COMMENT RÉDUIRE LES EFFETS DE LA FRACTURE NUMÉRIQUE?
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- Geneviève Dupont
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1 Lutter contre la fracture numérique (2/2) COMMENT RÉDUIRE LES EFFETS DE LA FRACTURE NUMÉRIQUE? Par René Begon, chargé de projet au CVFE La généralisation de l utilisation de l ordinateur dans presque tous les secteurs de la vie économique et sociale n empêche pas l existence, entre les citoyens, d inégalités dans l accès ou la maîtrise des nouvelles technologies. Cet écart, qu on appelle la «fracture numérique», concerne toujours un tiers des Wallons. Après avoir, dans un premier article, cherché comment définir ce phénomène, nous envisagerons, dans ce second article, les moyens mis en œuvre pour en réduire les effets. Selon l OCDE, la fracture numérique est plus accusée en Belgique que dans la moyenne des pays européens et elle touche particulièrement les familles à faibles revenus : «La possession d ordinateur des ménages belges (58 %) se situe en dessous de la moyenne européenne (64 %) et se situe nettement en dessous de celle des pays en tête de liste comme le Danemark (85 %), la Suède (82 %), les Pays-Bas (80 %) et l Allemagne (77 %). Notre score en matière d utilisation de l Internet est un peu meilleur mais toute croissance est limitée par le faible taux de possession d ordinateur. Si on étudie d un peu plus près les chiffres, on constate que ce sont surtout les salariés avec un revenu de moins de euros et les plus démunis, de manière assez logique, qui accusent le plus grand retard. À peine 50 % de ce groupe R. Begon «Comment réduire les effets de la fracture numérique? (2/2)» - 1 -
2 de salariés dispose d un ordinateur à la maison (par rapport à 90 % des salariés qui gagnent davantage)» 1. Dans un précédent article, nous avons vu que cette fracture pouvait se décliner selon deux degrés, le premier étant celui de l accès matériel (possession d un ordinateur et connexion à Internet), tandis que le second est celui des compétences nécessaires à l usage courant de ces technologies. Nous avons également appris qu en 2008, la proportion de la population wallonne des non-utilisateurs d ordinateur ou d Internet se chiffrait à environ un tiers 2. Bien qu elle ait tendance à régresser d année en année, cette «fracture numérique» reste donc encore importante. Dans ce second article, nous allons envisager les moyens mis en œuvre pour tenter de réduire ce phénomène. Epousant les deux degrés définis auparavant, les stratégies adoptées vont dans les deux directions : favoriser l accès matériel et encourager l acquisition d une maîtrise minimale des TIC et cela sous deux formes : ouvrir des lieux d accès public aux nouvelles technologies et proposer des possibilités d initiation. Favoriser l équipement des ménages Des mesures concrètes peuvent permettre aux familles de s équiper et de se connecter pour un coût raisonnable : ce fut l objectif du «Plan Internet pour tous» grâce auquel le SPF technologie de l Information et de la Communication (Fedict) proposait au grand public, d avril à décembre 2006, de bénéficier d un package «Internet pour tous» composé d un ordinateur, des principaux logiciels et systèmes de sécurité, d un an de connexion à l Internet à large bande, ainsi que d une formation de base. Le tout pour une somme réputée «raisonnable» : 850 pour un PC (702,5 après déduction fiscale) et 990 pour un portable (818 après déduction fiscale) 3. Fin 2006 (l opération étant limitée au 31 décembre 2006), «packages» avaient été vendus, ce qui est peu de choses comparé aux 4,8 millions de lettres envoyées à tous les foyers belges pour les informer de cette possibilité. On observera, d une part, que, si la proposition était intéressante, elle était peut-être encore trop onéreuse pour les foyers aux revenus les plus faibles et, d autre part, que le prix anormalement élévé des connexions Internet dans notre pays (comparé à la France, par exemple) ne facilite pas la limitation des coûts. En 2009, le ministre de l Economie et de la Simplification administrative, Vincent Van Quickenborne (Open-VLD), a relancé une mesure similaire et en a pris d autres poursuivant le même objectif 4. D une part, les consommateurs qui le désirent «reçoivent l opportunité d acheter un paquet ordinateur et Internet complet (ordinateur, abonnement Internet, lecteur de cartes, logiciels et formation) à un prix avantageux. Ils peuvent bénéficier d une 1 Morenville (Catherine), «Lutte contre la fracture numérique : les CPAS mis à contribution», dans Alter Echos, n 275, 12/06/ Usages TIC 2008 des citoyens wallons, enquête annuelle réalisée par l AWT (Agence wallonne des télécommunications), juin 2009, page 96 ( 3 «Internet pour tous», AWT ( 08/06/2006 et «Des ordinateurs à prix cassés», dans Le Soir, 19 avril 2006, page 9. 4 Jennotte (Alain), «CPAS : PC contre la fracture numérique», dans Le Soir, 10/06/2009, page 7 et Morenville (Catherine), article cité. R. Begon «Comment réduire les effets de la fracture numérique? (2/2)» - 2 -
3 diminution de 21 % sur le prix du paquet de base via leur déclaration à l impôt» 5. Les montants sont fixés à 890 pour un ordinateur fixe, 990 pour un portable. Trois autres dispositions ont été avancées par le ministre. Tout d abord, une version renouvelée du plan «PC privé» qui permet le remboursement par l employeur de l achat d un ordinateur par son employé, à concurrence de 760 pour l ensemble ordinateur et connexion Internet. «Modification d importance : seuls les salariés à revenus modestes (revenu brut imposable annuel de maximum euros) bénéficieront de la mesure» 6. La deuxième mesure consisterait à offrir aux ménages à revenus modestes un abonnement Internet bon marché (moins de 13 par mois). Enfin, la dernière mesure, mais certainement la plus «sociale», s appellera «PC récup» et entrera en vigueur en septembre 2009 : 5000 ordinateurs déclassés par les services publics seront remis en état, grâce à un subside du gouvernement fédéral ( ), et distribués aux familles les plus démunies par les CPAS et les organisations de jeunesse 7. On peut rappeler qu il existe un certain nombre de possibilités d achat d ordinateurs d occasion avec garantie ou d ordinateurs reconditionnés dans une optique sociale 8. Le service le plus connu est offert par Oxfam-Solidarité qui propose des ordinateurs «performants, testés et vendus avec une garantie de 12 mois et un service après-vente» ( ou 02/ ). Multiplier les accès publics aux TIC et à Internet En matière d accès public à Internet, la Région wallonne a joué un rôle précurseur. Inscrit dans la déclaration de politique régionale du Gouvernement wallon dès 2004, le programme des «Espaces publics numériques (EPN) des pouvoirs locaux de Wallonie» a été doté d un budget de 3,5 millions d (étalé sur 3 ans) et s est concrétisé par deux appels à projets, en 2005 et en Une cinquantaine de projets ont été sélectionnés en 2005 et une vingtaine supplémentaire en A partir de 2007, une charte des EPN a permis à ceux qui la respectaient de recevoir un «label EPN» de l administration wallonne. L ensemble des EPN labellisés constitue désormais un réseau, ce qui permet de «partager les expériences et élaborer de nouveaux projets» 9. L animation de ce réseau a été confiée à un Centre de ressources des EPN de Wallonie, pris en charge par le centre de compétences Technofutur TIC, de Gosselies. L échange d information et d expériences au sein du réseau est soutenu par «un blog de référence (epn-ressources.be) qui comprend plus de 1600 articles et constitue un lieu d information de références : tutoriels, nouveautés logicielles, agenda, analyses et ressources» 10. En définitive, en 2008, 78 communes wallonnes se sont dotées de 90 EPN, répartis en 120 lieux et animés par 130 professionnels. 5 Morenville (Catherine), article cité. 6 Ibidem. 7 Cabinet Van Quickenborne : rue Brederode, 9 à B-1000 Bruxelles (02/ ou info@ministerq.be) Site : 8 Leonardi (Elsa), Maréchal (Stéphane, Begon (René), «Acheter un ordinateur correct à petit prix, c est possible!», Liège, CVFE, octobre 2007 ( ). 9 «Les espaces publics numériques, un outil d intégration sociale», dans La lettre Emerit, n 55, 2008, page Les espaces publics numériques des pouvoirs locaux de Wallonie ( ), Centre de ressources des EPN, Gosselies, 2008, page 7. R. Begon «Comment réduire les effets de la fracture numérique? (2/2)» - 3 -
4 Les Espaces publics numériques (EPN) de Wallonie : des lieux d apprentissage et de socialisation La définition d un EPN donnée par le centre de ressources indique précisément la philosophie du projet : «On entend par espace public numérique communal (ou EPN) un lieu ouvert au public, à vocation non lucrative, disposant d un projet d accompagnement, favorisant l accès et l initiation aux technologies de l information, ainsi que l appropriation de celles-ci. Un tel espace propose à ses usagers des activités variées et encadrées, soit collectives, soit dans le cadre de médiations individuelles. Au-delà de l utilisation des services de base de l internet, l Espace expérimente et promeut les usages publics, notamment dans les domaines de l administration en ligne, la recherche d emploi, de l accès au savoir, à la culture, et à la formation, etc.» 11. Pour recevoir le label, l EPN doit s engager à proposer un minimum de prestations : «mise à disposition du public de minimum 4 postes informatiques connectés à internet, ouverture de 16 heures par semaine au minimum, dont 6 heures de sensibilisation ou de formation et 6 heures d accès libre, affectation d un animateur multimédia qualifié» 12. L objectif visé par les EPN est explicitement de lutter contre la fracture numérique : «Un espace public numérique s engage à renforcer activement l accessibilité de tous à la société de l information, en particulier des publics éloignés de l Internet : les seniors, ceux qui n ont pas de diplôme du secondaire, ceux qui n ont pas d activité professionnelles, les demandeurs d emploi, les femmes seules, les familles monoparentales, les SDF,» 13. L élément fondamental de l approche des EPN est l accompagnement, c est-à-dire, non seulement la mise à disposition de locaux, de matériel et d une connexion, mais la présence d un animateur chargé d accompagner les premiers pas des visiteurs dans le monde des TIC dans une démarche individualisée, en tenant compte des besoins quotidiens directs de la personne. En ce sens, la démarche des EPN se démarque d une formation traditionnelle : «Toutefois, un EPN n est pas un espace de formation classique ; il s agit plutôt d un lieu d apprentissage informel, où l échange et l entraide entre participants sont fréquents. Ainsi, au-delà de leurs deux missions fondamentales d accès et d accompagnement, les EPN se révèlent être des lieux de rencontre et de socialisation. Le constat est unanime, tant en Flandre qu en Wallonie et à Bruxelles. Les EPN sont devenus des espaces citoyens au sein desquels se crée du lien social» 14. Une démarche qu on peut considérer comme complémentaire à celle des EPN a été mise en œuvre par Oxfam-Solidarité, avec l appui financier du ministère fédéral de l intégration sociale (des ministres Marie Arena et Christian Dupont). Depuis 2005, le projet «Easy-(e)- space» propose aux CPAS d ouvrir des lieux d accès équipés d ordinateurs reconditionnés, c est-à-dire peu coûteux, reliés en réseau à un serveur puissant mais dont la sécurité est 11 Centre de ressources des espaces publics numériques de Wallonie, procédure de labellisation des EPN de Wallonie. Disponible sur (cité par Brotcorne (Périne)-Valenduc (Gérard), Construction des compétences numériques et inégalités. Une exploration de la fracture numérique au second degré, Namur, Fondation Travail-Université, 2008, page 32). 12 Les espaces publics numériques des pouvoirs locaux de Wallonie ( ), brochure citée, page Ibidem. 14 «Les espaces publics numériques, un outil d intégration sociale», revue citée, page 7. R. Begon «Comment réduire les effets de la fracture numérique? (2/2)» - 4 -
5 assurée. Le nombre de lieux d accès publics ainsi équipés était en 2008 de 160, répartis dans l ensemble du pays (la province de Liège en comptant 24) 15. Sensibiliser et former aux TIC et à Internet A côté de l ouverture d espaces d accès public aux nouvelles technologies, une autre approche possible consiste à mettre sur pied des modules d initiation aux TIC, qui peuvent s appuyer sur des cours en ligne ou prendre la forme de cours plus traditionnels. Dans la première catégorie, on évoquera évidemment les PMTIC, mis en place par la Région wallonne avec l aide du Labset de l Université de Liège. Organisé par le décret du 3 février 2005, le Plan Mobilisateur des Technologies de l'information et de la Communication (PMTIC) a été lancé par la ministre du Gouvernement wallon Marie Arena. Son objectif : lutter contre la fracture numérique et favoriser l insertion socioprofessionnelle. Il s agit, en effet, de «sensibiliser et d'initier le public des demandeurs d'emploi wallons à Internet, au traitement de texte et au tableur», par l intermédiaire de modules de cours accessibles sur Internet et avec l encadrement de 250 formateurs appartenant à 111 opérateurs de formation reconnus dans l ensemble de la Région wallonne (2008). Trois modules sont dispensés : «sensibilisation» (8 heures), qui propose l «accès de base aux TIC» ; «utilisation des outils» (16 heures), avec l apprentissage du traitement de texte et l approfondissement d Internet et, enfin, la «pratique courante des outils» (24 heures) qui comprend l utilisation du traitement de texte, du tableur et de toutes les ressources d Internet 16. En 2006, personnes ont suivi un ou plusieurs de ces modules, ce qui représente un peu plus de heures de formation. 21% de ces heures ont été consacrées au module 1 de sensibilisation, 36% au module 2 de découverte des outils et 43% au module 3 d'approfondissement des outils 17. Une autre approche possible est celle des cours d initiation à l informatique donnés de manière traditionnelle. Dans ce domaine, on peut pointer le partenariat «Do IT», soutenu financièrement par Microsoft depuis 2005, qui rassemble une dizaine d organismes de formation des trois régions du pays au sein d un projet d initiation aux logiciels de base bureautique. SOFFT (Service d orientation et de formation pour femmes à la recherche d un travail), qui fait partie des opérateurs reconnus par la Région wallonne pour dispenser les modules PMTIC 18, est associé à ce projet. Ce partenariat dispense ses modules d initiation à environ 1700 adultes par an ( heures de formation) et 4650 personnes bénéficient globalement du programme chaque année, si on y ajoute le libre accès et les formations de plus longue durée 19. Chez SOFFT, qui ne s adresse qu au public féminin, 9 modules de 72 heures d initiation aux principaux logiciels de bureautique sont organisés chaque année, permettant à 80 femmes n ayant aucune connaissances de départ de prendre contact avec l informatique et Internet. 15 Cf. (02/ ). 16 Cf. «Réduire la fracture numérique avec PMTIC», 20/09/ Ibidem ( heures en 2008). 18 SOFFT, en Féronstrée, 23 B-4000 Liège (04/ ) ( ). 19 Ces chiffres valent pour 2007 (Cf. «Do IT Partnership meeting minuts», 20/09/2007, page5). R. Begon «Comment réduire les effets de la fracture numérique? (2/2)» - 5 -
6 En conclusion, on peut dire que, si la fracture numérique reste importante en Wallonie, elle s amenuise au fur et à mesure que l équipement des ménages s améliore, ce dont témoigne l enquête annuelle de l AWT. D autre part, on observe que les pouvoirs publics, au niveau fédéral comme au niveau régional, ont pris un certain nombre d initiatives pour lutter contre la fracture numérique, aussi bien du premier que du second degré. Ces dispositions ont certainement contribué à réduire la fracture numérique, mais dans une mesure qui est cependant difficilement quantifiable. Comment réduire les effets de la fracture numérique? (2/2) Collectif contre les violences conjugales et l exclusion (CVFE asbl) : 9, rue Sœurs de Hasque Liège Publications (analyses et études) : Contact : René Begon - renebegon@cvfe.be Avec le soutien du Service de l Education permanente de la Communauté française et de la Région wallonne R. Begon «Comment réduire les effets de la fracture numérique? (2/2)» - 6 -
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