Les virus dans les aliments : un nouveau défi pour les laboratoires de microbiologie
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- Robin Laberge
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1 : un nouveau défi pour les laboratoires de microbiologie Véronique ZULIANI, Institut de la Filière Porcine Jean Christophe Augustin, ENVA, ASA Qu est ce qu un virus? Microorganisme de 15 à 40 nm Environ 10 à 100 fois plus petit qu une bactérie Génome constitué d un seul type d acide nucléique ARN Enterovirus : diverses maladies dont gastro-entérites Rotavirus : gastro-entérites infantiles Norovirus : gastro-entérites VHE, VHA : hépatites ADN Adenovirus : diverses maladies dont digestives Multiplication via l infection de cellules hôtes Pas de multiplication dans l aliment
2 Virus responsables des gastro-entérites Non enveloppés résistance accrue à la température, à la dessiccation Disséminé par les selles ou les vomissures Titre viral élevé : 10 8 UFP/ gramme (Norovirus) Grande stabilité Faible dose infectieuse Favorise les épidémies Transmission des virus par les aliments lisier abreuvement selles Bassin pisciculture arrosage Contamination fécale Contamination fécale IAA : matières premières contaminées Non respect des BPH
3 Étiologie des infections d origine alimentaire en France Etiologie Etiologie des des cas cas hospitalisés décédé totaux s (%) (%) 40,1 2,5 5,2 0,3 0,4 25,3 94,5 34,6 97,1 Bactéries Virus Parasites Source : Rapport «Morbidité et mortalité dues aux maladies infectieuses d origine alimentaire en France» - InVS Mars 2004 Epidémies récentes en Europe Rapid Alert System for Food and Feed : Danemark, Italie + Norvège + Pays bas (Norovirus) : Huîtres crues (France) : Allemagne : Huîtres crues (France) : Pays Bas (Norovirus) : Framboises congelées (?) : Malte (Norovirus) : Huîtres crues (France) Autres épidémies récentes 2005 : Danemark (Norovirus) : Framboises surgelées (Pologne) : 1000 cas, 5 décès 2007 : Grande Bretagne (Norovirus) : salades 36 cas 2007 : Bulgarie : origine inconnue, 977 cas
4 Pourquoi rechercher les virus dans les aliments? Nombreuses infections alimentaires : conséquences sanitaires et économiques Règlement européen ( CE n 2073/2005) Objectif fondamental : niveau élevé de protection de la santé humaine et animale Denrées : pas de toxines, métabolites, microorganismes avec un risque inacceptable pour la santé humaine Pourtant pas de critère de sécurité relatif aux virus Absence de méthodes Quelles méthodes utiliser? Préparation de l échantillon Élimination de la matrice Concentration des particules virales Détection Culture cellulaire Biologie moléculaire Immunologie
5 Préparation de l échantillon Échantillon solide Échantillon liquide Extraction Élution /clarification Séparation particules virales matrices + collecte dans un éluant Concentration Réduction du volume de l échantillon + adaptation à la méthode de détection Détection des virus (principales méthodes) CONCENTRATS Virus cultivable pouvoir infectieux Inoculation lignées cellulaires titre viral dénombrement plages de lyse Immunodétection Enterovirus Fragments de génomes viraux VHA VHE Extraction ARN/ADN RT-PCR temps réel Séquençage Biopuces RT-PCR PCR Hybridation Antigènes immunodétection ELISA Fluorescence Radioactivité
6 Culture cellulaire Culture de cellules : nombreux passages Infections de la culture par les virus Observation microscopique passages Plages de lyse + ECP passages Culture cellulaire Témoigne du caractère infectieux = méthode de référence Sensible : à condition d utiliser plusieurs lignées cellulaires ~ 2 UFP/ 25g Quantitative : dénombrement des plage de lyses Pas d effet lié à la matrice
7 Culture cellulaire Applicable uniquement aux virus «!cultivables!» Longue : liée à la multiplication cellulaire (qq semaines) Lourde et complexe à mettre en oeuvre : acquisition matériel : PSM, azote liquide, incubateur C0 2 Formation personnel Modification des locaux : salles propres / salles contaminées Manque de standardisation : Protocole à mettre en œuvre comparaison : limitée à même lignée cellulaire CEN/TC 275/WG6/TAG 4 + AFNOR : méthodes de détection Les virus standardisées dans les aliments pr certains entérovirus Biologie moléculaire : RT-PCR / PCR Extraction ADN/ARN Transcription inverse ARN en ADNc Amplification Détection : agent intercalant PCR (multiplex) identification PCR temps réel quantification Biopuce identification
8 Biologie moléculaire : RT-PCR / PCR Détection de tous les virus de séquence connue Rapide : quelques heures Spécifique : ± selon choix des amorces, à définir en fonction de l objectif : typage ou recherche Sensible : 1 Particule dans l échantillon Quantitative : PCR en temps réel Rapidement transférable dans un laboratoire réalisant des PCR «!bactériennes!» Biologie moléculaire : RT-PCR / PCR Difficulté d interprétation ; détection génome! mise en évidence du pouvoir infectieux Risques de faux-négatifs : molécules inhibitrices liées à la matrice (chélateurs, polysaccharides ) Risques faux-positifs : contamination moins facile à maîtriser que pour les bactéries Protocoles non standardisés ; travail en cours sur quelques matrices uniquement
9 Méthodes immunologiques Ajout Anticorps spécifiques du virus recherché formation d un complexe Antigènes Anticorps Révélation du complexe immun ELISA (immuno-enzymologie) Anticorps Radioactivité Immunofluorescence Antigène Marqueur Méthodes immunologiques Méthodes rapides facilement automatisables Quantitative : dosage fluorescence, radioactivité par rapport à un étalon Facilement transférable MAIS Pas d information sur le caractère infectieux Peu sensible comparativement aux autres méthodes (couplage avec culture cellulaire possible)
10 Conclusion - perspectives Méthode idéale Sensible : (RT) PCR > culture cellulaire Quantitative : (RT) PCR et culture cellulaire Rapide : (RT) - PCR Applicable en routine : (RT) - PCR Capable de détecter tous les sérotypes viraux RT-PCR : connaissance des séquences Culture cellulaire : virus cultivables Témoignant du caractère infectieux : culture cellulaire Protocoles standardisés : aucune Conclusions - perspectives Pour améliorer les méthodes existantes Recherche fondamentale : lien entre pouvoir infectieux et génome Recherche appliquée : amélioration des méthodologies d extraction des ADN/ARN en matrice complexe Normalisation : groupe de travail CEN + AFNOR Norovirus et VHA Végétaux
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