CARBET DES AIDANTS Samedi 14 novembre 2015 de 9h à 12h à l Auditorium de la Mairie de Rémire-Montjoly.

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1 DOSSIER DE PRESSE Réseau de Gérontologie de Guyane Maison des réseaux 59 avenue Voltaire, Cayenne CARBET DES AIDANTS 2015 Samedi 14 novembre 2015 de 9h à 12h à l Auditorium de la Mairie de Rémire-Montjoly. EVITER LES CHUTES ET ET LEURS CONSEQUENCES CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES 1

2 Selon les données recueillies en France, environ 1/3 des personnes âgées de 65 ans et plus vivant à domicile font au moins une chute chaque année. Cette proportion augmente avec l âge pour atteindre 50% chez les 80 ans et plus. Les chutes répétées concerneraient 10 à 25% des personnes dans cette tranche d âge. La chute est le fait de tomber au sol de façon accidentelle, c est-à-dire indépendamment de sa volonté. Elle est souvent perçue comme un évènement anodin et ses répercussions physiques et psychologiques ne sont pas toujours envisagées dans toute leur ampleur. De ce fait, les personnes âgées qui en sont victimes ne bénéficient pas forcément de la prise en charge la plus adaptée. Au regard des conséquences graves qui en découlent, allant des blessures au décès sans oublier l hospitalisation et la perte d autonomie, la prévention des chutes est une stratégie essentielle dans l optique de la conservation de l autonomie et d une bonne qualité du maintien à domicile des aînés. Justement, avec le vieillissement de la population, nos sociétés sont plus que jamais confrontées au défi du maintien de l autonomie et d une qualité de vie acceptable. C est à cette condition que les aînés pourront participer pleinement à la vie sociale et citoyenne. Fort de ce constat, le projet de Loi d Adaptation de la société au vieillissement donne une place importante à la prévention des chutes qui rentre dans le cadre d une volonté de dynamiser la prévention individuelle et collective de la perte d autonomie. Une telle volonté devrait nécessairement s appuyer sur des actions de communication visant à modifier la perception de la gravité des chutes chez les personnes âgées et à donner des repères pour les éviter ou pour développer les bonnes réactions quand elles se produisent. Ce sont de tels objectifs que visent le Réseau de Gérontologie de Guyane, ses partenaires et la Marraine SUPER MAMIE FRANCE 2015, Madame Simonne Marietta PATIENT LEHACAUT qui, à travers l édition 2015 du Carbet des aidants, proposent une campagne d information sur les chutes chez les aînés, un véritable problème de santé publique. 2

3 CONTEXTE Aujourd hui, un certain nombre d études ont permis développer les connaissances concernant les chutes chez les personnes âgées notamment les facteurs de risque et les conséquences à différents niveaux. QUE SAIT-ON DES CHUTES CHEZ LES PERSONNES AGEES? EN CHIFFRES Les chutes sont directement ou indirectement à l origine de 9000 décès de personnes âgées de 65 ans et plus chaque année en France. i Elles sont également la cause de complications fréquentes et graves : 20% des chutes de personnes âgées seraient suivies d une intervention médicale ii 10% se compliquent de traumatismes graves (fractures, contusions, hématomes) iii lorsqu elles entraînent un passage aux urgences, 37% des chutes conduisent à une hospitalisation, cette proportion augmentant avec l âge : 27% entre 65 et 69 ans ; 44% après 90 ans. iv Importance des chutes et de leurs conséquences annuelles chez les personnes âgées d après les données françaises v 3

4 A L ORIGINE DES CHUTES AU DOMICILE Selon l OMS, la chute est la conséquence d une inadéquation entre la personne vieillissante et son environnement. Elle est attribuable aux modifications physiques, sensorielles et cognitives associées au vieillissement, conjuguées à des environnements qui ne sont pas adaptés à une population vieillissante. vi DES CONDITIONS DE SURVENUES PARTICULIÈRES Les données montrent qu au domicile, les chutes de personnes âgées surviennent essentiellement au cours d activités simples de la vie qui engagent un déplacement du corps. On observe le contraire chez celles qui vivent en institution pour qui la cause la plus fréquente est représentée par les transferts d une chaise ou du lit à une position debout et inversement. Dans tous les cas, les récidives sont fréquentes : plus de 50% des personnes concernées rechutent dans l année. UNE ORIGINE MULTIFACTORIELLE La chute d une personne âgée résulte généralement de la combinaison de plusieurs facteurs dont : 1. L état de santé Sur le plan physiologique : le vieillissement et ses effets à savoir la diminution de la masse musculaire, la diminution de la sensibilité profonde, les déficits visuels et/ou auditifs, instabilité sans chute dans des circonstances normales mais avec un maintien postural précaire. Sur le plan médical : les chutes sont associées différents types de pathologies notamment : ophtalmiques (par exemple la cataracte), ORL (les bouchons de cérumen, les vertiges paroxystiques..), podologiques (cors, durillons, hallus valgus), cardiologiques (hypotension artérielle, insuffisance cardiaque, bas débit cérébral), neurologiques (AVC, Parkinson, troubles de la mémoire et de l attention ), ostéoarticulaires (arthrose, séquelles de fractures), altération de l état général (dénutrition, anémie, déshydratation), 4

5 les pathologies aigües (fièvre, infections ) 2. Les comportements consommation d alcool prise médicamenteuse : automédication, polymédication (c est-à-dire utilisation de 4 médicaments ou plus à la fois), prise de psychotropes, d antihypertenseurs, d antiarythmiques alimentation insuffisante ou inadéquate prise de risques (ex : monter sur un meuble pour atteindre un objet situé plus haut ) peur de tomber 3. L environnement que ce soit au domicile ou à l extérieur : une luminosité non adaptée, les obstacles, les distances à couvrir sans point de repos QUELLES CONSEQUENCES? Les chutes représentent la principale cause de décès par traumatisme chez les personnes âgées de 65 ans et plus. Leurs conséquences peuvent être ressenties à plusieurs niveaux : AU PLAN PHYSIQUE Chaque année en France, 20% des chutes de personnes âgées occasionnent des blessures qui nécessiteraient une intervention médicale et 10% se compliquent de traumatismes graves (fractures, contusions, hématomes ) Les chutes sont à l origine de hospitalisations dans cette tranche de population. Elles représentent 8 à 10% des admissions en service d urgence et sont la 3 ème cause d hospitalisations en service gériatrique aigu. AU PLAN PSYCHOLOGIQUE LE SYNDROME POST-CHUTE La littérature a montré que l une des conséquences directes de la chute chez la personne âgée est la peur intense de tomber dont la conséquence est d augmenter la probabilité de faire de nouvelles chutes. Ce phénomène est associé au syndrome post-chute (un ensemble de troubles de la marche de l équilibre et psychologiques) qui est observé à travers la restriction des activités et qui conduit peu à peu vers la dépendance. Cette peur découlant de la chute génère une anxiété notamment lors du passage à la position debout pouvant aller jusqu à la phobie de la verticalité dans certains cas. Or, la restriction des activités 5

6 entraine une diminution de l endurance, de la force musculaire et de la capacité de coordination et augmente les problèmes d équilibre. S opèrent alors progressivement un appauvrissement des contacts sociaux, la perte de confiance en soi, l installation de pensées negatives et un sentiment subjectif de diminution de la qualité de vie. On parle du «cercle vicieux de la chute» ou de la «spirale de la chute» qui est décrit à travers le schéma cidessous. Pour en savoir plus vii Chute Perte de la confiance en soi Peur de tomber Sentiment de diminution de la qualité de vie Restriction des activités Perte progressive de l'autonomie Conséquences physiques et problèmes d'équilibre Appauvrissement du réseau social PERCEPTION DE L ENVIRONNEMENT ET IMAGE DE SOI : UN ENSEMBLE DE BOULEVERSEMENTS Lorsqu une personne âgée est victime d une chute, la perception qu elle pouvait avoir de son environnement est souvent modifiée. L environnement familier (domicile, rue ) peut être perçu dorénavant comme un lieu d insécurité source d accidents. Par ailleurs, la perception de sa propre image est souvent atteinte. Un sentiment de perte de contrôle peut s installer ce qui place la personne face à son vieillissement et à sa fragilité. Les circonstances de la chute peuvent générer de la honte et un sentiment de dévalorisation. Lorsqu elle a occasionné une perte d autonomie, l image corporelle est également bouleversée. Tous ces bouleversements peuvent favoriser la perte de confiance en soi, le repli sur soi, le retrait de la vie sociale et la dépression. 6

7 QUELLE CONSCIENCE DU RISQUE LIÉ AUX CHUTES CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES? Une bonne perception du risque et des conséquences de la chute peut avoir un effet sur les comportements et les réactions face à celle-ci. Or, cette perception du risque de chute reste à améliorer chez les personnes âgées. Une enquête 1 diligentée par la SYNALAM 2 et réalisée par l institut de sondage, OpinionWay, montre que, sur un échantillon de 302 personnes âgées en moyenne de 78 ans, 67% ne perçoivent pas qu une chute puisse être mortelle. Pourtant, la chute constitue présentement en France, la première cause de décès d origine accidentelle chez les personnes âgées de 65 ans et plus. LES CHUTES CHEZ LES PERSONNES AGEES : POURQUOI AMELORER LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES ET LA PREVENTION? L EFFICACITÉ DES PROGRAMMES DE PRÉVENTION DES CHUTES EST PROUVÉE La littérature enseigne que la chute n est pas une fatalité. Elle résulte généralement d une combinaison de plusieurs facteurs sur lesquels il est possible d agir. Les programmes de prévention des chutes chez les personnes âgées ont montré leur efficacité surtout lorsqu ils intègrent des interventions à différents niveaux. Exemple de modèle d intervention agissant à plusieurs niveaux : intervention ciblant les comportements (alimentation, activité physique, chaussage) ; actions d adaptation de l environnement (aménagement du domicile, mise en place d aides techniques) ; intervention médicale (prise en charge ophtalmologique). 1 «Sondage sur la perception du danger et la volonté d équipement du domicile des plus de 70 ans», Syndicat National des prestataires de santé à domicile. 7

8 Alimentation suffisante et de bonne qualité Correction de la vision Aménagemen t du domicile Prévention des chutes Activité physique adaptée Chaussures adaptées Aides techniques adaptées Quelques exemples d aides techniques en ANNEXE 6. UNE BONNE PRISE EN CHARGE PEUT RÉDUIRE LES RISQUES DE COMPLICATION ET LES COÛTS DE PRISE EN CHARGE DES PERSONNES CONCERNÉES Il a été souligné plus haut que les chutes conduisaient à des complications diverses : blessures, fractures, hospitalisations, syndrome post-chute, perte d autonomie, décès, etc. Des mesures d accompagnement peuvent être mises en place face aux principaux troubles qui en découlent dans une optique de prévention secondaire. Par ailleurs, la prise en charge de ces complications a un coût et les éviter serait une façon de le réduire. LE CARBET DES AIDANTS 2015 Les chiffres impressionnants de la prévalence des chutes (et de leurs conséquences) chez la personne âgée mettent en évidence trois grands défis à savoir : la nécessité de poursuivre les efforts d information et de sensibilisation par une amélioration des connaissances et de la perception des facteurs de risque de chute. Ces efforts doivent cibler particulièrement les personnes âgées et leur entourage. la modification des comportements chez la personne âgée, dans son entourage mais également dans la communauté tout entière pour réduire les comportements à risques. 8

9 la nécessaire et urgente adaptation de la société au vieillissement avec l adaptation des logements et du cadre de vie (d où l intérêt d inclure dans le débat les collectivités locales et les services techniques notamment dans l immobilier). Le Carbet des aidants est donc une occasion d ouvrir un large débat impliquant les personnes âgées, les familles et un panel d acteurs professionnels. OBJECTIFS Alerter sur les risques liés aux chutes chez les personnes âgées Proposer des repères pour prévenir les chutes au domicile Contribuer à une bonne prise en charge des chutes survenues au domicile. DES REPÈRES Des fiches-repères sont proposées avec la collaboration des partenaires pour guider la reaction face à une chute mais également pour les éviter. Ces fiches sont destinées aux personnes âgées et à leur entourage. FICHES-REPÈRES 1 ET 2: CHUTE DE LA PERSONNE ÂGÉE, COMMENT RÉAGIR? 1. Comment réagir : quand on est la victime? quand on est le témoin? (ANNEXE 1) 2. Comment se relever du sol après une chute? (ANNEXE 2, Brochure Sports Pour Tous) 3. Conseils des professionnels. (ANNEXE 3) FICHE-REPÈRES 3: COMMENT PRÉVENIR LES CHUTES AU DOMICILE? 4. Comment aménager son domicile? Brochure INPES. ANNEXE 4. PROGRAMME DU CARBET 8h30-9h : Accueil et installation 9h15 : Mot d introduction 9h30 : Les chutes chez les personnes âgées, un problème de santé publique. (Dr Claude Rosnel, Gériatre, Conseil Général de la Guyane) 9h50 : «Comment bien réagir face à une chute?» SDIS h20 : «On peut éviter les chutes!» (Dr Claude Rosnel & Ergothérapeutes) 10h50 : Découverte du Qi Gong. (Bernard Canac, Do-In Guyane) 11h00 : Echanges avec le public 9

10 11h40 : Le mot de la Marraine 12h : «Surprise» L AFFICHE DU CARBET DES AIDANTS 2015 (ANNEXE 5) LA MARRAINE, SUPER MAMIE FRANCE 2015 Madame Simonne-Marietta PATIENT LEHACAUT est la marraine de l évènement. Elle sera mise à l honneur en tant que gagnante des concours SUPER MAMIE Guyane et SUPER MAMIE France La mananaise, âgée de 75 ans, a été récompensée parmi 12 candidates pour ses nombreuses qualités parmi lesquelles le dynamisme, l engagement et l implication dans la vie locale. Son mode de vie très favorable au maintien d une activité physique et du réseau social est un modèle qui mérite de rayonner au sein du public des seniors guyanais. LES PARTENAIRES PARTENAIRES INSTITUTIONNELS CGSS Guyane ARS Guyane Conseil Général DRJSCS Mairie de Rémire-Montjoly Mairie de Cayenne PARTENAIRES TECHNIQUES SDIS 973 CR Sports pour tous MDPH AGMN Association Do In Guyane AUTRES PARTENAIRES Associations de personnes âgées 10

11 SUITE AU CARBET DES AIDANTS: LA CAMPAGNE D INFORMATION SUR LES RISQUES LIÉS AUX CHUTES Pour la première fois, le Carbet va être suivi par une campagne d information qui s appuiera sur une stratégie d affichage sous différents formats. L affiche s adresse au grand public pour faire prendre conscience du fait que les chutes chez les personnes âgées sont un problème de santé publique et qu il faut se mobiliser pour les éviter. REFERENCES i HAS Recommandation de bonne pratique: Prévention des chutes accidentelles chez la personne âgée, Novembre ( ii Argumentaire : HAS Recommandation de bonne pratique: Prévention des chutes accidentelles chez la personne âgée, Novembre 2005 iii Les bonnes pratiques de soins en EHPAD, 2007 iv Argumentaire : HAS Recommandation de bonne pratique: Evaluation et prise en charge des personnes âgées faisant des chutes répétées, Avril 2009 v Argumentaire : HAS Recommandation de bonne pratique: Prévention des chutes accidentelles chez la personne âgée, Novembre 2005 vi Source : OMS Aide-mémoire N 344 Octobre 2012 vii Chantal Piot-Ziegler, Thérèse Cuttelod et Marie Santiago : «Définir «la peur de tomber» chez les personnes âgées à domicile. Étude qualitative», Bulletin de Psychologie, 2007/6, N 492. ANNEXES ANNEXE 1 : FICHE REPÈRE : COMMENT RÉAGIR FACE À UNE CHUTE? VOUS ÊTES LA VICTIME VOUS POUVEZ VOUS RELEVER Voir Fiche-Repères 2 : Comment se relever après une chute?. 11

12 NB : les personnes âgées sont encouragées à mettre en œuvre ces gestes en prévision d une chute éventuelle. VOUS NE POUVEZ PAS VOUS RELEVER Si vous ressentez des malaises ou êtes incapable de vous lever, tentez d obtenir de l aide. 1. Appelez à l aide si vous croyez pouvoir être entendu. 2. Bien sûr, si vous avez un bouton d urgence ou un téléphone à la portée de la main, utilisez-le. 3. Sinon, tentez de vous glisser vers un téléphone ou un endroit où vous serez entendu. 4. Faites du bruit avec votre canne ou un autre objet pour attirer l attention. 5. Attendez les secours en prenant la position qui vous est la plus confortable. 6. Si vous le pouvez, placez un coussin sous la tête et recouvrez-vous d un vêtement ou d une couverture pour rester au chaud. 7. Essayez de bouger les articulations pour faciliter la circulation et éviter les raideurs. VOUS ETES TEMOIN A. Je rassure la personne. B. Je ne la relève pas immédiatement. C. Je m assure de son état : je vérifie que la personne est consciente ou inconsciente ; je recherche des blessures éventuelles. Situation 1 : La personne n est pas en mesure de se relever 1. J appelle les secours 2. J administre les premiers soins si je suis en mesure de le faire 3. Je l aide à trouver une position confortable et je veille à son confort en attendant les secours (vêtement, couverture si nécessaire ). Situation 2 : La personne est en mesure de se relever En allant à son rythme : 1. J approche une chaise de la personne, je l aide à se retourner sur le côté, je fais plier la jambe qui est sur le dessus et je l aide à se mettre en position semi-assise. 2. Je me place derrière elle et je fais une prise solide au bassin, je l aide à se mettre à genoux avec les mains sur la chaise. 3. Une fois à genoux avec les mains sur la chaise, la personne doit mettre sa jambe la plus forte en avant. Je l'aide en accompagnant sa jambe. 12

13 4. Tout en faisant une prise solide au bassin, je l aide à se relever, ensuite je la fais tourner et s'asseoir sur la chaise. ANNEXE 2 : FICHE-REPÈRES : COMMENT SE RELEVER APRÈS UNE CHUTE? ANNEXE 3 : FICHE-REPÈRES : CONSEILS DES PROFESSIONNELS Consulter systématiquement son médecin traitant après une chute même si on n a relevé aucune conséquence pour faire le point sur les causes et repérer les séquelles éventuelles. Il faut consulter son médecin a fortiori si la chute a occasionné : la perte de conscience juste avant ou après la chute des blessures une douleur forte ou persistante 13

14 des étourdissements des nausées une faiblesse générale des maux de tête des troubles de la vision ANNEXE 4 : A PROPOS DES AIDES TECHNIQUES Une aide technique, c est tout produit (y compris tout dispositif, équipement, instrument et logiciel) fabriqué spécialement ou généralement sur le marché, utilisé par ou pour les personnes en situation de perte d autonomie, destiné à : favoriser la participation protéger, soutenir, entraîner, mesurer ou remplacer les fonctions organiques, les structures anatomiques et les activités, ou prévenir les déficiences, les limitations d'activité et les restrictions de la participation Voir plus d informations sur le site de la CNSA (Caisse Nationale pour la Solidarité et l Autonomie). Quelques exemples d aides techniques : La canne de marche Le déambulateur 14

15 Salle de bains aménagée : Fauteuil de douche et barres d appui ANNEXE 5 : COMMENT AMÉNAGER SA MAISON POUR ÉVITER LES CHUTES? 15

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