Gilbert Mourre et. Jean-Claude Nasse. lors de l Assemblée Générale du 24 juin dernier.

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1 N 81 Janvier / Février 000 ISSN : 0999 ACTUALITES CEDITORIAL omosée ar moitiés en termes de caitaux engagés, d'encours et de cotisations de filiales de banques universelles, d une art, et d'établissements issus d'autres secteurs de l'économie tels que la construction automobile, la distribution, les assurances, etc., d autre art, Gilbert Mourre et JeanClaude Nasse lors de l Assemblée Générale du juin dernier. l'asf est le lieu de Changement d ère? concertation où se définissent les actions qui ermettront aux acteurs les lus inventifs et dynamiques du secteur bancaire français de jouer, dans des conditions otima, leur rôle au service de l'économie nationale. Qu'elles soient des centres de rofit, des instruments de commercialisation, des latesformes de gestion luribancaires "hubs"), ou encore des "startu" our de nouveaux métiers, les filiales sécialisées uisent leur efficacité dans une culture originale qui nécessite our s'exrimer une large autonomie. Elles se reconnaissent dans la olitique rofessionnelle de l ASF, reflet des asirations communes de tous ses membres, quels té. Le changement est la raison d'être de nos membres et donc de l'asf ellemême : sur nos 600 adhérents, 00 se sont créés dans les dix dernières années. L'accélération qui est la marque de notre éoque introduit, our nous, une différence de degré, as de nature. Pour servir au mieux une rofession Sommaire qu'en soient les actionnaires. Aux côtés toujours aux avantostes, l'asf doit bien des autres instances rerésentatives, l ASF sûr, elle aussi, continuer à s'adater. aorte ainsi une utile contribution aux L'organisation de la concertation rofessionnelle VIE DE L ASF et les actions aurès des centres réflexions de la Place. Sa réactivité effet de celle de ses adhérents est aréciée de décision sont des oints essentiels : la de ses interlocuteurs : les sécialisés sont dimension euroéenne y rend une art P. 6 Relevé dans les ordres du jour évidemment mieux à même de détecter croissante. Des efforts financièrement avec récision et raidité les conséquences robables de tel ou tel rojet. dynamiser notre communication : le nou raisonnables doivent être consentis our P. 7 Les nouveaux membres Dans le cadre de l'ancienne loi veau "look" de cette Lettre s'inscrit dans P. 7 Les nouveaux bancaire, notre Association alors APEF) cette ersective. dirigeants fut d'abord comosée de maisons de titres Instruit ar l exérience, au P. 7 Les adhérents P. 8 L organigramme uniersonnelles, elle reçut ensuite successivement les établissements orteurs de moment où je rends la succession de Gilbert Mourre, j'ai la leine conscience toutes les innovations financières crédit à que le changement continuera d'imoser P. 8 Carnet la consommation, crédits immobiliers des défis. J'ai aussi la ferme conviction P. 8 Stages ASFFOR acquéreurs, créditbail, affacturage, qu'ils seront relevés grâce à la confiance moyens de aiement, etc.). Pour se déveloer dans une activité où les inventions ne se brevettent as, ces établissements ont dû sans cesse faire reuve de créativi de nos adhérents et à la qualité de notre équie. JeanClaude Nasse Délégué général P. Endettement et surendettement L avis du Conseil Economique et Social P. Certification de services: l AFOC ublie un guide P. Quadrichromie: quel coût our l ASF? P. Centrales de risques: vers un réseau euroéen? P., Tableau de bord

2 ACTUALITÉ Endettement et surendettement l avis du Conseil Économique et Social Au cours de son Assemblée lénière des et 6 janvier 000, le Conseil économique et social a adoté un avis sur «Endettement et surendettement des ménages», résenté ar M. JeanChristohe LE DUIGOU, au nom de la Section des Finances, résidée ar M. Edouard SALUSTRO. Nouveau délégué Général à l ASF communiqué de resse diffusé ar l ASF fin janvier J eanclaude NASSE, jusqu alors délégué général adjoint, succède à Gilbert MOURRE comme Délégué Général de l Association Française des Sociétés Financières ASF), à comter du 1er février. L ASF regroue quelque 600 membres : 00 sociétés financières et banques sécialisées affacturage, crédit à la consommation, crédit immobilier, créditbail, cautions) et une centaines de restataires de services d investissement intermédiation et gestion d instruments financiers). L encours des crédits distribués ar les établissements de crédit sécialisés membres s élève à 1100 milliards de francs. Agé de ans, dilômé d études suérieures en droit ublic, dilômé de l Institut d Etudes Politiques de Paris Eco Fi), JeanClaude NASSE a fait toute sa carrière à l ASF où il est entré en Il en fut successivement attaché de direction, directeur adjoint, directeur, uis délégué général adjoint deuis 1988). Gilbert MOURRE, qui a atteint 6 ans, rejoint l Insection Générale des Finances. L endettement des ménages reste en France très modéré. Il ne rerésente que de l endettement intérieur total ; un ménage sur deux n a as de crédit. Très inférieur à celui des ays anglosaxons, il est aussi nettement en dessous de celui de l Allemagne. Il y a toutes les raisons de enser qu il va rogresser au cours des années qui viennent, accomagnant la hase de croissance qui s amorce. Nous jugeons ossible une telle évolution. Elle est la condition du déveloement économique de secteurs essentiels comme l habitat mais aussi l automobile, les biens d équiement ménagers, les roduits informatiques, le tourisme, certains services de formation. Des dizaines de milliers d emlois sont en jeu. Mais il faut arer à lusieurs risques, dont celui d un accroissement non maîtrisé de l endettement. Par ailleurs, on ne eut admettre que 6 millions de ménages soient exclus de l accès au crédit. Le Conseil économique et social ne roose aucun bouleversement de la législation existante mais avance une série de roositions visant à une meilleure connaissance des rocessus et à écarter toute menace de duming. Cela asse ar : la ublication d un tableau de bord annuel ermettant de suivre les évolutions globales de l endettement, ar tye de roduits et ar réseau ; l établissement de statistiques récises et harmonisées sur l évolution du surendettement et son traitement ; une clarification de la législation euroéenne en matière de droit alicable, la législation française lus rotectrice ouvant être facilement tournée au fur et à mesure du déveloement de la libre restation de service. La rocédure de traitement du surendettement nous est aarue ar contre satisfaisante. En dix ans, elle a su faire face à une évolution imortante des dossiers traités. Le nouveau disositif révu ar la loi du 9 juillet 1998 araît devoir réondre aux roblèmes qui étaient osés définition du reste à vivre, effacement total ou artiel des dettes). Cette rocédure soule, fondée sur la confiance réciroque des intervenants et la cométence des secrétariats assurés ar les agents de la Banque de France est sans doute un exemle qui ourrait trouver ailleurs des alications. Le Conseil économique et social avance trois roositions d amélioration : la mise en lace d un mécanisme non institutionnalisé d alerte déclenché ar tout créancier dès que trois échéances sont restées imayées ; un disositif local d accueil à l image du guichet unique de roximité qui existe en GrandeBretagne et qui coordonne l action des différents intervenants ublics et rivés ; un raccourcissement du délai de traitement des dossiers qui ne devrait as déasser à 6 mois. Une lus grande attention doit enfin être aortée aux situations d exclusion du crédit. Le Conseil économique et social récuse l idée d une «banque des auvres» et souhaite l ouverture d une concertation afin que chaque réseau bancaire roose des roduits adatés our des clientèles aujourd hui marginalisées ar les critères de distribution du crédit». Déjà auditionnée endant les travaux réaratoires, l ASF articiera aux débats qu imliquera la mise en oeuvre des recommandations du Conseil économique et social. LA LETTRE DE L ASF N 81 JANVIER / FEVRIER 000

3 ACTUALITÉ CERTIFICATION DE SERVICES : l AFOC PUBLIE UN GUIDE L Association Force Ouvrière Consommateurs vient de ublier un guide ratique des rofessionnels de services certifiés intitulé : «La qualité rès de chez vous». L ouvrage, réalisé ar Etienne Defrance, est réfacé ar Pierre Marleix. Il comorte un rael intéressant des objectifs et des caractéristiques de la certification de services, que l AFOC, très engagée sur ce dossier, a contribué à romouvoir dès la mise en lace du cadre législatif en 199 loi du juin). Le guide dresse ensuite, secteur ar secteur, la liste exhaustive des différents labels " services " dont il récise à chaque fois les rinciaux éléments, tout en indiquant les restataires concernés. On notera avec intérêt que dans la catégorie Crédit et Finances, le référentiel Qualité Crédit fait figure de récurseur. Les quelques autres labels mentionnés sous cette rubrique qui en tout état de cause ne concernent as les financements à rorement arler n ont en effet donné lieu, our l instant, à aucune certification. Quadrichromie : quel coût our l'asf? L a nouvelle résentation de La Lettre de l'asf entraînera un surcoût de F ar an, en moyenne, our six numéros. À l'inverse, l'adotion rochaine de la quadrichromie our le aier à en tête de l'association va ermettre d'économiser F ar an en renonçant au aier à bandeau orange, suort actuel de nos circulaires, qui avait au demeurant un eu vieilli. Au total, le «coût» de jeune de nos documents reste donc très raisonnable. Centrales de risques : vers un réseau euroéen? Les enjeux liés aux ossibilités d échanges de données entre les différentes centrales de risques de l Union Euroéenne sont suffisamment imortants our que l on s intéresse de rès aux réflexions actuellement oursuivies sur le sujet ar la Banque de France et ses homologues étrangers. Il ourrait en effet être question, au titre d une remière notamment au lan technique. Cette tions ourra effectivement être assuré étae dans l ouverture des exigence fondamentale vient d être soulignée ar l AFECEI dans un courrier fichiers concernant les entrerises, de faire comléter les adressé à la Banque de France *. informations détenues L Association y formule ar une centrale nationale sur les résidents de son ays ar les données UNE PLUS GRANDE EXHAUSTIVITÉ ET UNE MEILLEURE également le souhait de voir la Place régulièrement consultée sur l évolution enregistrées sur les FIABILITÉ des réflexions en mêmes ersonnes dans d autres centrales de l Union. Bien que cours afin d être toujours en mesure de faire entendre sa voix. l objectif de fond ici recherché une lus grande exhaustivité et une meilleure fiabilité soit évidemment légitime, il convient de s assurer, avant la mise en lace éventuelle d un système de ce tye, que le strict resect du rincie de récirocité dans les échanges d informa * On raellera que l imortance du rincie de récirocité avait relevée ar le Directeur du Réseau de la Banque de France, M Castelnau à l occasion de son intervention au Congrès Leaseuroe de Paris cf. Lettre ASF n 79). LA LETTRE DE L ASF N 81 JANVIER / FEVRIER 000

4 ACTUALITÉ Tableau de bord / France Conjoncture économique et financière sources : INSEE et Société des bourses françaises) Produit intérieur brut et contributions à la croissance)* Données trimestrielles. Année mobile. Variation sur 1 mois).,%,6%,,% 1,8% 1,% PIB Demande intérieure Echanges extérieurs Bourse de Paris Indice d ensemble SBF 0. Base 100 en décembre Moyenne mensuelle). 0,6% 170 0, 0,6% T 199 T 1996 T 1997 T 1998 T 1999 T Consommation des ménages* Achats de roduits manufacturés hors automobiles). % % % < Variation annuelle Année mobile Mds F 199) > < Variation annuelle Année mobile milliers d'unités) > Automobile Immatriculations de voitures articulières neuves). % 97 1% % Production industrielle Base 100 en Hors construction, énergie et IAA). 8% 6% < Variation annuelle Moyenne mobile sur 1 mois > % 6% < Variation annuelle Année mobile Mds F 9) > Investissements des entrerises* FBCF des SNFEI. Données trimestrielles). % 10 % 91 % 100 % % 9 % 780 T 199 T 1996 T 1997 T 1998 T 1999 T 000 Chômage Au sens du BIT. Données mensuelles cvs. Moyenne mobile sur mois). 1% 8% % < Variation annuelle Milliers d'unités > ,%, 1,% Prix Prix à la consommation. Glissement annuel. Moyenne mobile sur mois). 90 1, % 80 0,% 8% 70 0, * Moyennes base INSEE 199 LA LETTRE DE L ASF N 81 JANVIER / FEVRIER 000

5 ACTUALITÉ Tableau de bord / International Conjoncture économique et financière Climat Général sources : INSEE et sources nationales) Taux d intérêt source : Banque Centrale Euroéenne) Indice de confiance des consommateurs Soldes d oinions*. Moyennes mobiles sur mois) 1 0 France Zone euro RoyaumeUni EtatsUnis 7 6 Zone euro EtatsUnis Jaon A mois marché monétaire, moyennes mensuelles, % l an) jan 1998 jan 1999 jan 000 jan 001 Persectives de roduction des industriels Soldes d oinions*. Moyennes mobiles sur mois) 1 France Zone euro RoyaumeUni 7 6 Zone euro EtatsUnis Jaon A 10 ans rendements des emrunts ublics, moyennes mensuelles, % l an) jan 1998 jan 1999 jan 000 jan 001 * Zone ositive : vers un otimisme accru. Zone négative : vers un essimisme accru. Taux de change de l euro source : Banque Centrale Euroéenne) 1 en dollar us* 1, en yen* 1,1 10 1,1 1, ,06 1, ,00 jan 1999 juil 1999 jan 000 juil 000 jan jan 1999 juil 1999 jan 000 juil 000 jan en livre sterling* 0,7 0,69 0,66 0,6 0,60 jan 1999 juil 1999 jan 000 juil 000 jan 001 * Moyennes mensuelles LA LETTRE DE L ASF N 81 JANVIER / FEVRIER 000

6 VIE DE L ASF Relevé dans les ordres du jour Financement des articuliers Stratégie de communication Les établissements sécialisés dans le crédit à la consommation réfléchissent à l élaboration d une stratégie de communication institutionnelle au moment où les travaux de lace Conseil Economique et Social, Conseil, Conseil National de la Consommation) et certaines initiatives médiatiques rendent nécessaire une démarche d exlications. Droit bancaire et ordonnance de 1986 L alication de certaines des disositions de l ordonnance de 1986 au droit bancaire, et notamment de l interdiction des ventes avec rimes et des ventes liées, devrait faire l objet d articles sécifiques de la future loi sur les nouvelles régulations économiques. L ASF suit avec attention les travaux réaratoires afin d éviter que des disositions inadatées ne nuisent aux innovations souhaitées ar les consommateurs. Publicité du crédit Les travaux sur la ublicité du crédit se oursuivent au sein du Conseil national de la consommation. Une fois fixés les remiers rincies voir La lettre de l ASF n 80), les réflexions vont orter sur des oints lus sécifiques et notamment sur la ublicité our le crédit gratuit. MIEUX VENDRE À L EXPORT Avantroos de François Huwart, Secrétaire d État au Commerce Extérieur UN NOUVEAU LIVRET DE LA SÉRIE «10 QUESTIONS / 10 RÉPONSES» joint à la résente Lettre de l ASF) L ASF vient d éditer le quatrième livret de la série Affacturage «10 questions / 10 réonses». Arès «l affacturage», «la facturation», «Jeunes entrerises : gérer le risque clients», les sociétés d affacturage ont choisi le thème «Mieux vendre à l exort». Ce guide est destiné aux PME désireuses de déveloer leurs activités à l international. Préfacé ar Monsieur François HUWART, secrétaire d État au Commerce Extérieur, il résente un certain nombre de réconisations liées à la vente à l exort. Autant de conseils ratiques qui doivent inciter les PME à tirer arti des oortunités commerciales qu offrent les marchés internationaux. Ce livret est disonible aurès d ASF Services, tél : ; fax : ). Financement des entrerises TVA sur maisons de retraite Les incertitudes tenant à la comlexité des règles alicables, en matière de TVA, aux locations d établissements d hébergement y comris les maisons de retraite) viennent d être levées ar l Administration Fiscale. La DLF a en effet adressé à l ASF, qui l avait saisie du dossier, une fiche technique très récise détaillant le régime en vigueur. L ensemble des établissements de créditbail immobilier concernés ourront, our l avenir, s y référer. Services financiers AFFACTURAGE EDI Grâce à un questionnaire servi ar la Section, les riorités de travail ont été redéfinies : rédaction du guide our le flux Relevé de comte Adhérent/Vendeur et du guide our le flux Déclaration de litige. Un calendrier de travail a été arrêté. Evolution du métier Une concertation a été engagée entre le Secrétariat Général de la Commission bancaire et l ASF sur l évolution du métier. Un groue de travail a été créé à l ASF our nourrir la réflexion. Euroafactoring La réunion tenue à Mayence le 0 janvier ar le Comité des Questions juridiques a notamment ermis de relever les aroches différentes des sociétés d affacturage au regard de la future réforme des exigences en fonds rores Comité de Bâle et Commission Euroéenne). Les incidences sont en effet liées au statut de ces sociétés : dans certains ays, elles sont établissements de crédit comme en France, dans d autres elles ne le sont as Allemagne et Grande Bretagne notamment). CAUTIONS Communication Le groue de travail ad hoc oursuit la concetion et la rédaction d un document de résentation générale des services offerts ar les sociétés de caution, tant au bénéfice des entrerises que des articuliers. Services d investissement Commerce électronique Le caractère très général de la roosition de directive sur le commerce électronique incite à souhaiter un texte sécifique our les métiers de services d'investissement. Parallèlement à l'examen de ce texte, le groue de travail ad hoc rocède à un inventaire des difficultés que rencontrent les romoteurs de sites Internet en raison de la réglementation, actuelle ou en rojet, au lan national et euroéen. Métier de gestion Le groue de travail oursuit l'examen des deux roositions de directive OPCVM roduits, d'une art, fournisseurs de services et rosectus, d'autre art). Par ailleurs, il étudie le rojet de décret qui doit modifier le cham d'alication des oérations de couverture ou destinées à réaliser un objectif de gestion, our les OPCVM commercialisés en France. Le texte contient, notamment, une innovation imortante en ermettant l'utilisation our les seuls OPCVM "allégés" des contrats sur risque de crédit. Liquidité et contrôle interne La concertation se oursuit avec la Commission bancaire. L'autorité de tutelle entend circonscrire le risque d'illiquidité des restataires de services d'investissement ar un disositif comrenant un volet quantitatif définition d'un ratio de liquidité sécifique) et un volet qualitatif mesure de contrôle interne généralisé aux entrerises d'investissement). LA LETTRE DE L ASF N 81 JANVIER / FEVRIER 000 6

7 VIE DE L ASF Introduction en bourse Un groue de travail a examiné le rojet de décision du CMF relative aux «règles de bonne conduite alicables à l occasion de l introduction des sociétés en bourse». Projet de code de bonne conduite de lace our les services financiers roosés ar Internet Dans le cadre de l AFECEI, l ASF articie aux travaux sur un éventuel rojet de code de bonne conduite our l ensemble des services financiers roosés via Internet. Reorting d'informations sur les oérations financières M. Garabiol, chef du service de l'insection du Conseil des Marchés Financiers, est venu résenter au groue de travail ASF le rojet de décision relatif à «la communication au Conseil ar les restataires habilités d'informations sur les oérations sur instruments financiers cotés». Sicovam Lors du dernier Comité consultatif ont été évoqués l état d avancement des discussions entre Sicovam SA, Euroclear et Clearnet SA, les travaux relatifs au nominatif, la création de rogrammes EMTN de droit français, et la résentation du lan rojets 000 notamment, le traitement des questions de rêts/emrunts sur marché centralisé à mettre en oeuvre dans le cadre de la suression du règlement mensuel). Assemblée Générale 000 Les nouveaux membres BNP EMERGIS, PARIS Société du groue BNP agréée en vue de ratiquer l acquisition et la gestion de crédits souverains et à titre connexe l acquisition et la cession de titres souverains. PrésidentDirecteur Général : Georges CHODRON de COURCEL Directeur Général : MarieFrançoise WALBAUM CCF CHARTERHOUSE LEASING, PARIS Société du groue CCF agréée en vue de réaliser toutes oérations de créditbail mobilier, ainsi qu'à titre accessoire, des oérations de créditbail immobilier. Président : François FOURNIER Directeur Général : Philie MOIROUD NETVALOR, PARIS Société du groue CCF agréée en vue de ratiquer toutes oérations de crédit à la consommation ainsi que la mise à disosition et la gestion de moyens de aiement. PrésidentDirecteur Général : Olivier COSTA DE BEAUREGARD Directeur Général : Denis PELLETIER NOUMEA CREDIT, NOUMEA Société issue d un groue familial ayant vocation à financer ar tous tyes de crédits à l'exclusion du créditbail) les ventes de véhicules et engins autotractés. Réartition des adhérents entre 1998 et 1999 Section L Assemblée Générale annuelle de l ASF se tiendra le juin 000. Monsieur Jacques Dermagne, Président du Conseil Économique et Social, sera notre invité d honneur. Membres Membres corresondants Affacturage 6 Créditbail immobilier Financement de l équiement des articuliers Financement locatif de l équiement des entrerises Financement immobilier dont crédit immobilier HLM) ) ) Maisons de titres et autres restataires de services d investissement dont entrerises d investissement Sociétés de caution 8) 9 61) 6 Sociétés de crédit d outre mer Sociétés financières de groues ou de secteurs économiques 1 1 Sofergie Activités diverses dont caital risque et caital déveloement 0 9) 7) Total PrésidentDirecteur Général : Jacques JEANDOT Directeur Général : Rémi BRUNNER SOCIETE ANONYME DE CREDIT IMMOBILIER DE LA SOMME, AMIENS Société membre du Crédit Immobilier de France, membre corresondant, agréée ar le Conseil de l ASF. Président : Etienne DECAYEUX Directeur Général : Jacques ARPIN Directeur : Marc VENDEVILLE SFPMEISOCIETE FINANCIERE DU PORTE MONNAIE ELECTRONIQUE INTERBANCAIRE, PARIS Société détenue ar diverses banques agréée en vue d émettre et de gérer des moyens de aiement. Président : Michel RENAULT AdministrateurDirecteur Général : LéonCharles HOTTIER SYNERFI S.A., PARIS Entrerise d investissement agréée ar le Conseil de l ASF, dont le caital est détenu à arts égales ar les deux dirigeants, restataire des services d investissement A et F et exerçant l activité de conseil aux entrerises en matière de stratégie industrielle. Président : JeanJacques JOULIE Directeur Général : Laurent SURJON Au 1 décembre 1998 Au 1 décembre ) Membres Membres corresondants 1) Sous réserve de mouvements à intervenir avec effet rétroactif. Les nouveaux dirigeants CECEI du janvier 000) Financement de l équiement Henry BEAUD : Directeur Général d AGF FINANCEMENT et de FINAMA CREDIT. Ann BEN AICHA : Dirigeant de DE LAGE LANDEN LEASING S.A. JeanPierre CAUCHOIS : Directeur Général de SOGELEASE FRANCE. JeanPierre CHAMPION : Gérant de CAVIA LOCATION et de GENERALE DE FINANCEMENTS ET DE SERVICES GEFISERVICES. Colin FELGATE : Dirigeant de FINCHRYS. Alain LAMUR : Président du Directoire de NOVACREDIT. Financement de l immobilier Dé DOANTRAN : Président de SOGEFINERGSociété Générale our le Financement des Investissements Economisant l'energie. Pierre GERVASI : Directeur de FINERGIE. François RETAILLEAU : Directeur Général Adjoint d ALSABAILALSACIENNE DE CREDITBAIL IMMOBILIER. Jean REYHERME : Président de SOLYBAIL. Services financiers et services d investissement Lawrence Frank ASSEL : Président de BOMBARDIER CAPITAL INTERNATIONAL S.A. Jackie BATHANY : Directeur Général de SOFIDEG SOCIETE FINANCIERE POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DE LA GUYANE. Ann BEN AICHA : Dirigeant de DE LAGE LANDEN TRADE FINANCE. John GIELEN : Directeur Général d INTERNATIONAL CREDIT SERVICE S.A.S. Michel LECOMTE : Directeur Général de CAMUFICAISSE DE MUTUALISATION DES FINANCEMENTS. Jacques PIERRE : Directeur Général de FRANCE ACTIVE GARANTIE FAG S.A. JeanLouis TERRIER : Dirigeant de SAFITRANS SOCIETE ANONYME DE FINANCEMENTS IMMOBILIERS ET DE TRANSACTIONS. 7 LA LETTRE DE L ASF N 81 JANVIER / FEVRIER 000

8 L équie de l ASF au 1er février 000 Michel LECOMTE Président Lila HARROUDJ JeanClaude NASSE Délégué Général Communication Françoise COSSINDUBOIS Isabelle BOUVET Services dédiés Gestion interne Services transversaux Financement des articuliers et des entrerises Nicolas MORDAUNTCROOK Resonsable du secteur Services financiers et PSI MarcPierre JANICOT Resonsable du secteur Gérard CORCELLE Directeur administratif et financier Marylène CHARRIER Etudes juridiques fiscales et comtables Philie de LACOTTE Chef du service Affaires sociales Etudes économiques et statistiques Michel VAQUER Resonsable du secteur MarieAnne BOUSQUET Chargée d études s Sandrine LEFEVRE Isabelle VERSLYCKEN Antoine de CHABOT Chargé d études s Isabelle BOUVET Andréa MANOTTE Dossier des adhérents Informatique Eric VOISIN Laurent CHUYCHE Marilena VOISIN Documentation Catherine SURLEVE Comtabilité Danielle DIJON Patricia BEAUGRAND AccueilStandard MarieOdile ALFONSO Service Généraux Guy BLAISE David CAPRON Denis BENSAID Alain DAIREAUX Chargés d études Ariette ROUSSEL Nicole KOEPP Caroline RICHTER Chargées d études Isabelle VERSLYCKEN ASF SERVICES JeanClaude NASSE Gérard CORCELLE Gérants ASFFOR ASFformation) Alain MARCEL JeanClaude NASSE Michel VAQUER Anne DELALEU Président Administrateur Délégué Directeur Carnet Ordre National du Mérite comlément à La Lettre de l ASF n 80) JeanPierre Preyre, ancien Président de la SOCAMAB, a été nommé Chevalier. Au Conseil Le Conseil a ris acte de la démission de François Dambrine, Didier Floquet, et Francis Rougeot. Pour leur succéder, le Conseil a cooté JeanRené Brunon, Directeur Général de BNP Lease, Dominique Charentier, Président du Directoire de la Société Française de Factoring SFF), JeanPierre Siesse, Resonsable des structures sécialisées de Natexis Banques Poulaires. Dans les Commissions Commission créditbail immobilier Antoine de Montalivet, quittant la résidence de Fineximmo, a démissionné de la Commission. Commission Maisons de titres et autres restataires de services en investissement Patrick Rivière, administrateurdirecteur général de Invesco, est nommé membre de la Commission en remlacement de Christine Bodolec. Stages organisés ar l Asffor Inscritions aurès d Anne Delaleu Téléhone Télécoie ade@asffrance.com STAGES Aroche du créditbail immobilier Contrôle interne Droit et ratique de l affacturage La loi sur la révention et le traitement des difficultés des entrerises Vendre au téléhone Montage et démontage de barèmes MARS Du 1er au mars Les 8 et 9 mars Les 1 et 16 mars Du 1 au mars 7 et 8 mars + 0 avril AVRIL les 18 et 19 avril Prix HT* euros ttc 90 F 900 F 90 F 70 F 800 F 7 F 76, 717, 0 76, 689, 88, 0 80, 6 La Lettre de l ASF n 81 est tirée à 00 exemlaires. Si vous souhaitez recevoir d autres exemlaires our les diffuser au sein de votre établissement, faitesle savoir à l Association. ASSOCIATION FRANCAISE DES SOCIETES FINANCIERES, avenue de la Grande Armée, 78 Paris Cedex 17 Tél. : Télécoie : Directeur de la Publication : Michel Lecomte, Président de l ASF. Rédacteur en chef : JeanClaude Nasse, Délégué général Concetion grahique : Frédéric Noyé Tél. : Imression : CHIRAT, 0 SaintJustlaPendue Ont articié à la rédaction : MarieAnne Bousquet Antoine de Chabot Laurent Chuyche MarcPierre Janicot Nicolas MordauntCrook JeanClaude Nasse Michel Vaquer. 8 LA LETTRE DE L ASF N 81 JANVIER / FEVRIER 000

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