PATHOS. 13 décembre 2010 Cochin DIU MC & CAPACITE Serge Reingewirtz
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- Pierre-Louis Morel
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1 PATHOS 13 décembre 2010 Cochin DIU MC & CAPACITE Serge Reingewirtz 1
2 AGGIR permet de déterminer les niveaux de soins de base NÉCESSAIRES PATHOS permet de déterminer les niveaux des soins médicaux, para-médicaux et techniques NÉCESSAIRES 2
3 En pratique en EHPAD Evaluation par qui? équipe interdisciplinaire de soins, des différentes ont montré que les soignants sous cotent ; pourquoi Quand? A l entrée : demande administrative pour facturer le prix de journée (difficultés), lors des changements d autonomie Variation du GMP au cours de l année Coupe Minimum : 1x par an ou mieux 2x par an : ajustement de l APA et du GMP
4 4
5 CORRESPONDANCE EN TEMPS DE SOINS REQUIS GIR 1 3 H 30/24 H GIR 2 3 H 00/24 H GIR 3 2 H 20/24 H GIR 4 1 h 30/24 H GIR 5 55 mn/24 H GIR 6 15 mn/24 H SMAF et Plaisir. références
6 Le GIR MOYEN PONDERE (GMP) Somme des points GIR/nombre de résidants Calcul du GMP = ((nbre GIR1x1000)+ (nbre GIR2x840)+(nbre GIR3x660)+(nbre GIR4x420)+(nbre GIR5x250) +(nbre GIR6x70))/ nbre total de résidants
7 GMP 200 LF 500 MDR 800 USLD AGGIR ET GMP Modification du GMP a une incidence directe sur le budget de fonctionnement et les tarifs Toute modification de +/- 5% du GMP peut déclencher un contrôle du conseil général et de l assurance maladie
8 Distribution du GMP par strate (ernest 2001)
9 PATHOS : évalue les soins nécessaires pour tous les «États Pathologiques» présentés par un patient un jour donné 9
10 Soins nécessaires : ce qui est souhaitable, incontournable, la persévérance raisonnable. 10
11 Les 50 états pathologiques recouvrent la totalité des situations rencontrées en limitant à 1,5 % les états pathologiques codifiés «autres états pathologiques» 11
12 LA NOTION DE PROFIL L état pathologique «seul» ne suffit pas à indiquer les moyens à mobiliser pour sa prise en charge, il faut le caractériser par son ambiance" de soins nécessaires : son PROFIL 12
13 Les 12 profils de soins vont permettre de qualifier chacun des états pathologiques identifiés chez un patient ce qui détermine la mobilisation nécessaire des 8 postes de ressources 13
14 14
15 Profil T1 = pronostic vital en jeu au quotidien Profil T2 = équilibration des TT, surveillance rapprochée. Haut risque de rechutes. 15
16 Profil P1 = prise en charge psychiatrique de crise Profil P2 = prise en charge psychothérapique de soutien 16
17 Profil R1 = RRF intensive individuelle Profil R2 = RRF de soutien ou allégée 17
18 Profil CH = plaies, soins locaux complexes et longs Profil DG = investigations pour un état non diagnostiqué (hors T1 ou T2) 18
19 Profil M1 = mourant soins palliatifs psychothérapiques et techniques Profil M2 = état crépusculaire simples soins palliatifs de confort 19
20 Profil S1 = prévention surveillance, dispensiation médicamenteuse Profil S0 = absence significative de prévention, de surveillance ou de soins 20
21 Exemple : Insuffisance cardiaque T2 21
22 Niveau de soins par poste Insuffisance cardiaque - T2 Géri Psy Inf Rééd Psycho Bio Image Pharma B 0 B A 0 B B B
23 Pathos Moyen Pondéré Le PMP est un indicateur global unique de charge en soins médicaux et techniques pour une population. Il correspond à la somme pondérée des points de niveau de soins dans les huit postes de ressources analysés par le modèle. 23
24 Pathos Moyen Pondéré par type de structure LS SCM MdR CS MS HAD SIAD 24
25 Pathos Moyen Pondéré L'état de santé des personnes se modifie dans le temps, et la population se renouvelle plus ou moins vite selon le type de structure Mais, sur quelques mois si la structure est de quelques dizaines de lits le PMP ne varie que de 2 à 6%. 25
26 26
27 PMP élément d évaluation quantitatif pas qualitatif. le PMP ne permet pas d évaluer la nature réelle qualitative des besoins, indispensable pour établir un projet d établissement. Seuls, la distribution des pathologies et des profils de stratégie thérapeutiques, ainsi que les niveaux de soins requis dans les 8 postes de ressources permettent cette approche qualitative. Un même PMP recouvre souvent, en matière de besoins et d organisation des structures, des réalités très différentes. 27
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