DIABETE GESTATIONNEL DIABETE ET GROSSESSE
|
|
- Michel Alphonse Charpentier
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DIABETE GESTATIONNEL DIABETE ET GROSSESSE DR BOUYOUCEF SERVICE DE DIABETOLOGIE DU PR HADDAM CHU MOHAMED LAMINE DEBAGHINE BEO
2 INTRODUCTION le diabète gestationnel se défini comme un trouble de la tolérance glucidique conduisant à une hyperglycémie de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse et ceci, quels que soient le traitement nécessaire et l évolution dans le post-partum. nous distinguons : 1-Un diabète gestationnel vrai : anomalie de la tolérance glucidique réellement apparue au cours de la grossesse et disparaissant, au moins temporairement, en post-partum. 2- Le diabète patent : le plus souvent de type 2 (DT2), mais peut être également de type 1, préexistant à la grossesse et découvert seulement à l occasion de celle-ci, qui persistera après l accouchement. Dans tous les cas il s agit d une grossesse à risque qui nécessite une prise en charge rigoureuse par une équipe pluridisciplinaire.
3 EPIDEMIOLOGIE la prévalence du diabète gestationnel est en augmentation entre 2 à 20% selon les ethnies, 9,3 % en France(2014), 9% en Algérie. en raison de plusieurs facteurs : l âge maternel plus avancé. l épidémie d obésité. La sédentarité. modifications des habitudes de vie. abaissement des seuils de diagnostic.
4 METABOLISME AU COURS DE LA GROSSESSE 1T: la sensibilité à l insuline est légèrement augmentée : l élévation de la consommation périphérique du glucose entraîne une diminution progressive de 10 à 15 % de la glycémie à jeun maternelle, qui atteint son nadir vers la 17e semaine.une tendance aux hypoglycémies de jeûne. 2T: un état d insulinorésistance maternelle modérée, avec augmentation la disponibilité des substrats énergétiques pour le fœtus. C est un état physiologique nécessaire pour une bonne croissance fœtale. si la fonction pancréatique est normale une adaptation se fait avec l hyperinsulinisme permettant l eu glycémie, dans le cas inverse l insulino-sécrétion est insuffisante pour compenser la demande conduisant au diabète gestationnel.
5 LES COMPLICATIONS DU DIABETE GESTATIONNEL
6 A COURT TERME 1- Les risques maternels classiquement associés au DG sont: HTA gravidique et la pré-éclampsie (15 à20% VS 5 à 10 %). césarienne (19% VS 10% ). 2-Les principaux risques périnatals sont fœtaux : macrosomie. Mortalité périnatale. Troubles métaboliques. Vambergue A., Nuttens M.C., Vérier-Mine O., Dognin C., Cappoen J.P., Fontaine P Is mild gestational hyperglycemia associated with maternal and neonatal complications? The Diagest study. Diab Med 17:
7 A LONG TERME Risque maternelle de : 1-diabète et de syndrome métabolique: le risque de DT2 est augmentée d un facteur 7 et d un facteur 4 pour le Sd métabolique après un DG. les principaux facteurs de risque de développer un DT2 après DG sont: 1) IMC élevé. 2) ATCDS familiaux de diabète. 3)l ethnicité 4) âge 5)la multiparité 6) la G à jeun croissante lors de la charge en glucose Le DG précoce est associé à 2 fois plus de DT2 avec un risque élevé après 5ans.
8
9 HAPO-FUS a été mise en place dans 10 centres et a suivi couples mère enfant. Le statut glycémique des femmes 8-12 ans après leur accouchement
10 2-Risque cardio-vasculaire: est élevé indépendamment du Sd métabolique et DT2, un suivi pdt 11ans de femmes ayant présenté DG a montré un sur risque d événements cardio vasculaire (15,5% VS 12,4%).
11 Risque fœtale: 1-Dysglycémie, obésité : selon les données «HAPO-FUS» le statuts glycémique des enfants issus de mère ayant présenté un DG: Dysglycémie est de 4,9 % VS 1,8 %. La prévalence de l obésité était de 11,2 %. 2-Risque cardio vasculaire: les enfants issus de mère avec DG avaient des PA périphériques et une rigidité artérielle plus importante.
12 3-Atteinte neurologique: lien entre le diabète maternelle et le développement cognitif. Association entre diabète pdt la grossesse et autisme,avec un sur-risque d autisme si obésité + DG.
13 LE DEPISTAGE DU DIABETE GESTATIONNEL objectif du diagnostic du DG vise à identifier les grossesses à risque de complications périnatales, pour : 1-réduire la morbi-mortalité fœtale. 2- limiter les complications obstétricales. 3-Surveiller la grossesse et maintenir le contrôle après l accouchement, car le risque de développer ultérieurement un diabète patent et constant. Il est nécessaire de rechercher un diabète surtout s il existe un facteur de risque.
14 HAPO STUDY Hyperglycemia and Adverse Pregnancy Outcomes study L étude HAPO a démontré, de manière absolument indiscutable, qu il existe une relation linéaire, hautement significative entre les glycémies maternelles (tant à jeun, qu à la 1 re et à la 2 eme heure de l HGPO) et les 5 complications fœto-maternelles.
15 Nouveaux critère diagnostic du DG pdt HGPO(75 g de glucose)et proportion cumulée de DG dans la cohorte HAPO (IADPSG) Glycémie moyenne du groupe (mg/dl) Seuils glycémiques du DG ( mg/dl) G à JEUN 81 > G à 1 H HGPO 133 > G à 2 H HGPO 112 > Proportion cumulée de participantes avec DG(%) Participantes non incluses 17.8
16 Stratégie de dépistage et critères diagnostiques du diabète gestationnel ; Propositions du GGOLFB. Louvain Med. 2012; 131 (4):
17 EST-IL UTILE DE TRAITER LE DG? Stratégie de dépistage et critères diagnostiques du diabète gestationnel ; Propositions du GGOLFB. Louvain Med. 2012; 131 (4):
18 LA PRISE EN CHARGE La prise en charge obstétricale et diabètologique est proche d un diabète préexistant à la grossesse. la diététique est la pierre angulaire dans la prise en charge (l apport recommandé est de 25-35kcal/kg/j,en cas d obésité il est 25kcl/kg/j soit 1600kcal/j), sans oublier l activité physique. ASG est recommandée entre 4-6x/j de façon adaptée au degré d hyperglycémie. Les objectifs glycémiques sont les mêmes que dans le diabète pré gestationnel avec GAJ entre 0,60-0,95g/l et GPP (2h après) <1,20g/l. L insuline doit être envisagée si les objectifs glycémiques ne sont pas atteints après 7-10j de RHD. Le schéma d insulinothérapie sera adapté en fonction des profils glycémiques. D après les recommandations 2010 du SFD-CNGOF sur le diabète gestationnel
19 Les insulines humaines peuvent être utilisé. Pour les analogues: 1-Lispro: pas de passage placentaire ni d effet tératogène. 2- Aspart : études prospectives ont lever la précaution d emploi ( a l AMM). 3-Glulisine: pas d étude non utilisé chez la femme enceinte. 4-Glargine: pas de passage trans placentaire pas d effet délétère. 5- Detémir: ( a l AMM ). LA PRISE EN CHARGE
20 LES ADO: pas l AMM 1-La Metformine: passe la barrière placentaire, non tératogène, selon NICE,la Metformine peut être utiliser durant la grossesse en association ou en alternative avec l insuline.
21 2-Glibenclamide : traverse la barrière placentaire, aucun effet tératogène (centre de référence des agents tératogènes, mise à jours 2017)
22 3- Les autres ADO: non autorisés malgré que l Exanitide Alpha glucosidase ne traversent pas la barrière placentaire.
23 SURVEILLANCE OBESTETRICALE PRENATALE La présence de FDR surajoutés (obésité, mauvais équilibre glycémique, HTA chronique) peut justifier une surveillance (PA, recherche de protéinurie) à un rythme rapproché que le suivi prénatal mensuel en raison du risque accru de prééclampsie. Echographie supplémentaire en fin de grossesse peut être proposée. En cas de DT2 découvert pendant la grossesse, la surveillance fœtale doit être renforcée à partir de 32SA.
24 ACCOUCHEMENT La décision sera à prendre de façon individuelle après information de la patiente de la balance bénéfice-risque de la césarienne dans cette situation. En cas de DG et d antécédent de césarienne, il n est pas recommandé de réalisé systématiquement une césarienne. En cas d acceptation de la voie basse, le travail ne nécessite pas de surveillance spécifique. Une insulinothérapie systématique pendant le travail peut provoquer une hypoglycémie maternelle et n est donc pas recommandée.
25 POST PARTUM la réduction des doses d insuline d un tiers, voire de moitié, est généralement conseillée dès après l accouchement en raison d une chute brutale de l insulinorésistance dès l expulsion placentaire. La normalisation des glycémies en post-partum sera vérifiée, pendant quelques jours, par une auto-surveillance. Si les glycémies capillaires se normalisent après l accouchement, les conseils diététiques restent néanmoins de rigueur avec l objectif de rejoindre progressivement le poids idéal. Si les résultats montrent la persistance d un diabète dans le postpartum, une insulinothérapie est réintroduite, le temps de l allaitement, si la diététique seule n est pas suffisante; une fois l allaitement terminé, le passage à un traitement orale sera envisagé.
26 SUIVI DES FEMMES AYANT PRESENTE UN DIABETE GESTATIONNEL
27 CONCLUSION le diabète gestationnel est la complication la plus fréquente de la grossesse avec des risques importante et parfois grave pour la mère et le fœtus d où l intérêt de le diagnostiquer pour mener une action de PEC et de prévention.
28 GROSSESSE DIABETIQUE La grossesse diabétique type 1 ou 2 reste une grossesse à haut risque. Même si actuellement on assiste à une régression spectaculaire de la morbi- mortalité materno - fœtale. Grâce à une normalisation glycémique de la période préconceptionelle à l'accouchement et un suivi rigoureux par une équipe multidisciplinaire. La grossesse constitue un bouleversement avec modification métabolique qui influence le diabète qui influence l issu de cette grossesse.
29 PRECONCEPTION La programmation de la grossesse est capitale car elle permet de réduire la morbi-mortalité materno-fœtale. Question abordée précocement chez toute jeune diabétique en âge de procréation. La préparation comporte plusieurs volets: 1-Préciser le risque médicale de la grossesse. 2-Prévenir les complications. 3-Définir les modalités thérapeutique et les objectives glycémiques avant et pendant la grossesse.
30 FACTEURS DE RISQUE POUR LA GROSSESSE La classification de white permet de quantifier le risque materno-fœtale au cours de la grossesse dont la gravité repose : 1-Age du début du diabète, le type du DS, la durée de l évolution, l équilibre glycémique et l adhésion de la patiente. 2-Statut ophtalmologique: FO ou angiographie au moins 6 mois avant la conception pour vérifier l absence de RD ou l efficacité du TRT si RD proliférante. 3-Fonction rénale: micro albuminurie ou protéinurie et mesure de la créatinine. 4-Etat coronarien.
31 ANDREA GUERIN et al: Use of Maternal GHb Concentration to Estimate the Risk of Congenital Anomalies in the Offspring of Women with Prepregnancy Diabetes Diabetes Care 30: , 2007 PREVENIR LES COMPLICATIONS Le risque malformatif: accru et majeur
32
33 Tous les organes sont concernés surtout: l'appareil cardiovasculaire, le SNC, le squelette et l'appareil uro génitale. Les malformations létales représentent 50 % de la mortalité périnatale. L amélioration du contrôle glycémique permet de réduire ce risque. L introduction d acide folique 5mg/j en période préconceptionelle et tout le T1 permet de réduire le risque de survenue de ces malformations congénitales. le risque d anomalies chromosomiques n est pas augmenté en cas de diabète maternel.
34 Pré éclampsie: l association d une HTA gravidique ( 140/90mm hg) à une protéinurie 300 mg/24 h apparue après 20 SA, avec ou sans œdèmes. Représente 12 à 20 % soit 5 fois plus élevée que dans la population générale. Ce risque augmente en cas de RD ou de ND, préexistantes et selon le stade de l atteinte rénale : % en cas de micro albuminurie, % en cas de protéinurie, plus de 50 % en cas d IR.
35 ADAPTATION THERAPEUTIQUE Les Antihypertenseurs: IEC ET ARA2: tératogènes. Diurétiques: déconseillés risque d hypo volémie. Les inhibiteurs calciques: préférable d utiliser en1er intention Nifédipine. Les Bétabloquants: Labétolol (alpha Bétabloquants)est privilégié, les autres molécules moins étudiées mais des cas d hypo perfusion placentaire associés à des RCIU ont été rapportés. Les hypolipémiants: sont contre indiqués.
36 RETENTISSEMENT DE LA GROSSESSE SUR LE DIABETE Instabilité métabolique:
37 Les complications dégénératives: 1-La rétinopathie diabétique: la grossesse augmente le risque de sa survenue (10-20%) ou d aggravation (25-80 %), qui persiste après un an d accouchement. PEC en préconception: AV/TO/FO/ ANGIOGRAPHIE Pas de RD : surveillance trimestrielle et 3mois en post-partum. RD minime à modérée surveillance mensuelle et 3 à 6mois en post-partum. RD pré proliférante et proliférante DIC avant ou après grossesse laser achevé avant T2.
38 2- la néphropathie: la grossesse ne semble pas accélérer à long terme son évolution. 3- La cardiopathie ischémique: prudence est de mise. 4- La neuropathie: c est la NAC et la gastroparésie. les complications aigues: Acidocétose: rare 1à3% avec risque de mortalité fœtale 10à20% pour chaque épisode. Hypoglycémies: seuil 0,6 gr/l plus fréquent chezdt1 dans 45%.
39 RISQUE ASSOCIE AU DIABETE HTA et la pré éclampsie. Complication infectieuses: urinaire++ à dépister et traiter pour éviter la pyélonéphrite. endométrite en post partum(14,1%) ATB prophylactique.
40 RETENTISSEMENT DU DIABETE SUR LA GROSSESSE Du au désordre métabolique ou vasculaire: ABRT, malformations fœtale, souffrance fœtale chronique, macrosomie,prématurité, détresse respiratoire, troubles métabolique, mortalité périnatale. cébocéphalie craniorachischisis cardiopathie à type de tronc artériel commun Anne-Lise Delezoide. AN. Retentissement foetoplacentaire du diabète et de l obésité maternels; mt Médecine de la Reproduction, Gynécologie Endocrinologie 2008 ; 10 (3) :
41 PEC OBSTETRICALE Consultation mensuelle puis tous les 15j après 26 SA avec des échographies régulières et RCF à partir du 32 SA. Accouchement: diabète bien équilibré sans cpl accouchement déclenché SA si cpl extraction dans un centre périnatal adapté. Voie d accouchement: césarienne en cas de pds 4500gr
42 CONCLUSION L avenir de la grossesse et le devenir de l enfant dépendent du contrôle glycémique maternel. L inertie médicale n a pas de place. D où : une programmation des grossesses chez la femme diabétique est capitale pour avoir les meilleures chances d un bon équilibre glycémique en préconception pour éviter la survenue de malformations. sensibiliser et informer les femmes diabétiques pour cette programmation Un suivi strict du diabète pendant toute la grossesse est de rigueur pour limiter le risque de complications maternofœtales. Améliorer et renforcer la multidisciplinarité en pré et postconception.
d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique
COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur F. P u e ch EXTRAIT d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Publié le 10 décembre 2010 N o t a. Le
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailTRAVAILLER AVEC...UN DIABETE
TRAVAILLER AVEC...UN DIABETE 1. LE PROBLEME DE SANTE Le diabète sucré (d.s) comprend deux maladies distinctes: - le diabète insulinodépendant type I ou D.I.D en rapport avec une perte de la sécrétion d'insuline.
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailEvaluation des pratiques professionnelles. Diabète et travail
Evaluation des pratiques professionnelles Diabète et travail 1 Cas clinique Homme de 35 ans, diabète de type 1 diagnostiqué à l age de 18 ans. En 1990, il est cariste, pontier en cabine, travaille en 3X8.
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailéquilibre glycémique du diabétique insuliné
La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailDiabète:généralités DEFINITION DIABETE DE TYPE 1
DEFINITION Diabète:généralités Recommandations OMS: -glycémie à jeun normale:
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailLa Cohorte des Grossesses du Québec
La Cohorte des Grossesses du Québec Outil pour la recherche en pharmacoépidémiologie périnatale Anick Bérard PhD FISPE Professeur titulaire, Faculté de pharmacie, Université de Montréal, Titulaire de la
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailGestion de l insuline iv. : version pour les Soins continus de médecine
CENTRE HOSPALIER UNIVERSAIRE VAUDOIS - 1011 Lausanne Service de médecine Centre des Maladies Cardio-vasculaires et métaboliques Service d endocrinologie, diabétologie et métabolisme Gestion de l insuline
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLe diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant
Le diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant (DNID) (223b) Professeur Serge HALIMI Avril 2003 (Mise à jour Février 2005) Pré-requis : Physiologie de la régulation de la glycémie Actions de l insuline
Plus en détailRecommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue
RECOMMANDATIONS SFC/ALFEDIAM Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue Recommandations, argumentaire, références B. Charbonnel, B. Bouhanick, C. Le
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailLa gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies
U S D Union Sports & Diabète La gestion du diabète lors des sports : apports des nouvelles technologies Journées nationales des diabétiques qui bougent, Vichy 17-18-19 mai 2013 Docteur Muriel TSCHUDNOWSKY
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailDIABÈTE DE TYPE 1. Physiopathologie Carence absolue en insuline par destruction AI des ilôts β pancréatiques
DIABÈTE DE TYPE 1 Physiopathologie Carence absolue en insuline par destruction AI des ilôts β pancréatiques Définition bio 2x GAJ > 7 mm = > 1,26 g/l 2x Gly > 2 g/l à tout moment 1x Gly > 2 g/l à tout
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailGuide de prise en charge du diabete de type 2 pour l afrique sub-saharienne. Fédération Internationale du Diabète Region Afrique
Guide de prise en charge du diabete de type 2 pour l afrique sub-saharienne Fédération Internationale du Diabète Region Afrique i TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... 1 1. AVANT-PROPOS... 2 2. PREFACE...
Plus en détailCaisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente
Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLe diabète de type 1 UNSPF. Ségolène Gurnot
Le diabète de type 1 UNSPF Ségolène Gurnot Juin 2013 Légende Entrée du glossaire Abréviation Référence Bibliographique Référence générale Table des matières Introduction 5 I - Introduction 7 A. Quelle
Plus en détailFiche de synthèse. Learn. Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique. Parcours : Prise en charge du diabète à l officine
Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique Dans toutes les situations Privilégiez la phase de découverte Savoir comment le patient et/ou l accompagnant perçoivent le diabète. Permettre
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailLa gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?
La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailDiabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature
Diabète de type 1 et haute montagne Revue de la littérature Contre-indications absolues Diabète mal équilibré : hypoglycémies sévères mal ressenties, acido-cétose. Présence de complications du diabète
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailDiabète et hypoglycémies
Diabète et hypoglycémies Docteur Karim LACHGAR Chef de service de diabétologie endocrinologie Hôpital Simone Veil Eaubonne Montmorency Karim.lachgar@ch-simoneveil.fr 15 e journée des associations du Val
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailSport et maladies métaboliques (obésité, diabète)
Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont
Plus en détailLe diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût
Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète est une véritable épidémie. Cette maladie chronique
Plus en détailL autogestion de l insulinothérapie basale plus 1
L autogestion de l insulinothérapie basale plus 1 Le traitement combiné insuline basale et hypoglycémiants oraux est un traitement éprouvé et efficace pour amorcer en douceur l insulinothérapie. Il est
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailConférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»
Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailLA DIETETIQUE DU DIABETE
LA DIETETIQUE DU DIABETE (Ed. ALPEN) 95 pages Docteur Eric MENAT PRENEZ-VOUS EN CHARGE ET EVITEZ LES ERREURS ALIMENTAIRES Pendant des siècles, les épidémies, fléaux de l humanité, étaient principalement
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailUN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES
DIABÈTE UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs UN ENNEMI DU CŒUR
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailCENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques
CLINIQUE SAINT-JEAN Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques 1 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue au Centre du Diabète de la. Nous sommes un centre de traitement multidisciplinaire
Plus en détailFemmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé
RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre Méthode «Recommandations pour la pratique clinique» RECOMMANDATIONS Novembre
Plus en détailAmélioration du traitement du diabète par les nouvelles générations d insuline.
Amélioration du traitement du diabète par les nouvelles générations d insuline. Pr David L. Russell-Jones, MBBS, BSc, MD, FRCP WebMD Global, LLC Ce document est uniquement informatif. La lecture de ce
Plus en détailMÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS
MÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS GUIDE À DESTINATION DES MÉDECINS PRESCRIPTEURS Ce guide est remis dans le cadre des mesures de minimisation du risque mises en place pour le valproate, dans
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détail