Présence d amiante à l école J.F. Kennedy : évaluation des risques à la santé et recommandations Avis de santé publique
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- Brigitte Bellefleur
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1 Présence d amiante à l école J.F. Kennedy : évaluation des risques à la santé et recommandations Avis de santé publique Monique Beausoleil, M.Sc., toxicologue 14 mai 2012 École J.F. Kennedy École située au 3030 rue Villeray, Montréal Commission scolaire english de Montréal Enseignement secondaire et école commerciale Environ 900 étudiants Mise en contexte En avril 2012, un employé d une firme privée chargé de changer les filtres des deux salles de ventilation (situées au 2 ème étage) a observé de la poussière blanche dans le local et en a informé la direction de l école. Des tests effectués sur un échantillon de poussières prélevées en vrac le 4 avril 2012 ont révélé la présence d amosite à 75-80% dans la poussière des salles de ventilation (résultats reçus le 10 avril) (tableau 1). L amiante était appliqué sur la presque totalité des murs et sur le plafond des deux salles de ventilation sous forme de plâtre. La fin de semaine suivante, la ventilation a été arrêtée et les voies d entrée vers les conduits de ventilation ont été scellées. Le désamiantage des salles a été fait selon les règles qui régissent les travaux en présence d amiante. Après les travaux, un scellant a été appliqué sur les surfaces de béton qui avaient été en contact avec les fibres d amiante. Des tests d air réalisés dans la zone des travaux ont confirmé que les concentrations de fibres d amiante dans l air étaient inférieures à 0,01 f/ml, ce qui constitue la limite exigée avant de démanteler un chantier de désamiantage (tableau 1). 1
2 Tableau 1. Concentrations d amiante mesurées dans le matériau isolant des salles de ventilation et dans l air de ces locaux après le désamiantage (école J.F. Kennedy) Local Concentrations d'amiante mesurées dans le matériau isolant dans l'air après le désamiantage* B % Amosite B202 ou B212 < 0,01 f/ml amosite B202 ou B212 < 0,01 f/ml amosite * Analysé en microscopie optique à contraste de phase Les deux systèmes de ventilation alimentent tous les locaux des deux sections de l école J.F. Kennedy (école secondaire et école commerciale). Les sorties d air dans ces locaux sont situées sur le rebord des fenêtres. Afin de vérifier si l amiante présente dans les salles de ventilation a pu se déplacer dans les conduits de ventilation, des échantillons de poussières ont été prélevés à l intérieur de ces conduits au début du mois de mai à l aide d une pompe à haut débit et de cassettes. Ces échantillons de poussières ont été prélevés dans la section des conduits de ventilation à partir du rebord des fenêtres. Les analyses en laboratoire, effectuées le 8 mai, ont démontré des concentrations d amosite variant de <1% à 1-5% dans les 6 échantillons de poussières. Des de chrysotile ont également été observées dans un de ces échantillons (tableau 2). Les étudiants et le personnel ont alors été retirés de l école les 10 et 11 mai. Le 10 mai, des échantillons de poussières de surface (recueillies par aspiration sur le mobilier et le plancher) et des échantillons d air ont été réalisés dans 6 classes des deux sections de l école et analysés en laboratoire. Dans 5 des 6 classes évaluées, les poussières déposées sur les surfaces (mobilier et plancher) contenaient des quantités d amiante variant de à <1% d amosite et/ou de chrysotile (tableau 2). Ces données doivent cependant être interprétées avec prudence. Les concentrations d amiante mesurées dans l air de 4 classes (sans la présence des étudiants mais avec les systèmes de ventilation en marche) étaient toutes inférieures à la limite de détection (<0,008 à <0,010 f/ml) (tableau 2). Comme les analyses ont été réalisées en microscopie optique à contraste de phase (MOCP), toutes les fibres identifiées dans les échantillons ne doivent pas être interprétées comme étant des fibres d amiante. En effet, ces résultats comportent généralement des fibres de tissus, de papier, etc. 2
3 Tableau 2. Concentrations d amiante mesurées dans les locaux de l école J.F. Kennedy Local les poussières des conduits de ventilation Concentrations d'amiante mesurées dans les poussières déposées sur le mobilier et le plancher l'air des locaux * A-107 #SA-RDC-C1 1-5 % amosite #PA-107 < 1 % amosite < 0,009 f/ml A-220 #SA-E1-C1 < 1 % amosite #PA-220 n.d. amosite A-320 #SA-E2-C1 1-5 % amosite A-322 ** #PA-322 C-119 ** #SC-RDC-C1 1-5 % amosite #PC-119 amosite chrysotile amosite chrysotile C-221 *** #SC-E1-C1 < 1 % amosite #PC-221 chrysotile C-320 #SC-E2-C1 < 1 % amosite chrysotile < 0,010 f/ml < 0,009 f/ml #PC-320 < 1 % chrysotile < 0,008 f/ml Extérieur **** n.d. : non détecté * Analysé en microscopie optique à contraste de phase ** Pas de matériau contenant des fibres d amiante suspecté dans cet espace *** Certaines tuiles de plancher (225 mm x 225 mm) pourraient contenir de l amiante (chrysotile présumé) **** Densité de 2 f/mm² sur le filtre; volume non présenté Évaluation de la situation En 1998, une vaste opération de prévention a été réalisée dans les écoles primaires et secondaires du Québec afin d assurer une gestion sécuritaire du flocage d amiante (amiante friable appliqué sur les plafonds et autres surfaces) présent dans certains bâtiments scolaires. Cette opération a permis d identifier les écoles où il y a des flocages d amiante, d évaluer l état de conservation de ces flocages et d effectuer les correctifs nécessaires. Dans les années qui ont suivi, les commissions scolaires ont également réalisé des inventaires afin d identifier la présence d autres sources d amiante friable (isolant de la tuyauterie) et non friable (tuiles, plâtres, etc.). Ces inventaires permettent de s assurer i) que ces matériaux demeurent en bon état et ii) que les travaux de réparation ou de rénovation qui doivent être réalisés au fil du temps soient exécutés de façon sécuritaire. Or, la source d amiante découverte à l école J.F. Kennedy est différente. L amiante amosite présent sur les murs et le plafond des deux salles de ventilation s est détérioré avec le temps, s est introduit dans les conduits de ventilation et s est retrouvé dans les locaux de l école. On ne connaît pas exactement les niveaux d amiante dans l air ambiant de ces locaux lorsque les occupants étaient présents et que le mouvement de leurs allers et venues a pu remettre en suspension les fibres d amiante identifiées dans les poussières de surface des locaux. 3
4 L exposition à l amiante des étudiants et du personnel des écoles, des employés d édifices publics et de la population urbaine représente un risque de cancer du poumon et de la plèvre (mésothéliome) qui est considérablement plus faible que les risques élevés observés chez certaines catégories de travailleurs (mineurs, travailleurs de la transformation de l amiante, de l industrie de la construction et de la rénovation, et de l entretien d édifices) (annexe 1). Dans le cas de l école J.F. Kennedy, quelques semaines supplémentaires seraient nécessaires afin d évaluer de façon plus précise la situation en regard de l amiante, à cause des délais exigés par certaines méthodes d analyse et pour éventuellement effectuer certains travaux de nettoyage. Or, les étudiants et le personnel ont déjà été retirés de l école depuis le 10 mai dernier. De plus, il faut considérer que c est actuellement la période de fin d année scolaire et que certains examens importants doivent être faits très prochainement et dans les meilleures conditions possibles de réussite pour les étudiants. Recommandations C est pourquoi, après discussion avec la direction de l école J.F. Kennedy et la Commission scolaire english Montréal, la Direction de santé publique de l Agence de la santé et des services sociaux de Montréal (DSP) recommande : De ne pas réintégrer les étudiants et le personnel à l école J.F. Kennedy et de les relocaliser dans un autre établissement afin de terminer l année scolaire en cours; De permettre aux étudiants et aux professeurs de venir reprendre leurs effets scolaires et personnels (environ 1 heure par groupe de chaque niveau scolaire); De poursuivre les investigations sur la présence d amiante dans l école J.F. Kennedy et d effectuer le nettoyage qui s avérera nécessaire, tout en prenant toutes les mesures de protection pour les travailleurs impliqués; La DSP et d autres intervenants de santé publique seront disponibles pour soutenir la direction d école et la CSEM dans ces interventions. La DSP tient toutefois à indiquer aux étudiants, à leurs parents et au personnel que même si on ne connaît pas exactement les niveaux d amiante dans l air ambiant de ces locaux lorsque les occupants étaient présents, les risques de développer une maladie en lien avec une exposition à l amiante sont faibles à l école J.F. Kennedy. De plus, les risques de développer ce type de maladie sont beaucoup plus faibles que le risque de décéder d un accident de bicyclette ou en jouant au football à l école, par exemple (détails présentés à l annexe 1). 4
5 Annexe 1. Risques à la santé reliés à l amiante Le risque de développer des maladies en lien avec une exposition à l amiante est considéré comme faible en ce qui concerne les étudiants et le personnel des écoles. Les populations les plus à risque sont les travailleurs des mines, les travailleurs de la transformation d amiante, les travailleurs de la construction et de la rénovation, par exemple. Les maladies associées à l exposition à l amiante en milieu de travail sont le cancer du poumon, le cancer de la plèvre (mésothéliome) et l amiantose; cette dernière maladie n est cependant observée que dans les milieux de travail. Le risque de développer un cancer du poumon ou un mésothéliome augmente avec la concentration d amiante dans l air et la durée d exposition à l amiante. La durée de latence de ces maladies est de 20 à 40 ans. Le risque de cancers a été démontré chez les travailleurs exposés à des concentrations d amiante très élevées (de 2 à 500 f/ml) et lors d expérimentations animales. A des niveaux d exposition plus faibles, le risque de cancers est beaucoup plus incertain. Dans les édifices publics où il y a présence d amiante par exemple, on utilise des modèles de risques pour estimer la probabilité de développer un cancer à partir des données observées chez les travailleurs très exposés. On considère que les populations à haut risque pour l amiante sont les travailleurs des mines, les travailleurs de la transformation d amiante, les travailleurs de la construction et de la rénovation et les travailleurs d entretien (système de chauffage). Les populations à faible risque sont les étudiants et le personnel des écoles, les employés des édifices publics et la population urbaine (voir leurs niveaux d exposition à l amiante au tableau 3). L utilisation de ces modèles permet de quantifier, de façon très approximative, les niveaux de risques de cancers estimés suite à l exposition à l amiante dans les édifices publics. Au tableau 4, on constate que les niveaux de risques de maladies reliées à l amiante estimés pour les étudiants et le personnel de l école J.F. Kennedy (en supposant que leur exposition était semblable à l exposition moyenne dans des écoles floquées endommagées) sont considérablement plus faibles que celui de travailleurs de l amiante exposés à 1 f/ml (tableau 4). Ces niveaux de risques estimés annuellement sont également plus faibles que les taux de mortalité observés dans la population et associés aux accidents de bicyclettes chez les jeunes de 10 à 14 ans et aux blessures des étudiants du secondaire au football (tableau 5). 5
6 Tableau 3. Concentrations d amiante dans l air de différents milieux Milieux Concentrations d amiante dans l'air (f/ml) Commentaires Travailleurs 2 à 500 Milieux à niveau de risques élevés 0,0031 moyenne écoles - matériaux floqués dégradés Édifices publics < 0,008 à < 0,010 école J.F. Kennedy * 0,0002 à 0,0005 écoles, résidences, autres Extérieur 0,0001 milieux urbains 0,00001 milieux ruraux * Les mesures effectuées dans l air de l école J.F. Kennedy doivent cependant être interprétées avec prudence car l analyse a été réalisée en microscopie optique à contraste de phase et les conditions d échantillonnage ne reflétaient pas les conditions habituelles de fréquentation de l école. Tableau 4. Risque de développer un cancer du poumon ou un mésothéliome durant toute la vie Exposition Concentration d amiante (f/ml) Durée d exposition Risque/ Travailleurs de l amiante 1 20 ans Personnel (écoles floquées endommagées) 0, ans 6 Étudiant (écoles floquées endommagées) 0, ans 1,7 Tableau 5. Comparaison entre les risques annuels de décès dû à une exposition à 0,0031 f/ml chez les étudiants et le personnel des écoles floquées endommagées et les taux annuels de mortalité dans la population Exposition Taux mortalité / / année Accident de bicyclette (10 14 ans) 1,5 Chez les Blessure au football (école secondaire) 1,0 étudiants : 0,02 Risque mortalité/ / année Chez le personnel : 0,08 6
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