30/10/2015. Voie ascendante, rétrograde. Anomalies anatomiques et/ou dispositif/exploration urinaire. Voie hématogène

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1 Infections urinaires communautaires Physio-pathologie Voie ascendante, rétrograde Anomalies anatomiques et/ou dispositif/exploration urinaire Voie hématogène 1

2 Rappel anatomique Rétrograde Rappel anatomique Hématogène 2

3 Terminologie Infection urinaire simple :. Pas de facteur de complication. Comprend la cystite aiguë simple et la pyélonéphrite Infection urinaire compliquée :. Anomalie anatomique ou fonctionnelle (résidu post mictionnelle reflux, lithiase, acte récent, ). Pathologies associées (diabète, immunodépression, ). Homme, grossesse. Comprend : cystites compliquées, pyélonéphrites compliquées, prostatites Cystites récidivantes :. 4 épisodes/an ou dernier épisode<3 mois Colonisation urinaire/ bactériurie asymptomatique :. Présence d un micro-organisme SANS infection Facteurs favorisants Sexe féminin Grossesse Activité sexuelle Utilisation de spermicides (mictions rares, retenues, incomplètes) Diabète déséquilibré et/ou compliqué (neuropathie vésicale) Anomalie organique ou fonctionnel du tractus urinaire 3

4 Clinique Cystite aigue simple :. 3 signes :. Brûlures et/ou douleurs à la miction. Pollakiurie. Mictions impérieuses. Absence +++ :. Fièvre. Douleurs lombaires Une hématurie peut exister : ne constitue pas un signe de gravité Chez l homme à considérer comme une prostatite Cystites aigues compliquées :. Mêmes signes que la cystite simple + anomalie urologique Clinique Cystites aigues récidivantes :. 4 épisodes de cystites simples/an Facteurs favorisants :. Activité sexuelle. Spermicides. Première infection urinaire<15 ans Chez la femme ménopausée :. Prolapsus vésical. Incontinence urinaire. Résidu vésical post-mictionnel 4

5 Clinique Pyélonéphrite aigue simple :. Signes de cystite (inauguraux, parfois discrets). Fièvre +- frissons. Douleur fosse lombaire, irradiante descendante vers les organes génitaux spontanée provoquée à la percussion (signe de Giordano). +- Signes associés :. Vomissements. Diarrhées. Météorisme abdominale Pyélonéphrite aigue compliquée: cf infection urinaire compliquée Chez l homme: pyélonéphrite = prostatite associée Clinique Prostatite aigue :. Signes urinaires de cystite. Douleurs pelviennes indépendantes de la miction. Signes généraux : fièvre, frissons, malaise Existe des formes pauci symptomatiques. TR : prostate augmentée de volume, très douloureuse parfois TR normal 5

6 Examens complémentaires Bandelette urinaire (BU) : recherche de leucocyturie et/ou nitrite Si : L- et N- : VPN à 95% (valeur prédictive négative d une infection urinaire) BU positive si L+ et/ou N+. N affirme pas l infection. Existence d une infection urinaire si signe clinique +++ L + : détection de polynucléaires présent dans les urines N+ : présence d une enz (nitrate réductase) sécrétée par les bactéries (Faux positifs = N- mais présence de bactérie. Staphylocoque, entérocoque, Streptocoque) Examens complémentaires ECBU : examen cyto-bactériologique des urines. A réaliser devant TOUTE suspicion d infection urinaire (sauf devant une cystite simple). Permet de quantifier la leucocyturie. Permet la mise en culture des urines et l obtention de l antibiogramme 6

7 Examens complémentaires Autres examens :. Echographie de «l arbre» urinaire. Recherche résidu post-mictionnel. Dilatation des cavités pyélo-calicielles (obstacle en aval). Signe de pyélonéphrite et/ou abcès. +- Echographie prostatique intra rectale. +- ASP : lithiase radio opaque. Uro-TDM : abcès, pyélonéphrite, dilatation pyélocalicielle Examen ancien non recommandé : UIV (urographie intra veineuse) Examens complémentaires En pratique :. Cystite simple : BU uniquement. Cystite compliquée : BU + ECBU. Pyélonéphrite (prostatite) : BU + ECBU + échographie (et/ou TDM) Les examens doivent être réalisés au plus vite En cas de pyélonéphrite : une imagerie (echo ou TDM) <24h 7

8 Traitements A l absence d ECBU ou de négativité de l ECBU : Traitement probabiliste +++ UN SEUL GERME A RETENIR : E. Coli = colibacille (entérobactérie) Autres germes :. Protéus, Klebsiella. Staphylococcus saprophyticus (cystite). Streptocoques. Pseudomonas (nosocomiale) Traitements (En simplifiant les traitements) Cystite simple :. 1ere intention : fosfomycine en prise unique. 2eme intention : furadantine 5j fluoroquinolone (FQ) prise unique ou 3j Cystite compliquée :. 1ere intention : furadantine 7j. 2eme intention : FQ 5j Cystite récidivante :. Traitement des facteurs favorisants. Traitement idem cystite simple. Si relation au coït : ex furadantine 1cp <2h après le rapport 8

9 Traitements Pyélonéphrite aigue :. Si simple : FQ ou céphalosporine 3eme génération. Si signe généraux : hospitalisation. FQ ou C3G + aminoside (2 à 3j) Durée : 7 à 14 jours en fonction de la clinique (hors prostatite) Prostatite aigue :. FQ ou C3G. Si signes généraux : idem + aminoside (2 à 3j) Durée : au moins 3 semaines à ré évaluer Traitements Quelque soit l infection urinaire : L antibiothérapie probabiliste sera à adapter après : ANTIBIOGRAMME 9

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