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1 - Consolidation des fondamentaux - QCM Introduction à l Information et à la Communication Démarche en sciences humaines 1. Quelle est la démarche de l enseignement «Sciences de l information et de la communication» Partir du principe : «La communication, c est cela, et çà marche comme cela.» Prendre du recul : «Certains auteurs considèrent la communication comme cela D autres comme cela Et voilà la conception que je sélectionne.» 2. Comment fonctionnent les sciences humaines (en général), et la communication (en particulier)? Avec des «lois» valables universellement et toujours : en appliquant ces lois, on aura une communication / un comportement efficaces. Avec différentes théories, proposant différentes hypothèses, qu il faut aller expérimenter sur le terrain, pour voir ce qui fonctionne concrètement (pragmatisme, recul critique) : il n est pas possible de démontrer ou prouver d emblée qu une de ces théories est plus valable qu une autre. 3. Que signifient ces citations? «C est la théorie qui détermine ce qu on peut observer» (A.Einstein) «Nous n observons pas la nature elle-même, mais la nature soumise à notre méthode d investigation» (W.Heisenberg). Les théories et les méthodes permettent de voir le réel d une certaine façon ; si l on change de théorie et de méthode, la réalité nous apparaît différemment. Les théories et les méthodes ont une valeur descriptive-explicative, et l application de telle ou telle théorie sur le terrain n a pas d incidence sur les résultats que l on trouve. Communication politique 4. Dans le champ de la communication politique, qu appelle-t-on le «storytelling»? La façon dont les candidats politiques transforment la politique en un «festival de narration d histoires», dans lequel la presse joue à la fois l acteur, le chœur, et le public. La façon dont les candidats politiques, dans leur communication politique (pendant leur campagne), parlent autant leur vie privée que de leur opinion politique. 5. En communication politique, qu est-ce qui est le plus souvent reproché et critiqué? La volonté de «contrôler l agenda», c'est-à-dire «occuper la scène», sans jamais laisser le temps à la presse d aller «au fond» de ce qui est dit, et sans laisser le temps à la presse de créer elle-même l évènement. L utilisation trop fréquente d informations chiffrées et de statistiques (pourcentages, proportions, schémas, camemberts ). 6. Quel élément tend de plus en plus à prendre la place centrale en communication politique? L argumentation politique stricto-sensu (au sens strict), le contenu, le fond, le programme, l action politique et ses résultats. La politique lato-sensu (au sens large), le marketing, l image, l apparence, les affects, la forme, le lien (fusionnel) et la (bonne) «longueur d ondes» qu entretient le politique avec son électorat. 7. Comment évoluent de nos jours - la communication politique, la communication commerciale ou publicitaire, et le domaine dit «médiatique»? On assiste à une «déconsidération» de la communication, et à la déchéance patente (évidente, palpable) de la notion de communication (de plus en plus discréditée et ramenée à la notion de manipulation). On assiste à une «considération» grandissante de la communication, et à une valorisation patente (évidente et palpable) de la notion de communication. 8. Qui a parlé d une «ère du soupçon»? («Jamais les accusations portées contre les organes d information [ ] n ont été aussi nombreuses et aussi graves, que depuis le début des années 90 ( ) : c est ainsi que s ouvre l ère du soupçon») Christian Salmon. Francis Balle. Consolidation Stéphanie MARTY - 1

2 9. Depuis quand existe la communication? Depuis que les êtres humains sont êtres humains : les êtres humains ont toujours communiqué par l intermédiaire du langage et des signes non verbaux. => la communication est, depuis les origines, une «constante anthropologique». Depuis que les êtres humains ont commencé à maîtriser les outils de com. => la communication est un phénomène récent, révélée par le développement des outils de communication. 10. Est-il possible de ne pas communiquer? Non. «On ne peut pas ne pas communiquer» ; tout est communication, même un silence, même le langage non verbal (gestes, attitudes, comportements ) Oui. Quand il n y a pas de langage verbal, il n y a pas de communication. Lorsque l on ne parle pas, on ne communique pas. Fondements de la communication 11. La réflexion et les études sur la communication sont nées (dans les années 40) dans quel champ, dans quel domaine? Dans le champ scientifique (avec la cybernétique). Dans le champ sociologique (avec les sciences humaines). 12. Qui est le «père fondateur» de la cybernétique? Philippe Breton. Norbert Wiener. 13. Quel est le postulat de la cybernétique? Le réel tout entier peut être interprété sous l angle des relations, des échanges (d information, etc ), autrement dit sous l angle de la communication. => Ainsi, les êtres humains n existent pas par eux-mêmes, mais uniquement dans leurs rapports humains. De même, les phénomènes en eux-mêmes sont moins importants que les relations qu ils entretiennent entre eux La communication relève des sciences humaines, ou sciences «molles» ; elle ne peut donc pas être étudiée par des sciences «dures», telles que les mathématiques, l électronique, la neurophysiologie, etc Utopie de la communication 14. A quelle époque s est développée une «utopie de la communication»? Dans les années 90. Dans la deuxième moitié du XXème siècle (dans la société d après-guerre). 15. Quel sociologue a traité - dans un ouvrage notamment - de l «utopie de la communication»? Philippe Breton. Marshall Mac Luhan. 16. Que signifie le terme «utopie»? L «utopie» est une représentation d une réalité idéale et sans défaut, un projet idéal dont la réalisation est impossible. L «utopie» est le développement spectaculaire, l expansion prodigieuse d un phénomène. 17. Que signifie donc le terme «utopie de la communication»? Que la communication s est développée de façon colossale, et a peu à peu été l objet d un développement spectaculaire, d une expansion prodigieuse. Que la communication est considérée comme un projet idéal, une nouvelle valeur à portée universelle, une clef unique qui résoudrait tous les dysfonctionnements de la société, et «ouvrirait toutes les portes» (harmonie, bonheur, ). 18. Quel est l effet pervers d une «utopie de la communication»? L utopie de la communication indique que la communication va tout résoudre (les dysfonctionnements de la société, les discordes, les polémiques, les relations entre les êtres humains), alors que la communication ne peut pas TOUT résoudre. L utopie de la communication engendre l utilisation des outils de communication, et incite les individus à communiquer de plus en plus via ces outils de communication, et de moins en moins en face en face («en vrai»). Consolidation Stéphanie MARTY - 2

3 19. Comment la communication est devenue une «utopie»? La communication est devenue une utopie en proposant de nouveaux moyens de communication entre les individus (outils de communication), toujours plus innovants, toujours plus performants, révolutionnant toujours plus les échanges entre les êtres humains. La communication est devenue une utopie en remplaçant les idéologies obsolètes (scientisme, communisme, libéralisme), en proposant une nouvelle vision de l homme ( les êtres n existent pas par eux-mêmes, mais uniquement dans leurs rapports mutuels ) et en proposant une nouvelle vision de la société (plus aucun «secret», société transparente pour les individus, et individus transparents pour la société) 20. Pourquoi la communication est devenue une «utopie»? La communication est devenue une utopie, parce qu elle s est traduite par une montée en puissance des techniques, et a peu à peu incarné le progrès et la modernité. La communication est devenue une utopie, parce qu elle est apparue comme une nouvelle valeur post-traumatique (elle est arrivée après les traumatismes laissés par la crise profonde du XXème siècle : crise des valeurs, des systèmes de représentation politique, refus du politique dans lequel on ne croit plus, barbarie moderne, ). Déconsidération de la communication 21. Comment est considérée la communication aujourd hui (dans notre société actuelle, depuis les 90 s)? La communication est considérée comme un idéal et a un franc succès ; il existe de nos jours une réelle «utopie» de la communication La communication est considérée comme un fléau ; il existe de nos jours une déconsidération patente de la notion de communication. 22. Pourquoi la communication a été peu à peu déconsidérée? Parce que «l utopie de la communication» (connue dès les années 40) s est transformée en désenchantement : tous les espoirs qui avaient été placés dans la communication ne se sont pas concrétisés : ces «espoirs déçus» sont retombés sur la communication, comme un «retour de bâton». Parce que la communication a disparu - peu à peu - sans laisser de traces. 23. Que signifie cette citation d Edgar Morin : «Ce qui semblait devoir assurer le progrès certain apporte certes des possibilités de progrès futur, mais aussi crée et accroit des périls. Les communications se multiplient sur la planète, mais les incompréhensions s accroissent. Les sociétés sont de plus en plus interdépendantes, mais elles sont de plus en plus prêtes à se déchirer.» Que «l utopie de communication» dont on parlait dans les années 40 ne s est pas réalisée, et s est au contraire inversée en «hantise de la communication». La communication ne représente plus un idéal comme dans les années 40 : elle suscite la méfiance, le sentiment de tromperie, et un réel pessimisme. Que la communication a réellement concrétisé tous les espoirs qu on avait placés en elle : progrès, communication interplanétaire, coopération entre les sociétés 24. Qu appelle-t-on l «énantiodromie» (Héraclite)? Le fait qu une chose se transforme en son contraire, et passe «d un extrême à son extrême opposé» (comme le passage de l amour à la haine par exemple) Le fait qu une chose présente des dangers et puisse comporter des effets pervers. 25. Peut-on dire qu il s est passé une «énantiodromie» au niveau de la communication? Oui. La communication était appréciée et est devenue dépréciée, elle était idéalisée et est devenue dévalorisée, elle était une valeur universelle et est devenue un danger universel : elle était la potentielle sauveuse de l humanité et est devenue la potentielle coupable de la déshumanisation de l humanité : trop de communication (la communication poussée à l extrême) a tué la communication (s est transformée en son extrême opposé). Non. La communication ne s est jamais transformée en son extrême opposé ; elle s est simplement diversifiée (communication interne, communication externe, etc ) mais n est jamais devenue l opposé d elle-même. 26. Quelle est l opinion de l Ecole de Francfort sur les techniques de communication? Elles provoquent la dépendance, et l addiction des citoyens. Elles conditionnent, standardisent, et formatent les façons d être et de faire. Elles «industrialisent» la culture. Elles diffusent massivement les mêmes infos à tout le monde (pensée unique). Elles ne sont pas neutres et exercent une influence sur les citoyens en «massant» leurs cerveaux (the medium is the message the message is the massage»). Consolidation Stéphanie MARTY - 3

4 Elles portent atteinte aux libertés individuelles. Elles permettent l indépendance et l autonomie des citoyens. Elles diversifient les façons d être et de faire. Elles «nourrissent» et «authentifient» la culture. Elles permettent d accéder à des informations vraies et variées. Elles sont neutres et laissent les individus penser librement, sans les influencer. Elles respectent les libertés individuelles, et laissent chaque individu s épanouir. 27. Que veut dire la citation suivante de Marshall Mac Luhan : The medium is the message, and the message is the massage? ( Le medium est le message et le message est le massage )? «Le media est le message, et le message est le massage» : Le média est encore plus important que le message qu il diffuse, car le media exerce une influence (un «massage») irrésistible sur nos façons d appréhender le monde sensible. «Le media est le message, et le message est le massage» Le message est plus important que le media qui le diffuse, car les individus ne sont pas sensibles à l influence exercée par les médias. 28. Avec le développement des techniques de communication, qu a dû faire, de plus en plus, la CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés)? «Traquer» les atteintes portées aux libertés individuelles (identité, intimité, ) : traçage des personnes, vidéosurveillance, géolocalisation des personnes, systèmes biométriques, moteurs de recherche, réseaux sociaux, nanotechnologies Former les individus aux nouvelles techniques de communication et au nouveau mode de civilisation numérique (logiciels, techniques, outils, appareils, machines de la société numérique). 29. Comment a été vue, au fil du temps, la publicité? Comme une simple démarche commerciale, qui permet aux entreprises de vendre/prospérer, et s inscrit sainement dans une logique d «offre répondant à une demande». Comme une «machine de guerre», de conditionnement, et de manipulation, colonisant l imaginaire des masses, induisant une normalisation économique sociale et médiatique, déstructurant les valeurs de l humanisme, et conduisant à l enfermement de nos vies dans l optique production-consommation (Ramonet). 30. Comment a été définie, peu à peu, la communication? De plus en plus, on a donné à la communication une définition négative et péjorative : manipulation, conditionnement, propagande, tromperie, qui ne permet pas d appendre la vérité, d enrichir ses connaissances, et qui ne permet pas non plus aux individus de se comprendre et de vivre en harmonie. De plus en plus, on a donné à la communication une définition positive et traditionnelle : mise en commun et partage de connaissances, contact, communion, échange, fusion des individus. Point de vue communicationnel sur le réel 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»? Avoir une certaine représentation du monde (façon de le voir et de se le représenter), qui repose sur certains postulats philosophiques/épistémologiques, qui s expérimente avec des méthodes adaptées, et qui implique une réflexion éthique. Avoir un point de vue, et le défendre avec différents moyens de communication (parole, outils de communication ). 32. En communication, qu est-ce que la dimension philosophique et épistémologique d un point de vue communicationnel? La façon dont les philosophes voient la communication. Les postulats (philosophiques et épistémologiques) sur lesquels s appuie un point de vue (communicationnel) sur le réel. 33. En communication, que représente la dimension méthodologique d un point de vue communicationnel? La dimension méthodologique est l ensemble des règles à suivre pour tout individu qui veut «faire de la communication» ; être méthodique, procéder méthodiquement, La dimension méthodologique regroupe toutes les méthodes à utiliser pour expérimenter sur le terrain un point de vue communicationnel sur le réel (et les postulats philosophiques et épistémologiques qu il soutient). Consolidation Stéphanie MARTY - 4

5 34. En communication, que représente la dimension éthique d un point de vue communicationnel? La dimension éthique consiste à réfléchir sur les conséquences pratiques que l on peut tirer des dimensions philosophique et méthodologique : elle incite à se demander au quotidien comment agir de la façon la plus intègre, probe, convenable. La dimension éthique amène à réfléchir sur les points positifs et les points négatifs de la communication, ses avantages et ses inconvénients. 35. Parmi les schémas suivants, lequel illustre correctement la façon dont s élabore un «point de vue communicationnel sur le réel»? Point de vue communicationnel sur le réel Point de vue communicationnel sur le réel Dimension philosophique & épistémologique Dimension méthodologique Dimension éthique Dimension méthodologique Dimension éthique Dimension philosophique/épistémologique 36. Combien compte-t-on de point de vue de communicationnel sur le réel? Il existe une multitude de points de vue communicationnels sur le réel. Il existe un seul point de vue communicationnel sur le réel. Travaux théoriques en communication 37. Selon Yves Winkin, quelles sont les deux grandes conceptions de la communication? Communication interne et externe. Communication télégraphique et orchestrale. 38. Comment est considérée l information dans le modèle (la conception) télégraphique? Comme une quantité qui transite, bien ou mal, par la communication et ses canaux ( tuyaux ). Comme une quantité imprévisible, que l on ne peut pas considérer et traiter comme de la plomberie. 39. Quels autres noms peut-on donner au modèle «télégraphique» de la communication? Modèle «du code», «technique», «mathématique», «technique», «linéaire», «mécaniste». Modèle du «messager», du «facteur», du «postier». 40. Quels scientifiques sont associés au modèle «télégraphique» de la communication? L ingénieur mathématicien Claude Shannon et le biologiste Warren Weaver (d où l appellation du modèle télégraphique : «modèle de Shannon et Weaver»). L ingénieur mathématicien Claude Shannon et le professeur d université Yves Winkin (d où l appellation du modèle télégraphique «modèle de Shannon et Winkin»). 41. Comment est vue la communication dans le modèle «télégraphique»? La communication est vue comme un transfert d information : une information est expédiée d un émetteur à un récepteur, à travers des canaux. La communication est vue comme une activité humaine, qui demande donc de prendre en compte une certaine complexité. 42. Comment peut-on modéliser ( schématiser ) le modèle télégraphique de la communication? Schéma n 1 Signal émis Modèle télégraphique Signal reçu Bruit Emetteur Récepteur Schéma n 2 Signal émis Signal reçu Source D info Emetteur Bruit technique Récepteur Destination de l info Consolidation Stéphanie MARTY - 5

6 43. Quelles sont les critiques faites au modèle «télégraphique» de la communication? Le modèle télégraphique considère la communication comme une «simple» transmission (performante ou non) de signaux (messages, formes, signes, symboles). Alors que pour comprendre la communication humaine, il faudrait considérer les individus (pensant et parlant) qui sont aux extrémités (source/destination) de la chaîne communicationnelle, la signification donnée à l information à la source, la compréhension de l information par le destinataire, le contexte général dans lequel s effectue la communication Le modèle télégraphique considère la communication comme un «casse-tête» : il la complexifie beaucoup trop, la rend à la fois incompréhensible et inaccessible. Modèle orchestral 44. Qu est-ce que le modèle «orchestral» de la communication? Le «prolongement» du modèle télégraphique de la communication (qui reste dans le même esprit que la modélisation télégraphique de la communication). L opposé du modèle télégraphique de la communication (une alternative nouvelle pour modéliser la communication). 45. Quelle autre appellation peut-on donner au modèle «orchestral» de la communication? Modèle dit «de la Communication Traditionnelle». Modèle «circulaire», «systémique», «constructiviste», «de la Nouvelle Communication». 46. Comment est vue la communication dans le modèle «orchestral» de la communication? La communication est vue comme un transfert d information, d un émetteur vers un récepteur. La communication est vue comme une activité humaine, exigeant donc de prendre en compte la complexité humaine (processus de «communication d informations» ou «mise en scène de mises en forme», individus pensant et parlant, sens donné à l information à la source, compréhension de l information par le destinataire, contexte général dans lequel se fait la communication ). 47. On peut dire que le modèle «orchestral» est : Réaliste. Constructiviste (la communication construit le réel). Réalisme / Constructivisme 48. Comment est vue la communication dans une conception «réaliste»? Communication => Transfert neutre d informations (données objectives, savoirs, nouvelles, connaissances vraies ) d un destinateur vers un destinataire, chaine communicationnelle reliant (par un canal) l émetteur au récepteur Communication => «Mise en scène» (qui est influencée / qui influence) d informations (mises en forme), chaine communicationnelle avec individus pensant et parlant aux extrémités, sens donné au message à la source, compréhension du message par le destinataire, contexte 49. Comment est vue la communication dans une conception constructiviste? Communication => Transfert neutre d informations (données objectives, savoirs, nouvelles, connaissances vraies ) d un destinateur vers un destinataire, chaine communicationnelle reliant (par un canal) l émetteur au récepteur Communication => «Mise en scène» (qui est influencée / qui influence) d informations (mises en forme), chaine communicationnelle avec individus pensant et parlant aux extremités, sens donné au message à la source, compréhension du message par le destinataire, contexte Selon Roman Jackobson, toute communication verbale requiert la présence de certains facteurs, que sont : Destinateur, destinataire, contact, code, référent, message. Emetteur, récepteur, bruit, canal, information. 51. Selon Roman Jackobson, toute communication verbale est étroitement liée à différentes fonctions : Expressive, conative, phatique, métalinguistique, référentielle, poétique/émotive. Informative, langagière, émettrice, réceptrice. Consolidation Stéphanie MARTY - 6

7 Réalité, Réalités 52. Selon Paul Watzlawick, qu est-ce que la «réalité»? C est ce que nous percevons. C est ce que nous construisons (c est une interprétation construite par et à travers la communication). 53. D après Paul Watzlawick, qu est-ce que la réalité de 1 er ordre? Tous les aspects accessibles à un consensus de perception et en particulier à une preuve (sur quoi une majorité d individus est d accord). Tout ce qui est visible à l œil nu, tout ce qui n est pas caché. 54. D après Paul Watzlawick, qu est-ce que la réalité de 2 ème ordre? Le côté caché de la réalité, qu il est quasi-impossible de percevoir. La signification, la valeur, le rôle attribués par un sujet (en fonction de ses propres expériences) à la réalité de 1 er ordre. 55. Selon la systémique communicationnelle Tous les individus perçoivent le réel de la même façon : une même information est toujours perçue de la même façon par tous les individus qui la perçoivent, et les effets de cette information seront les mêmes. Selon les différentes réalités de 2 ème ordre des individus concernés, une même information peut prendre un sens radicalement différent et posséder des effets extrêmement divers. 56. Quel autre nom peut-on donner à la «systémique»? La «théorie des systèmes» (Bertalanffy). La «théorie des réflexes systématiques». 57. Quelle est la définition la plus courante d un «système»? Un ensemble d éléments indépendants les uns des autres. Un ensemble d objets (éléments interdépendants composant le système), et les relations (messages) entre ces objets et entre leurs attributs (caractéristiques). 58. Comment sont considérés les systèmes dans l analyse «systémique»? Comme des ensembles d éléments interdépendants, qu il faut étudier dans leur totalité, leur complexité, et leur dynamique propre. Comme des ensembles d éléments indépendants, qu il faut séparer et décomposer pour étudier. 59. Comment procède l analyse «systémique»? Prendre en compte l «infiniment complexe» : relier les éléments entre eux, considérer le nombre, la variété des éléments, leurs relations, leurs interdépendances, leurs interactions, leurs combinaisons, leur dynamique Décomposer les systèmes, considérer les éléments comme indépendants, isoler les éléments des systèmes, pour ramener les problèmes complexes à des données simples => expliquer l ensemble par ses différents éléments, isoler les éléments inhérents à la complexité afin de les envisager un par un 60. Quelle citation illustre relativement bien l analyse «systémique»? La citation de Pascal : «Toutes choses [ ] s entretenant par un lien naturel et insensible qui lie les plus éloignées et les plus différentes, je tiens impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties». La citation de Descartes : «Il s agit toujours de diviser chacune des difficultés en autant de parcelles qu il se pourrait et qui serait requis pour les mieux résoudre». 61. Quel reproche est fait à l analyse «systémique»? Complexité de l approche, nécessité d éclaircir la complexité. Réductionnisme de l approche, nécessité d une étude plus globale. 62. Que représentent les 3 schémas de Minati (ci-dessous)? Schéma 1 : Schéma 2 : Schéma 3 : Consolidation Stéphanie MARTY - 7

8 1. Ensemble 2. Système à logique ensembliste 3. Système. 1. Système 2. Système à logique ensembliste 3. Ensemble. 63. Quelles systémiques peut-on distinguer? La systémique «classique» et la systémique «communicationnelle». La systémique «naturelle» et «mécanique». 64. Que prend en compte la «systémique communicationnelle»? Seulement les interactions entre humains. Les interactions entre humains, mais également les interactions entre les humains et les éléments particuliers du contexte. 65. Pour la systémique «communicationnelle», qu est-ce qui est «constituant et vecteur de communication»? Seulement ce qui communique, au sens de «parler», c'est-à-dire les humains uniquement. TOUT est constituant et vecteur de communication pour la systémique communicationnelle => en systémique communicationnelle, «tout communique» : les êtres humains, les objets, l environnement, le verbal, le non verbal, etc. 66. Dans la systémique «communicationnelle», qu est-ce qui peut expliquer le réel? L information et la communication, car l information est toujours construite et communiquée par la personne qui la prend en charge (la façon dont elle est communiquée est donc étroitement liée à la subjective perception de cette personne). Seulement l information, car l information est «extraite» du réel, et est toujours transmise de façon neutre et objective. 67. Que met en avant la systémique «communicationnelle»? Le schéma «balistique» et «linéaire» de la communication (émetteur, canal, message, récepteur), comparable à un schéma «tireur-cible» (un «tireur» tire avec sa «gâchette informationnelle neutre» et atteint / marque des «cibles»). La nécessité de sortir la communication de son schéma «balistique» et «linéaire», ainsi que le besoin de prendre en compte les interactions (relations) et plus seulement les messages (contenus) transférés/transmis. La systémique communicationnelle met également en avant la subjectivité des individus qui échangent des informations, la nature «construite» et «émergente» des informations, la nature globale et dynamique des systèmes. 68. Quels sont les principes fondamentaux en systémique? Les principes de totalité, homéostasie, rétroaction (causalité circulaire), équifinalité. Les principes d indépendance, autonomie, et séparatisme. 69. Quels sont les 5 axiomes de l approche systémique de la communication? 1. «On ne peut pas ne pas communiquer». 2. «Toute communication prend deux aspects : le contenu et la relation». 3. «La nature d une relation dépend de la ponctuation des échanges». 4. «Les êtres utilisent deux modes de communication : digital et analogique». 5. «Tout échange de communication est symétrique ou complémentaire». 1. «On peut ne pas ne pas communiquer» (silence, non-communication). 2. «Toute communication prend deux aspects : l intérieur et l extérieur». 3. «La nature d une relation dépend de la rapidité des échanges». 4. «Les êtres utilisent deux modes de communication : réflexe et réfléchi». 5. «Tout échange de communication est égal ou inégal». 70. L analyse analytique et l analyse systémique sont Complémentaires (l une renvoie perpétuellement à l autre qui renvoie perpétuellement à l une, ad infinitum, la systémique a recours à la méthode analytique, ). Opposées (il est quasi-impossible de les relier l une à l autre). Consolidation Stéphanie MARTY - 8

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