Or Gris Quand les seniors sont acteurs du développement rural. Des pistes pour agir

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1 Or Gris Quand les senirs snt acteurs du dévelppement rural Des pistes pur agir

2 Tus ns remerciements vnt : Aux administrateurs natinaux et lcaux des CIVAM, senirs u nn, qui nt prté le prjet, mis leur temps à dispsitin pur les recherches et l rganisatin des carrefurs en régin ; A Odile Plan, sans qui tut cela ne serait prbablement pas arrivé! Aux persnnels CIVAM et aux équipes des réseaux lcaux mbilisés, têtes chercheuses d initiatives et rganisateurs de rencntres imprbables et purtant ; citns particulièrement la FRCIVAM Auvergne et le CILDEA (42), le CIVAM S les, C Vital et le Fyer du Ségala (Midi-Pyrénées), le CIVAM ADAR et le PLES (36) ; A tus les acteurs lcaux, bénévles, élus, respnsables de prjets,, que nus avns interviewés et pressés de questins dans ntre sif de cmpréhensin et qui nt bien suvent accepté de venir témigner lrs des rencntres en régin. Ils snt véritablement «l r gris»! Aux membres et aux animateurs du grupe Accueil du Réseau Rural Français qui par leurs questins, leurs demandes de précisins, leurs suggestins et leur capacité de relais nt cntribué à la cnstructin prgressive d Or Gris ; A ns accmpagnateurs de l enseignement et de la recherche, particulièrement Clvis Sabau pur sa participatin sur la durée. Remercins aussi Mélissa Petit, Jean-Marc Vanhutte ntamment, sans ublier les membres de la SFER, qui nt accepté de renfrcer ntre équipe pnctuellement et/u de partager avec nus leurs travaux et réflexins ; Aux partenaires techniques et aux persnnes ressurces cnsultées qui nt bien vulu enrichir de leur présence et/u de leurs cnseils les cmités de piltage, en particulier Thérèse Clerc (Les Babayagas), Mme Anciltt (Maisns partagées), Yves Crvaisier (Régie Rurale de Mauvesin), Jean-Marie Meilland (ECTI 26), etc, et au démarrage : Marie-Françise Fuchs (Old-Up & Ecle des Grands-parents Eurpéens), Agathe Gestin (Fndatin de France), Magali Amans (Cllectif Ville Campagne), Patrice Leclerc (Cabinet cnseil Brigitte Crff) ; A tus les auteurs, chercheurs, jurnalistes,, que nus n avns pas encre eu le plaisir de rencntrer mais dnt les témignages écrits dispnibles nt nurri ns travaux ; Aux partenaires financiers sans lesquels le prjet n aurait pu abutir : L Eurpe (FEADER), la DATAR, le Ministère de l Agriculture.

3 De l r gris en milieu rural? «Or Gris» est une actin cnçue pur et par des senirs, dans l bjectif de changer le regard sur la vieillesse, sachant qu il y a plusieurs âges à la vieillesse et que chacun a ses ptentialités. Cnstatant que l n assimile trp suvent être vieux et être dépendant, inutile, décalé,, nus avns vulu dnner à vir des exemples d initiatives prtées par des senirs au bénéfice de la cllectivité. Ce fut la première étape de l actin «Or Gris». Les repérages que nus avns pu faire nt servi de supprts à l animatin de carrefurs réginaux ù les élus, les assciatins, les habitants, snt venus puiser des idées, cnnaître des initiatives visines, se mettre en relatin, De ces rencntres snt nés des prjets lcaux, de nuvelles initiatives que nus aimerins vir abutir dans un avenir prche u être transférés en d autres lieux. Le rôle des CIVAM, réseau issu des muvements d éducatin ppulaire, a été jusqu ici de juer les agitateurs d idées, les catalyseurs de rencntres, les révélateurs d actins innvantes. Ceci se pursuit. Et nus vulns aller jusqu au but de ntre démarche en accmpagnant des prjets issus du repérage et de la mise en réseau, purvu qu ils sient cllectifs, exemplaires, qu ils asscient les cmpétences de tus les âges et qu ils apprtent un plus au dévelppement lcal. Telle est l idée générale de ntre recherche-actin Or Gris, menée de cncert avec Odile Plan, dnt vus purrez décuvrir les résultats dans ce dcument. Nus faisns le pari qu à l heure ù l n s inquiète du vieillissement des territires ruraux davantage que l n s en réjuit, ns travaux et ns prpsitins intéressent tus ceux que l n nmme les «acteurs lcaux» : élus, techniciens, respnsables assciatifs et institutinnels et les retraités! Lisette Teulières et Jean-Claude Balbt, administrateurs de la FNCIVAM Odile Plan, gérante de la SARL Biplan Les auteurs Fédératin Natinale des Centres d Initiative pur Valriser l Agriculture et le Milieu rural La FNCIVAM, assciatin li 1901, fédère depuis 1961 un réseau de 150 assciatins lcales impliquées dans le champ du dévelppement rural et de l agriculture durable. Elle a pur bjet la diffusin des cnnaissances techniques, écnmiques et sciales nécessaires aux agriculteurs et autres ruraux pur amélirer leur qualité de vie et permettre le renfrcement et le dévelppement de leur activité écnmique. Elle a aussi pur but le maintien du tissu rural et l émancipatin intellectuelle, sciale et technique des adhérents (extraits des statuts). Le rôle de tête de réseau de la FN CIVAM s articule autur de missins centrales : 1. Infrmatin, Cmmunicatin, Frmatin et Sensibilisatin 2. Appui cnseil et accmpagnement 3. Dévelppement de partenariats au service du dévelppement rural 4. Lieu d échanges, de débat et frce de prpsitins Vir ntre site Internet : Cntacts : Adresse : FNCIVAM - 71, bd Sébastpl PARIS Tél. / Fax : / fncivam@glbenet.rg Président : Didier LORIOUX, Directrice : Anne HARIVEL BIPLAN BIPLAN dévelppe une activité de cnseil et d accmpagnement auprès de structures et d initiatives liées au dévelppement des territires : initiatives lcales, créatin d'activité, égalité de chances, démarches participatives, dévelppement durable, cncernant la cnstructin d une Eurpe slidaire, l apprche par genre, les partenariats et les réseaux, l insertin et les publics défavrisés Cmme la FNCIVAM, BIPLAN est membre du CVC et du RRF. BIPLAN anime un blg de partage et d échange d'infrmatins «Territires, réseaux, frmatin» Vir biplan.ver-blg.cm Cntacts : BIPLAN - 90, Bulevard Beaumarchais Paris - Tel: 33 (0) biplan46@wanad.fr Or Gris, c est aussi un blg de partage des initiatives et des actualités cncernant les senirs :

4 Or Gris : u cmment pruver que les «vieux» snt aussi une chance pur les territires ruraux!? Un cllectif pur recherche-actin Des cnstats partagés, premier prjet Or Gris FNCIVAM BIPLAN dépsé au FEADER, juin 2008 Cllque SFER sur le vieillissement en milieu rural : renfrce ns hypthèses et mtivatin! ctbre 2008 Intégratin du prjet Or Gris à l atelier Accueil du séminaire de lancement du RRF de Brdeaux, décembre Réactins psitives des participants 1ères rencntres prspectives Or Gris, nvembre 2008 avec Old-Up, CVC, Fndatin de France, 2èmes rencntres Or Gris en Midi- Pyrénées, mars 2009 Prjet Or Gris retenu dans le grupe Accueil du RRF, janvier Il est prté par la FNCIVAM. Mbilisatin du réseau CIVAM et + Cllecte des initiatives, buche à reille, réseaux, Internet recherches bibligraphiques, presse, TV, Mise en ligne et uverture Blg Or Gris, 2 ème semestre On patine Les critères de recherche snt précisés, ils snt stricts! Mais n persiste Autmne 2009 printemps 2010 Une veille active De plus en plus participative. Ouverte à de nuveaux réseaux et territires Cazals 21 sept 2010 Hébergements et services Participatin à différents ateliers du RRF, et séminaires, rencntres ACEPP, FING, Sen@er, ENACT U. de l Accueil Auvergne Nus vilà prêts à partager : 1ères fiches actins et rganisatin d un cycle de carrefurs interréginaux 2 ème semestre 2010 Châteaurux 9 nv 2010 Senirs et écnmie lcale Lempdes 2 déc 2010 Senirs et slidarités actives Participatin active Or Gris au séminaire natinal du RRF, Agen décembre 2010 Fiches mises sur le site RRF 2011 et après Une synthèse s élabre et la veille cntinue Nus prpsns de témigner de ns truvailles et/u d rganiser de nuveaux carrefurs pur cntinuer à changer le regard sur la vieillesse!

5 Des bjectifs précis : Le prjet Or Gris se dnne pur missins : de repérer dans les territires ruraux des initiatives lcales impliquant des senirs u prtées par des senirs acteurs du dévelppement rural de les analyser pur mieux cmprendre les cnditins d émergence et de réussite de ces initiatives, la place des senirs, leur rôle, et cmment ces initiatives peuvent être transférées à d autres territires de prpser des rencntres entre acteurs lcaux d un même territire u de territires différents pur débattre de ces initiative et en faciliter le transfert éventuel le cas échéant, d accmpagner les prteurs de prjet dans leur réflexin Des étapes prgressives mais qui peuvent se chevaucher Phase n 1 : repérage, veille Une liste des critères de recherche est établie (vir page suivante) ainsi qu une grille d enquête (vir en annexe). Les bjectifs assignés à l actin Or Gris ainsi que la diversité des situatins des CIVAM participants nécessite de clarifier ntre psitin en prévisin des rencntres : bservateur? Accmpagnateur? Etre l un et l autre à la fis est-il cmpatible? Il faut veiller à ne pas avir une place ambiguë par rapprt aux acteurs lcaux. Nus cnvenns de veiller à disscier ces deux tâches, même si amener une grille de lecture de leur actin, questinner, ffrir la pssibilité de vir d autres initiatives du même rdre participe à la démarche d accmpagnement. Phase n 2 : mise au pt cmmun, tri et analyse des initiatives les plus marquantes Méthde jurnées de travail en équipe pur : premier tri des initiatives repérées fiche actin à peaufiner tenue du blg Or Gris analyse à l aide de la grille de questins Phase n 3 : ateliers d échanges et de capitalisatin 2010 Objectifs : aller plus lin dans l analyse des initiatives en élargissant aux acteurs repérés prduire des précnisatins favriser la cncertatin entre acteurs et échanger les bnnes pratiques Phase n 4 : frmalisatin sus frme d un recueil d expériences (web + papier) avec suggestins, précnisatins aux acteurs, Phase n 5 : diffusin vers le RRF, les RRR, les territires et les réseaux Ns exigences sur les critères de repérage des initiatives C est à partir des premières rencntres et lectures que nus avns bâti ntre cadre de travail, appelé familièrement ntre «mulinette Or Gris», pur repérer, valriser, accmpagner des initiatives : rurales : un ancrage au territire marqué, des spécificités explicatives mais pur autant pas excluantes afin d envisager des transferts innvantes : dans les cpératins générées, les prcessus de décisins et/u dans les cntenus et/u pur les territires cncernés fnctinnelles : le bilan peut être discuté, la démarche peut être analysée ù les senirs snt des acteurs clefs : initiateurs u très investis dans la mise en place et le fnctinnement mettent en valeur leur expérience acquise tut au lng de la vie ayant un intérêt sur le plan du dévelppement lcal : une dimensin intégrante : mixité des publics, diversité des impacts, répnse à des enjeux multiples lcaux u plus larges, cmbinaisn de dispsitifs variés, articulatin avec l existant et la vie des territires, et/u participatif et slidaire et/u générant une dynamique lcale en terme de créatin d empli, d activité, d accueil, dnt les impacts cntribuent à srtir des représentatins sciales négatives de la vieillesse : en permettant l épanuissement persnnel à travers le cllectif en favrisant l autnmie sciale et culturelle en mbilisant les cmpétences des senirs. en truvant de nuvelles cnceptins de la vie cllective : en ne cnsidérant plus la vieillesse cmme un cût, mais une richesse, en faisant le pendant à cette prise en charge à dminante médicale. dnt les cnditins permettent la reprductin : méthdlgie pas u peu cmplexe accessible financièrement et techniquement s inscrivant priritairement parmi les 5 thématiques identifiées (hébergement, intergénératinnel, services, NTIC, mbilisatin des cmpétences) sans distinctin territriale particulière, hrmis le fait de prspecter d abrd dans les znes d actin des CIVAM impliqués et de mettre à cntributin ns partenaires.

6 Retraités et territires ruraux : un état des lieux de la situatin actuelle et premières pistes de réflexin En préambule Les prps qui suivent tentent une synthèse des éléments de cnnaissance sur ntre thématique mis à dispsitin à l ccasin des jurnées d échanges rganisées par Or Gris u par d autres grupes de travail du RRF. Les surces snt mentinnées en ntes de bas de page. Vieillir est à la fis une expérience individuelle et cllective. De la retraite à la dépendance, il existe tute une série de transitins qui génèrent des besins différents. Seln le milieu scial, l inscriptin territriale, n ne vieillit pas de la même façn et les impacts sciaux et écnmiques snt différents. Il n est pas aisé, dans ces cnditins, de cncevir des plitiques publiques répndant de manière efficace aux différents enjeux. Démêler la cmplexité, mieux cmprendre les interactins est un premier pas VIEILLIR?... 1 Tut d abrd, qu entend-n par le «vieillissement»? Seln le dictinnaire des synnymes : vieillissement = flétrissement La définitin bilgique affirme qu il s agit d un «Prcessus par lequel un rganisme humain subit une série de transfrmatins entraînant la dégénérescence de certaines cellules, ce qui prvque l'affaiblissement et le ralentissement des fnctins vitales et des mdificatins d'rdre physique, physilgique et psychique.». En scilgie, le vieillissement cnsiste à «S affaiblir, avancer en âge, perdre prgressivement ses frces physiques u mrales, ses capacités intellectuelles». En démgraphie, il s agit de «l augmentatin du nmbre de persnnes âgées par rapprt à la ppulatin ttale» 2 Cette définitin des démgraphes nus parait la plus neutre, mais reste à définir ce qu est une «persnne âgée». En y regardant de plus près, nus avns truvé une multitude de termes qui renvient à cette ntin du vieillissement sans qu il n y ait derrière de définitin précise, scientifiquement apprpriée. Un récent sndage TNS SOFRES a d ailleurs mntré 3 : 1 D après les prps de Clvis Sabau, Ingénieur de recherche à Vétagr Sup campus agrnmique de Clermnt, UMR Metafrt. Clvis Sabau a suivi et cntribué aux 3 carrefurs Or Gris de l autmne La présentatin faite à cette ccasin s inscrit dans un prgramme de recherche, CreActE, qui s intéresse aux cnfiguratins favrables à l émergence d activités et d emplis dans les espaces ruraux, dans le cadre du PSDR (prgramme Pur et Sur le Dévelppement Réginal). Un des vlets de recherche se penche plus spécifiquement sur la créatin d activités de service en milieu rural en lien avec le vieillissement de la ppulatin et l afflux de «jeunes retraités» dans les campagnes françaises. 2 Vir par exemple «- qu un baby-bmer est une persnne d envirn 56 ans ; - qu un aîné est une persnne d envirn 58 ans ; - qu un senir est une persnne d envirn 61 ans ; - qu un vétéran est une persnne d envirn 68 ans ; - qu un ancien est une persnne d envirn 72 ans ; - qu une persnne âgée est quelqu un d envirn 74 ans ; -...et qu un vieux a envirn 76 ans.» 4 Sans ublier que, plus n vieillit, plus n cnsidère un «vieux» âgé Seln l OMC u seln la réglementatin française (cf. li sur les services à la persnne à destinatin des persnnes dites «vulnérables»), est «âgée» tute persnne de 60 ans et plus, quelque sit sn état de santé. Dans le cadre du prjet CreActE, le terme de retraité est préféré car plus précis. Le cntexte du vieillissement Une France de plus en plus âgée En 2050 la part des 60 ans et plus devrait atteindre 32 % de la ppulatin française. Seln un scénari médian, la France purrait cmpter centenaires en Le nmbre de retraités devrait dnc «explser» sans pur autant qu il y ait une hmgénéité du vieillissement en Eurpe. On bserve des disparités territriales : au cœur du Massif Central, la ppulatin est en myenne la plus âgée de France. Plus précisément sur le Massif Central, n cmpte 21 % de plus de 65 ans cntre 17 % en France. On cnstate aussi une ségrégatin entre territires ruraux et urbains : en prprtin, il y a beaucup plus de persnnes âgées de plus de 60 ans en rural. En effet, en ville, le nmbre de persnnes âgées est supérieur mais la prprtin est plus faible qu en rural. Il y a une duble explicatin à cela 5 : Le vieillissement par le bas : faible natalité (La France se situe au 2 ème rang eurpéen pur le taux de fécndité en 2009, établi à 1,9 enfant/femme. Mais cela reste insuffisant pur assurer le renuvellement naturel (bjectif = 2,1)), départ des jeunes (vers les métrples réginales, pur les études u pur atteindre un bassin d empli plus grand au regard de cmpétences qui ne seraient pas présentes en milieu rural ) Le vieillissement par le haut : augmentatin du nmbre de persnnes âgées. Tris phénmènes expliquent le vieillissement par le haut : 4 Vir aussi Serge Guérin, auteur du Grand Retur des senirs (Editins Eyrlles, 146 p.) «Si dans le cas particulier de la cmpétitin sprtive, un athlète de 30 ans et plus est déjà cnsidéré cmme «vieux», n parle de senir à partir de 45 ans en entreprise, à partir de 50 ans en marketing, et à partir de 60 ans dans la vie sciale.» 5 Dumnt, G.-F. (2006). Les territires face au vieillissement en France et en Eurpe. Gégraphie, Plitique, Prspective. Paris: Ellipses, 416p.

7 La gérntcrissance naturelle : allngement de l espérance de vie à la naissance (23 ans en 1750, 80 ans en 2010 : la part des persnnes âgées par rapprt à l ensemble de la ppulatin s accrît) La gérntcrissance culturelle (due aux phénmènes passés) : le nmbre de persnnes âgées aujurd hui dépend des phénmènes du passé, et pas seulement d une évlutin linéaire de l espérance de vie). Les naissances plus imprtantes à certaines pérides ccasinnent aujurd hui l arrivée de génératins nmbreuses à l âge de la retraite (pyramide des âges). La gérntcrissance migratire, due aux retraités venant s installer sur le territire 6, surtut des urbains. Certains snt des natifs revenant vivre au pays à l âge de la retraite, d autres viennent s y installer après avir tujurs vécu en ville. En Massif Central, la plupart des migrants externes au territire, et âgés de 55 à 69 ans, prviennent des grands pôles urbains natinaux (Paris, Lyn, Marseille, Mntpellier, Lille ). De plus, en Massif Central, les retraités qui migrent s installent davantage en milieu rural qu en milieu urbain cmparé à l ensemble des retraités. Nécessité d une apprche par genre Près de 60 % des ctgénaires, 80 % des nnagénaires et 86 % des centenaires snt des femmes. Elles cnstituent la plus grande partie de la ppulatin senir, et nt des revenus nettement mindres que ceux des hmmes. Vivre plus lngtemps, en bnne frme physique Prlngatin de la vie et améliratin des systèmes de santé nt allngé l espérance de vie d une vingtaine d années, qui plus est d années en bnne santé. Seules 8 % des persnnes âgées de plus de 80 ans snt dites dépendantes. EN MILIEU RURAL 7 En milieu rural, le vieillissement rassemble quelques spécificités : il suppse des cmbinaisns entre particularités territriales et chix de vie ; les cnditins climatiques, les cnditins d habitat influent nécessairement ; il faut cmpter avec l élignement et l inégalité d accès aux services ; la présence d acteurs sciaux / territriaux susceptibles d inventer des répnses lcales particulières est un atut ; n bserve une chabitatin entre des grupes différents de retraités : 6 Ce chiffre crrespnd aux persnnes qui reviennent habiter sur le territire après être nés sur le Massif Central, puis avir migré en ville pur sa carrière prfessinnelle 7 D après un expsé de Catherine GUCHER, Université Pierre Mendès France (Grenble) lrs de la jurnée rganisée par la SFER le 23 ctbre 2008 à Antny. les «natifs» : présents depuis plusieurs génératins, suvent d rigine agricle, nt un rapprt charnel au territire, une visin naturaliste de la vie et de la mrt, un réseau scial et familial dense, des attentes réduites vis-à-vis des services de santé, des engagements maintenus tardivement, l acceptatin de l éventualité de murir seul. les «revenus» : nés dans le territire, ils snt partis travailler ailleurs et de retur au mment de la retraite. Leur cnnaissance des services dévelppés en milieu urbain implique une mdificatin de leurs attentes en terme de services et de plitiques prpsés. Ils snt uverts sur des cmmunautés extra cmmunales. Les valeurs de leur culture paysanne d rigine restent frtement ancrées mais s hybrident avec leur vécu urbain, faisant d eux des liens pssibles entre natifs et nuveaux arrivants. Les «nuveaux arrivés» : pas tujurs avec un capital culturel et écnmique imprtant, ils divent cnstruire de nuveaux réseaux et expriment des attentes très frtes de services et de plitiques publiques, d autant plus frtes qu ils ne dispsent pas de sutiens lcaux. Leur intégratin n est pas tujurs facile. Il existe des représentatins ppsées du vieillir : perceptin négative chez les acteurs lcaux turnés vers le prgrès, pur qui les vieux représentent l immbilisme perceptin plus psitive chez les élus préccupés par les questins d identité et de cntinuité territriales, pur qui les vieux représentent la légitimité Et des difficultés telles que : la persistance des inégalités d accès aux services l attachement marqué pur des frmes institutinnelles de prise en charge des persnnes âgées (maisns de retraite, ) rientées vers la dépendance : créatin d emplis, le manque d expertise lcale sur le vieillissement le flu entre services publics et marchands, entre prfessinnalisatin et slidarités interpersnnelles malgré l allngement de la durée de la vie et l bservatin que tutes les persnnes âgées, lin s en faut, ne snt pas dépendantes, n en reste encre à une apprche par public cible centrée sur la questin des services à la persnne les retraités snt habituellement très peu assciés aux réflexins glbales du genre «que fait-n ensemble de ntre territire?» des lacunes imprtantes en terme de crdinatin (public / privé) et pas de dialgue ni de visin partagée de la vieillesse entre les acteurs lcaux (élus, caisses de retraite, ADMR, services infirmiers, ). Les tentatives les plus fréquentes demeurent à l échelle micr-lcale. 7

8 Ces cnstats engendrent la nécessité de cmbiner des enjeux frts : Lutter cntre la désertificatin des territires ruraux Aménager, adapter le territire aux mutatins démgraphiques Favriser la chésin sciale LES REPRESENTATIONS DE LA VIEILLESSE - RETRAITES ET ECONOMIE RURALE 8 L écnmie présentielle favrise indirectement u directement la mise en place de services. Cmment le vieillissement influe-t-il sur la créatin d activité, favrise-t-il le dévelppement lcal? Quels impacts sur les territires ruraux? Revenus et cnsmmatin : En 2007, les mins de 29 ans nt un revenu myen de Les plus de 60 ans nt un revenu myen de (Rappelns qu il s agit ici de myennes pur des ménages, sans distinctin du milieu (rural/urbain) ù il habite) Cnsidérns le retraité cnsmmateur. On cnstate que : pur la majrité des retraités, le niveau de vie est sensiblement le même que celui des actifs, avec des différences seln les catégries sciprfessinnelles similaires à celles que l n bserve pendant la vie active. Les agriculteurs retraités nt un ptentiel de cnsmmatin mindre par exemple Les retraités seuls nt une cnsmmatin très faible. Seln une récente enquête du CREDOC 9 (mai 2010), les retraités nt tendance à dépenser mins que leurs revenus dispnibles. Les retraités snt dnc une cible délaissée actuellement ( ) Hrmis les persnnes âgées seules, les ménages nt des mdes de cnsmmatin quasi identiques quelque sit l âge : la cnsmmatin est hmgène au curs de la vie, même prirités de cnsmmatin que l n sit actifs u retraités, exceptées quelques variatins au niveau alimentaire et transprt. les retraités snt des cnsmmateurs accmplis, ils réalisent mins d achats sur des cups de têtes, nt une préférence accrue pur les prduits lcaux / réginaux 8 D après Clvis Sabau, interventin du 9 nvembre à Châteaurux 9 vir aussi : Enquête pur TNS-SOFRES, Sus la directin de Dminique DESJEUX, «Cmprtement, cnsmmatin et vie qutidienne des senirs» Taux d activité des retraités : Si l n s intéresse maintenant au retraité actif : rappelns le bn état de santé, nécessaire pur être actif le cumul empli retraite se dévelppe : cumulants au régime général (2008), emplyés par des entreprises, surtut des hmmes, cadres, qui restent dans l entreprise ù ils étaient avant la retraite. sans ublier ceux qui créent leur entreprise (phénmène favrisé par le statut d aut entrepreneur) : en 2008, principalement des hmmes aussi, pur qui cela satisfait un chix de vie, la liberté de se prendre en main et de maîtriser sa carrière prfessinnelle, de se réaliser prfessinnellement. Ce ne snt que des chiffres statistiques qui ne reflètent pas l imprtance du phénmène (revenus annuels myens) ni les mtivatins qui nt pussé à être encre salarié / créer une activité (nécessité financière, vlnté de rester actif ). Certains jurnalistes qui se snt intéressés au sujet prétendent que ce snt avant tut les nécessités financières qui mtivent les retraités à rester en activité. Ainsi, si le passage à la retraite est irréversible, se sentir senir relève d une cnstructin mentale, d une décisin : n ne devient retraité que lrsqu n l a si-même décidé. D autant que la pensin de retraite ffre la pssibilité, certes variable, de prendre des risques, d investir, de cntinuer à être actif. Les phénmènes cœxistants de métrplisatin et densificatin de certaines territires ruraux tandis que d autres snt plutôt en desserrement et décncentratin génèrent des enjeux frts en terme de services (créatin u maintien) et d écnmie lcale (et ntamment d écnmie présentielle liée à la présence de persnnes âgées sur le territire) De la «retraite, mrt sciale» aux retraités acteurs lcaux du dévelppement, n bserve différentes apprches et une imprtante évlutin dans le temps En résumé, n peut réaliser la petite analyse suivante des ptentialités de créatin d activités écnmique par les retraités en milieu rural : Frces Mindres cntraintes spatiales et temprelles Vieillissement de la ppulatin et migratin privilégiée vers l espace rural Qualificatin prfessinnelle Capital scial et culturel mbilisable Prise de risque financière limitée (pensin mensuelle) Nmbre crissant de «retraités actifs» (prfil spécifique identifié) 8

9 Faiblesses Taille réduite des marchés en milieu rural Vlnté de rester à prximité des pôles de service publics Réticences des banques à prêter aux plus de 50 ans Suvent nécessité d btenir un cmplément de retraite chix subi Faible revenu des retraités ruraux (agricles, cmmerçants, artisans) Opprtunités Simplificatin du dispsitif de cumul empli-retraite et de l aut-entrepreneuriat Demande crissante de services (à la persnne et aux entreprises) en rural Augmentatin de l espérance de vie (en bnne santé) Menaces Le reprt de l âge à la retraite repusse l âge «de la liberté» Le mntant des pensins augmente mins vite que le cût de la vie Les représentatins négatives persistent (mindre prductivité des senirs par rapprt aux jeunes, mindre capacité d innvatin, ) QUELLES CONSEQUENCES ECONOMIQUES POUR LES TERRITOIRES? 10 D un pint de vue démgraphique, nus vivns dnc une expérience inédite : le purcentage des persnnes âgées cnnaît une évlutin expnentielle qui dépasse même les prjectins. En 2007, l allngement myen de la durée de la vie était de +4 mis par an. L espérance de vie à la naissance s accrît dnc, et pas seulement en raisn de la mindre mrtalité infantile. Le vieillissement en bnne santé est un autre paramètre imprtant, n ne rentre en établissement que lrsque l n ne peut plus faire autrement et l âge myen des pensinnaires de ces lieux ne cesse d augmenter. Le pids écnmique des retraités s est accru cnsidérablement : entre 1975 et 2006, le nmbre d actifs a augmenté de 19 % quand le nmbre de retraités a augmenté de 171 % dans le même temps. Les prjectins pur la péride snt de +1,6 % pur les effectifs d actifs et + 83 % pur les effectifs de retraités, avec des différences seln les régins, le pids des retraités étant plus imprtant dans le centre de la France, le Limusin et le Languedc-Russilln. Retraites, des revenus qui cmptent Les pensins de retraites cnstituent dnc une manne nn négligeable (la captatin des retraites est évaluée à 200 milliards d eurs par an, quand les dépenses turistiques s élèvent à 100 milliards et les richesses créées par l agriculture et l industrie agr-alimentaire à 60 milliards par an, en France) qui influence les écnmies lcales, d autant plus lrsque les territires snt pauvres en entreprises. Un mteur puissant du dévelppement lcal repse ainsi ntamment sur les résidences secndaires (2,7 millins en France, avec deux znes d attractivité frtes en Nrmandie et Méditerranée). Seln Jean-Claude Bntrn 11, les cartes des résidences secndaires et des créatins d activité se superpsent, tendant à mntrer que les territires attractifs le snt pur tut le mnde Cette imprtance des revenus de transferts, en particulier en France, a aujurd hui pur effet d amrtir les crises. Le dévelppement des catégries sciprfessinnelles élevées (cadres, ), la hausse du taux d activité des femmes ainsi que du taux d activité des plus de 60 ans snt des facteurs de hausse des pensins de retraites dans les prchaines années. Pur autant, ces perspectives snt cntrebalancées par la réfrme des retraites, des carrières chatiques affectant le niveau et la cntinuité des ctisatins, les plus pénalisés étant les persnnes islées. Dès aujurd hui, l impact sur le dévelppement lcal varie seln les types et les mntants des retraites, le niveau des pensins étant supérieur en Ilede-France, dans les aires urbaines et dans les territires attractifs (qui n en bénéficient pas frcément pur autant, les dépenses n étant pas nécessairement faites lcalement ). D autre part, si aujurd hui les retraités snt suvent détenteurs de capital (3 sur 4 snt prpriétaires d un bien immbilier, 1 sur 5 en détiennent 2 u plus), l allngement de la durée de la vie et l accrissement du cût de la vie ne risquent-ils pas d inciter à «liquidifier» ce patrimine au détriment des héritiers et entraînant une paupérisatin des classes myennes? Services aux persnnes : des emplis ui mais?.. Enfin, n s intéresse beaucup aux persnnes âgées sur les territires ruraux en tant qu utilisateurs de services aux persnnes, secteur sur lequel les puvirs publics misent en terme de créatin d emplis : la li de chésin sciale de inscrivait un bjectif quantitatif avec emplis à créer en tris ans dans le secteur des services à la persnne. En 2009, ce secteur enregistre un taux de crissance multiplié par deux (de 5 % à 10 % / an) et emplis nuveaux / an. Or le secteur assciatif est actuellement en charge d une partie imprtante des services aux persnnes. Mais ses persnnels snt cnstitués majritairement de femmes, suvent peu u pas qualifiées s étant remises au travail après avir élevé leurs enfants. Cette ppulatin n est-elle pas en vie de disparitin? Les emplis de services aux persnnes snt suvent des temps partiels, segmentés (jusqu à 7 intervenants peuvent se succéder dans la jurnée pur assurer les sins et les services permettant le maintien à dmicile de persnnes âgées) Le bilan qualitatif est dnc plus nuancé, ntamment au niveau des cnditins de travail. Le secteur emplie 2 millins de persnnes dnt 1,6 millin de salariés en empli direct, ce qui signifie qu ils perdent leur empli quand la persnne pur laquelle ils travaillent décède. Ce snt suvent des emplis cnsidérés cmme «des petits bults». Il y a dnc deux défis à relever : celui de la qualité et celui de la démcratie D après l interventin de Marc Musli - Le vieillissement, une bnne nuvelle? - lrs de la jurnée de la SFER, cnsultant et chercheur en prspective et management 11 BONTRON J.C. (1989), La ruralité en France 12 Brun Arbuet, directeur général de l Agence Natinale des Services à la Persnne, janvier 2009, cllque sur le Dévelppement des services à la persnne, enjeux et perspectives, rganisé par la Fnda au CESE. 9

10 LES RETRAITES EN MILIEU RURAL, CES MAILLONS DU LIEN SOCIAL Place des senirs dans l actin bénévle 13 La présence des retraités implique également des changements de rapprts sciaux vire de «rapprts de frce» : puvir gris, écnmie présentielle. Leur participatin au secteur assciatif cntribue au dynamisme territrial. On cnstate ntamment que le taux d adhésin aux assciatins des ans est particulièrement élevé : il permet de cntribuer à l épanuissement scial individuel et à celui de leurs pairs. Cmment la présence de retraités influence-t-elle le dynamisme lcal? A l âge de la retraite, l activité bénévle est imprtante : Près de 55 % des retraités snt adhérents d au mins une assciatin (cntre 44 % en myenne natinale tutes classes d âges cnfndues) 30 % des maires snt retraités. La majrité des gestinnaires d assciatins de services à la persnne snt aussi des retraités qui se chargent d rganiser la vie de leurs pairs. 38 % des retraités participent aux clubs du 3 ème âge en rural (2 fis mins en urbain envirn) Nus avns l ccasin, à travers les rencntres Or Gris, de préciser ce panrama : certains retraités s investissent dans la créatin de services, imaginent des frmes nuvelles d hébergements, intergénératinnels u nn (Cazals) d autres snt parrains u prteurs d activités (Châteaurux) d autres encre deviennent générateurs de slidarités (Lempdes) Des valeurs diverses (enthusiasme, sciabilité, ), des cmprtements bservés (engagements, revendicatins, slitude, ) rientent la typlgie que nus puvns faire des retraités. Plus près de chez nus, une étude a permis de distinguer 4 types de retraites : retraites intimistes retraites «repli» retraites engagées retraites cnviviales Les deux derniers types de retraites nus intéressent plus particulièrement puisque ce snt ceux qui impliquent un investissement scial, qui peut utiliser des myens différents (investissement en nature u financier) Le mdèle ternaire industriel à l œuvre depuis 1945 (frmatin, travail et ctisatin, puis retraite avec une espérance de vie assez curte («mrt sciale» )) évlue. Le Rapprt Larque de 1962 s intéresse à la créatin des clubs du 3 ème age : n bserve la mise en place de la retraite lisir ù le retraité cnsmme de façn intragénératinnelle. La retraite s inscrit dans un parcurs standardisé, institutinnalisé. Avec le temps, des facteurs nt été mdifiés : L âge légal de départ à la retraite est (pur quelques temps encre) à 60 ans, mais le taux d empli des 55 ans et plus n est que de 38,9 % L âge myen de cessatin d activité se situe à 59 ans Dnc la culture de la srtie précce du travail et interpénétratin des temps se dévelppent. Il y a également déstandardisatin : à la retraite, n peut retravailler, cntinuer à se frmer, Le prfil du retraité change, sn espérance de vie à la retraite s accrît régulièrement (27 ans, pur les femmes, 22 ans pur les hmmes). Les retraités actuels nt un meilleur niveau d instructin, un meilleur niveau de vie, ils savent ce qu est le temps libre. Ainsi, le retraité srt plus tôt du mnde du travail, avec une vitalité supplémentaire : purqui pas pur faire quelque chse utile scialement? Même s il y a tujurs des persnnes qui se retruvent dans le mdèle «retraite mrt scial», u celui de «retraite lisir», la questin du «Que faire à la retraite?» est imprtante. S engager bénévlement Le bénévlat ffre une prfusin de définitins. Sn rigine vient du latin benevlus, bnne vlnté, venant de bene, bien et vele, vulir. Le bénévlat désigne une activité de services envers autrui, de sn plein gré et sans rémunératin. On dnne de si et de sn temps de façn libre et chisie, nn marchande, nn rémunérée. Prenns garde à ne pas cnfndre avec un adhérent, qui n est pas frcément bénévle au sens ù ce dernier prend des respnsabilités quand l adhérent cnsmme. Dans le bénévlat, il y a une ntin de plaisir, vire d utilité quand n fait prfiter de ses cmpétences. Le bénévlat est particulièrement frt entre 60 et 69 ans. Après 75 ans, n entre dans une autre tranche de vie, le taux de bénévlat diminue. La place des senirs est imprtante dans l écnmie lcale, n vit bien l intérêt et l actualité du sujet à travers les initiatives présentées Le retraité est utile! Evlutins des mdes de vie à la retraite et utilité sciale 13 D après l interventin de Mélissa Petit, dctrante en scilgie, allcataire à l'université Paris Descartes et travaillant sur l rganisatin du temps à la retraite, le 9 nv 2010 à Châteaurux. 10

11 Différentes frmes de bénévlat à la retraite 14 : Le bénévlat assciatif : l adhésin à une assciatin est plutôt le fait des jeunes retraités (58 % des ans adhèrent à une assciatin cntre 45 % dans l ensemble de la ppulatin, INSEE 2002). Les clubs du 3ème âge recueillent l essentiel des adhésins en milieu rural. Seln l INSEE, en 2002, l investissement bénévle est assez hmgène seln les tranches d âges. En 2010 une enquête de l IFOP et France bénévlat mntre que la balance penche en faveur des retraités. Par ailleurs, la parité hmme femme est plus imprtante. 46 % des présidents d assciatins snt retraités, majritairement des hmmes (sauf dans le cas des assciatins à vcatin sciale u humanitaire). Enfin, les dnateurs (en argent) appartiennent majritairement à la classe des 65 ans et plus. Les retraités et persnnes âgées dnnent glbalement davantage que les plus jeunes. Le bénévlat dans d autres types d rganisatins : l investissement plitique u religieux. Là encre, les retraités représentent un «puvir gris» : n cnnaît l âge cannique des sénateurs vire des députés, mais les maires nt un âge myen de 54 ans et 40 % d entre eux nt plus de 60 ans (une tendance qui s aggrave entre 2002 et 2008). On bserve également que les plus âgés s abstiennent mins. On les retruve aussi dans les instances cnsultatives tels que CNRPA, CODERPA, Cnseils des sages, d Aînés, d Anciens dans certaines villes cmme Clermnt pur permettre aux anciens de partager leurs cmpétences. Cncernant l investissement religieux, les femmes plus investies et les plus âgés se sentent plus cncernés (En 2003, 26,1 % des femmes de 60 ans u plus déclarent une pratique religieuse régulière) Le bénévlat familial : d après une étude du cnseil d analyse stratégique (étude SHARE) sur la grand-parentalité active, en France, 24 % des interrgés versent de l argent à leur descendants (suvent pur des dépenses curantes) et 32,6 % leur cnsacrent du temps (et 19,7 en reçivent) Le bénévlat de prximité (aide entre visins, ) : le lien scial créé par les retraités est mesurable seln le nmbre de cntacts hebdmadaires par type d interlcuteur. L université du Michigan explique que les senirs snt les persnnes qui appréhendent la vie avec le plus de sagesse et gèrent les cnflits sciaux avec le plus de justesse, ce qui tendrait à démntrer l imprtance des retraités dans le lien scial. 14 Autre suggestin de lecture : Les assciatins et les senirs bénévles : nuvelles relatins et nuvelles pratiques, synthèse de l étude ctbre sur le site du CerPhi centre d étude et de recherche sur la philanthrpie (jubilacin transitin vers une retraite utile) Quelles snt les mtivatins des retraités qui s investissent bénévlement? Avir une activité scialement recnnue, être utile scialement Organiser et équilibrer sn temps qutidien, échapper à la slitude Dévelpper des liens sciaux, être slidaire avec tutes les génératins Rendre ce que l n a reçu : un devir d altruisme Se faire plaisir Faire partie de, rencntre de l extérieur Le retraité slidaire actif Ses atuts, les facteurs favrables au bénévlat des retraités : De mindres cntraintes spatiales On suppse que les retraités nt une dispnibilité temprelle imprtante, qu ils snt fiables et pnctuels, cmpétents Une irréversibilité du statut (de retraité) : n peut pas revenir en arrière On estime qu ils snt en mesure de dnner, de partager l expérience de la vie : une frme de «sagesse», un capital scial et culturel De mindres cntraintes financières (même si c est à nuancer pur les femmes, et en milieu rural) mais la plupart des retraités perçivent une pensin qui amindrit le risque d investissement. Ce bénévlat représente un pids écnmique imprtant : seln une enquête HSBC : le bénévlat des plus de 60 ans en France «vaut» 7 Mds d eurs Ses cntraintes, les limites à l engagement des senirs : Temps, famille, santé, Les retraités ne snt pas frcément aussi dispnibles qu n veut le crire : Besin de prendre en cmpte la famille, les autres activités, l état de santé même si seuls 10 % des retraités snt dépendants au sens de la grille Agir La crainte des cntraintes hraires liées à tut engagement bénévle, de ne pas puvir se désengager, d'être pris dans un engrenage. Le retraité apprécie généralement la fin des cntraintes hraires liées à l'activité prfessinnelle La sélectin : des qualités prfessinnelles peuvent être requises pur participer aux assciatins (nécessité d être pr, rendre des cmptes, ). La peur des cntraintes administratives, cmptes à rendre, etc... est un frein sérieux à la créatin d'assciatin par les senirs... Une perceptin négative de la sciété : n craint que les senirs empiètent sur le travail des jeunes et n cherche à bien circnscrire leur champ d actin, définir leur missin, leur faire des fiches de pste très (trp) précises, L'appréhensin de ne pas être à la hauteur (vis à vis ntamment de l'utilisatin des NTIC) Le manque d rganisatin et d ptimisatin des cmpétences présentes sur un territire L augmentatin de l âge légal de la retraite, qui retarde l âge ù l n peut s investir en bnne santé, de façn libre et chisie 11

12 Des fiches actins pur s inspirer Le milieu rural est un labratire fertile! Les territires ruraux divent renuveler leurs répnses pur faire face au vieillissement général de la ppulatin, qui peut cnstituer tur à tur un handicap u une pprtunité seln la capacité des acteurs lcaux à dévelpper des stratégies intégrées de dévelpper lcal. Ntre inventaire est lin d être exhaustif, mais il veut cntribuer à démntrer que les cllectivités rurales cnstituent une véritable furmilière en matière d expériences misant sur l améliratin de la qualité de vie des aînés. Des prgrammes stimulent et sutiennent l expérimentatin rurale, les plus fréquemment cités étant ntamment : Vieillir en France (UNADEL Leader+) ; Vieillir dans sn Quartier dans sn Village (Fndatin de France) ; appels à prjets de la MSA. Cmme nus l avns mentinné en intrductin, plusieurs sphères de l activité écnmique et sciale snt cncernées par les initiatives qui émanent des milieux ruraux afin d amélirer l accueil et la qualité de vie des habitants, en particulier retraités. Pur les fins de cette étude, nus les avns regrupées en cinq catégries à savir: l habitat, les services, les nuvelles technlgies, l intergénératinnel et la mbilisatin des cmpétences. Par (et pur) les senirs Il est bn de rappeler ici que ntre étude s est placée sur un champ particulier : celui des actins initiées u appuyées par les senirs eux-mêmes, pur leurs pairs et en général au bénéfice de l ensemble de la sciété. En effet, d autres recensements existent et s avèrent par ailleurs intéressants et cmplémentaires : ils explrent les très nmbreuses actins mises en place dans le cadre des schémas gérntlgiques départementaux, des SIVOM, des centres sciaux, de fédératins assciatives (ADMR, UNAF, Aînés Ruraux,...), des mutuelles, etc. Repenser l hébergement pur partager les cûts, les jies et les difficultés Les expériences snt assez nmbreuses cncernant l habitat cllectif, le maintien à dmicile et les mini résidences cnstituent de réels encuragements pur que les persnnes âgées puissent cntinuer à vivre dans leur milieu et que se maintiennent les relatins de visinage. Les alternatives repérées prpsent une frme de substitutin prgressive et mdulable entre institutins classiques d hébergement et équipements de prise en charge à dmicile. Bien que les freins existent (cût des travaux, règlementatins, réticences individuelles liées au changement de mde de vie impliqué par le «Vivre ensemble chacun chez si», ), l habitat grupé représente une vie de plus en plus explrée et déjà bien installée dans les pays ù l Etat investit mins dans le lgement scial. (ré)installer des services de prximité! La présence de services et d animatin demeure une cnditin sine qua nne à l accueil et au maintien de ppulatin dans les territires ruraux. Cela suppse multifnctinnalité, mixité et cpératin, bservée ntamment à travers des platefrmes multiservices, des crdinatins et/u des guichets uniques gérés par un cllectif privé-public (u l un u l autre u les deux). La mise en place u l adaptatin de nuveaux services pur lutter cntre la perte d autnmie, l islement gégraphique et scial vire les deux à la fis représente un intérêt pur les aînés mais aussi renfrce l attractivité pur tus. Réduire la «fracture numérique» S il y a encre du chemin à faire, les initiatives témignent de l entrée des aînés dans l ère du numérique! Qu il s agisse des retraités actifs qui emplient Internet et l infrmatique cmme utils au service de leurs engagements u des persnnes plus âgées qui y truvent un myen de faire sciété, d entretenir des liens familiaux u élargis. De l intergénératinnel à tutes les sauces La plupart des actins repérées snt surces de relatins entre les génératins, certaines en faisant même leur principal bjectif. Ce sujet récurrent aujurd hui, vire cette «impérieuse nécessité de faire de l intergénératinnel» mérite peut-être de s y arrêter un instant. La chabitatin n estelle à ce pint plus naturelle qu il faille la réinscrire dans chaque actin menée? Les plitiques snt-elles à ce pint segmentées, ciblées, que nus devins retruver une nuvelle chésin? Des mbilisatins et démbilisatin des cmpétences Cnstats cntradictires au fil de ns enquêtes : n vit de plus en plus vieux, en bnne santé dnc en capacité de «chisir ses cntraintes» et de partager ses expériences. Les retraités, tut au mins ceux qui s engagent, revendiquent leur liberté et leur légitimité à agir : le vécu, le temps dispnible, les besins à cuvrir les y autrisent. Mais n sent bien aussi les difficultés à renuveler les bénévles, à relier très prbablement à un certain manque de recnnaissance, à une lassitude face aux lurdeurs administratives. Là encre, les crdinatins qui réussissent à dépasser les statuts et l âge des participants mntrent leur intérêt. D autre part, ne faudrait-il pas réfléchir à un statut intermédiaire entre l activité prfessinnelle et l activité bénévle, garantissant une meilleure recnnaissance? Les tableaux qui suivent fnt état d initiatives emblématiques repérées et faisant l bjet de fiches actins dnt certaines (grisées) snt déjà cnsultables sur le site du RRF. Leurs initiateurs nt été mis à cntributin pur les rencntres Or Gris. Les autres repérages snt également dispnibles sur le blg Or Gris

13 FICHE DE RECENSEMENT DES INITIATIVES OR GRIS ( 1/ HABITAT ) Nm de l initiative Descriptif smmaire Lieu(x) Cntact(s) Mbilisatin cmpétences 13 femmes et 2 hmmes, âgés de 60 à 80 L Paratge ans, nt frmé un cllectif pur créer une St Julien de Lampn cpérative d habitat en milieu rural, Drdgne alternative à la maisn de retraite Assc Age sans frntière -Lgement La Maisn Partagée cllectif par et pur senirs islés mais nn dépendants Les Babayagas Maisn Ages et Vie Unité de Vie Adaptée Le Fyer d Activité Sciale AFTG La Trame Ccn Chabitns en Drôme Assc de femmes âgées pur la créatin d une maisn autgérée, cityenne, éclgique et slidaire Créatin d une habitatin cllective de qualité au sein d un cllectif cmpsé d élus, de PA et d un cabinet cnseil 13 lgements, pur l'accueil saisnnier de PA vivant en régin mntagneuse (rapprchées des services pdt la péride hivernale (cabinet médical, cmmerces). En été, accueil des PA de la vallée. Grpt de cpératin scial et médicscial pur lgements PA dépendantes et activités lcales pur tus facilitant le maintien au village Assc qui rassemble des familles d accueil de PA agréées par le CG82 pur dévelpper l accueil, accmpagner les familles, mettre en place un service de remplacement Partage d appartement entre plusieurs senirs baptisé «CcnSlidaireSenirSls u Ccn3S» Assciatin AIDER pur la mise en relatin et le lgement intergénératinnel Thématique(s) cncernée(s) Inter Services Hébergement génératinel NTIC Autres Fini u pas? Cécile Dalrymple X Prjet en curs Midi-Pyrénées M. Ancilltt X Mntreuil Thérèse Clerc X Mntfaucn (Dubs) Pierre Cntz, Maire X Brassac les Mines (63) Midi-Pyrénées Tarn-et-Garnne Spécificité : peu de fnds publics ( petits investisseurs lcaux) Pauline BRUN X prjet en curs Fyer du Ségala et C Vital Flrence Aysaguer Francine Buff (Présidente) X X X X X Manduel - Gard Christiane Baumelle X Drôme Sylvie Bnnassieux X X Pas que des senirs mais vieillissement imprtant réel besin de travail sur statuts et cnditins d exercice Créée après canicule 2003 Hameau des Buis Ec-hameau intergénératinnel, éducatin Lablachère Ardèche Assc La ferme des enfants X X Lien Pierre Rabhi

14 FICHE DE RECENSEMENT DES INITIATIVES OR GRIS ( 2/ MOBILISATION DES COMPETENCES ) Nm de l initiative Descriptif smmaire Lieu(x) Cntact(s) ECTI EGEE Cmité d Actin Juridique Accmpagnateurs d agriculteurs RSA AGIRabcd Accmpagnateurs bénévles Sésame GFEN Grupe Français d Educatin Nuvelle GREF retraités enseignants frmateurs Centre du bénévlat CLAE Centre de lisirs Bien vieillir en Centre Ouest Bretagne Lire et faire lire Résagri Temps libre Temps partagé Maisn des Traditins de Chassignlles Diagnstic de terr et prpsitins pur syndicat mixte des Barnnies Anciens cadres u chefs d entreprises et transmissin appui créatin / sclaire Accmpagnement juridique aux agris en difficulté Retraités agricles u tech agri faisant appui aux agris en difficultés (TK, ) Actins de frmatin, d aide u de slidarité en France et à l étranger Accmpagnement prteurs de prjets (cuveuse + suivi pst créatin) Assc d insertin rannaise piltée par des retraités Cllectif d enseignants en recherche permanente sur péda / enjeux de sciété. Drôme France Lire Lire France (dnt Ranne / CF) Indre Jean-Marie Meilland (26) Jean Luis TIXIER (Indre) Jean-Claude Ker Jean Crépinge Jean-Paul Kerveillant CILDEA William Pradel Gerges Descmbes Olivier Benelle CIVAM Pala Tisseur PLES Mbilisatin cmpétences X services intergénér atinnel X X X X Ranne M. Barthlin X X X France Odette Bassis X X Slidarité à l internatinal France X Mettre en lien des vlntaires et assciatins, favriser l intercnnaissance Accmpagnateurs des animateurs du CLAE et apprt de savir-faire Pays prgramme Bien vieillir en Rech ntamment la valrisatin des senirs Assc natinale - lecture aux enfants avec le suci de chésin sciale, Réseau d experts agricles à l internatinal Inventeurs de la trisslette, tricycle slaire pur prmener les PH Dévelppement turistique à travers la valrisatin du patrimine agricle. Indre (Châteaurux) Parist (82) Bretagne France Rhône-Alpes Thérèse GUILLEMONT Stéphanie Bec Assc Ribambelle Pays Centre Ouest Bretagne Relais lcaux Philippe Berraud Emmanuel Mingassn X X X X X X X hébergement TIC Autres X X X X X X (+ autres ex CIVAM + ex ARDEAR) Peu de lien avec le rural (sauf ex EEDD) mais psitinnement intéressant Impact pur pp sans senirs? Vesul Michel Villaume X X Cherchent mécène! Pays de La Châtre (Indre) Rémi PIROT Jacques NOC X X X

15 FICHE DE RECENSEMENT DES INITIATIVES OR GRIS ( 3/ SERVICES - NTIC ) Nm de l initiative Descriptif smmaire Lieu(x) Cntact(s) Mbilisatin cmpétences Les Aînés Ruraux Assciatin natinale d animatin : 700 Auvergne : Guy 000 adhérents et 9000 clubs en France France Trescarte (Civam) Accueil, lien scial, NTIC, CCAS de Burges et NTIC IPAD au Fyer du Rmarin Pôle gérntlgique de Burganeuf Régie rurale de Mauvezin ADMR Le CCAS a équipé les fyers lgements de pstes infrmatiques pur que les senirs restent cnnectés Cyber saln (avec initiatin par ads) Puis premier atelier eurpéen de la Wii. En avant première, utilisatin de l IPAD pdt la semaine de lancement internatinal Mise en place d une crdinatin médicsciale glbale, adssée à l hôpital lcal, entre services, institutins, prfessinnels du dmicile, familles sur 5 cantns Insertin et services aux persnnes et aux cllectivités Aide à dmicile en milieu rural Part des retraités bénévles très imprtante mais à creuser! Thématique(s) cncernée(s) Service Inter Hébergement s génératinnel NTIC X X X X Burges Anne Bignneau X X Clapiers (34) Michel Aimnetti, Directeur Creuse Dr. Michel HABRIAS X Midi-Py - Gers Yves Crvaisier X France Lcaux et secrétariat général X X FICHE DE RECENSEMENT DES INITIATIVES OR GRIS ( 4/ INTERGENERATIONNEL SEUL ET AUTRES ) Nm de l initiative Descriptif smmaire Lieu(x) Cntact(s) Mbilisatin cmpétences Assciatin Au départ une animatin cllège-ehpad Nex génératin en Nexn d'animatin et de qui se mue en ateliers pht-radiécriture permanents Limusin Haute-Vienne Jeunesse du Pays de Nexn Espinas nature L Barradis Perduz Old-up Animatins culturelles par des senirs arrivants cmme facteur d intégratin Apprt d un regard différent sur patrimine, etc Jardin intergénératinnel du Val de Drnne (faible lien avec dvt lcal en rural ntamment, mais psitinnement intéressant) Espinas (82) Drdgne Paris M. et Mme Curat (Espinas) Julia Mrtier, Fabrice Clugnac Marie-Françise Fuchs X X Thématique(s) cncernée(s) Inter Services Hébergement génératinnel X X X NTIC Autres facile et peu cûteux Ex de crdinatin glbale même si pas initié / géré par des senirs transferts effectués Autres Déclencheur = aap de la MSA illustratin d activités assez répandues même si «pas extrardinaire» X

16 Des recmmandatins pur ceux qui suhaitent mettre en place des démarches par et pur les retraités, sur la base des expériences lcales On l a vu, Or Gris a été l ccasin de carrefurs, de rencntres parfis imprbables mais tujurs psitives! Que retenir de tus ces échanges, de tutes ces lectures, de ns débats cntradictires? Face aux risques de clisnnements, un dénminateur cmmun : la mixité, mais aussi le désir de rencntrer l'autre, d'apprendre des autres initiatives, d'accepter le regard de l'autre sur sn initiative. Nus avns vécu cette capacité à écuter et à se remettre en cause à travers les rencntres Or Gris, spécificité que l'n retruve bien chez nmbre de senirs. Cette attitude exemplaire mérite d être nmmée et diffusée, c'est aussi une manière de regarder l'autre sans le juger, en cherchant en qui n peut l'aider à avancer, à amélirer ce qu'il présente. Ainsi, en impliquant de la srte les senirs dans leur prjet de vie et en leur dnnant tut lisir de réfléchir à ce qui les cncerne, n les aide à la fis à cmbattre la dégénérescence et à prendre leur part dans la vie et le dévelppement de leur territire. Cmment s y prendre? Par qui cmmencer? Qui est cncerné pur intervenir? Nus avns identifié 4 grandes «catégries d acteurs» puvant se retruver dans les prpsitins qui suivent, de manière cnjinte u spécifique : les élus, et principalement les élus lcaux les agents ; intervenants de l actin sciale en général mandatés par des institutins publiques, agents de dévelppement (ntamment écnmique) des territires la sciété civile et le muvement assciatif les senirs eux-mêmes, seuls u à plusieurs Des petites illustratins indiquent ceux qui peuvent se sentir les plus cncernés par type de sujet 1. Cnnaître les ppulatins retraitées de sn territire (recueil de dnnées, études, actin participative ) Leur nature: prprtin de natifs, de revenus, de nuveaux arrivés, mais aussi de pluri-résidentiels Leurs caractéristiques : âge, activités, dispnibilité, mbilité Leur répartitin gégraphique : centre burg, périphérie, habitat islé, mntagne, Leurs cmpétences, leurs centres d intérêts, leurs hbbies, leurs réseaux, leurs ressurces, etc Des mdèles, ui mais pas trp. Pur une mixité intergénératinnelle des territires ruraux Les carrefurs d échanges Or Gris nt révélé des préjugés tenaces, mais pas indéfectibles, à prps des retraités. Ce terme fait d ailleurs un peu plus cnsensus que «senirs» u encre «vieux» Dnc lgiquement, ns retraités seraient vieux pas si simple. Plusieurs génératins snt mises dans le «même sac», que l n ait 60 ans u 90 On a aussi appris que les femmes frment l essentiel de cette ppulatin, que cntrairement aux idées reçues, la plupart de ns vieux snt en pleine frme u presque, que la maisn de retraite élus agents s civile senirs n est pas une fatalité, u encre que la vieillesse n est pas qu un lng fleuve tranquille : 10 % des retraités snt cncernés par le minimum vieillesse et plus de d entre eux cumulent empli et retraite, pas tujurs par chix Ainsi, il s agit bien d abrder les vieillesses, dans leurs différences et leurs cmplémentarités. Le premier cnseil qui s impse est dnc de ne pas mdéliser trp vite! Par cnséquent, les plitiques ne peuvent être unifrmes des plitiques gérntlgiques seules nt-elles un sens? Ne faut-il pas davantage viser des plitiques transversales? ntre sciété a besin de repenser les rôles sciaux de chacun, la place des retraités et l articulatin entre les génératins 16

17 2. Cnnaître et faire cnnaître les initiatives, les actins, les services du territire par et pur les senirs, faire se cnnaître les prtagnistes entre eux pur faciliter la crdinatin, la mise en chérence, le travail en réseau a) Identifier les services du territire, particulièrement ceux qui interpellent les senirs : Les services à la persnne et de prximité Les services publics, Les services culturels, envirnnementaux, d animatin, d activité et de lisirs Les services sciaux et de santé Les services de mbilité et de transprt b) Savir repérer les initiatives et les cmpétences de sn territire et/u autres Etre à l écute de tutes les initiatives du territire, Repérer les initiatives exemplaires pur s en inspirer Repérer les cmpétences (des senirs principalement) pur puvir les mbiliser. élus agents s civile senirs L habitat, un axe de travail fédérateur Pur une mixité fnctinnelle des territires ruraux On a pris l habitude d asscier le milieu rural à ses fnctins résidentielle, prductive, récréative u encre envirnnementale, mais le décupage des cmpétences rend difficile la mise en place de plitiques transversales. Purtant, les actins repérées mntrent suvent que ns façns de vivre, d être acteurs interagissent en même temps avec chacune de ces fnctins. Parce que ce ne snt pas des acteurs u des initiatives «classiques», n les cnsidère atypiques, hrs des cadres L imprtance des initiatives relatives à l habitat et au «vivre ensemble» est à suligner. L allngement de la durée de vie en bnne santé fait envisager à beaucup la pssibilité de rester vivre chez eux, u tut au mins dans un envirnnement aménagé, scialisé prpsant des alternatives entre l entrée en institutin et le maintien à dmicile. Les senirs revendiquent un drit au chix de vie et la liberté de participer à cnstruire les slutins lcales d hébergement, en cncertatin avec l ensemble des parties cncernées. Par cnséquent, Il serait suhaitable que chaque territire se dte des myens de prpser les diverses frmes d hébergement existantes u émergentes, pur que les persnnes aient le chix en fnctin de leurs besins. Il ne s agit pas tant de nuveaux investissements de la part des cllectivités que de cncertatins incluant les premiers cncernés et attentives aux innvatins dans le dmaine de l habitat. Des utils de médiatin / mise en relatin peuvent ainsi être instaurés pur faciliter le partage de maisns, la clcatin par exemple. Nus avns par ailleurs recensés quelques cllectifs qui prpsent des slutins d hébergement à cût réduit. L écheln le plus pertinent se situe vraisemblablement entre la cmmunauté de cmmunes et le Pays. Les initiatives repérées, en fnctinnement u en curs de dévelppement, réussissent en mutualisant des lcaux, des services et des persnnels suvent, à cnstruire un «prduit» répndant aux attentes, accessible financièrement et restant ancré dans un territire cnnu. A un écheln plus large, il semble nécessaire d harmniser, certains participants ayant même emplyé le terme d «unifrmiser», les règlementatins, les frmatins, disparates sur les territires. Qu il s agisse de mdalités d agréments (par exemple pur dévelpper l accueil scial familial de persnnes âgées), des autrisatins et accmpagnements des expérimentatins lcales (par exemple visant la multifnctinnalité des services publics, l appui aux assciatins d animatin et de crdinatin lcale, ), des nrmes, etc, les «bâtns dans les rues» snt nmbreux Des cmpétences présentes à identifier D autre part, les carrefurs Or Gris nt mis en évidence un besin imprtant de cnnaître les «richesses lcales» : «On ne cnnaît pas la qualité, la diversité, la particularité des cmpétences qu n a sur le territire!», «Les senirs divent cmprendre qu ils fnt bien partie des richesses des territires ruraux!». Valriser les réalisatins est essentiel, mais cnnaître les ptentiels lcaux, repérer les ressurces humaines dispnibles snt un levier au dévelppement lcal autant que la mise en place d bservatires des lcaux dispnibles pur l accueil de nuvelles activités Le Centre du bénévlat de l Indre remplit cette missin qui mériterait d être démultipliée! Il y a, de ntre pint de vue, un lien évident à la gestin territriale des cmpétences sur laquelle travaille Sl et Civilisatin au sein du grupe Accueil du réseau rural français! Valriser la «main invisible» des retraités dans l espace rural Les témignages recueillis nt nécessité une recherche apprfndie. Nn pas que les retraités sient passifs, bien au cntraire, nus ne nus smmes pas étendus sur 17

18 leur indispensable participatin à la vie assciative. Que feraient de très nmbreuses assciatins, de tutes tailles et dans tus dmaines, sans le cncurs de leurs retraités bénévles? Ce recueil ne prend pas en cmpte nn plus les retraités slidaires à l internatinal. Tut cmme ns travaux ne détaillent pas certaines thématiques telles que l imprtance des slidarités familiales dans lesquelles les retraités juent un rôle prépndérant (appui financier des aînés aux enfants et petitsenfants par exemple). Tutefis, si ces faits snt cnnus et cmmencent à être mesurés, la cntributin des retraités reste insuffisamment valrisée. Cela est d autant plus vrai lrsque l n srt du champ familial, des assciatins de lisirs / culturelles / sprtives et que l n cherche à repérer et caractériser des initiatives «facteurs de dévelppement lcal», seln les critères que nus avins établis. Nus nus étins alrs saisis des prpsitins du rapprt Senirs et Cité du Cnseil Ecnmique Scial et Envirnnemental 15 dnt le 3 ème thème s intitule "Du désir d'activité au prjet de vie au service de la sciété", dans l ptique de valriser l apprt des persnnes âgées actives aux territires. Nus avns dnc cherché, et truvé, des retraités qui s engagent. Ils se revendiquent suvent «prfessinnels» dans le bénévlat et suffrent d un manque de recnnaissance. Leurs initiatives se veulent peu néreuses, accessibles ù la ntin de plaisir est imprtante visent l utilité sciale des persnnes cncernées traduisent parfis / suvent, une frme de militance ù l appui des cllectivités (suvent lcales) est déterminant : mise en réseau, mise à dispsitin de fncier, appui administratif, ressurces financières 3. Mbiliser l'envirnnement institutinnel et adapter les plitiques : impliquer les décideurs Pur faire suite aux prps précédents, quelle(s) méthde(s) engager au niveau des territires? Nus avns recensé plusieurs pistes pssibles, les unes se cmbinant avec les autres : La «vieille recette» reste d actualité : réaliser un diagnstic pur rassembler des éléments statistiques sur les perspectives du territire (démgraphiques en particulier) à ans, cnnaître les besins lcaux, réunir tus les acteurs autur de la table, rechercher les cmplémentarités. Être accmpagné par un tiers pur «ne pas se marcher sur les pieds» (cas de la Régie Rurale de Mauvezin) «Aller vir ailleurs» : c est le sens de l actin Or Gris qui sit prpse une mise en relatin entre acteurs dans le prlngement d un cycle de carrefurs itinérants, sit met en partage (blg, animatins et frmatins lcales) les cnclusins des travaux Accepter qu une démarche participative prend du temps! Truver l espace qui crrespnd le mieux et «L espace Pays cnvient bien» Repérer les nn-dits (dans les enquêtes, les pinins) pur une meilleure adéquatin prjets / attentes. Mieux évaluer les cntributins bénévles Lever des freins règlementaires, institutinnels, les mentalités ce qui suppse de changer les représentatins sur la vieillesse Mieux anticiper la retraite, se préparer nn pas à une cessatin d activité mais à un changement d activité 15 Intitulé "Du désir d'activité au prjet de vie au service de la sciété", le trisième thème du rapprt du CESE Senirs et Cité cmprte plusieurs prpsitins pur dévelpper le bénévlat et pur définir de nuveaux métiers dits "d'utilité sciale" et fficiellement recnnus hrs de la sphère marchande. 18

19 4. (Faire) intégrer le vlet senirs dans tutes les apprches liées au dévelppement lcal a) Replacer la questin des senirs dans tus les chantiers du territire Cnseil de dévelppement, PLU, SCOT, Schéma de services, transprts, lisirs, etc, Inter acteurs, intersectrielles, intergénératinnelles, etc b) Intégrer tute actin dans une démarche territriale glbale cmmune et participative Mettre les initiatives en cnvergence, inciter au regrupement et au partenariat c) Faire participer les senirs dans les grupes de travail, de prjet, d actin du territire Replacer tute initiative dans la perspective du mieux vivre ensemble. Dnner tute leur valeur aux initiatives assciatives lcales Le cncept d «actif» à redéfinir élus agents s civile senirs Pur une mixité sciale des territires ruraux Rappelns que tut au lng de ce recueil, nus précnisns d identifier et de mbiliser les cmpétences des senirs ruraux. D acteurs à actifs, il existe une marge et si nus nus smmes penchés sur les cumuls empli retraite, ce n est pas pur encurager des cncurrences sur l empli. Mais nus pensns nécessaire de recnsidérer l activité et cesser de définir les retraités cmme des inactifs simplement parce qu ils ne travaillent plus. En termes statistiques, n parle des inactifs de plus de 60 ans Mais l activité est-elle seulement définie par rapprt au travail salarié? Ns débats nt également prté sur la cncurrence ptentielle entre bénévlat et activité rémunérée : n bserve purtant clairement que les actins bénévles viennent cmbler des lacunes nn cmpensées auparavant par une activité prfessinnelle. Pur autant, entre l activité prfessinnelle et l activité bénévle, ne faudrait-il pas encurager ce que certains 16 appellent le vlntariat, en quelque srte une «2 ème carrière» en prlngement nn rémunéré de l activité prfessinnelle (dévelppée dans les pays angl-saxns). Nus finirns aussi par réussir à mesurer la richesse générée par l écnmie nn marchande (bénévlat assciatif et transfert en nature des aidants familiaux, etc.), dans le cadre d une réfrme des indicateurs écnmiques natinaux appelée par un nmbre crissant d acteurs 17. De même qu il serait intéressant de ne plus s en tenir à l âge pur catégriser les gens : leur situatin sciale, écnmique, leurs attentes, leurs capacités ne snt-elles pas plus imprtantes? Intégrer dans une dynamique cmmune Ntre sciété semble acter qu il ne faut plus cmpter sur les slidarités intergénératinnelles traditinnelles et gratuites. Chaque carrefur a ainsi suligné le suci de l avenir du bénévlat, la difficulté à prmuvir des actins cllectives. Purtant, les difficultés écnmiques, les situatins de grande pauvreté, d exclusins sciales, les pussées de vilence, nécessitent plus que jamais des effrts de slidarité, au-delà des âges et des frntières. La mntée de l individualisme, qui reste ntre cadre de référence actuel, ainsi que la généralisatin des plitiques qui mettent en cncurrence les acteurs lcaux (via les appels à prjets ntamment) snt-elles définitives et irréversibles? Est-il utpique de précniser le maintien et le renfrt des mécanismes de slidarités institutinnels, qui crrigent et tendent à réduire les inégalités sciales et territriales? Dans l hypthèse ù, au cntraire, le recul de l Etat se pursuivrait, la sciété civile risque de se vir renfrcée dans les nuvelles missins qu elle ccupe essentiellement à travers les assciatins, prenant de nuvelles respnsabilités et un rôle scial et écnmique prépndérant. Des plitiques du vivre-ensemble semblent dnc priritaires dans une sciété fragmentée qui évlue avec de «nuveaux» impératifs : impératif éclgique, fractures sciales, nécessite de (re)cnstruire une visin cllective de l avenir. Cela passe par une prise en cmpte de la glbalité des enjeux et des nécessités de l accmpagnement sus tutes ses frmes. Il s agit bien de prévir, d anticiper et d inscrire la réalité de l allngement de la vie dans le cadre de la plitique glbale des territires 18. Cela passe nécessairement aussi par davantage d expressin et de travail en cmmun des acteurs représentatifs de la sciété civile au niveau du lcal. Penser l intergénératinnel au-delà des rencntres jeunes enfants / grands-parents. L intérêt et la slidarité manifestés dans les prpsitins repérées apparaissent cmme un rempart à la mntée des individualismes. Les décideurs publics ne 16 Ntamment Gérard Muller, ancien vice-président de l UNIORPA 17 Vir ntamment Patrick Viveret, Recnsidérer la richesse, janv Vir Serge Guérin, scilgue 19

20 devraient pas y rester indifférents et veiller à éviter la ghettïsatin de la sciété (chaque âge clisnné dans des lieux qui lui snt prpres avec des services spécifiques). «Les situatins d exclusin et de vilence résultant du clisnnement architectural et scial cmmencent à attirer l attentin des autrités publiques : le déclisnnement et la créatin de lien scial cmmencent à être recnnus cmme des principes d actin valables.» 19 «Pur la 1ère fis dans l histire, nus nus truvns dans une situatin caractérisée par l imprtance du nmbre de persnnes âgées encre capables d assumer des fnctins et des respnsabilités, tant dans le champ de l activité prfessinnelle que dans celui du bénévlat. Il suffit de vir les débats autur de l empli des «senirs» u de la retraite à la carte ; la questin se pse aussi dans certaines assciatins ù des bénévles plus jeunes s impatientent de vir les respnsabilités ccupées par des gens de 75 ans u plus. en expliquant qu ils freinent par les innvatins, qu ils s accrchent etc., etc... Il y a là, à mn sens, des risques imprtants de cnflits, de rejet, d exclusin qui sernt mal vécus, parce que nus demeurns dans l indéterminatin. Il me semble que l n devrait engager, tant dans le champ de l empli rémunéré que dans celui du bénévlat, une réflexin entre génératins sur les places dévlues à chacune d elles et raisnner en termes de cmplémentarité et nn d ppsitin. Chaque grupe d âge peut apprter quelque chse de différent des autres. Il n appartient pas à un grupe d âge de définir la place que dit ccuper l autre, cela dit se faire par négciatin.» 20 Rechercher les adaptatins simples et lcales...ecnme et autnme On l a vu, l accès aux sins, aux services n est pas le même seln le lieu ù l n s installe (mais se fixer à tel endrit relève d un chix, le plus suvent), ni seln le revenu (qui en général ne résulte pas d un chix r la baisse du revenu est prbable dans les années à venir). D une manière générale, réfléchir à la place des senirs dans ntre sciété ne dit pas être le prétexte d investissements très néreux. Nn seulement parce que les cnditins écnmiques nus incitent à être rigureux dans les dépenses, à veiller à une accessibilité à tus des dispsitifs, mais aussi, et peut-être surtut parce qu aujurd hui, il est plus facile d acheter une chaise rulante high-tech que de s rganiser pur répndre cllectivement et intelligemment aux évlutins liées à l âge. Ntre sciété a suvent tendance à répndre en investissant, en cnstruisant, bref, en réslvant ses prblèmes par une entrée matérielle. Et les retraités, influencés eux aussi par ce qui se passe et se dit autur d eux, à la TV,, peuvent attendre une répnse matérielle à leurs besins. Mais cela est cûteux, vire inefficace (cmme le mntrent par exemple les villages senirs, «ghetts» pur persnnes âgées (aisées) cntraires à ce que nus jugens aller dans le sens d une plus grande chésin sciale). Nus suhaitns plutôt renfrcer la réflexin sur ce qui favrise l autnmie et la participatin sciale des senirs à mindre cût pur la sciété : dans la simplicité et dans le «prendre en cmpte» plutôt que dans le «prendre en charge» Refuser la facilité du «clef en main» Qui se déduane de la cnnaissance des publics et des territires Qui ne s est pas dnné les myens de s adapter au cntexte Slutins suvent cûteuses, se situant plus dans un cntexte marchand libéral de rapprt plus que dans une adaptatin aux habitants et aux spécificités de leur territire élus agents s civile senirs Ainsi, ntre message essentiel à l issue de cette recherche-actin est sans dute «Méfins-nus des slutins clés en main! Elles snt suvent cûteuses, rarement participatives et peu durables.» Stimuler la participatin des habitants Cmment parvenir à la meilleure adéquatin entre les prjets et la «réalité du terrain»? Cmment réussir à mbiliser largement? en particulier les retraités, prmpts à se mettre en retrait? Les pistes évquées mettent l accent sur la relatin de prximité : Les clubs des aînés snt nmbreux et disséminés sur tut le territire, les repérer, prendre régulièrement leur avis et les asscier autant que faire se peut est un myen testé avec succès ; 19 Assciatin Vieillir Autrement (Lille) Cntact : vieillir.autrement@nrdnet.fr 20 Marie Geffry, scilgue 21 Vir aussi Saül Karsz, Purqui le travail scial, définitin, figures, clinique, éditin Dund

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