Opinions des médecins du travail sur la prévention des cancers professionnels

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1 C A N C E R L lettre de vloristion de l ORS PACA - SE4S (UMR 912 Inserm-IRD- Université Aix-Mrseille) N R e g r d S n t é e s t l l e t t r e d e v l o r i s t i o n d e s t r v u x d e r e c h e r c h e c o m m u n s d e l O R S P A C A e t d e S E 4 S ( U M R I n s e r m - I R D - U n i v e r s i t é A i x - M r s e i l l e ) C O N T E X T E & P E R S P E C T I V E S Plus d un médecin du trvil (MdT) sur deux considère l prévention des risques de cncers professionnels comme prioritire. Mis les MdT ne jugent ps toujours les ctions d évlution et de prévention de ces risques stisfisntes en rison de nombreux freins. Pr exemple, les MdT rpportent que les fiches individuelles ne sont ps rélisées systémtiquement ni toujours fibles et que, fréquemment, les employeurs et les slriés sous-estiment les risques cncérogènes. Les MdT déclrent ussi qu ils ne sont ps toujours informés pr les employeurs lorsque des trvilleurs intérimires ou sous-tritnts sont ffectés à des trvux exposnt à des cncérogènes dns l ou les entreprises qu ils suivent. Ils signlent ussi des difficultés à fire substituer les gents cncérogènes pr des gents non cncérogènes. Enfin, l mjorité des MdT déclre mnquer de temps et se trouver en surchrge de trvil lors que 75 % d entre eux voudrient conscrer plus de temps à leurs ctions en milieu de trvil. Ces résultts lertent sur les difficultés rencontrées pr les médecins du trvil sur l prévention de ce risque professionnel. Ils souhitent un renforcement de l sensibilistion des employeurs et slriés ux risques cncérogènes et un meilleur soutien de leurs ctions dns ce domine dns les entreprises. Opinions des médecins du trvil sur l prévention des cncers professionnels Les cncers représentent l première cuse de mortlité devnt les mldies crdiovsculires. Environ 5 % d entre eux serient d origine professionnelle, c est-à-dire l conséquence de l exposition d un trvilleur à un risque physique, chimique ou biologique (Mrtin-Moreno 2008). L prévention des cncers d origine professionnelle est inscrite comme une priorité dns plusieurs plns ntionux de snté, notmment le Pln Snté u Trvil ( ) et le Pln Ntionl Snté Environnement. Les médecins du trvil (MdT), dont le rôle, exclusivement préventif, consiste à éviter toute ltértion de l snté des trvilleurs du fit de leur trvil (Article L du Code du Trvil), ont un rôle essentiel à jouer dns l prévention des expositions ux cncérogènes en milieu de trvil. Ils le font notmment pr les études de postes de trvil, l surveillnce médicle des trvilleurs pendnt leur ctivité professionnelle et les conseils à l employeur sur tous les spects reltifs ux conditions du trvil. Une enquête été rélisée pr l Observtoire régionl de l snté PACA et l UMR 912 de l INSERM lors du premier trimestre 2009 uprès des MdT de l région PACA fin d étudier leurs opinions vis-à-vis de l évlution et de l prévention des cncers professionnels et de décrire certines de leur prtiques dns ce domine. Une mjorité de MdT considère l prévention des cncers professionnels comme une priorité Cinqunte-qutre pour cent des MdT considèrent l prévention des cncers professionnels comme une priorité --59 % dns les services de snté u trvil (SST) interentreprises-- derrière les troubles musculosquelettiques (69 %) et devnt les risques psychosociux (53 %, tbleu 1). Quel que soit le SST, 56 % des MdT considèrent que les risques cncérogènes concernent dvntge les petites et moyennes entreprises que les grndes. Dix-sept pour cent des MdT considèrent que leur secteur est plus à risque que ceux de leurs confrères (Tbleu 1). Le profil de ces MdT est le suivnt : ils suivent plus souvent un nombre élevé de slriés en surveillnce médicle renforcée (cf. encdré 1) que leurs confrères ; ils considèrent plus fréquemment que les cncers professionnels sont une priorité dns leur secteur ; ils déclrent plus souvent mnquer de moyens concernnt les ctions de prévention.

2 Fiche de données de sécurité Fiche individuelle Attesttion de non-contre-indiction à l exposition à des gents cncérogènes, mutgènes, reprotoxiques Fiche d entreprise Surveillnce médicle renforcée Obligtoire pour tout gent chimique dngereux : le fbricnt ou le distributeur fournit des renseignements nécessires à l prévention et à l sécurité lors de l utilistion d une substnce ou d une préprtion pouvnt présenter des dngers (rticle R du code du trvil). Rédigée pr l employeur et devnt être mise à jour nnuellement et communiquée u slrié et u médecin du trvil, cette fiche permet d identifier les slriés de l entreprise exposés à des produits cncérogènes. Elle comprend l nture du/des produit(s) utilisé(s), l nture du trvil effectué et l période à ce produit. Un trvilleur ne peut être ffecté à des trvux l'exposnt à un gent cncérogène, mutgène ou toxique pour l reproduction que s'il fit l'objet d'un exmen prélble pr le médecin du trvil et si l fiche d'ptitude tteste qu'il ne présente ps de contre-indiction médicle à ces trvux. L'exmen médicl prtiqué comprend un exmen clinique générl et, selon l nture de l'exposition, un ou plusieurs exmens spécilisés complémentires uxquels le médecin du trvil procède ou fit procéder. Etblie sous l responsbilité du MdT, elle consigne les risques professionnels et les effectifs de slriés qui y sont exposés, doit être trnsmise à l employeur et présentée, qund il existe, u Comité d'hygiène de sécurité et des conditions de trvil. Elle concerne des slriés exposés à des produits CMR, à certins produits toxiques, ou ffectés à certins trvux ou à certines conditions de trvil (rticle L du code du trvil) insi que des slriés plus vulnérbles ux risques professionnels (en rison, pr exemple, d une grossesse, d un hndicp). Cette surveillnce donne droit à une visite périodique médicle nnuelle uprès de l médecine du trvil. Attesttion Encdré 1. L évlution des risques pr les employeurs : un processus ps toujours stisfisnt selon les MdT L évlution des risques est un processus d évlution de tous les dngers et risques pour l sécurité et l snté des trvilleurs qui doit être mis en œuvre sous l responsbilité de l employeur. Elle comporte plusieurs étpes : l identifiction des dngers, l évlution des risques et leur hiérrchistion à trvers l étude des conditions et les mesures de prévention mises en plce. Dns l présente étude, seuls 30 % des MdT interrogés considèrent que l évlution des risques est rélisée souvent/toujours de fçon stisfisnte (88 % dns les SST utonomes, p<0,01, tbleu 2). Les spects les moins bien évlués, selon les MdT interrogés, sont l fréquence, l durée et les niveux. Un MdT sur deux se sent efficce dns les ctions de prévention vis-à-vis des gents cncérogènes L prévention des cncers professionnels est unnimement reconnue pr les MdT comme fisnt prtie de leur rôle. Un MdT sur deux déclre se sentir efficce concernnt ses ctions de prévention en milieu de trvil vis-à-vis des gents cncérogènes (72 % dns les services utonomes, p=0,05). Mis seuls 27 % des MdT considèrent voir une mrge de mnœuvre stisfisnte dns leurs ctions de prévention (21 % dns les SST interentreprises et ceux de l Mutulité socile gricole, 41 % dns les SST hospitliers et de l fonction publique hospitlière et 56 % dns les SST utonomes, p<0,001). Le profil des médecins se sentnt efficces est le suivnt : pr rpport à leurs confrères ne se sentnt ps ou peu efficces, ils considèrent plus souvent les risques cncérogènes prioritires ; ils déclrent plus souvent voir ccès u document unique et disposer d une bonne évlution des risques et sont plus fréquemment stisfits de leur mrge de mnœuvre. Elle est remplie pr l'employeur et le médecin du trvil et remise u trvilleur à son déprt de l'étblissement, quel qu'en soit le motif. Elle permet de conserver l mémoire des expositions et l prise en chrge finncière pr l sécurité socile du suivi post-professionnel, pour tout slrié ynt été exposé à des cncérogènes. Tbleu 1. Opinions des médecins du trvil sur les priorités de prévention et les risques cncérogènes, selon leur service de snté u trvil (SST) Type de SST Totl Degré de priorité de prévention des mldies suivntes dns votre secteur? b Troubles musculosquelettiques Cncers professionnels Risques psychosociux Fible / Moyen 28,3 24,6 62,5 30,6** Importnt 71,7 75,4 37,5 69,4 Fible / Moyen 41,3 67,2 50,0 46,2** Importnt 58,7 32,8 50,0 53,8 Fible / Moyen 49,7 37,7 43,8 47,2 Importnt 50,3 62,3 56,2 52,8 Pr rpport à celui des utres secteurs, votre secteur d ctivité est-il? Plus à risque 18,5 4,9 31,2 17,4** Moins à risque 48,3 55,7 37,5 48,6 Risque similire 29,0 31,2 9,4 27,7 Ne sit ps 4,2 8,2 21,9 6,3 Inter : interentreprises ; : Mutulité socile gricole ; Hospi : fonction publique hospitlière ; : fonction publique territorile ; : service utonome. b Réponses sur une échelle de 0 à 6 (0=non prioritire, 6=extrêmement prioritire) ; recodge des réponses en «importnt» (5 ou 6) et «fible, moyen» (réponse 4). ** p<0,01.

3 Tbleu 2. Opinions des médecins du trvil sur l évlution des risques liés ux produits cncérogènes dns les entreprises, selon leur service de snté u trvil (SST) Type de SST Totl Dns l/les entreprises que vous suivez L évlution des risques cncérogènes est rélisée de fçon stisfisnte : Jmis 32,9 24,6 6,3 29,3** 47,2 31,1 6,3 41,2 Lorsque l évlution du risque cncérogène est rélisée, les spects suivnts sont-ils nlysés : Les types de postes concernés Les niveux (fréquence, durée, quntité ) Les mesures de protection effectivement mises en plce 19,9 44,3 87,4 29,5 Jmis 19,3 10,2 3,2 16,4** 27,4 16,9 3,2 23,6 53,3 72,9 93,6 60,0 Jmis 33,0 13,8 9,4 27,7** 37,0 37,9 15,6 35,3 30,0 48,3 75,0 37,0 Jmis 11,9 6,8 3,2 10,3** 28,9 22,0 0,0 25,3 59,2 71,2 96,8 64,4 Inter : interentreprises ; : Mutulité socile gricole ; Hospi : fonction publique hospitlière ; : fonction publique territorile ; : service utonome. ** p<0,01 Autres difficultés perçues pr les MdT dns les ctions de prévention des risques cncérogènes dns les entreprises Un tiers des MdT interrogés déclre que les fiches de données de sécurité (cf. encdré 1) sont difficiles à obtenir des employeurs : ces derniers n en disposent ps toujours dns les petites et moyennes entreprises et le MdT doit lors les demnder u fbricnt. Trente-six pour cent des MdT ont déclré que les slriés sont peu sensibilisés à l étiquetge des produits (Tbleu 3). Plus de 8 MdT sur dix déclrent qu il est difficile d obtenir les fiches individuelles (cf. encdré 1) uprès des employeurs et près d un sur deux qu elles ne sont ps concordntes vec l rélité des expositions (Tbleu 3). Concernnt les ctions de substitution des produits cncérogènes, plusieurs difficultés dns leur mise en œuvre sont déclrées pr les MdT (Tbleu 3) : pr ordre décroissnt, une sous-estimtion des risques pr les employeurs, les hbitudes d utilistion des produits et le coût finncier de l substitution. Toutes les difficultés précédentes sont citées plus souvent pr les MdT des SST interentreprises et de l que pr ceux des utres services. Enfin, 69 % des MdT ont déclré mnquer de temps et 50 % mnquer de moyens pour les ctions de prévention vis-à-vis des cncérogènes en milieu de trvil ; les pourcentges correspondnts pour les SST utonomes sont significtivement plus fibles (Tbleu 3). Des réticences des MdT vis-à-vis de l délivrnce de l ttesttion de non contre-indiction ux trvux mettnt en œuvre des gents cncérogènes, mutgènes, reprotoxiques Les MdT sont mjoritirement réticents vis-à-vis de l ttesttion de non contre-indiction ux trvux exposnt à des gents CMR (cf. encdré 1) : 77 % considèrent qu il est gênnt d engger s responsbilité sur ce document et 85 % que rédiger cette ttesttion revient à donner une utoristion implicite à exposer des slriés à des produits cncérogènes. Ce dernier pourcentge étit significtivement plus élevé chez les MdT des SST interentreprises et de l (87 %, p = 0,02) que chez les MdT des utres services. D illeurs, fce à un cs fictif de slrié présenté lors de l enquête (vu en visite d embuche, sns ntécédent médicl, mené à trviller sur un poste exposé à des goudrons de houille), seuls 33 % des MdT ont déclré qu ils rédigerient l ttesttion de non contre-indiction à l seule fin de permettre u slrié d ccéder à l emploi. Tbleu 3. Opinions des médecins du trvil sur les freins vis-à-vis de l évlution et de l prévention des risques dns les entreprises, selon leur service de snté u trvil (SST) Type de SST Freins à l identifiction des risques (% gêne importnte) b Totl Fiches de données de sécurité : Difficiles à obtenir de l employeur 34,3 42,6 12,5 33,8* Ne sont ps fibles 17,1 13,1 6,3 15,6 Slriés peu sensibilisés à l étiquetge des produits cncérogènes A propos de l fiche individuelle, pensez-vous qu elle est : Systémtiquement rélisée Concordnte vec l rélité des expositions Difficile à obtenir de l prt des employeurs 40,6 31,1 9,4 36,4** Ps d ccord 89,5 70,2 32,3 81,6** D ccord 10,5 29,8 67,7 18,4 Ps d ccord 52,6 41,5 23,3 48,2** D ccord 47,4 58,5 76,7 51,8 Ps d ccord 10,8 17,9 50,0 15,1** D ccord 89,2 82,1 50,0 84,9 Freins à l substitution des produits cncérogènes lorsqu elle est possible (% d ccord) Coût finncier 58,4 44,3 34,4 54,1** Hbitude d utilistion 71,3 62,3 34,4 66,8** Sous-estimtion du risque 76,6 67,2 15,6 69,9** Concernnt vos ctions de prévention en milieu de trvil vis-à-vis des cncérogènes (% d ccord) : Vous mnquez de temps 71,3 70,5 50,0 69,4 Vous mnquez de moyens 53,8 50,8 18,8 50,4** Inter : interentreprises ; : Mutulité socile gricole ; Hospi : fonction publique hospitlière ; : fonction publique territorile ; : service utonome. b Réponses sur une échelle de 0 à 6 (0=ucune gêne, 6=gêne très importnte) ; gêne importnte : réponses 5 ou 6 * p<0,05 ; ** p<0,01.

4 Trçbilité des expositions des slriés à des cncérogènes En ce qui concerne les documents qui doivent être complétés pr l employeur --même si le MdT peut jouer un rôle de conseil--, 44 % des MdT ont déclré utiliser souvent/toujours les fiches individuelles (cf. encdré 1) (77 % dns les services utonomes, tbleu 4). En dehors de celles-ci, 81 % des MdT ont déclré s ppuyer sur les études de poste de trvil qu ils effectuent pour connître les expositions ux cncérogènes. Les trois qurts des médecins ont ussi déclré vouloir conscrer plus de temps ux ctions sur le terrin. Pour ces deux derniers résultts, les pourcentges de réponse des MdT des différents SST sont proches. Près d un MdT sur six met à jour souvent/toujours Tbleu 4. Prtiques des médecins du trvil et documents utilisés, selon le service de snté u trvil (SST) Type de SST Totl Mettez-vous à jour les fiches d entreprises que vous suivez? Voudriez-vous conscrer plus de temps ux ctions sur le terrin que vous ne le fites ctuellement? (% d ccord/ tout à fit d ccord) 36,7 70,5 28,1 41,4** 63,3 29,5 71,9 58,6 77,3 72,1 78,1 76,5 Quels outils utilisez-vous pour suivre les expositions ux cncérogènes d un individu u cours de s crrière? Attesttions Dossier médicl professionnel Fiches individuelles 78,8 78,9 36,7 75,3** 21,2 21,1 63,3 24,7 7,8 5,2 9,7 7,5 92,2 94,8 90,3 92,5 59,9 53,6 22,6 55,8** 40,1 46,4 77,4 44,2 En dehors des fiches individuelles, comment vez-vous connissnce des expositions ux cncérogènes? Pr les slriés eux-mêmes Pr l employeur (ou représentnt), orlement Pr les études de postes que vous rélisez 59,4 37,7 65,6 56,5** 40,6 62,3 34,4 43,5 81,5 80,3 75,0 80,7 18,5 19,7 25,0 19,3 18,2 19,7 25,0 19,0 81,8 80,3 75,0 81,0 Inter : interentreprises ; : Mutulité socile gricole ; Hospi : fonction publique hospitlière ; : fonction publique territorile ; : service utonome. ** p<0,01. Tbleu 5. Opinions des médecins du trvil concernnt les slriés sous-tritnts et intérimires, selon leur service de snté u trvil (SST) Type de SST D près vous, sur le pln du risque cncérogène, les slriés suivnts sont-ils régulièrement suivis pr l MdT : Les slriés sous-tritnts Les slriés intérimires Lors des visites de surveillnce médicle renforcée u titre du risque cncérogène, voyez-vous les intérimires? Etes-vous informé pr l employeur lorsqu il fit ppel à des soustritnts ou à des intérimires pour des trvux impliqunt des gents cncérogènes Totl 45,4 34,4 25,0 42,0** 27,3 8,2 43,8 25,6 NSP/NR/NC b 27,3 57,4 31,2 32,4 48,6 34,4 18,7 43,8** 26,9 13,1 59,4 27,4 NSP/NR/NC 24,5 52,5 21,9 28,8 67,5 57,4 28,1 62,5** 12,2 14,7 56,3 16,4 NSP/NR/NC 20,3 27,9 15,6 21,1 77,6 72,1 28,1 72,6** 8,1 4,9 56,3 11,6 NSP/NR/NC 14,3 23,0 15,6 15,8 Inter : interentreprises ; : Mutulité socile gricole ; Hospi : fonction publique hospitlière ; : fonction publique territorile ; : service utonome. ** p<0,01. b NSP : ne se prononce ps - NR : non réponse - NC : non concerné les fiches d entreprise (cf. encdré 1). Qutre-vingt-treize pour cent des MdT déclrent utiliser souvent/toujours le dossier médicl professionnel pour grder l trce des expositions ux cncérogènes signlées pr les slriés lors des exmens médicux. Vingt-cinq pour cent déclrent utiliser une ttesttion concernnt les entreprises précédentes (63 % dns les SST utonomes). Surveillnce des slriés sous-tritnts ou intérimires Seulement un qurt environ des MdT considère que les slriés sous-tritnts ou intérimires sont suivis souvent/toujours u motif de l exposition u risque cncérogène (respectivement 44 % et 59 % dns les services utonomes, tbleu 5). Seuls 12 % déclrent être souvent/ toujours informés pr l employeur lorsque celui-ci fit ppel à des trvilleurs sous-tritnts ou intérimires pour des trvux impliqunt une exposition à des gents cncérogènes. Mis ce pourcentge est significtivement plus élevé dns les services utonomes (Tbleu 5).

5 Cette étude suggère un certin nombre de fcteurs freinnt les ctions de prévention des cncers professionnels. Concernnt l prticiption du MdT à ces ctions de prévention, ces difficultés peuvent être clssées selon deux ctégories : des fcteurs externes liés à l environnement dns lequel le MdT évolue et des fcteurs ttitudinux liés à l fçon dont les MdT peuvent régir ux fcteurs externes. Fcteurs externes Les résultts de cette enquête soulignent tout d bord l difficulté d une bonne évlution pr les employeurs de l exposition ux cncérogènes. Ceci se reflète notmment dns l rélistion des fiches individuelles. Ce constt rejoint les résultts de plusieurs enquêtes de l Direction Générle du Trvil rélisées en Frnce uprès d échntillons d entreprises montrnt que l mise en œuvre et l prise en compte du document unique d évlution des risques dns les entreprises ne sont ps optimles (Lrcher 2007, Coutrot 2007). Les résultts de notre étude suggèrent ussi une méconnissnce pr les slriés des risques liés ux produits qu ils utilisent. Cette méconnissnce pourrit être liée à leur insuffisnte sensibilistion et formtion mis ussi prfois à des ttitudes de déni. Les résultts de diverses études (Lrcher 2007, Coutrot 2007) indiquent que l ensemble de ces difficultés est plus mrqué dns les petites et moyennes entreprises que dns les grndes. Deux MdT sur trois évoquent pr illeurs une mrge de mnœuvre insuffisnte dns leurs ctions de prévention. Cette proportion étit encore plus élevée (80 %) dns les services interentreprises. Cette mrge de mnœuvre limitée est liée, pour une prt, à une chrge de trvil importnte et u mnque de temps pour effectuer les tâches imposées pr l réglementtion, prticulièrement dns les services interentreprises. Ceci peut obliger les MdT à des rbitrges de temps entre les visites d entreprises et l surveillnce médicle des trvilleurs. Fcteurs ttitudinux Le sentiment d efficcité renvoie à l «croynce des individus en leur cpcité à orgniser et exécuter les ctions requises pour tteindre des objectifs précis» ou «mobiliser les ressources nécessires pour mîtriser certines situtions et y réussir». Le fit qu une prtie des MdT ne se sente ps efficce dns leurs ctivités de prévention des risques cncérogènes résulte vrisemblblement des exigences et obligtions qui pèsent sur eux lors que des fcteurs freinnt leur ction s ccumulent, notmment l bsence d obligtion des employeurs de suivre leurs recommndtions. Cette sitution pourrit limenter un sentiment plus lrge de dévloristion, comme cel été souligné dns un rticle récent (Slmn 2008). Les MdT disposent pourtnt de moyens d ction : ils peuvent en effet lerter les employeurs, les slriés et s ppuyer sur des représentnts du personnel et, qund il existe, le Comité d hygiène, de sécurité et des conditions de trvil. Chez les MdT des services utonomes, le sentiment d efficcité étit mjoritire. Ceci pourrit être lié à une meilleure intégrtion de ces médecins dns leur entreprise. Cette intégrtion pourrit fciliter le dilogue vec les employés, l direction et les prtenires sociux, sous réserve que chcun reste vigilnt u mintien de l indépendnce des MdT. Enfin, les résultts de cette étude concernnt l opinion des MdT vis-àvis de l ttesttion de non contre-indiction ux CMR confirme le mlise des MdT fce à ce document. En effet, ce document plce les MdT devnt un dilemme éthique : ne ps rédiger l ttesttion moindrit les chnces d un trvilleur d ccéder à un trvil lors que l rédiger fit porter u MdT l responsbilité d une exposition potentielle du slrié à des gents CMR. L ensemble de ces résultts lerte sur les difficultés uxquelles les MdT sont confrontés vis-à-vis de l prévention des risques cncérogènes : mnque de temps et surchrge de trvil pouvnt fire obstcle à l rélistion des ctions en milieu de trvil et à une meilleure qulité de l consulttion médicle ; déficit de rélistion et de trnsmission ux MdT des éléments de l évlution des risques dns les entreprises ; insuffisnce de mise en oeuvre des outils permettnt l trçbilité des expositions notmment pour les slriés de l sous-tritnce et l intérim ; prise en compte non systémtique des préconistions des MdT pr les employeurs. Ces difficultés sont plus ou moins mrquées selon le contexte d exercice des MdT. Ces résultts doivent être replcés dns le contexte ctuel du projet de l réorgnistion de l MdT. Ils ppellent une réflexion sur des ctions plus fortes uprès des employeurs et des slriés pour une meilleure prise en compte des risques cncérogènes dns les entreprises, les dministrtions et chez les exploitnts gricoles et sur un renforcement de l médecine du trvil, en termes d orgnistion, de formtion et de soutien dns s prtique. Il fudrit notmment : infléchir l évolution de l démogrphie des MdT, rendre plus ttrctive l profession de MdT, notmment dès le cursus des études médicles ; renforcer les équipes de snté u trvil en développnt l pluridisciplinrité ; fvoriser l synergie entre les MdT, les prtenires sociux et les instnces de contrôle et de prévention (à l instr des ctions prtenriles menées dns certins territoires) ; mintenir un colloque singulier régulier entre les MdT et chque slrié ; mieux orgniser l surveillnce en snté trvil des slriés de l sous-tritnce et de intérim, quels que soient les régimes ; hrmoniser et stndrdiser les outils de trçbilité des expositions (ceux de l employeur et le dossier médicl du slrié) ; développer et mettre à disposition des MdT des recommndtions de bonnes prtiques fin de les soutenir dns leurs ctions en milieu de trvil ; systémtiser l formlistion des préconistions des MdT destinées ux employeurs, créer une obligtion pour ces derniers de donner une suite à ces préconistions et se doter des moyens de le vérifier ; poursuivre et développer les ctions de soutien ux petites et moyennes entreprises pour l mise en œuvre de l évlution des risques.

6 C A N C E R L lettre de vloristion de l ORS PACA - SE4S (UMR 912 Inserm-IRD- Université Aix-Mrseille) R e p è r e s m é t h o d o l o g i q u e s N R e g r d S n t é e s t l l e t t r e d e v l o r i s t i o n d e s t r v u x d e r e c h e r c h e c o m m u n s d e l O R S P A C A e t d e S E 4 S ( U M R I n s e r m - I R D - U n i v e r s i t é A i x - M r s e i l l e ) R e m e r c i e m e n t s Prtenires et finnceurs Nos remerciements les plus vifs à tous les médecins du trvil qui se sont rendus disponibles pour l enquête. Cette enquête reçu le soutien finncier de l Institut Ntionl du Cncer (INC) dns le cdre de l ppel à projets 2007 «Observtion des cncers u niveu régionl». Membres du comité de pilotge S. Arnud, S. Cbut, C. Prdon, : Observtoire Régionl de l Snté Provence-Alpes-Côte d Azur, Mrseille - L. Boulon, Conseil générl 83, Toulon - D. Chrrier, Assocition interprofessionnelle de snté et médecine du trvil 13, Mrseille - B. de Lbrusse, Assocition Interentreprises pour l Snté u Trvil, Avignon - M. Gutier et C. Kltwsser : Direction régionle du trvil, de l emploi et de l formtion professionnelle, Provence-Alpes-Côte d Azur - MP. Lehucher-Michel et C Lebreton, Consulttion de Pthologie Professionnelle, EA 3279, CHU Timone, Mrseille - M. Souville, Université Aix Mrseille, Lbortoire de psychologie socile EA 849, UFR de psychologie et sciences de l éduction, Aix-en-Provence - P. Verger, INSERM, U912 (SE4S), Mrseille - A. Viu, Grnd Conseil de l mutulité des Bouches du Rhône, Mrseille RegrdSnté est l lettre de vloristion des trvux publiés dns des revues scientifiques, menés en commun dns le cdre du prtenrit de En région PACA, 559 médecins du trvil exercent, dont 406 en service de snté u trvil (SST) interentreprises, 53 dns l fonction publique territorile, 47 en SST utonome, 33 en SST hospitliers et 20 dns un SST dépendnt de l Mutulité socile gricole. Des enquêteurs professionnels les ont tous contctés pour leur proposer un interview téléphonique, ssisté pr ordinteur (CATI). Le questionnire stndrdisé été développé sur l bse d une enquête qulittive prélble rélisée uprès de 20 MdT puis testé ensuite uprès de 10 nouveux MdT pour vérifier s durée, s clrté et son cceptbilité. Il couvrit les crctéristiques sociodémogrphiques et professionnelles des prticipnts, leurs prtiques, perceptions et opinions sur les freins à l prévention des cncers professionnels. Prmi les 523/559 MdT joints, 71 n étient ps éligibles (mldie, retrite, déméngement ). Prmi les 452 MdT éligibles joints, 379 (83,8 %) questionnires exploitbles ont été recueillis. Les vribles qulittives ont été comprées pr des tests de Chi-2 et les vribles quntittives pr des ANOVA (test de Fisher). Pour comprer les réponses des MdT selon leur SST, ils ont été regroupés selon trois ctégories: 1) SST interentreprises et de l, 2) les SST utonomes 3) les SST hospitliers et de l fonction publique territorile. Les fcteurs ssociés à certines vribles ont été étudiés pr des régressions logistiques multiples (nlyses toutes choses égles pr illeurs). Au totl, 73,4 % des prticipnts étient des femmes ; l âge moyen étit 53,2 ns et l durée moyenne d expérience 18,8 ns. Cette enquête reçu l ccord de l CNIL n , le 17 septembre P o u r e n s v o i r p l u s Coutrot T. Plus que trois étblissements sur qutre déclrent évluer les risques professionnels. Premières Synthèses, DARES Lrcher G. Biln des cmpgnes de contrôle 2006 de l inspection du trvil sur les produits cncérogènes et l minte. Ministère de l emploi, de l cohésion socile et du logement, Ministère délégué à l emploi, u trvil et à l insertion professionnelle des jeunes, Mrtin-Moreno JM, Soerjomtrm I, Mgnusson G. Cncer cuses nd prevention: A condensed pprisl in Europe in Eur J Cncer 2008; 44: Slmn S. Fortune d une ctégorie : l souffrnce u trvil chez les médecins du trvil. Sociologie du trvil 2008 ; 50: recherche entre SE4S «Sciences Economiques & Sociles, Systèmes de Snté, Sociétés» (UMR 912 Inserm-IRD-Université Aix-Mrseille) dirigée pr le Pr J.P. Motti et l Observtoire régionl de l snté Provence-Alpes-Côte d Azur (ORS PACA) dirigé pr le Dr Y. Obdi. RegrdSnté N 23 - Mrs 2010 Editeur : ORSPACA - SE4S (UMR 912 Inserm-IRD-Université Aix-Mrseille) 23 rue Stnisls Torrents Mrseille Directeur de l publiction : Dr Y. OBADIA Mquette : C. JUIN - Dépôt légl : JUIN 2003 N d ISSN : Tirge : 2000 exemplires Imprimeur : Espce Imprimerie - Mrseille O b s e r v t o i r e R é g i o n l d e l S n t é P r o v e n c e - A l p e s - C ô t e d A z u r 2 3, r u e S t n i s l s T o r r e n t s M r s e i l l e. F r n c e T é l. : ( ) / F x : ( ) C o u r r i e l : c c u e i o r s p c. o r g / S i t e I n t e r n e t : w w w. s e 4 s - o r s p c. o r g

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