ANALYSE DES ÉMISSIONS DES RADIOS RURALES AFRICAINES (ARRPA)
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- Hervé Dubois
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1 ANALYSE DES ÉMISSIONS DES RADIOS RURALES AFRICAINES (ARRPA) COMPRENDRE LE CONTEXTE DANS LEQUEL SONT PRODUITES LES ÉMISSIONS DE RADIO AGRICOLES EN AFRIQUE SUB-SAHARIENNE MIS À JOUR : 5 NOVEMBRE, 2014 PHOTO: FREDERIC COURBET, BILL & MELINDA GATES FOUNDATION Ce document est un résumé des données intégrales que nous avons recueillies. Le rapport complet est disponible en anglais à : (en anglais seulement)
2 RESSOURCE SPÉCIALE 5 NOVEMBRE, 2014 INTRODUCTION En 2011, Radios Rurales Internationales (RRI) a lancé le projet d analyse des émissions des radios rurales africaines (ARRPA). L ARRPA est la première étude de ce genre à être menée. Pour les bailleurs de fonds, les spécialistes de la radio et les organismes qui souhaitent collaborer avec les stations de radio en Afrique subsaharienne, les résultats et l analyse détaillés de l ARRPA offrent un tableau complet des conditions souvent difficiles dans lesquelles les émissions de radio agricoles sont réalisées. Le tableau que dépeint l ARRPA sur les conditions de réalisation des émissions de radio agricoles, les forces des stations de radio et les problèmes qu elles rencontrent pendant la réalisation des émissions agricoles, ainsi que les attentes et les préférences des auditrices et des auditeurs agricoles, constitue une prémisse indispensable pour un futur partenariat entre les radiodiffuseurs du milieu rural en Afrique subsaharienne et les organismes qui souhaitent collaborer avec eux. La radio est largement reconnue comme le meilleur moyen de diffusion des informations agricoles aux agricultrices et aux agriculteurs d exploitations agricoles familiales en Afrique subsaharienne, même si les nouvelles technologies y sont de plus en plus utilisées. En fait, en milieu rural, la radio a connu récemment un regain d intérêt, aussi bien pour la reconnaissance généralisée de sa capacité inégalée à disséminer les informations et promouvoir un changement positif, que pour l intérêt croissant des bailleurs de fonds et des ONG internationales pour cet outil. BUTS Le projet de l ARRPA visait à approfondir les connaissances sur le contexte dans lequel sont produites les émissions de radio agricoles en Afrique subsaharienne et à recueillir des avis pour adapter davantage les services de RRI aux besoins, en vue de les rendre plus efficaces. Avant cette étude, les conditions de travail des radiodiffuseurs agricoles africains étaient très peu connues. Il existait peu de documents ou d analyse sur les méthodes de réalisation des émissions radiophoniques agricoles, et on ne savait pas si ces émissions, diffusées par les stations de radio de l Afrique subsaharienne, répondaient réellement aux besoins des auditrices et des auditeurs. Partager le savoir, donner une voix. 2 info@
3 MERCI À TOUTES LES PERSONNES QUI ONT RENDU LA RÉALISATION DE L ARRPA POSSIBLE Radios Rurales Internationales remercie toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de cette étude qui est le fruit d une réelle collaboration entre nos bureaux nationaux, les membres dévoués de notre conseil d administration, nos employés et nos bénévoles. Vous vous reconnaissez! L ARRPA a permis de combler ces lacunes. L étude a recensé un grand nombre d éléments sur la manière dont les émissions agricoles sont développées, les problèmes de ressources qu ont les stations, les préférences des auditrices et des auditeurs, la mesure dans laquelle ces émissions informent, respectent, mobilisent et divertissent les agricultrices et les agriculteurs, et tiennent compte de leurs opinions. «Avant cette étude, les conditions de travail des radiodiffuseurs agricoles africains étaient très peu connues. MÉTHODOLOGIE L ARRPA a nécessité un examen approfondi d émissions radiophoniques agricoles de 22 stations de radio dans cinq pays de l Afrique subsaharienne (Cameroun, Ghana, Kenya, Malawi et Tanzanie). Ces stations sont de types varié, y compris communautaire, public, religieux et privé. Elles représentent un ensemble de stations nanties financièrement et de stations au budget très serré. Au cours de la même période, les chercheurs ont également rendu visite aux communautés d écoute, en vue de connaître leur point de vue sur les émissions agricoles diffusées par les stations locales. Enfin, les experts en communication pour le développement ont analysé un épisode de l émission agricole principal de chaque station par rapport aux normes V.O.I.CE (VOIX) de RRI afférentes aux émissions radiophoniques agricoles (cf. ci-dessous). Ces normes insistent sur les notions de valoriser, informer, respecter et divertir les agricultrices et les agriculteurs. Entre avril et juin 2011, des chercheurs formés pour les projets (un par pays) ont effectué des visites de plusieurs jours dans ces stations pour y recueillir des renseignements détaillés sur leurs nombreuses activités et sur les capacités dont elles disposent par la réalisation d entrevues avec les responsables et les employés des stations de radio en milieu de travail. Partager le savoir, donner une voix. 3 info@
4 PRINCIPAUX RÉSULTATS Les stations offrent une variété de services aux agricultrices et aux agriculteurs Toutes les stations couvertes par l ARRPA soutiennent que les agricultrices et les agriculteurs constituent leur audience principale, qu elles utilisent les langues locales pour diffuser leurs émissions, ainsi qu un format magazine pour leur principale émission agricole. La majorité d entre elles diffusent à une heure convenable pour les agricultrices et les agriculteurs. Au-delà de leur principale émission agricole, il y a une grande différence entre les stations en ce qui a trait à certaines pratiques. La plupart de ces stations offrent chaque jour un service de nouvelles locales. Certains fournissent un bulletin d informations météorologique chaque jour, et certains publie des données sur les marchés agricoles. Près de la moitié présente des émissions sur les moyens de subsistance en milieu rural, les droits de la femme, le rôle parental et les sources de revenus. Dans la plupart des stations, une seule personne réalise et anime l émission agricole. Les groupes d animateurs et de réalisateurs sont majoritairement formés d hommes. La moitié des stations préenregistrent l intégralité de leur émission, alors que d autres préenregistrent la majorité ou toutes les entrevues. Certaines stations préenregistrent également le contenu des discussions communautaires, des feuilletons et des poèmes. Certaines stations présentent les voix des agricultrices et les agriculteurs, sous forme de discussions, ou insèrent les commentaires des auditrices et des auditeurs dans les tribunes téléphoniques. D autres adoptent les formats «conférence» dans lesquels un seul animateur ou invité «sermonnent». Les agentes et les agents de vulgarisation publics constituent les sources d information les plus citées dans les émissions agricoles, et ils sont souvent interrogés sur les ondes. Certaines stations intègrent des agriculteurs et des agricultrices dans leurs émissions, présentent des experts invités, proposent les émissions en reprise et dans une autre tranche horaire, insistent sur un seul sujet complexe par épisode, incorporent des éléments dramatiques ou de la musique et se distinguent par une bonne qualité de son. D autres n associent pas d agricultrices ou d agriculteurs, ne présentent pas d invités (ou ont des invités qui prononcent de longs monologues), ne parviennent pas à mobiliser Partager le savoir, donner une voix. 4 info@
5 Quelques stations sont convaincues qu elles servent mieux les agricultrices et les agriculteurs en leur permettant d exprimer leurs besoins et en leur donnant l occasion de discuter de questions qui leur tiennent à cœur. Cela correspond également aux préférences déclarées par les agricultrices et les agriculteurs, dont certains affirment écouter les émissions radiophoniques essentiellement pour connaître l opinion de leurs collègues. Ils croient que le meilleur apprentissage consiste à écouter d autres collègues agriculteurs. «Certains agricultrices et agriculteurs affirment écouter les émissions radiophoniques essentiellement pour connaître l opinion de leurs collègues. Ils croient que le meilleur apprentissage consiste à écouter d autres collègues agriculteurs. et divertir les auditrices et les auditeurs et offre une mauvaise qualité de son. Les stations accordent la plus grande priorité à l information dans leur émission radiophonique agricole. Lorsqu on leur demandait ce qu elles avaient fait de mieux pour servir les agricultrices et les agriculteurs, la plupart d entre elles répondaient qu elles leur fournissaient des informations agricoles. Cela correspond aux préférences des agricultrices et des agriculteurs. Quand on demandait aux agricultrices et aux agriculteurs pourquoi ils écoutaient les émissions radiophoniques agricoles, la plupart d entre eux déclaraient vouloir acquérir des informations et des connaissances auprès d experts et d autres agricultrices et agriculteurs. Dans l ensemble, il s avère que les services de RRI, dont les Ensembles de ressources, Agro Radio Hebdo et le bulletin de nouvelles Échos (cf. /) sont bien utilisés et sont utiles aux bénéficiaires. Les stations ont trouvé ces éléments d information faciles à comprendre, pratiques souvent pour des situations locales, présentées sous des formats attrayants et rédigés dans un langage clair. La majorité des stations s en inspiraient pour leurs émissions ou s en servaient comme documents de recherche pour leurs émissions personnelles, alors que d autres diffusent les matériaux de RRI après les avoir adaptés à des situations locales ou plus ou moins en l état. Partager le savoir, donner une voix. 5 info@
6 dans des conditions parfois difficiles Les résultats de l ARRPA reflètent les défis que pose la réalisation d une bonne émission radiophonique agricole en Afrique subsaharienne. Près de deux tiers des stations ont accès à Internet, même si la connexion est parfois lente ou peu fiable. Beaucoup ont un certain accès au transport pour leur travail sur le terrain, bien que ces moyens soient souvent négligeable. Par exemple : elles doivent utiliser les véhicules du personnel ou louer des motocyclettes. Presque toutes les stations soutiennent qu elles disposent de peu de matériel. Elles disposent de très peu d ordinateurs, par exemple; d aucun financement pour les téléphones cellulaire ou les déplacements sur le terrain; de peu d espace de bureaux; et de studios d enregistrement inadaptés. Les stations de radio ont identifié un nombre important de défis majeurs liés à la réalisation d émissions agricoles plus efficaces, y compris le besoin de formation pour les radiodiffuseurs; le matériel inadapté; les contraintes financières entravant la réalisation d émissions innovatrices; l absence de perfectionnement des compétences professionnelles qui permettrait de fidéliser les employés; l utilisation par les stations d une grande partie de leurs revenus pour la location des infrastructures; et les problèmes de transport sur le terrain. Cependant, ces services sont-ils efficaces? Deux sources de données doivent être prises en compte dans cette enquête : 1) la manière dont l émission agricole principale de chaque station se conforme aux normes V.O.I.C.E de RRI; et 2) les préférences déclarées des agricultrices et des agriculteurs des groupes de discussion communautaires. «Les résultats de l ARRPA reflètent les défis que pose la réalisation d une bonne émission radiophonique agricole en Afrique subsaharienne. Près de deux tiers des stations ont accès à Internet, même si la connexion est parfois lente ou peu fiable. Les normes V.O.I.C.E de RRI fixent les critères pour les émissions agricoles en ce qui a trait aux points suivants : V - Les émissions valorisent les agricultrices et les agriculteurs d exploitations agricoles familiales. Elles admirent le travail acharné qu ils font pour subvenir aux besoins alimentaires de leurs familles et approvisionner les marchés. Les réalisateurs des émissions approchent les agricultrices et les agriculteurs, en vue de comprendre leur situation, et s engagent à les soutenir dans leurs travaux agricoles et leurs efforts visant à améliorer la qualité de vie en milieu rural. Partager le savoir, donner une voix. 6 info@
7 O - Les émissions offrent aux agricultrices et aux agriculteurs une occasion de s exprimer et de se faire entendre sur toutes les questions. Les émissions visent surtout à encourager les agricultrices et les agriculteurs d exploitations agricoles familiales à identifier leurs préoccupations, à en débattre et à s organiser pour les résoudre. I - Les émissions fournissent aux agricultrices et aux agriculteurs les informations dont ils ont besoin, quand ils en ont besoin. C - Les émissions sont diffusées de façon constante et rapide, sur une base fiable et régulière, au moins chaque semaine, à un moment où les agricultrices et les agriculteurs peuvent les écouter. E - Les émissions sont divertissantes et attirent de nombreux agricultrices et agriculteurs. La diffusion d émissions radiophoniques agricoles monotones est inexcusable. RRI a développé aux fins du projet ARRPA un tableau de bord, en vue de noter les émissions agricoles par rapport aux normes V.O.I.C.E. En général, les stations trouvaient plus facile de respecter les normes V.O.I.C.E sur la valorisation des agricultrices et des agriculteurs, la communication d informations pertinentes, crédibles et d actualité, et la diffusion d émissions pratiques. Il était plus difficile pour les stations de respecter les normes visant à offrir des occasions aux agricultrices et aux agriculteurs de faire entendre leurs voix, et diffuser des émissions divertissantes pour ces derniers. Les programmes de soutien et de formation offerts aux radiodiffuseurs par RRI sont fondés sur l hypothèse selon laquelle les émissions agricoles efficaces doivent aller au-delà d une simple diffusion de bonnes informations à des heures convenables, et ce, d une manière qui valorise et respecte l audience. Pour réaliser le potentiel de la radio, afin de permettre aux auditrices et aux auditeurs de participer pleinement aux discussions sur des questions qui les touchent, les émissions doivent également être le lieu pour eux d exprimer leurs opinions. Par conséquent, si une attention particulière n est pas portée à la mobilisation et au divertissement de l audience, celui-ci va tout simplement se déconnecter. «Un des principaux résultats de l ARRPA est le déséquilibre entre la conviction que les stations ont des stratégies qui incluent les agricultrices et les agriculteurs dans les émissions et les sentiments que l auditoire a de ne pas être suffisamment impliqués. Concernant certaines mesures, les stations s en sont bien tirées. Tel que susmentionné, toutes les stations diffusent dans les langues locales et la plupart le font à des heures où les agricultrices et les agriculteurs peuvent les écouter. Toujours, en référence aux précédentes informations, certaines stations emploient convenablement les experts invités, offrent une bonne qualité audio, font passer les émissions à plusieurs Partager le savoir, donner une voix. 7 info@
8 reprises, incorporent des éléments dramatiques ou de la musique et mettent en avant les agricultrices et les agriculteurs. Toutefois, peu de stations utilisent des formats qui favorisent les discussions entre agriculteurs. Seules deux stations proposaient une tribune téléphonique ou SMS pendant la diffusion de leurs émissions. Souvent, les stations n utilisaient aucune musique locale (une préférence déclarée par les agricultrices et les agriculteurs) ou ne donnaient aucune chance à ces derniers de discuter d importants sujets. Peu de stations proposaient des préludes attrayants pour leurs émissions agricoles ou des aperçus d émissions à venir. Un des principaux résultats de l ARRPA est le déséquilibre entre la conviction que les stations ont des stratégies qui incluent les agricultrices et les agriculteurs dans les émissions et les sentiments que l auditoire a de ne pas être suffisamment impliqués. Presque toutes les stations ont déclaré qu elles offraient des formats d émission et d autres mécanismes pour intégrer les agricultrices et les agriculteurs dans les émissions, y compris les tribunes téléphoniques, les entrevues sur place, et les entrevues en studio. Douze stations ont déclaré avoir proposé des tribunes libres permanentes ou spéciales qui permettaient aux agricultrices et aux agriculteurs de soulever des questions et d en discuter. Cependant, lorsque les évaluateurs eurent écouté des épisodes particuliers de l émission agricole principale de chaque station, ils ont découvert que seules deux stations utilisaient les SMS pour les émissions, et deux autres utilisaient des tribunes libres. Même s il est possible que des temps d écoute plus longs puissent révéler d autres possibilités d implication aux agricultrices et aux agriculteurs, l absence d occasions visant à assurer la participation des auditeurs a été confirmée par les agricultrices et les agriculteurs de groupes de discussion qui ont souligné que les occasions d exprimer leurs préoccupations à la radio étaient limitées. Plusieurs auditrices et auditeurs aimeraient participer plus souvent aux émissions agricoles, et beaucoup suggèrent que leur station de radio produise des émissions hors studio. Ils souhaitent également avoir plus d informations sur le marché local, une meilleure qualité de son, des rediffusions d émissions, plus de musique locale, et que les radiodiffuseurs utilisent un langage facile à comprendre par les agriculteurs. Un certain recoupement a été fait entre la quantité de ressources dont dispose une station (matériel de bureau ou de radiodiffusion, capacité de production au studio et sur le terrain) et le niveau de mise en œuvre des normes V.O.I.C.E par la station. Même s il n y a aucune différence entre les stations qui possèdent de nombreuses ressources et celles qui en ont peu, celles qui ont le moins de ressources avaient plus de difficultés à respecter les normes V.O.I.C.E. Ainsi, un niveau minimum de ressources est nécessaire à la Partager le savoir, donner une voix. 8 info@
9 diffusion d émissions agricoles efficaces, selon lesdites normes. Toutefois, toutes les stations, dont celles qui ont peu, assez et beaucoup de ressources, produisaient aussi «bien des émissions efficaces qu inefficaces.... peu de stations utilisent des formats qui favorisent les discussions entre agriculteurs. Seules deux stations proposent une tribune téléphonique ou SMS lors de la diffusion de leurs émissions. RECOMMANDATIONS Pour réaliser des émissions agricoles plus efficaces, l ARRPA propose un certain nombre de mesures à prendre par les stations de radio, RRI, les bailleurs de fonds et d autres organismes qui désirent collaborer avec les stations de radio de l Afrique subsaharienne. POUR LES STATIONS DE RADIO À la fin des recherches entreprises pour l ARRPA, des rencontres visant à réunir les acteurs ont été organisées dans chacun des cinq pays couverts par l ARRPA. Les rapports de ces réunions ont dressé une liste de recommandations destinées à améliorer les émissions agricoles. En outre, les agricultrices et les agriculteurs des groupes de discussion ont fait suggestions pour l amélioration des émissions de leurs stations locales, y compris : l achat de matériel plus moderne; la diffusion de musique locale; la connexion Internet comme un outil gratuit que le personnel des stations utilisera; Partager le savoir, donner une voix. 9 info@
10 la prise de dispositions pour faciliter les déplacements destinés à la collecte de données sur le terrain; la participation d agricultrices, d agriculteurs, d experts et d organisations de la société civile au processus de réalisation et de diffusion; la garantie d un travail d équipe pendant la réalisation plutôt qu un seul réalisateur ou animateur; l adaptation de l information partager par les experts en format divertissants pour engagés et maintenir l intérêt de l auditoire l utilisation d un vocabulaire clair et non technique; l application de politiques visant à promouvoir une plus grande participation des femmes dans la réalisation et l animation d émissions agricoles (il était très évident que les hommes marquaient les ondes de leur forte présence); la diffusion d une plus grande quantité de données commerciales; l organisation d événements pour encourager les groupes d écoute intégrés aux groupes d entraide en place (afin que les agricultrices et les agriculteurs ne considèrent pas les groupes d écoute comme étant motivés par des facteurs externes); et l assurance que les radiodiffuseurs possèdent de bonnes qualifications et connaissances pour combler les besoins des agricultrices et des agriculteurs. De plus, RRI a produit un document intitulé «Les 75 façons d améliorer votre émission agricole», sur la base de l évaluation d émissions agricoles réalisées par les 22 stations couvertes par l ARRPA. Le document traite de nombreuses insuffisances répertoriées à travers les émissions agricoles individuelles. Pour le consulter, cliquez sur : Voici deux exemples de stratégies proposées par le document : 6. Aider les agricultrices et les agriculteurs à s exprimer en toute confiance et clairement. La majorité d entre eux n ont pas une grande connaissance des médias. Lorsque vous réalisez une entrevue, mettez-les à l aise et aidez-les à faire part de leurs renseignements et leurs opinions de façon claire. Cela encouragera plus d agricultrices et d agriculteurs à participer aux entrevues. 16. Utilisez le bon terme. L agriculture moderne utilise beaucoup de termes spécialisés. Cependant, existe-t-il des équivalents exacts pour ces termes dans la langue de vos agricultrices et vos agriculteurs? Si tel n est pas le cas, ces derniers ne comprendront pas la signification exacte des termes spécialisés et votre rubrique radiophonique pourrait perdre son essence. 75 façons d améliorer votre émission agricole : POUR RADIOS RURALES INTERNATIONALES Sur la base des résultats de l ARRPA, des recommandations ont été élaborées, en vue d améliorer les services qu offre RRI aux stations de radio africaines. Outre ces recommandations, RRI continuera à superviser et améliorer ses services pour les radiodiffuseurs, et d exploiter le riche filon des données de l ARRPA pour en tirer d autres leçons. Les recommandations ci-après sont classées sous les rubriques : formation, autres catégories de soutien et ligne conductrice. Pour consulter la liste complète des recommandations, référez-vous au rapport complet de l ARRPA disponible à : (en anglais seulement). RECOMMANDATIONS POUR LA FORMATION 1. Former tous les radiodiffuseurs africains désireux d améliorer leurs émissions agricoles. Les données de l ARRPA semblent indiquer que les services de RRI sont efficaces, bien ciblés et utilisés. Elles indiquent également que plusieurs radiodiffuseurs agricoles n utilisent pas les techniques de radiodiffusion les plus efficaces mises à leur Partager le savoir, donner une voix. 10 info@
11 disposition. Il ne s agit pas simplement d un problème de ressources. En fait, certaines des meilleures émissions agricoles ont été créées par des stations qui disposaient de maigres ressources. Le problème est que la plupart des radiodiffuseurs agricoles n ont pas reçu la formation exigée pour la maîtrise des techniques nécessaires à la réalisation de bonnes émissions agricoles. De plus, plusieurs de ces radiodiffuseurs n ont ni le soutien ni le renforcement permanents dont ils ont besoin pour rester à jour par rapport à ces techniques. RRI a développé des méthodes de formation et de soutien pouvant aider ces radiodiffuseurs. Grâce aux formations et au soutien permanents qu elle offre par le biais d autres services, RRI peut contribuer à résoudre ce problème auquel est confrontée la radiodiffusion agricole en Afrique. (En apportant un tel soutien aux radiodiffuseurs, RRI tiendra compte, entre autres, de la catégorie de station de radio (publique, communautaire, privée, religieuse), ainsi que du degré de participation réelle des femmes aux émissions.) 2. Instaurer un système visant à mettre en évidence et à partager les pratiques plus utiles (ou inutiles) pour les agricultrices et les agriculteurs. Les données de l ARRPA renferment un trésor de meilleures pratiques qui ont été répertoriées et diffusées à travers des documents comme «Les 75 façons d améliorer votre émission agricole». En tant qu organisme favorisant le l apprentissage continue, RRI doit s assurer, à travers tous ses projets, et tous ses contacts avec les stations de radios, de rassembler les meilleures et les mauvaises pratiques pour une diffusion à grande échelle et de façon systématique. 3. Élaborer un outil pour aider les radiodiffuseurs publics/nationals à offrir des émissions agricoles efficaces. La plupart des Africaines et des Africains qui suivent les émissions agricoles écoutent des émissions produites par des radiodiffuseurs publics/nationals et diffusées sur des émetteurs qui rejoignent des dizaines ou des centaines de milliers, voire des millions, d agricultrices et d agriculteurs. Bien que ces stations publiques/nationales possèdent plus de ressources que les autres, les données de l ARRPA démontrent qu elles sont confrontées à un grand nombre de ces problèmes qui les empêchent de réaliser des émissions agricoles efficaces. Considérant l importance stratégique de ces stations, RRI doit développer un outil qui leur permettra de remplir leur mission auprès des agricultrices et des agriculteurs d exploitations agricoles familiales, et travailler ensuite avec ces radiodiffuseurs pour trouver les fonds destinés à les former et à les soutenir de manière continue. RECOMMANDATIONS POUR D AUTRES TYPES DE SOUTIEN 1. Tisser un partenariat avec un ou plusieurs organismes, en vue de fournir aux stations de radio des services de prévision météorologique destinés au monde agricole. Les données de l ARRPA indiquent que six stations offrent des informations sur la météo chaque jour et 11 autres pensent introduire ce service à l avenir. En outre, les groupes de discussion couverts par l ARRPA soutiennent que les prévisions météorologiques sont l un des services supplémentaires les plus importants que les agricultrices et les agriculteurs aimeraient voir offrir par leurs stations de radio. 2. Réviser les ensembles de ressources. Puisque la majorité des émissions de l ARRPA s inspirent des textes radiophoniques de RRI ou s en servent comme documents de recherche, RRI doit réviser ses Ensembles de ressources pour inclure, en abrégé, les éléments les plus importants et les plus pertinents de la recherche portant sur des thèmes intéressants pour les agricultrices et les agriculteurs des zones rurales, afin d aider les radiodiffuseurs à créer leurs Partager le savoir, donner une voix. 11 info@
12 rubriques personnelles sur ces questions. De plus, RRI doit rédiger des guides pratiques pour les radiodiffuseurs concernant les meilleures pratiques les plus importantes répertoriées à travers l ARRPA. Un de ces guides sera un manuel qui enseignera aux radiodiffuseurs à mieux utiliser les documents de RRI (textes radiophoniques, histoires publiées dans Agro Radio Hebdo, etc.) pour produire des rubriques adaptées aux besoins des agricultrices et des agriculteurs. (Il faut souligner que RRI a récemment recruté un personnel dont la mission consiste à former les radiodiffuseurs des stations partenaires sur un meilleur emploi des articles contenus dans les Ensembles de ressources de Radios Rurales Internationales.) 3. Développer du matériel plus adapté aux régions pour Agro Radio Hebdo et les Ensembles de ressources. Cette demande faite par les stations couvertes par l ARRPA est formulée par plusieurs stations depuis des années. Maintenant que RRI dispose d un personnel supplémentaire basé en Afrique, elle pourra produire plus de ce type de matériel adapté aux besoins des utilisateurs. CONCLUSION L ARRPA prouve que les radiodiffuseurs agricoles en Afrique subsaharienne sont confrontés à certains défis, dont la quantité de ressources dont ils disposent, la manière dont ils intègrent les auditrices et les auditeurs dans leurs émissions plus fondamentalement, et leur capacité à mobiliser et divertir leur audience. L ARRPA démontre également que certains radiodiffuseurs ont fait d énormes progrès pour se rapprocher des agriculteurs et des agriculteurs, alors que d autres ont vraiment besoin d un coup de pouce pour réaliser leur potentiel. Avec un bon soutien, toutes les stations peuvent offrir des émissions divertissantes, éducatives et utiles aux agricultrices et aux agriculteurs. RRI invite les bailleurs de fonds et d autres organismes qui souhaitent collaborer avec des stations de radio rurales en Afrique subsaharienne de s engager avec elle, en vue de mettre à profit l ARRPA pour réaliser le potentiel des radios en milieu rural, afin d améliorer les conditions de vie des agricultrices et des agriculteurs d exploitations agricoles familiales en Afrique. RECOMMANDATION SUR LA LIGNE CONDUCTRICE Réaliser l ARRPA en Afrique francophone. Les données de l ARRPA, recueillies principalement auprès de stations basées dans des pays où l anglais était la langue de colonisation, fournissent des éléments d information visant à permettre aux stations de radio de proposer des émissions plus efficaces aux agricultrices et aux agriculteurs, et aider RRI à améliorer le soutien qu elle apporte aux stations de radio. Étant donné que presque la moitié des partenaires radiodiffuseurs de RRI se trouve en Afrique francophone, et que la culture de la radio en Afrique francophone diffère de celle de l Afrique anglophone, RRI devrait réaliser une ARRPA en Afrique francophone. Partager le savoir, donner une voix. 12 info@
13 Au-dessus : L équipe chargée du projet d Analyse des émissions des radios rurales africaines (ARRPA) au cours d une visite de formation de terrain près d Arusha, en Tanzanie, en À partir de la gauche : Davide Mowbray (Canada), Njuki Githethwa (Kenya), Pauline Kalumikiza (Malawi), Doug Ward (Canada), Lilian Manyuka (Tanzanie), Kwabena Agyei (Ghana), Meli Evariste-Rostand (Cameroun) et Lazarus Laiser (devant, Tanzanie). Partager le savoir, donner une voix. 13 info@
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