GUIDE DES PROCÉDURES OPÉRATIONNELLES DE COLLECTE ET D ÉCHANGE DE DONNÉES OCÉANOGRAPHIQUES ade LA JCOMM

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1 Commission océanographique Organisation météoroogique intergouvernementae mondiae Manues et guides 3 GUIDE DES PROCÉDURES OPÉRATIONNELLES DE COLLECTE ET D ÉCHANGE DE DONNÉES OCÉANOGRAPHIQUES ade LA JCOMM TR~I~&ME ÉDITION RÉVISÉE 1999 UNESCO

2 Les désignations empoyées et a présentation adoptée ne sauraient être interprétées comme expression d une prise de position des Secrétariats de UNESCO et de a COI sur e statut éga ou e régime d un pays ou d un territoire queconque, non pus que sur e tracé de ses frontières. A des fins bibiographiques, e présent document doit être cité comme suit : Guide des procédures optrationnees de coecte et d échange des données océanographiques de a JCOMM Série technique de a COI no 3 (3e édition révisée) UNESCO 1999 (Origina : angais, égaement disponibe en espagno, français et russe) Pubié en 1999 Par Organisation des Nations Unies pour éducation, a science et a cuture 7, pace de Fontenoy, Paris 07 SP, France Imprimé dans es ateiers de UNESCO 0 UNESCO 1999 Imprimé en France SC-2ooo/ws/2

3 Tabeau permettant de noter es modifications reçues Modification no En date du F Insérée dans a pubication Par e

4 PREFACE Toutes es nations subissent profondément infuence des océans. Ee se manifeste de diverses manières, directes, ou indirectes, évidentes ou subties. Les pays sans ittora euxmêmes ressentent cette infuence dans a mesure où ee modifie es conditions météoroogiques et e cimat à échee mondiae et pèse sur es possibiités d accès aux produits étrangers et aux marchés éoignés. Cette infuence est, dans certains cas, bénéfique, néfaste dans d autres ; nous sommes e pus souvent oin de pouvoir a maîtriser totaement. Si nous connaissons état de océan et si nous en prévoyons, ne serait-ce que modestement, es tendances futures, nous pourrons cependant en maximiser es effets bénéfiques et nous prémunir contre es éventuaités néfastes. Le Système mondia intégré de services océaniques (SMISO) a été conçu comme un moyen de recueiir et d échanger des données océaniques sous une forme faciitant eur interprétation et eur appication à des probèmes pratiques. Ces données se présentant sous des formes diverses sont détenues par des sources diverses. I convient de es acheminer vers es centres de traitement en utiisant es codes appropriés et en appiquant es procédures requises de contrôe de a quaité. I est aors possibe d éaborer des produits qui récapituent etiou interprètent es données de manière qu ees fassent sens et soient uties. Ces produits sont aors distribués aux utiisateurs et es données sont stockées ou archivées en vue d un rempoi utérieur. Le SMISO avait été conçu pour assumer ces fonctions en coopération avec d autres institutions internationaes. Le Système mondia d observation des océans (GOOS) est un nouveau système internationa permettant de réaiser des observations océaniques et de fournir aux usagers aussi bien des données que des informations. I fixe des critères concernant e type et a fréquence de échantionnage, a fourniture en temps utie des données aux usagers et définit es impératifs de quaité de cees-ci. Le GOOS a déjà éaboré, en coopération avec e Système mondia d observation du cimat (SMOC), un premier pan d action indiquant es caractéristiques requises pour es données et eur échange, intitué : Goba Physica Ocean Observation for GOOS/GCOS: an Action Pan for Existing Bodies and Mechanisms. Le SMISO était un des organes concernés et avait un rôe important à jouer pour permettre au GOOS de fournir des données et informations et de répondre positivement aux exigences exprimées. Dans e même temps, e GOOS, e SMOC et e Programme mondia de recherche sur e cimat (PMRC) estimaient nécessaire a création d un mécanisme mixte cohérent de a COI et de I OMM pour a mise en oeuvre et a coordination internationae de océanographie opérationnee. C est pour cette raison, et pour un certain nombre d autres considérations connexes (par exempe a nécessité de disposer d un mécanisme intégraement coordonné pour répondre aux besoins en données météoroogiques marines superficiees à appui du GOOS et du SMOC ; parce que tous es usagers de a communauté marine demandent un éventai de pus en pus détaié de données et de produits de météoroogie maritime ; etc.), que es organes directeurs de a COI et de I OMM ont décidé de créer une Commission technique mixte OMM-COI d océanographie et de météoroogie maritime (JCOMM) pour rempacer actue SMISO, système mixte COI-OMM, et a Commission de 1 OMM pour a météoroogie maritime (OCMM). La JCOMM sera chargée du déveoppement des réseaux d observation ; de a mise en oeuvre des systèmes de gestion de données ; de a fourniture de produits et de services ; du renforcement de capacités des Etats membres et de assistance en matière de documentation et de gestion des données dans es systèmes internationaux. Le mandat de a

5 JCOMM engobe, entre autres, e programme d activités précédemment entrepris dans e cadre du SMISO. Dans ce cadre généra, e présent guide a pour objet d exposer es procédures généraes à suivre pour a coecte, e codage, e contrôe de a quaité et échange des données reatives à a température superficiee et subsuperficiee de océan, à a sainité et aux courants (BATHY, TESAC et TRACKOB). Un certain nombre de pays pubieront sans doute des directives particuières en compément du présent document. En tout état de cause, i convient de rappeer que a JCOMM a pour objectif généra d assurer a coecte et échange en temps vouu des données et produits océaniques. I est donc recommandé qu en toute occasion es participants au programme appiquent es procédures étabies et prennent toutes es mesures de précaution possibes. La présente édition du no 3 des Manues et guides rempace édition de 1988.

6 1. INTRODUCTION 1.1 Considérations généraes 1.2 Définition des termes 2. COLLECTE DES DONNEES TABLE DES MATIERES Page Variabes considérées 2.2 Appareis 2.3 Pates-formes 2.4 Stratégie d observation 3. CODAGE DES DONNEES 4. ACHEMINEMENT DES DONNEES 4.1 Circuation générae des données 4.2 Transmission de a pate-forme à a côte 4.3 Dispositions nationaes reatives à acheminement 4.4 Dispositions internationaes reatives à acheminement 4.5 Diffusion des données opérationnees 4.6 Dispositions reatives à acheminement non opérationne 5. VERIFICATION ET CONTROLE DE LA QUALITE 5.1 Introduction 5.2 Mesures pour améiorer a quaité des données à eur origine 5.3 Procédures de contrôe de a quaité avant introduction dans e SMT 5.4 Procédures de contrôe de a quaité des données sortant du SMT 6. SURVEILLANCE 6.1 Considérations généraes 6.2 Activités nationaes de surveiance 6.3 Echanges mensues 6.4 Surveiance périodique du SMT 6.5 Surveiance du GTSPP ANNEXES 1 Feuie de reevé suggérée II Instructions pour étabissement du message d observation BATHTY III Instructions pour étabissement du message d observation TESAC Iv Instructions pour étabissement du message d observation TRACKOB V Présentation simpifiée d un message BATHY, TESAC ou TRACKOB échangé sur e SMT VI Exempe de message BATHY échangé sur e SMT VII Procédures minimaes de contrôe de a quaité des données océanographiques de a JCOMM à transmettre par e SMT VIII Directives pour a transmission des statistiques mensuees des données océanographiques de a JCOMM Ix Liste de siges

7 Manue et guides de a COI no 3 1. INTRODUCTION 1.1 CONSIDERATIONS GENERALES 1.1. La Commission technique mixte OMM-COI d océanographie et de météoroogie maritime (JCOMM) est organisme responsabe, entre autres, de a mise en oeuvre et de a coordination internationae de océanographie opérationnee. Ee engobe ex-commission de météoroogie maritime de 1 OMM (CMM) et ex-système mondia intégré mixte COI- OMM de services océaniques (SMISO). Ce dernier servait de système océanique opérationne internationa pour : (i) a coecte et échange de données océaniques à échee mondiae ; et (ii) a préparation et a diffusion en temps utie de produits et services océaniques. L OMM et a COI travaient en coopération à a panification et à a mise en oeuvre de a JCOMM. Le fonctionnement de a JCOMM repose sur es contributions nationaes et dépend de appui sans réserve de tous es Etats membres de a COI et membres de I OMM. La diffusion en temps utie de données etiou de produits est tributaire de équipement du Système mondia de téécommunications (SMT) de a Veie météoroogique mondiae (VMM) de I OMM Le programme de coecte et d échange des données BATHY et TESAC a été ancé sous forme de projet piote e 15 janvier 1972 et est devenu peinement opérationne en juin 1975 sous e nom de programme opérationne BATHY/TESAC. I prévoit a coecte et échange à échee mondiae de données sur a température de océan, a sainité et es courants observés par des navires marchands, des navires de recherche, des Stations météoroogiques océaniques (OWS), des bouées d acquisition de données océaniques, des pates-formes au arge, des stations côtières, des aéronefs et d autres pates-formes. L expoitation des nouveaux progrès techniques permettra d améiorer a mise en oeuvre de ce programme Le déveoppement du Système mondia d observation de océan (GOOS) dépend dans une très arge mesure de infrastructure mise en pace par a JCOMM, tant pour a coecte de données que pour eur échange. Le GOOS est conçu comme un nouveau système organisé au pan internationa pour a coecte, a coordination, e contrôe de a quaité et a diffusion de nombreux types de données océanographiques et marines et produits dérivés. Le modue du GOOS reatif au cimat a pour objectif unique a fourniture des observations nécessaires à a prévision de a variabiité et des changements du cimat. C est pourquoi e GOOS fixe es modaités à respecter pour a coecte et a diffusion des données, ce à quoi répond e programme JCOMM Le présent Guide décrit es procédures à suivre pour exécuter e Programme opérationne BATHY/TESAC, qui incut a coecte et échange des données opérationnees BATHY et TESAC et, depuis e er novembre 1987, des données TRACKOB. Les instructions et es directives sont cassées sous es rubriques suivantes : Coecte des données Codage des données Acheminement des données Vérification et contrôe de a quaité Surveiance

8 Manues et guides de a COI no 3 page DEFINITION DES TERMES Un certain nombre de termes sont empoyés dans e présent Guide avec une acception propre à a JCOMM et risquent donc de provoquer une certaine confusion chez es météoroogistes, es océanographes et es informaticiens. On en trouvera ci-après a définition tirée du Gossaire du SMISO : Données opérationnees Données océanographiques datant de 30 jours au maximum. Les données opérationnees doivent être échangées par intermédiaire du SMT. Données non opérationnees Données océanographiques datant de pus de 30 jours. Les données non opérationnees ou en mode différé ne doivent pas être échangées par intermédiaire du SMT. En temps utie Déai à partir de a date de observation dans eque es données restent représentatives de état de environnement et peuvent être utiisées à des fins opérationnees. Ce déai dépend du phénomène physique considéré. Aux fins de a JCOMM, i va de un ou deux jours jusqu à 30 jours. Produit océanographique Anayse, prévision ou résumé de conditions océanographiques étabi et diffusé seon un format et dans des déais particuiers adaptés aux besoins de divers groupes d utiisateurs : services administratifs, entreprises commerciaes, universités ou groupes de particuiers. Les produits fournis par a JCOMM sous forme de services comprennent des anayses, prévisions ou résumés reatifs à des paramètres tes que es températures superficiees de a mer, es températures subsuperficiees, a profondeur de a couche mixte, a position des régions frontaes de océan, es courants, a sainité et eurs anomaies. Produit opérationne Un produit opérationne est éaboré pour parvenir à utiisateur en temps utie et est étabi réguièrement pendant pus d un an. S i est diffusé par d autres moyens que es téécommunications, on appee produit en mode différé. Messages d observation Observation codée de façon appropriée et transmise à terre. (Les messages d observation BATHY se présentent seon e code de I OMM FM 63-X Ext, es messages d observation TESAC seon e code de I OMM FM 64-IX et es messages d observation TRACKOB seon e code de I OMM FM 62-VIII Ext.) Is sont ensuite acheminés par es voies nationaes jusqu à un point d entrée du SMT où is sont réunis pour former es buetins du SMT. Buetin Un message transmis d une pate-forme à une station réceptrice côtière contient :

9 Manues et guides de a COI no 3 page 3 (i) abréviation OBS ; (ii) adresse radio d un centre météoroogique ou océanographique ; (iii) un ou pusieurs messages d observation ; (iv) toute autre information prescrite par es procédures de radiotéécommunication. 2. COLLECTE DES DONNEES 2.1 VARIABLES CONSIDEREES Les principaes variabes à observer dans e cadre de a JCOMM (océanographie) sont cees qui contribuent à a description physique de état de océan et qui peuvent être mesurées de façon réguière. C est pourquoi e Programme opérationne s occupe de a température, de a sainité et des courants. En outre, d autres variabes reatives à environnement peuvent faciiter interprétation des données. Température La connaissance de a structure thermique des couches supérieures de océan est essentiee pour comprendre e transfert de chaeur entre atmosphère et a mer et au sein de océan. Cette connaissance est égaement nécessaire pour es appications opérationnees (par exempe a pêche) et pour anayse cimatique. Sainité I est important de connaître a sainité de a mer en surface pour déterminer e mouvement des masses d eau, eur circuation et activité frontae. La structure de a sainité sous a surface ainsi que a structure de a température sous a surface permettent de cacuer es courants géostrophiques. Ces données renseignent égaement sur e comportement de a couche mixte. Courants Les courants sont e principa moyen de transfert de a chaeur d une zone du monde à une autre et constituent donc un éément décisif des études sur e cimat. La surveiance réguière des courants est égaement très intéressante à des fins pratiques tees que organisation du trafic maritime. 2.2 APPAREILS Les appareis utiisés pour mesurer a température, a sainité et es courants sont es suivants : Pour mesurer a température en fonction de a profondeur Bathythermographes mécaniques (BT) Bathythermographes argabes (XBT) Bathythermographes argabes aéroportés (AXBT) XBT argués par des sous-marins (SXBT) Chaînes de thermistances Thermomètres à renversement

10 Manues et guides de a COI no 3 page Pour mesurer a température et a sainité en fonction de a profondeur Paanquées hydroogiques Appareis de mesure de a conductivité, de a température et de a profondeur (CTP) CTP argabes (XCTP) Fotteurs PALACE (profieurs autonomes agrangiens) ou fotteurs-profieurs Pour mesurer a température de surface et/ou a sainité sur a route du navire N importe eque des appareis susmentionnés Différentes sortes d appareis fixés sous a coque d une pate-forme comme par exempe es thermosainographes Pour mesurer es courants de surface Enregistreur GEK (éectrocinétographe géomagnétique) Dispositifs acoustiques à effet Dopper Position du navire et sa dérive Bouées dérivantes Pour mesurer es courants en fonction de a profondeur Courantomètres mouiés Systèmes Dopper d étabissement du profi du courant 2.3 PLATES-FORMES Navires Les navires sont un précieux moyen pour recueiir es données océanographiques. Trois types de navires sont généraement utiisés à cette fin : (i) es navires marchands sont très importants pour a JCOMM et is sont encouragés à observer es variabes océaniques en participant au programme COI-OMM reatif aux navires occasionnes (SOOP) et au système des navires d observation bénévoes VOS de I OMM ; (ii) (iii) es navires océanographiques restent un éément primordia pour a JCOMM en raison de a poyvaente, de a fiabiité et de a précision de eurs observations et en dépit du fait que eur nombre est reativement imité et que eur coût d expoitation augmente ; es navires-stations océaniques (OSV) affectés aux stations météoroogiques océaniques (OWS) ont fourni des séries chronoogiques de mesures de variabes océanographiques d exceente quaité à des empacements fixes et is jouent un rôe important dans es opérations d étaonnage et de vérification des données fournies par sateite ou par navire.

11 Manues et guides de a COI no 3 page 5 Bouées Les bouées mouiées ou dérivantes se sont révéées uties pour a coecte de données océaniques. Les Etats membres devraient s efforcer tout particuièrement de mettre au point des systèmes automatiques fiabes capabes de produire des informations sur es variabes subsuperficies dans e miieu marin. Aéronefs Les aéronefs sont utiisés pour e mouiage d instruments tes que es bathythermographes argabes et pour enregistrement des mesures. Autres pates-formes Les stations côtières et es pates-formes au arge doivent être considé- rées comme faisant partie de a JCOMM (océanographie) puisqu ees ui fournissent des données. Les pays et/ou es entreprises commerciaes qui expoitent des pates-formes au arge sont notamment encouragés à effectuer réguièrement des mesures des variabes océaniques afin de fournir des vaeurs d étaonnage et des séries chronoogiques fiabes Les nouvees pates-formes, tes es profieurs autonomes agrangiens (Profiing Autonomous Lagrangian Circuation Exporer - PALACE), représentent une technoogie très prometteuse pour a réaisation d observations dans des régions de océan difficies d accès ou qui ne reçoivent pas réguièrement a visite d autres pates-formes. 2.4 STRATEGIE D OBSERVATION Besoins en données Les besoins en matière d observations de a JCOMM (océanographie) sont déterminés par trois échees d intérêt : (i) (ii) (iii) a pus grande de ces échees est e bassin océanique, dans eque des observations sont nécessaires pour étudier ou décrire de vastes phénomènes ou mouvements de type panétaire qui se produisent dans es bassins océaniques ; es besoins à échee régionae sont directement iés à des études pus detaiées des mouvements panétaires et à éaboration des produits correspondants. Ces besoins concernent es programmes régionaux entrepris en commun par deux Etats membres participants ou davantage ; enfin, es besoins à échee nationae ou ocae sont dictés par es impératifs scientifiques, économiques et industries de te ou te Etat. Ces besoins varient considérabement d un pays à autre et ont sans aucun doute des reations mutuees avec es deux autres catégories de besoins. Fréquence et espacement des mesures La fréquence et espacement des observations dans e cadre de a JCOMM (océanographie) doivent être adaptés aux échees physiques des phénomènes océanographiques étudiés, qui sont cassées comme suit :

12 Manues et guides de a COI no 3 pas 6 (a) Echee Echee moyenne Espacement horizonta 10à 100km (b) Grande échee. 100 à km (c) Echee panétaire > km Espacement vertica 1 à 100m 100 à m profondeur totae Espacement tempore Queques heures à une semaine Une semaine à queques mois Queques mois à queques années Ces indications correspondent au minimum d observations nécessaire à a description du processus, mais une pus grande densité et une pus grande fréquence pourront se révéer uties pour éviter e créneage. En généra, es stations fixes tees que es navires météoroogiques, es bouées mouiées, etc., doivent faire des observations au moins quatre fois par jour. I est souhaitabe que es navires mobies effectuent des mesures BATHY ou TESAC quatre fois par jour égaement ou approximativement à 100 km d intervae (à intervaes pus rapprochés s is traversent d importants systèmes de courants ou des pateaux continentaux). Les observations TRACKOB doivent évidemment être faites à intervaes pus rapprochés, par exempe toutes es heures ou toutes es deux heures. C est institution expoitante qui doit définir dans e détai es spécifications des programmes d observation. Outre a nécessité de recueiir des données océanographiques réparties sur ensembe du gobe, a répétition des observations afin de recueiir des données dans a même région au cours de cyces saisonniers ou annues est égaement très demandée. Des navires marchands peuvent par exempe réitérer des coupes e ong de eurs routes réguières. 3. CODAGE DES DONNEES 3.1 Les instructions de codage ont pour objet de permettre e formatage du message d observation en un message transmis d un navire à une station côtière. Des instructions détaiées sur a manière de rempir es feuies de reevés BATHY, TESAC et TRACKOB figurent respectivement dans es annexes II, III et IV. 3.2 I a été démontré (voir Hanawa et a., Série des documents techniques de UNESCO sur es sciences de a mer, no 67, 1994 ou Série technique de a COI, no 42, 1994) que des instruments argabes, tes es XBT, ne tombent pas dans a coonne d eau à a vitesse spécifiée par e fabricant, ce qui infue sur e cacu des profondeurs d observation. L actuee formue de codage des données BATHY en temps rée est pourvue d un groupe, IXIXIXXRXR, pour coder équation de a vitesse de chute utiisée pour rendre compte des données en temps rée. Une nouvee formue de codage TESAC sera utiisé en an 2000 pour contenir es mêmes informations pour es XCTD (sondes argabes de mesure de a conductivité, de a température et de a sainité). I est indispensabe que ces informations soient incuses dans es données en temps rée. 3.3 Pus généraement, es informations nécessaires pour créer un message BATHY, TESAC ou TRACKOB sont stockées numériquement et préparées dans e format qui convient à eur transmission par sateite vers une station terrestre. Le profi à haute résoution ou es observations superficiees qui ont une résoution temporee pus éevée sont enregistrés par ordinateur sur un support magnétique. Les données enregistrées sont souvent subdivisées pour créer es messages BATHY, TESAC ou TRACKOB qui sont ensuite envoyés à terre. Iprsque

13 Manues et guides de a COI no 3 page 7 a pate-forme revient au port, es supports magnétiques contenant es données à haute résoution doivent être envoyés au centre nationa de données océanographiques du pays (CNDO) ou à d autres organismes désireux de s occuper des données. 3.4 Pour certaines pates-formes tees que es fotteurs PALACE, es données à haute résoution sont transmises à terre par sateite, car i s agit de pates-formes argabes. Les stations de traitement des données à terre créent es messages BATHY ou TESAC à partir des profis, qu is soient ou non sous-échantionnés. 3.5 I existe deux stratégies pour sous-échantionner un profi afin de préparer des messages d observation BATHY ou TESAC. La première consiste à choisir des observations correspondant à une série de profondeurs prédéterminée, ce qui est codé dans e message d observation BATHY ou TESAC en tant que profondeurs séectionnées. La deuxième stratégie consiste à choisir des observations aux points d infexion du profi. Cette méthode représente mieux a forme du profi et est codée dans es messages d observation BATHY ou TESAC en tant que profondeurs significatives. 3.6 Même si es données du profi doivent être enregistrées numériquement, i est précieux d avoir un formuaire enregistrant es informations de base sur a mise à eau de chaque instrument. Cet enregistrement devrait comprendre des informations concernant e navire, sa ocaisation et parfois d autres observations faites simutanément. L annexe 1 montre un formuaire de reevé suggéré. Des copies de ces formuaires devraient être envoyées au centre de traitement approprié avec es données en mode différé. 4. ACHEMINEMENT DES DONNEES 4.1 CIRCULATION GENERALE DES DONNEES Les données océanographiques de a JCOMM qui ne doivent pas faire objet d un traitement utérieur (par exempe cees nécessaires pour décoder un message transmis par sateite) entrent dans e système de diffusion de deux manières : (9 sous a forme de messages opérationnes reçus par un centre océanographique nationa (NOC) ou un centre météoroogique nationa (CMN) et un centre régiona de téécommunications (CRT). Autrefois, ces données arrivaient par intermédiaire des stations radio côtières, mais i est désormais pus fréquent de es recevoir par courrier éectronique ou par ftp (protocoe de transfert de fichier) en utiisant Internet ; et (ii) sous forme de messages d observation compets ou de données brutes et de feuies de reevé, par intermédiaire d un organisme océanographique nationa, conformément aux procédures normaes d échange internationa des données et de information océanographiques (IODE) Les données qui doivent être traitées utérieurement, notamment es données fournies par des sateites environnementaux et des bouées mouiées ou dérivantes, des mouiages au fond et des fotteurs, et qui sont communiquées par sateite, sont transmises et traitées par des centres de réception des données sateitaires. Les données traitées sont ensuite introduites dans e système de deux manières :

14 Manues et guides de a COI no 3 page 8 (0 sous forme de données opérationnees par intermédiaire d un NOC ou d un CMN et par un CRT ; (ii) sous forme de données non opérationnees avec tous es renseignements compéméntaires disponibes - fournis par des enregistrements informatiques - via es centres nationaux de données océanographiques (CNDO) par intermédiaire du système d échange de données de I IODE Pour d une part, fournir es données en temps utie à usager, et d autre part permettre un archivage à ong terme, on distingue deux fux de circuation des données, comme indique a figure ci-après : (0 un fux de circuation de données opérationnees qui reève de a JCOMM. Ce fux contient en généra es informations qui ont été transmises. La série de données est utiisabe pour es activités de a JCOMM dans un déai de un à trente jours. Les procédures de contrôe de a quaité appiquées à ces données sont décrites à a section 5. La série de données opérationnees est égaement transmise aux CNDOR (JCOMM) de I?ODE qui sont chargées de eur stockage à ong terme ; et (ii) un fux de données non opérationnees qui reève de I?ODE et contient des informations détaiées concernant identification et d autres données compémentaires reatives à environnement, ainsi que des données océanographiques fondamentaes Le GTSPP (Programme sur es profis de a température et de a sainité à échee du gobe) couvre ces deux systèmes. I a été ancé afin d améiorer es résutats de (1 ex)smiso et de I?ODE en améiorant a quaité et a rapidité de transmission des données fournies aux usagers. Le GTSPP s occupe des données servant à déterminer es profis de température et de sainité, ainsi que d autres types de profis faits simutanément. Les données en temps rée (de a JCOMM) proviennent du SMT, passent par des contrôes de quaité bien étabis et des procédures de vérification pour éiminer es doubes. Les données passent aors dans une base de données gérée en continu (CMD) où es usagers ont accès à tout moment aux données es pus récentes et de a meieure quaité. A mesure que es données en mode différé arrivent au CMD, ees rempacent es données en temps rée de moindre résoution. Les données disponibes sont réguièrement transmises aux centres scientifiques qui es soumettent à des évauations de quaité pus strictes et es renvoient au CMD I existe trois centres de données participant au GTSPP. I s agit de a Scripps Institution of Oceanography à San Diego, de I Atantic Oceanographic and Meteoroogica Laboratory (Laboratoire d océanographie et de météoroogie de Atantique) à Miami et du CSIRO à Hobart. Is utiisent des ogicies personnaisés pour examiner es données et en évauer a quaité scientifique. Des indicateurs sont attribués pour justifier es raisons pour esquees certaines données sont jugées de quaité inférieure. Les données sont traitées chaque année, un maximum de données en mode différé rempaçant autant que possibe es données en temps rée. Les dossiers qui en résutent sont ensuite renvoyés au CMD pour archivage.

15 Manues et guides de a COI no 3 page 9 Figure 1 : JCOMMIIODE organigramme de circuation des données 1 Echange JCOMM ] -LT- -izi Y aeronef )LIv G m tôt? de h USAGER USAGER.. SMT Echange opérationne USAGER +- soc 7 T internationaux 1 4 I b GTSPP ::::.:::::::.:.:::::::. :::.::: :.:...: 1:::: :...:....::..... CMD 7 :. :: 1: :. 1: f Téécommunications par radio/sateite---b Echange non opérationne CMD Base de données gérée en continu La coecte et échange des données océanographiques opérationnees de a JCOMM comprennent es quatre étapes suivantes : Transmission de a pate-forme à a côte Dispositions nationaes reatives à acheminement Dispositions internationaes reatives à acheminement Diffusion des données opérationnees.

16 Manues et guides de a COI no 3 page TRANSMISSION DE LA PLATE-FORME A LA COTE Considérations généraes I s agit de a transmission des données de a pate-forme à un centre océanographique nationa (NOC) ou à un centre météoroogique nationa (CMN) via un centre de coecte côtier. Actueement, ce sont essentieement es systèmes de coecte de données par sateite qui sont chargés de cette transmission même si queques données sont encore coectées par intermédiaire du Service mobie maritime internationa. Présentation des messages radio Le message d observation consiste en une feuie de reevé codée BATHY, TESAC ou TRACKOB. Dans a pupart des cas, ces messages sont étabis par un ogicie informatique à partir des données numériques stockées. Après vérification, ces données sont transmises à des stations côtières par des services de communication par sateite. Heures et déai de transmission Les messages d observation doivent être transmis e pus rapidement possibe après e moment de observation. Toutefois, un déai de 48 heures est acceptabe en cas de difficutés pratiques. Néanmoins, afin de ne pas gêner a transmission des messages météoroogiques, i est recommandé d éviter, autant que possibe, es heures réguièrement fixées pour eur transmission, de ces derniers, à savoir : TUC TUC TUC TUC TUC TUC TUC TUC Messages communiqués avec retard De nombreux messages qui n auront pas été transmis par radio pourront être communiqués après e retour au port du navire. Les expoitants sont encouragés à expédier es données à institution nationae appropriée dans es meieurs déais possibes, pour eur introduction dans e SMT. Tant que es données datent de moins de 30 jours, on peut es insérer dans e SMT. Si ees sont pus anciennes, ees peuvent être transmises à n importe que centre de données participant au GTSPP. Le Service canadien des données sur e miieu marin, en particuier (SDMM, 12e étage, Kent Street, Ottawa, Ontario, Canada, KAOEG. Voir égaement ou emai s occupe de a composante du GTSPP en temps rée et i convient donc de ui envoyer ces données pour incusion dans es bases de données internationaes car ees seront encore très uties à diverses fins. Utiisation des capacités de téécommunication par sateite I est courant de faire appe aux dispositifs de transmission semi-automatiques ou automatiques à bord des pates-formes, notamment dans e cadre de Organisation internationae des téécommunications maritimes par sateites (INMARSAT), à bord des pates-formes embarquées sur des sateites de surveiance de environnement et au sein du Système Argos. Les procédures spécifiques de transmission des données sont déterminées par

17 Manues et guides de a COI no 3 page 11 e système utiisé. Dans tous es cas, objectif demeure de transférer es données d observation de a pate-forme au centre météoroogique nationa ou au centre océanographique nationa compétent afin qu ees soient introduites dans e SMT aussi rapidement et aussi correctement que possibe. 4.3 DISPOSITIONS NATIONALES RELATIVES A L ACHEMINEMENT I incombe au pays dans eque est située a station de coecte côtière de prendre es dispositions pour acheminement des observations océanographiques de a JCOMM. En principe, cette partie de acheminement peut être envisagée comme suit : Les messages transmis de a pate-forme à a station côtière contiennent adresse du centre météoroogique nationa (CMN) ou du centre océanographique nationa (NOC) à aquee is doivent être transmis par a station de coecte côtière. Si ces deux centres ne sont pas situés au même endroit, e centre océanographique nationa devra assurer a retransmission des messages au centre météoroogique nationa Le centre météoroogique nationa (CMN) assure généraement e rassembement des messages d observation océanographiques reçus par es centres situés dans a zone dont i a a charge et eur transmission au centre régiona de téécommunications (CRT) du SMT associé. I eur incombe égaement de es vérifier et de es corriger et de veier à ce que es procédures étabies en matière de téécommunications soient respectées. Le CMN rempit donc es fonctions de centre du SMT chargé de rassember es divers messages d observation dans des buetins. I est recommandé de produire des buetins dès qu is sont disponibes ou au minimum toutes es 12 heures. Is pourront contenir des messages d observation transmis par pusieurs navires et des observations faites à des heures différentes. Les observations BATHY, TESAC et TRACKOB devront être rassembées dans des buetins distincts Les Etats membres de I OMM responsabes de centres du SMT qui aimentent ce système en messages d observation océanographiques devront fournir au Secrétariat de 1 OMM es horaires de transmission et es groupes TTAI Azii et CCCC. 4.4 DISPOSITIONS INTERNATIONALES RELATIVES A L ACHEMINEMENT Le programme d échange des observations océanographiques de a JCOMM par intermédiaire du SMT repose sur a décision du Consei exécutif de I OMM et de a Commission des systèmes de base (CSB), seon aquee es associations régionaes de I OMM doivent prendre es dispositions vouues pour assurer échange de ces données dans eurs régions. Mais i se révèe nécessaire que ces échanges deviennent aussi interrégionaux et mondiaux, pour tenir compte des besoins croissants en matière d échange de données océanographiques Le Secrétariat de I OMM a dressé un pan pour acheminement des messages océanographiques de a JCOMM en tenant compte des besoins exprimés par es Etats membres. Ce pan a été étabi d après es principes de base suivants : (i) L échange de ces messages à échee mondiae se fait par intermédiaire du Réseau principa de téécommunications (RPT) et de ses antennes. Comme ce réseau et ses antennes sont déjà peinement opérationnes, tous es centres météoroogiques mondiaux et es centres régionaux de téécommunications qui

18 Manues et guides de a COI no 3 page 12 en font partie reçoivent et transmettent es messages conformément aux besoins exprimés. (ii) (iii) Les procédures normaisées de téécommunication de I OMM définies dans e Manue sur e Système mondia de téécommunications (OMM - no 386) s appiquent aux buetins océanographiques de a JCOMM. Le Service météoroogique nationa expoitant e CMN en tant que centre du SMT sera chargé de échange internationa des messages Seus es messages présentés conformément aux règes indiquées dans e Manue du SMT pourront être acheminés par ce système : (0 chaque message est composé d un message de début <SOH>, d un buetin et d un signa de fin de message, <EXT> ; (ii) un buetin est composé d un en-tête abrégé suivi d une série de messages d observation utiisant un seu code, séparés par un signa de séparation des messages ; (iii) es messages d observation ont déjà été définis (voir paragraphe 1.2.6). L annexe V montre comment un message océanographique de a JCOMM doit être présenté pour être échangé sur e SMT. L annexe VI donne un exempe de message et expique comment e décoder. 4.5 DIFFUSION DES DONNEES OPERATIONNELLES Le Centre météoroogique nationa, qui est à extrémité du SMT pour a réception des données transmises par e SMT, doit recevoir es messages d observation océanographiques et es faire parvenir aux centres océanographiques et météoroogiques participant à éaboration des produits. Les dispositions concernant acheminement dans cette phase doivent être prises à écheon nationa Les demandes de données océanographiques opérationnees devraient être adressées et centraisées au Service météoroogique nationa expoitant e CMN en tant que centre du SMT. Ces demandes devront ensuite être soumises au Secrétariat de I OMM, qui assurera a coordination des dispositions prises pour acheminement, en consutation avec es organismes compétents de I OMM, en vue de appication de ces dispositions par es membres intéressés. 4.6 DISPOSITIONS RELATIVES A L ACHEMINEMENT NON OPERATIONNEL L échange et archivage au niveau internationa des données océanographiques de a JCOMM en différé reèvent du Système d échange internationa des données et de information océanographiques (IODE) de a COI. Le Guide de archivage et de échange des données du SMISO (no 1 de a Série Manues et guides de a COI, UNESCO, 1974) stipue es procédures à suivre. Etant donné qu i faut communiquer es enregistrements de données originaux et es reevés, es observateurs doivent s efforcer d immatricuer correctement es enregistrements.

19 Manues et guides de a COI no 3 page Après e retour au port, es formues de reevés rempies et es enregistrements sur support magnétique sont expédiés à institution océanographique nationae chargée de recueiir ces données. Le circuit d acheminement que suivent es données avant d entrer dans e système IODE varie d un pays à autre. 5. VERIFICATION ET CONTROLE DE LA QUALITE 5.1 INTRODUCTION 5.1. L intérêt des données océanographiques de a JCOMM pour un utiisateur dépend essentieement de eur quaité. Dans ce contexte, e terme de quaité fait référence à exactitude et à a fiabiité à a fois du contenu physique d une mesure et du codage de a vaeur mesurée Pusieurs études ont révéé qu un fort pourcentage de messages contiennent encore des erreurs qui peuvent être faciement éiminées. I s agit d erreurs déceabes sans aide des données originaes au simpe examen d une série de données transmises par téécommunications. Ainsi, es erreurs minimes, tees que cees qui proviennent d un éger dérègement ou d un mauvais étaonnage de apparei, d un mauvais choix des points d infexion par observateur ou de techniques de ecture imprécises, ne sont pas prises ici en considération. Les définitions qui suivent concernant différents types d erreurs sont tirées du Gossaire du SMISO, ees seront utiisées dans e présent Guide. Erreurs dans e format des messages Ce sont es erreurs qui concernent e début d un message, es en-têtes abrégés d un buetin ou es indicateurs de fin de message. Erreurs de codage On suppose qu i y a eu erreur si e message d observation reçu n est pas conforme aux codes FM 63-VIII Ext.-BATHY, FM 64-IX Ext.-TESAC ou FM 62-VIII Ext.-TRACKOB, acceptés au niveau internationa. I peut s agir d une erreur concernant a position ou e contenu des cases ou caractères utiisés pour indiquer e type, origine et e contenu de a communication. Erreurs matériees Ce sont es erreurs qui concernent a vaeur indiquée pour une observation, c est-à-dire a date ou heure de observation, a position, a profondeur, a température, a sainité, a vitesse et a direction des courants et du vent, a température et a pression de air Des erreurs peuvent se gisser dans un message d observation à tous es stades de échange des données, c est pourquoi es procédures de contrôe de a quaité doivent être appiquées aux données océanographiques de a JCOMM aux trois stades suivants : à bord du navire ; au centre météoroogique (ou océanographique) nationa avant introduction dans e SMT ;

20 Manues et guides de a COI no 3 page 14 au centre océanographique spéciaisé (ou centre océanographique nationa) après réception en provenance du SMT. 5.2 MESURES POUR AMELIORER LA QUALITE DES DONNEES A LEUR ORIGINE Au départ, es erreurs peuvent provenir de apparei. La précision de apparei, son étaonnage et es imitations techniques, par exempe a profondeur ou a vitesse du navire, doivent être pris en considération. Voir à cet égard e Guide to oceanographic and marine meteoroogica instruments and observing practices (no 4 de a Série des Manues et guides de a COI, UNESCO, 1975) Les erreurs grossières ou minimes introduites par des facteurs tes que e mauvais fonctionnement des thermistances, a sensibiité de enregistreur ou des thermomètres non étaonnés sont très souvent difficies à déceer dans es messages provenant de stations isoées. De même, a pointe produite par des perforations de a gaine isoante e ong du fi de connexion de a sonde du anceur peut quequefois sember due à un phénomène nature. L enregistrement d autres informations comme a température superficiee de a mer, par d autres détecteurs, peut fortement contribuer à détecter ce type de probèmes (voir annexe 1) L organisation d activités de formation en ce qui concerne utiisation et entretien des appareis océanographiques, en particuier de ceux qui équipent es navires occasionnes, permet d améiorer considérabement a quaité des données Des échanges de vues directs sur e programme de a JCOMM entre équipage du navire et autorité nationae permettront d en mieux cerner intérêt et importance. Exprimer en retour sa satisfaction à équipage et e retour d informations sur es résutats obtenus sont parmi es meieurs moyens de s assurer des messages de bonne quaité Pusieurs types de systèmes automatiques ont été mis au point. Le formatage et a transmission des données s effectuent automatiquement par intermédiaire de systèmes de sateites extrêmement fiabes. C est donc sans aucun doute e meieur moyen de réduire es probèmes de quaité des données dus à interprétation, au codage et à a transmission manues L un de ces systèmes, e Shipboard Environmenta Data Acquisition System (SEAS - système embarqué pour acquisition de donnés sur environnement), mis au point aux Etats- Unis, a pour mission de transmettre à des stations côtières es données recueiies par des navires. Les données introduites dans es unités SEAS sont automatiquement transmises par intermédiaire du système GOES de sateites d expoitation géostationnaire pour étude de environnement, par es systèmes de sateites INMARSAT-C, ou par courrier éectronique. Ees sont en même temps égaement mises à a disposition d utiisateurs autorisés dotés d un termina à modem tééphonique. I ne s écoue que queques secondes entre émission à bord du navire et arrivée des données chez utiisateur. Le matérie SEAS est entièrement portatif, peut être instaé en queques heures et occupe un espace d environ 0,3 m3. I est actueement possibe d introduire, de coder et de transmettre via e SEAS des observations météoroogiques types (concernant es vents, a température, a pression, es vagues/a houe et a gace) faites à bord de navires, ainsi que des observations effectuées par des bathythermographes argabes (XBT).

21 Manues et guides de a COI no 3 page A a demande de Institut français de recherche pour expoitation de a mer (IFREMER), es sociétés Coecte-Locaisation-Sateites (CLS)/Service Argos ont mis au point pour recueiir, enregistrer, traiter et transmettre au SMT des données BATHY via e Système Argos, un autre système automatique composé d un anceur, d une unité éectronique et d un micro-ordinateur pouvant servir à d autres appications à bord des navires orsqu i n est pas utiisé pour des sondages. L unité éectronique, portative, occupe moins de 0, m3. La ocaisation de observation est cacuée dans es centres de traitement Argos de Tououse (France) ou de Landover (Etats-Unis d Amérique), qui envoient égaement es messages d observation aux CRT de Paris ou de Washington, respectivement, qui sont chargés de introduction des données dans e SMT. 5.3 PROCEDURES DE CONTROLE DE LA QUALITE AVANT L INTRODUCTION DANS LE SMT Les messages d observation océanographiques de a JCOMM sont introduits dans e SMT par es centres météoroogiques nationaux (CMN) ou, à titre exceptionne, par es centres océanographiques nationaux (NOC) qui ont accès au SMT par intermédiaire d un CMN. Les données parvenant à ces derniers contiennent des erreurs diverses, dont certaines, es erreurs de codage surtout, sont faciement déceabes et peuvent donc être corrigées. Les données ne restent que peu de temps dans es CMN, de sorte qu i vaut mieux procéder aux corrections sur ordinateur. Toutefois, un certain nombre de corrections peuvent être faites manueement orsque es données ne sont pas trop abondantes. I est donc recommandé d appiquer es procédures minimaes de correction prévues à cette fin (voir annexe VII) aux rapports d observation dans un CMN (ou dans un NOC agissant pour e compte d un CMN) avant introduction des données dans e SMT Lors de étabissement des buetins et de éaboration des messages, i convient d accorder une attention particuière aux erreurs ci-après, qui interviennent fréquemment dans e format des messages (voir annexe V) : (i) TT doit être SO. Sinon, a pupart des centres ne peuvent pas retrouver e buetin et ceui-ci sera perdu. (ii) AiA sont incorrects. Les codes des pays (OMM no 386, Vo. 1, Partie II, Appendice B-6, Tabeau C) ne doivent pas être utiisés ; i faut suivre e tabeau C2 (même référence). La position de observation n est pas dans a région désignée par A2 ; si possibe X ne doit pas être utiisé pour A2. (iii) (iv) (v) ii ne correspond pas à C dans e numéro de cataogue. Pour es buetins océanographiques de a JCOMM, ii doit être compris entre 01 et 19 incus, pour a diffusion à échee mondiae, seon e Manue du SMT (OMM no 386, Vo. 1, Partie II, par ). YYGGgg est incorrect. I s agit des date, heure et minute (TUC) à aquee e buetin est étabi au centre d échange du SMT en vue de sa diffusion. BBB est utiisé incorrectement. La mention RTD est réservée aux informations en différé mais a été utiisée pour des buetins en débordement transmis en même temps que e buetin norma.

22 Manues et guides de a COI no 3 page PROCEDURES DE CONTROLE DE LA QUALITE DES DONNEES SORTANT DU SMT Un contrôe suppémentaire de a quaité des données océanographiques de a JCOMM est nécessaire après réception du message transmis par e SMT pour garantir exactitude des produits opérationnes et faire en sorte que es centres d archivage reçoivent des séries de données uniformes ayant fait objet d un contrôe de quaité Les procédures de contrôe de a quaité à ce stade du système consistent à repérer es erreurs dans e format des messages, dans e codage, ainsi que es erreurs matériees. Les données qui apparaissent erronées ou très suspectes doivent être signaées comme tees. Des modifications ne peuvent être apportées que si on a un haut degré de certitude et si a vaeur initiae est stockée sur enregistrement, où aucune donnée ne peut être supprimée. Un indicateur doit être ajouté à toutes es variabes physiques reevées : position, date, heure et profondeur. Is sont jugés nécessaires pour informer es utiisateurs des résutats des opérations de contrôe de a quaité et des changements apportés aux vaeurs physiques La GTSPP a pubié dans a série des Manues et guides de a COI (no 22, UNESCO, 1990) une série bien étabie de procédures de contrôe de a quaité qui a été compétée par des procédures pubiées par es centres scientifiques participant au GTSPP. On peut se es procurer auprès de chacun des centres (CSIRO, en Austraie, AOML et Scripps aux Etats-Unis d Amérique) ou par intermédiaire des centres de données participant au GTSPP. I est recommandé d utiiser ces procédures. 6. SURVEILLANCE 6.1 CONSIDERATIONS GENERALES La surveiance de échange des messages d observation océanographiques de a JCOMM s effectue de quatre manières ; a surveiance de échange des données nationaes se situe au niveau nationa ; a surveiance de échange internationa consiste à examiner, sur une arge base statistique, es chiffres des entrées et des sorties mensuees effectuées par es Etats membres ; un examen détaié de échange par intermédiaire du SMT est périodiquement réaisé en iaison avec d autres activités de contrôe du SMT exécutées dans e cadre de a Veie météoroogique mondiae de I OMM ; enfin, e GTSPP a défini de nombreuses procédures de surveiance. 6.2 ACTIVITES NATIONALES DE SURVEILLANCE Les messages d observation provenant de pates-formes de toutes sortes, sans position ou heures d observation fixes, i est important de surveier étroitement ensembe du processus d échange pour éviter des interruptions du fux de données dues à des erreurs se produisant dans e formatage ou acheminement. C est à écheon nationa qu i incombe de faire en sorte que toutes es observations destinées à échange internationa soient recueiies, disposées seon e format correct et échangées par intermédiaire du SMT dans es déais prescrits. Seu un programme nationa de surveiance adéquat peut s acquitter de cette tâche. I importe en particuier que ce programme sache combien de messages sont envoyés par es navires reevant de sa compétence et vérifie si tous apparaissent sur e SMT.

23 Manues et guides de a COI no 3 page ECHANGES MENSUELS Les résumés mensues du nombre de messages d observation océanographiques de a JCOMM introduits dans e SMT (ENTREES) et provenant du SMT (SORTIES) sont soumis par es centres météoroogiques ou océanographiques nationaux au coordonnateur technique du SOOP. L annexe VIII donne un exempe de résumé statistique mensue accompagné d expications. L anayse de ces résumés permet de dégager es probèmes de échange des données, en particuier e manque de cohérence entre es centres. Le centre où e probème est apparu est aors aerté quant à a nature du probème et une soution est recherchée. 6.4 SURVEILLANCE PERIODIQUE DU SMT La surveiance périodique du SMT permet de déterminer efficacité de échange de données océanographiques de a JCOMM et de reever es anomaies observées dans différents centres. Les transcriptions des messages effectuées dans pusieurs centres sont comparées. Les erreurs qui interviennent dans e format des messages transmis par e SMT constituent une des principaes causes de pertes de données. 6.5 SURVEILLANCE DU GTSPP Le GTSPP produit un certain nombre de messages d observation pour surveier es fux de données et eur quaité. Les données en temps rée de quatre centres différents assurant a iaison avec e SMT (Canada, Etats-Unis d Amérique, Japon et Aemagne) sont cumuées chaque mois. Ees sont examinées pour déterminer combien de messages d observation chaque centre a reçu, si certaines données n ont pas été reçues, et où un message d observation est diffusé chaque mois Ces dernières années, on a utiisé e code JJYY de BATHY (c est-à-dire e format décrit dans e présent document). Chaque mois, un rapport rassembe es informations permettant de faire un bian du passage de ancien code (sous a forme JJXX) au nouveau Chaque mois, on étabit un rapport sur a quaité des données qui indique es patesformes qui ont eu es pus forts pourcentages de probèmes pour a coecte de données. Les opérateurs des navires sont notifiés afin de pouvoir prendre des mesures pour corriger es probèmes observés Les sites où es profis ont été coectés sont présentés sur écran chaque mois et pour es douze mois précédents, ce qui sert à surveier échantionnage mondia et si possibe à adapter échantionnage de façon à obtenir une couverture pus uniforme des océans.

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