IV. diagnostic viral. 4. Techniques diagnostiques. 1. Détection d anticorps. monomère. IgM. pentamère. dimère. IgA
|
|
- Madeleine Crépeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 IV. Diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus Ls différnts approchs possibls dans l diagnostic viral, dirct t indirct, sront miux compriss par qulqus xmpls pratiqus détaillés. Nous décrivons ici qulqus tchniqus d détction d anticorps, d détction t d caractérisation ds virus (sous-typs, résistanc aux médicamnts antiviraux). 1. Détction d anticorps Lorsqu un animal ou un homm ntr n contact avc un antigèn étrangr, il réagit par un réaction immunologiqu spécifiqu. L H H(avy) L(ight) Ctt réaction comprnd dux volts : un réaction humoral avc la production d anticorps qui rconnaissnt l antigèn t un réaction cllulair avc augmntation d un population cllulair cytotoxiqu spécifiqu. Ctt réaction survint aussi lors du contact avc un virus par infction ou vaccination. Variabl Constant ss ss ss ss La production d anticorps spécifiqus put êtr détcté avc ds tchniqus rlativmnt simpls. Cs tsts sont ffctués généralmnt sur du sérum d où l nom d tsts sérologiqus. IV Structur d un molécul d immunoglobulin Ls anticorps sont ds protéins, nommés immunoglobulins ou gamma-globulins, divisés n différnts classs : ls immunoglobulins, M,, E. C sont surtout ls Ig (monomèrs) t ls IgM (pntamèrs) qui sront rchrchés dans l diagnostic ds maladis virals. Immunoglobulins L H H(avy) L(ight) Ig monomèr ss ss ss ss IgM pntamèr Ig dimèr IV Structur d un molécul d immunoglobulin 4. Tchniqus diagnostiqus 6
2 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Séropositivité : Présnc d'anticorps Ig incubation Infction Survnu ds anticorps Maladi Séroconvrsion : apparition d'anticorps sur dux sérums succssifs 2 Ig Infction incubation 1 Détction ds anticorps 1 2 Echantillons d sérum Maladi ugmntation d titr ou taux d'anticorps ntr ls dux sérums 2 1 Ig Infction incubation ugmntation ds anticorps 1 2 Echantillons d sérum Maladi Rchrch d'igm IgM Infction incubation +/- 3 mois Survnu ds anticorps Maladi 4. Tchniqus diagnostiqus 7
3 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Ig IgM incubation Infction Maladi IV pparition d anticorps après infction t lur détction L tst sérologiqu détctra : La présnc d anticorps ou séropositivité : cci sign l contact avc l virus mais n prmt pas d datr l momnt d l infction. Pour crtains virus qui prsistnt dans l organism cla indiqu égalmnt l état d portur (xmpl : l virus du SID ou VIH/HIV) L apparition d anticorps ntr dux sérums succssifs prélvés généralmnt à un intrvall d 10 à 21 jours. On parl d séroconvrsion. Cci indiqu qu un prmir contact a u liu autour du momnt du prmir prélèvmnt. Un augmntation d la concntration d anticorps ntr dux sérums. Ctt concntration s xprim n titr ou n unités tst utilisé. Un augmntation indiqu qu il y a u un stimulation du systèm immunitair : cll-ci put êtr du à un infction récnt ou à un réactivation viral symptomatiqu ou non. La présnc d anticorps d la class M (IgM), qui sont présnt pndant ls prmirs mois après un contact. La présnc d anticorps Ig d faibl avidité. L avidité ds anticorps augmnt au cours ds mois succédant à un infction aiguë. Un faibl avidité indiqu donc un infction récnt. 4. Tchniqus diagnostiqus 8
4 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Qulqus xmpls d tsts sérologiqus Ls tsts d agglutination Ils font appl à ds particuls microscopiqus (latx, gélatin ou globuls rougs) rcouvrts d un antigèn viral avc ss épitops, qui sront mélangés à un dilution d sérum. Ls anticorps sont capabls d lir dux épitops t établiront donc ds ponts ntrs ls particuls qui sront visibls comm un agglutination microscopiqu ou macroscopiqu. Un problèm pouvant survnir avc c gnr d tst st l fft «prozon» : lorsqu il y a un très grand quantité d anticorps, il y a déséquilibr ntr la quantité d anticorps t d antigèns t la réaction n s produit pas. Lorsqu, dans c cas, on dilu l sérum la réaction dvint positiv. Résultat positif Résultat négatif Efft prozon IV Tst d agglutination pparition d anticorps après infction t lur détction Définir l taux d anticorps par titration vc l tst d agglutination l princip d la titration st aisémnt compris. Il s agit d établir un séri d dilutions d sérums t d ffctur la réaction d détction avc chaqu dilution. La plus haut dilution offrant ncor un réaction positiv donnra l titr. Lorsqu à un dilution d 1/32 on détct ncor ls anticorps, mais plus à 1/64, on dit qu l titr d anticorps dans c sérum st d 32. Lorsqu ls particuls utilisés pour l tst d agglutination sont ds globuls rougs (avc lurs proprs protéins d surfac fortmnt glycosylés comm antigèns), on parl d hémagglutination. C tst st souvnt utilisé, non pas pour la détction d anticorps, mais pour la détction d particuls virals s liant aux acids sialiqus (comm l virus d la gripp). 0.5 ml d diluant dans chaqu tub IV Titration d un sérum pour la rchrch d anticorps 4. Tchniqus diagnostiqus 9
5 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus ELIS ou EI (Enzym Linkd ImmunoSorbnt ssay ou Enzym Immunossay) Cs tsts font appl à un conjugué couplant un nzym à un anticorps d détction. Cs tsts prmttnt un automatisation complèt ds tsts t d ctt façon d tstr d nombrux sérums. L princip st donné dans la figur IV L ELIS prmt aussi un évaluation du taux d anticorps, mais au liu d fair appl à un titration, il fait appl à un courb standard pour comparr ls valurs obtnus. Dans c cas l résultat sra xprimé n unités. Cs unités sront intrnationals (UI) si la comparaison s fait avc un standard intrnational ou arbitrairs (U) s il n y a pas d standardisation. Il xist d nombruss variants du tst ELIS, comm ls tsts d captur t ls tsts compétitifs. L princip put égalmnt êtr modifié pour la détction d antigèns. Ls tsts sérologiqus décrits dans ctt sction sont donc aussi utilisés pour l idntification d virus phytopathogèns à partir d un xtrait végétal. insi, chaqu anné, ds cntains d millirs d ELIS sont réalisés pour détctr ls virus potntillmnt présnts dans ls pomms d trr dstinés à la plantation, pour minimisr ls risqus d prts d rndmnt liés à cs virus. ntigèns dans un puits d un plaqu n polystyrèn + Sérum Incubation Si ds anticorps sont présnts, ils s fixnt sur l'antigèn Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Conjugué (anticorps antihumain couplé à un nzym) Incubation Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat pour l'nzym L substrat s color si l'nzym st présnt Lctur photométriqu IV Titration d un sérum pour la rchrch d anticorps 4. Tchniqus diagnostiqus 10
6 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Wstrn blot Lorsqu on confirm un résultat obtnu n sérologi d routin, on utilis parfois un tst dit Wstrn blot (W), qui st un modification du princip ELIS énoncé plus haut. Dans l tst W, ls protéins d un lysat viral sont séparés n élctrophorès sur gl d polyacrylamid (PE), nsuit transférés («blotting») vrs un fuill d nitrocllulos ou d nylon. Ctt fuill, découpé n lanièrs, prmttra d tstr ls sérums pour rchrchr ls anticorps contr ls différnts protéins avc un tchniqu dont l princip rssmbl à cll d l ELIS décrit plus haut. La réaction apparaît comm un band d dépôt à l ndroit où s trouv la protéin concrné. - + Lysat viral Protéins séparés SDS-PE "blotting" Transfrt ds antigèns séparés sur nitrocllulos Protéins lourds Découpag n bands Protéins légèrs IV Préparation ds bands d Wstrn blot L substrat s color t s dépos à l'ndroit d l'antigèn conjugué anticorps antigèn IV Détction d anticorps par Wstrn blot 4. Tchniqus diagnostiqus 11
7 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus gp160 gp120 p66 p55 p51 gp41 p31 p24 p17 p15 () () + - IV Résultat d détction d anticorps 4. Tchniqus diagnostiqus 12
8 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Rchrch ds anticorps IgM Dans ls tsts ELIS, l conjugué put spécifiqumnt êtr dirigé contr un class particulièr d immunoglobulins, ls Ig ou ls IgM. Ls tsts rchrchant ls IgM posnt un crtain nombr d problèms, t d façon général ils rstnt moins fiabls qu ls tsts Ig. Dans un tst, suivant l format donné dans la figur IV ds résultats faussmnt négatifs ou positifs puvnt survnir. Ds résultats faussmnt négatifs survinnnt lorsqu il y a baucoup d Ig accompagnant ls IgM. Ls Ig vont saturr ls sits d réaction t n prmttront pas aux IgM d s fixr. IgM ntigèns dans un puits d un plaqu n polystyrèn + Sérum Si ds IgM sont présnts, ils s fixnt sur l'antigèn Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Conjugé (anticorps anti IgM couplé à un nzym) Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat pour l'nzym L substrat s color si l'nzym st présnt IV Tst immuno-nzymatiqu pour la rconnaissanc ds IgM 4. Tchniqus diagnostiqus 13
9 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus Intrférnc du factur rhumatoïd (FR) dans ls Elisa IgM Par aillurs, d nombrux facturs puvnt intrvnir pour crér ds résultats faussmnt positifs. L plus important st l factur rhumatoïd (FR) : il s agit d IgM réagissant d façon non spécifiqu avc ds Ig complxés ou liés à un antigèn. Lorsqu dans l tst ELIS ds Ig spécifiqus s sont liés à l antigèn t qu c complx st rconnu par l factur rhumatoïd présnt dans l sérum du patint, un réaction d rconnaissanc d IgM s fra lors d l ajout d conjugué, donnant faussmnt l imprssion qu ds IgM spécifiqus sont présnts. FR (IgM) Ig ntigèns dans un puits d un plaqu n polystyrèn + Sérum L factur rhumatoïd s fix sur l complx antigèn-anticorps Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Conjugé (anticorps anti IgM couplé à un nzym) Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat pour l'nzym L substrat s color malgré l'absnc d'igm spécifiqus IV Intrférnc du factur rhumatoïd dans ls Elisa IgM Il y a dux façon d évitr l fft du factur rhumatoïd t n mêm tmps d mpêchr l fft d un fort concntration d Ig spécifiqus : 4. Tchniqus diagnostiqus 14
10 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 1. jout d anti-ig : on dilu l sérum avc un diluant contnant ds anticorps anti-ig humains. Cci complx ls Ig (donc moins d Ig n solution) t fix l factur rhumatoïd. FR (IgM) nti Ig FR (IgM) FR (IgM) + Sérum + anti-ig L FR rconnaît l complx Ig Séparation du sérum (avc évntullmnt IgM spécifiqus) Surnagant placé dans un plaqu ELIS pour la détction ds IgM spécifiqus IV jout d anti-ig 2. Tst d captur : on utilis un ELIS d captur d IgM : ls IgM sont capturés par ds anticorps anti-igm fixés sur la phas solid. Ensuit on détct ls IgM avc l antigèn viral concrné conjugué à un nzym. Suls ls IgM spécifiqus réagissnt. Lavag pour éliminr + ntigèn couplé ls élémnts non à un nzym fixés + Sérum nti IgM Si ds IgM spécifiqus d l'antigèn sont présnts, ls antigèns sont captés Si ds IgM non spécifiqus (par x FR) sont présnts, pas d captag d l'antigèn Lavag pour éliminr ls élémnts non fixés + Substrat Réaction positiv Réaction négativ IV Tst d captur différnciant ls IgM spécifiqus t ls IgM non spécifiqus 4. Tchniqus diagnostiqus 15
11 IV. Diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 2. Rchrch dirct du virus 2.1. Microscopi éléctroniqu L microscop élctroniqu st un outil qui prmt d visualisr ds objts xtrêmmnt ptits. Pour ctt raison, il a été utilisé abondammnt pour caractérisr t idntifir ls virus. Conçu au cours ds annés 1930, notammnt par Ernst Ruska qui obtindra un prix Nobl pour cla n 1986, l microscop élctroniqu à transmission «transmission lctron microscop» (TEM) génèr un faiscau d élctrons au départ d un cathod soumis à un voltag très élvé. C faiscau d élctrons st dirigé sur un échantillon qu il travrs pour n révélr l imag sur un écran fluorscnt, un plaqu photographiqu ou plus récmmnt sur un camra CCD qui put alors révélr l imag n tmps rél sur un monitur. D autrs microscops comm l microscop à balayag «Scanning Elctron Microscop» (SEM) ou l microscop d forc atomiqu «tomic Forc Microscop» (FM) prmttnt aussi d visualisr la structur ou ds détails d particuls virals. IV Microscop élctroniqu Si ll présnt un intérêt crtain pour la virologi, la microscopi élctroniqu st cpndant pu utilisé n rgard d l invstissmnt rquis t d la tchnicité élvé qu ll impliqu. Pour la mis n évidnc d virus, on travaill généralmnt avc ds grills d cuivr ou d zinc rcouvrts d un fin film d carbon t/ou d formvar. On dépos nsuit sur c film un préparation viral qu l on va colorr avc ds agnts comm l acétat d uranyl ou l acid phosphotungstiqu. Ls virus apparaissnt alors n contrast négatif comm ds structurs clairs sur un fond foncé. On parl d coloration négativ. La tchniqu prmt d idntifir l virus sur bas d sa structur t d sa taill. Son principal avantag st la rapidité d réalisation. On put la combinr avantagusmnt avc ls tchniqus immunologiqus : on parl alors d décoration immunologiqu (la particul viral st ntouré d immunoglobulins qui lui donnnt un aspct plus dns), d immunosorbnt lctron microscopy (ISEM) lorsqu l on adsorb ls particuls virals à l aid d immunoglobulins, un pu à la manièr d un ELIS. Dans crtains cas, on a utilisé ds particuls métalliqus sphériqus pour marqur spécifiqumnt crtains structurs virals (immunogold-lablling) IV Particuls virals (n microscopi élctroniqu) IV Idntification d structur viral par la tchniqu d la décoration immunologiqu IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 16
12 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 2.2. Cultur viral La cultur d clluls (cll cultur) prmt d maintnir n croissanc ds clluls n conditions contrôlés. C procédé a été largmnt utilisé pour l isolmnt t la maintnanc d souchs virals. in qu ctt approch soit souvnt lnt t qu ll rquirt un tchnicité élvé, ll a longtmps été considéré comm l standard pour ls laboratoirs d diagnostic d maladis virals humains ou animals (Lland and inocchio, 2007). Son principal avantag st d prmttr l isolmnt d un grand nombr d virus très différnts. L chrchur va chrchr à détctr, par xamn microscopiqu d clluls n cultur, ds indics d infction viral. L spctr ds ffts st assz larg t rquirt un xpérinc conséqunt. On put citr l gonflmnt ou l rétrécissmnt ds clluls, ls rgroupmnts ou la formation d syncytium pour allr dans crtains cas jusqu à la dstruction complèt. Cs changmnts sont applés ffts cytopathiqus (cytopathic ffcts CPE). Crtains détctions puvnt êtr réalisés ndéans ls prmièrs 24h comm souvnt pour l HSV (uman Hrps Simplx Virus), mais d autrs dmandnt un périod bin plus longu. Dans crtains cas, on va combinr l tst à un hémadsorption (HD) qui prmttra l idntification spécifiqu d virus qui xprimnt ds hémagglutinins. IV Efft cytopathiqu Flèchs noirs : clluls normals Flèchs griss : après infction, ds îlots d clluls commncnt à s arrondir Flèchs blanchs : ls clluls s détachnt t murnt Un détction dirct d antigèns viraux par fluorscnc put complètr adéquatmnt la tchnologi t raccourcir d façon important la duré d la cultur. Ls tchniqus d cultur cllulair ont baucoup évolué au cours ds drnièrs annés pour offrir d nouvaux formats d cultur t ds altrnativs intérssants n trm d diagnostic. D autrs tchniqus, comm l inoculation d œufs mbryonnés ou ncor d animaux d laboratoir, si lls n sont pas à proprmnt parlr ds tchniqus liés à la cultur d clluls, prmttnt la mis n évidnc d virus. Côté virus d plants, on a aussi utilisé ls culturs d clluls végétals (protoplasts) pour la multiplication t l étud d virus. Toutfois, la tchnicité élvé rquis n a limité l intérêt dans l cadr du diagnostic viral. IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 17
13 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 2.3. Détction dirct d antigèns La détction dirct ds protéins antigéniqus d origin viral prmt dans d nombrux cas d posr un diagnostic rapid. Dans crtains cas, ctt détction st rapid t facil, comm par xmpl pour la détction du virus rspiratoir syncytial (RSV) dans ds sécrétions rspiratoirs ou la détction d un antigénémi dans ls polymorphonucléairs nutrophils lors d un infction par l cytomgalovirus (CMV). IV Elisa - Vidéo Lorsqu l virus n st pas cultivabl, ctt approch d détction dirct st souvnt privilégié. C sra l cas par xmpl pour la détction d l antigèn d surfac du virus d l hépatit (ghs) présnt dans l sang ou ncor pour ls virus qui infctnt ls plants. Lorsqu l virus st cultivabl, l utilisation d la détction dirct prmt d accélérr l diagnostic t d obtnir un détction plus rapid. Ls tchniqus utilisés pour la détction dirct d antigèns sont ls mêms qu clls utilisés pour la détction d anticorps, déjà décrits. On va donc utilisr ds tchniqus d agglutination, d précipitation, ELIS (nzym-linkd immunosorbnt assay) ou d immunofluorscnc. Dans c drnir cas, on va utilisr ds anticorps anti-antigèn marqués avc un molécul fluorscnt, comm l isothiocyanat d fluorscéin. L xamn d la préparation à l aid d un microscop à épifluorscnc, qui émt un lumièr ultravioltt, prmt la détction d un coloration spécifiqu n surfac ds clluls xaminés. Il st aussi possibl d détctr ls protéins virals après élctrophorès sur gl d polyacrylamid t transfrt sur un mmbran d nitrocllulos : on parl alors d «Wstrn blot»(fiure: Wstrn blot VQ protéin d capsid). Ctt tchniqu prmt notammnt, outr la détction d la protéin viral, qu l on put détctr au moyn d anticorps, d mttr n évidnc son poids moléculair. Ctt tchniqu st égalmnt utilisé pour la rchrch d anticorps contr ds composants virals. gglutination ntigèn Elisa Immunofluorscnc dirct f + Conjugué (Ig couplé à un fluorscéin) qui s fix sur ls antigèns U.V. f IV Détction d antigèns IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 18
14 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 2.4. Détction d acids nucléiqus Il st possibl d détctr l DN ou l RN viral par hybridation. L princip à la bas d ctt tchniqu st tout simplmnt clui d la complémntarité ds doubls brins! Si l on soumt ls acids nucléiqus à un tmpératur élvé (94 C), ls brins s dissocint. Si lors du rfroidissmnt, un sond complémntair à un ds brins st présnt, ll s apparira alors au brin cibl. Ls sonds sont généralmnt marqués à l aid d marquurs radioactifs ou d un molécul comm la digoxigénin, facilmnt idntifiabl. ppliqué à la détction d l RN, on va parlr d «Northrn blot», t d «Southrn blot» lorsqu il s agit d détction d DN. Ctt tchniqu st utilisé pour la détction d crtains virus n anatomopathologi. Ell st d moins n moins utilisé dans l domain du diagnostic pur, mais consrv tout son intérêt pour l étud du fonctionnmnt viral au sin d la cllul. IV Thrmocyclur Mais dpuis un vingtain d annés, d nouvlls tchniqus ont véritablmnt révolutionné l domain du diagnostic. La réaction d polymérisation n chaîn («polymras chain raction» ou PCR) prmt d copir un séqunc nucléotidiqu connu un très grand nombr d fois c qui n facilit la détction, à l aid d amorcs spécifiqus t d un apparil applé thrmocyclur. 5' 3' 5' 3' C C T T C C C C T T C C C C T C C T C C C C T T C C C C T C C T Taq Polymras 3' 5' 5' Ct apparil st capabl d répétr rapidmnt un séri d cycls d chauff t d rfroidissmnts. L xcllnt connaissanc ds génoms viraux a facilité c dévloppmnt tchnologiqu. Dans l cas ds virus à RN, on réalisra d abord un transcription invrs (rvrs transcription) à l aid d un nzym applé transcriptas invrs (rvrs transcriptas), avant la réalisation d la PCR. On parlra alors d un RT-PCR. La tchniqu st maintnant largmnt utilisé n virologi t décliné n plusiurs vrsions, comm la PCR multiplx qui vis l amplification d plusiurs cibls au sin d la mêm réaction ou ncor la PCR niché (nstd PCR), qui prmt d augmntr ncor la snsibilité d la réaction n réalisant un PCR suivi d un duxièm PCR ciblant un portion intrn du prmir amplicon produit. La tchniqu PCR, si ll offr l avantag d un très grand snsibilité, n n présnt pas moins ds défauts! L prmir st la difficulté d quantifir l DN ciblé. C problèm a été contourné avc l dévloppmnt d PCR quantita- Dénaturation (95 C) 5' 3' 3' 5' Hybridation (50 C) 5' 3' 3' 5' Extnsion (72 C) 5' 3' 3' 5' IV Princip d la PCR IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 19
15 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus tivs La quantification d la fluorscnc associé à un sond Taqman ou à un agnt colorant comm l SYR grn prmt d quantifir l DN ciblé dans la réaction, n suivant l élaboration ds produits d amplification au fur t à msur d la réaction, sans dvoir ouvrir l tub réactionnl : il s agit d un PCR quantitativ n tmps rél. 5' 3' 3' 5' Un duxièm problèm rncontré avc ctt tchnologi st sa très grand snsibilité : un simpl contamination d l échantillon à tstr put conduir à ds faux positifs. Ctt limitation impliqu la mis n plac d msurs stricts par l laboratoir d manièr à limitr au maximum cs risqus. Par aillurs ls produits d amplification, fort richs n amplicons, sont un sourc important d contamination, si on n sépar pas clairmnt ls zons d préparation ds zons d amplification dans l laboratoir. C risqu n xist par n cas d PCR n tmps rél où l tub d amplification rst frmé. Troisièm problèm : ls virus ont un génom xtrêmmnt variabl. Lorsqu la séqunc nucléotidiqu rchrché n st plus xactmnt idntiqu à cll ciblé par la PCR, cla put ntraînr ds résultats faussmnt négatifs. Plusiurs solutions tchniqus minimisnt c problèm : choix judiciux ds amorcs dans un zon très stabl du génom, utilisation d amorcs dégénérés, c.à.d. où à un mêm position plusiurs nucléotids sont possibls. La PCR t ls tchniqus d hybridation prmttnt d quantifir ls acids nucléiqus viraux, t donc ls virus uxmêms! On parl alors d charg viral. Ell st souvnt détrminé par PCR ou RT-PCR. L étud d la charg viral prmt d suivr avc précision l dévloppmnt d un infction, d proposr ds indications d traitmnt t d n suivr ls ffts. Par xmpl, la charg viral st actullmnt souvnt utilisé comm outil d suivi dans ls infctions par l virus d l hépatit, d l hépatit C, d l immunodéficinc acquis (VIH ou HIV) ou l cytomégalovirus. D la mêm manièr, on chrch à quantifir ls virus pathogèns ds végétaux au sin d culturs d protoplasts, pour comprndr lur fonctionnmnt au sin d la cllul végétal. IV Cycls succssifs 5' 3' 3' 5' IV Xièm cycl IV diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 20
16 IV. Diagnostic viral 4. Tchniqus diagnostiqus 3. Caractérisation du virus 3.1. Classification précis du virus Lors du diagnostic d un infction viral, on put s arrêtr à la morphologi général, tll qu obsrvé par microscopi élctroniqu (x. : capsid icosaédriqu sans nvlopp d nm), à la famill viral (x. : Picornavirida ou Hrpsvirida), à la sous-famill (x. : α-hrpsvirina) ou à l spèc (x. : virus d l hépatit C). Divrss raisons puvnt poussr à idntifir l virus d façon plus précis t il xist différnts classifications pour distingur à l intériur ds spècs virals : Sérotyps : ils s distingunt l un d l autr par lurs antigèns, qu on put distingur à l aid d anticorps spécifiqus, d où l nom d sérotyp. Cs sérotyps sont parfois rgroupés dans ds sérogroups.(x. : ls ntérovirus sont classiqumnt rconnus comm sérotyps, comm par xmpl cho 30) énotyps : ils s distingunt l un d l autr par la similitud d lur séqunc nucléotidiqu. Nous avons vu sous «variation génétiqu» qu ls virus s modifint continullmnt. Il st ainsi possibl d ls séparr d après ds rgroupmnts phylogénétiqus. Cs génotyps puvnt avoir un importanc capital dans la pathologi (x. : Ls papillomavirus puvnt appartnir à ds génotyps différnts, parmi lsquls ont put distingur ds typs bénins t malins. Cs drnirs (surtout génotyps 16 t 18) sont associés par xmpl au cancr du col d l utérus) ou dans l traitmnt (x. : ls infctions par ls génotyps 2 t 3 du virus d l hépatit C répondnt miux t plus rapidmnt au traitmnt qu ls infctions par l génotyp 1). Elctrophérotyps : ctt distinction st typiqumnt utilisé pour ls rotavirus. C sont ds virus contnant un génom RN sgmnté n 11 sgmnts. En faisant migrr l RN viral par élctrophorès, on obtint un patron d bands rprésntant ls différnts sgmnts. On obsrvra un différnc dès qu l poids t la charg ds sgmnts diffèrnt. C tst fut fort utilisé jusqu il y a qulqus annés pour suivr la dissémination ds virus dans la population. ctullmnt, on fait plus souvnt appl à l analys phylogénétiqu. Pathotyps : pour ls virus ds végétaux t ds animaux non-humains, l spctr d hôt, la capacité à infctr un plant particulièr ou ncor l xprssion d un phénotyp particulir lors d l infction sont ds critèrs d distinction facils t intérssants. On parl alors d pathotyps. L analys phylogénétiqu ds séquncs nucléotidiqus ds virus prmt d construir ds arbrs dont ls branchs rlint ls séquncs ls plus similairs. Cs analyss prmttnt d rtracr l origin commun d crtains virus, 4. Tchniqus diagnostiqus 21
17 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus c qui st particulièrmnt util quand on rchrch ds chaîns d transmission, par xmpl à l intériur d un institution d soins d santé Résistanc aux antiviraux L introduction d médicamnts antiviraux a ntraîné l adaptation ds virus avc l apparition d résistancs aux produits antiviraux. Cas particulir ds virus d plants s Pour n savoir + [ nalys phénotypiqu : Par ctt analys, on rchrchra la résistanc d un virus s répliquant in vitro pour un médicamnt donné. On put travaillr avc un virus isolé à partir du patint t qu on a propagé n cultur cllulair. On put aussi amplifir la région du génom viral qui cod la cibl du médicamnt (par xmpl, la transcriptas invrs du virus du SID) t l insérr dans un virus d référnc dont on tst nsuit la snsibilité à la molécul antiviral. Ls dux tchniqus présntnt ds avantags t ds inconvénints, mais l inconvénint majur ds dux st qu c sont ds tchniqus longus t laboriuss. nalys génotypiqu : La région d intérêt du génom viral st amplifié t séquncé. On déduit alors, d ctt séqunc nucléotidiqu, la séqunc n acids aminés d la protéin codé par ctt région. Un crtain nombr d mutations clés sont connus qui confèrnt un résistanc au virus. Souvnt, ls mutations sont multipls t il st nécssair d utilisr ds algorithms plus ou moins compliqués t régulièrmnt mis à jour pour intrprétr c qu on voit. (Qulqus sits d mis à jour d algorithms : l NRS français ; Stanford databas t Rga : ) caus d l xistnc du phénomèn d quasi-spèc t la possibilité d un différnc ntr l virus produit (t donc détcté) t l virus latnt, l génotypag a ss limits. Un précaution important st d ffctur c gnr d analys pndant l traitmnt par c médicamnt. insi la population viral xaminé st composé d virus soumis à la prssion sélctiv du traitmnt. 4. Tchniqus diagnostiqus 22
18 IV. Diagnostic viral > 4. Tchniqus diagnostiqus 3.3. Charg viral Ls virus causant un virémi puvnt êtr quantifiés dans l sérum ou l plasma afin d suivr l fficacité d un traitmnt. On appll la concntration viral, la charg viral. Différnts tchniqus ont été proposés pour quantifir l virus du SID, l virus d l hépatit t l virus d l hépatit C. ctullmnt, c st surtout la PCR n tmps rél qui st utilisé. Il xist ds systèms automatisés prmttant d tstr d grands nombrs d échantillons. Ls résultats puvnt êtr xprimés n copis/ml ou n UI/ml, lorsqu l dosag s fait par rapport à un standard intrnational. Ls variations d 0,3 à 0,5 log10 sont généralmnt considérés comm significativs. u nivau d la plant, ds tchniqus similairs sont utilisés pour l dosag ds virus au départ d l RN ou d l DN viral, via un xtrait total ds acids nucléiqus d un échantillon d plant. Il st ainsi capital d connaîtr la charg viral pour pouvoir comparr différnts génotyps d plants quant à lur résistanc à l infction viral. D autrs tchniqus, comm la détction par hybridation in situ ou détction immunologiqu, prmttnt d localisr l infction viral t d miux connaîtr sa distribution. 4. Tchniqus diagnostiqus 23
Initiation à la virologie Chapitre IV : Diagnostic viral
Initiation à la virologi Chapitr IV : Diagnostic viral [www.virologi-uclouvain.b] Objctifs du modul Nous disposons d outils d laboratoir nous prmttant d détctr ls infctions virals t lurs ffts. Lorsqu on
Plus en détailCSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013
Enrichissmnt modal du Slctiv Mass Scaling Sylvain GAVOILLE 1 * CSMA 2013 11 Colloqu National n Calcul ds Structurs 13-17 Mai 2013 1 ESI, sylvain.gavoill@si-group.com * Autur corrspondant Résumé En raison
Plus en détailMAISON DE LA RATP 54, quai de la Râpée -189, rue de Bercy - 75012 Paris. M Gare de Lyon. M Gare de Lyon
i d r c r m 3 1 0 2 r 9 octob s i a n n o c u? t è b a i d mon MISON D L RP 54, quai d la Râpé -189, ru d Brcy - 75012 Paris M Gar d Lyon È B I D L R U S N N O I C S L M R O D O F N I L D D N URdNlaÉRapé
Plus en détailExemple de Plan d Assurance Qualité Projet PAQP simplifié
Exmpl d Plan d Assuranc Qualité Projt PAQP simplifié Vrsion : 1.0 Etat : Prmièr vrsion Rédigé par : Rsponsabl Qualité (RQ) Dat d drnièr mis à jour : 14 mars 2003 Diffusion : Equip Tchniqu, maîtris d œuvr,
Plus en détail7. Droit fiscal. Calendrier 2014. 7.1 Actualité fiscale 7.2 Contrôle et contentieux fiscal 7.3 Détermination du résultat fiscal.
7. Droit fiscal 7.1 Actualité fiscal 7.2 Contrôl t contntiux fiscal 7.3 Détrmination du résultat fiscal 7.4 Facturation : appréhndr ls règls juridiqus t fiscals, t maîtrisr l formalism 7.5 Gstion fiscal
Plus en détailTVA et Systèmes d Information. Retour d expérience d entreprise. A3F - 26 mars 2015 Hélène Percie du Sert COFELY INEO
isr la t l t t zon iqur nt TVA t Systèms d Information Rtour d xpérinc d ntrpris A3F - 26 mars 2015 Hélèn Prci du Srt COFELY INEO Pour Sup Ins À p NB. M 30/03/2015 Sommair isr la t l t t zon iqur nt I
Plus en détailMatériau pour greffe MIS Corporation. Al Rights Reserved.
Matériau pour grff MIS Corporation. All Rights Rsrvd. : nal édicaux, ISO 9001 : 2008 atio itifs m rn pos méd int i dis c a u x 9 positifs 3/42 té ls s dis /CE ur r l E. po ou u x U SA t s t appr o p a
Plus en détailLes nouvelles orientations politiques du budget 2015 du Gouvernement prévoient
GO NEWSLETTER N 1/2015 19 janvir 2015 L «Spurpaak» du Gouvrnmnt t ss réprcussions sur la formation ACTUALITÉ L «Spurpaak» du Gouvrnmnt t ss réprcussions sur la formation Allianc pour la qualification profssionnll
Plus en détailLe guide du parraina
AGREMENT DU g L guid du parraina nsillr co t r g ra u co n r, Partag rs ls mini-ntrprnu alsac.ntrprndr-pour-apprndr.fr Crér nsmbl Ls 7 étaps d création d la Mini Entrpris-EPA La Mini Entrpris-EPA st un
Plus en détailA. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX. (Adresse civique) 3. Veuillez remplir l'annexe relative aux Sociétés en commandites assurées à la partie E.
Chubb du Canada Compagni d Assuranc Montréal Toronto Oakvill Calgary Vancouvr PROPOSITION POLICE POUR DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES Protction d l Actif Capital d Risqu A. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 1. a. Nom
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailLes ressources du PC
Modul 2 Ls rssourcs du PC Duré : 2h (1 séanc d 2h) Ctt séanc d dux hurs suit l ordr du référntil d compétncs du portfolio rattaché à c modul (v. portfolio du modul 2). Votr ordinatur PC st un machin composé
Plus en détailProgramme GénieArts Î.-P.-É. 2009-2010. GénieArts
Programm GéniArts Î.-P.-É. 2009-2010 GéniArts Allum l nthousiasm ds juns à l égard d l acquisition ds matièrs d bas par l truchmnt ds arts. Inspir la collaboration ntr ls artists, ls nsignants, ls écols
Plus en détailSommaire G-apps : Smart fun for your smartphone!
Sommair G-apps : Smart fun for your smartphon! Sommair Présntation G-apps Pourquoi choisir G-apps Sctorisation t sgmntation d marchés Votr accompagnmnt clints d A à Z ou à la cart Fonctionnalités G-apps
Plus en détailf n (x) = x n e x. T k
EXERCICE 3 (7 points) Commun à tous ls candidats Pour tout ntir naturl n supériur ou égal à, on désign par f n la fonction défini sur R par : f n (x) = x n x. On not C n sa courb rprésntativ dans un rpèr
Plus en détailProduits à base de cellules souches de pomme
Soins Visag Produits à bas d clluls souchs d pomm NEW! Profssionnal & Rtail Shakr Mask pl-off Shakr Mask cristally (wash-off) Srum Crèm A Full Srvic : Formulation R&D Manufacturing Packaging Soin Visag
Plus en détailBloc 1 : La stabilité, une question d équilibre
Bloc 1 : La stabilité, un qustion d équilibr Duré : 3 hurs Princips scintifiqus Ls princips scintifiqus s adrssnt aux nsignants t aux nsignants. Structur Un structur st un form qui résist aux forcs qui,
Plus en détailFlorence Jusot, Myriam Khlat, Thierry Rochereau, Catherine Sermet*
Santé t protction social 7 Un mauvais santé augmnt fortmnt ls risqus d prt d mploi Flonc Jusot, Myriam Khlat, Thirry Rochau, Cathrin Srmt* Un actif ayant un mploi a baucoup plus d risqus d dvnir inactif
Plus en détailLes maisons de santé pluridisciplinaires en Haute-Normandie
Ls maisons d santé pluridisciplinairs n Haut-Normandi tiq Guid pra u EDITO Dans 10 ans, l déficit d médcins sra réllmnt problématiqu si l on n y prnd pas gard. D nombrux généralists quinquagénairs n trouvront
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailVu la loi n 17-99 portant code des assurances prom ulguée par le dahir n 1-02-238 du 25 rejeb 1423 (3 octobre 2002), telle qu'elle a été complétée ;
Arrêté du ministr s financs t la privatisation n 2241-04 du 14 kaada 1425 rlatif à la présntation s opérations d'assurancs (B.O. n 5292 du 17 févrir 2005). Vu la loi n 17-99 portant co s assurancs prom
Plus en détailau Point Info Famille
Qustion / Répons au Point Info Famill Dossir Vivr un séparation La séparation du coupl st un épruv souvnt longu t difficil pour la famill. C guid vous présnt ls différnts démarchs n fonction d votr situation
Plus en détailGuide de correction TD 6
Guid d corrction TD 6 JL Monin nov 2004 Choix du point d polarisation 1- On décrit un montag mttur commun à résistanc d mttur découplé, c st à dir avc un condnsatur n parallèl sur R. La condition d un
Plus en détailJournée d échanges techniques sur la continuité écologique
16 mai 2014 Journé d échangs tchniqus sur la continuité écologiqu Pris n compt d critèrs coûts-bénéfics dans ls étuds d faisabilité Gstion ds ouvrags SOLUTION OPTIMALE POUR LE MILIEU Gstion ds ouvrags
Plus en détailC est signé 11996 mars 2015 Mutuelle soumise au livre II du Code de la Mutualité - SIREN N 780 004 099 DOC 007 B-06-18/02/2015
st signé 11996 mars 2015 Mutull soumis au livr II du od d la Mutualité - SIREN N 780 004 099 DO 007 B-06-18/02/2015 Édition 2015 Madam, Monsiur, Vous vnz d crér ou d rprndr un ntrpris artisanal ou commrcial
Plus en détailJuin 2013. www.groupcorner.fr
r p d r i Do Juin 2013 www.groupcornr.fr Contact Pr : Carolin Mlin & Jan-Claud Gorgt Carolin Mlin TIKA Mdia 06 61 14 63 64 01 40 30 95 50 carolin@tikamdia.com Jan-Claud Gorgt J COM G 06 10 49 18 34 09
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 13 avril 2011
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry avril EXERCICE Commun à tous ls candidats Parti I points. L ax ds ordonnés st asymptot à C au voisinag d ; la fonction étant décroissant sur ] ; + [, la limit quand
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailMurs coupe-feu dans maisons mitoyennes à une famille
Maison A Maison B FERMACELL Murs coup-fu ans maisons mitoynns à un famill Eition suiss Murs coup-fu qui assurnt un résistanc 90 minuts ans ls maisons mitoynns à un famill construits n ois (1HG100) Murs
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailRéseau des bibliothèques du Pays de Pamiers Guide du Numérique
Réau d bibliothèqu du Pay d Pamir Guid du Numériqu Sit Intrnt du réau d lctur http://www.pamir.raubibli.fr C qu vou pouvz fair dpui notr it Intrnt : EXPLORER LE CATALOGUE : Plu d 80 000 documnt ont à votr
Plus en détailLE SURENDETTEMENT. a s s e c o. leo lagrange UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS FAMILIALES. union féminine civique et sociale
LE SURENDETTEMENT 1 lo lagrang UNION NATIONALE 2 L'ENDETTEMENT 1984 : 4 ménags sur 10 avaint ds crédits (crédit à la consommation + immobilir) 1997 : 1 ménag sur 2 a un crédit n cours 55 % ds consommaturs
Plus en détail«COMBATTRE LES BLEUS» Ce que signifie le programme social des Conservateurs pour les femmes
«COMBATTRE LES BLEUS» C qu signifi l programm social ds Consrvaturs pour ls fmms La 13 Conférnc national d la condition féminin du CTC Documnt d conférnc L hôtl Crown Plaza Ottawa L hôtl Ottawa Marriott
Plus en détailLe traitement des expulsions locatives
L traitmnt ds xpulsions locativs n io nt s til v ré p d t n am m t ai p n nd a m om r ay td m Tr C l ab i u O COMPTE RENDU DU SÉMINAIRE DU 10 SEPTEMBRE 2012 u n io at j n c sti n g ssi A c in d Au ui q
Plus en détailBase de données bibliographique. p. 30 - p. 33. valorisation économique de l'eau potable. energétique et municipales. p.13 - fédérale de.
Bas d donnés bibliographiqu alpau.org Typ d Autur Titr d Titr du Editur Anné Vol. N Dat d Paginatio résumé mots clfs mots documnt l'ouvrag/titr d périodiqu n clfs fix l'articl Jnni Robrt Qul puplmnt pour
Plus en détailAssurer les proposants donneurs de rein
Nwsttr SCOR Goba Lif Nwsttr SCOR Goba Lif Févrir Profssur Eric Thrvt, Srvic d Néphroogi, Hôpita Europén Gorgs Pompidou, Paris, Franc Pourquoi s Pays-Bas sont-is champion du mond pour nombr d donnurs vivants
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailImpôts 2012. PLUS ou moins-values
Impôt 2012 PLUS ou moin-values SUR VALEURS MOBILIÈRES ET DROITS SOCIAUX V v ti t à d f co o OP m à l Et L no di (o 20 o C c tit po Po c c or o o ou c l ou d 2 < Vou avz réalié d cion d valur mobilièr t
Plus en détailComment utiliser une banque en France. c 2014 Fabian M. Suchanek
Commnt utilisr un banqu n Franc c 2014 Fabian M. Suchank Créditr votr compt: Étrangr Commnt on mt d l argnt liquid sur son compt bancair à l étrangr : 1. rntrr dans la banqu, attndr son tour 2. donnr l
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
REUNION DU 23 NOVEMBRE 2007 DELIBERATION N CR-0705.290 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL Contrat d filièr agroalimntair régional LE CONSEIL REGIONAL LANGUEDOC-ROUSSILLON, VU l Cod général ds collctivités
Plus en détailTHÈSE. présentée à. par Nicolas Palix. DOCTEUR Spécialité: INFORMATIQUE. Langages dédiés au développement de services de communications
N o d'ordr: 3623 THÈSE présnté à L'UNIVERSITÉ BORDEAUX 1 Écol Doctoral d Mathématiqus t Informatiqu par Nicolas Palix pour obtnir l grad d DOCTEUR Spécialité: INFORMATIQUE Langags dédiés au dévloppmnt
Plus en détailDéveloppement de site web dynaùique Dot.NET
Dévloppmnt d sit wb dynaùiqu DotNET Voici qulqus xmpls d sits wb administrabl Cs sits Wb sont dévloppé n ASPNET sur un Bas d donné SQL 2005 C typ d dévloppmnt wb convint parfaitmnt a un boutiqu n lign,
Plus en détailLa lettre du Bureau Asie-Pacifique
La lttr du Burau Asi-Pacifiqu AGENCE UNIVERSITAIRE DE LA FRANCOPHONIE ISSN 1606-0318 Dans c numéro : o N 13 - davril µ Juin 2002 L'Agnc univrsitair d la Francophoni fêt son 40 annivrsair à Phnom-Pnh, Cambodg
Plus en détailLa transformation et la mutation des immeubles de bureaux
La transformation t la mutation ds immubls d buraux Colloqu du 14 févrir 2013 L group d travail sur la transformation ds immubls d buraux a été lancé n novmbr 2011 à la dmand du consil d administration
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE POUR UNE LOCATION
DOSSIER DE CANDIDATURE POUR UNE LOCATION Ls informations donnés nécssairs pour traitr votr candidatur rstront confidntills. Un dossir incomplt n put êtr xaminé. C dossir d candidatur rst soumis à l approbation
Plus en détailSommaire. qui sommes-nous. Nos grandes realisations. 4 Madagascar 5 Nous vivons nos valeurs 6 Telma en bref 8 La Gouvernance
Chr Clint, Chr Partnair, Ctt anné, un fois d plus, grâc à votr confianc t à l implication d nos équips, l Group Tlma a réalisé un anné 2011 avc ds prformancs opérationnlls solids t un activité commrcial
Plus en détailFocus. Les placements éthiques : entre défis et opportunités. Patrick Barisan. Sintesi a cura di Luisa Crisigiovanni
Ls placmnts éthiqus : ntr défis t opportunités Patrick Barisan Sintsi a cura di Luisa Crisigiovanni L invstimnto socialmnt rsponsabil è un invstimnto ch tin conto sia di imprativi finanziari sia tici,
Plus en détailDécouverte Sociale et Patrimoniale
Découvrt Social t Patrimonial M :... Mm :... Dat :... Origin du contact :... Sommair 1. Vous 3 Votr famill 3 Votr situation matrimonial 4 Votr régim matrimonial 4 Libéralités 4 2. Votr actif 5 Vos garantis
Plus en détailDemande de retraite de réversion
Nous somms là pour vous aidr Dmand d rtrait d révrsion Ctt notic a été réalisé pour vous aidr à complétr vos dmand t déclaration d rssourcs. Pour nous contactr : Vous désirz ds informations complémntairs,
Plus en détailCommune de Villars-sur-Glâne Plan directeur du stationnement Bases
Commun d Villars-sur-Glân Plan dirctur du stationnmnt Bass [04 011 3.5 octobr 04] Commun d Villars-sur-Glân Plan dirctur du stationnmnt Bass Sommair Bass légals 3 Objctifs t prcips généraux 4 Invntair
Plus en détailDEMANDE DE GARANTIE FINANCIÈRE ET PACK RCP
DEMANDE DE GARANTIE FINANCIÈRE ET PACK RCP ADMINISTRATEURS DE BIENS ET AGENTS IMMOBILIERS Compagni Europénn d Garantis t Cautions 128 ru La Boéti 75378 Paris Cdx 08 - Tél. : +33 1 44 43 87 87 Société anonym
Plus en détailDevenez ingénieur en Génie Informatique et Statistique par la voie de l apprentissage
Dvnz ingéniur n Géni Informatiqu t Statistiqu par la voi d l apprntissag > Formation d ingéniur d 3 ans par altrnanc habilité par la Commission ds Titrs d Ingéniur (CTI) Rntré 2015 www.polytch-lill.fr
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailLe Songe d une nuit d été
La Compagni «Fracas d Art» présnt L Song d un nuit d été d après William Shakspar Mis n scèn Carlo Boso Masqus S. Procco di Mduna www.fracasdart.com r «t ils savn nt a h c, r s r, dan u o j, r tout fai
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailJ adopte le geste naturel
J adopt l t naturl Franchi Crédit Conil d Franc Mod opératoir naturl t l J adopt Préambul Rjoindr Crédit Conil d Franc, c t rjoindr un cntain d homm t d fmm qui partant lur xpérinc dpui plu d 10 an ; un
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailÉvaluation de performance et optimisation de réseaux IP/MPLS/DiffServ
AlgoTl 2003 (dpt-info.labri.fr/algotl03) Banyuls-sur-mr, 12-14 mai 2003 Exposé invité, mardi 13 mai, 9h-10h Évaluation d prformanc t optimisation d résaux IP/MPLS/DiffSrv par Fabric CHAUVET Jan-Mari GARCIA
Plus en détailresponsabilité Analyse des décisions civiles, pénales et avis CCI des anesthésistes, obstétriciens et chirurgiens concernant supplément au N o 52
supplément au N o 52 décmbr 2013 / volum 13 rsponsabilité rvu d Formation sur l risqu médical décisions d justic 2011 Analys ds décisions civils, pénals t CCI concrnant ds ansthésists, obstétricins t chirurgins
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailLundi 7 mars 2011. Trier et réduire ses déchets
Lundi 7 mars 2011 Trir t réduir ss déchts Nouvaux Ecopoints pour trir ss déchts Quatr Ecopoints sont installés aujourd hui à l UniNE t un harmonisation ds poublls pour tous ls bâtimnts a été réalisé (voir
Plus en détailLes odeurs. é ens M. d e. sur. / janvier-février 2010. Informations sur la Qualité de l Air en Picardie
n 73 / janvir-févrir 21 Informations sur la Qualité d l Air n Picardi Ls odurs n u ' d c la p n Mis sur v i t c a f l o l l vil o p o r t é ns M Ami Pags 4 à 9 : rtrouvz ls chiffrs d la qualité d l air
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailCENTRE FRANCO-ONTARIEN DE RESSOURCES PÉDAGOGIQUES
Éditions Éditions Bon d command 015-0 un pu, baucoup, à la foli! Format numériqu n vnt au www. 006-009, Éditions CFORP, activités AVEC DROITS DE REPRODUCTION. 08:8 Pag 1-1 r un pu, baucoup, a la foli!
Plus en détailSubventions Diverses 2009
Dirction Tchniqu Nom du portur Titr du Objctifs du Rattachmnt au programm d financmnts 09-036 SOS Hépatits Projt 1: Forum National (19 t 20 nov 09) Projt 2 : Sit Intrnt Projt 1: Obj. Généraux: Rdonnr confianc
Plus en détailTitrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés?
Titrgs cidobsiqus d mélngs contnnt un spèc fort t un spèc fibl : succssifs ou simultnés? Introduction. L'étud d titrgs cidobsiqus d mélngs d dux ou plusiurs cids (ou bss) st un xrcic cournt [-]. Ls solutions
Plus en détailGarantie des Accidents de la Vie - Protection Juridique des Risques liés à Internet
Résrvé à votr intrlocutur AXA Portfuill : CR012764 N Clint : 1 r réalisatur : Matricul : 2 réalisatur : Matricul : Intégr@l Garanti ds Accidnts d la Vi - Protction ds Risqus liés à Intrnt J complèt ms
Plus en détailSystèmes à événements discrets : de la simulation à l'analyse temporelle de la décision en agriculture
1 Systèms à événmnts discrts : d la simulation à l'analys tmporll d la décision n agricultur livir Naud 1, Tu Tuitt 1, Brtrand Légr 1,2, Arnaud Hélias 3 t Rodolph Giroudau 4 1 UMR ITAP, Cmagrf-Supagro,
Plus en détailaltona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany
altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com
Plus en détailHector Guimard et le fer : inventivité et économie
L'Art nouvau t la frronnri Hctor Guimard t l fr : invntivité t économi Comm tous ls grands créaturs du mouvmnt Art nouvau, Hctor Guimard a été confronté à la disciplin d la frronnri. Aucun architct d qualité
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailREPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI)
REPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI) FACULTE DES SCIENCES FONDAMENTALES ET APPLIQUEES DEPARTEMENT DE BIOTECHNOLOGIE APPORT DE LA
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailELISA PeliClass human IgG subclass kit REF M1551
Sanquin Reagents Plesmanlaan 5 0 CX Amsterdam The Netherlands Phone: +.0.5.599 Fax: +.0.5.570 Email: reagents@sanquin.nl Website: www.sanquinreagents.com M55/ November 007 ELISA PeliClass human IgG subclass
Plus en détailPAR. été 2014. Les Affaires Plus
s, nag un é m t st ds cs é étai n l i n na rb la c Pou r ls fi Et si amill. f gér -têt r sa ntr r s ifi cas onsidé ptit E sign c d m un nd PM ants. f a com? Qu an, n RD pris, mam SA ES a L p TE pa ET CH
Plus en détailAgricoles LES BONNES RÉSOLUTIONS DU MODEF DES LANDES. le 15 janvier. sommaire. édito. Aides aux fourrages (CG 40) et aide MSA : Dossiers à déposer
sommair Actualités agricols...p. 2 Ls Informations Agricols Vndrdi 10 2014 - HEBDO - 66 Anné - N 2779 - Prix : 1,54 Commission paritair n 0414 T 82968 - ISSN : 1149-3321 Aids aux fourrags (CG 40) t aid
Plus en détaile x o s CORRIGÉ 07-01 ... Chapitre 7. La conduite du diagnostic 1. Bilan fonctionnel par grandes masses Bilan fonctionnel de la société Bastin
................................................... Chapitr 7. La cnduit du diagntic CORRIGÉ 07-01 1. Bilan fnctinnl par grand ma Bilan fnctinnl d la ciété Batin Empli tabl 3 900 Rurc prpr 3 870 Actif
Plus en détailR 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.
0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailBénévole pour quoi? N 20 - Sommaire. N 20 - Déc 08. v d s. f www.e-volontaires.org/rennes. 315 bénévoles désormais, et on s'arrête là pour l'instant.
N 20 - Déc 08 v l'af d s o f ls in Touts jour sur miss A Rnns www.-volontairs.org/rnns Bénévol pour quoi? 315 bénévols désormais, t on s'arrêt là pour l'instant. On s'arrêt car vous êts un bonn soixantain
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailUNE AVENTVRE DE AGILE & CMMI POTION MAGIQUE OU GRAND FOSSÉ? AGILE TOVLOVSE 2011 I.VI VERSION
UN AVNTVR D AGIL & CMMI POTION MAGIQU OU GRAND FOÉ? AGIL TOVLOV 2011 VRION I.VI @YAINZ AKARIA HT T P: / / W WW.MA RTVIW.F HT T P: / / W R WW.KIND OFMAG K.COM OT @ PAB L OP R N W.FR MARTVI. W W W / :/ P
Plus en détailLe mandat de Chercheur qualifié du F.R.S.-FNRS
L mandat d Chrchur qualifié du F.R.S.-FNRS 18 Févrir 2014 L règlmnt rlatif à c mandat st disponibl dans son intégralité sur notr sit wb www.frs-fnrs.b Tabl ds matièrs 1. Dispositions réglmntairs, financièrs
Plus en détailprogramme 27 28 29 mars 2015 VENEZ DÉCOUVRIR LES SAVOIR-FAIRE DES ARTISANS D ART À GENÈVE Genève, ville d art www.ville-geneve.
27 28 29 mars 2015 VENEZ DÉCOUVRIR LES SAVOIR-FAIRE DES ARTISANS D ART À GENÈVE Partnair média Partnair principal Gnèv, vill d art programm www.vill-gnv.ch/jma 1 AVANT-PROPOS LES JOURNÉES DES MÉTIERS D
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailpapcardone@papcardone.com CASIO D 20 Mémoire du grand total CASIO ECO Affichage 8, 10 ou 12 chiffres Tous les calculs de bases Calcul de taxes
iv r a is o n assu L Li cardon Calculatrics d burau v ra i s o n a ss u CASIO D 20 M02690 M02672 M02667 CASIO DM 1200 (12 chiffrs) CASIO DM 1400 (14 chiffrs) CASIO DM 1600 (16 chiffrs) M02689 CASIO D 20
Plus en détailBrucella. B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length
Brucella B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length Projet BBSRC-ZELS: contrôle multisectoriel de la brucellose dans les principales
Plus en détailCLOUD TROTTER La Vache Noire Sud - 203 rue Oscar Roulet - 84440 Robion - Tél. : 04 90 76 56 27-06 80 050 050 - www.lavachenoiresud.
Cloud Trottr La Vach Noir Sud - 203 ru Oscar Roult - 84440 Robion - Tél. : 04 90 76 56 27-06 80 050 050 - www.lavachnoirsud.com Cloud Trottr Cloud Trottr Prnz d la hautur! ds carts d caractèr pour donnr
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailBOULOGNE (92) TRIANGLE ENTRE VERDURE ET BOUCLE DE SEINE INVESTISSEMENT EN NUE-PROPRIÉTÉ IMMOBILIER NEUF
INVESTISSEMENT EN NUE-PROPRIÉTÉ IMMOBILIER NEUF BOULOGNE (92) ENTRE VERDURE ET BOUCLE DE SEINE TRIANGLE APPARTEMENTS DU STUDIO AU 5 PIÈCES DANS UN QUARTIER EN PLEIN RENOUVEAU PERL INVESTISSEZ AUTREMENT!
Plus en détail