Irrigation souterraine
|
|
- Chrystelle Coutu
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE 9 Irrigation souterraine 9.1 INTRODUCTION Les systèmes de drainage souterrains peuvent aussi être utilisés pour faire de l irrigation. L irrigation souterraine n est pourtant pas une technique nouvelle, elle est pratiquée en Hollande, depuis fort longtemps, aux moyens de canaux ouverts(hooghoudt, 1952). Selon Criddle et Kalisvaart(1967), la Hollande possède le réseau d irrigation souterraine le plus étendu au monde. Renfro(1955) et Stephens(1955) mentionnent déjà l utilisation de l irrigation souterraine et du drainage contrôlé dans plusieurs parties des Etats-Unis. 9.2 DÉFINITION L irrigation souterraine peut être définie comme l action de fournir l eau aux plantes en dessous de la surface du sol, en maintenant une nappe d eau artificiellement élevée, de façon à maintenir la meilleure combinaison d eau et d air dans la zone des racines pour des rendements maximaux. I1 faut bien distinguer l irrigation souterraine( subirrigation ) de la micro-irrigation localisée( subsurface irrigation ) qui est aussi un système qui fournit de l eau sous la surface du sol, mais à chaque plan de façon individuelle, tel l irrigation goutte-à-goutte. L irrigation souterraine peut se faire à l aide de tuyaux perforés enterrés ou de canaux ouverts. Jusqu à il y a une vingtaine d années, l irrigation souterraine se faisait par des canaux ouverts uniquement. Israelsen(1962) et Renfro(1955) décrivent plusieurs réseaux de ce genre situés dansdiversesrégionsdesetats-unisetdontlescanauxsontespacésde15à90m.souscertaines conditions de sol, les canaux pourraient être espacés de 300 mètres(zimmerman, 1966). EnFloride,iln estpasraredevoirdesespacementsde120m.pourdessolsorganiquespossédantuneperméabilitédel ordrede5à6m/jour.
2 158 IRRIGATION SOUTERRAINE L utilisation de canaux ouverts pour l irrigation souterraine au Québec s avère moins avantageuse que l utilisation de réseaux enterrés. En effet, le réseau de conduites enterrées permet à la fois le drainage et l irrigation, rentabilisant ainsi l investissement nécessaire. Ce chapitre traitera donc de l irrigation souterraine à l aide d un système de drainage souterrain. 9.3 PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT DES SYSTÈMES Forme de la nappe sous irrigation souterraine Lafigure9.1montrelaformequeprendlanappeentredeuxdrainslorsdel irrigationsouterraine et du drainage. On peut remarquer que sous irrigation souterraine, on obtient une forme concave contrairement à la forme convexe constatée lors du drainage. En effet, c est la différence d élévation de la nappe qui crée le mouvement latéral de l eau. Dans le cas de l irrigation souterraine, l eau doit s écouler des drains vers le point milieu entre deux drains afin de combler les pertes par évapotranspiration. Figure 9.1 Forme de la nappe entre deux drains lors de l irrigation souterraine et du drainage. La différence d élévation de la nappe entre deux drains m est un facteur très important à considérer puisque de lui dépend l uniformité d approvisionnement en eau des racines Structure de contrôle du niveau de la nappe Le contrôle du niveau de la nappe d eau souterraine est effectué à l aide d une structure appelée chambre de contrôle. La chambre de contrôle doit permettre le fonctionnement du système de tuyaux enterrés sous les deux modes: irrigation et drainage. La figure 9.2 montre un arrangement possible pour une chambre de contrôle, qui, dans ce cas, est constituée d un tuyau en acier galvanisé de 1,2 m. de diamètre. Le contrôle du niveau de l eau dans la chambre de
3 PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT DES SYSTÈMES 159 contrôle s effectue à l aide d un panneau amovible au centre de la chambre. Si le niveau d eau s élevait dans la chambre de contrôle, le trop plein se déverserait de l autre côté du panneau amovible.l eauenprovenancedelapompeestdéverséedanslapartiereliéaveclesystèmede drainage.ladifférencedeniveauentrel eaudanslachambredecontrôleetlanappedanslesol provoqueàelleseulele mouvement de l eau de lachambre versle systèmede tuyaux. En période de drainage, le panneau amovible peut être enlevé et tout le système se comporte comme un réseau de drainage conventionnel. Figure 9.2 Chambre de contrôle(d après Hawkins, 1979). I1 est possible d imaginer plusieurs types de chambre de contrôle, tel celui montré à la figure 9.3oùleniveaud eauestmaintenuconstantàl aided untuyauvertical.sileniveauvenaita monter,l eau pénétrerait dans le tuyau et serait drainée vers le fossé ou cours d eau. Une trappe, àlabasedelachambredecontrôle,peutêtreouvertepourpermettreundrainagecomplet. La figure 9.4montre une chambre à flotte. Elle est construite en chlorure de polyvinyle(pvc) etsondiamètrevarieentre100et300mm.légère,peuencombranteetfacileàinstalleretà ajuster,lachambreàflotteestdisponiblesurlemarchéetelleestdeplusenplusutilisée. Quelque soit le type de chambre de contrôle adopté, il importe: 1. queleniveaud eaudanslachambrepuisseêtrevariableafind ajusterleniveaudela nappe dans le sol ou pour permettre un drainage partiel lors de fortes précipitations; 2. quetouteformedecontrôlepuisseêtreenlevéedelachambreafinquelesystèmese comporte comme un système de drainage en automne et au printemps.
4 160 IRRIGATION SOUTERRAINE Figure 9.3 Position de la chambre de contrôle par rapport au système de drainage souterrain Figure 9.4 Chambre de contrôle en PVC avec flotteur Système d alimentation en eau Les chambres de contrôle, tel que montrées aux figures 9.2, 9.3 et 9.4, seraient très peu efficaces au niveau économie d eau si le seul système de contrôle utilisé était constitué d un panneau oud untuyauservantàdéverserletroppleinverslefossé.eneffet,lademanded eaudelapart desculturesvarieconstammentalorsqueledébitdelapompeestconstant.i1estdoncnéces-
5 PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT DES SYSTÈMES 161 saire d installer une valve à flotte qui contrôlera l alimentation en eau. Afin d éviter la surchauffedelapompe,ilfautprévoir,enplus,unevalvedesécuritéassurantundébitminimum lorsque la valve à flotte est fermée. Une pompe actionnée par un moteur diesel ou électrique peut être utilisée. Dans le cas d un moteur électrique, i1 ne faut pas penser à utiliser un système électrique de flottes pour le départ etl arrêtdelapompepuisquelavitessed abaissementduniveaud eaudanslachambreesttel qu il nécessiterait de fréquents arrêts et départs pouvant endommager le moteur Arrangement des systèmes La figure 9.3 montre l emplacement de la chambre de contrôle par rapport au système de drainage dans le cas où le terrain est suffisamment plat pour n utiliser qu une seule chambre. Dans lecasprésenté,l eauestpompéeàpartird unréservoircréésuruncoursd eauàl aided un barrage amovible. Commementionnéprécédemment,ladistanceentrelasurfacedusoletlanappeestdepremière importance pour obtenir une alimentation en eau uniforme des cultures. Ceci n implique pas qu il soit impossible d irriguer souterrainement un terrain en pente. Dans un tel cas, il faut contrôler la nappe par secteur en utilisant plusieurs chambres de contrôle. L alimentation peut se faire à chaque chambre individuellement ou, lorsque la chose est possible, en alimentant uniquementlachambrelaplusélevéetelquemontréàlafigure9.5.onpeutvoirquechaque chambreenavalestalimentéeparletroppleindelaprécédente. Figure 9.5 Configuration d un système d irrigation souterraine dans le cas d un terrain en pente.
6 162 IRRIGATION SOUTERRAINE Drainage contrôlé Dans les régions où l eau est difficile à obtenir pour l irrigation, le rendement des cultures peut être amélioré même si aucune eau d irrigation n est ajoutée à la chambre de contrôle. L eau présentedanslesolauprintempspeutêtreconservéeendiminuantledrainageàl aidedela chambre de contrôle. Cette technique est appelée drainage contrôlé et est largement utilisée aux Etats-Unis et au Québec. La réserve d eau ainsi créée permet l approvisionnement en eau des cultures au début de la saison de croissance. 9.4 CRITÈRES D APPLICATION L irrigation souterraine, par rapport à l irrigation par aspersion, offre de multiples avantages dont les principaux sont: Peudetravailrequispourl opérationdusystème;pasdetuyauxàdéplacer. Unseulsystèmepourl irrigationetledrainage. Lescoûtsd entretiensontpeuélevés. Aucundélain estoccasionnédanslespratiquesculturalesparl irrigation. Diminutiondulessivagedesélémentsnutritifsdanslazonedesracines. Lecontrôledesmauvaisesherbesestfacilité.Lasurfacedusolresteplussèche,créant un milieu inhospitalier à la germination des graines de mauvaises herbes. Lespertesparévaporationsontdiminuées.L évaporationsurvientdanslacouchelaplus près du sol, or celle-ci n est que très peu mouillée par l irrigation souterraine. Avec tous ces avantages, il est surprenant que l irrigation souterraine ne soit pas plus répandue. La raison est que l implantation de l irrigation souterraine requiert un ensemble de conditions naturelles qui ne se retrouvent pas facilement Perméabilité du sol C est l un des facteurs les plus importants à considérer pour l irrigation souterraine. De façon pratique, il sera difficile de pratiquer l irrigation souterraine dans des sols possédant une conductivité hydraulique inférieure à 0,5 mètre/jour. La perméabilité du sol affecte directement l uniformité de 1a distribution de la nappe entre deux drains. Pour un espacement de drains donné, plus la perméabilité du sol sera faible, plus ladifférencedeniveaudelanappe(voir m àlafigure9.1)seragrande. Notons qu il est possible techniquement d irriguer des sols avec une faible conductivité hydraulique. Ceci nécessite toutefois un faible écartement de sorte que la rentabilité est plus difficile à obtenir Nature du sous-sol Afin d éviter les pertes par infiltration profonde, et par conséquent, une diminution de l efficacité du système, il est nécessaire d avoir une couche imperméable à une profondeur maximale
7 PROFONDEUR DE LA NAPPE 163 d environ 2 mètres. Cette couche imperméable peut être constituée d une nappe d eau naturellement haute, d une couche d argile ou d un lit de roche imperméable. De plus, la couche imperméable doit être le plus horizontale possible de façon à réduire les pertes par écoulement latéral Topographie du terrain La superficie à irriguer doit être idéalement horizontale ou avec une pente légère(0,2%) dans la même direction. Une pente trop accentuée occasionne des différences de profondeur entre la nappeetlasurfacedusol,créantainsidespartiesduchampoùlacultureestmoinsbienirriguée. Cette situation peut toutefois être améliorée en effectuant un contrôle de nappe par secteurs tel que décrit précédemment. Il importe aussi que la topographie soit assez uniforme pour éviter l inondation dans les dépressions et l assèchement dans les parties les plus élevées. I1 peut donc être nécessaire d effectuer des travaux de nivellement avant d utiliser l irrigation souterraine Typedesol L irrigation souterraine peut être recommandée pour les sols loameux et sableux ainsi que dans les sols organiques. Habituellement, ces sols vont posséder les caractéristiques de perméabilité et de taux de remontée capillaire requis pour l irrigation souterraine. En ce qui concerne les sols organiques, le contrôle de la profondeur de nappe offre l avantage, en plus d augmenter les rendements, de réduire considérablement l affaissement dû à l oxydation en milieu aérobique. Des expériences ont été effectuées au Québec en ce sens(campbell et Millette, 1981). De plus, une nappe d eau plus élevée maintient la surface du sol plus humide, diminuant ainsi les risques d érosion éolienne. 9.5 PROFONDEUR DE LA NAPPE La profondeur à laquelle la nappe doit être maintenue pour combler les besoins d évapotranspiration d une culture est un facteur important à considérer en irrigation souterraine. En l absence de précipitation ou d autres modes d irrigation, le taux d évapotranspiration réel d une culturedonnéeestfonctiondelaprofondeurdelanappe.pluslanappeestprofonde,moinsle taux d évapotranspiration sera élevé. Laprofondeurmoyennedelanappe,p (figure9.7)estlepremierfacteuràdéterminerlorsde la conception d un système d irrigation souterraine. En effet, cette profondeur influence l élévation de la nappe au dessus des drains et en conséquence, l espacement des latéraux.
8 164 IRRIGATION SOUTERRAINE La profondeur optimale de la nappe est fonction de la profondeur d enracinement et du taux de remontée capillaire du sol. On peut donc définir la profondeur moyenne de la nappe, p par: p =p 1 +p 2 [9.1] p 1 =profondeurd enracinement p 2 =distanceentrelebasdelazonedesracinesetlanappe Enirrigationsouterraine,l eauestsoutiréedusolparlesracinesenpresquetotalitéaubasdela zone racinaire. Ceci a été démontré par Whisler et al. (1968), et implique que la remontée capillairenes effectuequ entrelanappeetlebasdelazonedesracines(p2) La détermination théorique du taux de remontée capillaire n est pas chose aisée car elle nécessite des expérimentations au champs complexes (Hillel et al. (1972), ainsi que la solution numérique d équations différentielles partielles non-linéaires. Bien que plusieurs expériences aient été effectuées aux États-unis(Williamson et Kriz, 1970; Benzetal.,1978;Benzal.,1984;Dotyal.,1984)pourdéterminerlaprofondeuroptimaledela nappe pour obtenir un rendement maximal, le transfert des résultats est difficile en raison des différences dans les types de sol et des variations dans les conditions climatiques. On suggère donc d évaluer la profondeur d enracinement (p 1 ) à chaque site particulier. La figure 9.6 peut donner une estimation approximative du taux de remontée capillaire en fonctiondeladistanceentrelebasdelazoneracinaireetlanappe. Au Québec, des expériences ont été effectuées à Ste-Victoire, dans le comté de Richelieu, avec dumaïsgrainsurunloamsableuxfin.lanappeétaitmaintenueà0,60msouslasurfacedusol (p ). En 1983, les parcelles irriguées ont donné en moyenne un rendement de grains secs supérieure de 86% sur celui des parcelles non-irriguées. 9.6 CONCEPTION Cette section vise à fournir un outil aux personnes éventuellement appelées à concevoir des systèmes d irrigation souterraine. Trois facteurs sont importants à considérer lors de la conception: a) L espacement des latéraux. b) Laprofondeurdelanappe. c) Lapuissancedelapompe. Ceux-ci seront examinés successivement Espacement des latéraux C est le facteur le plus important à déterminer puisque de lui dépend la rentabilité d un système d irrigation souterraine.
9 CONCEPTION 165 PROFONDEURDELANAPPESOUSLAZONEDESRACINES(cm) 1 Argile lourde 2 Sable loameux 3 Argile 4 Sol Organique 5 Argile 6 Loam sableux 7 Loam sableuxfin 8Loamsableuxtrèsfin TAUX DE REMONTÉE CAPILLAIRE(mm/j) Figure 9.6Tauxderemontéecapillaireenfonctiondeladistanceentrelebasdelazonedes racines et la nappe(d après Doorenbos et Pruit, 1977). Fox et(1956) semblent être les premiers à avoir établi des critères de conception pour l irrigation souterraine. Aujourd hui, les critères de conception sont mieux connus. Skaggs(1979) mentionne que pour la détermination de l écartement entre les drains, trois cas doivent être considérés: 1. Irrigation: Régime permanent. Le système doit être en mesure de maintenir la nappe d eau à une position stable en période de forte évapotranspiration. 2. Irrigation: Régime transitoire. La nappe peut être très loin de la hauteur désirée au débutdelasaisondecroissance.deplus,lanappepeutdescendresousleniveau vouludurantlasaisondecroissancedûaunbrisdel équipementouàuneerreurde
10 166 IRRIGATION SOUTERRAINE l opérateur.lesystèmedoitdoncêtreconçudefaçonàremonterlanappeàlahauteur désirée dans une période de temps acceptable. 3. Drainage Quand des périodes de fortes précipitations surviennent, le système doit être tel qu il permette l élimination de l excès d eau en un court laps de temps. Le plus petit des trois espacements est alors sélectionné. Le cas du drainage est amplement documenté et la présente section traitera du calcul de l espacement en régime permanent et transitoire pour l irrigation souterraine Espacement sous évapotranspiration constante Apartirdelalittératurerevuesurlesujet,ilapparaîtqu uneseuleéquationaétéutiliséepourla détermination de l espacement pour l irrigation souterraine en régime permanent. I1 s agit de l équation de Hooghoudt(Luthin, 1978). Fox et_al(1956) ont développé une équation pour l espacement des drains qui n est essentiellement qu une forme de l équation de Hooghoudt. L équation de Hooghoudt, pour l irrigation souterraine, peut s écrire comme suit: L 2 = 4K e ( 2m(E+de)) m 2 [9.2] L = l espacement entre les drains(m) K = conductivité hydraulique(m/j) e = taux d évapotranspiration(m/j) de = profondeur équivalente(m) E=hauteurdelanapped eauau-dessusdesdrains(m) m=déflexionmaximaledelanappe(m) Chaque paramètre est identifié à la figure 9.7. La conductivité hydraulique est celle obtenue à partir des tests de perméabilité au champ. Le taux d évapotranspiration dépassera rarement 6 mm/jour au Québec. Toutefois, pour être sécuritaire, la conception devrait être basée sur 8 mm/jour. Ladéflexionmaximaleànepasdépasser( m )devraitêtreaumaximum0,30cmoumoins.i1 ne faut pas oublier que durant les heures de forte évapotranspiration(12:00-14:00), le systèmeneserapascapabledecompenserlespertesetquelanappeentredeuxdrainspeuts abaisserjusqu à10cmdeplusqueleniveaudésiré.
11 TEMPS DE REMONTÉE DE LA NAPPE 167 Figure 9.7 Position de la nappe avec irrigation souterraine sous évapotranspiration constante.. LahauteurdelanappeEau-dessusdesdrainsestfonctiondeladistancedésiréeentrelasurfacedusoletlanapped eau.eneffet,d aprèslafigure9.7,onpeutvoirque E =P p [9.3] P=profondeurdesdrains(m) p=profondeurdelanappeau-dessusdesdrains(m) Toutefois,laprofondeurdelanappepaudessusdesdrainsestfonctiondeladéflexionmetde laprofondeurdenapperequisepouruneculturedonnéep,cequidonne: p =p m 2 E =P p +m 2 [9.4] [9.5] La profondeur requise p pour satisfaire les besoins d évapotranspiration est fonction du type decultureetdutauxderemontéecapillaireetestexaminéeàlasection9.5.laprofondeur équivalente d écoulement sous les drains de est fonction de l écartement des drains L ainsi que deladistanceentrelesdrainsetlacoucheimperméabled. 9.7TEMPSDEREMONTÉEDELANAPPE Les paramètres utilisés dans cette section sont décrits à la figure 9.8. D après Skaggs(1979), le taux de remontée de la nappe peut être décrit par l équation suivante, souvent appelée équation de Boussinesq:
12 168 IRRIGATION SOUTERRAINE Figure 9.8 Description des paramètres liés à la détermination du temps de la remontée de la nappe. f h t =K x h h x +e [9.6] f = porosité équivalente de drainage(fraction) h=distanceentrelanappeetlacoucheimperméableajustépourde(m) t=temps(four) K = conductivité hydraulique(m/j) x=coordonnéehorizontaleàpartirducentred undesdrains(m) e = taux d évapotranspiration(m/j)(négatif; précipitation: positif) L équation(9.6) peut être réécrite sous une forme adimensionnelle en opérant les transformations suivantes: H = h h o ξ = x L μ = el2 Kh 2 o τ = Kh o fl 2 t [9.7] [9.8] [9.9] [9.10] h o =Elévationdelanappeauniveaududrainau-dessusdel imperméable(ajustépourde) (m) L=écartement(m)
13 TEMPS DE REMONTÉE DE LA NAPPE 169 L équation(9.6) se réécrit donc: H τ = H H ξ ξ +μ [9.11] L équation (9.11), sujette aux conditions limites appropriées, peut être résolue numériquement.lessolutionsdehenfonctiondeτsontdonnéespourlepointmilieuentrelesdrains (ξ= x/l=0,5)auxfigures8.9à8.12inclusivementpourdesvaleursdeµde0, -1, -2et -3 respectivement. Notons que pour les figures 8.10 à 8.13: H = h 1 h o [9.12] h 1 =l élévationdésiréedelanappeaudessusdel imperméable(ajusté pourd e )aupointmilieuentredeuxdrains(figure9.8). LessolutionssontdonnéespourdesvaleursdeDallantde0à0,95. D = h i h o [9.13] h i =l élévationinitialedelanappeaudessusdel imperméable(ajusté pourd e )aupointmilieuentredeuxdrains Débit de pointe requis de la pompe d alimentation I1 a été vu précédemment que pour le Québec, le taux d évapotranspiration ne devrait jamais dépasser 6 mm/jour. Toutefois, cette valeur ne doit pas être répartie sur 24 heures puisque presque toute l évapotranspiration se produit entre 8:00 et 20:00, le pic se produisant vers 13:00 et correspondant à environ 11% de la valeur journalière. Lavaleurde6mm/jourcorrespondraitdoncenfaitàunevaleurmoyennehorairede6mm/12 heures=0,5mm/heure.lavaleurhorairedepointedeviendraitdonc6,0mmx0,11=0,67 mm/heure. Toutefois, il n est pas logique d utiliser la valeur de pointe de 0,67 mm/heure comme base de calcul pour le dimensionnement de la pompe. En effet, le système est conçu pour pouvoir fournir 8 mm/jour ou 0,33 mm/heure à la culture(section 9.6.2). Même si l évapotranspiration de lacultureenpériodedepointeest0,67mm/heure,lemouvementlatéraldel eaudanslesoldu drain au point milieu entre deux drains ne pourra se faire assez rapidement et on constatera alorsunebaisseduniveaudelanappe. On devrait donc baser le dimensionnement de la pompe sur un taux d évapotranspiration horaire de 0,40 mm/heure, soit 0,33 mm/heure plus un facteur de sécurité de 20%. Lespertesduesàladifférencedeniveauentrelanappedanslapartieirriguéeetcelledansla partie non-irriguées n ont pas besoin d être considérée dans les cas où la différence de niveau estinférieureà1,0metoùlaconductivitéhydrauliquedusolestpluspetiteque1,5m/jour.
14 170 IRRIGATION SOUTERRAINE 9.8 RECOMMANDATIONS POUR L OPÉRATION DES SYSTÈMES D IRRIGATION SOUTERRAINE Les points suivants devraient être gardés à l esprit lors de l utilisation d un système d irrigation souterraine. 1. Lachambredecontrôledevraitdépasserd aumoins0,5mlasurfacedusol.eneffet, tel que vu à. la section 9.7, il peut être nécessaire d élever temporairement le niveau d eaudanslachambredecontrôleaudessusdelasurfacedusolafindediminuerle tempsderemontéedelanappe. 2. Durant la saison de croissance, le système de débordement de la chambre de contrôle devraitêtreréglédefaçonàéviterqueleniveaud eaupuissemonterassezhautpour nuireàl aérationdelazonedesracines. 3. Lesystèmededébordementdelachambredecontrôledevraitêtreconçudefaçonà ce qu il soit possible de faire varier le niveau d eau. 4. Al automne,avantlarécolte,lavalvedefonddevraitêtreouvertedefaçonàpermettre le drainage normal et à améliorer la trafficabilité. Cette mesure diminuera le gel du sol et assurera un réchauffement plus rapide au printemps. 5. Auprintemps,lavalvedefonddevraitêtreferméepourprévenirlaperted ungrand volume d eau. Ceci fournit l humidité nécessaire à une bonne germination. Toutefois, l élévation de la nappe 6. nedoitpasnuireàlatrafficabilitédelamachinerielorsdesopérations.enconséquence, le niveau d eau dans le sol doit être réglé plus bas qu en période d irrigation. Ceci peut être obtenu en ajustant le niveau du système de débordement. 7. Lorsqueleniveaud eaucommenceàdiminuerdanslachambredecontrôle,ilest nécessaire de commencer à ajouter de l eau d irrigation. 8. Dans le cas du mais poussant sur un sol sableux, l irrigation devrait se poursuivre jusqu au 15 août environ, lorsque les réserves en eau le permettent. 9.9 RÉGIONS POTENTIELLES POUR L IRRIGATION SOUTER- RAINE AU QUEBEC Compte tenu des critères d applications mentionnés à la section 9.4, certains secteurs semblent avoir un potentiel plus grand pour l irrigation souterraine: 1. Larégionàl estdurichelieu,entresoreletst-hyacinthe 2. LarégionsituéeentreJolietteetlefleuveSt-Laurent 3. Lazoneàl ouestdel îledevalleyfield
15 RESSOURCES EN EAU La zone périphérique au lac St-Pierre, principalement le groupe d îles à l ouest du lac. I1 ne s agit pas là des seules régions où l on est susceptible de rencontrer les conditions naturelles propices à l irrigation souterraine. Délimiter tous les secteurs potentiels pour l irrigation souterraine demanderait une étude extensive des sols agricoles de la province de Québec RESSOURCES EN EAU Un point à ne pas négliger lors de la planification d un projet d irrigation souterraine est celui des ressources en eau. L eau peut provenir de trois sources: 1. Étangdeferme 2. Cours d eau. 3. Eau souterraine. Lorsque l approvisionnement se fait à partir de l eau souterraine, il faut s assurer que celle-ci soit de qualité suffisante pour l irrigation. Il n y a généralement pas de problèmes de qualité quand l eau de surface est utilisée. L oubli de considérer les ressources en eau, dans la conception d un système d irrigation souterraine, peut résulter en un échec partiel qu une planification adéquate aurait pu éviter RECHERCHE EFFECTUÉE AU QUÉBEC Durant les étés 1982 et 1983, des expériences ont été réalisées afin d évaluer la faisabilité de l irrigation souterraine dans les sols sableux au Québec. LesexpériencessesontdérouléesàSte-Victoire,dansleComtédeRichelieu,surunloam sableux fin, d une profondeur moyenne de 1,6 m sur argile imperméable. La conductivité hydraulique mesurée en laboratoire était de 1,5 m/jour. Le champ expérimental, d une superficie de 10 ha, était semé en mais depuis 1967, et l était encoreen1982et1983. Le système de drainage existant a été modifié de façon à obtenir 8 parcelles, chacune contenant deux traitements: 1) avec irrigation souterraine; et 2) sans irrigation. Durant l été 1982, il ne fut possible d irriguer que deux parcelles. Sur les six autres parcelles, il fut impossible d élever la nappe en raison du colmatage des drains. A l automne 1982, les
16 172 IRRIGATION SOUTERRAINE drains défectueux ont été remplacés de sorte que le système expérimental était fonctionnel durant l été Durantl été1983,les8parcellesfurentirriguéesdu6au19juillet.durantcettepériode,la profondeur moyenne de la nappe se maintint à 75 cm dans les parcelles irriguées comparativement à 120 cm dans les parcelles non-irriguées. La figure 14 montre l influence des différents facteurs(pluie, évapotranspiration, irrigation) sur la position de la nappe dans le cas d une parcelle irriguée et d une parcelle non-irriguée. Les rendements obtenus pour l ensemble des parcelles sont montrés au tableau III. On peut remarquer une augmentation de rendement supérieure à 80~ dans le cas des épis et des grains. La recherche effectuée à date démontre donc que l irrigation souterraine est une technique réalisable au Québec EXEMPLES Exemple 1 - Écartement Dansunsolayantuneconductivitéhydraulique1,5m/jsuruneprofondeurde2,4m,unsystème d irrigation souterraine doit y être installé. On doit maintenir une profondeur moyenne delanappe(p )à60cm;ladéflexionmaximaleacceptée(m)estde30cmetlesdrainssonta uneprofondeurmoyenne(p)de130cm.parailleurs,onsaitque: profondeurdesolsouslesdrains=1,1m, laprofondeuréquivalentededrainage(de)estd environ0,9ensupposantunécartement d environ 25 m, uneévapotranspirationmaximalede8mm/j(0,008m/j)estconsidérée, Enutilisantl équation9.5,lahauteurdelanappeeau-dessusdesdrainsest: E=P -p +m/2= /2=85cm=0,85m L écartement peut se calculer par l équation 9.2: L 2 = 4 1,5 0,008 ( 2 0,3 (0,85+0,9)) (0,3) 2 =720m 2 L =26,8m Comme ici, l écartement trouvé (26,8 m) est très près de celui supposé pour trouver d e, aucune itération additionnelle n est nécessaire. Un écartement de 27 m répond aux objectifs Exemple2 -Tempsderemontée Dans cet exemple, nous allons chercher à calculer le temps que prendra le système de l exemple1pouratteindreleniveaud équilibre,soitunenappemoyenneà60cmdeprofondeur. La
17 EXEMPLE 1 - ÉCARTEMENT 173 porosité équivalente de drainage est assumé à 0,05. La figure 9.9 présente de façon schématique les données. Figure 9.9 Description des paramètres de l exemple 2. Initialement,lanappeesthorizontaleauniveaudesdrains(h i =0,9m)etilestsouhaitéd amenerlanappeàmi-cheminentrelesdeuxdrainsàuneprofondeurde0,75m(p +m/2),soitune hauteurh l =1,45m. LesparamètresDetHsontobtenus: D=hi/ho=0,9/1,75=0,51 H=h l /h o =1,45/1,75=0,83 Une situation avec une évapotranspiration nulle et une avec une évapotranspiration de 6 mm/j seront considéré. Pouruneévapotranspirationnulle(e=0ouµ=0),lafigure9.10avecunD=0,51etH=0,83 permet d obtenir un τ 0,18. Le temps de remontée peut alors être calculé selon l équation 9.10: t =0,18 0,05 (27m) 2 =2,5j ou 60heures 1,5m j 1,75m Pouruneévapotranspirationde6mm/j(e= - 0,006m/j)(lesignenégatifvientdufaitque l évapotranspiration est considérée négative dans les équations 9.6 et 9.11), µ peut être calculé selon l équation 9.9: μ = 0,006m j (27m) 2 == 0,95 1,0 2 1,5m j (1,75m)
18 174 IRRIGATION SOUTERRAINE Lafigure9.11avecunD=0,51etH=0,83permetd obtenirunτ 0,38. Letempsderemontée peut alors être calculé selon l équation 9.10: t =0,38 0,05 (27m) 2 =5,3j ou 127heures 1,5m j 1,75m On peut donc voir qu avec un taux d évapotranspiration de 6 mm/jour, il prendra 127 heures à lanappepours éleverde0,55m. Sicetempsestjugétroplong,deuxsolutionssontpossibles pourdiminuerletempsderemontée: Solution1:Diminuerl écartement. Solution2:Augmentertemporairementleniveaudelanappeaudessusdesdrains. Le tableau suivant résume les résultats obtenus pour l exemple 2 ainsi pour un cas des solutions1et2.onpeutvoirquelefaitderéduirel espacementà15mètres(solution1)diminue de beaucoup le temps de remontée. Toutefois, une diminution de l espacement implique des coûts additionnels non-négligeables alors qu augmenter temporairement le niveau d eau au dessus des drains(solution 2) pourrait donner les mêmes résultats sans aucun coût supplémentaire. Écartement (m) Niveau d eau Temps de remontée(heures) au-dessus des drains(m) e=0 e=6mm/j Exemple , Solution , Solution , Exemple3 -Débitdepompage Onirrigueunesuperficieavec12latérauxde500mespacésde20m. Quelestledébitrequisà la pompe? Le débit de la pomme est calculé sur la superficie pour un taux horaire d évapotranspiration de 0,4 mm/h. Superficie=12x20mx520m=124,800m 2 Débit=124,800m 2 x0,0004m/hx10001/m 3 x1/3600h/sec=141/sec
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailMéthodes d irrigation en milieu aride
Projet d Eau 2012 Tuteur : Nadia Saiyouri Méthodes d irrigation en milieu aride BARBISAN Nicola De SEVIN Hugo GABARROT François Le GAC Thibaut RYSAK Quentin ULLMANN Coralie Sommaire Introduction... 4 I
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailMISSION DE L ENTREPRISE. Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur le marché mondial
Bureau/presentation corpo/presentation goldcorp/powerpoint minautor AOUT 2013 MISSION DE L ENTREPRISE Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailMODÈLE C MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN
MODÈLE C MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.262.5010 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER LA PUISSANCE
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailRévision de la numérotation des règlements
Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailRAPPORT D INSPECTION
RAPPORT D INSPECTION Pour la propriété située au : 3900, rue Richard Montréal, QC Préparé pour : Mme Cliente Satisfaite Date de l inspection : jeudi, 4 sept, 2010 Inspecté par : Robert Zbikowski, I.A.B.
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailEîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR
Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailINSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521
INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 WWW.BURCAM.COM 2190 Boul. Dagenais Ouest LAVAL (QUEBEC) CANADA H7L 5X9 TÉL: 514.337.4415 FAX: 514.337.4029 info@burcam.com Votre pompe a été soigneusement emballée
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailPrévenir les dégâts d eau au sous-sol
Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A. De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel).
CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MODÈLE A De fabrication robuste, il est composé d un réservoir en acier doux où en acier inoxydable (stainless steel). Le réservoir galvanisé augmente l espérance de vie du chauffe-eau.
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailINSTRUCTIONS COMPLÉTES
INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailPrésentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com
1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailLe béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures
TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications
Plus en détailde l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction
de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction Guide de conception de projets GC-3.2.4 Fabrication et distribution de l'air comprimé et de l'eau réfrigérée (11/2007)
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailCommune de la Tène Viabilisation de la zone du casino
Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailGuide d installation Agrément n 2010-018
Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation
Plus en détailZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr
LeTélégonflage ZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr LeTélégonflage Qu est est-ce que le TELEGONFLAGE? C est
Plus en détailÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES
É D I T O R I A L assainissement non collectif concerne les immeubles, et notamment les L maisons d habitation individuelles, non raccordés à un réseau public de collecte des eaux usées. La directive européenne
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailOUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE
OUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE À quoi sert cet outil? Les musées obtiennent une image instantanée de la situation actuelle de leur réserve et bénéficient d un diagnostic préliminaire.
Plus en détailDrainage linéaire & stockage des eaux ACO DRAIN. Un tout nouveau concept de drainage. Q-max, drainage et réseau d égouttage en 1!
Drainage linéaire & stockage des eaux ACO DRAIN Un tout nouveau concept de drainage Q-max, drainage et réseau d égouttage en 1! 1 drain Nous nous occupons du drainage Partout dans le monde, le groupe ACO
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailLES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO
LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO Peu importe le domaine d activité, les entreprises les plus florissantes
Plus en détailLOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage
LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailSystème de gaine DICTATOR
Système de gaine DICTATOR Le système de gaine modulaire pour le rattrapage Approuvé selon EN 1090 Un ascenseur devient de plus en plus important pour la vie quotidienne, non seulement dans les bâtiments
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailAvant d aller à la recherche d un terrain
Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.
Plus en détailDÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR
DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailCHAUFFAGE RADIANT RÉCHAUFFER LA MAISON AVEC UN PLANCHER CHAUFFANT. www.rehau.com. Construction Automobile Industrie
CHAUFFAGE RADIANT RÉCHAUFFER LA MAISON AVEC UN PLANCHER CHAUFFANT www.rehau.com Construction Automobile Industrie DÉCOUVREZ LE CONFORT Votre maison est un refuge où vous pouvez relaxer, bâtir des souvenirs
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailCommune de VILLARD-SUR-DORON
I n g é n i e r i e d e s M o u v e m e n t s d e S o l e t d e s R i s q u e s N a t u r e l s Siège : Parc Pré Millet - 38330 MONTBONNOT tél : 04 76 52 41 20 - fax : 04 76 52 49 09 email : ims@imsrn.com
Plus en détailles escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie
les escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie Guide d installation d un escalier pour bricoleurs L escalier représente souvent
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailCONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)
CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailDrainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.
Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne
Plus en détailCirrus Activ Cirrus Cirrus Ac A tiv cti
Cirrus Activ 1 Le bon semoir de toutes les situations Le semis est une étape importante pour la réussite d une culture avec des rendements stables et élevés. L efficacité et la rentabilité d un matériel
Plus en détailSYSTÈME DE CONTRÔLE SOLAIRE LX-220 Installation et mode d emploi
SYSTÈME DE CONTRÔLE SOLAIRE LX-220 Installation et mode d emploi IMPORTANTES CONSIGNES DE SÉCURITÉ LISEZ ET OBSERVEZ TOUTES LES CONSIGNES CONSERVEZ CES CONSIGNES EN LIEU SÛR AVERTISSEMENT Avant d installer
Plus en détailBROSSE DE DESHERBAGE
BROSSE DE DESHERBAGE Montage sur plaque de base à l avant d une balayeuse aspiratrice (Réception DRIEE en genre VASP/VOIRIE) Pour éliminer les mauvaises herbes, algues et mousses sur la voirie et les espaces
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailGUIDE D AMÉNAGEMENT DES TERRAINS EXTÉRIEURS BASEBALL SOCCER SOFTBALL
GUIDE D AMÉNAGEMENT DES TERRAINS EXTÉRIEURS BASEBALL SOCCER SOFTBALL MARS 1995 Cette brochure a été préparée par M. Denis Brown du Service du développement de la gestion des projets et M. Claude Sicard
Plus en détailPASSÉ, PRÉSENT ET FUTUR DES SYSTÈMES DE
PASSÉ, PRÉSENT ET FUTUR DES SYSTÈMES DE PRODUCTION DANS LA FRAISE Par : LUC URBAIN, agronome Direction régionale de la Chaudière-Appalaches Depuis les 25 dernières années, nous avons connu de nombreuses
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE MultiPark Duolift Champ d application Dans des complexes résidentiels et dans des complexes d affaires, chez des loueurs de véhicules ou chez des concessionnaires automobiles.
Plus en détailMODÈLE C Électronique
MODÈLE C Électronique MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.880.5012 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détailGUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle
GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1 / CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 Dimensions d encastrement 04 Inventaire des pièces livrées 04 Raccordement à l eau 05 Evacuation des
Plus en détailSemis direct du maïs
Département fédéral de l'économie DFE Station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART Semis direct du maïs Etude comparative de différents semoirs pour semis direct Bernhard Streit Journée d information
Plus en détailErgonomie et. service de pneus >>>
Ergonomie et AMÉLIORER L ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL service de pneus >>> DEPUIS PLUSIEURS MOIS, UN CONSEILLER D AUTO PRÉVENTION, UN ERGONOME DE LA CSST ET DES TRAVAILLEURS ET EMPLOYEURS DE CONCESSIONNAIRES
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailConseils pour la pose des revêtements de sols textiles (excepté dalles)
Indices d incendie minimums exigés par l association des établissements cantonaux d assurance incendie (AEAI): Bâtiments à un ou deux niveaux Bâtiments à trois niveaux ou davantage (sans les bâtiments
Plus en détailANNEXE 1 1/7 LE BATIMENT
ANNEXE 1 1/7 PRESCRIPTIONS TECHNIQUES APPLICABLES AUX LOCAUX DE STOCKAGE DE POMMES DE TERRE (PLANT, CONSOMMATION ( 1 ) ET FECULE) CONSTRUITS OU AMENAGES DANS LE CADRE DES PROCEDURE D AIDE DE FRANCEAGRIMER
Plus en détailL entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière
L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière Audrée Perreault, ing. Naomie Gagnon, ing. jr. Frédéric Champagne, ing. Ministère des Transports du Québec
Plus en détailT2010_Procédure: Etablissement d une proposition de monitoring (PM) Table des matières
Table des matières 1 Objectif... 1 2 Références... 1 3 Définitions... 1 4 Examen des propositions... 2 5 Communication relative aux propositions... 3 6 Contenu de la procédure relative à la proposition
Plus en détailTout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau
Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ
Plus en détailSYSTÈMES MONDIAUX DE ST
SYSTÈMES MONDIAUX DE STOCKAGE Systèmes Mondiaux de Stockage Palettisation Conventionnelle Stockage compact Drive-ln Drive-Through Dynamique par Gravité Entrepôt Climatisé Picking Tablettes Coulissantes
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailPrévenir les dégâts d eau liés à la plomberie
faire profiter de notre expérience Prévenir les dégâts d eau liés à la plomberie Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailGuide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP
Conception aux états limites LSL et LVL SolidStart LP Guide Technique Pour la Charpente de Mur 1730F b -1.35E, 2360F b -1.55E and 2500F b -1.75E LSL 2250F b -1.5E and 2900F b -2.0E LVL Veuillez vérifier
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailINSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détail