Comportement Hydromécanique des Sols Fins : de l'état saturé à l'état non saturé

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Comportement Hydromécanique des Sols Fins : de l'état saturé à l'état non saturé"

Transcription

1 Univerité de Liège Faculté de Science Appliquée Comportement Hydromécanique de Sol Fin : de l'état aturé à l'état non aturé par Xiang-Ling LI

2 Thèe défendue, avec uccè, le 17 juin, 1999, pour l'obtention du grade du Docteur en Science appliquée de l'univerité de Liège. Devant un jury compoé de : A. Bolle, U.Lg., Préident, R. Charlier, U.Lg., Promoteur, J-D. Barnichon, CEN-SCK, P. Delage, E.N.P.C., Pari, A. Gen, Univerité Polytechnique de Catalogne, Barcelona, C. Schroeder, U.Lg., J-C. Verbrugge, U.L.B.

3 Table de matière i TABLE DES MATIERES Notation vii Abréviation xv Chapitre I : Introduction 1 1. Généralité Objet de cette thèe Réumé de la recherche Apport originaux de cette thèe...1 Chapitre II : Sol non aturé Introduction Compoition minéralogique de ol fin Généralité Minéralogie de ol fin : minéraux argileux La tructure générale de minéraux argileux L'eau dan le ol Le gaz dan le ol Interaction entre le phae olide et fluide Interaction eau-olide: phénomène d'adorption de l'eau ur le particule olide Interaction gaz-eau Interface gaz-eau : tenion uperficielle Humidité relative (diagramme d'état de l'eau) Interaction air-eau-olide : capillarité Succion Succion matricielle Succion omotique Approche thermodynamique Effet de la uccion ur le particule olide Microtructure de ol non aturé Microtructure de ol granulaire Microtructure de ol fin (ol argileux) Apect hydrique fondamentaux de ol non aturé Perméabilité à l eau Courbe de rétention d eau Phénomène d hytéréi Comportement mécanique fondamentaux de ol non-aturé Comportement volumique Comportement déviatorique 5

4 ii Table de matière 9. Concluion Influence de la minéralogie Influence de la granulométrie Influence de la microtructure Influence de la teneur en eau Influence de la compoition chimique de l'eau 52 Chapitre III : Technique expérimentale de contrôle et de meure de la uccion _53 1. Introduction Technique de meure et de contrôle de la uccion Technique de meure de la uccion Teniomètre Plaque de uccion Méthode du papier filtre Méthode pychrométrique Technique de contrôle de la uccion Méthode de la urpreion d air Méthode omotique Deiccateur à vide (méthode à preion de vapeur) Domaine d application Détermination de la courbe de rétention d'eau Méthode de la urpreion d'air : appareil de Richard Méthode omotique Méthode indirecte: méthode poroimétrique Détermination de la perméabilité Méthode du régime permanent Méthode du profil intantané Méthode indirecte Eai mécanique à uccion contrôlée Méthode de la urpreion d air Méthode omotique Méthode pychrométrique Concluion...75 Chapitre IV : Modéliation du comportement hydromécanique de ol non aturé Introduction Ecoulement de l eau dan un milieu poreux non aturé Apect théorique Conervation de mae Loi de Darcy généraliée Equation de Richard Implantation de la loi d écoulement d eau dan le code aux élément fini LAGAMINE 82

5 Table de matière iii 3. Comportement mécanique de ol non aturé (état de la quetion) Variable d'état de contrainte Concept de contrainte effective dan le ol non aturé Concept de urface d état Variable d'état indépendante Modèle élatique Modèle élatique en variable d'état indépendante Modèle élatique en contrainte effective Modèle élato-platique Loi d Alono et Gen Loi dérivée de la loi d Alono et Gen Loi de Bolzon, Schrefler et Zienkieicz Loi de Chang et Duncan Loi de Pietruzczak et Pande Synthèe Unification de la formulation de loi de comportement Objectif Variable d'état et autre notion de bae Variable d'état Autre notion de bae Equation unifiée de la urface de platicité Ca particulier iu de la formulation unifiée Modèle de Drucker-Prager Modèle d Alono-Gen Modèle de Dafalia-Kaliakin Autre loi Platicité non aociée Surface de platicité dan le plan ( I ) 151 σ Surface LC (Loading Collape) Surface SI (Suction Increae) Surface de platicité dan l hyperepace ( I II α ) ˆ σ σ Formulation du modèle Déformation élatique Déformation platique Relation contrainte - déformation Règle d écrouiage Implantation de la formulation unifiée dan le code LAGAMINE Schéma d intégration de la loi contitutive Logiciel loiol Elément fini couplé Avantage de la formulation unifiée Remarque ur le déformation élatique Concluion...162

6 iv Table de matière Chapitre V : Analye de réultat expérimentaux: ol aturé et quai aturé _ Introduction Decription de matériaux étudié Argile de Kruibeke Mode de préparation Caractéritique phyique principale de échantillon Autre propriété de échantillon Limon de Gembloux Mode de préparation Caractéritique phyique principale de échantillon Autre propriété de échantillon Eai effectué Argile de Kruibeke Limon de Gembloux Réultat expérimentaux Argile de Kruibeke Eai oedométrique et de compreion iotrope Eai triaxiaux (CU) Limon de Gembloux Eai oedométrique Eai triaxiaux (CU) Analye de réultat d'eai Comparaion de méthode expérimentale entre laboratoire Etat de aturation dan le échantillon (étude de la contre-preion u ) Contre-preion en ca d'utiliation d'eau déaérée Contre-preion en ca d'utiliation d'eau non déaérée Temp néceaire pour aturer complètement un échantillon Concluion Compreibilité de l eau, de l air et du mélange eau-air Introduction Formulation ne tenant pa compte de l effet de la tenion uperficielle Formulation tenant compte de l effet de la tenion uperficielle Analye et concluion Coefficient de preion intertitielle de Skempton Non-homogénéité de la preion intertitielle dan le échantillon Influence du ytème de meure Concluion Chapitre VI : Analye de réultat expérimentaux: ol non aturé Introduction Decription de matériaux étudié Argile de Boom compactée 242

7 Table de matière v Mode de fabrication de échantillon Caractéritique de échantillon Bentonite compactée d'almeria Eai effectué Argile de Boom compactée Bentonite compactée d'almeria Réultat expérimentaux et analye de réultat Argile de Boom compactée (poudre, patille et mélange) Réultat ur le échantillon contitué de poudre Réultat ur le échantillon fait de patille Réultat ur le échantillon fait d'un mélange de patille et de poudre (érie m-1) Bentonite compactée d Almeria Bentonite S Bentonite FEBEX Concluion Chapitre VII : Simulation et validation Introduction Recherche FRFC: ol quai aturé Introduction de la compreibilité du mélange air-eau dan la loi d'écoulement Choix d une loi de comportement mécanique Simulation de eai ur l'argile de Kruibeke Détermination de paramètre Analye de réultat numérique Synthèe Simulation de eai ur le limon de Gembloux Détermination de paramètre Analye de réultat numérique Synthèe Concluion Recherche CATSIUS CLAY : ol non aturé Simulation de eai à uccion contrôlée: B.M Eai de gonflement - effondrement ou différente charge contante (B.M. 2.1a) Eai de preion de gonflement (B.M. 2.1b) Simulation du tet FEBEX de mouillage chauffage ur la bentonite compactée (maquette): B.M Decription de la maquette Procédure du tet Réultat demandé Détermination de paramètre hydrique et thermique Détermination de paramètre mécanique Dicrétiation Condition initiale Condition aux limite et ollicitation 32

8 vi Table de matière Réultat de la imulation Etude de l'influence de paramètre ur la imulation Synthèe Concluion Chapitre VIII : Concluion Concluion générale Perpective Domaine de recherche Domaine d application 335 ANNEXES 337 REFERENCES 351

9 Notation vii TABLE DES NOTATIONS CONVENTIONS GENERALES De manière générale, nou adopton le convention habituelle de la Mécanique de Sol. Le contrainte normale ont poitive en compreion et négative en tenion. Le déformation correpondante ont poitive en contraction et négative en extenion. Le déformation ont uppoée petite. LETTRES LATINES A a B pente élatique (ou de déchargement) de la courbe de compreibilité d'un eai oedométrique dan le plan ( ε lnσ ) à l'état aturé B, facteur de concentration de déformation c cohéion c( ) coefficient d'emmagainement C C α D e e F g G h h v v pente platique (ou de chargement) de la courbe de compreibilité d'un eai oedométrique dan le plan ( ε lnσ v v ) à l'état aturé coefficient de fluage econdaire diffuivité de l'eau indice de vide indice de vide initial urface de platicité accélération de la peanteur module de ciaillement. coefficient de Henry charge hydraulique totale (potentiel de l'eau) H I P module de platicité dan la loi généraliée de Pator et al. index de platicité (limite d Atterberg)

10 viii Notation I σ premier invariant de contrainte : I = σ σ ii 1 II $σ econd invariant du déviateur du teneur de contrainte : II = ˆ σ ˆ σ ˆ σ ij ij 2 J 3 troiième invariant du déviateur de contrainte : k variable d'état de la loi contitutive k int perméabilité intrinèque k int perméabilité intrinèque initiale (en état aturé) k r, perméabilité relative K module cubique élatique J = ˆ σ ˆ ˆ ijσ jkσ ki K f module de compreibilité du mélange air- eau ( K f 1 / χ f K oed module oedométrique élatique K coefficient de perméabilité à l'eau K perméabilité en état aturé K coefficient de pouée de terre au repo ( K σ h σ v = ) = ) M pente de la droite d'état critique en compreion dan le plan ( p q ) 1 3 M mae du olide M mae d'eau n n n n poroité poroité au mercure nombre de mole d'eau nombre de mole de oluté (élément chimique de el) p contrainte totale moyenne : p = σ / 3 p * * * contrainte nette moyenne : p = σ / 3 p contrainte effective moyenne : p' = σ' / 3 p at p m p preion atmophérique preion capillaire à appliquer au mercure réitance en extenion triaxiale ii ii ii

11 Notation ix p * P preion de préconolidation en état aturé ou quai aturé preion de gonflement q déviateur de contrainte axiymétrique : q = σ σ 1 3 r r r r C r E rayon d un tube dan lequel e fait la remontée d'eau capillaire paramètre contrôlant la variation de la compreibilité avec la r = λ / λ( uccion : ( ) ) rayon réduit rayon réduit en compreion rayon réduit en extenion R contante de gaz parfait : R = J/(mol K) R valeur relative de la contre-preion appliquée (eai triaxial) : R = u u1 RH R C S humidité relative de l'air rayon de courbure d un ménique uccion matricielle preion d'entrée d'air du ol (uccion critique) uccion en phae de échage M uccion en phae de mouillage h m S paramètre définiant la poition initiale de la urface de platicité SD valeur moyenne de la uccion uccion maximale rencontrée dan l hitoire du ol quantité d'eau emmagainée S degré de aturation relative en air ra S degré de aturation réiduelle ru S degré de aturation relative en eau r S aturation intantanément obtenue aprè application de la contre-preion r in tantané S un euil de la aturation qui épare la zone quai aturé et non aturé r r t field S aturation au temp t aprè l'application de la contre-preion S r aturation initiale S urface totale de particule olide

12 x Notation t T T m T u a u a temp température tenion uperficielle du mercure tenion uperficielle de l'eau pure preion d'air preion abolue d'air u a preion partielle de l'air ec u a preion d'air abolue initiale u f u g u m u v u v u v1 u preion moyenne dan le fluide homogénéié (loi de Chang-Duncan) preion de gaz (mélange d'air ec et de vapeur d'eau) preion moyenne dan le mélange eau air (loi de Pande) preion partielle de la vapeur au-deu d'une urface concave (ménique) preion de vapeur d'eau aturante ur une urface plane d'eau pure preion de vapeur du liquide au-deu d'une urface plane preion d'eau u valeur moyenne de la preion d eau,m u contre-preion (eai triaxial) u 1 contre-preion néceaire pour atteindre une aturation complète (eai triaxial) v vitee de Darcy v volume pécifique : v = 1 + e = 1 /(1 n ) V a volume d'air libre Va intantané volume d'air meuré intantanément aprè l'application de la contrepreion V at volume total d'air ( V at Va + Vd = ) Va t volume d'air meuré un temp t aprè l'application de la contre-preion V at volume total d'air initial V d V m volume d'air diou dan l'eau volume de mercure injecté

13 Notation xi V V t V T V V V v V volume de grain de l éprouvette volume total de l'éprouvette volume total de l'élément volume de vide de l éprouvette volume d'eau de l éprouvette vitee d'écoulement volume d'eau expulé de l'éprouvette à une preion donnée de mercure V i volume d'eau initial de l'éprouvette (avant injection de mercure) V W L W P xv x y volume d'eau injecté grâce à la contre-preion (eai triaxial) teneur en eau maique teneur en eau maique initiale limite de liquidité (limite d Atterberg) limite de platicité (limite d Atterberg) volume d air upplémentaire introduit dan l échantillon lor d'utiliation d'eau non déaérée (eai triaxial) fraction molaire d eau dan une olution hauteur gravitaire (altitude) LETTRES GRECQUES α α α m angle de Lode angle de raccordement (ou de contact) d un ménique avec la urface du olide angle de raccordement d un ménique pour le mercure α M angle de contact d un ménique en phae de mouillage α S angle de contact d un ménique en phae de échage α β γ d γ angle de raccordement d un ménique pour l eau pure paramètre contrôlant la variation de la compreibilité avec la uccion poid volumique du ol ec poid volumique de particule olide

14 xii Notation γ Γ poid volumique de l eau coefficient de non aociativité dan le modèle d Alono et Gen Γ ct conductivité thermique multiphaique δ ij teneur de Kronecker a ε ii ε ii déformation volumique dan la phae d'air déformation volumique dan la phae d'eau ε déformation de ciaillement axiymétrique (eai triaxial): ε = ε1 ε 3 ε v déformation verticale (eai oedométrique) ε v e v m déformation volumique ε = ε v ii ε déformation volumique élatique microtructurale e ε v Mp déformation volumique élatique macrotructurale aociée à la variation de contrainte nette e ε v M déformation volumique élatique macrotructurale aociée à la variation de la uccion ε déformation volumique platique macrotructurale aociée à la urface SD p v MD ε déformation volumique platique macrotructurale aociée à la urface SI p v MI ε 1 déformation verticale (eai triaxial) ε 3 ς déformation latérale (eai triaxial) coefficient de dilatation η rapport de contrainte déviatorique et hydrotatique ( η = q p ) θ θ κ κ λ λ paramètre non dimenionnel d'intégration temporelle teneur en eau volumique pente élatique (ou de déchargement) de la courbe de compreibilité d'un eai oedométrique dan le plan ( e lnσ ) à l état aturé v pente élatique de la courbe de compreibilité lor d'un drainage du ol ou une charge contante pente platique (ou de chargement) de la courbe de compreibilité d'un eai oedométrique dan le plan ( e lnσ λ ) ) à l état aturé (= ( ) v pente platique de la courbe de compreibilité lor d'un drainage du ol ou une charge contante

15 Notation xiii λ( ) pente platique de la courbe de compreibilité à une uccion donnée µ vicoité de l'eau π ρ a ρ d ρ V ρ uccion omotique mae volumique de l air mae volumique du ol ec taille moyenne de pore mae volumique de l eau σ a tenion uperficielle de l'interface air eau σ c σ h σ ij ˆσ ij σ ij * σ ij σ ij contrainte de conolidation (eai triaxial) contrainte horizontale teneur de contrainte totale déviateur du teneur de contrainte teneur de contrainte effective teneur de contrainte nette contrainte moyenne dan le quelette (modèle d homogénéiation de Pande) σ m contrainte moyenne totale σ v σ 1 σ 3 φ C φ E χ χ a χ f χ χ ψ contrainte verticale contrainte axiale (eai triaxial) preion latérale (eai triaxial) angle de frottement interne en compreion angle de frottement interne en extenion coefficient de Bihop compreibilité de l'air compreibilité d'un mélange d'eau et d'air compreibilité de l'eau compreibilité du ol urface potentielle d écoulement platique

16 xiv Notation ψ c Ψ ω ω v angle de dilatance en compreion uccion totale urface pécifique mae molaire de la vapeur d'eau ω v =18.16 kg / kmol

17 Abréviation xv LISTE DES ABREVIATIONS ACU ALERT ANDRA CATSIUS CLAY CEN-SCK CIEMAT CIMNE CU CSL ENRESA FEBEX FRFC ICU ISMES LGIH LIG OCR RUG UCL ULB ULg UPC UWCC Aniotropic Conolidated Undrained (eai triaxial non drainé à conolidation aniotrope) Alliance de Laboratoire Européen pour la Recherche et la Technologie Agence Nationale pour la getion de Déchet Radioactif (France) Calculation and teting of behaviour of unaturated clay (projet) Centre d'etude de l'energie Nucléaire Studie Centrum voor Kernenergie (Belgique) Centro de Invetigacione Energética, Medioambientale y Tecnologica (Epagne) Centro Internacional de Método Numérico en Ingenieria (Epagne) Conolidated Undrained (eai triaxial non drainé) Critical State Line (droite d'état critique) Emprea Nacional de Reiduo Radioactivo (Epagne) Full-Scale Engineered Barrier Experiment in Crytalline Hot Rock Fond de la Recherche Fondamentale et Collective (Belgique) Iotropic Conolidated Undrained (eai triaxial non drainé à conolidation iotrope) Itituto Sperimentale Modelli e Strutture (Italie) Laboratoire de Géologie de l'ingénieur, d'hydrogéologie et de propection géophyique de l Univerité de Liège (Belgique) Laboratoire d'infratructure et de Géomécanique de l Univerité de Liège (Belgique) Over Conolidation Ratio (taux de urconolidation dan un eai triaxial) Rijkuniveriteit Gent (Belgique) Univerité Catholique de Louvain (Belgique) Univerité Libre de Bruxelle (Belgique) Univerité de Liège (Belgique) Univeritat Politécnica de Catalunya (Epagne) Univerity of Wale, College of Cardiff (Grande Bretagne)

18 Introduction 3 1. Généralité Objet de cette thèe Réumé de la recherche Apport originaux de cette thèe...1

19 4 Introduction

20 Introduction 3 CHAPITRE I INTRODUCTION 1. GÉNÉRALITÉS La Mécanique de Sol et de Roche et généralement intéreée dan le paé à l'étude de matériaux totalement aturé en eau ou parfaitement ec. Or, en génie civil, en ingénierie de l'environnement ou en ingénierie de réervoir, on rencontre fréquemment de problème qui impliquent de ol ou de roche ou aturation partielle. Le fondation de trè nombreue contruction uperficielle appuient ur de ol non aturé. Le rupture dan le pente et le talu ont ouvent liée à de modification du degré de aturation. Dan le pay à climat aride ou emi-aride, le ol ont ouvent non aturé. Le réervoir d'hydrocarbure, dont l'exploitation provoque parfoi de ubidence problématique, ont généralement contitué de roche partiellement aturée par pluieur fluide (huile, gaz, eau, ). Avant d'arriver dan une nappe aquifère, le précipitation, l'eau d'irrigation, le polluant tranporté dan l'eau, etc., 'infiltrent dan une zone de ol non aturé. Aujourd'hui, le économie d'énergie acquie en cour de deux dernière décennie et la production nucléaire d'électricité repréentent l'équivalent de plu de 1 million de tonne de pétrole par an. Selon LE MONDE (LE MONDE, 1 er décembre 1998), le nucléaire repréente 17 % de la production mondiale d'électricité, 22 % aux Etat- Uni, 35 % en Europe et 1 % en Aie. En raion de la défene de l'environnement, la quetion e poe alor : comment tocker le déchet nucléaire? Parmi pluieur concept, l'enfouiement outerrain emble avoir de belle perpective. Pour évaluer la pertinence de ce concept, de nombreue recherche cientifique 'impoent, notamment ur l'écoulement de eaux outerraine, le élévation de température dan le ol due aux flux thermique dégagé par le déchet, ce qui peut modifier le degré de aturation du ol, le déformation de ouvrage de tockage, Ce ont an doute le deux dernier point cité, relatif aux apect environnementaux, qui ont ucité depui environ deux décennie un trè grand intérêt pour l étude et la compréhenion de phénomène phyique, chimique, thermique et mécanique dan le ol non aturé. Il uffit de remarquer, par exemple, qu en ca de déverement de polluant à la urface d un terrain, il et d abord entraîné par l eau dan la zone non aturée. C et donc

21 4 Introduction dan cette zone que l on doit intervenir i l on veut éviter qu il n atteigne la nappe aquifère ou-jacente. Par ailleur, la problématique du tockage de déchet nucléaire a motivé le financement de vate programme internationaux de recherche incluant notamment de étude expérimentale, théorique et numérique ur le ol non aturé. Enfin, en génie civil, le dimenionnement géotechnique de ouvrage aux état limite de ervice et ultime e bae ouvent ur de caractéritique matérielle meurée en laboratoire ur de échantillon théoriquement parfaitement aturé en eau. Or il apparaît rapidement, à l'analye de meure effectuée, que la aturation en eau et rarement totale. Il ubite généralement une faible teneur en air. Le matériau et donc quai aturé. L'influence de cet état rete actuellement mal connue, malgré le importante recherche engagée ur le ol non aturé. 2. OBJET DE CETTE THÈSE La recherche expoée dan cette thèe a pour objet l étude expérimentale et la modéliation numérique du comportement hydromécanique de ol fin en état aturé, quai aturé et non aturé. Une attention particulière et portée à la tranition entre ce différent état. Nou n ignoron pa que le effet thermique ont une influence ignificative ur ce comportement. Toutefoi, le effet hydrique, mécanique et leur couplage préentent déjà uffiamment de complexité et c et ur ce point préci que porte notre étude. Elle et également limitée au ca de petite déformation afin, d une part, d alléger le formalime de modèle mathématique et, d autre part, d éviter de nombreux problème expérimentaux et numérique typique de grande déformation. Un ol non aturé et un milieu au moin triphaique. En chématiant un peu, la phae olide et contituée de grain du ol (mai il pourrait aui y avoir de la glace), la phae liquide et ouvent de l eau (mai cela pourrait aui être du pétrole) et la phae gazeue et généralement un mélange d air et de vapeur d eau (à moin que d autre gaz ne oient également préent). Dan ce travail, nou conidéron eentiellement une phae olide : le grain du ol, une phae liquide : l eau, qui peut contenir de el en olution, une phae gazeue : l air. Notre but final et de dipoer d un modèle mathématique permettant de prédire avec une fiabilité acceptable le comportement de ol fin, et en particulier de ol argileux, ou de ollicitation mécanique et hydrique complexe.

22 Introduction 5 Il faut donc partir d une bae expérimentale aez vate et l analyer en détail de façon critique. Cela uppoe une connaiance préalable de la tructure fine de matériaux étudié (compoition minéralogique, microtructure, ) qui aide à interpréter le réultat d eai. Cela uppoe aui une étude de technique expérimentale afin de pouvoir détecter le ource d erreur ou de diperion. Il faut enuite faire une étude bibliographique approfondie de modèle exitant et de leur limite afin de pouvoir faire un choix judicieux et, le ca échéant, développer notre propre modèle en partant de ce qui exite. L étape uivante et la détermination de paramètre du modèle retenu à partir de donnée expérimentale. Enfin, il rete à valider ce modèle en confrontant e prédiction avec de réultat d eai n ayant pa ervi à calculer e paramètre. Cette méthodologie conduit naturellement au plan de notre recherche dont un réumé et donné ci-aprè. 3. RÉSUMÉ DE LA RECHERCHE Le chapitre II et conacré à l étude de ol fin au niveau microcopique. Leur minéralogie met en évidence le rôle fondamental de minéraux argileux dont le particule de bae, le plaquette, ont de propriété colloïdale, une grande urface pécifique et adorbent ur leur urface une partie de molécule d eau préente dan le ol. Cette eau adorbée et fortement liée aux plaquette et fait donc partie de particule olide. Il et important de noter que d autre type de particule (able, ilt, ) ont préente dan le ol fin. Un ol contenant plu de 3% de particule argileue poède déjà le propriété de ol argileux. Si ce pourcentage dépae 3%, on parle d argile pure. L eau non adorbée peut oit écouler entre le grain (eau libre), oit e fixer entre certain grain ou forme de ménique (eau capillaire) où la tenion uperficielle et le phénomène phyique eentiel. Toute le interaction air-eau-olide ont analyée en détail et conduient à la notion fondamentale de uccion. On ditingue la uccion matricielle liée eentiellement aux effet capillaire et la uccion omotique liée aux gradient de concentration de el éventuellement diou dan l eau. La microtructure de ol argileux, c et-à-dire l arrangement patial de grain, et enuite préentée. De nombreux type d aemblage de particule argileue et non argileue exitent. Il permettent d expliquer certain apect du comportement hydromécanique de ol fin, en particulier ceux de gonflement ou d effondrement.

23 6 Introduction Enfin, à la lumière de cette étude microtructurale, le apect hydrique fondamentaux (perméabilité à l eau, rétention d eau, hytéréi) et le comportement mécanique volumique et déviatorique ont brièvement expoé. Le chapitre III e penche ur le technique expérimentale pécifique permettant la meure et le contrôle de la uccion dan le ol non aturé. En effet, pour élaborer une bae de donnée expérimentale ur le comportement hydromécanique de ce ol, il faut être à même de réalier de eai oedométrique, triaxiaux ou autre dan lequel on meure et, i poible, on contrôle (impoe) la uccion. Comme technique de meure de la uccion, nou préenton le teniomètre, la plaque de uccion, la méthode du papier filtre et la méthode pychrométrique. Comme technique de contrôle de la uccion, nou décrivon la méthode de urpreion d air, la méthode omotique et la méthode à preion de vapeur. Leur principe de bae ont expoé, leur domaine d application aini que leur avantage, inconvénient et limitation ont analyé. Le chapitre IV et conacré à la modéliation du comportement hydromécanique de ol non aturé. Aprè avoir brièvement expoé la modéliation de l écoulement de l eau dan ce ol, une étude bibliographique approfondie et réaliée afin d analyer en détail le principaux modèle phénoménologique viant à repréenter leur comportement mécanique. La première difficulté et de choiir correctement le variable d état qui erviront à la formulation. A ce niveau, le concept de contrainte effective (de Terzaghi ou de Bihop), de urface d état et de variable d état indépendante ont paé en revue et examiné de façon critique en fonction de connaiance acquie au chapitre II ur le apect fondamentaux du comportement hydromécanique de ol non aturé. Il en reort que le recour à la contrainte nette (ou à une contrainte effective) et à la uccion comme variable de modéliation permet de repréenter pratiquement tou le phénomène eentiel obervé expérimentalement ur le ol non aturé. Pluieur modèle élato-platique important, écrit en variable indépendante ont analyé. En particulier, celui d Alono-Gen et trè riche de poibilité, tout pécialement dan a verion la plu récente qui tient compte à la foi de apect micro et macrotructuraux de ol argileux. Ce modèle a d ailleur inpiré d autre chercheur (Wheeler et Sivakumar, Cui et Delage, Bolzon, Schrefler et Zienkieicz) qui en ont propoé de extenion ou modification pour l adapter à certain réultat expérimentaux pécifique. De loi contitutive contruite ur de bae différente telle celle de Duncan et Chang et celle de Pietruzczak et Pande ont également étudiée. Une unification de la formulation de loi de comportement élato-platique et alor développée. Elle regroupe, dan une même tructure mathématique, la grande

24 Introduction 7 majorité de loi élato-platique claique (Cam Clay, Drucker-Prager, Dafalia- Kaliakin, Alono-Gen, etc. pour le ol ; mai aui von Mie pour le métaux ; Rhagava pour le colle ). Elle permet de combiner, dan chacun de ce modèle, la dépendance vi à vi de l angle de Lode et le effet de la uccion. Nou dipoon aini d un modèle général et performant que nou avon implanté dan le code aux élément fini LAGAMINE développé au Département MSM de l Univerité de Liège. Nou y avon également implanté la modéliation de l écoulement en milieu non aturé. Le chapitre V raemble et analye un grand nombre de réultat d eai de laboratoire ur deux ol fin cohéif et théoriquement aturé, recontitué en laboratoire: une argile de Kruibeke et un limon de Gembloux. Le donnée expérimentale proviennent d'une recherche nationale financée par le FRFC à laquelle nou avon participé en compagnie de quatre autre laboratoire. Outre la détermination de propriété phyique claique et de granulométrie, de nombreux eai ont été réalié : 122 ur l'argile de Kruibeke et 72 ur le limon de Gembloux. Il 'agit d'eai oedométrique et d'eai triaxiaux conolidé non drainé avec diver niveaux de contrainte de conolidation et de chemin variable de contrainte et de déformation. En outre, certain eai pécifique ont été réalié: eai de longue durée, eai avec modification de la vitee de ciaillement, eai avec modification de la raideur du "ytème" d eau intertitielle et eai avec décharge et recharge. Enfin, quelque eai oedométrique avec déchargement ont également été réalié. La caractériation de propriété initiale de éprouvette a montré que, i le échantillon de limon de Gembloux étaient pratiquement aturé à 1%, le échantillon d'argile de Kruibeke, par contre, n'atteignaient qu'un degré de aturation initiale de l'ordre de 9% avec une aez forte diperion. Nou omme donc en préence d'eai en domaine aturé et quai aturé. Le dépouillement et l'analye de réultat expérimentaux contitue une part importante de ce chapitre et a permi de caractérier de manière quantitative le comportement de ce matériaux: paramètre élatique et élatoplatique, dilatance et contractance, Toutefoi, la forte diperion de réultat d'eai ( à l'intérieur d'un même laboratoire et entre laboratoire) nou a conduit à une étude approfondie de caue de cette diperion, en commençant par une comparaion détaillée de diver protocole expérimentaux. Le méthode de meure de propriété phyique, le procédure de aturation et de conolidation, le paage de l'état conolidé à l'état urconolidé, le vitee de mie en charge, le mode de drainage de éprouvette, le technique de meure du déviateur de contrainte et de la preion intertitielle ont été comparée et analyée à la lumière de connaiance acquie au chapitre IV ur le ol non aturé et quai aturé.

25 8 Introduction Cette étude nou a permi d'introduire une définition précie de la notion d'état quai aturé et d'évaluer non eulement de manière qualitative mai aui quantitative comment le diver apect de protocole d'eai influencent la répone de éprouvette et la qualité de réultat expérimentaux ur ol quai aturé. En particulier, l'étude de l effet d une contre-preion dan la phae de aturation de échantillon montre que, pour un échantillon initialement quai aturé, l'application de la contre-preion peut améliorer grandement le niveau de la aturation. Cependant, pour atteindre la aturation parfaite, il faut ouvent un temp conidérable (qui, dan la plupart de ca, dépae largement la durée de eai). Cela veut dire que, en pratique, la aturation parfaite de échantillon peut difficilement être atteinte. Or ce léger manque de aturation rend le fluide intertitiel nettement plu compreible. L'étude de la compreibilité du mélange eau - air montre que celle-ci influence fortement le réultat de eai et doit être prie en compte pour leur imulation. Il et dè lor important, afin de réduire cette compreibilité, d'utilier de l'eau déaérée pour la aturation de échantillon et de partir d'échantillon préalablement aturé le mieux poible. Le chapitre VI préente et analye une érie de réultat expérimentaux ur deux ol fin non aturé : l'argile de Boom et la bentonite d'almeria compactée. Le donnée expérimentale ont iue d'une recherche financée par la Communauté Européenne à laquelle nou avon participé en compagnie de ix autre laboratoire. Comme au chapitre précédent, il 'agit ici de matériaux recontitué. En particulier, pour l'argile de Boom, troi type d'échantillon ont été réalié, oit à partir de poudre d'argile humidifiée pui compactée, oit à partir de patille d'argile d'environ 2mm de diamètre, oit à partir d'un mélange de deux. Pour l'argile de Boom, le eai diponible ont de eai oedométrique conventionnel et à uccion contrôlée, de eai de gonflement en chemin de mouillage et de échage ou différente charge verticale et de eai de preion de gonflement. La courbe de rétention d'eau a aui été établie. Pour la bentonite d'almeria, le réultat diponible concernent de eai de compreion uniaxiale et triaxiale, de eai de preion de gonflement, de eai oedométrique à uccion contrôlée, de eai de gonflement ou différente charge verticale aini que de eai de perméabilité et de rétention d'eau. Tou le réultat de ce eai ont préenté et analyé en détail. En particulier, on voit apparaître le effet de couplage entre la microtructure et la macrotructure ignalé au chapitre II et modélié au chapitre IV.

26 Introduction 9 Le dépouillement de ce eai fournit une bonne bae pour déterminer le paramètre néceaire à diver modèle. Le but du chapitre VII et la vérification et la validation du modèle unifié développé au chapitre IV. Toutefoi, nou introduion au préalable, dan la loi d'écoulement, la compreibilité du mélange air-eau vu on influence eentielle pour le ol quai aturé (influence ur l'emmagainement, évolution de la aturation en fonction de la preion d'eau, variation de la perméabilité en fonction de la aturation et de la poroité). Nou pouvon aini réalier de étude numérique couplée (mécanique + écoulement) pour de ol aturé, quai aturé et non aturé. La phae de vérification conite à 'aurer que ce modèle couplé peut reproduire correctement de réultat d'eai ayant ervi à calibrer e paramètre. Dan ce but, nou effectuon le imulation d'une érie d'eai ur l'argile de Kruibeke et le limon de Gembloux. Ceci permet non eulement de vérifier que le modèle et fiable dan le domaine quai aturé mai aui de réalier de étude de enibilité qui mettent en évidence, de manière quantitative, le influence de la aturation incomplète, de la contre-preion et de certain paramètre du modèle La phae de validation tend à évaluer le capacité prédictive du modèle. Elle conite à imuler numériquement de eai n'ayant pa ervi au calibrage de paramètre du modèle. La première validation porte ur l'argile de Boom. Pour calibrer le paramètre, nou imulon d'abord une érie d'eai de gonflement effondrement à uccion contrôlée ou différente charge contante. Enuite, nou effectuon une imulation en aveugle (c'et-à-dire avant d'avoir connaiance de réultat de laboratoire) d'un eai de preion de gonflement avec le paramètre identifié préalablement. La bonne concordance entre le réultat expérimentaux et numérique et à la foi qualitative (évolution de preion durant la phae de échage) et urtout quantitative (preion de gonflement maximale durant la phae de mouillage, preion horizontale réiduelle). La econde validation conite à imuler, également en aveugle, un eai de chauffage-mouillage ur la bentonite. Ce problème fort complexe couple de nombreux phénomène: tranfert de chaleur, apparition de vapeur d'eau, écoulement d'eau et déformation due aux variation de uccion et de température, etc. La imulation 'et effectuée en collaboration avec de collègue qui e ont occupé de apect thermique et de leur couplage avec l'écoulement d'eau. Nou avon pri en charge le apect mécanique et le couplage hydromécanique. Bien que le information ur la bentonite utiliée pour cet eai ne oit pa riche, nou avon néanmoin réui à élaborer un jeu de paramètre raionnable qui ont conduit à de réultat de imulation en bon accord avec ceux de l'eai.

27 1 Introduction Enfin, le chapitre VIII tire le concluion de ce travail et propoe quelque pite pour de développement futur. 4. APPORTS ORIGINAUX DE CETTE THÈSE Sauf erreur de notre part, cette thèe emble être la première, à l'univerité de Liège, orientée ver l'étude du comportement hydromécanique de ol non aturé. Nou avon dè lor conacré un effort important à ynthétier l'état de connaiance actuelle dan ce domaine. A cet égard, le étude bibliographique détaillée de chapitre II, III et IV et la mie en évidence de relation entre celle-ci (notamment entre le apect microtructuraux, macrotructuraux et leur modéliation) nou paraient un apport utile pour une meilleure compréhenion du ujet abordé ici. Cela étant dit, le élément de cette thèe qui, à notre connaiance, contituent de contribution originale ont le uivant: au chapitre IV, le développement d'une formulation de loi de comportement élatoplatique qui regroupe, dan une même tructure mathématique, la grande majorité de loi élato-platique de ol et permet de combiner, avec n importe laquelle de celle-ci, la dépendance vi à vi de l angle de Lode et le effet de la uccion; au chapitre V, l'introduction précie de la notion d'état quai aturé, caractérié par la préence de bulle d'air dan l'eau intertitielle qui remplit toutefoi la totalité de pore, et l'étude quantitative de conéquence de cet état: prie en compte de la compreibilité du fluide intertitiel, effet de la contre-preion et évaluation quantitative de protocole d'eai; aux chapitre V et VI, le dépouillement aini que l'analye détaillée et critique d'un trè grand nombre d'eai hydromécanique (plu de 2) ur 4 ol fin en état aturé, quai aturé et non aturé aini que la détermination de paramètre de modèle de ol fin non aturé; au chapitre VII, l'introduction de la compreibilité du mélange air-eau dan la loi d'écoulement du fluide intertitiel; au chapitre VII, la détermination de paramètre de comportement de pluieur ol fin, baée ur une étude approfondie de réultat expérimentaux, qui a conduit à de réultat de imulation en bon accord avec ceux de eai; au chapitre VII, la validation du modèle couplé complet (effet mécanique, de uccion et d'écoulement) par de imulation numérique d'eai de laboratoire à petite et moyenne échelle ur ol quai aturé et non aturé, notamment par de imulation réaliée en aveugle.

28 Sol non aturé 9 1. INTRODUCTION Compoition minéralogique de ol fin Généralité Minéralogie de ol fin : minéraux argileux La tructure générale de minéraux argileux L'eau dan le ol Le gaz dan le ol 2 5. Interaction entre le phae olide et fluide Interaction eau-olide: phénomène d'adorption de l'eau ur le particule olide Interaction gaz-eau Interface gaz-eau : tenion uperficielle Humidité relative (diagramme d'état de l'eau) Interaction air-eau-olide : capillarité Succion Succion matricielle Succion omotique Approche thermodynamique Effet de la uccion ur le particule olide Microtructure de ol non aturé Microtructure de ol granulaire Microtructure de ol fin (ol argileux) Apect hydrique fondamentaux de ol non aturé Perméabilité à l eau Courbe de rétention d eau Phénomène d hytéréi Comportement mécanique fondamentaux de ol non-aturé Comportement volumique Comportement déviatorique 5 9. Concluion Influence de la minéralogie Influence de la granulométrie Influence de la microtructure Influence de la teneur en eau Influence de la compoition chimique de l'eau 52

29 1 Sol non aturé

30 Sol non aturé 13 CHAPITRE II SOLS NON SATURES 1. INTRODUCTION Un ol aturé et un milieu bi-phaique (olide et liquide), alor que dan un ol non aturé, le pore ont partiellement rempli d'eau et d'air ou éventuellement de gaz, de pétrole,... Autrement dit, un ol non aturé et un milieu au moin triphaique (phae olide, liquide et gazeue). Dan la uite de cette thèe, on conidère en général que l'eau repréente la phae liquide, tandi que la phae gazeue et contituée d'air et/ou de vapeur d'eau. L'interaction gaz-eau-olide rend le comportement mécanique d un ol non aturé beaucoup plu complexe que celui d'un ol aturé. En outre, la preion d'eau et toujour inférieure à la preion de gaz dan un ol non aturé. Cette différence de preion entre le gaz et l'eau, appelée uccion, et à l'origine de certain comportement hydromécanique particulier du ol non aturé. Le comportement hydromécanique d'un ol dépend non eulement de a nature (compoition minéralogique, état de l'eau et du gaz qui y ont préent, etc. ) mai aui, dan une large meure, de a microtructure. Le but de ce chapitre et de faire une ynthèe de caractéritique le plu importante de ol non aturé afin de dipoer d une bae aine pour l analye et la modéliation de leur comportement. 2. COMPOSITION MINÉRALOGIQUE DES SOLS FINS 2.1. Généralité Nou adopton ici le point de vue du géomécanicien, qui diffère de celui de géologue, de pédologue ou de agronome. Le ol ont défini ici comme le réidu de l'altération de différent type de ubtrat, rocheux ou meuble. Ce ont de corp formé de particule olide non recimentée. La compoition minéralogique de ol dépend directement de celle de la roche mère. Cependant, l'altération peut modifier cette compoition. Le particule olide de ol ont compoée de diver minéraux. Il ont ouvent claé en quatre catégorie uivant leur compoition, mode de formation et caue de formation : minéraux primaire, minéraux econdaire, el et matière organique. Le minéraux primaire : Ce ont le minéraux réiduel qui ont échappé à l altération parce qu il ont table (il conervent alor la ignature minéralogique et géochimique de matériaux parent) ou intable (n ayant pa ubi uffiamment le

31 14 Sol non aturé effet de l altération). Par exemple, le quartz, le feldpath et le mica, qui e retrouvent dan divere fraction granulométrique, ont le minéraux primaire le plu abondant dan le ol. Il peuvent réulter d une imple éroion de ubtrat avec tri granulométrique au cour du tranport, urtout par l eau, et au cour de la édimentation. Cette catégorie de minéraux e retrouve ouvent dan le ol granuleux : able groier, gravier, etc. Le minéraux econdaire : Il réultent de la tranformation (ou dégradation) géochimique et impliquent donc un changement de tatut minéralogique aux dépen de minéraux primaire, accompagné d une réduction de taille. Il comprennent diver type de minéraux argileux (imple ou intertratifié) aini que de hydroxyde ou oxyde généralement de Fe, parfoi de Mn ou d Al. Le minéraux argileux e cantonnent dan une gamme granulométrique comprie entre le micron et quatre micron. Mai tou le produit de l altération peuvent ne pa être critallié ou critallin. Le élément chimique qui le caractérient ne ont pa trictement organié bien qu incorporant Si, Al et de l eau. Ce ont le matière amorphe ou allophane. Etant donné qu'il ont le contituant principaux de ol fin, ujet principal de cette thèe, nou le préenton plu en détail ci-aprè. Le el oluble : Le olution qui réultent de l altération par hydrolye tranportent de élément chimique actif tel que K, Na, Ca, Mg. Soit ce élément quittent définitivement le ite de l altération, oit il y demeurent en contituant de phae minérale neuve (carbonate, ulfate, el). Le carbonate peuvent jouer un rôle de ciment temporaire ou définitif cellant le minéraux argileux. K et Na peuvent aui ubiter dan ou à proximité de minéraux argileux. Par conéquent, ce el peuvent influencer fortement le comportement hydromécanique de ol. Le matière organique : Elle réultent de la tranformation hydrolytique ou biologique de réidu végétaux à la urface de ol. Ce réidu peuvent être réincorporé plu ba dan le matériau argileux du ol. La matière organique, à raion de quelque pour-cent, peut être préente dan le édiment. Elle e caractérie par une forte capacité de rétention d eau et par là agit eniblement ur le comportement géomécanique d un matériau argileux Minéralogie de ol fin : minéraux argileux Le vocable ol fin déigne en général le argile, le ilt et le limon, uivant la claification de ol par granulométrie. Comme indiqué ci-deu, le ol fin ont eentiellement compoé de minéraux argileux. Le caractéritique phyico-chimique de ce dernier ont donc de facteur déterminant pour le comportement mécanique. Le particule de minéraux argileux préentent, en effet, deux caractéritique particulière et importante: 1. Elle ont de trè petite taille et aocient l eau à leur tructure, ce qui leur confère de propriété colloïdale intéreante au point de vue géomécanique;

32 Sol non aturé La majorité de minéraux argileux e caractérie par une microtructure lamellaire ou foliaire organiée elle-même elon une intégration multiéchelle. En conéquence, la urface pécifique de minéraux argileux aini que la capacité d échange cationique peuvent être élevée. Ce deux paramètre rendent compte de pluieur propriété hydromécanique importante, tel que le phénomène d adorption d eau autour de particule argileue et au ein de la tructure foliaire, la capacité de gonflement chez certaine epèce minérale, l'étendu du domaine platique, etc 2.3. La tructure générale de minéraux argileux La tructure de minéraux ilicaté, parmi lequel e claent le minéraux argileux, et bâtie ur l agencement de ion oxygène. Ceux-ci ont groupé autour du ilicium ou forme de tétraèdre (SiO 4 ) 4+ et autour de l aluminium ou forme de tétraèdre et d octaèdre (figure 2-1). Dan la charpente de ilicate, le remplacement iomorphique (ubtitution) de Al 3+ par de Si 4+ ont fréquent dan le tétraèdre (AlO 4 ) 5- et induient de déficit de charge et de phénomène de déordre en créant de tétraèdre de taille moyenne. L agencement de groupement ilicaté aini que le rempliage en cation aurent la cohéion et la neutralité électrique de l édifice. Le minéraux argileux correpondent à de ilicate en feuillet (phylloilicate) qui ont tou en commun, uivant le plan critallographique (1), une trame ilicatée de formule générale (SiA1) 4 O 1 /(OH) 2. Toutefoi, leur architecture elon la normale à ce plan peut être différente et c et elle qui détermine le diver groupe de minéraux argileux. Le principale caractéritique tructurale de minéraux argileux imple (kaolinite, illite, mectite, chlorite, vermiculite et plu particulièrement parmi le phylloilicate proprement dit, le talc) découlent de l agencement de feuillet, unité de bae. Le feuillet ont contitué de couche tétraédrique (Te) auxquelle ont toujour aociée de couche octaédrique (Oc). Deux motif d aociation ont aini poible : motif Te-Oc (ou 1/1) et motif Te-Oc-Te (ou 2/1). Dan la couche octaédrique Oc, un ion aluminium et entouré par de hydroxyle OH -, troi ite octaédrique ont préent (figure 2-1 et 2-2). Selon le rempliage de ce ite, on ditingue de minéraux argileux dit trioctaédrique pour lequel le troi ite ont occupé par de cation bivalent (Mg 2+, Fe 2+ ) et de minéraux dioctaédrique dan lequel deux ite ont eulement occupé par de cation trivalent (Al 3+, Fe 3+ ). Dan le couche tétraédrique, chaque tétraèdre a on centre occupé par le ilicium et e ommet par le ion oxygène, l enemble organie en un anneau hexagonal (correpondant à la cavité hexagonale) qui dan le ca, de mica et de illite, par exemple, et occupé par l ion potaium. Celui-ci forme le tenon potaique qui aure la liaion entre deux feuillet directement uperpoé. En effet, dan leur mode d empilement, le feuillet Te-Oc et Te-Oc-Te ont éparé par de epace appelé interfoliaire. Ce dernier peuvent être vide (ca du talc) ou ont occupé par de cation anhydre (potaium, dan le ca de illite et de

33 16 Sol non aturé mica), de cation plu ou moin hydraté (Mg, dan le vermiculite; Na et/ou Ca, dan le mectite) ou encore par une couche upplémentaire d hydroxyde, compoée repectivement de Mg, de Fe voire de Al, dan le ca de chlorite. De ubtitution iomorphique peuvent exiter éparément dan le couche tétraédrique ou octaédrique ou dan le deux type de couche à la foi. C et à partir du type de motif (1/l ou 2/1), de l occurrence d un rempliage interfoliaire ou non, de l occupation de ite octaédrique dan le couche octaédrique, de ubtitution iomorphique éparée ou combinée dan le couche tétraédrique et/ou octaédrique, que le minéraux argileux imple peuvent être claé en grande famille ou groupe. Leur formule chimique générale peut être réumée aini: couche tétraédrique : (Si 4-x Al x ) couche octaédrique : O 1 (Al 2-y Mg y )(OH 2 ) cation interfoliaire compenateur : M x+y Figure 2-1 : Couche tétraédrique et octaédrique (d'aprè Mitchell, 1976) L empilement de feuillet et de epace interfoliaire qui le éparent e fait pratiquement d une manière perpendiculaire à l axe critallographique. Un feuillet et un epace interfoliaire adjacent contituent l unité tructurale dont l épaieur fondamentale

34 Sol non aturé 17 et variable et comprie entre 7Å (kaolinite) et 17Å (mectite hydratée, naturellement ou artificiellement) (figure 2-2). te te oc oc te te ion-k te te Na, Ca + H 2 O oc oc te te illite montmorillonite oc te oc Liaion hydrogène te kaolinite te : tétraèdre oc : octaèdre Figure 2-2 : Préentation chématique de l'unité tructurale pour quelque minéraux argileux Nou nou borneron ici à la préentation de quelque grand type de minéraux argileux ( tableau 2-1): le minéraux argileux à deux couche (Te-Oc ou l/1): par exemple, la kaolinite (Si 2 O 5 )A1 2 (OH) 4, minéral dioctaédrique dan lequel le ubtitution ont inexitante ou trè limitée: de ce fait, chaque feuillet Te-Oc et électriquement neutre. La cohéion de la tructure et aurée par le liaion hydrogène. L epacement baal et de 7Å. Le minéral et inerte vi-à-vi de l eau. le minéraux à troi couche (Te-Oc-Te ou 2/1). Ce dernier ont caractérié par de nombreue epèce minérale parmi lequelle on trouve le illite-mica, le mectite, le chlorite et le vermiculite: le illite ont caractériée par la ubtitution partielle du Si dan le couche tétraédrique par un maximum de 15% d aluminium. Cette caractéritique entraîne un déficit de charge compené par l inertion de potaium dan le epace interfoliaire (en fait dan la cavité hexagonale). La formule générale et K x Al 14 (OH) 4 Si 8- xa1 x O 2.nH 2 O. La ditance interfoliaire ou l epacement baal et de 1Å. Le mectite (variété di- et trioctaédrique, le première étant le plu courante) ont caractériée par de ubtitution tantôt tétraédrique (Si par Al) dan le montmorillonite, ou octaédrique (Al par Mg) dan le beidellite ou le deux à la foi (Fe) dan le nontronite. Le formule chimique qui en découlent ont dè lor

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V)

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V) TP aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) Introduction p I Effet de champ à l interface Si/SiO p Fonctionnement d une capacité MOS p Principe

Plus en détail

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création Doier : Getion d entreprie 42 La Getion de filiale dan une PME : Bonne Pratique et Piège à éviter Certaine PME ont tout d une grande. entreprie. A commencer par la néceité d avoir de filiale. Quel ont

Plus en détail

Progressons vers l internet de demain

Progressons vers l internet de demain Progreon ver l internet de demain COMPRENDRE LA NOTION DE DÉBIT La plupart de opérateur ADSL communiquent ur le débit de leur offre : "512 Kb/", "1 Méga", "2 Méga", "8 Méga". À quoi ce chiffre correpondent-il?

Plus en détail

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols.

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols. Univerité Pierre et Marie Curie, École de Mine de Pari & École Nationale du Génie Rural de Eaux et de Forêt Mater Science de l Univer, Environnement, Ecologie Parcour Hydrologie-Hydrogéologie Apport de

Plus en détail

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM Cap Math CP 2 cycle Guide de l eneignant Nouveaux programme SOUS LA DIRECTION DE Roland CHARNAY Profeeur de mathématique en IUFM Marie-Paule DUSSUC Profeeur de mathématique en IUFM Dany MADIER Profeeur

Plus en détail

Trouver des sources de capital

Trouver des sources de capital Trouver de ource de capital SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Emprunt garanti et non garanti Vente de part de capital Programme gouvernementaux Source moin courante SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Quelque principe

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION P6 : ALIMNAION A DCOUPAG : HACHUR SRI CONVRISSUR SAIQU ABAISSUR D NSION INRODUCION Le réeau alternatif indutriel fournit l énergie électrique principalement ou de tenion inuoïdale de fréquence et d amplitude

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you.

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you. Erwan, d une mae de 65 kg, fait un aut de Bungee. Il tombe de 0 m avant que la corde du bungee commence à étirer. Quel era l étirement maximal de la corde i cette dernière agit comme un reort d une contante

Plus en détail

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1 Projet Courbe de Taux Daniel HERLEMONT Objectif Développer une bibliothèque en langage C de fonction relative à la "Courbe de Taux" Valeur Actuelle, Taux de Rendement Interne, Duration, Convexité, Recontitution

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ LETTRE MENSUELLE DE CONSEILS DESTINÉS À MAXIMALISER LE FLUX DE REVENUS RETIRÉS DE VOTRE SOCIÉTÉ OPTIMALISATION DU MOIS Déterminer le taux du marché... Si votre ociété vou vere un intérêt, elle doit de

Plus en détail

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie 1 Impact de l éolien ur le réeau de tranport et la qualité de l énergie B. Robyn 1,2, A. Davigny 1,2, C. Saudemont 1,2, A. Anel 1,2, V. Courtecuie 1,2 B. Françoi 1,3, S. Plumel 4, J. Deue 5 Centre National

Plus en détail

Le paiement de votre parking maintenant par SMS

Le paiement de votre parking maintenant par SMS Flexibilité et expanion L expanion de zone de tationnement payant ou la modification de tarif ou de temp autorié peut e faire immédiatement. Le adree et le tarif en vigueur dan le nouvelle zone doivent

Plus en détail

Guide de configuration d'une classe

Guide de configuration d'une classe Guide de configuration d'une clae Viion ME Guide de configuration d'une clae Contenu 1. Introduction...2 2. Ajouter de cour...4 3. Ajouter de reource à une leçon...5 4. Meilleure pratique...7 4.1. Organier

Plus en détail

MIPOLAM EL. gerflor.fr

MIPOLAM EL. gerflor.fr MIPOLAM EL gerflor.fr MIPOLAM EL Électronique Salle propre et térile Santé, Plateaux technique 2 Une gamme complète de produit pour tou locaux enible aux rique ESD L électricité tatique L électricité tatique

Plus en détail

Produire moins, manger mieux!

Produire moins, manger mieux! Raak doier d Alimentation : o Produire moin, manger mieux! Nou voulon une alimentation de qualité. Combien de foi n entendon-nou pa cette revendication, et à jute titre. Mai i tout le monde et d accord

Plus en détail

Ventilation à la demande

Ventilation à la demande PRÉSENTATION Ventilation à la demande Produit de pointe pour ventilation à la demande! www.wegon.com La ventilation à la demande améliore le confort et réduit le coût d exploitation Lorque la pièce et

Plus en détail

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS onception de convertieur D/D à bae de MEMS S. Ghandour To cite thi verion: S. Ghandour. onception de convertieur D/D à bae de MEMS. Micro and nanotechnologie/microelectronic. Univerité Joeph-Fourier -

Plus en détail

Table des matières. Introduction. 1

Table des matières. Introduction. 1 Avant propo Le travail préenté dan ce mémoire a été réalié au ein du laboratoire d électromécanique de Compiègne (LEC) ou la direction de Monieur Jean Paul Vilain dan le cadre d une convention indutrielle

Plus en détail

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion Moéliation une ection e poutre fiurée en flexion Prie en compte e effort tranchant Chritophe Varé* Stéphane Anrieux** * EDF R&D, Département AMA 1, av. u Général e Gaulle, 92141 Clamart ceex chritophe.vare@ef.fr

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage Prudence, Epargne et Rique de Soin de Santé Chritophe Courbage ASSOCIATION DE GENÈVE Introduction Le compte d épargne anté (MSA), une nouvelle forme d intrument pour couvrir le dépene de anté en ca de

Plus en détail

Sciences et technologies de l information et de la communication

Sciences et technologies de l information et de la communication Science et technologie de l information et de la communication 174 page Contexte général 176 page 5 appel à projet en 2013 ChIST-ERA Edition 2013 Call 2012 Contenu numérique et interaction - CONTINT Infratructure

Plus en détail

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011 R E P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E DEPARTEMENT DE LA CREUSE ARRONDISSEMENT D AUBUSSON COMMUNE DE FELLETIN P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 eptembre

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe Doier Par Yoan Langlai La tablette pour enf Si 6 million de tablette devraient e vendre cette année en France (préviion GfK), on etime à 1 million le nombre de vente de tablette pour enfant en 2013. Sur

Plus en détail

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt.

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt. Courrier Fédéral N 320 du 13.10.12 au 19.10.12 @ @ Adree du ite de la FTM-CGT http://www.ftm-cgt.fr Fédération de travailleur de la métallurgie CGT ISSN 0152-3082 EDITORIAL Aprè la journée de mobiliation

Plus en détail

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation Donnée Fait La pécificité de ce iège tient à la découverte qu il faut troi point d articulation pour aurer au corp un outien ergonomique efficace dan toute le poition. vou relaxe et vou accompagne comme

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

ASSURANCE AUTO. conditions générales

ASSURANCE AUTO. conditions générales ASSURANCE AUTO condition générale VOTRE CONTRAT Le contrat d'aurance auto ditribué par idmacif.fr et auré par Macifilia, SA au capital de 8 840 000, entreprie régie par le code de aurance - RCS Niort n

Plus en détail

La direction des solidarités Se loger à Moissy

La direction des solidarités Se loger à Moissy La direction de olidarité Se loger à Moiy La direction de olidarité La Source - Place du Souvenir - BP24-77550 Moiy-Cramayel cedex Tél. : 01 64 88 15 80 - Fax : 01 64 88 15 26 QU EST CE QUE LA GUP LA GESTION

Plus en détail

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial info-réeau Journal d information du Comité National de Liaion de Régie de Quartier 62 N juillet 2014 Un projet partagé Sommaire 2-3 En direct de Régie À Libourne (33) et à Saint-Pierre-d Albigny (73) Portrait

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

Gestion des services IT Foundation basée sur la norme ISO/CIE 20000

Gestion des services IT Foundation basée sur la norme ISO/CIE 20000 Guide de Préparation Getion de ervice IT Foundation baée ur la norme ISO/CIE 20000 Édition Novembre 2013 Copyright 2013 EXIN All right reerved. No part of thi publication may be publihed, reproduced, copied

Plus en détail

unenfant Avoir en préservant ses droits

unenfant Avoir en préservant ses droits Avoir unenfant en préervant e droit Guide adreant aux travailleue et travailleur du ecteur public du réeau de la anté et de ervice ociaux Le comité de condition féminine de la La mie à jour de ce guide

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Introduction aux algorithmes de bandit

Introduction aux algorithmes de bandit Mater MVA: Apprentiage par renforcement Lecture: 3 Introduction aux algorithme de bandit Profeeur: Rémi Muno http://reearcher.lille.inria.fr/ muno/mater-mva/ Référence bibliographique: Peter Auer, Nicolo

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Catalogue des FORMATIONS

Catalogue des FORMATIONS Catalogue de FORMATIONS 2015 Service Formation 17 cour Xavier Arnozan CS 71305 33082 Bordeaux Cedex Tél. 05 56 79 64 11 formation@gironde.chambagri.fr Reponable Béatrice HÉNOT Aitante Nathalie MÉLÉDO Anne-Marie

Plus en détail

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY

Plus en détail

Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux

Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Belkacem MOUSSAI Docteur Laboratoire de géotechnique Gérard DIDIER Docteur-Ingénieur Maître de conférences

Plus en détail

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Depui maintenant ept an, l Univerité Numérique Pari Île-de France vou accompagne dan la découverte de

Plus en détail

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr

Plus en détail

Le réseau essentiel pour les RPs et les journalistes

Le réseau essentiel pour les RPs et les journalistes Le réeau eentiel pour le RP et le journalite Biographie Interet Coverage Analyi Note ur le publication Tou le Journalite Le Département Etabliez le bon contact Gorkana a pour but de mettre en relation

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE SERVICE PUBLIC DE WALLONIE Evaluation la tratégie régionale wallonne en matière programme opérationnel à caractère durable dan le ecteur fruit et légume Cahier Spécial Charge n MP2012_Eval_PO_2012 Rapport

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk Contruire 1 un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk 2 3 Contruire un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

N à voir Date moi Année Nom_source Type_source Auteur Titre Url_bdd Langue_ Pays Texte_original Texte_traduit. Computers

N à voir Date moi Année Nom_source Type_source Auteur Titre Url_bdd Langue_ Pays Texte_original Texte_traduit. Computers N à voir Date moi Année Nom_ource Type_ource Auteur Titre Url_bdd Langue_ Pay Texte_original Texte_traduit 1 11/15/2013 11 2013 Blog_Bit_New_York_Time Expert_blog Quentin_Hardy Amazon Bare It http://bit.blog.nytime.com/20

Plus en détail

LE LIVRET DE L AIDANT

LE LIVRET DE L AIDANT LE LIVRET DE L AIDANT Vou accompagnez un parent âgé à domicile Ce livret et fait pour vou! Information, coneil, adree utile pour vou aider et vou accompagner au quotidien www.orpea.com www.afer.ao.fr www.afer.ao.fr

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

Boas-vindas. Welkom. Bienvenido. Étudier. Bem-vindo. à Montpellier, Bienvenue. Welcome. GUIDE pratique. Willkommen. Bem-vindo.

Boas-vindas. Welkom. Bienvenido. Étudier. Bem-vindo. à Montpellier, Bienvenue. Welcome. GUIDE pratique. Willkommen. Bem-vindo. Welkom Boa-vinda Étudier Bienvenido Bem-vindo à Montpellier, Nîme, Perpignan Bienvenue Welcome Willkommen Benvenuto Bem-vindo GUIDE pratique POUR LES Étudiant internationaux EDITION 2015 SOMMAIRE 1 Préentation

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Le journal des entreprises locales

Le journal des entreprises locales Ouvert 251 rue de Belfort Centre Commercial le Trident (à côté de Darty) Mulhoue Dornach Pour votre anté, mangez au moin cinq fruit et légume par jour. www.mangerbouger.fr N 13 ept./oct. 2014 Le journal

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

LOGEMENT P. 02 À 05 Cité U, studio, coloc... Les étudiants ont le choix. ZOOM P. 05 Le logement intergénérationnel

LOGEMENT P. 02 À 05 Cité U, studio, coloc... Les étudiants ont le choix. ZOOM P. 05 Le logement intergénérationnel PARCOURS Supplément formation & emploi du Petit Bulletin n 843 /// Mai 2012 Alexi Coroller Supplément réalié avec l Univerité de Grenoble ÉTUDIANT, LA COURSE DE FOND LOGEMENT P. 02 À 05 Cité U, tudio,

Plus en détail

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique

Plus en détail

Michaël Terzo & Nicolas Vereecken

Michaël Terzo & Nicolas Vereecken ichaël Terzo & Nicola Vereecken U n jardin pour le abeille auvage, l idée qui et à la bae de cette brochure et, d une manière plu large, d un projet développé par troi univerité belge (ULB, UGent, Uon)

Plus en détail

Centrale d'alarme SI 80-3

Centrale d'alarme SI 80-3 Centrale d'alarme SI 80-3 Notice d'intallation Siemen AG Siemen AG 01.011 Caractéritique technique ou réerve de modification. Livraion ou réerve de diponibilité. Le donnée et la conception peuvent être

Plus en détail

H 1000. Le système de bridage. multifonctionnel

H 1000. Le système de bridage. multifonctionnel Le ytème de ridage mutifonctionne 2 Rapidité, préciion et fidéité de répétition Le ytème de ridage et une innovation interne de a maion Meuurger. Avec a vou avez non euement avantage de travaier vite et

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.

5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant. FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus

Plus en détail

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Décharges. La meilleure protection des couches étanches à l eau. Décharges

Décharges. La meilleure protection des couches étanches à l eau. Décharges Décharges La meilleure protection des couches étanches à l eau Décharges Décharges LA MEILLEURE PROTECTION DES COUCHES ÉTANCHES À L EAU Les produits minéraux de drainage comme le gravier et le sable de

Plus en détail

À DRAINAGE GRAVITAIRE

À DRAINAGE GRAVITAIRE LE CHAUFFE-EAU SOLAIRE INDIVIDUEL À DRAINAGE GRAVITAIRE ET CIRCUIT HERMÉTIQUE LE DOMOSOL : AIDE AU CHAUFFAGE SE SOLAR HEAT Naturelle, renouvelable, inépuisable ~ L'énergie solaire n'est pas sujette aux

Plus en détail

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

Nature du marché (services, travaux, fournitures, presta. Intellectuelles, maîtrise d'œuvre) forfaitaire; marché à M. négocié, bons de commande;

Nature du marché (services, travaux, fournitures, presta. Intellectuelles, maîtrise d'œuvre) forfaitaire; marché à M. négocié, bons de commande; Coneil général du 3 octobre 201 archive départementale Objet Dépouiérage et reconditionnement en boîte conervation document d'archive pour le beoin du Coneil général Seineet Nom du Nature (ervice, travaux,

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Les calottes polaires Isostasie Champ de température

Les calottes polaires Isostasie Champ de température 1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES CENTRALES NUCLEAIRES Montrouge, le 9 février 2015 Réf. : CODEP-DCN-2015-002998 Monsieur le Directeur Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre

Plus en détail

numéro 2 avril 2006 PORTRAIT Les services techniques p. 14 SCOLARITÉ Lycée et nouveau groupe scolaire p. 16 CARNAVAL p.5 SOCIAL TRANSPORTS

numéro 2 avril 2006 PORTRAIT Les services techniques p. 14 SCOLARITÉ Lycée et nouveau groupe scolaire p. 16 CARNAVAL p.5 SOCIAL TRANSPORTS CARNAVAL p.5 PORTRAIT Le ervice technique p. 14 SCOLARITÉ Lycée et nouveau groupe colaire p. 16 SOCIAL TRANSPORTS ENFANCE Obtenez un numéro Bu : ligne 34 Incrire mon enfant unique départemental p. 15 à

Plus en détail

Les hydrocarbures non conventionnels : évolution ou révolution?

Les hydrocarbures non conventionnels : évolution ou révolution? Depuis maintenant quelques années, les hydrocarbures non conventionnels prennent une place grandissante dans l'approvisionnement mondial en hydrocarbures. Est-ce une révolution ou une évolution normale?

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp

Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp Septembre 2005 Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp L'IFP inscrit les travaux sur la réduction des émissions de CO 2 au cœur de ses programmes de recherche. La stratégie de l'ifp

Plus en détail