Leçon 1: les entiers
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- Marie-Paule Leroy
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1 Leçon 1: les entiers L ensemble N des entiers naturels Compter, dresser des listes, classer et comparer des objets interviennent dans de multiples activités humaines. Les nombres entiers naturels sont à la base de ces activités, en particulier, ils constituent l un des fondements des mathématiques. Les mathématiciens admettent l existence d un ensemble noté N dont les éléments sont les entiers naturels. Cette liste infinie 0, 1,, 3,... est écrite dans l ordre croissant usuel. Pour deux nombres naturels distincts m, n l écriture m < n signifie: l entier m figure avant l entier n dans la liste. L écriture m n signifie: m = n ou m < n. Avant de poursuivre, un peu de Vocabulaire et notations 1: - Un ensemble sera dans ce cours une collection d objets appelés éléments de cet ensemble. - signe d appartenance: x E se lit x est élément de E, ou encore x appartient à E. Sa négation x E se lit x n est pas élément de E. L ensemble sans éléments est noté ou encore { } et est appelé l ensemble vide. Un ensemble ayant un unique élément est appelé un singleton. Par exemple, {1} est le singleton d élément 1 N. Pour un entier naturel n 1, l ensemble {1,,..., n} dont les éléments sont les entiers de 1 à n est noté [1, n]. Plus généralement pour deux entiers m < n N, l ensemble {m, m + 1,..., n} est noté [m, n]. Un ensemble naturel dans tout langage est le dictionnaire en un alphabet fini: par exemple, prenons les deux lettres a et b, un entier naturel n N et notons D n l ensemble des mots de longueur n en l alphabet A = {a, b}. On a D 1 = {a, b}, D = {aa, ab, ba, bb}, D 3 = {aaa, aab, aba, baa, abb, bab, bba, bbb},... - signe d inclusion: P E se lit P est une partie de E, ou encore P est inclus dans E ce qui signifie que tout élément de P est élément de E. Sa négation est notée P E ce qui signifie qu au moins l un des éléments de P n est pas élément de E. - signe d égalité: soient A, B deux ensembles. A = B signifie A B et B A. Remarque: le signe = utilisé pour l égalité provient de - quoi de plus égaux que deux traits de même longueur -. - Assertion: Une assertion A est un énoncé mathématique qui peut être vrai ou faux, pas les deux à la fois. Par exemple: 0 N est une assertion vraie et 0 N est une assertion fausse. 1
2 La négation d une assertion A est notée non(a). Elle est vraie lorsque A est fausse et elle est fausse lorsque A est vraie. Soient A et B deux assertions. A ou B appelée disjonction est vraie si l une au moins des assertions A, B est vraie, elle est fausse sinon. Par exemple l assertion est vraie. N ou 1 N A et B appelée conjonction est vraie si les deux assertions A, B sont vraies, fausse sinon. Par exemple l assertion est fausse. s appelle l implication. On écrit N et 1 N non(a) ou B A B ce qui se lit A implique B. Elle est vraie lorsque A est fausse et lorsque A et B sont simultanément vraies. Elle est fausse lorsque A est vraie et B est fausse. Par exemple, l assertion N 1 N est fausse. Par contre, l assertion 1 N N est vraie. Bien sûr la vérité de cette dernière implication ne nous apprend rien. En pratique, lorsqu on demande de montrer A B on entend: supposer que A est vraie et en déduire que B est vraie. Voici les propriétés fondamentales de l ensemble N des entiers naturels. Propriétés de sur N Quels que soient les entiers naturels m, n, p N, on a (0) m n ou n m (1) Réflexivité: n n () Antisymétrie: m n et n m m = n (c est à dire: si m n et n m alors m = n) (3) Transitivité: m p et p n m n (c est à dire: si m p et p n alors m n) On résume les propriétés (0), (1), (), (3) en disant que N muni de est un ensemble totalement ordonné.
3 Définitions: - Majoration: Une partie P N est dite majorée, s il existe M N tel que pour tout p P on ait p M. - Minoration: Une partie P N est dite minorée, s il existe m N tel que pour tout p P on ait m p. Exemple: la partie [1, 111] est majorée par 111, 11,... et minorée par 0 et 1. - Maximum: On appelle plus grand élément de P N tout élément M P tel que pour tout p P on ait p M. Si M existe, il est unique et on le note Max(P ). - minimum: On appelle plus petit élément de P N tout élément m P tel que pour tout p P on ait m p. Si m existe, il est unique et on le note min(p ). Exemple: min([1, 111]) = 1 et Max([1, 111]) = 111. Propriétés fondamentales de l ensemble ordonné (N, ) (1) Toute partie non vide P N admet un plus petit élément () N n est pas majoré. (3) Toute partie non vide et majorée P N admet un plus grand élément. Ces propriétés figurent parmi les hypothèses de base de la construction des mathématiques. Nous les utiliserons librement par la suite. Vocabulaire et notations : - On appelle prédicat toute assertion qui dépend explicitement d une ou plusieurs indéterminées x 1, x,..., x n. Un prédicat est noté P (x 1,..., x n ). Par exemple est un prédicat. x 1 N et x 1 - Soit E un ensemble, x une indéterminée et P (x) un prédicat. L écriture {x E, P (x)} désigne la partie de E formée des éléments x de E pour lesquels P (x) est vraie. Par exemple, pour - n est un multiple de - la partie est l ensemble des entiers naturels pairs. - Soit A, B, C trois parties de l ensemble E. Intersection: c est la partie {n N, n est un multiple de } A B = {x E, x A et x B} Réunion: c est la partie A B = {x E, x A ou x B} 3
4 Par exemple, [1, 5] [4, 7] = [4, 5], [1, 5] [4, 7] = [1, 7], [1, 3] [4, 5] =. On a (A B) C = A (B C), (A B) C = A (B C). C est pourquoi on omet souvent les parenthèses dans les écritures lorsque celles-ci ne contiennent que des intersections ou que des réunions. Le Principe de récurrence. Souvent on cherche à démontrer la vérité d une propriété P (n) pour tout nombre naturel n N à partir d un certain rang. Voici trois exemples: Q1: montrer que pour tout naturel n N, n 0, on a n = n(n + 1) Q: soient D 1, D,..., D n, n droites du plan que l on suppose sécantes à et sans points triples i.e. telles que pour tout i, j, k [1, n], à distincts, on ait D i D j D k =. En combien de points ces droites se coupent-elles? Q3: montrer que tout naturel n N, n admet un diviseur premier p N. Pour répondre à des questions de ce type, on fait souvent appel au raisonnement par récurrence. Théorème: Soit n 0 N et P (n) une assertion dépendant explicitement de n N. Pour que P (n) soit vraie pour tout entier naturel n n 0 il faut et il suffit que (1) P (n 0 ) soit vraie (initialisation) () quel que soit n N, n n 0, P (n) P (n + 1) soit vraie (pas de récurrence) Démo: La condition est suffisante: on veut montrer que (1) et () implique P (n) pour tout naturel n n 0. On procède par l absurde: supposons que P (n) soit fausse pour au moins un entier naturel. La partie P N des entiers naturels n n 0 pour lesquels P (n) est fausse est donc non vide. Notons m = min(p ) son plus petit élément. Puisque P (n 0 ) est vraie on a n 0 < m. Par ailleurs P (m 1) est vraie par définition de min(p ). Par (), P (m) est vraie, ce qui contredit m P. La condition est nécessaire: si P (n) est vraie pour tout n n 0 alors (1) et () sont clairement vraies. En mots: Pour montrer par récurrence qu une assertion P (n) est vraie pour tout n n 0, vérifiez que P (n 0 ) est vraie et ensuite montrez que si P (n) est vraie alors P (n + 1) est aussi vraie. Il s agit d un effet dominos: n 0 tombe, ensuite n tombe, ensuite n 0 +, etc... 4
5 Revenons sur la question Q sur les points d incidence de n droites du plan (faites une figure): pour une droite il y a 0 point, pour droites il y a 1 point, pour 3 droites il y a 1+ points, pour 4 droites il y a 1++3 points,... On fait l hypothèse de récurrence suivante: les n droites se coupent en n(n 1) points. Démo: - initialisation: c est vrai pour n = 1. - pas de récurrence: supposons vrai pour n droites. La n + 1 ième droite coupe chacune des n premières droites en 1 point. Dès lors, il y a n(n 1) + n = (n + 1)n points d incidence de n + 1 droites. C est exactement le nombre annoncé après remplacement de n par n + 1. Voici une variante du théorème de récurrence qui précède: Récurrence forte: pour que Q(n) soit vraie pour tout n n 0 il faut et il suffit que (1) Q(n 0 ) soit vraie () quel que soit n n 0, (Q(k) pour tout k [n 0, n]) Q(n + 1) soit vraie Démo: il suffit d appliquer la récurrence à l assertion P (n) donnée par (Q(k) pour tout k [n 0, n]). En mots: Pour faire la preuve par récurrence forte, vérifiez que Q(n 0 ) est vraie, ensuite montrez que si Q(n 0 ), Q(n 0 + 1),..., Q(n) sont vraies alors Q(n + 1) est aussi vraie. L ensemble Z des entiers relatifs Par définition Z = N N = {..., 3,, 1, 0, 1,, 3,...} On note a + b la somme et ab le produit usuels des entiers relatifs a, b Z. Ordre sur Z: pour deux entiers relatifs a, b Z, on dira que a b s il existe un entier naturel n N tel que b = a + n. Tout comme N, Z muni de est un ensemble totalement ordonné. L ensemble Q des nombres rationnels Par définition, Q = { a, a Z et b N \ {0}} b Ordre sur Q: pour deux rationnels a b, a b Q, on écrira a b a b si l on a ab ba dans Z. Ici encore, l ensemble Q muni de est totalement ordonné. 5
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