PIB réel, RIB réel et gains commerciaux : Canada,

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1 IB réel, RIB réel e gains commerciaux : Canada, Ulrich Kohli 1 Banque naionale suisse RÉSUMÉ Le produi inérieur bru réel (IB) ne rend pas compe des peres e des gains commerciaux qui découlen de l'évoluion des ermes de l'échange e du aux de change réel (le prix des biens échangeables par rappor au prix des biens non échangeables) Le Canada a beaucoup amélioré ses ermes de l'échange duran les dernières années e on soupçonne de plus en plus que le IB réel n'a pas vraimen rendu compe des augmenaions de la valeur ajouée réelle e du revenu inérieur bru réel (RIB) qui on suivi Les mesures superlaives des effes des ermes de l'échange e du aux de change réel confirmen cee hypohèse, les gains commerciaux s'élevan à 4,8 % du IB enre 00 e 005 DEUIS QUELQUES ANNÉES, LE CANADA connaî des amélioraions marquées des ermes de l échange Selon la héorie du commerce inernaional, une amélioraion des ermes de l échange, oues aures choses éan égales, se répercue à la hausse sur le revenu e le bienêre Touefois, an au Canada qu ailleurs, on soupçonne de plus en plus que le produi inérieur bru réel (IB) ne parvien pas à saisir oalemen cee augmenaion de la valeur ajouée réelle La ciaion suivane représene for bien la siuaion : «[] des économises son d avis que les données officielles du IB on largemen sousesimé le aux de croissance du Canada au cours des rois dernières années en laissan de côé, sauf depuis un ou deux mois, l amélioraion marquée des ermes de l échange» (Bernard Simon dans le Financial Times du 1 juille 006) Comme le préenden Diewer e Morrison (1986) dans un aricle fondamenal, une amélioraion des ermes de l échange es similaire au progrès echnologique Esseniellemen, le pays obien plus pour moins Or, à l enconre du progrès echnologique, les compes naionaux considèren une amélioraion des ermes de l échange comme un phénomène de prix pluô qu un progrès réel ar exemple, une augmenaion des prix à l exporaion ou une diminuion des prix à l imporaion aura non seulemen endance à faire augmener le IB nominal, mais aussi le déflaeur du IB, sans pour auan changer vraimen le IB réel, même si la valeur ajouée réelle e le revenu réel son clairemen monés 3 1 Membre suppléan de la Direcion générale e économise en chef à la Banque naionale suisse Je suis redevable à Erwin Diewer, ierre Duguay, Andrew Sharpe e deux arbires anonymes des commenaires qu ils m on adressés Ils ne son évidemmen pas responsables de mes erreurs ou omissions Courrier élecronique : UlrichKohli@snbch ar conséquen, l indice des prix à l exporaion a augmené de 3,4 % enre 00 e 005, alors que l indice des prix à l imporaion chuai de 9,8 % au cours de la même période OBSERVATEUR INTERNATIONAL DE LA RODUCTIVITÉ 51

2 Le Canada n es pas seul dans ce cas L Ausralie, sur la lancée d une augmenaion massive des prix de ses maières premières depuis quelques années, fai face à une siuaion similaire On a en quelque sore l impression que les chiffres officiels du IB réel ne raduisen pas vériablemen les gains que le pays a connus au niveau du revenu e du pouvoir d acha «Dans un aricle spécial diffusé avec les chiffres des compes naionaux d hier, le saisicien a expliqué que la rès fore croissance des ermes de l échange en Ausralie indiquai que les mesures ypes du IB, qui n appréhenden pas ce phénomène, semblen sous-esimer le niveau réel de l acivié économique» (Alan Wood dans The Ausralian du 8 mars 005) Les exemples ne son pas ous liés aux ressources naurelles Au cours du dernier quar de siècle, la Suisse a connu une amélioraion marquée des ermes de l échange près de 30 % qui a amené des observaeurs à préendre que la croissance de la valeur ajouée réelle avai éé sousesimée par le IB réel dans une proporion de presque un demi-poin par année, sous-enendan ainsi que le pessimisme du pays au suje de sa croissance n éai pas pleinemen jusifié 4 Dans une rès large mesure, la héorie économique inernaionale considère que les échanges commerciaux surviennen dans les produis finis e donc, après la producion Cee vue es en quelque sore rompeuse De fai, la plupar des échanges commerciaux se composen de produis inermédiaires, e même la plupar des préendus produis finis échangés ne son pas prês à répondre à la demande finale À peu près ous les produis imporés «finis» doiven quand même ransier par le seceur de la producion inérieure pour y subir diverses ransformaions (manipulaion, ranspor, assurance, réemballage, vene au déail e ainsi de suie) Au cours de ce processus, ces produis son combinés avec des services facoriels inérieurs de sore qu une bonne par du prix de vene final représene généralemen la valeur ajouée inérieure De la même façon, les exporaions ne peuven non plus répondre à la demande finale puisqu elles doiven elles aussi ransier par le seceur de la producion éranger pour y subir diverses modificaions Les exporaions son donc héoriquemen différenes des biens e services desinés à l absorpion inérieure Dans ce sens, presque ous les biens marchands son des biens ou produis inermédiaires 5 ar la même logique, on peu considérer ous les biens desinés à la consommaion inérieure comme des biens non marchands En vérié, le commerce inernaional fai parie inégrane de la producion L échange n es qu une aure façon de ransformer des biens en d aures produis Cela ne devrai faire aucune différence pour les économises que les produis soien ransformés en d aures biens à la suie d un processus physique, d une réacion chimique ou d un échange commercial Si les ermes de cee ransformaion son plus favorables, il ne devrai faire aucune différence qu ils proviennen d un progrès echnologique ou d un échange réalisé dans de meilleures condiions Même si l on considère les amélioraions des ermes de l échange comme une source poeniellemen imporane de croissance du revenu, cela ne diminue aucunemen l imporance des aures déerminans de la croissance réelle, à savoir l augmenaion de l effor de ravail, l accumulaion du capial, les amélioraions de la producivié oale des faceurs (TF) e le rev- 3 De fai, comme le révèle Kohli (1983, 004a), une amélioraion des ermes de l échange aura endance à diminuer le IB réel lorsqu on le mesure au moyen de l indice de quanié de Laspeyres Même si cee remarque ne s applique pas au Canada, parce qu il a adopé un indice superlaif pour mesurer le IB réel, la plupar des pays aujourd hui uilisen encore la formule foncionnelle de Laspeyres, à base enchaînée ou non 4 Voir Kohli (004a, 005) e The Economis, 14 février Voir Burgess (1974) e Kohli (1978, 1991) 5 N UMÉRO 13, AUTOMNE 006

3 enu ne provenan de l éranger De fai, les preuves empiriques nous révèlen que ce son surou l augmenaion du sock de capial e les gains de la TF qui condiionnen à long erme la croissance L évoluion des ermes de l échange joue un rôle quaniaif beaucoup plus faible dans la plupar des cas mais, pour obenir des mesures valables, il fau néanmoins en enir compe lorsqu on analyse la performance économique d un pays Signalons égalemen que même s il débouche sur la ransformaion de cerains biens en d aures produis e qu il devien ainsi une source d amélioraion du bien-êre, le commerce es suscepible d avoir une incidence indirece sur presque oue l économie inérieure En exposan les produceurs naionaux à la concurrence érangère e en les obligean à faire coninuellemen preuve d innovaion, le commerce es un imporan caalyseur de croissance Cee reombée posiive se raduira en général par un accroissemen de la TF Nore exposé n aborde pas cee quesion puisqu il se consacre enièremen aux problèmes de mesure sans ener d expliquer les causes de la croissance de la TF ou des amélioraions des ermes de l échange Il ne fai à peu près aucun doue que même si quelques-unes de ces amélioraions son exogènes (la même chose s applique aux progrès echnologiques), beaucoup son endogènes e découlen d aciviés de recherche e de markeing qui sollicien obligaoiremen la mobilisaion de ressources inérieures Même si un changemen survenu dans les ermes de l échange a effecivemen des effes réels, un aure rappor de prix, à savoir le prix des biens échangés par rappor à celui des biens non échangés, es suscepible d avoir une incidence sur le bien-êre, mais le déba acuel n en ien guère compe On considère souven ce rappor de prix comme une mesure du aux de change réel 6 Une augmenaion du prix des biens échangés par rappor aux biens non échangés (dépréciaion réelle de la monnaie locale pour des les ermes de l échange donnés) fai moner les recees à l exporaion mais aussi la facure des biens imporés L effe dominan dépendra donc du signe de la balance commerciale Si le compe commercial es déficiaire, le deuxième dépassera le premier e le pays connaîra une diminuion de son revenu réel 7 Ce résula s oppose au poin de vue habiuel voulan qu une dépréciaion réelle ai endance à avoir un effe posiif sur le IB réel éan donné qu elle rend les exporaions relaivemen plus concurrenielles e les produis érangers relaivemen moins arayans Il s agi ici en grande parie d une vue keynésienne axée sur la demande, alors que l approche adopée dans nore cas es neemen néoclassique e oalemen conforme à l hypohèse de la peie économie ouvere courammen faie dans la héorie du commerce inernaional Ces deux sources de gains formen ensemble ce qu on appelle souven les gains ou peres commerciaux e expliquen l écar enre le IB réel e le revenu inérieur bru réel (RIB) 8 6 Voir Saler (1959), Dornbusch (1980), Frenkel e Mussa (1984), Corden (199) e les éudes sur ce qu on connaî mainenan comme le modèle ausralien Soulignons que le aux de change réel défini ici ne coïncide pas exacemen avec une aure définiion courane du aux de change réel (qu on appelle parfois le aux de change réel des ), à savoir le aux de change nominal corrigé des écars des aux d inflaion; voir Edwards (1989) pour une analyse des différenes définiions du aux de change réel de même que l annexe pour de plus amples déails 7 our des raisons de simplicié, nous faisons absracion des flux de la rémunéraion des faceurs en provenance e à desinaion de l éranger, sinon ce serai la posiion du compe couran e non celle du compe commercial qui jouerai un rôle imporan, auquel cas il faudrai enir compe du NB e du RNB pluô que du IB e du RIB 8 Les gains commerciaux désignen l augmenaion de revenu provenan de l évoluion des ermes de l échange e du aux de change réel enre deux périodes On ne doi pas les confondre avec les gains de l échange, qui mesuren l amélioraion du bien-êre découlan du commerce inernaional à parir d une économie fermée OBSERVATEUR INTERNATIONAL DE LA RODUCTIVITÉ 53

4 Comme nous l indiquons dans nore documen, les gains commerciaux se composen en réalié de deux élémens disincs, à savoir les gains des ermes de l échange e les gains du aux de change réel 9 Les esimaions empiriques reposan sur l agrégaion de Törnqvis révèlen que le Canada a effecivemen largemen profié de l amélioraion des ermes de l échange qui es survenue enre 00 e 005 Du même coup, il a connu une faible pere de revenu à cause de l évoluion du aux de change réel Mesures classiques des gains commerciaux La plus grande parie de la documenaion sur les gains commerciaux repose sur l agrégaion de Laspeyres; il s agi donc d un poin de dépar naurel pour nore analyse 10 On calcule généralemen le IB réel comme un indice quaniaif direc de Laspeyres, par la simple addiion des composanes du IB en dollars consans Les compables des compes naionaux saven depuis longemps que cee procédure qui consise ajouer les exporaions e sousraire les imporaions évaluées à leur prix de période de référence ne ien pas compe du gain ou de la pere de revenu provenan de l évoluion des ermes de l échange Divers correcifs on donc éé proposés, qui consisen généralemen à déflaer par le même indice la valeur nominale des exporaions e des imporaions L addiion des ermes donne alors le RIB réel, e la différence enre le RIB réel e le IB réel représene les gains commerciaux Différens indices de prix on éé proposés dans les recherches pour déflaer la valeur nominale nee des imporaions e des exporaions Voyons quels son les quare plus courans Le prix des imporaions Le fai de déflaer la valeur nee des exporaions par le prix des imporaions revien pour ainsi dire à conserver le pouvoir d acha des exporaions pluô que leur volume lorsqu on fai la somme des composanes du IB pour obenir le RIB réel C es esseniellemen la procédure qu uilise le US Bureau of Economic Analysis lorsqu il calcule le NB sur la base des commandes, ou par le Ausralian Bureau of Saisics lorsqu il calcule le RIB réel 11 Le prix des exporaions On pourrai sans doue préendre arriver à un résula analogue en uilisan le prix des exporaions comme déflaeur commun Cela signifierai que le RIB réel reposerai sur le coû des imporaions en ermes d'exporaions pluô que sur leur volume Le prix des biens échangés Une roisième possibilié, à laquelle souscri Eurosa 1, consise à déflaer le compe commercial par la moyenne arihméique des indices de prix des imporaions e des exporaions, qu on peu aussi appeler le prix des biens échangés Le prix des dépenses inérieures Cela revien à déflaer le revenu produi par la balance commerciale par le prix de son uilisaion finale, c-à-d payer pour l absorpion inérieure De ces quare soluions, nous préférons la dernière, surou pour deux raisons 13 En premier lieu, on peu démonrer que le déflaeur de 9 Les ermes de l échange e le aux de change réel son parfois uilisés l un pour l aure, mais il s agi en réalié de deux conceps disincs Même s il peu y avoir en vérié une relaion univoque enre les deux variables dans le modèle macroéconomique de Mundell (1963)-Fleming (196) (à moins que les goûs ne soien les mêmes au pays e à l éranger, auquel cas le aux de change réel es consan), ce n es habiuellemen pas le cas s il y a plus de deux biens; pour plus de déails, prière de se reporer à l annexe 10 Voir Unied Naions (00), secions , par exemple Le Canada uilise acuellemen l agrégaion de Fisher Nous examinerons dans la prochaine secion les indices préendumen superlaifs 11 Voir Denison (1981) e Ausralian Bureau of Saisics (004) 1 Voir Union européenne (1996), chapire Duguay (006) préconise aussi l uilisaion du prix de la demande inérieure comme faceur de déflaion 54 N UMÉRO 13, AUTOMNE 006

5 prix du RIB, qu on défini comme le IB nominal divisé par le RIB réel, correspond alors simplemen au prix des dépenses inérieures 14 Non seulemen s agi-il d un résula rès inuiif, mais cela signifie aussi qu on peu obenir le RIB réel direcemen par déflaion du IB nominal par le prix des dépenses inérieures 15 En revanche, les déflaeurs implicies du RIB des rois aures soluions proposées se révèlen des expressions pluô complexes e opaques En second lieu, les mesures des gains commerciaux e du RIB réel son indépendans du solde du compe commercial si l on uilise le prix des dépenses inérieures, ce qui n es pas vrai dans les rois aures cas Selon nous, il es imporan que la mesure du revenu réel ne repose pas sur la décision d épargne ou d absorpion Néanmoins, oues les mesures des gains commerciaux que nous avons abordées ici (y compris la quarième soluion) souffren de diverses lacunes D'une par, on les calcule en dollars absolus (ou consans), d où la difficulé d en évaluer l imporance réelle (ainsi, en 005, les gains commerciaux au Canada se son élevés à 47,3 milliards de dollars au prix de 1997 si l on uilise comme déflaeur le prix des dépenses inérieures) À vrai dire, il serai simple de les exprimer en pourcenage de la valeur courane du IB réel, par exemple D'aure par, e ceci es plus dommageable, la valeur des gains commerciaux repose sur le choix de la période de référence (1997 dans l exemple précéden) puisqu on les défini par rappor à cee période (les gains e peres commerciaux son nécessairemen inexisans dans la période de référence) our conourner cee difficulé, nous uiliserons donc ci-après un indice en chaîne puisque la période de référence fai alors l obje d une mise à jour perpéuelle De plus, nous adoperons l approche de l indice superlaif comme le fai déjà le Canada 16 Un indice de Törnqvis des gains commerciaux Le Canada a récemmen adopé l indice de Fisher pour mesurer le IB réel Nous uiliserons aussi ci-après un indice superlaif, mais nous choisirons celui de Törnqvis e non celui de Fisher Ce choix es dicé par des raisons praiques puisqu il nous semble plus facile de reracer l agrégaion de Törnqvis : quoi qu il en soi, comme le révèlen de nombreuses éudes, les écars numériques par rappor à l agrégaion de Fisher devraien êre rès faibles 17 Il convien aussi de souligner que beaucoup de pays, don le Canada, recouren mainenan à des indices en chaîne pluô qu à des indices direcs (ou à base fixe) Nous uiliserons donc aussi les indices en chaîne Chaque élémen de la chaîne es défini comme un faceur de croissance, c es-à-dire qu il es égal à 1 majoré du aux de croissance de la variable correspondane enre la période -1 e la période 14 Cela provien du fai que, dans les compes naionaux, le IB nominal es égal au RIB nominal 15 Une aure possibilié encore serai de déflaer le IB nominal par le prix des dépenses de consommaion Cela inroduirai dans l analyse un effe de prix relaif supplémenaire, à savoir le prix de la consommaion par rappor à l ensemble des dépenses inérieures; voir Diewer e Lawrence (006) pour plus de déails 16 Un indice superlaif es un indice qui es exac pour une formule foncionnelle souple, c-à-d une formule foncionnelle qui présene une approximaion de deuxième ordre d une foncion agrégaive arbiraire; voir Diewer (1976) Le principal avanage d un indice superlaif vien du fai que sa naure quadraique perme de mieux enir compe des effes de subsiuion aribuables aux modificaions des quaniés e/ou des prix relaifs Il y a ainsi diminuion ou même suppression du préendu biais de subsiuion inhéren aux formules des indices linéaires Les meilleurs indices superlaifs son les indices de Fisher e de Törnqvis L indice de Fisher es la racine carrée de l indice de Laspeyres e de l indice de aasche, don on peu dire qu ils représenen des moyennes arihméiques pondérées des faceurs de croissance désagrégés, andis que l indice de Tornqvis correspond à une moyenne géomérique pondérée de ces faceurs 17 Voir Diewer (1978), par exemple OBSERVATEUR INTERNATIONAL DE LA RODUCTIVITÉ 55

6 osons V Y, IB nominal (par conséquen, comme le faceur de croissance du es le raio du IB nominal au emps par rappor à sa valeur dans la période précédene) our simplifier les choses, nous supposons qu il es possible d agréger uniformémen ous les élémens inérieurs du IB dans un seul bien non échangé, de prix Nous calculons ensuie comme N, N un indice de Törnqvis des prix de la consommaion, de l invesissemen e des achas publics, osons comme le déflaeur de prix du IB Y, Celui-ci es aussi calculé comme un indice de prix de Törnqvis des prix des dépenses inérieures, des imporaions e des exporaions On peu alors définir Q comme l indice de Y, Törnqvis implicie du IB réel 18 : V 1) Y, Q, Y, Y, e Q comme l indice de Törnqvis du RIB Z, réel 19 : V ) Y, Q Z, N, La différence enre Q e concerne Y, Q Z, l indice de prix qui ser à déflaer le IB nominal : l indice de prix du IB dans un cas e l indice de prix des dépenses inérieures dans l aure Le rappor du RIB réel au IB réel défini le faceur des gains commerciaux ( ) : 3) T Z, Y, T es supérieur à un si le gain commercial es posiif, e il es inférieur à un en cas de pere commerciale On voi ou de suie de 1) 3) que peu aussi se calculer de la façon suivane : T 4) Y, T = Q Q V Y, T Auremen di, on peu mesurer le faceur des gains commerciaux en comparan les deux indices de prix servan à déflaer le IB nominal L imporan ici es que les prix des imporaions e des exporaions soien conenus dans, Y mais non dans, Effes des ermes de l échange e du aux de change réel osons e comme les indices de prix X, M, des exporaions e des imporaions respecivemen Nous définissons le prix des biens échangés ( ) comme la moyenne géomérique T, de ces deux prix : 5) 1 / 1 / ar rappor aux biens non échangés, le prix des biens échangés ( ) s écri donc : 6) S T, = X, M, Si l on sui le modèle ausralien, nous dirons que ce raio des prix correspond au aux de change réel 0 Quan aux ermes de l échange ( ), on les défini comme sui : 7) H X, On peu monrer (Kohli, 006) que s écrire ainsi : 8) où 9) H N, T, X, M, M, S T = T T H, S, T H, exp ω + ω M, / 1 M peu circonscri l effe des ermes de l échange dans le cas de l indice de Törnqvis e 1 / ω, X, 1 ln H + ω T X, + 18 our cee définiion, voir Diewer e Morrison (1986) e Kohli (004b) 19 Si l on préfère uiliser l agrégaion de Fisher, on pourrai ou aussi bien déflaer le IB nominal au moyen de l indice de prix de Fisher des dépenses inérieures 0 Voir la noe en bas de page 6 ci-avan e l annexe; Corden (199) propose aussi le nom «rappor de Saler» 56 N UMÉRO 13, AUTOMNE 006

7 Tableau 1 IB réel, RIB réel e gains commerciaux pour le Canada (faceurs de croissance annuelle) IB réel (Q Y, ) RIB réel (Q Z, ) Gains commerciaux (T ) Source: Les compes naionaux, Saisique Canada, le 31 mai, 006 Effe TdE (T H, ) Effe TCR (T S, ) 198 0,9717 0,9647 0,998 0,994 0, ,095 1,0304 1,0008 1,005 0, ,0543 1,0497 0,9956 0,9954 1, ,044 1,0408 0,9967 0,9971 0, ,063 1,0191 0,9931 0,9935 0, ,041 1,0498 1,0083 1,0087 0, ,045 1,0517 1,006 1,0067 0, ,048 1,0300 1,0051 1,005 0, ,0018 0,9963 0,9945 0,9945 1, ,9798 0,9746 0,9947 0,9946 1, ,0109 1,0067 0,9959 0,9960 0, ,033 1,0183 0,9950 0,9951 0, ,0454 1,043 0,9978 0,9976 1, ,073 1,0384 1,0108 1,0100 1, ,0158 1,011 1,0053 1,0058 0, ,0414 1,0387 0,9975 0,9978 0, ,0413 1,041 0,9835 0,9834 1, ,055 1,059 1,0063 1,0065 0, ,0516 1,0696 1,017 1,0164 1, ,0197 1,013 0,9936 0,9934 1, ,084 1,0175 0,9893 0,9908 0, ,0180 1,0377 1,0194 1,017 0, ,037 1,0473 1,0141 1,0149 0, ,090 1,0431 1,0137 1,0141 0, ,094 1,09 0,9998 1,0004 0, ,037 1,018 0,9981 0,9981 1, ,098 1,0379 1,0078 1,0085 0, ,065 1,047 1,0157 1,0169 0, ,071 1,083 1,0011 1,0014 0, ) T S, ω exp ω + ω, 1 M M, X, 1 + ω X, représene l effe du aux de change réel; ( ω ) e ω ( 1) corresponden à la par X, 1 M, ω M, des exporaions e des imporaions dans le IB au emps (-1) Ces deux effes mesuren l incidence sur le RIB réel, oues aures choses éan égales, d une modificaion des ermes de ln S ω X, l échange e du aux de change réel respecivemen our résumer, la décomposiion suivane du RIB réel es donc valide : 11) = Q T T Q Z, Y, H, S, Nous indiquons au ableau 1 les esimaions de,, T,, e pour la période Q Y, Q Z, T H, T S, Les moyennes géomériques pour la période complèe e pour les sous-périodes OBSERVATEUR INTERNATIONAL DE LA RODUCTIVITÉ 57

8 Graphique 1 IB réel e RIB réel au Canada (aux de croissance annuelle) IB réel choisies figuren au bas du ableau Voyons d abord la période complèe On consae que les gains commerciaux on eu un effe légèremen posiif, qui a aein en moyenne environ 0,1 % par année C es aussi l écar enre les aux de la croissance annuelle moyenne du RIB réel (,8 %) e du IB réel (,7 %) L effe des gains commerciaux s explique enièremen par l effe des ermes de l échange; en fai, l effe du aux de change réel a éé légèremen négaif dans l ensemble Cee conribuion négaive es aribuable au fai que le prix des biens échangés a chué par rappor aux prix des biens non échangés pendan la période, ce qui a eu un effe nuisible sur le revenu vu que le compe commercial du Canada éai en général excédenaire Le ableau 1 nous révèle aussi que l effe des gains RIB réel commerciaux es for insable, aeignan un niveau aussi bas que 0,9835 en 1998 (reranchan ainsi environ 1,6 % de la croissance du RIB réel), ou aussi élevé que 1,0194 en 003 (ajouan ainsi près de % à la croissance du revenu réel) De fai, le gain aurai éé encore plus marqué en 003 n eu éé de l effe négaif relaivemen imporan du aux de change réel La meilleure façon d examiner l écar enre la croissance du RIB réel e du IB réel pour chacune des années es d uiliser un graphique C es ce que fai la graphique 1, où l on voi que les écars on effecivemen éé élevés à cerains momens, surou dans les dernières années Si l on revien au ableau 1, plus pariculièremen aux sous-périodes, nous consaons que les gains commerciaux on éé faibles, en moyenne 1 Il s agi de données annuelles irées des compes naionaux du Canada (paruion du 31 mai 006) Je remercie Andrew Sharpe de m avoir fourni ces données 58 N UMÉRO 13, AUTOMNE 006

9 pendan les années 80 e 90 Depuis le débu du siècle, cependan, e surou depuis rois ans, il es rès clair que la croissance du IB réel a largemen sous-esimé la croissance du revenu réel Ainsi, de 00 à 005, le IB réel a augmené dans l ensemble de 8, %, alors que le RIB réel progressai de 13,4 % L effe cumulé des gains commerciaux de 4,8 % au cours de ces rois ans peu s expliquer par un effe posiif de 5, % des ermes de l échange e par un effe négaif de 0,3 % du aux de change réel Ces résulas nous indiquen que l opinion des économises canadiens rapporée dans le Financial Times e présenée dans l inroducion es effecivemen valable Conclusions Comme le démonren les esimaions pour le Canada, le aux de croissance de la valeur ajouée réelle peu s écarer sensiblemen du celui du IB réel Il es imporan que non seulemen les chercheurs e les analyses économiques, mais aussi les décideurs se rappellen de ce fai S ils concenren leur aenion exclusivemen sur le IB réel, les décideurs risquen de ne pas voir l évoluion imporane du poeniel de dépense du pays provenan des gains commerciaux arce que le IB réel concerne d une façon éroie la producion inérieure, sans enir compe des gains e peres des ermes de l échange ni des mouvemens du aux de change réel, nous croyons que le RIB réel serai une meilleure mesure de la valeur ajouée réelle Quoi qu il en soi, beaucoup d aures quesions imporanes n on pas éé abordées ici our cee raison, si l on désire mesurer le revenu, on peu préendre que le produi naional bru (NB) ou le revenu naional bru (RNB) son plus perinens que le IB ou le RIB du fai que les conceps naionaux iennen compes du revenu ne provenan de l éranger Dans le cas de la Suisse, par exemple, compe enu de ses énormes avoirs de capiaux à l éranger, l écar es noable an pour ce qui es des niveaux que des aux de croissance Un aure problème ien à l écar enre les mesures brues e nees de la valeur ajouée e du revenu On pourrai sans aucun doue préendre que le revenu naional ne (RNN) es une meilleure mesure du revenu d un pays e de son poeniel d absorpion que le RNB Erwin Diewer e ses collègues le démonren avec beaucoup de vigueur e de convicion depuis quelques années 3 Cela a d auan plus d imporance lorsqu on capialise les dépenses en logiciels : elles représenen une valeur beaucoup plus imporane dans le IB (RNB) que dans le IN (RNN) Que signifien les gains commerciaux pour la mesure de la producivié? En ce qui concerne la TF, aucune conséquence n apparaî Il impore peu que la TF soi mesurée par rappor au IB réel ou au RIB réel puisque l écar enre ces deux indices quaniaifs es oalemen inclus dans les gains commerciaux Il y aura ouefois un écar en ce qui concerne la producivié moyenne du ravail, puisque le numéraeur n es pas le même, selon qu on ienne compe ou non des gains commerciaux Les mêmes considéraions s appliquen à la mesure marginale (plus perinene) de la producivié du ravail, qu on peu approximer au moyen du aux de salaire réel : son ampleur repose de oue évidence sur le déflaeur de prix uilisé Si l on corrigeai les salaires nominaux au moyen du prix des dépenses inérieures pluô que du déflaeur du IB, les deux mesures de la producivié du ravail varieraien dans exacemen les mêmes proporions, comme l indique une comparaison de 3) e 4) Malgré son imporance, la producivié n es pas le seul faceur en cause Comme nous l indiquons dans nore exposé, la naure des gains commerciaux ressemble beaucoup à celle des Voir Kohli (005) Duguay (006) a exprimé la même vue 3 ar exemple, voir Diewer, Mizobuchi e Nomura (005) e Diewer e Lawrence (006) OBSERVATEUR INTERNATIONAL DE LA RODUCTIVITÉ 59

10 progrès echnologiques e des hausses de producivié De plus, la disincion enre le IB e le NB (ou enre le RIB e le RNB) doi nous rappeler que si les aciviés économiques on pour bu ulime de maximiser le bien-êre, il es alors parfaiemen sensé de prendre des mesures pour augmener le revenu ne reçu de l éranger (p ex, les sories de capiaux vers le rese du monde), même si elles n on aucune incidence sur la producivié inérieure (quelle que soi la mesure uilisée) ou sur les gains commerciaux plus précisémen Cela nous indique qu il serai sans doue avanageux d examiner dans l avenir un concep plus large de la producivié, à savoir une mesure naionale pluô qu une simple mesure inérieure Annexe : Les ermes de l échange e le aux de change réel On uilise parfois l un pour l aure les ermes de l échange e le aux de change réel, mais ce son effecivemen deux conceps disincs Même s il peu y avoir une relaion univoque enre les deux variables comme le préconise le modèle macroéconomique d économie ouvere de Mundell (1963)-Fleming (196), cee relaion ne ien généralemen pas dans les modèles de plus de deux biens Les ermes de l échange e le aux de change réel dans le modèle de Mundell-Fleming renons l exemple de deux pays : le pays de dépar e le pays éranger Les variables érangères son marquées d un asérisque (*) Chaque pays produi un bien final Les deux biens fon l obje d un commerce inernaional Leurs prix son e * Comme à l habiude, nous supposons qu il n y a ni barrière commerciale ni coû de ranspor Comme nous examinons ici des variables réelles, posons en hypohèse que la poliique monéaire inérieure es appliquée de façon à mainenir consan le aux de change nominal Nous pourrions aussi supposer que la monnaie es la même au pays de dépar qu à l éranger Dans ce modèle, les ermes de l échange (H) son : A1) H osons λ comme la par du bien du pays de dépar dans l ensemble des dépenses inérieures On peu alors définir le niveau du prix dans le pays de dépar ( Π ) comme éan : A) 1 Π De même dans le pays éranger : 1 * λ A3) Π λ λ λ * On défini souven le aux de change réel (E) comme le rappor des niveaux de prix des deux pays (ainsi défini, le aux de change réel es aussi connu sous le nom de aux de change réel de la ; voir Edwards (1989)) : λ 1 * λ* Π λ* λ A4) E = = H 1 λ λ Π Si les préférences son elles que λ es sricemen plus élevé (moins élevé) que λ, E es une foncion décroissane (croissane) monoone de * H ar exemple, si λ > λ (c-à-d si les préférences visen le produi local dans les deux pays), oue amélioraion des ermes de l échange (une augmenaion de H) signifie nécessairemen une appréciaion réelle de la monnaie naionale (diminuion de E) Si les goûs son les mêmes dans les deux pays, c-à-d * si λ = λ, le aux de change réel es alors consan Les ermes de l échange e le aux de change réel dans un modèle à quare biens renons mainenan l exemple d un modèle à deux pays e à quare biens Deux biens inermé- 60 N UMÉRO 13, AUTOMNE 006

11 diaires son échangés e deux biens finis ne son pas échangés Le bien non échangé du pays de dépar (pays éranger) es indiqué comme N (N*) e les deux biens échangés (selon le poin de vue du pays de dépar) son idenifiés par X e M Le prix du bien i (i = N*, X, M) s écri sous la forme i Ce modèle es un peu plus général que le modèle ausralien classique puisqu il renferme deux pays e qu il ne regroupe pas les imporaions e exporaions dans un bien composie De plus, les biens échangés son considérés comme des produis inermédiaires pluô que comme des produis finis Signalons aussi que parce qu il n y a qu un seul bien final dans chaque pays, le prix du bien non échangé peu êre inerpréé comme éan le niveau de prix ( Π = Π = N,, N, ) Le aux de change réel de la s écrirai par conséquen comme sui : A5) E, alors que les ermes de l échange correspondraien à l équaion 7), répéée ici pour des raisons praiques : A6) H X, M, Le rappor du prix des biens échangés e non échangés es le même qu en 6) ci-avan : T, X, M, A7) S =, e c es la même chose dans le pays éranger : T, X, M, A8) S = Si l on dispose de quare prix, il ne peu y avoir que rois rappors de prix indépendans De fai, on consae que : A9) E = N*, S S N*, Si l on suppose que le pays de dépar es une peie économie ouvere, la valeur de S* peu donc êre prise elle quelle e une corrélaion parfaie exise enre E e S, d où la possibilié d uiliser les deux variables l une pour l aure E 1 (ou S) e H, en revanche, peuven êre considérés comme des variables pleinemen indépendanes dans le cas de la peie économie ouvere Références Ausralian Bureau of Saisics (004) «The Terms of Trade and he Naional Accouns», Ausralian Naional Accouns: Naional Income, Expendiure and roduc, décembre Burgess, David F (1974) «roducion Theory and he Derived Demand for Impors», Journal of Inernaional Economics, Vol 4, p Corden, W Max (199) «Dependen Economy Model of he Balance of aymens», dans New algrave Dicionary of Money and Finance (London, Macmillan) Denison, Edward F (1981) «Inernaional Transacions in Measures of he Naion s roducion», Survey of Curren Business, Vol 61, p 17-8 Diewer, W Erwin (1976) «Exac and Superlaive Index Numbers», Journal of Economerics, Vol 4, p Diewer, W Erwin (1978) «Superlaive Index Numbers and Consisency in Aggregaion», Economerica, Vol 46, p Diewer, W Erwin, e Denis Lawrence (006) Measuring he Conribuions of roduciviy and Terms of Trade o Ausralia s Economic Welfare, rappor présené par Meyrick and Associaes à la Commission de producivié, Canberra Diewer, W Erwin, Hide Mizobuchi e Koji Nomura (005) «On Measuring Japan s roduciviy, », manuscri non publié Diewer, W Erwin, e Caherine J Morrison (1986) «Adjusing Oupu and roduciviy Indexes for Changes in he Terms of Trade», Economic Journal, Vol 96, p Dornbusch, Rudiger (1980) Open Economy Macroeconomics, New York (NY), Basic Books Duguay, ierre (006) «roducivié, ermes de l échange e ajusemens économiques», exposé présené devan l Associaion canadienne de science économique des affaires, Forum sur les poliiques e perspecives économiques, Universié Queen s, Kingson (Onario), 8 aoû 006 Edwards, Sebasian (1989) «Economic Liberalizaion and he Equilibrium Real Exchange Rae in Developing Counries», dans Guillermo Calvo, Ronald Findlay, eni Kouri e Jorge Braga de Macedo (réd), Deb, Sabilizaion and Developmen, (Oxford, Blackwell) Fleming, JM (196) «Domesic Financial olicies under Fixed and under Floaing Exchange Raes», IMF Saff apers, Vol 9, p OBSERVATEUR INTERNATIONAL DE LA RODUCTIVITÉ 61

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