Rapport annuel d'activité, année Laboratoire National de Référence. Encéphalopathies spongiformes transmissibles
|
|
- Victor Falardeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rapport annuel d'activité, année 214 Laboratoire National de Référence Encéphalopathies spongiformes transmissibles Nom du responsable du LNR Thierry BARON Nom de l'unité où l'activité du LNR est mise en œuvre Maladies neuro-dégénératives Nom du laboratoire où l'activité du LNR est mise en œuvre ANSES- Laboratoire de Lyon Nombre de laboratoires agréés et/ou reconnus dans le réseau 5 Précisez la catégorisation du danger (en SA) sinon la justification de l'existence du mandat de LNR Dangers sanitaires De 1ere catégorie 1
2 Introduction Les faits marquants de l'année - dans le domaine de l appui scientifique et technique, le maintien de l accréditation par le COFRAC du laboratoire pour la réalisation des tests de Western blot utilisés pour i) les confirmations diagnostiques, ii) la discrimination de l ESB et de la tremblante chez les petits ruminants, et iii) le typage moléculaire des cas d ESB chez les bovins. - sur le plan des activités de recherche, i) la poursuite de travaux expérimentaux concernant l influence de l expression d un allèle de résistance ovin R171 sur le phénotype de la maladie chez des souris transgéniques «ovinisées» infectées par différentes souches de prion ; ceci fait suite aux travaux ayant montré des modifications phénotypiques majeures lors d infections de moutons QR171 par l ESB atypique de type L (Nicot et al., J. Infect. Dis., 214), ii) dans ce même modèle expérimental transgénique, des travaux ont été publiés montrant que seules l ESB et la tremblante classiques ont pu être transmis par voie orale à ces souris, parmi l ensemble des souches de prions examinées et déjà transmises par voie intacérébrale (notamment ESB de type L et tremblantes Nor98 et CH1641)(Arsac et al. PLoS ONE, 214) 1. Méthodes développées ou révisées Nombre de méthodes développées ou révisées proposées à l autorité compétente Donner le nom et une brève description de chacune de ces méthodes Les tests validés et certifiés pour la confirmation du diagnostic EST sont ceux cités dans le manuel de l OIE : l'examen histopathologique, l'immunohistochimie, et la technique du Western Blot. En tant que LNR EST, le laboratoire de l Anses-Lyon est agréé pour la confirmation du diagnostic des EST. Il pratique une technique de Western blot qu il a adapté à partir de la notice du kit Western Blot TeSeETM (Rev.E - 5/29). Ce kit développé et commercialisé par la société Bio-Rad est validé et certifié depuis mai 29 par l OIE (n d enregistrement 2915). Ce Western blot permet la détection de la protéine prion pathologique spécifique des EST, après traitement à la protéinase K en milieu détergent puis précipitation en milieu alcoolique. En plus de définir le statut des animaux suspectés d EST, cette technique permet également d identifier chez les petits ruminants les isolats de tremblante atypique/nor98. 2
3 Les échantillons provenant de bovins confirmés positifs pour l ESB font l objet d un typage moléculaire par le Western blot développé au laboratoire et validé au cours d un Essai Inter Laboratoire (EIL) de validation organisé par le LR-UE. IL est fondé sur la mise en évidence des caractéristiques moléculaires spécifiques. A partir de la PrPres extraite du tissu cérébral des bovins, une analyse des poids moléculaires des différentes bandes, des glycotypes et de la présence d une forme tronquée spécifiquement reconnue par les anticorps C- terminaux permet la classification en trois types moléculaires : type-h, type-l et type-c, ce dernier correspondant à la forme classique d ESB observée au cours de l épizootie liée à l alimentation des bovins par des farines de viandes et d os contaminées. Les échantillons provenant de petits ruminants qui ne sont pas identifiés comme tremblante atypique/nor98 font l objet d un typage moléculaire par le Western blot discriminant Anses. L objet de cette analyse est d identifier la présence éventuelle d une signature moléculaire similaire à celle de l ESB chez des petits ruminants. L analyse de typage basée sur une méthode de Western blot permet d étudier les caractéristiques du fragment résistant à la protéinase K de la protéine prion pathologique (PrPres), les données expérimentales montrant que le profil de la PrPres peut varier en fonction de la souche d agent infectieux ayant infecté l animal. La PrPres extraite de petits ruminants expérimentalement infectés par l ESB présente un bas poids moléculaire apparent de la forme non glycosylée de la protéine ainsi qu une immuno-réactivité faible avec l anticorps P4 contrairement à la PrPres d individus atteints de tremblante dont le poids moléculaire est généralement haut et l immuno-réactivité P4 forte. Ces deux critères sont utilisés dans le Western blot discriminant Anses : la mesure des poids moléculaires obtenus après immuno-détection par l anticorps Bar233 et l appréciation de l immuno-réactivité avec l anticorps P4. Nombre de méthodes développées ou révisées qui sont susceptibles d être prêtes pour être proposées à l autorité compétente au cours de l année N+1 2. Matériels biologiques ou chimiques, matériaux de référence et échantillons et souches d'intérêt Décrire ici les collections d'échantillons biologiques ou d'autre nature (environnement, aliment...) conservés par le LNR; indiquer les méthodes de conservation, la température, le nombre de "repositories", le nombre d'échantillons par souche, l'enregistrement associé...). Le LNR possède une échantillothèque dédiée au stockage du matériel biologique infecté par des EST issus de divers programmes/études et d espèces animales. La conservation du matériel biologique est assurée par des congélateurs -2 C/-4 C/-8 C contenant : - des hémisphères et troncs cérébraux de cas de tremblante de petits ruminants confirmés positifs ou infirmés, - des hémisphères et troncs cérébraux des cas d ESB confirmés positifs ou initialement 3
4 suspects cliniques mais infirmés par les épreuves diagnostiques, - des organes prélevés sur des rongeurs (souris conventionnelles ou transgéniques, hamster) infectés expérimentalement par le panel des EST naturelles identifiées dans le cadre des activités de diagnostic, ainsi que des souches expérimentales de référence de prions (souches 263K, 22A, 79A, 87V, 31V, 22L, Chandler, 139A), - des tissus biologiques de guépards naturellement atteints d Encéphalopathie Spongiforme Féline (ESF), - des tissus biologiques expérimentaux tels que des moutons infectés expérimentalement par de l ESB, des microcèbes expérimentalement inoculés par l ESB atypique ou bien encore par de la tremblante classique ou atypique, - du matériel de référence EST (ESB d origine bovine et tremblante ovine) obtenu auprès de l IRMM (Institut des matériaux et mesures de références). L enregistrement du matériel biologique s effectue sous format informatique à partir d une base de données appelée «base access ESST» et par plusieurs tableaux Excel accessibles sous le réseau informatique. La salle échantillothèque possède un registre papier d entrée et de sortie du matériel biologique. Nombre de souches/échantillons reçu(e)s et mis(es) en collection dans l'année 52 Nombre de souches/échantillons maintenu(e)s au total Activités d'analyse 3.1 Analyses officielles de première intention Nombre d'analyses de première intention réalisées dans l'année (de biotypie, sérotypie, caractérisation moléculaire...) 3.2. Analyses officielles de confirmation Nombre d'analyses de seconde intention réalisées dans l'année (de biotypie, sérotypie, caractérisation moléculaire...) 91 4
5 Détaillez ici par type d'analyse de confirmation Confirmations diagnostiques : 6 (44 positifs et 16 non confirmés) Typage moléculaire : 28 chez les petits ruminants, tous issus de mesures de police sanitaire), 3 chez les bovins Taux de confirmations par type d'analyse (= nombre de résultats confirmés / nombre d'analyses officielles de seconde intention réalisées) Cas confirmés positifs par le test de confirmation de diagnostic EST : ESB classique : ESB atypique : 3 (1 type-h et 2 type-l) Tremblante non Nor98: 28 Tremblante Nor98 : 11 Cas infirmés par le test de confirmation de diagnostic EST : ESB : 4 Tremblante : 5 En 213, nous avions constaté une diminution très significative du nombre d isolat de tremblante atypique/nor98 possiblement en lien avec une différence de sensibilité diagnostique entre les différents lots d un test de dépistage. Pour l année 214, le nombre d isolats de tremblante atypique/nor98 détecté a encore diminué de 15% par rapport à l année 213, avec une absence totale de cas durant une période de plus de 5 mois (du 14/5/214 au 23/1/214). Le Western Blot TeSeE BIORAD utilisé pour les confirmations diagnostiques a permis d identifier la signature caractéristique de la tremblante de type Nor98 dans 11 isolats (6 ovins, 5 caprins), dont 1 ovin provenant des mesures de police sanitaire. Les 28 autres isolats ont été analysés par la méthode du Western Blot discriminant Anses pour la recherche de l ESB chez les petits ruminants. A ce jour, 3 isolats provenant d un même troupeau restent en cours d analyse. Parmi les 25 autres isolats 16 présentaient une signature moléculaire indistinguable de la tremblante classique et 9 échantillons ne présentaient pas une quantité suffisante de PrPres permettant une caractérisation moléculaire complète. Néanmoins, la plupart de ces isolats (7 sur 9) ont présenté une immuno-réactivité avec l anticorps P4 ce qui est compatible avec la signature tremblante classique Autres analyses Nombre estimé d'autres analyses (non officielles) réalisées dans l'année en lien avec le mandat de LNR 5
6 4. Activités de production et de contrôle de matériaux de référence et de réactifs biologiques Le LNR produit-il et fournit-il des réactifs? Non Le LNR fournit-il des matériaux de référence? Non Le LNR réalise-t-il des contrôles de réactifs commerciaux? Oui Cette activité est-elle une obligation découlant de textes réglementaires, normatifs ou infra-réglementaires (notes de service). Si oui, lesquels? Le contrôle des lots des kits utilisés pour le dépistage de l ESB en France est effectif depuis la fin 29. Ce contrôle est organisé par le LR-UE et délégué en fonction des tests dans différents Laboratoires Nationaux de Référence en Europe. Le contrôle du test Idexx a été confié à l Anses-Lyon. Quelles sont les modalités de contrôle (initiaux, répétitifs, lot par lot)? Depuis août 21 le contrôle des lots effectué par les Laboratoires Nationaux de Référence peut être effectué uniquement sur la base de l analyse du rapport des données du contrôle qualité fourni par le fabricant de lot. Afin d assurer la possibilité de réaliser des analyses sous accréditation COFRAC en cas de nécessité de vérification complémentaire au dossier, l Anses, laboratoire de Lyon fait appel au LDA 1, agréé pour le dépistage rapide de l ESB, accrédité et utilisant ce test en routine, pour la réalisation d une analyse sur un lot en comparaison avec un lot de référence. En pratique, un contrôle lot par lot continue néanmoins à être réalisé à l Anses Lyon, pour une meilleure appréciation du suivi des lots. Quel est le nombre de contrôles - ou de lots contrôlés - par an? (moyenne sur les 5 dernières années) 8 6
7 Analyse de l'évolution (augmentation, diminution) des tendances en termes d'activité sur les 5 dernières années De manière globale, depuis 5 ans, nous avons noté une diminution de l activité de confirmation diagnostique qui apparaît désormais stabilisée: - une stabilité du nombre d analyses de 29 à 211(16 en 29, 89 en 21 et 129 en 211), - une baisse du nombre d analyses en 212 (53 analyses) essentiellement liée à la poursuite de la diminution de prévalence de la tremblante classique et de l ESB ainsi qu à la diminution des problèmes de spécificité pour le kit de diagnostic ayant posé des problèmes en 21 et cette situation apparaît globalement stabilisée en 213 et en 214 (6 en 213 et 51 en 214) même si le nombre d isolats de tremblante atypique/nor98 détectés a notablement diminué ces deux dernières années (13 en 213 et 11 en 214) par comparaison aux années antérieures (31 en 29, 35 en 21, 27 en 211 et 33 en 212). 5. Activités d'expertise scientifique et technique 5.1. Demandes d expertise scientifique et technique du ministère (chargé de l agriculture, santé, etc ) ou d instances communautaires et internationales qui concernent votre domaine de compétence Nombre de rapports d'est rendus dans l'année 79 Détaillez ici les demandes d'est et les noms des mandataires Demandes : confirmation diagnostique et typage moléculaire des encéphalopathies spongiformes Mandataires: Direction Générale de l'alimentation Autres expertises Les membres de l'équipe du LNR peuvent avoir des activités d'expertise (internes: CES, GT ou externe: EFSA...) ou des activités auprès de commissions de normalisation (Afnor...). Détaillez ici ces activités et estimez le temps qui y est consacré. Comme prévu dans la procédure mise en place pour l examen des conditions de réaffectation de locaux ESST (courrier DGAL du 27 Janvier 24), nous avons examiné deux dossiers, décrivant les protocoles envisagés pour la réhabilitation de locaux ayant servi à la réalisation de tests rapides de dépistage de l ESB : - changement de destination de locaux dédiés à la réalisation des tests rapides de dépistage de l ESB - laboratoire départemental de l Orne, - modalités des travaux pour la réfection d un local P3 Prion - LAVD 76. 7
8 5.3. Dossiers de demande d'agrément Nombre de dossiers de demande d'agrément étudiés dans l'année 5.4. Activités de conseil aux professionnels Détaillez ici ces activités et estimez le temps qui y est consacré Néant 6. Animation du réseau de laboratoires officiels 6.1. Organisation d'eila Précisez ici le nombre d'eila organisés par le LNR au cours de l année N Nom (s) et nombre(s) d'eila que vous prévoyez d'organiser au cours de l année N+1 1 Précisez le nombre d'eil (hors EILA - dont EILV en lien avec méthodes en cours de validation telles que précisées dans le paragraphe 1) organisés par le LNR au cours de l année N Précisez le nombre d'eil (hors EILA) que vous prévoyez d'organiser au cours de l année N Formation, organisation d'ateliers, accueil de stagiaires Nombre de journées d'échange et de restitution rassemblant les laboratoires agréés du réseau, organisées dans l'année 8
9 Nombre de sessions de formation des personnels des laboratoires agréés aux méthodes utilisées pour les contrôles officiels, organisées dans l'année 6.3. EILA auxquels le LNR a participé dans l'année Détaillez les EILA auxquels le LNR a participé dans l'année, dans le cadre : National; UE (EILA organisé par le LRUE); International Le laboratoire participe aux EILA EST organisés par le LR-UE. Les résultats ont été satisfaisants pour les différentes sessions : - EILA ESB par le test de confirmation, - EILA ESB par le test rapide HerdChek-IDEXX, - EILA test diagnostic par histologie et immunohistochimie. - EILA test discrimination de l ESB et de la tremblante chez les petits ruminants, - EILA tests de discrimination des différentes formes d ESB chez les bovins, - EILA tremblante par le test de confirmation, - EILA tremblante par le test rapide HerdChek-IDEXX, 7. Participation aux activités de surveillance 7.1 PS/PC Existe-t-il un ou plusieurs PS/PC élaboré(s) par l'autorité sanitaire dans le champ du LNR? Oui 7.2 Activités de surveillance hors PS/PC Dispositif(s) hors PS/PC Indiquer si le LNR est intégré à un (ou des) dispositif(s) de surveillance (hors PS/PC)? Non 8. Activités de recherche en lien avec l activité de référence 8.1. Recherches méthodologiques pour la référence Détaillez ici les recherches méthodologiques que vous avez réalisées dans l'année : objectifs, partenariats, apports du LNR, projets retenus dans le cadre d'appels à projets... Néant 9
10 8.2. Recherches associées pour la référence Détaillez ici les recherches associées auxquelles vous avez participé dans l'année (participations à des études cliniques, études d'incidences, modèles d'infections expérimentales, études toxicologiques, essais vaccinaux...): objectifs, partenariats, apports du LNR, projets retenus dans le cadre d'appels à projets... Le LNR a une activité de recherche concernant la discrimination biologique et moléculaire des souches de prion, ayant en particulier largement contribué à l identification des formes «atypiques» de maladies à prion chez les bovins et chez les petits ruminants entre 22 et 24. Cette activité s est poursuivie autour de la question des risques potentiels représentés par les formes atypiques d ESB pour la santé humaine et animale. Les activités en cours concernent en particulier : - l influence de l expression d un allèle prion ovin associé à une résistance génétique (R171) conférant une résistance à la tremblante ou à l ESB classiques; dans le contexte de l existence des programmes de sélection génétique visant à augmenter la proportion des moutons porteurs de l allèle R171 sur le terrain, cette orientation résulte des observations au moins dans une situation particulière (ESB de type L), de profondes modifications phénotypiques de la maladie expérimentale lors d expression de l allèle R171, sous l aspect moléculaire (Nicot et al., J. Infect. Dis., 214), Ce thème a fait l objet d un projet sélectionné dans le cadre d un appel d offres compétitif de la fondation Alliance Biosecure. - l étude expérimentale des possibilités d émergence de la souche d ESB classique (C) à partir des deux formes atypiques d ESB (H et L), - la caractérisation des cas de tremblante ovine présentant des similitudes moléculaires avec l ESB (cas dits «CH1641-like»). 9. Relations avec le CNR Existence d'un CNR Oui Intitulé du CNR CENTRE NATIONAL DE REFERENCE AGENTS TRANSMISSIBLES NON CONVENTIONNELS (ATNC) Organisme porteur du CNR INSERM (UMRS 975) 1
11 EQUIPE MALADIES A PRIONS - MALADIE D'ALZHEIMER CENTRE DE RECHERCHE DE L'INSTITUT DU CERVEAU ET DE LA MOËLLE EPINIERE (ICM) INSERM UMR CNRS UMR 7225, UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE - PARIS 6 ICM HOPITAL PITIE SALPETRIERE 47 BOULEVARD DE L'HOPITAL 7513 PARIS Collaboration dans le cadre de la surveillance, détailler: Néant Collaboration dans le cadre de projets de recherche, détailler: Une collaboration a été développée en 214 concernant la validation d'une méthode de diagnostic par RT-QUIC, qui a été évaluée sur des prélèvements humains collectés par le CNR et sur des prélèvements d'esb classique et atypiques identifiés par l'anses- Laboratoire de Lyon, ainsi, que sur des échantillons issus de la transmission expérimentale de ce différentes formes d'esb à des souris conventionnelles et transgéniques Autres collaborations, détailler: Néant 1. Autres mandats Le LNR détient-il d'autres mandats de référence dans le même domaine de compétences Non Annexes Listes des publications et communications: Publications de l'année destinées aux professionnels (Les publications qui figureront dans le rapport doivent être sous presse ou publiées.) Cazeau, G., J.-B. Perrin, V. Loywyck, B. Bouffartigue and D. Calavas (214) Surveillance des encéphalopathies spongiformes des petits ruminants en 213: seulement trois foyers de tremblante classique détectés. Bulletin épidémiologique, santé animale et alimentation, 64/Spécial MRE - Bilan 213,
12 Sala, C., J.-B. Perrin, A.-G. Biacabe and D. Calavas (214) Encéphalopathie spongiforme bovine en 213: poursuite de l'allègement de la surveillance dans un contexte de maîtrise de la forme classique. Bulletin épidémiologique, santé animale et alimentation, 64/Spécial MRE - Bilan 213, Sala, C. (214) L'encéphalopathie spongiforme bovine en France: évolution et état des lieux. Bulletin des Groupements Techniques Vétérinaires, 74, 12. Publications scientifiques internationales de l'année (Les publications qui figureront dans le rapport doivent être sous presse ou publiées.) Arsac, J.-N. and T. Baron (214) Distinct Transmissibility Features of TSE Sources Derived from Ruminant Prion Diseases by the Oral Route in a Transgenic Mouse Model (TgOvPrP4) Overexpressing the Ovine Prion Protein. PLoS One, 9, e (IF: 3.5) Langeveld, J., J. Jacobs, J. Erkens, T. Baron, O. Andréoletti, T. Yokoyama, L. van Keulen, F. van Zijderveld, A. Davidse, J. Hope, Y. Tang and A. Bossers (214) Sheep prions with molecular properties intermediate between classical scrapie, BSE and CH1641-scrapie. Prion, 8, (IF: 1.9) Levavasseur, E., N. Privat, J.-C. E. Martin, S. Simoneau, T. Baron, B. Flan, J.-M. Torres and S. Haik (214) Molecular modeling of prion transmission to humans. Viruses, 6, (I.F: 3,2) Nicot, S., A. Bencsik, S. Migliore, D. Canal, M. Leboidre, U. Agrimi, R. Nonno and T. Baron (214) L-BSE in Genetically Susceptible and Resistant Sheep: Changes in Prion Strain or Phenotypic Plasticity of the Disease-Associated prion Protein? The Journal of Infectious Diseases, 29, (IF: 5.8) Communications internationales de l'année (Les publications qui figureront dans le rapport doivent être sous presse ou publiées.) Bencsik, A., M. Leboidre, L. Lakhdar and T. Baron (214) Neurotropism property of classival versus atypical TSE agents studied using comparative stereotaxic injections within four different sites of entry. In Congrès Prion 214, Trieste, Italie, 27-3 mai, Poster. Nicot, S., A. Bencsik, J. Vulin, S. Miglione, D. Canal, M. Leboidre, U. Agrimi, R. Nonno and T. Baron (214) L-BSE in genetically susceptible and resistant sheep: changes in prion strain or phenotypic plasticity of ther disease-associated prion protein? In Congrès Prion 214, Trieste, Italie, 27-3 mai, Poster. 12
Laboratoire National de Référence. Fièvre catarrhale ovine : diagnostique virologique. Rapport annuel d'activité, année 2013
Laboratoire National de Référence Fièvre catarrhale ovine : diagnostique virologique Rapport annuel d'activité, année 213 A. Introduction Précisez la catégorisation du danger (en SA) sinon la justification
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailObjet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution
Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailInstructions aux auteurs
Instructions aux auteurs Les Cahiers de la Référence sont une publication électronique, qui a pour objectif de partager et de valoriser l ensemble des activités de référence. Ils sont destinés à favoriser
Plus en détailREGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION
Plus en détailAppliquer la réglementation dans la filière
Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière re Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière Analyse des risques, enregistrements et GBPH Application à la filière laitière
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailAgence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative à la mise en œuvre du protocole régissant les échanges transfrontaliers d animaux de boucherie et volailles d abattage entre
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailETUDE TECHNIQUE MISE EN PLACE DE LA DEMARCHE QUALITE DANS LES ABATTOIRS DU DEPARTEMENT DE L AVEYRON
INSTITUT NATIONAL DE FORMATION DES PERSONNELS DU MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ETUDE TECHNIQUE Soutenue dans le cadre de la formation des Techniciens Supérieurs des Services du Ministère de l Agriculture
Plus en détailCOMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailPREFET DES BOUCHES-DU-RHONE
PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE DIRECTION DEPARTEMENTALE INTERMINISTERIELLE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS Siège : 22, Rue Borde - 13285 MARSEILLE CEDEX 08 Publipostage MARSEILLE, 03.04.2013 Téléphone :
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailAnnexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes.
Annexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes. Cher expert, Le Comité scientifique de l AFSCA a pris l initiative d évaluer le caractère organisationnel de
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détailAUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?
Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org
Plus en détailCROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine
CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes
Plus en détailAudit interne. Audit interne
Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailModalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA
Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent
Plus en détailPOLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE
BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site
Plus en détailGuide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale
V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailSERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ)
DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)67 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 1 : Informations générales 1 Textes 2 Réseau 3 Formations obligatoires 4 Offres de formations Année : 2005-2006 1 Textes (Extraits) J.O n 247 du
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 118 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Enregistré à la Présidence du Sénat le 12 novembre 2012 PROPOSITION DE LOI visant à rendre obligatoire l étourdissement des animaux avant tout abattage, PRÉSENTÉE
Plus en détaill «Or? Gris» pourquoi et comment? CONNAISSEZ-VOUS LES TISSUS HUMAINS POUR LA RECHERCHE :
CONNAISSEZ-VOUS l «Or? Gris» LES TISSUS HUMAINS POUR LA RECHERCHE : pourquoi et comment? Renseignements préalables au consentement de don de cerveau à la Banque de cerveaux du Centre de recherche de l
Plus en détailRéception du tissus documentation examens sérologiques inspection préparation façonnage
Déroulement du processus Tutoplast Don de tissus accord du patient questionnaire au patient (don vivant) questionnaire aux proches du défunt (don mort) prélèvement du tissus sur le patient (ou en pathologie)
Plus en détailLe guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration
FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,
Plus en détailBOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE
BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux
Plus en détailPhysiopathologie : de la Molécule à l'homme
Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailMise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs?
Mise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs? Dr Xavier Manival, Laboratoire IMoPA, CR, CNRS Françoise Tisserand-Bedri, Documentaliste, Inist-CNRS
Plus en détailPlan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire
ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailMaîtrise universitaire d études avancées en Microbiologie
Maîtrise universitaire d études avancées en Microbiologie Art. E1 Objet 1. La Faculté des sciences de l Université de Genève décerne le diplôme de Maîtrise universitaire d études avancées en Microbiologie
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailMaster Développement et Immunologie
Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailB.O.I. N 94 du 18 MAI 2000 [BOI 12A-2-00 ]
B.O.I. N 94 du 18 MAI 2000 [BOI 12A-2-00 ] Références du document 12A-2-00 Date du document 18/05/00 Annotations Lié au BOI 12A-3-00 BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS 12 A-2-00 N 94 du 18 MAI 2000 INSTRUCTION
Plus en détailMINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE
cerfa N 50078#10 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE
Plus en détailLa cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental
Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailENTENTE INTERDEPARTEMENTALE
ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailMaster 2. Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu
Master 2 Mention : «Ecosciences, Microbiologie» Domaine : Sciences Technologies Santé Responsable : F. Menu Université Claude Bernard Lyon I Établissements cohabilités (spécialités 1,2,4) : INSA VetAgro
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus
Plus en détailIncertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles
Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre
Plus en détailOIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int
Original : anglais Juillet 2006 RAPPORT DE LA RÉUNION DU BUREAU DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris, 3-4 juillet 2006 Une réunion du Bureau de la Commission scientifique de l
Plus en détailProgramme international de formation
Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts
Plus en détailCampagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)
Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailTRADUCTION D APPUI. À la Mairie de MILAN. Je soussigné(e) (prénom et nom)
(S.C.I.A.) SIGNALISATION CERTIFIÉE DE DÉBUT D ACTIVITÉ DE VENTE/DISTRIBUTION TEMPORAIRE D ALIMENTS ET DE BOISSONS, ÉVENTUELLEMENT GRATUITEMENT, AU PUBLIC SUR LA PÉRIODE D OUVERTURE D EXPO MILANO 2015 (1
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailPROCESSUS DE CERTIFICATION Agriculture Biologique
CERTIFICATION AB 10.2012 PROCESSUS DE CERTIFICATION Agriculture Biologique SOMMAIRE I La règlementation II Le processus de certification 1- Les étapes du processus de certification 2- Le plan de correction
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailMASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie
S3 Spécialité : Recherches en psychologie UE OBLIGATOIRES UE 1 : Epistémologie et méthodes de recherche en psychologie Ce séminaire aborde plusieurs aspects de la recherche en psychologie. Il présente
Plus en détailFLEGT Note d Information
Série 20 Note FLEGT Note APPLICATION DES REGLEMENTATIONS FORESTIERES, GOUVERNANCE ET ECHANGES COMMERCIAUX Directives sur le Contrôle Indépendant INTRODUCTION Le Plan d action de l UE pour l application
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailREGLEMENT TECHNIQUE D EVALUATION DIAGNOSTIC IMMOBILIER EPREUVE CREP CERTIFICATION SANS MENTION
REGLEMENT TECHNIQUE D EVALUATION DIAGNOSTIC IMMOBILIER EPREUVE CREP CERTIFICATION SANS MENTION page 1/6 GENERALITES La personne physique candidate à la certification CREP démontre qu elle possède les connaissances
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national
Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détail