Communiqué final de la troisième Conférence islamique des Ministres de l'enseignement supérieur et de la Recherche scientifique

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1 Communiqué final de la troisième Conférence islamique des Ministres de l'enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (Etat du Koweït, novembre 2006) La troisième Conférence islamique des ministres de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique a été tenue à l'etat du Koweït, sous le haut patronage de Son Altesse Cheikh Sabah Al Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, Emir de l'etat du Koweït, que Dieu le préserve, du 18 Chawal au 1 er Zhul Ki'da 1427 H, correspondant au novembre La Conférence a été tenue sous le thème: "l'excellence scientifique et technologique, clé du progrès et de la prospérité", en présence de tous les Etats membres de l'organisation de la Conférence islamique, exceptés les Etats suivants: Albanie, Guyane, Suriname, Sierra Léone, Somalie, Irak, Maldives et Mozambique. L'ouverture de la Conférence a été présidée par Son Altesse Cheikh Nasser Muhammad Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, Premier ministre de l'etat du Koweït, au nom de Son altesse, l'emir du Koweït, parrain de la Conférence. Ont été présents à la séance d'ouverture nombre de leurs Excellences MM. les ministres du gouvernement de l'etat du Koweït, Son Excellence Dr Ali Akbar Salhi, Secrétaire général adjoint de l'organisation de la Conférence islamique, les représentants des organisations islamiques, arabes et internationales, les ambassadeurs des Etats membres et plusieurs autres grandes personnalités. La Conférence a été ouverte par l'allocution de Son Excellence Dr Adel Al- Tabtabae, ministre de l'éducation et de l'enseignement supérieur au gouvernement de l'etat du Koweït, président de la troisième session de la Conférence. Il a souhaité la bienvenue aux membres de la conférence et aux représentants des organisations invitées, en soulignant que l'ensemble des questions et des thèmes inscrits à l'ordre du jour nous interpellent tous et interpellent tous les pays et toutes les sociétés, y compris les sociétés développées. Il a affirmé que la coopération scientifique et technologique entre les Etats du monde islamique est l'une des conditions de la promotion de nos sociétés, partant du principe que le développement de la recherche scientifique est la base de tout développement durable, intégré et équilibré. Son Excellence a affirmé à ce propos que la mise en place de mécanismes de mise en œuvre de la Stratégie de développement de la biotechnologie, adoptée par la précédente session de la Conférence, est un pas important vers l'avenir. A cet égard, il a souligné que la Stratégie de développement de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique dont le projet a été présenté à la Conférence est considérée comme une très importante initiative attendue depuis plusieurs années. Il a, en outre, indiqué que cette Stratégie constituera un soutien à la Stratégie de développement de l'éducation dans les pays islamiques, laquelle sera soumise à la Conférence générale de l'isesco pour l'adopter dans sa version amendée. 1

2 Par ailleurs, le Président de la Conférence a précisé que la question de la prévention de l'émigration des compétences des pays du monde islamique, dont le projet de plan a été discuté par la Conférence, vient à la tête des préoccupations des pays en développement. Il s'agit, en fait, d'une problématique qui met en jeu plusieurs facteurs et qui doit être considérée d'un point de vue scientifique et académique. Il a également affirmé que la Conférence a accordé à la question de l'émigration des compétences toute l'attention qu'elle exige, en ce sens qu'il s'agit d'une question cruciale devant être examinée et faire l'objet d'une décision sage qui prenne en considération tous ces facteurs. Ensuite, le Directeur général de l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture ISESCO-, Dr Abdulaziz Othman Altwaijri, a prononcé une allocution où il a commencé par adresser ses remerciements et sa reconnaissance à l'emir, au gouvernement et au peuple du Koweït. Dans son allocution, il a affirmé que Le monde islamique compte sur cette conférence, comme il compte sur toute activité islamique collective ou action islamique commune. Il a souligné que des efforts seront consentis pour permettre à la Conférence de réaliser des résultats positifs et appuyer l'action de l Organisation islamique pour l Education, les Sciences et la Culture, organe spécialisé de l OCI, qui bénéficie de la confiance, du soutien et de l appui de tous les Etats membres. Le Directeur général a également affirmé que le développement des sciences et de la technologie est le moyen par lequel on peut atteindre un développement global et durable et que l excellence scientifique et technologique est la clé du progrès et de la prospérité dans tous les domaines. De plus, il a soutenu que la coopération et la concertation des efforts dans ce domaine vital est un devoir qui nous incombe tous et une condition nécessaire pour l éveil scientifique, l ouverture sur le progrès technologique et le développement scientifique que connaît le monde. Le Directeur général de l'isesco a affirmé que la recherche scientifique dans nos pays est bien en deçà du niveau qui lui permettra de constituer une excellente base pour le développement de tous les domaines du savoir. En effet, il a précisé que les dépenses allouées à la recherche scientifique dans la majorité des Etats membres atteignent à peine 1 % du Produit national brut et ne dépassent guère 0,5% dans certains cas. Cette situation, qui a des répercussions négatives sur le présent et l avenir du monde islamique, nous interpelle fortement et rend notre responsabilité d autant plus grande envers les peuples de notre Oumma qui aspire à une nouvelle renaissance fondée sur la science, condition sine qua non de tout développement et tout progrès. Il a, par ailleurs, précisé que notre Oumma enregistre les plus bas niveaux de développement scientifique et technologique et souffre d une faiblesse inadmissible sur le plan des structures scientifiques qui forment le socle de toute civilisation. De même, elle n accorde pas suffisamment d intérêt à l accompagnement du progrès scientifique et technologique de notre temps. Son Excellence a souligné la nécessité d'œuvrer pour pouvoir être à la hauteur des grands défis qui nous interpellent. Cela passe par la promotion de nos universités, tant sur le plan de la qualité que de la quantité, l optimisation de la coopération scientifique, la consolidation et la concrétisation de la solidarité islamique sous forme de plans d action et stratégies 2

3 s inscrivant dans le cadre des compétences de cette Conférence et des domaines d intérêt de l Organisation islamique ISESCO. De son côté, Son Excellence Dr Ibrahim Zarouk Al-Charif, Président de la deuxième session de la Conférence islamique des ministres de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Secrétaire du Comité populaire général de l'enseignement supérieur en Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire et Socialiste, a prononcé une allocution dans laquelle il a affirmé que l'importance extrême accordée à l'enseignement supérieur et à la recherche scientifique se confirme de jour en jour dans la vie des peuples, suite à la grande mutation scientifique que connaît le monde contemporain depuis la deuxième moitié du siècle dernier, à toutes les avancées scientifiques et au progrès des technologies de l'information et de la communication. Dans ce contexte, il a souligné l'importance particulière que revêt le secteur de l'enseignement et de la recherche scientifique dans les pays du monde islamique, étant donné que ces pays font face à des défis scientifiques hautement sensibles et complexes, en particulier la nécessité d'acquérir la technologie et les moyens qui mènent vers le progrès et assurent l'excellence scientifique et technologique. Son Excellence Dr Ali Akbar Salhi, Secrétaire général adjoint de l'organisation de la Conférence islamique a, pour sa part, pris la parole pour souligner les défis auxquels font face les pays du monde islamique dans le domaine de l'éducation, de l'enseignement, du savoir et de l'information, mettant l'accent sur la nécessité d'intensifier les efforts pour y faire face à travers l'activation de mécanismes de coopération et l'accompagnement des dernières évolutions dans ce domaine. Il a, en outre, mis en relief l'importance de la contribution de l'isesco et de la Fédération des Universités du Monde islamique au soutien des efforts des Etats membres de l'organisation de la Conférence islamique, notamment pour le développement de l'enseignement universitaire et la promotion de la recherche scientifique. Son Excellence a, par ailleurs, affirmé que le Plan d'action décennal de l'organisation de la Conférence islamique a accordé une attention particulière au développement de l'éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans le monde islamique. Dr Racha Al-Sabah, Sous-secrétaire du ministère de l'enseignement supérieur à l'etat du Koweït, présidente du Comité d'organisation principal de la Conférence a ensuite pris la parole pour rappeler que l'etat du Koweït est fier d'accueillir la troisième Conférence islamique des Ministres de l'enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Elle a affirmé que cette Conférence reflète le haut niveau de coopération et de coordination que l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture entend activer pour développer les sciences appliquées et exploiter les technologies dans le cadre des principes et des valeurs islamiques et de manière à premettre à notre Oumma de rentrer de plain-pied dans le troisième millénaire et faire face à ses défis scientifiques et culturels. Son Altesse, Cheikh Nasser Mohammad Al-Ahmad Al Sabah, Premier ministre koweïtien a remis les Prix ISESCO pour les Sciences au titre de l'an 2006 aux nominés suivants : Le prix de biologie à Sofiya Sagyndykovna, de la République du Kazakhstan; le prix de Chimie au Pr Shamsupur Mojtaba de la République islamique d'iran ; le prix de géologie au Dr Alaa El-Din R. Mostafa de la République arabe d'egypte ; le prix de physique au Dr Hameed Ahmed Khan de la République 3

4 islamique du Pakistan; le prix de technologie au Dr Fazilah Fazan de Malaisie. Dr Mohamed Salou Diané, de la République de Guinée a obtenu un prix d'excellence en technologie. Sur un autre plan et en hommage aux efforts qu'ils ont déployés pour le soutien de l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture ISESCO- Son Excellence le Directeur général, Dr Abdulaziz Othman Altwaijri a remis la Médaille d'or de l'isesco à son Altesse Cheikh Nasser Muhammad Al-Ahmad Al-Sabah, Premier ministre de l'etat du Koweït. Il a également remis la Médaille de l'isesco de premier ordre à Son Excellence Dr Adel Tabtabae, ministre de l'éducation et de l'enseignement supérieur à l'etat du Koweït, à Son Excellence Dr Ibrahim Zarouk Al-Charif, Secrétaire du Comité populaire général pour l'enseignement supérieur en Grande Jamahiriya Libyenne, Président de la deuxième Conférence et à Son Excellence Rasha Al-Sabah, Sous-secrétaire du ministère de l'enseignement supérieur à l'etat du Koweït. Ensuite, un programme de coopération a été signé entre des universités islamiques qui relèvent de l'organisation de la Conférence islamique. Il s'agit de: l'université islamique du Niger, l'université islamique de l'ouganda, l'université islamique mondiale de Malaisie et l'université islamique de technologie au Bengladesh. Un autre programme de coopération a été signé entre l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture ISESCO- et le Comité Permanent pour la Coopération scientifique et technologique COMSTECH- relevant de l'organisation de la Conférence islamique. A la fin de la séance d'ouverture de la Conférence, Son Excellence Dr Adnane Badran, ex-premier ministre du Royaume hachémite de Jordanie, intervenant principal à la conférence, a présenté un exposé sous le thème: La science et la technologie dans le monde islamique: réalité et perspectives. Ensuite, l'exposition de l'excellence scientifique a été inaugurée lors d'une cérémonie officielle, en présence des membres de la Conférence et des personnalités présentes. Après la séance d'ouverture et la reprise de la conférence principale, une séance procédurale a été tenue, au cours de laquelle le projet d'ordre du jour et le projet de programme de travail ont été adoptés. Lors de cette séance, les membres du Bureau de la Conférence ont été élus comme suit: Président: Etat du Koweït Vice-présidents: * République de Guinée * Malaisie * République Libanaise Rapporteur: Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire et Socialiste. 4

5 Ont ensuite pris la parole au nom des organisations arabes, islamiques et internationales Dr. Moungi Bousnina, Directeur général de l'organisation arabe pour l'education, la Culture et les Sciences ALECSO-, Dr Abdelkebir Alaoui M'daghri, Directeur général de Bayt Mal Al Qods Al Charif, Dr Eva-Egron Polak, Secrétaire générale de l'association internationale des Universités. Lors des séances générales, les membres de la Conférence ont présenté leurs rapports sur les efforts fournis par leurs gouvernements dans les domaines de compétence de la conférence afin de développer l'enseignement supérieur et la recherche scientifique et établir une base solide pour la promotion de l'enseignement et des sciences, conformément aux politiques nationales et à la vision de chaque pays. La Conférence a ensuite pris connaissance des rapports des Etats membres et des organisations arabes, islamiques et internationales dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et les a appelés à poursuivre leurs efforts pour la promotion de ces deux secteurs, en fonction de leurs priorités et des politiques générales, et ce dans la limite des moyens disponibles. Le Directeur général de l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture ISESCO- a présenté son rapport sur les efforts de l'isesco pour la promotion de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique. Ainsi, il a passé en revue les réalisations, les projets et activités mis en œuvre par l'organisation islamique dans l'intervalle entre les deux sessions. A cet égard, il a indiqué que l'isesco a accordé une grande importance à la promotion de la haute technologie dans les Etats membres, en organisant une série de sessions de formation et d'ateliers dédiés aux nouvelles technologies, notamment la nanotechnologie, la biotechnologie et la méchatronique, en faveur du personnel des universités et des institutions concernées afin de leur fournir les compétences nécessaires et développer leurs connaissances. A ce titre, il a indiqué que des initiatives ont été prises par l'isesco pour soutenir les centres scientifiques dans les Etats membres et que ces centres assument un rôle primordial dans le développement des compétences scientifiques et technologiques, en précisant que ces programmes ont mis l'accent sur les moyens de développer la gestion des centres scientifiques et technologiques à travers la communication avec ces centres et leur approvisionnement en informations utiles se rapportant à leur conception, à leurs objectifs et à leurs résultats. Son Excellence a également annoncé la création d'un Réseau de centres scientifiques et technologiques, faisant mention du travail de l'organisation islamique pour la promotion du rôle de la femme dans le domaine des sciences et de la technologie en lui donnant l'opportunité de participer activement à ce domaine. L'Organisation a ainsi mis au point des programmes particuliers permettant à la femme d'acquérir une excellente formation académique et professionnelle et encouragé à la création d'associations scientifiques féminines et la création de chaires de femmes savantes, indiquant que l'isesco a accordé un intérêt particulier à la promotion des sciences sociales et humaines. Ainsi, des bourses ont été accordées dans le domaine de la recherche afin de trouver des solutions durables et efficaces aux problèmes sociaux et humains auxquels nos sociétés se voient confrontées. Le Directeur général de l'isesco, Secrétaire général de la Fédération des Universités du Monde islamique, a présenté son rapport sur la mise en œuvre des activités de la FUMI dans l'intervalle entre ses deux sessions. 5

6 Dans une atmosphère où ont régné l'harmonie, l'entente et l'esprit de responsabilité, la Conférence a discuté un ensemble d'études, de stratégies et de plans élaborés par l'isesco à la lumière des changements que connaît le monde dans le domaine de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique et en réponse aux besoins de développement et de modernisation qui sont la condition de la renaissance des sociétés islamiques et de l'accès à un haut niveau de développent global et durable dans les pays du monde islamique. La Conférence a adopté le rapport du Directeur général de l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture sur les efforts de l'isesco dans le domaine du développement de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique en prenant en considération les observations des membres de la Conférence. Elle a également adopté le rapport de la 3 ème réunion du Conseil consultatif pour la mise en œuvre de la Stratégie de développement des sciences et de la technologie dans les pays islamiques et exhorté les Etats membres à renouveler leurs engagements à réaliser le développement scientifique et technologique, à faire de celui-ci une priorité dans le cadre des plans nationaux de développement et à contribuer à hauteur de 1% au moins de leur PIB à la promotion de la science et de la technologie. Elle a recommandé aux Etats membres de prendre des mesures concrètes de manière à garantir la transition rapide de leurs économies vers des économies basées sur le savoir, et de promouvoir l intégration des technologies de l information et de la communication dans tous les domaines et ce, en vue de réduire le fossé numérique et de mieux s adapter aux normes internationales. La Conférence a appelé l ISESCO à mobiliser le soutien technologique des pays industrialisés à travers les liens et les accords qui la lient aux institutions scientifiques internationales et ce, dans le but de permettre aux pays les moins développés de faire face aux défis de l époque. De plus, la Conférence a appelé les Etats membres à renforcer leurs systèmes nationaux d innovation, à accorder une attention particulière à l exploitation fructueuse des résultats de la recherche scientifique et technologique en faveur de l économie, à travers l organisation de foires et d expositions commerciales, la publication d ouvrages sur les nouveaux produits de recherche et l élaboration de logiciels de présentation des résultats de recherche en vue d attirer les entrepreneurs. La Conférence a, en outre, recommandé aux Etats membres de fournir davantage d efforts pour l adoption de nouvelles technologies, notamment la nanotechnologie, la mécatronique, l automatisation, la photonique et ce, à travers le renforcement et la mise en place de centres d excellence et l adoption de politiques éducatives appropriées pour la formation des ressources humaines requises en vue d'accompagner le renouveau. Elle a souligé la nécessité pour les Etats membres d accorder davantage d intérêt au développement des carrières scientifiques des jeunes, notamment des jeunes femmes, à travers des formations appropriées dans le domaine socio-économique ainsi que dans le développement des carrières et faciliter leur contribution au développement scientifique et technologique. Elle a exhorté les Etats membres à renforcer leur coopération en vue de réaliser le Programme d Action décennal de l OCI et à mobiliser tous leurs moyens en vue de faciliter l exécution des programmes et des activités prévus à cet effet, le but étant de permettre la mise en œuvre de la Vision 1441 et d allouer les ressources financières nécessaires à cet effet. 6

7 La Conférence a adopté le Projet d'étude sur les moyens de promotion de la coopération scientifique et technologique entre les Etats du monde islamique élaboré par l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture ISESCO- en coopération avec le COMSTECH, en prenant en considération les observations des membres de la Conférence. Elle a incité les Etats membres et les établissements scientifiques, technologiques et les scientifiques à renforcer l expertise et soutenir la coopération afin que le portail Internet devienne un véritable forum d échange scientifique et de coopération dans le monde islamique. La Conférence a, de plus, appelé les Etats membres à coordonner leurs efforts avec l ISESCO pour l actualisation de la liste des experts du monde islamique, des guides des universités, des institutions scientifiques et technologiques et des académies et à participer activement aux groupes scientifiques relevant du Centre de l ISESCO pour la promotion de la recherche scientifique sur internet. La Conférence a également appelé l ISESCO à la coordination et la concertation avec les Etats membres en vue d actualiser leurs principaux indicateurs sur l éducation, les sciences et la technologie et de mettre à jour régulièrement leurs registres, afin de mener les études comparatives, la recherche, l évaluation, l analyse et la mise en œuvre des projets et des programmes en se basant sur des chiffres réalistes et œuvrer à leur diffusion et traduction au profit des parties compétentes concernées. Elle a incité les Etats membres à coordonner leur action avec les établissements scientifiques, technologiques, ainsi qu avec les scientifiques et chercheurs pour mettre en œuvre des activités scientifiques, favoriser l échange d expériences entre le personnel de l enseignement supérieur et des experts en sciences et technologie, initier des projets de recherche conjoints, octroyer des bourses et accorder des récompenses et des prix, notamment aux scientifiques dans les pays islamiques. La Conférence a appelé au renforcement de la coopération et de la coordination et à l établissement de liens solides entre l ISESCO, le COMSTECH, le Secrétariat général de l OCI, la BID, le Centre de formation et de recherches sociales, économiques et statistiques pour les pays islamiques (SESRTCIC) relevant de l'oci et d autres organismes concernés en vue d exploiter les données disponibles et les diffuser dans tous les Etats membres. En outre, la Conférence a recommandé de renforcer la coopération Nord-Sud en assurant la connexion Internet des scientifiques en vue d améliorer l échange du savoir, des expériences, des opportunités et des services, tout en soulignant la nécessité d établir une base de données scientifique et technologique spéciale et des réseaux de compétences scientifiques dans les divers domaines, notamment la base de données collective relative à l ingénierie, la base de données collective de technologie, la base de données relative au domaine de l eau etc. Par ailleurs, la Conférence a adopté le Projet du réseau islamique d'éthique en sciences et technologie et approuvé le lancement de ce réseau en étroite collaboration avec les réseaux nationaux d éthique dans les Etats membres de l ISESCO ainsi qu'avec l'unesco et les établissements scientifiques concernés par la question, tout en soulignant la nécessité pour les Etats membres de l Organisation de la Conférence islamique de coordonner leurs actions, rapprocher leurs points de vue et accroître la sensibilisation quant aux questions éthiques importantes et 7

8 délicates à travers le point de vue de la charia islamique, en ce sens que l'isesco représente la conscience vive de la Oumma et la partie compétente dans ce domaine. Elle a incité les Commissions et les instances d éthique à œuvrer en étroite collaboration avec l Instance islamique d Ethique pour les Sciences et Technologies (IBEST) dans le cadre du Réseau islamique d éthique en sciences et technologie en vue d échanger expériences, savoir et informations, de formuler un point de vue commun, de renforcer la mise au point des normes et d encourager le respect des dimensions éthiques. D'autre part, la Conférence a appelé les Etats membres à renforcer le rôle des commissions et instances nationales d éthique dans les domaines des sciences et de la technologie ou à créer de telles instances au cas où elles n existent pas, en vue d approfondir l examen des questions y afférentes, aboutir à des résultats concrets et fournir les orientations nécessaires, aussi bien au profit de la communauté scientifique que pour le grand public, en se fondant sur l éthique et la charia. Elle a appelé les associations scientifiques, les organisations non gouvernementales, les institutions de recherche, la communauté scientifique internationale, les savants musulmans, les décideurs et les chercheurs à organiser des forums de débat, des symposiums, des séminaires et des conférences dans le but de discuter et d analyser les innovations technologiques, d identifier leurs dimensions éthiques et religieuses en vue de mettre en place un code de conduite commun pour faire en sorte que le progrès du savoir scientifique soit en harmonie avec les valeurs islamiques. La Conférence a recommandé la préparation d outils de formation pour la création de commissions d éthique ainsi que des programmes de formation appropriés qui répondent aux besoins des membres des instances d éthique dans les Etats membres, tout en insistant sur l importance de l intégration de tous les aspects relatifs à l éthique, à la bioéthique et au code de conduite relatif à l environnement, aux énergies renouvelables et aux technologies de l information et de la communication dans les programmes de l enseignement supérieur et dans les projets de recherche spécialisés. En marge de la Conférence, et à l'invitation conjointe du Secrétaire général de l'oci et de l'isesco, une réunion de coordination s'est tenue entre les experts membres des délégations participant à la Conférence. Elle a été consacrée à la définition des normes de qualité et d'évaluation en vue de la sélection de vingt universités du monde islamique qui répondent aux conditions académiques de qualité et d'excellence. Dans la même perspective, la Conférence a adopté le Projet de Stratégie de développement de l'enseignement universitaire dans le monde islamique, en notant les observations des membres de la Conférence. Elle a invité le Directeur général à élaborer des programmes de mise en œuvre et des projets de terrain pour la promotion de l enseignement universitaire et de la recherche scientifique, en se basant sur la Stratégie et en coopération avec les organisations et les instances concernées et ce, dans le cadre des plans d action de l Organisation et dans la limite des ressources disponibles. La Conférence a, en outre, appelé les Etats membres à s inspirer de la Stratégie lors de l élaboration et la mise en œuvre des plans et stratégies nationaux dédiés à la promotion de l enseignement supérieur et la recherche scientifique, suivant les besoins et les priorités de chaque Etat. La Conférence a incité les parties compétentes dans les Etats membres, les fédérations d universités, les organisations et les instances arabes, islamiques et internationales à coopérer avec l ISESCO dans le 8

9 financement et la mise en œuvre des activités, programmes et projets visant au développement de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Elle a également mis l accent sur l importance de mettre en évidence l optique islamique en matière d éducation, d enseignement et de recherche scientifique, notamment en ce qui concerne les fondements des valeurs et idéaux pour l édification de l individu et de la société et l éthique des applications scientifiques et technologiques et leurs implications sociale, culturelle et économique. La Conférence a adopté le Projet de mécanismes de mise en œuvre de la Stratégie de développement de la Biotechnologie dans les pays islamiques, en prenant note des observations des membres de la Conférence et a recommandé la constitution d un Comité consultatif islamique de biotechnologie (CCIB) composé d experts en biotechnologie afin de contribuer au progrès biotechnologique. Le Comité tiendra des réunions régulières pour évaluer le progrès réalisé dans le domaine de la biotechnologie et ce, dans le cadre de la Stratégie pertinente et veillera de près à la mise en œuvre des programmes nationaux de biotechnologie dans les Etats membres. La Conférence a mis l accent sur l'importance de la coordination et de la coopération avec les parties compétentes similaires ainsi que sur le renforcement de l enseignement de la biotechnologie conformément aux normes internationales en vigueur à travers une mise à jour continue des programmes d enseignement et des manuels didactiques, conformément aux demandes exprimées. Elle a également relevé la nécessité du développement de l infrastructure de l enseignement et la création de centres de formation en biotechnologie et de laboratoires dans les Etats membres, tout en prenant en compte les réseaux déjà installés, afin de développer des ressources humaines qualifiées qui satisfont aux normes internationales. Elle a exhorté les parties compétentes dans les Etats membres à favoriser le développement des biotechnologies, réaliser des travaux de recherche et mettre en œuvre des programmes qui répondent aux besoins et priorités de chaque pays, établir des centres de biotechnologie dotés d un grand potentiel en matière d innovation et de recherche et développer les infrastructures nécessaires pour assurer la valorisation des biotechnologies. De plus, la Conférence a appelé les Etats membres à mettre en place, si ce n est déjà fait, des agences nationales pour le développement de la biotechnologie (ANDB) afin d œuvrer, en véritable groupe de travail, à la promotion et la coordination de l ensemble des initiatives biotechnologiques nationales, conformément aux priorités nationales et aux programmes de développement. Elle a souligné la nécessité d établir des liens étroits entre le secteur académique et le secteur productif ou commercial, à travers la mise en place de complexes de biotechnologie et de villes scientifiques, et de créer des centres de transfert de technologie, des centres technologiques pour le soutien des entreprises émergeantes et mettre sur pied des plans technologiques de soutien aux PME. Elle a insisté sur la nécessité de renforcer l enseignement de la biotechnologie et de créer des centres et des laboratoires de formation en biotechnologie dans les Etats membres afin de développer des ressources humaines qualifiées qui satisfont aux normes internationales et d'encourager la recherche en vue de tirer profit des applications biotechnologiques en matière d agriculture, de production alimentaire et d industrie de transformation, développer ses bénéfices au profit des zones rurales et enclavées en vue de répondre à leurs besoins alimentaires. 9

10 Dans ce contexte, la Conférence a chargé l ISESCO de l activation des mécanismes de mise en œuvre de la Stratégie de développement de la biotechnologie dans les pays islamiques, en coopération avec le Secrétariat général de l Organisation de la Conférence islamique, le COMSTECH, la Banque islamique de Développement et les organisations et institutions spécialisées. Par ailleurs, la Conférence a adopté le projet de plan d action sur la prévention de l immigration des compétences scientifiques des Etats du Monde islamique, en prenant en considération les observations des membres de la Conférence. Elle a souligné la nécessité de créer un Centre islamique international avec pour objectif principal de lutter contre la fuite des cerveaux et d assurer la coordination avec les compétences musulmanes expatriées pour mettre à contribution leurs compétences au service du développement des sciences et de la technologie dans les Etats membres, en coordination et de concert avec les instances scientifiques concernées, les institutions nationales et les établissements spécialisés. La Conférence a recommandé l'élaboration d études approfondies et d études comparées qui traitent globalement du phénomène de l expatriation des compétences musulmanes des Etats membres et l élaboration d études et de rapports sur les compétences musulmanes expatriées. En outre, la Conférence a incité à renforcer l action du Centre islamique pour les Sciences et la Technologie dans le domaine des études et de la formation en haute technologie, à octroyer aux scientifiques expatriés et résidents des bourses incitatives leur permettant de bénéficier des ressources et des équipements de recherche disponibles, promouvoir l esprit de libre entreprise et de compétitivité et mettre à leur disposition des structures à la hauteur des centres mondiaux de renom. Elle a recommandé aux Etats membres de collecter et de mettre à jour des bases de données sur leurs compétences, expertises et capacités à l intérieur comme à l extérieur du monde islamique, et de coordonner avec l ISESCO, le COMSTECH et les autres organisations islamiques dans l objectif d informatiser les données qui concernent leurs profils. Elle a également incité les Etats membres à faire profiter les élites scientifiques établies à l étranger de mesures incitatives telles que des subventions encourageantes, des laboratoires avec des équipements de pointe, des institutions modernes, et à reconnaître leur travail de manière à favoriser leur réintégration dans les pays d origine. Elle a incité à apporter davantage de soutien au Centre de l ISESCO pour la Promotion de la Recherche scientifique afin de lui permettre de s acquitter de ses missions dans le domaine du développement de la recherche scientifique et d encourager les compétences expatriées à servir leurs sociétés et à contribuer à leur développement économique. A cet égard, elle a recommandé la mise en place d une base de données sur les compétences expatriées des Etats membres dans les domaines des sciences et de la technologie. La Conférence a, ensuite, adopté le rapport du Secrétaire général de la Fédération des Universités du Monde islamique, en tenant compte des observations de ses membres. Elle a ensuite invité le Secrétaire général à poursuivre ses efforts en vue d élargir les domaines de coopération et de partenariat avec les fédérations similaires et les institutions arabes, islamiques et internationales spécialisées, dans le cadre de la mise en œuvre des programmes. La Conférence a exprimé ses remerciements à la Fédération internationale des universités, l Union des Universités 10

11 arabes et l Association des Universités africaines pour la coopération avec la FUMI dans la mise en œuvre des activités communes, et invité ces Fédérations à poursuivre et développer cette coopération. Elle s'est félicitée des efforts consentis par le Secrétaire général de la Fédération et ses collaborateurs dans la promotion de l action de la Fédération, l accroissement du nombre des universités membres et la mise en œuvre des activités de la FUMI. Elle a appelé les universités membres de la Fédération et dans les Etats membres à consacrer des bourses d étude dans les universités des pays islamiques au profit des étudiants d Al Qods Al Charif dans différentes disciplines. Après avoir pris connaissance de la situation dramatique endurée par le peuple palestinien sous l'occupation israélienne et vu l'embargo qui lui est imposé, la Conférence a appelé les Etats membres et la communauté internationale à apporter le soutien nécessaire au peuple palestinien en général et à ses institutions éducatives, scientifiques et culturelles en particulier. Elle a également appelé à l'établissement d'un réseau de relations entre les universités palestiniennes et les universités du monde islamique. La Conférence a, en outre, condamné les exactions commises par l'occupation israélienne sur le peuple palestinien et ses institutions et appelé à lever l'embargo qui leur est imposé. Par ailleurs, elle a incité à les soutenir financièrement et à œuvrer pour sauver le secteur de l'enseigenement. De plus, la Conférence a appelé à la promotion de la ville d'al-qods Al-Charif à travers le soutien des efforts de reconstruction et de développement et à accorder davantage d'intérêt à son patrimoine islamique et à ses institutions culturelles, éducatives et scientifiques. La Conférence a ensuite procédé à l'élection des membres du Conseil consultatif pour la mise en œuvre de la Stratégie pour le développement des sciences et de la technologie dans les pays islamiques composé des membres suivants : - Etat du Koweït : Président de la 3 ème session de la Conférence - La République islamique du Pakistan: Coordonnateur général de la Commission permanente pour la coopération scientifique et technologique - COMSTECH- - Région arabe: * Royaume de Bahreïn * République Arabe Syrienne * République Algérienne Démocratique et Populaire - Région asiatique: * République d'azerbaidjan * République du Tadjikistan *Sultanat de Brunei Darussalam - Région africaine: * République Togolaise * République du Niger * Burkina Faso 11

12 Le Secrétariat général de l'organisation de la Conférence islamique -OCI- et la Banque islamique de Développement sont membres de ce Conseil. L'Organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture -ISESCO- assure le Secrétariat général du Conseil. La Conférence a appelé les Etats membres à désigner leurs représentants au sein du Conseil consultatif et à prendre en charge leurs frais de déplacement aux réunions du Conseil consultatif. La Conférence a également invité les Etats qui présentent des projets scientifiques au Conseil d'assister à ses réunions, à leurs frais, en tant qu'observateurs. La Conférence a souhaité la bienvenue à la Banque islamique de Développement en tant que membre du Conseil et a salué son rôle d'avant-garde dans le domaine du soutien de l'enseignement, des sciences et de la technologie dans le Monde islamique ainsi qu'en matière des programmes de bourses d'étude. Elle a également appelé la BID à poursuivre son soutien matériel et son assistance technique aux institutions spécialisées oeuvrant dans le domaine des sciences et de la technologie et aux universités islamiques. La Conférence a décidé de tenir sa quatrième session en septembre 2008 à Bakou, capitale de l'azerbaidjan, et a remercié la République d'azerbaidjan d'accueillir la prochaine session de la Conférence. En outre, la Conférence a décidé de tenir ses prochaines sessions tous les deux ans, en exhortant l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture de prendre les mesures nécessaires pour en assurer la tenue. Les membres de la Conférence ont eu l'honneur de saluer Son Altesse Cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al- Sabah, Emir de l Etat du Koweït, que Dieu le préserve, lors d'une audience qu'il a bien voulu leur accorder ce matin au Palais Princier. Au cours de cette audience, le Directeur général de l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture a fait part à Son Altesse de ses marques de considération, de ses sincères remerciements et de sa profonde reconnaissance pour la bienveillante sollicitude dont Son Altesse a entouré la Conférence ainsi que pour le soutien et l'aide octroyés par le gouvernement de l'etat du Koweït. Son excellence Rasha Al-Sabah, Sous-secrétaire du ministère de l'enseignement supérieur à l'etat du Koweït a inauguré la séance de clôture. Le Directeur général de l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture a ensuite pris la parole et a exprimé sa satisfaction quant au succès remarquable de la Conférence, lequel s'est concrétisé par l'adoption de résolutions qu'il a qualifiées d'importantes. La Conférence a clôturé ses travaux par l'allocution de Son excellence Dr Adel Al-Tabtabae, ministre de l'éducation et de l'enseignement supérieur au gouvernement de l'etat du Koweït, président de la troisième session de la Conférence dans laquelle il a exprimé ses remerciements aux membres de la Conférence pour leurs performances remarquables, soulignant son entière disposition à assumer ses responsabilités et à poursuivre ses efforts pour la mise en œuvre des Résolutions de la Conférence, en coordination avec l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture. 12

13 Au cours de la séance de clôture, un accord de coopération a été signé entre l'organisation islamique pour l'education, les Sciences et la Culture ISESCO- et la Fondation caritative du Qatar, oeuvrant dans les domaines de l'éducation et de la culture. Au terme de ses travaux, la Conférence a adressé un message de remerciement et de considération à Son Altesse Cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, Emir de l'etat du Koweït, que Dieu le préserve. 13

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