTACT

28 D APRÈS APRÈS R RECOMMANDATIONSOMS OMS 2010 RABIES VACCINES: : WHO POSITION PAPER.. WEEKLYW EPIDEMIOLOGICAL RECORD RECORD.2010; 85 (32): Catégorie Type de contact avec un animal domestique ou sauvage a enragé ou suspect de rage (du fait de la clinique ou l épidémiologie locale) Risque de l exposition Prophylaxie après exposition recommandée I Toucher ou nourrir l animal Léchage sur peau intacte Aucun Aucun, si l anamnèse est fiable II Mordillage sur peau découverte Griffures minimes ou abrasions sans saignement Faible Administrer le vaccin immédiatement. Arrêter le traitement si l animal reste en bonne santé pendant la période de 10 jours c ou si le diagnostic de laboratoire par des techniques fiables est négatif III Morsures ou griffures transdermiques uniques ou multiples ou léchage sur peau lésée Contamination des muqueuses avec la salive (léchage) Exposition à des chauves-souris d Sévère Administrer les immunoglobulines antirabiques et le vaccin immédiatement. Arrêter le traitement si l animal reste en bonne santé pendant la période de 10 jours c ou si le diagnostic de laboratoire par des techniques fiables est négatif

29 RECOMMANDATIONS OMS 2010 ANNOTATIONS a.l exposition à des rongeurs, lapins et lièvres ne requiert qu exceptionnellement un traitement antirabique après exposition quelle que soit la zone géographique concernée. b. Si un chien ou un chat en bonne santé apparente dans ou en provenance d une zone à faible risque (dont fait partie la France) est placé en observation, on peut attendre pour commencer le traitement, si nécessaire. c. Cette période d observation s applique seulement aux chiens, chats et mustélidés (furets, fouines, etc.). En France, cette période est plus longue ; elle est de quinze jours. En dehors des espèces menacées ou en danger, les autres animaux domestiques ou sauvages suspectés de rage doivent être euthanasiés humainement et leurs tissus examinés à la recherche de l antigène rabique par les techniques de laboratoire appropriées. d. Le traitement après exposition doit être envisagé quand il y a eu contact entre un humain et une chauve-souris, sauf si la personne exposée peut exclure une morsure ou une griffure, ou l exposition à une muqueuse.

30 LA PROPHYLAXIE ANTIRABIQUE POST EXPOSITION CHEZ UN SUJET NON IMMUNISÉ

31 LES VACCINS ANTIRABIQUES Dr Duche Monique M. Centre antirabique Auxerre

32 LES VACCINS ANTIRABIQUES Deux vaccins sont autorisés en France. Ce sont des vaccins inactivés produits soit sur cellules de lignée continue de type Vero, soit sur cellules d embryon de poulet. Le vaccin inactivé produit sur culture cellulaire de lignée continue Vero (utilisant la souche Wistar Pitman Moore L503 3M) est le vaccin rabique Pasteur. Le vaccin inactivé produit sur cellules d embryon de poulet (utilisant la souche Flury LEP) est le vaccin Rabipur. Le Centre antirabique d Auxerre utilise le vaccin Pasteur

33 LES MODALITÉS DE VACCINATION La vaccination contre la rage est pratiquée par voie intramusculaire, dans le deltoïde chez l enfant et l adulte. Deux protocoles de traitement sont actuellement validés par les comités d experts de l OMS : Le protocole dit de «Essen» qui comprend cinq injections de vaccin aux jours 0, 3, 7, 14 et 28. Le protocole «2-1-1 ou de Zagreb» qui comprend deux injections de vaccin au jour 0, une dans chaque deltoïde, puis une injection aux jours 7 et 21 Le Centre antirabique d Auxerre utilise le protocole de Zagreb

34 EFFETS INDÉSIRABLES DU VACCIN ANTIRABIQUE Les réactions les plus fréquemment observées sont transitoires et bénignes. Il s agit : de douleur au site d injection (> 10%) de douleurs abdominales d arthralgies de nausées d épisode fébrile (1 à 10 % des cas). Des cas de syndrome de Guillain-Barré d évolution favorable sans aucune séquelle ont été très rarement rapportés avec Rabipur.

35 CONTRE-INDICATIONS DU VACCIN ANTIRABIQUE Il n y a pas de contre-indication à la vaccination anti rabique après exposition. La rage est une maladie mortelle. En pré exposition Les vaccins sont contre-indiqués en cas d hypersensibilité à l un des composants du vaccin, La vaccination doit être différée en cas de maladie aiguë.

36 LES IMMUNOGLOBULINES ANTI RABIQUES

37 LES IMMUNOGLOBULINES ANTIRABIQUES Sont disponibles actuellement : des immunoglobulines d origine équine : Sérum antirabique Pasteur, Favirab des immunoglobulines humaines : Imogam Rage. le Centre antirabique d Auxerre utilise les immunoglobulines humaines Imogam Rage Les immunoglobulines antirabiques doivent être administrées en même temps que la première injection de vaccin. Elles ne doivent pas être injectées après le septième jour du traitement vaccinal. La posologie est de : 40 UI/kg de poids corporel pour les immunoglobulines d origine équine 20 UI/kg de poids corporel pour les immunoglobulines d origine humaine.

38 VACCINATION ANTIRABIQUE POST EXPOSITION CHEZ LE SUJET IMMUNODÉPRIMÉ

39 LE SUJET IMMUNO DÉPRIMÉ Chez les sujets immunodéprimés ayant subi une exposition de catégorie II ou III Sera utilisé le protocole à 5 doses dit d Essen associé à l injection d immunoglobulines antirabiques

40 VACCINATION POST EXPOSITION D UN SUJET PRÉALABLEMENT VACCINÉ CONTRE LA RAGE

41 SUJET EXPOSÉ PRÉALABLEMENT VACCINÉ CONTRE LA RAGE Chez un sujet correctement vacciné contre la rage, préventivement ou dans le cadre d un traitement antérieur, seuls deux rappels de vaccin effectués à trois jours d intervalle sont nécessaires lors d une exposition ultérieure. Dans ce cas, il est contre-indiqué d injecter des immunoglobulines antirabiques quelle que soit la catégorie d exposition.

42 LA VACCINATION PRÉVENTIVE AVANT EXPOSITION

43 LAVACCINATION ACCINATION PRÉVENTIVE Elle comporte 3 injections par voie IM selon le schéma suivant le jour 0 étant le jour de la première injection : J0, J7 et J28 (ou J21). Les indications : Les voyageurs Les professionnels régulièrement exposés : personnel de laboratoire manipulant le virus ou d autres lyssavirus vétérinaires manipulateurs d animaux Dr Duché Tailliez M. Centre antirabique Auxerre

44 LA VACCINATION PRÉVENTIVE DU VOYAGEUR

45 LA VACCINATION PRÉVENTIVE DU VOYAGEUR L OMS définit quatre catégories de zones à risque (carte diapo suivante) Zone catégorie 1 : absence de risque (zones où il n y a pas de rage) Zone catégorie 2 : risque faible Zone catégorie 3: risque modéré Zone catégorie 4 : risque élevé (zones où la rage canine est endémique). Dr Duche Tailliez M. Centre anti rabique Auxerre

46 Répartition du risque de rage dans le monde (in Voyages Internationaux et Santé OMS 2012)

47 LA VACCINATION PRÉVENTIVE DU VOYAGEUR Elle est fonction de la zone à risque et du voyageur : Catégorie 1 : absence de risque. Pas de vaccination préventive. Catégorie 2 : risque faible. Vaccination des voyageurs qui ont des activités pouvant les mettre en contact direct avec des chauves- souris. Catégorie 3 : risque modéré. Vaccination des voyageurs qui ont des activités pouvant les mettre en contact direct avec des chauvessouris ou d autres animaux sauvages, notamment des carnivores. Catégorie 4 : risque élevé. Vaccinations des voyageurs, des expatriés vivant dans ces zones et des enfants (très exposés et moins susceptibles de signaler un contact avec un animal soupçonné d être enragé ).

48 LES RAPPELS DE VACCINATION ANTIRABIQUE POUR LES VOYAGEURS Pour l OMS depuis 2005, les doses de rappel de vaccin antirabique (à 1an et 5ans) ne sont plus nécessaires chez les personnes vivant ou se rendant dans des zones à haut risque qui ont déjà reçu une série primaire complète d injections prophylactiques de vaccin antirabique avant ou après l exposition Un taux d anticorps protecteur est maintenu au-delà de 10 ans après l administration de 3 doses par voie intradermique. Pour le voyageur exposé durablement, les injections de rappel à 1 an et plus ne sont donc plus nécessaires, sous réserve d une revaccination rapide après exposition.

49 RÉCAPITULATION VACCINATION ANTIRABIQUE DU VOYAGEUR VACCINATIONS PRÉVENTIVE PRÉ EXPOSITION SOURCE HCSP 2013 Dr Duche Tailliez M. Centre antirabique Auxerre

50 RÉCAPITULATION VACCINATION ANTIRABIQUE DU VOYAGEUR VACCINATIONS CURATIVE POST EXPOSITION SOURCE HCSP 2013

51 VACCINATION PRÉVENTIVE DES PERSONNELS EXPOSÉS

52 VACCINATIONS ANTIRABIQUES PRÉ ET POST EXPOSITION DES PERSONNELS EXPOSÉS SOURCE HCSP 2013

53 VACCINATION PRE ET POST EXPOSITION DES CHIROPTÉROLOGUES SOURCE HCSP 2013 D

54 BIBLIOGRAPHIE «Epidémiologie et prophylaxie de la rage humaine en France 2009». HervéBourhy, YolandeRotivel, Florence Ribadeau. Institut Pasteur. «Threat Assessment Rabies in animals in Northern Italy 26 March Centre for Rabies Surveillance and Research, Rabies Bulletin Europe. Guide pratique des vaccinations. Edition Direction Générale de la Santé. BEH. Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire. Recommandations sanitaires pour les voyageurs. 29 mai 2012 Vaccination antirabique préventive, traitement post-exposition et suivi sérologique des personnes régulièrement exposées au virus de la rage (voyageurs, professionnels, chiroptérologues). HCSP février 2013 Informations relatives à l épidémiologie de la rage. Edith Martin. Centre National de référence Institut Pasteur. La rage en Grèce (mars 2013),la rage à Taiwan (juillet 2013). Aspects épidémiologiques de la rage dans le monde, en Europe et en France. 14ème Journées Nationales d Infectiologie. Laurent Dacheux. Centre National de Référence de la Rage Institut Pasteur, Paris Auto déclaration de l Italie concernant le recouvrement de son statut indemne de rage. 31 mars 2013 Rage. Aide-mémoire N 99 Organisation Mondiale de la Santé. Septembre 2014

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

Bonnes vacances! Je voyage avec mon chien ou mon chat

Bonnes vacances! Je voyage avec mon chien ou mon chat Mémento pour réussir son voyage: Je m informe à temps auprès du pays de destination ou auprès de mon vétérinaire: s agit-il d un pays où la rage urbaine existe? Identification? Je prépare mon retour en

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE

Plus en détail

Vaccinations et milieu professionnel

Vaccinations et milieu professionnel La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures

Plus en détail

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral

Plus en détail

Je voyage avec mon chien ou mon chat. Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch

Je voyage avec mon chien ou mon chat. Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch Je voyage avec mon chien ou mon chat Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch 2 Je m informe à temps 5 Je protège mon animal contre la rage 8 Je (ne) ramène (pas) un animal

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Q & R: De nouvelles règles concernant les déplacements des animaux de compagnie et leur passeport

Q & R: De nouvelles règles concernant les déplacements des animaux de compagnie et leur passeport Questions et réponses De nouvelles règles pour voyager avec votre animal à l intérieur ou en dehors de l Union et de nouveaux passeports pour les animaux de compagnie Introduction Depuis le 29 décembre

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Vaccination contre la grippe saisonnière

Vaccination contre la grippe saisonnière le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies?

Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies? Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies? Bernard DAVOUST 1,2, Oleg MEDIANNIKOV 2, Jean-Lou MARIÉ 1,2, Cristina SOCOLOVSCHI 2, Philippe PAROLA 2 et Didier RAOULT 2 1 - Direction régionale

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Animal de compagnie Les animaux de compagnie sont des animaux dont l'homme a la garde, notamment dans son foyer, pour son agrément et qui ne

Plus en détail

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.

Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Manifestations cliniques après la vaccination

Manifestations cliniques après la vaccination 7.1 Introduction Les produits immunisants modernes sont efficaces et sécuritaires. Cependant, aucun vaccin ne protège la totalité des personnes que l on vaccine, et tous les vaccins peuvent occasionner

Plus en détail

Association des Amis du Patrimoine Médical de Marseille (A.A.P.M.M.)

Association des Amis du Patrimoine Médical de Marseille (A.A.P.M.M.) Association des Amis du Patrimoine Médical de Marseille (A.A.P.M.M.) Hôpital Sainte Marguerite 270, bd Ste Marguerite - 13274 MARSEILLE CEDEX 09 Tél. 04 91 74 51 70 et 71 - Fax 04 91 74 51 73 - Courriel

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire

Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé

Plus en détail

Objectif 3 : Confinement et certification

Objectif 3 : Confinement et certification Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus

Plus en détail

Guide pratique. Vivre à MOntréal avec son

Guide pratique. Vivre à MOntréal avec son Guide pratique Vivre à MOntréal avec son animal Sommaire L abc du propriétaire... 5 La réglementation... 7 L application du règlement... 8 L adoption d un animal... 9 Le permis animalier municipal...

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

Situation Agent Schéma posologique*

Situation Agent Schéma posologique* Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

Les vers de nos compagnons

Les vers de nos compagnons Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES :

FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC 50 MG SOLUTION SPOT-ON POUR CHAT Composition :Une pipette de 0,50 ml contient 50 mg de Fipronil. Indications d utilisation : Chez les chats : - Traitement

Plus en détail

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation

Plus en détail

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Les animaux en EHPAD : règles d hygiène

Les animaux en EHPAD : règles d hygiène 5 ème journée régionale de formation et d information. Prévention du risque infectieux en EHPAD CHRU de LILLE Les animaux en EHPAD : règles d hygiène Annie BRENET, CDS Hygiéniste ARLIN Picardie Jeudi 23

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

PARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins

PARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT

ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT VÉTÉRINAIRE Equip WNV - émulsion injectable pour chevaux 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque dose de 1 ml contient:

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014

PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 Mois Année Chapitre Section Sujets : changements - nouveautés Pages à changer Avril 2014 Table des matières Correction

Plus en détail

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Entre médecine humaine et médecine vétérinaire: l usage et l abandon de la vaccination dans la prophylaxie de la tuberculose

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie?

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? C'est en fait, une petite quantité du germe (virus ou bactérie) responsables de la maladie que

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle

Plus en détail

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation

Plus en détail

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail

Plus en détail

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)

Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action

Plus en détail

LES HEPATITES VIRALES

LES HEPATITES VIRALES LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam

Plus en détail

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

MISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE

MISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE RELEVÉ DES MALADIES TRANSMISSIBLES AU CANADA RMTC JANVIER 213 VOLUME 39 DCC-1 ISSN 1481-8531 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l immunisation (CCNI) MISE À JOUR

Plus en détail

Que sont les. inhibiteurs?

Que sont les. inhibiteurs? Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

Les parasites externes du chien

Les parasites externes du chien Les parasites externes du chien La puce La puce, doit-elle être considérée comme un parasite normal du chien? Non, elle vit à ses dépends, les femelles prélevant du sang sur le chien pour se nourrir. La

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE DES MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES. Réunion n 8 du 14 Février 2012.

MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE DES MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES. Réunion n 8 du 14 Février 2012. Agence nationale du médicament vétérinaire BP 90203-35302 Fougères cedex Téléphone : 02 99 94 78 78 - Télécopie : 02 99 94 78 64 MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int Original : anglais Juillet 2006 RAPPORT DE LA RÉUNION DU BUREAU DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris, 3-4 juillet 2006 Une réunion du Bureau de la Commission scientifique de l

Plus en détail

6.1 Généralités. Chapitre 6. maladies évitables par la vaccination et vaccins. 6.1.1 Prévention de la maladie. 6.1.2 Vaccination et autres précautions

6.1 Généralités. Chapitre 6. maladies évitables par la vaccination et vaccins. 6.1.1 Prévention de la maladie. 6.1.2 Vaccination et autres précautions Chapitre 6. maladies évitables par la vaccination et vaccins CHAPitre 6 Maladies évitables par la vaccination et vaccins 6.1 Généralités La vaccination consiste à administrer un vaccin pour provoquer une

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu

Plus en détail

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur

Plus en détail

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair

Plus en détail